CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES

Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 00:22

   douceur et lenteur, puis entre frénésie et violence

 

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une petite soirée avec mes potes en ton honneur. Ils ont besoin d’une pute et tu vas bien les vider...parImage associée...J’ai un peu mal mais, à mon grand étonnement, cette douleur plutôt légère passe vite.

 

 

voir l'histoire dans 'son jus' -lol-  https://cyrillo.biz/histoire/pris.html


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FAKE : le viol
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Dimanche, 17 heures. Ça fait près d’une heure que Philippe me baise comme un fou. Nous sommes dans son salon. Moi, je suis sur le canapé, allongé sur le dos et mes jambes sur ses épaules. Il me fait penser à un acteur de film de gladiateurs. Le genre musclé et poilu. Il m’encule comme un vrai mâle en rut. Ma queue se gonfle sous ses coups de reins. Il me parle sèchement, me dit qu’il aime mettre sa queue dans ma chatte et qu’il n’y a pas de meilleur trou pour prendre son pied et se vider les couilles. Ses mots me rendent dingue. Je sens sa queue aller et venir dans mon ventre. Il finit par jouir en moi en donnant de bons coups de boutoir au fond de mon trou et en poussant des râles virils très excitants.

Puis il s’allonge sur moi, m’immobilisant par le poids de son corps massif et me tenant les poignets de ses mains, il me glisse à l’oreille :
- Tu vas rester avec moi ce soir. Je vais organiser une petite soirée avec mes potes en ton honneur. Ils ont besoin d’une pute et tu vas bien les vider. Rien ne pourra mieux les satisfaire que ta bonne chatte de salope.
Là, il se redresse, se lève et se dirige vers la salle de bain sans même attendre une réponse de ma part. Ayant d’autres projets pour la soirée, je devais lui faire part de mon refus.
Philippe fait immédiatement demi-tour vers le salon…
- Je t’ai pas demandé ton avis, me dit-il en dirigeant son index dans ma direction. T’es chez moi ici et tu partiras quand je le voudrais. Fallait y réfléchir à deux fois avant de venir chez un inconnu pour te faire ramoner la chatte. Tu voulais te faire remplir par un mâle dominant alors maintenant t’assumes !

Son regard est agressif. Je suis surpris et inquiet. Il se retourne pour reprendre la direction de la salle de bain. J’en profite pour rassembler mes vêtements silencieusement. Je me rhabille le plus vite possible sans prendre le temps de refermer boutons ni braguette. Chaussures à la main, je récupère ma veste sur le dossier d’une chaise, et me dirige vers le couloir pour rejoindre la porte d’entrée. J’entends l’eau de la douche couler dans la salle de bain. Je vais pouvoir partir sans être vu. Face à la porte d’entrée, je réfléchis quelques secondes pour être sûr de n’avoir rien oublié. De toute évidence, non. Ni une ni deux, j’appuie sur la poignée et tente d’ouvrir la porte qui reste fermée. Je reste calme mais je sens qu’un début de panique se manifeste. C’est le genre de porte blindée, sans verrou, avec pour seule serrure celle sous la poignée. Une fermeture centralisée qui actionne le mécanisme complet de la porte.
- Tu peux me dire ce que tu fous, là ?

Je me retourne d’un seul coup. Philippe se tient face à moi, nu. Il commence à avancer vers moi comme un prédateur vers sa proie. J’ai un mouvement de recul et me retrouve adossé à la porte.
- Je… Je dois vraiment partir, bredouillai-je. On m’attend, j’ai un impératif ce soir…
- Oh oui, dit-il en continuant d’avancer lentement. Je confirme. Tu as un impératif ce soir et tu ne vas pas y échapper.
Il se tient juste face à moi. Je peux sentir son souffle sur mon visage. Il me regarde droit dans les yeux. Je tourne légèrement la tête, signe involontaire de soumission qu’il perçoit rapidement. Il pose ses mains sur mes épaules et me force à m’agenouiller devant lui.
- Suce-moi.
- Non, murmurai-je en tentant de me relever.
- Pardon ? dit-il d’une voix caverneuse.
Il prend alors mes cheveux d’une main et me bascule la tête vers l’arrière me maintenant ainsi toujours fermement à genoux devant lui. De son autre main, il attrape sa queue qui, même au repos, est tout aussi massive suivant la proportion de son corps.
- Suce-moi !

Il enfonce son membre entier dans ma bouche, manquant de m’étouffer au passage. Je peux sentir ses couilles contre mon menton. Il reste ainsi pendant plusieurs secondes maintenant ma tête sur son bas-ventre, Je sens sa queue gonfler dans ma bouche et commencer à atteindre le fond de ma gorge.
- Toi, tu vas déguster, me dit-il en commençant un long va et vient.
Il me tient la tête des deux mains et se met à onduler du bassin pour me baiser la bouche. Je n’ose plus bouger. Je suis pris entre peur et excitation. Je sens bientôt sa queue se contracter et un puissant jet crémeux me fouette le palais. J’avale avec délice le sperme de mon mec, lui léchant le gland pour ne rien perdre de toute sa semence. Il se retire de ma bouche et me relève en me prenant par les cheveux. Il m’entraîne vers le fond de l’appartement. Il ouvre une porte. Un placard.

- Déshabille-toi.
Je le regarde sans bouger.
- Déshabille-toi, je te dis !
Je m’exécute et enlève, à l’exception de mon boxer, tous mes vêtements qu’il récupère.
- Allez, rentre là-dedans !
J’entre dans le placard. Il y a une penderie pleine de vêtements sur toute la longueur, quelques cartons au sol. Il referme la porte.
- T’inquiète, tu devrais pas rester longtemps là-dedans, dit-il derrière la porte.

Je me retrouve dans le noir complet. J’entends le bruit d’un verrou. Je suis bel et bien enfermé. Je m’assois par terre, sous la penderie, entre deux cartons. Le sol est froid, alors je glisse mes mains sous mes fesses. J’entends Philippe qui semble être sous la douche. Il sifflote joyeusement. Puis je l’entends parler à quelqu’un, sans doute au téléphone. Divers bruits de fond viennent interrompre de temps en temps le silence. Il vaque à ses occupations comme si personne n’était enfermé dans son placard.

Au bout d’un temps qui me semble interminable, la sonnette d’entrée retenti. Quelques secondes plus tard, un bruit de clés et de serrure. J’entends plusieurs voix d’hommes dans l’appartement.
Puis le bruit du verrou de la porte du placard, et la porte s’ouvre. Philippe est là, devant moi, toujours aussi imposant, surtout vu d’en bas.
- Lève-toi, mes potes sont là.
Je me redresse et il pose directement sa main sur ma nuque et guide la marche jusqu’au salon.
Les voix se taisent quand nous entrons. Quatre hommes sont là, assis confortablement dans le canapé. Ce même canapé où Philippe m’a baisé plus tôt. Philippe m’arrête devant la table du salon et m’ordonne de m’y allongé sur le ventre. Il m’écarte les jambes et les attache aux pieds de la table.

Il fait de même avec mes poignets. Je suis à présent ficelé à quatre pattes sur la table, soumis et offert au premier venu. J’entends des braguettes s’ouvrir, des pantalons se baisser. Une main attrape mes cheveux et me redresse brutalement la tête. Je sens l’odeur d’une bite et un gland vient heurter ma bouche.
J’écarte les lèvres pour laisser glisser contre ma langue cette queue gonflée.
Quelqu’un fait glisser mon boxer et m’écarte les fesses. Je sens une main humide, sans doute de la salive, parcourir mon anus. Il appuie son sexe contre ma rondelle et m’encule d’un seul coup de reins.

Sa queue me paraît énorme. J’ai un peu mal mais, à mon grand étonnement, cette douleur plutôt légère passe vite. Personne ne parle. Seuls des gémissements de plaisir, des souffles saccadés et le bruit de leur queue dans mes orifices sont font entendre… Je me fais limer pendant plusieurs minutes avant qu’un jus chaud et visqueux m’inonde le cul puis la bouche. Les couilles vidées, mes baiseurs se retirent.
Philippe s’approche de moi et vient murmurer quelques mots à mon oreille :
- Ouvre la bouche et tends bien ton cul en arrière. On va te baiser par tous les trous.
Et d’autres queues raides et brûlantes s’introduisent en moi. Les bites s’enchaînent les une après les autres. Les mecs commencent à parler. J’entends que l’un d’entre eux s’appelle Nico, comme moi.
- Allez Nico, laisse-moi la place ! Moi aussi j’ai envie de fourrer ma queue dans sa chatte, dit l’un d’eux.
- Putain qu’elle est bonne cette salope ! dit un autre. Elle a une bouche d’enfer !
Ma mâchoire me fait mal et mon anus ouvert absorbe maintenant les sexes dressés sans problème.
Je ne suis plus qu’une machine à faire jouir, une poupée qu’on enfile pour se satisfaire et se soulager.
Bientôt le sperme me coule entre les fesses, le long des cuisses et dans le cou. Je ne peux rien faire d’autre que de subir les assauts répétés de ces hommes et de m’abandonner au plaisir qu’ils me procurent.
Les uns après les autres, pendant près de deux heures, cinq mâles me baisent sans retenue.
Certains d’entre eux me prendront même deux ou trois fois. Les derniers m’éjaculent sur le visage, les cheveux et les fesses.
Tout les mecs se rajustent et se rembraillent. Philippe sert un verre à tous ses invités. Moi, je suis toujours attaché à la table. L’un d’entre eux, installé dans le canapé, allonge ses jambes en les posant sur mon dos. Leur conversation va bon train comme s’ils avaient oublié ma présence. Puis Philippe raccompagne ses invités à la porte. Il revient dans le salon et se penche près de moi :
- T’as bien assuré, ma salope. Mes potes se sont vraiment bien éclatés.
Il s’allonge sur moi et je sens sa queue tendue glisser entre mes fesses. M’a-t’-il déjà baisé pendant la soirée ? Je l’ignore mais il a l’air très en forme. Son gland ne cherche pas longtemps l’entrée de mon cul et son sexe s’enfonce en moi sans difficulté.
- J’ai encore envie de me vider les couilles. T’as vraiment une bonne chatte faite pour ma queue.
Il commence à me baiser frénétiquement. Il me défonce littéralement le trou et il semble y prendre un plaisir immense.
- Ouais… Tu la sens bien ma queue ? T’aimes ça, hein, ma queue dans ta chatte, ma salope !
Il pousse un râle de plaisir, comme un animal. Je comprends qu’il est en train de jouir dans mon trou. Mais il ne s’arrête pas de me baiser. Je me dis qu’il va bientôt débander, mais ce n’est pas le cas. Je regarde l’heure affichée sur le cadran de son magnétoscope, une heure s’est passée depuis que les autres mecs sont partis. Il me tient par les hanches, alterne les mouvements entre douceur et lenteur, puis entre frénésie et violence. Il pose alors ses mains sur mes fesses et les serrant fermement et je l’entends à nouveau pousser un râle reconnaissable à présent. Il jouit en moi.

- Ah ! Ça fait vraiment du bien…
Il se retire et se relève.
- Ça ira pour aujourd’hui, tu vas pouvoir rentrer chez toi.
Il me détache, me dit que je peux aller prendre une douche avant de partir si je le veux. J’hésite un instant mais accepte sa proposition. Je reviens peu de temps après dans le salon. Mes vêtements sont posés sur une chaise. Philippe est confortablement allongé dans le canapé, toujours à poil, avec mon téléphone portable à la main.
- Tu vas me servir de vide-couilles, à moi et mes potes, à chaque fois que je le voudrai. J’ai pris ton portable dans ta veste, j’ai fait sonner le mien avec et maintenant, j’ai ton numéro.
Il me regarde avec un grand sourire sadique.

- Au fait, je t’ai pas dit que je suis CRS, je crois. Ça sera facile pour moi d’avoir ton adresse si tu réponds pas à mes appels et si tu rappliques pas ici quand je te le dis.
Il me lance mon mobile que j’attrape au vol et, sans rien dire, commence à m’habiller. Il se lève et s’approche de moi, de la même façon que tout à l’heure, avec cet air de prédateur vainqueur.
- T’es à moi maintenant, j’espère que tu l’as compris. T’es qu’une salope et tu m’appartiens. Tu sais maintenant que t’es à ma disposition. Une bonne petite pute docile et soumise pour me satisfaire. Un bon vide-couilles comme je les aime.
Il m’attrape d’une main par les cheveux, penche ma tête en arrière et m’embrasse goulument.

- Allez, dégage avant que je remette ça.
Je me dirige vers la porte et sors enfin de cet appartement. En bas de l’immeuble, mon mobile sonne. Un sms vient d’arriver. C’est Philippe. Le message dit seulement « Demain 20:30 ». Il n’a donc pas menti. Il a mon numéro.
Voilà. Je ne savais pas à l’époque que, presque trois ans après, il me baisera plusieurs fois par semaine, souvent avec ses potes. Et que j’adorerai vraiment ça

Starbuck

starbuck_69@vvv.fr

 


 

commentaire :

Maintenant je crois tout ce qu'on dit sur la police  -lol-

 

 

 

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Jeudi 4 avril 4 04 /04 /Avr 07:16

 Image associée  RASAGE GAY PAR 1 POTE PLUTÖT QUE CES MAUDITES PILLULES pour femmes ou hommes

  L'acétate de cyprotérone, principe actif de l'Androcur et de ses génériques

Résultat de recherche d'images pour "androcur"LU CHEZ LE TOUBIB dans un vieux numéro de l'hebdo

 

 

ON LIT DANS L'EXPRESS : L'acétate de cyprotérone, principe actif de l'Androcur et de ses génériques, peut provoquer des méningiomes (tumeurs bénignes au cerveau). 500 victimes ont déjà été identifiées, mais ce chiffre est certainement sous-estimé.

 L'Agence du médicament demande à limiter les prescriptions et recommande une surveillance des patientes sous traitement.

"A prescrire avec modération" : voilà, en substance, le message de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) à propos du médicament Androcur et de ses génériques. Les nouvelles recommandations de l'ANSM relatives à ce produit étaient très attendues après la révélation à la fin de l'été des effets secondaires potentiels de l'acétate de cyprotérone. 

Cette molécule se trouve en effet accusée de multiplier par vingt le risque de développer un méningiome, une tumeur bénigne du cerveau, en cas d'utilisation prolongée, selon une étude menée par l'Assurance-maladie et les équipes de neurochirurgie de l'hôpital Lariboisière à Paris (AP-HP). 

Toute utilisation prolongée et à forte dose est désormais fortement déconseillée, y compris en cas d'hirsutisme sévère (pilosité extrême et handicapante), la seule indication dans laquelle ce médicament reste autorisé. "Cela pose la question de son utilité même, car ce produit ne guérit pas : il traite les symptômes, qui repartent de plus belle quand on l'arrête", s'interroge Marlène Vault, qui anime un groupe Facebook rassemblant les victimes de cette molécule. Par ailleurs, les experts de l'ANSM rappellent que toute prescription dans des indications pour lesquelles ce médicament n'est pas autorisé (acné, séborrhée et hirsutisme) doivent être proscrites.  

Le médicament peut toujours être prescrit

A la question du maintien sur le marché de ce produit, l'ANSM a donc finalement répondu oui. Une réponse qui peut étonner, alors que ce médicament est beaucoup moins utilisé chez certains de nos voisins européens, et pas du tout aux Etats-Unis par exemple - preuve qu'il existe des alternatives thérapeutiques. En revanche, l'Agence du médicament recommande désormais un suivi radiologique poussé, notamment en cas de nouvelle prescription. 

Une IRM (imagerie par résonance magnétique) devra être réalisée, pour s'assurer que la patiente n'a pas déjà un méningiome, qui pourrait être aggravé par le produit. Puis une IRM au bout de cinq ans, et par la suite une tous les deux ans devront être réalisées. "Cela paraît raisonnable", juge le Pr Sébastien Froelich, le neurochirurgien qui avait le premier lancé l'alerte sur ce produit, et qui a participé aux travaux du groupe d'experts interrogés par l'ANSM.  

L'Agence demande par ailleurs aux médecins de reprendre contact avec les femmes déjà sous traitement, pour "réévaluer la nécessité de le poursuivre et envisager un contrôle par IRM". En dehors de tout symptôme, rien n'est en revanche prévu pour les femmes qui ont déjà arrêté ce produit. Des mesures insuffisantes pour Marlène Vault : "Il aurait mieux valu recontacter toutes les femmes qui ont pris ce médicament plus de cinq ans, ou qui le prennent depuis plus de cinq ans, pour leur proposer un contrôle systématique par IRM". Un avis justifié par les retours des victimes qui témoignent sur son blog : "Beaucoup de médecins sont encore dans le déni de la réalité des risques liés à ce médicament", constate-t-elle.  

L'ANSM doit adresser un courrier de rappel à tous les professionnels concernés, et envisage à moyen terme un plan de communication auprès du grand public. Un numéro vert se trouve à la disposition des victimes depuis début septembre : 0.805.04.01.10. 

 

 


commentaire :

 

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à nous les bonheurs sans entrave ni souci !Image associée

 

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Image associée Philippe a soulevé son T-shirt  et depuis je rêve de la caresse que serait sa toison sur ma poitrine et son odeur de mâle qui me saoûlerait...-lol-

Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres

 

 

 

Par L'EXPRESS - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 3 avril 3 03 /04 /Avr 17:25

  lu sur un forum-atelier d'écriture du  web italien

 

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Enrico et moi-même ne sommes pas allés à l'école ce jour-là, nous avions trop mal à la tête de la veille.
Je suis allé à la foire de Catane et il est allé à la foire de son village.
J'ai été admis aux examens d'État et il a été rejeté. Peut-être qu'il a eu trop de branlettes avec le prof Luca, un grand garçon noir et des yeux bleus, tout comme Enrico. Luca avait trente-trois ans et était assez musclé sans plus. C'était notre professeur d'italien, Leo détestait ce professeur ne comprenait pas très bien comment il expliquait que c'en était trop, mais en tant que professeur sorti de l'université, il était censé être un professeur qui faisait bien comprendre les leçons. Les leçons avec lui étaient très bien aussi parce qu’elles étaient très intéressantes, j’étais très occupé avec les leçons aussi parce qu’il y avait un mec sympa et que ce mec savait comment bricoler avec la bite dure et le me la mettre dans mon joli petit cul. Ma mère m'a appelé dans la pièce voisine et m'a dit que je devais faire mes devoirs, mais ces devoirs m'ennuyaient beaucoup. Ces jours-là, je m'ennuyais beaucoup. J'ai pris un médicament pour me sentir à l'aise, mais c'était bon pour rien. J'étais de plus en plus agité et excité à cause de ce professeur en classe. En classe, je n’étais pas très attentif mais j’étais apathique, alors ils m’ont emmené chez le psychiatre pour comprendre les problèmes, là j’ai attrapé un bégaiement et je l'ai toujours.
J'étais et je suis encore apathique et mon ami, pour forcer mon envie, m'a fait croire que je voulais à tout prix qu'il me baise. J'ai déjà la bite en forme et j'ai dit "bonjour Federico si tu veux me la mettre dans le cul et m'appeler pute, ok ". Il m'a fait croire ça et j'ai pris son cazzo dans la bouche et je l'ai enduit d'un peu de vaseline comme d'habitude alors c'est ce que j'ai fait et avec le culot qu'on lui connaît m'a mis sa bite grande et dure dans le cul.
 

 

Il l'a mis dans mon petit cul, et j'ai senti la douleur comme si je n'étais qu'un fion, mais je ne pouvais pas parler d'une douleur excessive avec une queue qui n'était pas aussi grosse après tout. Je l'ai mise aussi dans ma bouche. J'appelle des groupes d'homosexuels pour me mettre six queues dans le cul. Je voulais les bites des habitants de Catane à la villa Bellini, j'ai réalisé qu'il y avait des voyeurs et des hommes hétérosexuels qui ont décidé de me la mettre dans les toilettes publiques
Je me suis rendu compte qu'en faisant cela, je ne pouvais pas continuer et j'ai donc pris une pillule de vallium pour calmer mon ardeur. J'ai pris l'embout buccal de mon père et tout dans ma bouche, mon père était pédé comme moi.
Mon ami Ernesto, un grand garçon blond a pris ma bite et m'a mis son sperme sur moi, me l'a mis au visage, puis a tout inondé avec sa gorgée de sperme, et j'ai reçu six doses de sperme de divers garçons africains.
J'étais tellement impressionné que j'ai pris la bite d'Ernesto et que je jouais le tout dans ma bouche avec six autres mecs qui m'ont collé pas moins de sept bites dans le cul et deux dans la bouche.

 

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Mon petit ami utilisait des couches pour incontinence, je remarquais que chaque fois qu'ils le baisaient, il leur pissait dessus et il chiait devant moi. Il s'est toujours chié à l'école, ils se moquaient toujours de lui, mais je l'ai toujours aidé dans les tâches qu'il devait accomplir et je l'ai aidé psychologiquement. L’aide est toujours bénéfique pour tout le monde et c’est la chose la plus importante qui soit.

 

Les mecs qui m'ont baisé m'ont donné 100 euros et je me suis acheté une montre.
J'ai acheté une chronotech bleue pour moi,  Je l'ai utilisée pendant un moment pour voir combien de temps chacun me baisait, et je l'utiliserai à nouveau lorsqu' ils me baiseront encore.
 
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Io e Enrico quel giorno non andammo a scuola, ci faceva male troppo la testa dal giorno prima.
Io andai alla fiera del catanese e lui andò alla sua fiera.
Ero ammesso agli esami di stato e lui invece fu bocciato forse si fece troppe seghe con il prof Luca un ragazzo alto moro e occhi azzurri proprio come Enrico, Luca aveva trenta tre anni ed era muscoloso al massimo era il nostro professore di italiano, Leo odiava quel professore non capiva bene come spiegava era troppo uno che spiegava da professorone di università ma così doveva essere un professore che faceva capire bene le lezioni. Le lezioni con lui erano molto belle anche perché erano molto interessanti, ero molto preso dalle lezioni anche perché c'era un bel ragazzo e questo ragazzo mi sapeva armeggiare con il cazzo duro fino in fondo me lo mise su per il mio dolce culetto. Mia madre mi chiamo nel l'altra stanza e mi disse che dovevo fare i compiti ma a me i compiti annoiava molto, quei giorni ero molto annoiato, prendevo una medicina per stare tranquillo ma non serviva a niente ero sempre più agitato ed eccitato per colpa di quel professore in classe. In classe non stavo molto attento ma ero svogliato così che mi portarono dal pisichiatra per capire i problemi, io avevo la balbuzie e tuttora c'è lo.
Ero e sono ancora svogliato quel mio amico mi fece credere che mi voleva a sangue voleva per forza il mio cazzo. Io il cazzo già c'è lo avevo in bel tiro così che gli dissi "ciao Federico se vuoi mettimela pure nel culo e chiamami BUTTANA. Mi fece credere così ed io presi il cazzone in bocca e mi spalmai un po' solito di vaselina così che feci e lui asino tantissimo e mi mise il cazzone grosso e duro nel culo .
 

 

Me lo mise nel culetto io asimava proprio come una buttanone ma non riuscivo a parlare dal troppo dolore lui con un chiodo di cazzo me lo infilo in bocca chiamo delle band di gay per mettermi sei cazzi in culo . Quel cazzo lo volli proprio da dei catanesi alla villa Bellini mi accorsi che c'erano guardoni e maschi etero che si decisero di mettermelo nei bagni pubblici
Mi accorsi che così facendo non potevo andare avanti e così presi una pilloa di valido per calmare i miei bollenti spiriti. Mi aggirai per la stanza per trovare questo prodotto presi il bocchino di mio padre e lo presi tutto in bocca, mio padre era Frocio come me .
il mio amico Ernesto un ragazzo alto e biondo mi prese il mio cazzo e mi spalmo il suo sperma me lo mise nel viso e poi in bocca trastullandomi tutto con la sua boccata di sperma ricevetti sei litri di sperma di vari ragazzi dell'Africa.
Ero cosi preso che presi il cazzo di Ernesto e me lo trastullai tutto in bocca con altri sei ragazzi che mi conficcarono bensì sette cazzi nel culo e due nella bocca.
Il mio ragazzo uso i pannoloni per incontinenza mi accorsi che ogni qual volta scopavano li ci pisciava tutto addosso e ci cagava addosso a me. Lui si cagava addosso sempre a scuola lo prendevano sempre in giro io invece lo aiutavo sempre nei compiti che doveva fare e lo aiutavo pisicologicamente. Un aiuto fa sempre bene a tutti e questa e' la cosa più importante che ci sia.
ero ormai stanco di avere orologi così me ne comprai uno un chronotech azzurro per me, mi diedero 100 euro e io me lo comprai. tutto felice lo usai per poco ma poi lo riutilizzerò quando gli animi qui si placano.

 

 

 

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Par NUNO - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 3 mars 7 03 /03 /Mars 06:54

Image associée  Pareil quand Polo a été agressé : les policiers insistaient pour savoir s'il était en train de draguer à ce moment-là. -"Monsieur, êtes-vous un habitué de ce lieu ? saviez-vous que c'est un lieu de rendez-vous homosexuel ? "....etc, etc... Genre : vous l'avez bien cherché, non ?

1.

J’ai été violée, mais comme j’ai fait du porno tout le monde s’en fout

20 Avril 2018
 

par Marion Bogaert, 27 ans, Miss Ronde 2011 et ancienne actrice porno.

 

Marion Bogaert travaillait dans le porno quand elle a été violée par un voisin dans sa propre chambre. Ni la police, ni la justice, ni le responsable de son internat ne l’ont prise au sérieux.

Le 29 décembre 2012, j’accueillais dans ma chambre un mec que je pensais être mon ami. C’était le premier qui m’avait pris sous son aile quand je suis arrivée à l’internat pour suivre une formation professionnelle. On était même sorti ensemble pendant deux semaines, une petite amourette à la con. Ce soir-là, il a pété un câble et m’est passé dessus. Il m’a violée.

J’ai passé une nuit de merde. Au début, je ne voulais pas porter plainte. Parce que je savais ce qui m’attendait, qu’on n’allait pas me prendre au sérieux. Et parce que j’avais honte d’arriver et de dire : « Je “représente le sexe” – parce que c’est ça quand tu es actrice porno – et je me plains parce que je me suis fait violer. » À cette époque, je travaillais dans le porno. J’avais tourné quatre ou cinq films. Le lendemain, mes amis m’ont convaincue d’aller porter plainte.

Affiche porno au comico

Au commissariat de la rue Brisout de Barneville, à Rouen, j’ai été reçue par un policier qui avait un joli drapeau « On dit merci qui ? Jacquie & Michel » sur son bureau. Jacquie & Michel, c’est la première prod pour laquelle j’ai travaillé. Quand tu viens porter plainte pour viol et que tu vois des posters de cul, je trouve ça très malavisé. Dès le départ, je préférais être claire, pour ne pas qu’on m’accuse de mentir : j’ai dit que je travaillais dans le porno. Pendant une demi-heure, il m’a fait la morale, en disant : « Vous savez, si ce que vous dites est faux, c’est vous qui irez en prison, ce n’est pas bien de faire ça. » Dans le service, il n’y avait que des bonhommes. Les seules femmes que j’ai vues dans le processus de prise en charge, c’est l’assistante sociale du commissariat et le médecin légiste qui a fait les prélèvements.

Une semaine après, l’autre cinglé qui m’a violée était derrière ma porte, à me menacer pour que je retire ma plainte. J’ai appelé le directeur de l’internat. Au lieu de venir me voir, il est allé dans la chambre de l’autre barge, qui lui a montré mes films de cul. Puis le directeur est venu dans ma chambre et m’a dit :

« Madame Bogaert, je sais ce que vous avez fait. Vous êtes une salope. La trêve hivernale prend fin dans un mois, je veux que vous partiez. »

 

J’ai été mise à la porte parce que je faisais des films de cul et que j’avais porté plainte pour viol. Par la suite, je suis resté un an sans réponse. J’ai fini par appeler le tribunal. On m’a dit : « Vous n’êtes pas au courant ? L’affaire est mise au placard. » J’ai appris qu’il avait été mis en garde à vue un an après les faits. Il y avait des preuves : les prélèvements du médecin légiste. Pourtant l’affaire a été classée sans suite, et je n’ai pas reçu un seul courrier. Je n’étais même pas au courant.

Les travailleuses du sexe ne sont pas prises au sérieux

Personne ne m’a prise au sérieux. J’étais une pauvre conne qui faisait des films de cul et osait se plaindre pour viol. J’avais une belle carrière qui m’attendait. Une prod américaine m’avait proposé d’aller tourner là-bas. Ce viol a tout bousillé. Je n’ai plus jamais refait de porno. J’ai subi une double agression : je me suis fait violer et la justice ne m’a pas reconnue en tant que victime. Il y a deux ans, j’ai contacté une avocate qui a repris l’affaire. Elle est habituée de ces histoires-là : malheureusement, je ne suis pas la seule. Elle a été amenée à défendre des prostituées qui se sont fait violer. C’est exactement le même parcours du combattant. Les travailleuses du sexe qui se font agresser, comme moi, ne sont pas reconnues.

Propos recueillis par Timothée de Rauglaudre

 


2. VIOLE-MOI PLUTOT QU'ELLE ...CA N'A PAS MARCHE

Agression homophobe à Saint-Tite en marge du festival western (Québec)

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Agression homophobe à Saint-Tite en marge du festival western (Québec)

Ce vendredi soir, un gars a décidé que « c'était drôle » de tabasser un homosexuel avec une bouteille de bière vide !

« Je n'ai aucun souvenir, j'ai perdu connaissance ! Le premier coup a été porté à ma figure, et 6 autres ont suivi ... », a confié le jeune homme de 21 ans, qui n'a pas hésité à partager sa photo sur son compte, visage tuméfié, pour dénoncer et éviter que ce genre de situation ne se répète : « Voici le visage de l'homophobie... Je me suis fais attaqué parce que je suis gay ! Bienvenu en 2015 ! »

« Tout a commencé par une simple altercation », raconte Mathieu. Il marchait tranquillement dans la rue avec sa sœur, lorsque deux individus ont « sifflé » la jeune fille en lui adressant quelques propos désobligeants et sexistes.

« Je leur ai demandé si ils avaient un problème... et pour faire fuir le gars, j'ai voulu lui dire qu'il était beau, alors je l'ai regardé et je lui ai dit "eille pis, t'es crissement chaud". Il a compris que je lui disais qu'il était saoul et que je voulais l'insulter. » C'est alors, que pour « apaiser les tensions », la sœur de Mathieu va expliquer que son frère était gay et voulait juste le complimenter.
« J'ai entendu le gars marmonner "ark", "eille, criss de fif"», ajoute Mathieu. Et ce sera la dernière chose dont il se souviendra.

Transporté en ambulance, il passera toute la nuit à l'hôpital et une partie de la journée de samedi, mais par chance il n'a aucune fracture : « J'ai repris conscience, devant mon beau-père en pleure, totalement désorienté, ne comprenant pas où j'étais. »

Ce n'est pas la première fois que le jeune homme est victime d'un geste homophobe, précise-t-il, mais « c'est la première fois de ma vie que je suis violenté physiquement. »

Nous lui avons adressé tout notre soutien. Mathieu est toujours ébranlé par les événements mais remercie tous ses amis « présents du début à la fin » et qui n'ont pas cessé de partager son statut sur les réseaux : « J'ai compris à quel point je suis bien entouré ! »

La famille de Mathieu dit avoir porté plainte à la police. La Sûreté du Québec refuse d'indiquer si une enquête est en cours, ce que confirme d'ailleurs radio-canada.

Nous vous tiendrons au courant des suites dans cette affaire.
Bon courage et un prompt rétablissement à Mathieu.

Terrence Katchadourian 

STOP HOMOPHOBIE

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Image associée  La semaine dernière, accompagnée d’une équipe de télévision, la police a effectué une perquisition dans un studio pornographique clandestin, aménagé dans un appartement à BUDAPEST....
Par PARISIEN - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 28 février 4 28 /02 /Fév 01:29

Image associéeoui encore un scandale de bientraitance en maison de retraite en PACA, à Toulon, Var

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Choc en maison de retraite sur cyrillo .com

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-maison-de-retraite-01.php

Bonjour mon prénom est Greg, j'ai 24 ans très sportif, je mesure 1m80 pour 85 kgs, cheveux châtains courts, pas mal foutu avec physique très viril et agréable. Les meufs adorent et je pensais être hétéro jusqu'au jour où!....... Voilà l'histoire, je suis aide-soignant dans une maison de retraite à Toulon dans le Var. Il y a quelques mois un nouveau résident est arrivé, autonome totalement, 81 ans bien conservé et très sympa, veuf avec deux enfants. Dernièrement, il a fait une chute en glissant et s'est fracturé le poignet droit, tout s'est compliqué pour lui. Il fallait l'aider pour tout et en particulier pour l'habiller et inverse et surtout la toilette. N'étant pas dans son service, je ne faisais que le croiser, mais au bout de quelques jours, par manque de personnel j'ai du passer à l'étage supérieur pour donner un coup de main. Ce matin là je devais le laver et l'habiller. J'arrive, bonjour monsieur Richard (nom emprunt), je suis Greg je vais m'occuper de vous ce matin, merci me dit-il, nous nous dirigeons vers la salle de bains, je ferme la porte en ayant mis auparavant le panneau (soins en cours) sur la porte pour ne pas être dérangé. Je lui enlève le haut, bien conservé pour son âge avancé, puis le pantalon du pyjama et en me baissant pour lui retirer je me trouve en face de la plus grosse bite au repos jamais vue. Environ plus de 15 cm au repos avec un corps large et un gros gland, cette vue provoqua après la stupeur première, une érection chez moi qui me perturba fortement, je comprenais pas ce qui m'arrivait, puis d'un coup je l'ai félicité sur son engin, mais t'es fou me dis-je que fais tu ? Il rit et me dit c'est ma fierté et elle fonctionne encore bien, ah bon lui dis-je, oui je continue de me masturber et de jouir. Et bien vous vous n'avez pas froid au yeux, non je suis un vieil homme libéré. Je commence à le laver, le haut, les dents, rasage, il est exigeant car très propre de sa personne, puis les pieds, les fesses et en dernier le sexe, et là je recommence à bander sec en touchant cet énorme engin, je suis quasiment
à genoux devant sa bite que je savonne, décalotte, oh surprise, elle commence à prendre du volume, désolé me dit-il je suis encore très sensible de ce côté là, no problems réponds-je, putain, le vieux porc il bande devant moi qu'il connait à peine, est-il PD, je suis hétéro et pourtant la situation m'excite au plus haut point, je le rince abondamment, là il bande à fonds, c'est gigantesque, j'ai jamais vu çà, je suis pourtant bien monté mais à côté de lui je suis ridicule, en me relevant pour l'essuyer, il voit que je bande dans mon pantalon blanc distendu par ma bite, vous aussi me dit-il en riant, gêné je réponds excusez moi monsieur, c'est normal entre hommes. Et là il envoie sa main et chope ma queue, que faites vous, du calme me dit-il, sois pas effrayé il n'y a personne. Je constate que je me laisse faire et que ce n'est pas désagréable, bien au contraire la situation risquée m'excite. IL baisse mon froc et libère ma bite de sa main gauche, pas mal pour ton jeune âge me dit-il, c'est rien à côté de vous, putain il bande toujours, touche là me dit-il, suis pas homo je réponds, j'ai pas dit çà, je veux juste qu'on s'amuse un peu. Après tout au point ou on en ait. J'ai la queue à l'air, je bande et lui est à poil bandant comme un cheval. Mais enfin moi 24 et lui 81, 57 ans d'écart c'est affreux et pourtant, d'un coup je saisi sa bite et la touche, la branle, j'en peux plus d'excitation, il se penche et me suce à fonds c'est trop bon, j'en veux encore, et là je suis à genoux et je lui bouffe la sienne et encore et encore, il mouille dans ma bouche et me baise  fort. Je me branle en même temps, je sens qu'il va me juter dedans tant pis c'est ce que je veux, petit salop me dit-il, tient avale, là il me décharge dans la bouche 7 ou 8 jets, c'est salé et très épais, je recrache aussitôt, j'ai pas joui, en me relevant je bande toujours la bite bien mouillée, face à lui il se penche et me roule une pelle, je me laisse faire et sens sa langue fouiller ma bouche et goûter son propre sperme, trop excité, je le retourne et veux l'enculer, il dit non, tant pis pour toi, fallait pas chercher, j'écarte son cul, le bloque contre le lavabo, crache un peu de salive sur mon gland, et entre dedans, il crie qu'il a mal, ferme là, lui dis-je on va entendre, je le pilonne, je suis trop excité, je sens que çà vient, je sors de ce vieux trou et je me vide les couilles sur lui, putain je l'ai inondé, obligé de le relaver. Il m' avoué ensuite que je l'ai dépucelé à son âge. Je ne l'ai jamais revu, étant retourné à mon étage, je le croise seulement, très perturbé par ce qui s'est passé, je sais néanmoins qu'au vu du nombre de fois où je branle en repensant à ce qui s'est passé avec lui, qu'il faudrait pas grand chose pour que j'aille essayer de lui refaire une pipe sur son énorme bite, en fait c'est seulement la taillede l'engin qui m'excite.

 

 

Résultat de recherche d'images pour "gay PORN GIF gay very old man fucked on his bed by gay young man"(fake)  c'est là qu'est le scandale !

(mais les média n'en parlent pas c'est une histoire fictive de CG )

Gg toul


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Par GREG - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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