CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES

Lundi 2 juin 1 02 /06 /Juin 06:05

Un rythme inoui et c'est pour une fois écrit par un voyeur (envieux ? ) à la 3e personne !

Ambiance je suis caché  ils ne me voient pas on est dans les caves et parkings

 

A la nuit... 

Extrait : Mais chut, personne ne le sait, c est un secret entre vous deux. Enfin, tous les deux et moi qui vous ai suivis, qui vous ai maté dans l ombre en me branlant.. J aurais aimé y participer mais je n ai pas osé ...

Ce bel etalon, ce bel hétero que tu avais repéré depuis longtemps, ce mec sur lequel tu avais fantasmé au lycée… tu n’ aurais jamais pensé qu'un jour……

Tu le connais depuis longtemps. Il était au dans ton collège, en grande section quand tu es arrivé en 6eme, puis vous vous êtes suivis au lycée. Vous ne vous êtes jamais parlés, vous vous connaissiez seulement de vue, pourtant il habite la même cité que toi.

Un soir, tu trainais en bas, près des boites aux lettres. Il passe.
Il porte son habituel survet, sa casquette de wesh, ses sk8 et son débardeur blanc
Il est trop canon, trop trop sexy ce mec. Tu ne sais pas son mon, mais il t’ a toujours excité. Il traine toujours avec une bande de potes, et il est toujours entouré de super nanas bien bandantes. C est un vrai bogoss.
Légèrement poilu, musclé, il ferait bander n importe quel hétéro tellement il pue le sexe.
Ce soir, tu ne sais pas pourquoi, il t’ a maté, avec insistance.
Tu as répondu à son regard, timidement.
Il passe devant toi, pousse la porte d’ entrée de ton immeuble, Il te fait signe de le suivre.
Tu lui emboite le pas.
Il descend vers les caves et le parking.
Tu le suis toujours
Il se colle contre le mur de la cave, entre deux loupiottes. Pas trop éclairé, mais suffisamment pour que la lumière souligne sa musculature saillante.
Il pose sa main sur sa queue en te matant avec un air vicieux. Putain, il pur la bite…
Tu ne bouges pas, tu es tétanisé.
Il se caresse encore le zob d’une main, puis le torse.
Il a retiré son débardeur, il est torse nu, il est carrément bandant, bons pecs de mec, tablettes de chocolat bien dessinées, une bombe !
Il promène ses doigts sur ses seins, se tripotte les tétons, il les presse en te matant encore, la tête légèrement penchée.

« Quoi, tu veux juste regarder ? – viens, touche, tate ma grosse queue
Il sort son zob de son jogging, il te le fout sous le nez pour que tu le mates de plus prêt.
Il est fier de son gros morceau, il tient sa bite dans une main et commence à se caresser les couilles avec l autre
Il s astique la queue comme une bête - en te matant droit dans les yeux.
Toi, tu te caresses, ton sexe commence à grossir, il se tend - il devient bien dur, bien raide, bien droit… ton gland commence à perler, il est maintenant bien mouillé, tu te branles de plus en plus fort en le matant s astiquer
il te dit tout bas :
« ah ouiais…. tu aimes la bite toi ?
tu sais sucer au moins ?
T as déjà vu une bite aussi grosse que celle la ?
Tu réponds négativement de la tête, tu ne parles pas, tu es impressionné, tu es timide.
« t as peur ?
tiens, touche, regardes comme elle est douce
tiens, prends la dans ta main, serre bien ma tige mon pote, serres et branles la doucement «
il n’ est pas circoncis, tu joues avec son prépuce, tu le remonte entièrement , tu lèches bien son gland et tu décalotes ensuite
son gland est brillant, luisant, tout mouillé…Il brille dans la pénombre de la cave.
tu l excites
il te mate bien droit dans les yeux et te dit, « yes, continues mon pote, vas y, branles cette grosse matraque de flic »
il crache dans la paume de sa main, s abaisse vers toi et te touche la bite timidement.
c’ est la première fois qu il branle une bite – une autre que la sienne
tu es de plus en plus dur
ton sexe double maintenant de volume entre ses grandes mains de mec.
toi aussi tu mouilles comme une bonne salope
il te demande « t’ as déjà gouté une bite ? »
tu lui dit « oui »
il te répond « tiens, goute celle la , vas y, ouvres bien ta bouche, plus grand, fourres la dedans «
tu la mets toute entière dans ta bouche, tu l enfonces jusqu’ au fond de ta gorge
il est doux son gland et sa mouille, elle est douce
« C ‘est ca, joues bien avec ta langue quand tu le suces, lèches bien son gland , comme si tu lui roulais une pelle ‘, « continues, c est bien mon pote »
Tu l entend, il est en train de gémir, il donne des petits coups de bassin, « tu te débrouilles bien ! »
« Vas y putain, bouffe bien ma queue, tu as faim, tu es affamé, bouffes la, avales ma grosse bite ! »
elle rentre en entier maintenant, tu vas presque toucher ses couilles avec tes lèvres tellement tu l as enfoncée dans ta gueule.
Et tu le suces, tu le lèches, il est viril, c est un vrai mec….
Il n a pas l habitude de se faire sucer par une bouche de mec, mais il aime la façon dont tu le suces, il aime ta langue, tes lèvres sur la peau de son sexe dur
En un rien de temps, tu le fais re-bander comme tout à l heure - son sexe redevient aussitôt dur et droit, il est épais, sa peau se tend, encore plus que tout à l heure...tu kiffes à fond et lui aussi….
Il continue à te caresser le zob, il plonge ses mains dans ton caleçon, ouvre la braguette et ressort ton sexe
Il envie d y gouter bien qu il ne soit pas gay. Il veut savoir ce que ça fait de sucer une bite
Il prend ton sexe entre ses doigts , approche sa tête puis ses lèvres, il ouvre sa bouche et du bout de la langue, commence à lécher ton gland
Pendant ce temps, tu le suce encore, vous faites un 69, tu le suces bien à fond, il en redemande, il colle ta tête a sa queue avec son autre main, il pousse ta nuque au plus près pour que tu avales sa longue queue épaisse jusqu’ au bout.
Il se retire, te fais signe de t allonger sur le sol, il s allonge près de toi.
A son tour, il avale ta bite, il la dévore, ton sexe a bien durci, il est raide aussi, il te caresse doucement les boules pendant qu il te suce, il a une grande bouche, il avale toute ta bite d un coup
tu n en peux plus, c est trop bon, putain, il suce comme un dieu en plus
tu as envie de lui jouir dans la gueule, alors tu te retiens… ton sexe se tend encore un peu plus, il est de plus en plus gros, il te chauffe grave ce mec à la matraque blanche…
Il t écarte doucement les fesses, pour te caresser pendant qu il continue à te sucer, tu aimes ça.
Tu n as pas l habitude de te faire caresser le trou, mais il sait s'y prendre avec toi, il sait te donner du plaisir, tu as confiance en lui.
Tu es de moins en moins timide, tu vois qu il aime la façon dont tu le baises.
Et tu aimes comme il te suce et comme il te caresse
il est a la fois doux et ferme, comme un vrai mec - bien viril ,
un mec à femmes.
C est troublant de le voir avec ta bite dans sa bouche,
cette bouche qui n a du connaître que des chattes bien juteuses,
des clitos bien bandés, des tétons bien fermes….
et pourtant aujourd’ hui il est là , avec toi…
et tu le fais bander comme un chien !!
il continue a te caresser en glissant son doigt entre tes fesses.
Tu n ouvres pas ton cul, tu restes bien fermé, mais tu sens qu il a envie de te caresser le trou avec son gros gland rosé, tu sens qu il a envie de te dominer, de te faire gouter à sa bite par le cul, de te sauter comme une chienne...

Tu es chaud à mort, alors , tu le laisses forcer le passage avec ses doigts
Il est très délicat, très habile

Tu l' as bien chauffé, il bande comme un chien,
son sexe est tendu à mort, à fond
la peau de sa bite est bien tiré, bien fine
ses couilles sont pleines
son gland perle ,
des grosses gouttes de liquide pre-spermique s' en échappe,
tu nettoies son gland à coups de langue, tu t' appliques.
il aime ça,
il ferme les yeux, il profite de cet instant, il te kiffe grave
il aime comme tu le suces
tu te débrouilles vachement bien
tu lui fais du bien
Tu l as tellement chauffé qu' il a envie d aller plus loin
il te caresse toujours le cul,
il enfonce doucement son doigt dans ton trou
tu gémis doucement - mais comme un mec
tu l aimes bien, tu as envie de te donner à lui
envie de te laisser pénétrer par ce gros zob
tu te retournes et colles tes fesses à son sexe en rut
Putain, il est trop cho là !!
il t' attrape par la taille et se frotte contre toi
tu sens sa mouille sur tes petites fesses rebondies
il est aux anges
il n en peut plus
il est cho cho bouillant
il retire sa casquette
il a chaud, il transpire
son survet est au bas de ses jambes, il n a pas de slip
il continue a se frotter contre toi
tu te cambres pour le coller encore plus
il te caresse le trou avec son gland
comme s il était contre la chatte d une meuf
tu entrouvre tes cuisses pour qu' il s enfonce un tout petit peu
son gland s enfonce doucement, juste son gland, il ne veut pas te faire mal
tu aimes sentir ce gros gland juteux entre tes fesses,
tu t' écartes un peu plus;
il s' enfonce alors encore plus loin,
il commence à rentrer sa tige dans ton trou
tu n as pas mal, il sait s y prendre,
il te donne du plaisir
tu aimes ça….
tu gémis, il gémis aussi, plus fort que toi encore
il rentre encore plus sa bite en toi,
il est en train de te tremper le cul, de te l' inonder.
il mouille comme un mec, sa bite glisse dans ton trou, t
a petite chatte aime sentir son gros membre épais et dur,
il t écarte bien le trou, il le dilate, doucement mais fermement,
il te donne des claques sur les fesses.
Tu gémis comme une bonne chiennasse.
il te donne ensuite des coups de bassin de plus ne plus forts,
il a rentré la moitié de sa teub dans ton cul, ,
tu bandes comme une pute, tu aimes ça,
tu pousses ton cul contre sa queue pour en prendre encore plus,
tu veux l avaler toute entière ,
tu veux sentir ses bonnes boules taper contre ton cul,
tu veux qu' il te la mette à fond.
Tu écartes complètement tes fesses,
tu t aides avec tes mains pour bien lui ouvrir le passage,
il te frappe les fesses gentiment, et s enfonce complètement,
Tu pousses un cri, il crie aussi,
"Putain, mec, c est trop bon, vas y, tu peux y aller - sautes-moi comme une pute, baises moi putain !!"
Ok mec !!
il te baise, il te saute comme une chienne, il te défonce le cul,
tu sens sa bite, énorme , aller et venir, il se branle avec ton cul,
à chaque passage, il est plus violent, plus sec,
il te donne maintenant de grands coups de bite bien forts - comme un vrai MEC
il la ressort complètement et la re-rentre aussitôt !
il te défonce de plus en plus fort, de plus en plus rapide
il est à bloc, toi aussi - tu te donnes à lui !
tu te fais sauter par la plus grosse queue de la cité, et tu aimes ça !
il continue à te limer le cul comme si tu étais sa pute
soudain, il se retire violemment, te retourne la tete et te présente sa matraque devant la gueule.
Tu ouvres ta bouche pour avaler son gland.
il passe sa main sur tes couilles pour les caresser,
tu n en peux plus, tu n arrives pas a te retenir,
tu décharges ton sperme direct !
tu craches tout ton jus contre le mur, tu envoies tout !!
Tu as envie de lécher le mur ou tu as craché, mais t' as pas le temps :
Il t attrape le visage et te présente son énorme sexe rose,
sa grosse queue bien épaisse - qu il tenait à deux mains pour la branler -
tu la prends dans la bouche et l enfonce au fond de ta gorge,
Putain, il se met à gémir super fort, à râler comme un vrai mal !
" ahhhhhhhh! ",
tu sens la sève monter le long de sa queue, tu sens qu il va cracher, ça y est, il te gicle direct dans le fond de la gueule, il te tapisse le fond de la gorge avec son jus.
"HUMMMMHH! « c est cho, son jus est aussi doux que sa bite.
Tu te prends tout dans la bouche, il n arrête pas de jouir, des longues giclées de jute bien épaisse te remplissent la gueule.
Il se vide les boules à fond.
Il n'avais pas du jouir depuis des semaines tellement il crache
Il t attrape par le menton, tu te relève, la bouche pleine,
tu commences à avaler son sperme, tu aimes ça,
mais il t attrape le menton, et te bouffe la bouche.
Vous vous embrassez, vos langues se mélangent et il avale aussi son sperme.
Il te bouffe la bouche, les lèvres, tendrement, fermement, comme un vrai mec viril.

Ce bel étalon, ce bel hétero que tu avais repéré depuis longtemps, ce mec sur lequel tu avais fantasmé au lycée… tu n aurai jamais pensé qu' un jour il te défoncerait à ce point, que ce serait si bon, et qu il aimerait tellement ça !

Mais chut, personne ne le sait, c est un secret entre vous deux. Enfin, tous les deux et moi qui vous ai suivis, qui vous ai maté dans l ombre en me branlant.. J aurai aimé y participer mais je n ai pas osé ...

Par mec_cité - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 18 mai 7 18 /05 /Mai 00:43

 

Je vous ai déjà présenté dans ce blog Andrej Koymasky, romancier, scénariste génial de Jean Daniel Cadinot. Le voilà qui décrit les souffrances que l'on éprouve dans la jalousie...

Vous pourrez découvrir toute la bibliothèque gay abondante et variée de Andrej Koymasky en tapant son nom dans les moteurs de recherche...

Il y aura dans la présente histoire une "happy end"...due en partie à une grand-mère extraordinaire.  Souhaitons que tous les parents et ascendants aient cette bonté et cette lucidité à l'égard des "petits". A lire l'actualité il y a des progrès, mais il y a encore beaucoup de travail !

Résumé :  

Dans cette nouvelle de Andrej  Koymasky, en Italie, les héros, Petru et Fane, jeunes immigrés roumains  ont atterri dans un gentil hôtel de passe où ils sont employés. Lors de leur arrivée à Milan, ils ont été forcés de se prostituer.  Maintenant, privés de relations sexuelles, ils sont amants  "par hygiène"et non par amour.

 A la suite de vicissitudes familiales, le jeune Mario est devenu le gérant de l'hôtel. Pétru, sans se déclarer, est tombé amoureux de Mario encore mineur. Censé être hétéro Mario est plein d'attentions pour Pétru...ce qui ne prouve rien et sans doute le jeune homme n'est-il pas prêt à "sauter le pas"...pourtant....

      Petru et son camarade Fane 

Petru, même s'il espérait plus, se contentait de l'affection que Mario ne manquait pas de lui témoigner. Il aimait ce garçon qu'il avait vu grandir, il l'aimait comme un frère, comme un vrai ami, même s'il aurait voulu l'aimer comme un amant.

Mais il prenait grand soin de ne pas le laisser le deviner, car il craignait que si Mario s'en doute avant d'être prêt, leur entente merveilleuse de tous les jours serait ruinée. Souvent, bien qu'il fasse encore de temps en temps l'amour avec Fane, Petru se masturbait, les yeux fermés, en rêvant qu'il était avec Mario.

Puis arriva quelque chose qui inquiéta fort Petru. Il réalisa qu'un de leurs clients habituels, qui venait à chaque fois avec un autre garçon, s'était mis à faire les yeux doux à Mario. Rien de vraiment explicite, mais Petru voyait bien que ce type était "trop" gentil avec Mario et il était de plus en plus sûr de là où il voulait en venir.

 

 

Ce qui rendit Petru vraiment anxieux fut l'impression que peu à peu Mario cédait à cette cour assidue, lui aussi devenait de plus en plus gentil avec ce client. Les sourires de plus en plus chaleureux qu'ils échangeaient en se rencontrant, en parlant étaient autant de coups de poignard dans le cœur de Petru.

 

il monta avec lui à l'étage...

 

Et quand un jour ce client arriva seul et que Mario ne l'enregistra pas mais demanda à Petru de prendre la réception, qu'il monta avec lui à l'étage... Petru se sentit terriblement triste et jaloux, des larmes coulèrent de ses yeux et il fut incapable de les retenir.

Fane passa par le hall, il remarqua l'expression de son ami et il vit qu'il pleurait.

"Eh, Petru... que t'arrive-t-il ?"

"Rien..."

"Ah oui, et c'est quoi, ces larmes ?" lui demanda-t-il, inquiet.

"Rien, j'ai pris quelque chose dans l'œil, c'est tout..."

"Dans les deux yeux ?" lui demanda Fane, incrédule.

Un peu plus tard, Mario et cet homme descendirent l'escalier. Ils allèrent au bar où Mario lui offrit un verre. Ils étaient assis ensemble, côte à côte, ils discutaient amicalement. Petru les regardait, il n'arrivait pas à détourner les yeux d'eux.

Fane vit le regard de son ami et il y lut une profonde détresse que leur conversation avait précédemment en grande partie dissipée, il devina alors de la vraie raison des larmes de son ami.

"Mario et ce type... sont allés baiser, n'est-ce pas ?" lui demanda-t-il à voix basse, bien qu'il lui parle roumain et que personne ne puisse les comprendre.

Petru le regarda et Fane vit un éclair de douleur dans les yeux de son ami qui se contenta d'acquiescer.

 

 

"Et toi... toi tu es... amoureux de Mario." dit Fane encore plus bas, parce qu'il comprenait qu'il s'engageait sur un sujet vraiment intime, très personnel.

"Non..." gémit Petru, mais Fane comprit bien que c'était un oui.

"J'ignorais que... que Mario aussi... était comme nous..."

"Peut-être... peut-être que lui-même l'ignorait, du moins jusqu'à il y a quelques jours... Je ne sais pas..."

"Et toi maintenant... tu es jaloux de cet homme..."

"Non... Il n'y a rien entre Mario et moi..."

"Quel rapport ? Tu es amoureux de lui... cet homme est ton rival. Mais si tu es amoureux de Mario, pourquoi ne le lui as-tu jamais fait comprendre ?

"Peut-être... par peur qu'il me dise non..."

"Mais comme ça, n'est-ce pas comme s'il t'avait déjà dit non ? Mario sait pour toi... il connaît toute ton histoire, non ?"

"Mais il ignore si je suis pédé ou pas. Il sait juste qu'on m'a obligé à me prostituer avec des hommes. Et c'est peut-être pour ça... parce que j'ai été tapin... que je ne l'intéresse pas dans ce sens."

"Mais celui avec qui il est maintenant... qu'a-t-il de mieux que toi ?" lui demanda Fane.

"De mieux que moi ? mais que Mario est allé avec lui, pas avec moi. Il est riche, élégant et cultivé... ce n'est pas un immigré quelconque comme nous."

Mario et cet homme se levèrent et allèrent vers l'entrée. Ils se dirent au revoir et l'homme partit. Mario revint au comptoir et quand Petru vit son visage radieux, souriant, il sentit encore un coup de poignard dans le cœur.

Les jours suivants, Petru vit cet homme revenir, mais sans garçon avec lui. A l'évidence il revenait pour Mario. Parfois ils prenaient une chambre, mais d'autres fois ils restaient juste à bavarder au bar. Malgré la souffrance qu'elle lui valait, cette situation avait au moins un côté positif : Mario semblait avoir retrouvé une certaine sérénité...

 

 

Par claudio - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 18 mai 7 18 /05 /Mai 00:31

Une grand- mère exemplaire

[...] Peu à peu, sans cesser de marcher comme hôtel de passe, il se forma au bar et à la salle à manger, dont les murs avaient été enlevés pour en faire un espace unique, une sorte de cercle assez élitiste, sans nom ni licence, qui n'accueillait qu'une clientèle choisie qui pouvait se permettre de fréquenter l'endroit.

 

 

Mario se retrouva donc à gérer quelque chose qu'il n'aurait même pas su qualifier, mais où sa présence semblait essentielle, autant parce qu'il connaissait tout le monde qu'à cause de sa bonne humeur et de sa sympathie.

Certains de ces hommes auraient fait les pieds au mur pour le mettre dans leur lit, Petru n'en doutait pas, même si aucun n'avait osé faire plus que des allusions voilées que Mario avait habilement su éluder. Et au plus grand malheur de Petru, Mario continuait à s'isoler de temps en temps avec cet homme.

L'argent coulait à flots, à présent, et le revenu des chambres était devenu une part marginale des recettes.

Mario put donc rembourser à madame Becarelli tout ce qu'elle lui avait prêté pour l'opération de sa mère et, puisque madame Adèle ne se remettait pas de l'intervention et que son état ne s'améliorait pas, il arriva à la faire transférer dans une bonne clinique spécialisée en maladies chroniques sur les collines de Vimercate. Madame Adèle n'était désormais pas plus utile à elle qu'aux autres, elle n'était plus qu'un fardeau.

Mais Petru voyait bien que Mario n'était pas vraiment serein, on aurait même dit que sa jeunesse s'étiolait prématurément. Bien qu'il soit le cœur de ce club informel, le jeune homme semblait de plus en plus seul et fatigué.

Le fait est que Mario, et Petru le voyait de plus en plus clairement, était exploité par les hôtes du club qui l'obligeaient à en être l'animateur, mais ça lui permettait de payer la clinique de sa mère. Il était aussi exploité par les policiers et les inspecteurs des impôts qui fermaient l'œil sur le fait qu'il n'avait pas les licences nécessaires en échange de l'usage gratuit des chambres ou de sollicitations régaliennes... enfin de pots de vin. Il était exploité par sa mère qui ne lui laissait pas un instant de répit, qui aurait voulu le voir tous les jours et qui le submergeait, quand il allait la voir, de lamentations sur tout et tout le monde.

Petru réalisa qu'il était, avec grand-mère Félicité, le seul vrai soutien de Mario, son seul vrai ami... et il continua à l'aimer en silence.

Un jour, alors que Petru était dans le réduit derrière la réception à faire les comptes du mois, il vit à travers le miroir sans tain qui donnait sur le comptoir deux sales types louches.

"Monsieur Mario Vizzini, c'est bien ça ?" demanda l'un d'eux.

"Oui..."

"Pas mal, cet hôtel... nous avons entendu dire que depuis quelque temps... il rapporte beaucoup..."

"Excusez-moi, mais... vous désirez ?" demanda Mario, tendu.

"Vous êtes seul ?" demanda l'homme en guise de réponse.

"Oui..." mentit Mario.

 

Petru sentit quelque chose de très étrange, de... dangereux, alors il se leva et s'approcha en silence de la glace sans tain pour mieux voir ce qui se passait.

"Il serait très dommage que... qu'il y ait un incendie... Vous ne trouvez pas ? Nous pourrions vous faire une assurance contre tout... incident, en échange d'un pourcentage honnête de vos recettes..."

Petru sentit très clairement la tension de Mario, bien qu'il le voit de dos, et il se demanda s'il devait sortir pour lui prêter main forte et se tenir à ses côté.

"Nous sommes déjà assurés à la Générale, nous n'avons besoin de rien d'autre." répondit sèchement Mario.

"Oh mais si, tu as besoin d'autre chose..." dit l'homme avec une grimace en passant soudain au tu.

Mario tremblait, pas de peur, mais de rage. Le regard incendiaire, il répondit : "Tout ce que j'ai à perdre c'est ma famille et l'hôtel, mon travail, quoi. Et si vous vous hasardez à toucher l'un ou l'autre, je vous jure que... je vous jure que je vous le ferai payer et..." dit-il en sortant le pistolet du tiroir et en le brandissant, "je n'hésiterai pas à vous tuer, même si ça doit me valoir perpète, si je vous vois encore ne serait-ce que passer dans le coin. J'ai été assez clair ? Maintenant, hors d'ici... et au pas de course !"

Petru se montra alors à la porte et dit : "De toute façon j'ai tout filmé ! Allez, cassez-vous !"

Les deux hommes partirent sans un mot, en grande hâte.

"Dommage que tu n'aies pas pu le faire vraiment..." lui dit Mario, encore tendu.

"Mais ils n'en savent rien. Et de toute façon je les ai bien regardés et s'il le faut je suis prêt à les décrire et à témoigner qu'ils t'ont menacé. Espérons qu'ils ne se montrent plus."

"Merci d'être venu..."

"Je n'allais quand même pas te laisser seul ! Mais tu ne devrais pas les dénoncer ?"

"Je ne sais pas. Je ne les avais jamais vus, avant, il faudrait que je porte plainte contre X. Voyons s'ils essaient encore..."

Peut-être ces deux hommes n'étaient-ils que deux balourds qui ne s'attendaient pas à une réaction aussi décidée, ou étaient-ce les connaissances intéressantes que Mario avait fait au club, mais non seulement il arriva à ne pas céder au racket de ces malfrats, mais il put par la suite s'affranchir des flics et des inspecteurs des impôts. Petru était presque sûr que "monsieur le juge", toujours l'un des clients les plus fidèles des soirées au bar de l'hôtel, devait avoir bougé les bons pions.

Le jour, Petru faisait tourner l'hôtel, même si les couples se faisaient de plus en plus rares, pendant que Mario allait à Vimercate s'occuper de sa mère malade. Puis, le soir et la nuit, jusqu'au petit matin, Mario animait le salon, avec l'aide de Fane qui tenait le bar, et il entretenait cette étrange congrégation de riches célibataires qui ne cherchaient que très rarement du sexe mais seulement de la compagnie et du contact humain.

Un matin, Fane dormait et Mario venait de partir voir sa mère, grand-mère Félicité sortit de la cuisine en essuyant ses mains sur son tablier blanc et elle alla au comptoir de la réception où Petru lisait un roman policier.

"Il y a des clients, en-haut ?" demanda-t-elle.

"Juste quatre couples."

"Oui, pas beaucoup... Laisse-moi m'asseoir un moment avec toi, qu'on bavarde un peu..." dit-elle en faisant le tour du comptoir, et elle prit la chaise libre et s'y assit. "Dis-moi, Petru, tu arrives à garder patience ?" lui demanda-t-elle à voix basse.

Le jeune homme ferma son policier et le posa, il avait la vague impression de se douter à quoi la vieille dame faisait référence et que la conversation ne serait pas courte.

"Oui... oui, j'y arrive..."

"Et ce n'est pas trop dur ?"

"Non..."

"... ce n'est pas trop dur de voir que Mario... a ouvert les yeux mais... ne t'a pas vu ?"

Petru la regarda, émerveillé : "Comment vous faites, grand-mère Félicité, pour tout voir tout en étant toujours à la cuisine ?"

 

 

"Les femmes de chambre... voient ce que je ne peux pas voir. Tu penses bien qu'elles sont tout de suite venu tout me raconter... avec plein de détails."

"Ah..."

"Quoi qu'il en soit... d'après moi... ça ne durera pas, avec ce type, et quand ce sera fini... Mario aura besoin que tu sois près de lui, pour l'aider à surmonter sa déception..."

"Bien sûr que je serai près de lui, mais... qu'est-ce qui vous fait dire que ça va finir ? Comment pouvez-vous en être sûre ?"

"Je ne connais pas cet homme, mais je connais très bien mon petit fils. Si tout allait bien, s'il avait trouvé le vrai amour... je m'en serais aperçue, même s'il ne me dit rien. Toi par contre... je sais que tu saurais lui donner le vrai amour. Je sais qu'avec toi il pourrait être heureux."

"Comme je voudrais que vous disiez vrai, grand-mère Félicité..."

"Je comprends que cette période... pour toi... le savoir avec... cet homme... est loin d'être facile. Mais tu as quelques avantages sur ce type."

"Moi, des avantages ? Mais lesquels ?"

"Tu as toujours été là, tu connais Mario mieux que lui... et surtout toi tu l'aimes." dit la vieille dame en mettant l'accent sur le "toi".

"Mais si Mario ne devait jamais m'aimer ? Ne jamais plus m'aimer qu'on ne peut aimer un frère ou un ami ?"

"Et toi, tu pourrais arrêter de l'aimer ?"

"Non. Non, je ne pourrais pas."

"Et bien alors... si ce que tu crains devait arriver... continue à l'aimer et à souffrir, mon pauvre Petru."

"Peut-être devrais-je avoir le courage de lui dire ce que je ressens pour lui..."

"Maintenant qu'il est avec cet homme... il n'est peut-être pas prêt à t'apprécier à ta juste valeur. Mario croit à l'évidence avoir trouvé ce qu'il lui fallait."

"Alors j'aurais dû essayer moi, avant que ce type n'arrive."

"Peut-être... mais peut-être pas. Va savoir ce que ce type est arrivé à éveiller en lui... Tu aurais peut-être aussi pu y arriver. Mais de toute façon, il en a été ainsi."

"Pourquoi, grand-mère Félicité, tout est toujours si compliqué ?"

"Parce qu'il faut être prêts tous les deux. Par chance, toi tu continues à être prêt pour lui, tu n'as qu'à attendre... et espérer qu'il réalise être prêt pour toi. D'après moi... ça arrivera tôt ou tard. Du moins je l'espère de tout mon cœur, autant pour mon Mario que pour toi."

"Je n'ai jamais connu mes grand-mères... mais j'aurais aimé qu'elles soient comme vous."

"Et moi je suis contente que tu aies arrêté de m'appeler madame pour me dire grand-mère."

"Je ne vous en ai même pas demandé la permission... ça m'est venu tout seul de vous appeler comme ça, comme Mario vous appelle."

Félicité sourit : "Les choses qui viennent toutes seules sont les meilleures. Bon, il faut que je retourne à la cuisine. Je dois repasser vos uniformes pour que vous puissiez vous changer. Tu sais que Mario tient à ce que vous soyez toujours impeccables. Ce n'est pas parce que c'est devenu un hôtel de passes qu'il faut négliger l'apparence."

"Vous, grand-mère Félicité, vous ne vous êtes jamais remise que madame Adèle ait décidé d'accepter la proposition de madame Becarelli, n'est-ce pas ?"

"Et bien... que veux tu que je dise... je suis de la vieille école..."

"Pas tellement, si vous avez accepté mon amour pour Mario et si vous espérez qu'on finisse ensemble." dit Petru en souriant.

"Toute la différence est là. S'il ne venait ici que des couples qui s'aiment mais n'ont pas d'endroit... ça ne me poserait aucun problème. C'est vrai. Ce qui me déplait c'est que ces filles... et ces garçons, font ça pour de l'argent, parce qu'ils y sont forcés. Si quelqu'un devrait comprendre ça, Petru, c'est bien toi."

"Certaines filles font ça pour l'argent mais sans y être obligées... elles ont des parents riches et l'argent ne leur manque pas... Mais elles en veulent plus... Et puis... elles disent que ça les amuse..." lui fit valoir Petru.

"Toutefois elles ne le font pas par amour, ça ne change rien !"

"Mais c'est mal de s'amuser ?" lui demanda le jeune homme.

"S'amuser n'est pas mal, mais... Je suis vieille mais faire commerce du sexe... je ne sais pas... ça me semble laid. Se faire utiliser par un homme juste pour... Surtout quand on n'est pas obligée... Si j'avais une fille qui fasse ça, je crois que j'en mourrais de chagrin."

"Peut-être que pour certaines filles de bonne famille l'argent n'est qu'une excuse..."

"Une excuse, comment ça ?"

"Une fille qui aime coucher avec n'importe qui, on la traite de putain, non ? Alors... dire qu'elle fait la putain juste pour l'argent... lui permet de coucher avec qui elle veut... Enfin, je parle de celles qui ne sont pas obligées."

"Je n'avais jamais pensé à ça, Petru. Peut-être que tu as raison. Il faut que j'y réfléchisse... Mais maintenant il faut vraiment que je retourne travailler."

Petru se demandait comment il se faisait que madame Félicité, qui avait toujours été très taciturne, aime tant parler avec lui. Il comprenait que ses relations avec madame Adèle ne soient pas si bonnes... Belle-fille et belle-mère s'entendent rarement à merveille. Mais il savait qu'elle aimait bien Mario, pourtant elle semblait parler plus volontiers, plus longtemps, avec lui qu'avec son petit-fils.

Quoi qu'il en soit, Petru était heureux que la vieille dame ait tout compris de son amour pour Mario et qu'elle l'approuve, mieux, qu'elle espère qu'ils finissent ensemble. Et pouvoir en parler avec elle était magnifique, parce que celui qui aime a besoin de parler à quelqu'un de son amour, surtout quand il n'est pas partagé.

Rares sont les gens capables de tout garder enfermé dans leur cœur sans risquer qu'il n'éclate.

 

Par claudio - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 15 mai 4 15 /05 /Mai 15:23

Envoi de gigolo2     

Et j'avoue avoir été jaloux- à tort - de son affectation et

d'avoir phantasmé pendant des semaines sur sa nouvelle chambrée à la caserne...

Au centre d'instruction de l'armée, nous étions deux amis que tout rapprochait (culture, études, région) sauf qu'il était pur hétéro et moi "attiré par les garçons". Nos lits étaient côte à côte dans une chambrée d'une quinzaine de lits.Quelle intimité ! Il n'empêche que j'ai vu plusieurs fois ses couvertures remuer alors que, sans aucun doute, il se masturbait. J'aurais bien voulu partager avec lui autre chose que les lectures, mais c'étaitvéritablement un très bon compagnon de misère...car, l'un comme l'autre on détestait l'armée.

Alain se faisait punir par des corvées car il laissait voir son animosité, son mauvais vouloir. Son idée c'était qu'on lui foute la paix. Je n'y croyais pas et je le dissuadais de se faire "mal voir".

Moi donc je me faisais tout petit et espérais que ma sagesse inspire à un gradé de me filer une planque pour finir mon service.    

Malgré ma présence amicale, notre connivence, notre entraide, Alain en eut marredes gradés de la section, des camarades soldats qui le faisaient chier et il alla voir le capitaine de la compagnie pour être muté de section.

Il obtint satisfaction en ce sens qu'il fut muté. Mais l'armée est un sale milieu, vindicatif s'il en est...

 

Nous avions remarqué, lors des rapports sur la place des armes une section dont tous les soldats étaient de couleur. Réunionnais ils étaient injustement maltraités par leur chef de section, un gendarme en guêtres de cuir noires, qui les traitait à coups d'aboiements et de coups de rangers au cul. Ca nous révoltait.

 

Vous avez cerftainement deviné que c'est précisément dans cette section qu'Alain "atterrrit". Une vengeance sans aucun doute. Après la journée, dans la chambrée c'était un bordel sans nom où la lecture ni même le repos étaient concevables.

Opprimés dans la journée, ces jeunes à l'hygiène discutable, retrouvaient une certaine liberté. Le paradis des îles en quelque sorte !

Au réfectoire commun, Alain me racontait qu'il devait se tenir à l'écart : ces jeunes s'enculaient à qui mieux mieux, et l'invitaient constamment à partager leurs jeux.

Outré, Alain n'aimait pas décrire...

Bien sûr, d'un certain point de vue,  je n'aurais pas aimé subir une telle sanction équivalant à un bannissement, mais d'un autre point de vue, privé de relations sexuelles depuis assez longtemps, les histoires de culs de ces jeunes me rendaient fou de désir...jusqu'à me sentir jaloux de la sanction qu'avait subie mon ami Alain . 

Au fond moi, contrairement à Alain, je crains que je me serais perdu corps et âme tant je me serais donné...et là alors, j'aurais subi l'ostracisme à fond...¤

----------------------------------------------------------------------------------------------------

 

  Ils sont beaux, quelle connerie de les mépriser.C'était (??? 1) le racisme dans l'armée, ouvertement.  

Copyright Megasmedia-Verner Degray 2013

  (1) pourquoi employer le passé ? je ne sais pas 

  bulletsnogun: 

 

David Meitai  

 

          encore, veux-tu ?  lol  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ah, oui, je pense que je me serais donné à donf !  

For I am just a rigolo, just a rigolo,just a rigolo,...¤  gigolo2

Par GIGOLO2 - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 13 mai 2 13 /05 /Mai 15:35

JALOUSIES

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Souvent, j'ai été jaloux de voir dans le Marais, des mecs s 'embrasser amoureusement L’amour qu'ils semblaient avoir l’un pour l'autre me faisait mal, parce que moi, il n'y avait personne dans ma vie depuis que Tony, mon premier "mari" m'avait laissé. Je n'y croyais plus, à l'amour, et en même temps, j'en crevais d'en être exclu. Eh bien voilà, ça m'est arrivé à moi aussi, comme une revanche sur la douleur que j'avais connue et les longues nuits à baiser avec des anonymes sans aller plus loin que le prénom, et encore. J'ai fait la rencontre de Stéphane.

Stéphane est plus âgé que moi, il a trente-six ans, sept ans de plus exactement. II n'est pas très beau, mais moi, je l'ai trouvé tout de suite magnifique. La première fois que je l’ai vu, c’était dans un baiseroom parisien. Tout comme moi. j'ai eu l'impression qu’il s'emmerdait avec sa boîte de bière à la main. Ce que j'ai aimé chez lui, c'est qu’il ne portait aucune tenue ostentatoire, typique des lieux, genre cuir, treillis pourri, harnais, et j'en passe. Non, jean, tee-shirt blanc sans marque. Et puis, en l’observant attentivement sans qu’il s'en aperçoive, j’ai vu que ce n’était pas un poseur : il ne jouait aucun rôle. Il était "naturellement" viril sans aucune affectation. Grand, 1m90, soit dix de mieux que moi, cheveux pas trop courts, épais, bruns et très ondulés, coiffés en pétard. Impossible ce soir-là de voir la couleur de ses yeux. Par la suite, je vis qu’ils étaient presque noirs. Et puis du poil qui passait par l'encolure du tee-shirt, qui ouatait ses avant-bras.

Il allait partir. Mentalement, j'ai crié "non !" A-t-il entendu ? Stéphane m'a vu, il a posé sa boîte de bière sur un rebord et m'a longuement regardé. Puis il s'est enfoncé dans la backroom. Dix secondes plus tard, j'en faisais autant. C’est drôle, mais mon cœur a battu quand je l'ai retrouvé dans la pénombre. Là, on a commencé à faire ce qu’on fait d'habitude dans ces lieux-là : je lui ai massé la braguette, il a fait de même. Puis c 'est lui qui m'a roulé une pelle magistrale, à la fois dominatrice et tendre. Je triquais à mort. II m’a sorti ma queue et a commencé à la branler très doucement. On s’est sucés, l'un après l’autre, on n'arrêtait pas de s'embrasser et de se caresser. La joute n’a pas duré très longtemps. Il a joui dans ma bouche, et j’ai tout avalé. Moi, j'ai giclé par terre pendant qu'il me pinçait les tétons. Ça aurait pu en rester là.

Mais cette nuit-là, il l'a passée dans mes bras, dans mon lit. On a baisé comme des fous, on s’est endormis au petit matin. C’était le 16 juin 2002. Depuis, tout en continuant à habiter chacun chez soi, on ne se quitte plus. Je suis complètement amoureux de Stéphane ; tout me fait craquer en lui. Et je me rappellerai toute ma vie la fois où il m'a fougueusement embrassé au carrefour au coin de l’Open Café. Je suis monté au ciel à la vitesse de l’éclair, et quelques mecs de la terrasse ont applaudi. J’exultais littéralement

 

 

 

Par STEPHANE0 - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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