CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES

Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 17:32

  la stratégie d'un choix ouvert pour déterminer quelqu'un qui ne se décide pas ....essaye tu verras !  

dadpigslut: “slaveexchangenola: “ Kyle had always hated his cousin. Lucas had always been a bully and had made Kyle’s life miserable from a very early age. Every time Kyle heard his aunt and uncle were coming for the weekend, he would find ways to...

     si tu te la prends aujourd'hui je te jure que je t'embêterai plus jamais !

     OBTENIR LE CONSENTEMENT  Kyle avait toujours détesté son cousin. Lucas avait toujours été un tyran et lui avait pourri la vie dès son plus jeune âge. Chaque fois que Kyle entendait que sa tante et son oncle projetaient de venir pour le week-end, il trouvait des moyens de sortir de la maison pour se libérer de la torture de Lucas. Cela faisait quatre ans la dernière fois qu'il avait dû réellement vivre dans la même maison que Lucas. Maintenant c'était différent, il aurait dû pouvoir mais ses parents ne l'autorisaient tout simplement pas.


Étant beaucoup plus âgé que la dernière fois qu'ils s'étaient rencontrés, Lucas avait découvert les joies de sa queue et de la bouche et des culs d'un autre garçon. Il a également découvert qu'il aimait le sexe quand l'autre garçon qu'il forçait n'avait pas le choix.
 

Quand les parents furent tous partis pour une nuit en ville, Lucas se glissa dans la chambre de son cousin. Tombant sur Kyle, il le maintaint et lui mit la main sur la bouche. "Ne crois pas que tu vas m'échapper cette fois," dit Lucas d'une voix sensiblement plus autoritaire et menaçante que Kyle l'attendait. Lucas commença à se tourner hanches contre fesses du garçon. "J'ai trouvé de nouveaux jeux pour nous", a déclaré Lucas. "Laisse-moi te dire comment ça marche. Je vais baisser ton pantalon et je vais fourrer ma queue si loin dans ton cul que tu la sentiras frapper tes amygdales. Le jeu consiste à savoir combien de fois tu pourras répéter "ça me plaît" avant que je ne t'oblige à commencer à me supplier d'arrêter. Juste pour que ce soit plus intéressant, si tu peux supporter de le faire jusqu'à ce que je te largue ma charge au fond de ton trou, je te promets de ne plus jamais essayer de te baiser. Mais si tu n'y arrives pas, je te baiserai au moins trois fois avant de partir. Par ce moyen d'un soi disant choix, Lucas s'était assuré du consentement de Kyle car ce dernier, sans se méfier hocha la tête pour indiquer, ok,  qu'il tiendrait. Il sentit Lucas, de ses mains,faire glisser son pantalon  et, comme Kyle avait accepté, attirer les hanches du garçon les fesses exposées à la bite dure de Lucas.


Kyle fit de son mieux pour réprimer le cri qui montait dans sa gorge alors que la queue du grand se frayait un chemin dans son cul vierge. Lucas savait parfaitement qu'il faisait mal au garçon. Il sourit simplement alors qu'il poussait sa bite plus loin dans le jeune garçon alors que ce dernier retenait ses larmes. "Viens sur la bite, ça ne te fera pas mal. Pas encore, attends. Kyle essaya de supporter son viol de son mieux, mais il aurait dû savoir mieux le faire...et, sur un coup de reins plus violent, il hurla. LE PACTE DU SILENCE ETAIT ROMPU.  Lucas était un sadique. Il n'y avait eu aucun moyen pour Kyle de passer cette première fois sans montrer sa douleur, et, même s'il y avait réussi, Lucas n'aurait jamais tenu sa promesse et ainsi il y passa encore trois fois pendant le séjour de Lucas et plusieurs fois à chaque nouvelle visite. Mais vous savez ce que disent les psy : le plaisir naît de la répétition. Ainsi malgré lui il y prit gôut et son orientation sexuelle en fut changée alors que Lucas continua longtemps à se persuader qu'il lui faisait mal. Un mal pour un bien : Lucas ne pouvait savoir à quel point il donnait du plaisir à son cousin. Et il valait mieux qu'il ne le sût pas  car le sadique Lucas n'aurait pas apprécié de plaire....

 


commentaire :

Mon cher Claudio, Jonas a bien raison avec cette histoire de CHOIX OUVERT  et je l'ai fait plusieurs fois :  dans mon sac j'ai toujours plusieurs godes differents les uns des autres. Quand, sur la drague ou ailleurs,  je veux goder quelqu'un d'hésitant, indécis à se faire goder voire enculer, je lui en montre trois : un gros, un moyen, un petit. Je les lui fais palper, en  éprouver la texture, la souplesse, la douceur au toucher etc...et je lui dis : "lequel des trois choisis-tu ? "   Ne vous étonnez pas qu'il en garde un en main pour que vous le lui mettiez. Ne vous étonnez pas non plus qu'il ait retenu le plus petit,surtout s'il ne l'a jamais fait...et c'est GAGNE ! Si vous ne lui aviez pas donné ce choix il aurait continué dans son entêtement à ne pas vouloir être pénétré.

  Image associée  Soyez content de ce succès !  Il est loin d'être dit qu'après il ne voudra pas en essayer un autre et, qui sait, votre bite !  (amicalement herald et merci pour ton blog si excitant ! )   

 

 

Mets-toi debout, maintenant, je voudrais te goûter.

Claude m’aide un peu brusquement à me lever et me voilà debout face à lui.

 

  • — Déshabille-toi ! me dit-il sèchement, tout en attrapant son verre de vin.

 

J’enlève donc doucement mes quelques vêtements. Il me dévore des yeux. J’ai cette sensation bizarre de n’être pas plus qu’un morceau de viande à ses yeux, c’est embarrassant mais très excitant à la fois. Me voilà nu comme un ver face à mon dominateur. Il ne me regarde pas en parlant :

 

  • — En voilà une jolie bite, et tu bandes déjà, mon salaud ! Je savais que tu aimerais me sucer. À moi, maintenant.

 

Claude pose son verre, se met à genoux face à moi et gobe ma queue d’un seul coup. Il suce vraiment très bien, je gémis déjà sous ses coups de langue, mon plaisir monte très vite, la fellation continue un peu et je ne tarde pas à exploser. Claude s’est dégagé juste avant et me fait éjaculer dans sa main. Mon sperme fourni en abondance coule entre ses doigts, mais il en garde un maximum dans le creux de son immense main.

 

  • — Tu as bien fait de juter autant, ça va pouvoir me servir de lubrifiant, me dit-il en souriant.
  • — Comment ça ?
  • — Eh bien pour te baiser, bien sûr !
  • — Je pensais attendre le retour de Marc pour aller plus loin ! En fait, on en a déjà fait beaucoup, là.
  • — Ecoute, dans tous les cas, je vais te baiser ce soir, avec Marc. Je veux t’essayer avant, pour connaître un peu ton corps et tes réactions. Tu dois être gentil avec moi et je n’aime pas qu’on me dise non. Alors va dans la chambre et attends. Je prends une capote et j’arrive.

 

Claude est très directif. Comme l’objet sexuel qu’il m’a fait devenir en si peu de temps, je fais ce qu’il me dit ou plutôt m’ordonne.

Je suis assis sur le lit, quand Claude arrive, complètement nu, une petite sacoche à la main.

 

  • — C’est toutes tes capotes, ça ?
  • — Tais-toi ! Pourquoi es-tu assis ? Mets-toi à quatre pattes tout de suite, montre-moi ton trou de balle.

 

Je m’exécute dans le plus grand silence, j’espère qu’il ne sera pas trop brutal, quand même, mon petit cul a besoin de douceur aussi.

Claude me regarde en cette position de totale soumission. Il a toujours mon sperme dans la main. À l’aide de deux doigts, il en étale sur mon anus. Très vite un doigt me pénètre, puis un deuxième. J’ai affaire à un expert, mon trou est bien lubrifié, dilaté progressivement et j’ai déjà envie d’y sentir cette belle bite noire, même si sa largeur me fait un peu peur.

Claude se penche au-dessus de moi, en enfonçant ses doigts bien au fond de mon cul.

 

  • — Ça y est, ma chérie, tu es prête à me recevoir, me dit-il à l’oreille.

 

Je suis comme une poupée gonflable pour lui. À aucun moment il ne se soucie de mon avis, il me baise comme il en a envie et je dois me laisser faire.

Claude se redresse, sort ses doigts de mon intimité et attrape une capote. Je reste là, le visage contre le lit, les bras le long du corps, de mon anus coule mon propre sperme. Je me sens flotter, comme dans un monde parallèle. J’attends mon sort, les fesses en l’air, pendant que Claude enfile une capote.

 

  • — Vas-y doucement, lui dis-je.
  • — Non, je ferai comme j’ai envie et tu vas aimer ça, c’est compris ?

 

Je ne réponds pas et m’attends à le recevoir brutalement, d’un instant à l’autre. À ma grande surprise, Claude s’approche assez doucement de moi, pose son gland sur mon trou et le rentre lentement par mon anus. Je suis un peu soulagé, le gland me paraît énorme, mais il arrive à entrer complètement, sans vraie douleur. Mon plaisir monte doucement. Quand Claude pousse d’un coup sec sa queue dans mes entrailles, j’en ai le souffle coupé. En moi jusqu’à la garde, il commence des va-et-vient de plus en plus prononcés. Que c’est bon ! Sa bite énorme me remplit complètement, ses testicules battent les miens en rythme et je hurle mon plaisir à chaque coup de reins.

 

Claude me tient fermement par les hanches. Je n’en peux plus, je me redresse sur mes bras pour sentir encore mieux sa bite, quand il m’attrape les cheveux et me tire en arrière contre lui. Mes bras ne touchent plus le lit, Claude passe son autre main sous mon ventre pour me maintenir dans cette position. Sa bouche est maintenant contre mon oreille.

 

  • — T’es vraiment un bon coup, toi. Là, c’est juste pour t’essayer, mais tu vas voir ce soir, ce que je vais lui mettre, à ton joli petit cul.

 

Je suis une poupée de chiffons entre ses mains, il me place comme il veut ; car en plus d’être plus grand et plus fort que moi, sa bite ancrée au plus profond de moi me soumet totalement au plaisir qui m’envahit. La main sur mon ventre descend sur ma queue prête à exploser et la branle vigoureusement. J’éjacule sur le lit et sur la main de Claude. Il l’essuie sur ma bouche pour se nettoyer.

 

  • — Tiens, goûte ton sperme, petit cochon, il est bon, hein ? Bon, tu vas goûter le mien et j’en aurais fini avec toi.

 

Claude se retire et me pousse dédaigneusement sur le lit. Je me relève pour m’asseoir. Je vois Claude se branler. Il place sa queue juste devant ma bouche en s’astiquant de plus en plus. Je lui lance un regard implorant et ouvre timidement la bouche. Une giclée de sperme me recouvre presque la moitié du visage, Claude tient ma tête d’une main et plonge sa queue dans ma bouche pour y déverser le reste de sa semence, dans un grognement. Ma bouche est remplie, je ne réfléchis pas trop et avale ce sperme tout chaud, pour pouvoir aisément nettoyer cette bite gluante et source d’autant de plaisir.

 

Je suis encore en train de sucer Claude, quand on entend la porte d’entrée s’ouvrir. Marc est de retour.

 

 

 

Par JONAS - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 29 janvier 1 29 /01 /Jan 06:28

  témoignage : " Oui et non. Lorsque je fume il m'arrive d'avoir envie d'être pénétré".Résultat de recherche d'images pour "cannabis photos"

 30 juillet

"En temps normal,sans boire je suis hétéro, même mentalité quand je bois. Je ne mate pas de vidéos gay car même sous cannabis je ne trouve pas beau le corps d'un homme  et je n'ai pas eu d'expérience gay.( je ne mate pas non plus du shemale mais seulement de l'hétéro ).

Je veux vous expliquer que, ces derniers temps, lorsque je fume tout seul dans ma chambre je sens le désir qu'on me pénètre ( je fume depuis que j'ai 15 ans mais ce truc de désirer me faire enculer n'était jamais arrivé avant ).

Mais j'ai vraiment envie de me faire pénétrer quand je fume.

Pourtant quand je bois, je suis hétéro. Je n'ai aucune envie gay, et l'idée de me faire pénétrer me dégoûte. Même s' il est vrai que je deviens impuissant physiquement à haute dose et je n'arrive pas momentanément à bander ( mais dans ma tête je reste psychologiquement puissant )"  

     "Je préviens que je n'ai aucun problème vis à vis de l'homosexualité; je suis contre l'adoption mais je considère que chacun est libre de faire ce qu'il veut de son corps ( même si il est vrai j'aime bien me moquer d'eux )."  

 15 aoüt :

 "Je pense que mes problèmes se sont réglés. Tout est revenu à la normale et sans même que je m'en rende compte ( j'ai couché avec ma copine sous cannabis depuis ) et l'idée que, moi, je puisse avoir un rapport sexuel gay me dégoûte même quand je fume." C'était donc un problème passager. A vérifier : le cannabis pourrait bien avoir un effet"psycho-sexuel" comme le viagra ?

 

 témoignage d'un "vrai"gay sur les sensations du désir d'être pénétré   

Paul : "Je n'avais pas fumé mais je ne pouvais m'empêcher de repenser à cette première fois, première fois qui fut incroyable.
Je me rappelle très bien qu'entre le moment où je suis sorti de chez Pierre et le rendez-vous que l'on c'était donné,
il n'y avait que 5 jours, mais ce fut 5 jours très longs. Je pensais sans cesse à tout ce que j'avais ressenti, ce plaisir fou que j'avais eu de ses caresses, et ce désir qui me dévorait, désir de ressentir une queue en moi qui se manifestait par une tension presque douloureuse de mon rectum et d'une chaleur intense qui n'avait pas besoin de stimulation.

La veille du rendez-vous je reçus un mail de Pierre, mail dans lequel il prenait des nouvelles de moi, mais surtout
voulait savoir s' il aurait la chance de me revoir à nouveau comme nous l'avions convenu 4 jours auparavant. Je n'ai pas hésité"

Résultat de recherche d'images pour "cannabis photos"

"Stéphane, l'hétéro marié  m'avait donné RV en plein air. Il m'avait prévenu par e-mail qu'il fallait que je lui laisse le temps de fumer un joint " et après je verrais !"(!!!) 

Moi rien que cette perspective qu'il me prenne j'en étais réjoui et je ne croyais guère à son histoire de joint. Je ne sais pas si je me trompais car quand on fait l'amour, joint ou pas, on vit chacun son aventure et ces aventures fusionnent pour former un plaisir de part et d'autre.. 

Moi je sais que ça a été mémorable en douceur et en dureté, en temps trop court et en durée (ce qui est bon est tjs trop court!), en grosseur et en dilatation profonde. J'essayais de regarder ses yeux quand c'était possible...je peux pas dire, sinon qu'il me semblait présent énormément(lol) et transporté ailleurs...au point que je me demandais si c'était bien moi"l'enculé" qu'il voyait dans son trip. Oui, il est possible que le joint y était pour quelque chose.

Quant à moi je n'ai pas essayé de fumer car je désire me faire prendre tout le temps sans problème."(-lol-)

grain de sel : il ne faut pas que les hétéros se vexent mais nombre d'entre eux et non des moindres ont du plaisir avec un doigt de leur moitié dans l'anus. Ca doit prouver des choses...mais pas le temps maintenant.    

   


NOTES :

Suisse : Une thèse d'un doctorant  explique que "Les effets du cannabis thérapeutique sur les nausées, les vomissements, l'anorexie et la cachexie des patients atteints de cancer soumis à un traitement de chimiothérapie"  Les nausées, les vomissements, l’anorexie et la cachexie sont des symptômes courants chez les patients souffrant de cancer. Les médicaments actuels ne les soulageant pas totalement, les patients se tournent de plus en plus souvent vers des thérapies alternatives et complémentaires. Le cannabis thérapeutique est utilisé pour ses nombreuses vertus depuis des décennies, c’est pourquoi l’intérêt de ce travail de bachelor se porte sur ses effets antiémétiques et stimulants de l’appétit. Le but est de démontrer l’efficacité du cannabis thérapeutique dans la contribution au soulagement des symptômes cités ci-dessus, pour les patients atteints de cancer sous traitement de chimiothérapie

 

dépénalisation :

FRESQUE : 

  cannabis-legal-jm.jpg

Le New York Times plaide pour la légalisation du cannabis Le quotidien américain le New York Times a plaidé pour la légalisation du cannabis, comparant sa pénalisation aux errements de l'époque de la Prohibition… (Tempsreel.nouvelobs.com)   En Californie la dépénalisation est un fait acquis et ça se passe bien..

  Image associée Changer les dealers en commerciaux !

Image associée

 Image associéetous les policiers ne croient pas de la même façon à leur mission !

 

 

 

 

 

Par GUEUL'D'AMOUR ET LA SUITE - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 29 janvier 1 29 /01 /Jan 00:30

QUARTIER PAUVRE ...je ne sais pas, mais les media disent que ça peut avoir été irréparable pour mon cerveau, les conséquences d'avoir ete confronté très jeune à la sexualité des adultes.

D'abord, rassurez-vous je ne vais pas illustrer ce texte par des photos "live" ni "fake", vous comprendrez que ce n'est pas possible ! pour donner une idée des zizis des mecs que je matais, oui, c'est facile avec le net. La question reste de savoir si j'ai été abîmé ou non. Je crois que oui.   

Un bidonville avait poussé comme un champignon sur le terrain vague situé juste au pied de notre maison.  

 

 je "peepais"sur le bidonville par un petit fenestron. Je ne risquais pas d'en parler à mes parents...je crois qu'ils auraient muré l'ouverture. Je reste à penser que j'aurais dû en parler. 

D'abord j'ai passé le reste de mon enfance à douter que j'arriverais moi aussi un gros zizi comme eux. J'avais raison car c'était le début d'un complexe d'infériorité que j'ai conservé car la taille de mon sexe, bien que normale, n'est jamais arrivée au niveau de la plupart des leurs.

Les migrants de la première génération qui habitaient le bidonville ne pouvaient être que des célibataires, avec les moeurs que ça implique. Exhibitionnisme, violence entre eux, bagarres et sodomie subie à deux ou à plusieurs par les vaincus. Et moi, silencieux, j'observais tout ça. Que je je comprenne ou non, les images se déroulaient et les scénarios toujours les mêmes. La plupart du temps j'étais fasciné par leur bite brune quand ils pissaient contre le mur face à notre fenestron et se la secouaient longuement avec un évident plaisir. Ma famille ne leur ressemblait en aucun point. Sinon que c'étaient des humains bien sûr !

Une fois une femme a été traînée en ces lieux et la porte de l'une des cabanes s'est refermée sur elle je ne pouvais savoir ce qui s'y passait sauf les cris de protestation que se mit à pousser la prostituée : " on ne m'a jamais enculée moi, je veux pas" ...les cris finirent par s'estomper me laissant imaginer une suite qui me traumatisait autant qu'elle ...car enculer je savais déjà ce que c'était...Je la connaissais cette femme, elle  était la mère d'une petite fille que je connaissais de la rue. 

Dans les ruines du terrain vague, j'ai assisté au dépucelage de cette petite par un plus grand que moi qui n'avais aucun désir de ce type. Le grand l'a aidée à cueillir des fleurs dans la ruine puis a réussi à la persuader de se laisser faire...elle suivait les traces de sa mère ! Le garçon n'avait pas un gros sexe, mais il était bien dur et ça a fait crier et pleurer la fille quand il l'a déflorée. Elle est partie en pleurant, remontant sa culotte si blanche...Ca m'embête à dire mais je n'ai éprouvé aucune envie, aucune jalousie envers le copain qui m'avait chargé de faire le guet tout en matant ce qu'il faisait. Plus tard j'ai pensé à une explication de sa précocité : chez-lui, du fait que toute la famille couchait dans l'unique pièce de la maison, il était à bonne école !

Aujourd'hui, avec l'accès au net jusque par les "bébés" ( j'exagère, lol), les gosses, comme j'en étais un, ont d'autres occasions de se faire abîmer le cerveau avec le porn' !  

Il faut attendre pour savoir si ça fait du mal à la génération i-phone- i- pad...         

 

je les voyais faire leurs ablutions torse nu. Certains je les trouvais beaux et gentils. (déjà !) 

  A 23 cm french dick c'étaient des travailleurs

 

ça je l'imagine car je n'entrais pas

visiblement, si les hommes n'ont pas changé, les moyens de communiquer oui !

et toujours aussi beaux, aussi bien pourvus

 

leurs intérieurs ne pouvaient pas être riches, pensez à quelque chose comme la jungle de Calais...

 

                 

NOTES : https://celsalab.fr/2017/10/10/enfants-et-pornographie-des-consequences-graves/


commentaire :  

 

Par SALVIO - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 17:45

permettez-moi de douter que ce soit vrai....

 

straightathletes: “19 year old college hottie ������ he loves to show off 😏 ”
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               Il y a des furies des media que 'Les soirées sexuelles de la Silicon Valley' dérangent : "Manger, se droguer, baiser , recommencer". Moi, sauf que ça m'exciterait d'y être, ça ne me touche pas... 

 

 

 

                                                                                 
      trouvé sur 7sur7 Be... :                                                                            

 

 

  "Les soirées sexuelles de la Silicon Valley" dans 30 ans, comme à Hollywood, ça promet des procès à la chaîne pour soi-disant viols en série. C'est vrai que là aussi y a du fric à se faire en prétendant qu'on n' était pas consentant ! En fait le consentement est le plus souvent tacite

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

AU-DESSUS DE LA BIENPENSANCE :

 

Les soirées sexuelles de la Silicon Valley: "Manger, se droguer, b..., recommencer"

 

 

  Une journaliste dévoile dans un livre explosif à paraître début février les orgies sexuelles qui s'organisent chaque week-end dans la Silicon Valley. Les sièges d'Apple, eBay, Intel, Hewlett-Packard, Google, Facebook ou encore Yaho

straightathletes: “19 year old college hottie ������ he loves to show off 😏 ”
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o! sont rassemblés dans cette région de la baie de San Francisco.

 

 

     afp

Emily Chang raconte dans "Brotopia: Breaking Up the Boys' Club of Silicon Valley" que les invitations à ces soirées sexuelles se font via le bouche à oreille, Facebook ou encore Snapchat. Rien ne dit qu'il s'agit d'une soirée sexuelle pour éviter une capture d'écran malheureuse qui serait montrée à la presse. Ceux qui fréquentent ces soirées font partie des plus riches. Les invités arrivent avant le repas et sont triés par les gardes de sécurité. Dans les soirées les plus intimes, les invités cuisinent ensemble. Il ne faut ainsi pas renvoyer les serveurs une fois le dessert avalé.

L'alcool est en accès libre et la drogue également: la MDMA a la cote. Elle donne un sentiment d'euphorie, les gens commencent à se prendre dans les bras et à se caresser. "Ce ne sont pas des orgies de groupe en soi, mais les invités s'échappent par deux ou trois." Certains disparaissent dans l'une des nombreuses "salles de jeux" du lieu où se déroule la fête. D'autres font l'amour en public. "Les femmes sont souvent impliquées dans une relation à trois avec une autre femme. Les hommes homosexuels ou les comportements bisexuels sont absents."

La journaliste explique: "Manger, se droguer, baiser, recommencer. Ces soirées sont un choix de vie. Personne n'est forcé d'y assister." Les personnes mariées ou dans une relation stable s'y affichent sans complexe mais "restent discrets dans le monde réel". "Les relations ouvertes sont la nouvelle norme."

Le problème des femmes
Certaines jeunes femmes invitées à ces soirées affirment que les relations sexuelles "sont dominées par l'argent et le pouvoir". Pour elles, c'est "un abus de pouvoir". Elle disent que refuser une invitation les envoient à la table des "enfants pas cool". Elles manquent donc des opportunités de parler business et de faire des affaires. Mais si elles y vont, elles en subissent les conséquences. "Si vous participez à ces soirées sexuelles, ne vous attendez pas à lancer votre société ou à trouver quelqu'un qui veut investir en vous", raconte une femme entrepreneuse à Chang. "Les portes sont fermées."

Un homme habitué de ces soirées déjantées explique qu'il ne se considère pas comme un prédateur. Pour lui, "c'est la même ouverture d'esprit qui nous permet d'être créatifs [dans le travail] et de voir les idées éclater".

Le co-fondateur de Twitter Evan Williams, marié et père de deux enfants, dit ne pas faire partie de cette scène mais il connaît les motivations de ceux qui y participent. "C'est un endroit étrange qui a créé des choses incroyables dans le monde et qui attire ce genre de personnes. (...) Si vous pensez comme tout le monde, vous ne pouvez pas inventer l'avenir."¤

   VOYAGEUR DU NET, MERCI D'ETRE VENU CHEZ NOUS !   pour revenir à ce site EN TOUTE LIBERTE  inscris "cavaillongay" dans la fenêtre de recherche google tu obtiens une claire proposition, clique,  laisse-toi guider et fais tout de suite ENTRER : aucune autre condition n'est exigee à partir du moment que la charte erog est respectee 

 

Par SLATE - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 25 décembre 1 25 /12 /Déc 21:53

on n'est plus chez nous ! 2 421 cas signalés de mutilation génitale féminine (MGF) au Royaume-Uni au cours des derniers mois. On ne connaît pas les statistiques sur ce pb en France
Publié par "la charia dévoilée" le 9 février 2016

FGM 4

Combien de cas de Mutilation Génitale Féminine sont-ils déclarés par les Nations Unies?

par, SkyNews - Australie | h / t Tim Blair @ The Telegraph et Glen Roberts @ Trop

Un cas de mutilation génitale féminine (MGF) est signalé en Angleterre toutes les 109 minutes, ce sont les chiffres officiels de santé qui le montrent.

Quelque 2421 cas de mutilation ont été signalés entre avril 2015 et septembre 2015 - les derniers six mois complets de chiffres publiés par le Centre d'information sur la santé et les services sociaux (HSCIC).

Les experts disent que les chiffres, publiés à la veille de la Journée internationale de tolérance zéro pour les mutilations génitales féminines, ne sont que la "partie émergée de l'iceberg".

Plan UK est une organisation caritative qui fait campagne contre la pratique et a réuni et publié les chiffres.

Son directeur général, Tanya Barron, a déclaré: «Les MGF constituent un danger caché qui menace les filles du Royaume-Uni et  du monde entier.

Mais elle a averti qu'il y avait encore beaucoup de «cas invisibles, non publiés» qui n'apparaissaient pas dans les statistiques officielles.

Les statistiques, qui ont été publiées mensuellement mais sont maintenant publiées tous les trimestres, montrent qu'entre juillet et septembre de l'année dernière, 1385 cas ont été signalés.

Parmi ceux-ci, 758 étaient à Londres, 227 dans les Midlands et à l'est de l'Angleterre, 245 dans le nord de l'Angleterre et 155 dans le sud de l'Angleterre.

Nimco Ali a créé l'association "charité des Filles d'Eve" qui travaille pour protéger les femmes contre les MGF. Nimco Ali  a été opérée à l'âge de sept ans alors qu'elle était en vacances à Djibouti.

Elle a dit: «Les MGF sont une pratique brutale, mais aussi à laquelle il serait très simple de mettre fin. Si vous empêchez qu' une femme subisse des MGF, alors vous rompez le lien de la tradition et vous empêchez que la prochaine génération soit victime d'une continuité de la tradition.

"Nous finirons par ébranler le tabou des mutilations génitales féminines, mais nous devons être vigilants et ne pas être complaisants".

Nimco Ali  a demandé que la discussion sur les dangers de la mutilation soit intégrée dans les cours obligatoires d'éducation sexuelle et relationnelle à l'école.

L'organisation de défense des droits humains Equality Now, en 2014, estimait que 137 000 femmes et filles en Angleterre et au Pays de Galles avaient été coupées excisées.

Le porte-parole Brendan Wynne a déclaré que les chiffres du HSCIC n'étaient que la "partie émergée de l'iceberg".

Il a déclaré que le signalement obligatoire des cas de MGF par des professionnels de la santé - qui est entré en vigueur en octobre - était une étape cruciale dans la lutte contre cette pratique, mais a aussi appelé à plus d'éducation dans les écoles.

L'organisme de bienfaisance pour enfants Barnardo's, qui aide à la gestion du Centre national des MGF, a déclaré avoir reçu 41 recommandations concernant 56 filles exposées à des mutilations génitales féminines au cours des trois derniers mois.

 

NOTES :

Tout ce que vous devez savoir sur les MGF |

Video sous titre en anglais  courtesy of : The Guardian     d

commentaire : "s'exonérer de ne pas savoir (bien) faire l'amour en supprimant toute sensation chez les futures et éventuelles partenaires ...ben, c'est lâche !" claudio 

 

 

Par claudio aidé par "The Guardian" - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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