QUARTIER PAUVRE ...je ne sais pas, mais les media disent que ça peut avoir été irréparable pour mon cerveau, les conséquences d'avoir ete confronté très jeune à la sexualité des adultes.
D'abord, rassurez-vous je ne vais pas illustrer ce texte par des photos "live" ni "fake", vous comprendrez que ce n'est pas possible ! pour donner
une idée des zizis des mecs que je matais, oui, c'est facile avec le net. La question reste de savoir si j'ai été abîmé ou non. Je crois que oui.
Un bidonville avait poussé comme un champignon sur le terrain vague situé juste au pied de notre maison.
je "peepais"sur le bidonville par un petit fenestron. Je ne risquais pas d'en parler à mes parents...je crois qu'ils auraient muré l'ouverture. Je reste à penser que j'aurais dû en parler.
D'abord j'ai passé le reste de mon enfance à douter que j'arriverais moi aussi un gros zizi comme eux. J'avais raison car c'était le début d'un complexe d'infériorité que j'ai conservé car la taille de mon sexe, bien que normale, n'est jamais arrivée au niveau de la plupart des leurs.
Les migrants de la première génération qui habitaient le bidonville ne pouvaient être que des célibataires, avec les moeurs que ça implique. Exhibitionnisme, violence entre eux, bagarres et sodomie subie à deux ou à plusieurs par les vaincus. Et moi, silencieux, j'observais tout ça. Que je je comprenne ou non, les images se déroulaient et les scénarios toujours les mêmes. La plupart du temps j'étais fasciné par leur bite brune quand ils pissaient contre le mur face à notre fenestron et se la secouaient longuement avec un évident plaisir. Ma famille ne leur ressemblait en aucun point. Sinon que c'étaient des humains bien sûr !
Une fois une femme a été traînée en ces lieux et la porte de l'une des cabanes s'est refermée sur elle je ne pouvais savoir ce qui s'y passait sauf les cris de protestation que se mit à pousser la prostituée : " on ne m'a jamais enculée moi, je veux pas" ...les cris finirent par s'estomper me laissant imaginer une suite qui me traumatisait autant qu'elle ...car enculer je savais déjà ce que c'était...Je la connaissais cette femme, elle était la mère d'une petite fille que je connaissais de la rue.
Dans les ruines du terrain vague, j'ai assisté au dépucelage de cette petite par un plus grand que moi qui n'avais aucun désir de ce type. Le grand l'a aidée à cueillir des fleurs dans la ruine puis a réussi à la persuader de se laisser faire...elle suivait les traces de sa mère ! Le garçon n'avait pas un gros sexe, mais il était bien dur et ça a fait crier et pleurer la fille quand il l'a déflorée. Elle est partie en pleurant, remontant sa culotte si blanche...Ca m'embête à dire mais je n'ai éprouvé aucune envie, aucune jalousie envers le copain qui m'avait chargé de faire le guet tout en matant ce qu'il faisait. Plus tard j'ai pensé à une explication de sa précocité : chez-lui, du fait que toute la famille couchait dans l'unique pièce de la maison, il était à bonne école !
Aujourd'hui, avec l'accès au net jusque par les "bébés" ( j'exagère, lol), les gosses, comme j'en étais un, ont d'autres occasions de se faire abîmer le cerveau avec le porn' !
Il faut attendre pour savoir si ça fait du mal à la génération i-phone- i- pad...
je les voyais faire leurs ablutions torse nu. Certains je les trouvais beaux et gentils. (déjà !)
c'étaient des travailleurs
ça je l'imagine car je n'entrais pas
visiblement, si les hommes n'ont pas changé, les moyens de communiquer oui !
et toujours aussi beaux, aussi bien pourvus
leurs intérieurs ne pouvaient pas être riches, pensez à quelque chose comme la jungle de Calais...
NOTES : https://celsalab.fr/2017/10/10/enfants-et-pornographie-des-consequences-graves/
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