CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES

Samedi 23 décembre 6 23 /12 /Déc 00:08

UNE TRADITION INADMISSIBLE EN OCCIDENT :

 

 

 

 

 

 

Par ZOHIR - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 20 décembre 3 20 /12 /Déc 00:14

  Pour récupérer du fric et/ou du pouvoir il y a plein de faux culs prêts à dénoncer père et mère et n'importe qui d'autre. La tacite acceptation des conditions traditionnelles de recrutement que ce soit pour être acteur/trice ou même d'autres positions sociales pour lesquelles, de notoriété publique, qu'on soit homme ou femme implique « qu'il faut coucher». Non que ce soit totalement désagréable, à cet égard James Dean  est un phare éblouissant : ses amants l'ont aidé, mais il avait sa propre valeur.  Il n'a jamais cherché à dire qu'il avait été forcé et il a aimé ses amants. Et il y en a bien d'autres comme lui ! Devant toutes ces plaintes, ces dénonciations trente ans après, voire plus, je me pose des questions et surtout sur le sexe dit" faible". L'autre jour, en attendant mon train, j'ai assisté à un harcèlement de rue. C'est autre chose. J'ai fait fuir deux hommes en état d'ébriété en leur criant : « voilà le train ! voilà le train ! » Ils sont partis, ouf ! En fait ils étaient dans un coin de la gare à l'écart et n'attendaient aucun train et ont filé vers la ville...ça c'est des violeurs en puissance...rien à voir avec quelqu'un qui a couru sa chance en se demandant tous les jours quand les premières "avances"vont se manifester, puis céder, vivre toute une vie dans la "soumission" pour enfin se "venger" et mordre la main qui l'a nourri(e). Aucune ambition ne justifie de vivre pareille humiliation (si ça l'est ?) et il ne fallait pas rester et laisser les choses commencer. Ils/elles nous prennent pour des cons.

G Tron versus DSK :     

 

peut être convient-il de ne pas les confondre  car c'est pas le même style : c'est plus compliqué : chez Tron, ya plus de préméditation ! alors que DSK semble moins éclectique dans le choix de ses  proies partenaires sexuelles !  

 

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Résultat de recherche d'images pour "dsk & tron"      Ne leur jetons pas la pierre ! beaucoup d'entre nous"pauvres diables" sommes gouvernés par nos bites  "Pour un flirt avec toi
Je ferais n'importe quoi
Pour un flirt avec toi
Je serais prêt à tout
Pour un simple rendez-vous
Pour un flirt avec toi..." personne, gay ou hétéro, ne semble le contester

 critiques :       le mâle alpha en gros bêta         

     Hugues Serraf  le coquin :

          Prendre son pied, ça reste OK. Prendre celui de quelqu’un autre, il faudra désormais demander la permission... -lol-  

Hugues Serraf :
-"Je ne me doutais pas, en prédisant lundi que les féministes finiraient par remercier l’ex-boss du FMI, que les faits me donneraient raison si rapidement... Et l’affaire George Tron, si elle est moins glamour que l’affaire DSK (la mairie de Draveil, ça n'est pas aussi télégénique qu'un Sofitel à Manhattan) inaugure vraisemblablement une longue série de plaintes pour harcèlement sexuel visant des élus.
Car l’univers politique, cette jungle peuplée de gros bêtas jouant au mâle alpha, est peut-être enfin sur le point de connaître son « grand chambardement».  

Bien sûr, ces histoires de fétichisme du pied dans l’Essonne demandent à être confirmées par la justice ― et le choix de Gilbert Collard comme avocat par les plaignantes bride un peu la     jubilation de ce matin ― mais tout de même : le diable est sorti de sa boîte et l’y ré-enfourner sera bien difficile.

(atlantico.fr)

DSK, Balkany, Tron : le mâle alpha en gros bêta

Un stand de massage de pieds à Bangkok, Thaïlande. La réflexologie sauvage, c'est parfois un très mauvais réflexe.


 


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Par TIGE - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 1 décembre 5 01 /12 /Déc 06:37
PAS DE PARDON SOUS LE CIEL D'HOLLYWOOD Kevin Spacey accusé d'avoir tenté d'agresser il y a 30 ans  l'acteur Anthony Rapp qui avait alors 14 ans  Alex Jung  dans Vulture le 30/10/2017

L'acteur de "Star Trek: Discovery", Anthony Rapp, affirme que Kevin Spacey l'a été sexuellement agressé alors qu'il n'avait que 14 ans, et Spacey a réagi en s'excusant et en s'affirmant maintenant gay.

Rapp a déclaré à BuzzFeed News que l'incident s'est produit en 1986 ... les deux jeunes hommes (14 & 24ans) jouaient tous deux à Broadway à l'époque. Rapp dit que Spacey lui a dit qu'il organisait une fête et l'a invité.

Rapp dit qu'il s'est ennuyé à cette soirée chez Spacey et s'est retiré dans la chambre pour regarder la télévision. Il a dit que Spacey est entré dans la pièce et qu'il est apparu ivre, puis il m'a «ramassé comme un fiancé ramasse la mariée par-dessus le seuil», mais je ne me suis pas dérangé, parce que je me suis dit: «Que se passe-t-il? ' Et puis il s'est couché sur moi. "
C'est à ce moment que les événements auraient mal tourné, explique-t-il à BuzzFeed : le comédien se serait littéralement jeté sur lui. «Il voulait me séduire. Je me suis vite rendu compte qu'il tentait quelque chose de sexuel avec moi. Je suis allé dans la salle de bains, et j'ai vu une photo de lui enlaçant un homme, j'ai alors compris qu'il était gay. Je suis sorti de la salle de bains et de l'appartement», explique-t-il. 

Rapp dit que Spacey le retenait alors qu'il luttait pour s'enfuir, ajoutant: «Il essayait de me séduire. Il s'est finalement enfui et est parti.

Spacey, maintenant âgé de 58 ans, a répondu sur les réseaux sociaux en disant: "J'ai beaucoup de respect et d'admiration pour Anthony Rapp en tant qu'acteur, je suis au-delà de l'horreur d'entendre son histoire, je ne me souviens pas de la rencontre, ça se serait passé il y a 30 ans, mais si je me comportais comme il le décrit, je lui dois les plus sincères excuses pour ce qui aurait été un comportement profondément inapproprié d'un homme ivre ... "

"L'histoire m'a encouragé à aborder d'autres aspects de ma vie", ajoute-t-il, "j'ai eu des relations avec des hommes et des femmes, j'ai aimé et j'ai eu des rencontres amoureuses avec des hommes tout au long de ma vie, maintenant pour vivre comme un gay.
 
Peu satisfaits de la réponse de Spacey à l'histoire de Rapp, nous avons fait de notre mieux pour vérifier le temps où il a pu côtoyer Spacey. Nous avons confirmé avec deux sources que Spacey a enseigné à l'école de théâtre en 1981; vérifié la plausibilité des dates et d'autres détails dans son compte et avons parlé avec des personnes proches de l'ancien étudiant, qui, lui, a dit qu'il avait parlé de sa relation avec Spacey dès les années 1990. Nous avons aussi parlé avec son thérapeute actuel, qui a confirmé qu'il a commencé à en parler lors de sessions en 2015. Et nous avons pu confirmer la vraisemblance d'une relation ( abusive ?) dont parle son ancien élève. Nous avons tendu la main à Spacey pour parler de cette relation. Il a répondu par l'intermédiaire de son avocat, qui a écrit dans un courriel, "M. Spacey nie absolument les allégations d'Anthony Rapp. "

Ce qui suit est une transcription condensée et rédigée d'après notre conversation. Nous le présentons comme il nous l'a dit à cause de la nature de la relation, qu'il vaut mieux laisser décrire à son ancien élève. Il serait entré en relation avec Spacey avec enthousiasme comme un jeune adolescent et a continué à voir  jusqu'à "l'agression" non désirée. Le consentement est rarement simple, même chez les adultes. C'est particulièrement compliqué dans l'esprit d'un adolescent de 14 ans. C'est son problème.

-"Quand avez-vous rencontré Kevin Spacey pour la première fois?
-bJe suis allé aux cours de théâtre du samedi dans le comté de Westchester, à l'extérieur de New York, vers 1981. Ils invitaient des professionnels du théâtre pour nous enseigner. J'avais 12 ans et il a enseigné à l'école, peut-être juste 6 mois. Il n'était pas une personne connue à ce moment-là. Il commençait probablement juste à être un acteur qui se perfectionnait.

-"Comment s'appelait l'école?"
-"Elle n'avait pas vraiment de nom. C'était une heure de mouvement, une heure d'action et une heure de comédie musicale. C'était dans une église, et c'était un groupe d'enfants entre 11 et 18 ans, qui chantaient et agissaient.

-"Quand vous étiez à cette école, est-ce que Kevin Spacey vous a attiré de cette façon? Faisiez-vous attention à lui ?" 
-"Non. Je savais qu'il savait qui il était, mais non, il n'y avait pas d'attrait physique. Il n'y avait pas de mise en scène ou d'attention particulière sinon comme "Et si on allait se payer une glace?"¤
 
 
 

NDLR : "Le culte des célébrités, l'admiration pour un aîné et l'orgueil qui résulte de pouvoir l'approcher en particulier, remonte l'estime de soi. Ensuite, le consentement peut venir  des craintes de rejet qui les empêcheraient de poursuivre et développer des relations étroites dans le monde réel - de jouir d'un lien privilégié avec une star bien-aimée-..." L'acteur devenu célèbre aujourd'hui -et depuis longtemps- peut-il nier que cette "rencontre" a été une des chances de sa vie ?...pensons à James Dean qui fait la rencontre fortuite  du publi­ci­taire bisexuel Rogers Brackett, décisive pour la suite de sa vie et remplie d'affection de part et d'autre. Il est vrai qu'il manque un élément essentiel à l'affaire Spacey- Rapp : l'amour. Bracket, lui, savait aimer et, avec Dean, ça ne s'est jamais démenti. 

Wikia dit que Rapp se déclare ouvertement bisexuel...Ok, c'est bien !  mais alors à quoi bon des poursuites contre Spacey 30 ans après ? faut pas nous faire  ch ... - cavaillongay-

 

NOTES:  "Rent" (Le Loyer) 

Anthony Rapp in <i>Rent</i>

      RAPP  y joue le rôle de Mark Cohen en 1996 au théâtre. Puis à la reprise au cinéma en 2005 il reprend ce rôle. Le succès de cette comédie musicale dans le milieu homo tient au fait que la distribution comporte plusieurs personnages ouvertement gays et lesbiens, fait extrêmement rare pour Broadway.Écrit par Jonathan Larson, Rent raconte l'histoire d'un groupe d'artistes en difficulté, dont beaucoup vivent également avec le VIH / sida dans la ville de l'alphabet de New York. "C'est un rôle de rêve, jouant à Roger Davis", dit Johnny Newcomb avec des larmes dans les yeux. Roger est un musicien de rock vivant avec le VIH. Newcomb, qui était un batteur avant qu'il ne commence à jouer, a déclaré que la comédie musicale a introduit et l'a attiré dans la forme d'art.

La comédie musicale n'est pas étrangère à la tournée. Rent a joué des théâtres dans le monde entier, y compris avant le Edinburgh Fringe Festival. Quadrino en a vu la production il y a deux ans alors qu'il se produisait au festival.

Le loyer résonne en dehors de son cadre new-yorkais, explique Quadrino: «Il s'agit de New York, mais il s'agit de quelque chose de plus grand que cela. Mais, a-t-il dit, cette distribution, tous acteurs de New York, est capable de représenter New York d'une manière authentique

 


commentaire : "'BISEX ??? peut-être est-il poursuivi par l'obsession de l'échec de cette relation "forcée" ...MAIS? c'est très bien Anthony pas de souci pour nous et choisis bien tes partenaires garçons pour le sexe!" (ALTERSEX)
Par VULTURE - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 22 novembre 3 22 /11 /Nov 08:56

Barcelone est-elle la nouvelle Amsterdam ? Là-bas...

spannabis Social marijuana Barcelona     Par Lauriane Huguet le 17 mars, 2017 Actu Barcelone   Venus d’un peu partout en Europe, ils étaient nombreux à vouloir franchir les portes du Spannabis. Alicia, 18 ans a fait le trajet depuis Paris avec ses amis. « Nous sommes arrivés samedi et nous repartons demain. On est venus uniquement pour l’événement ». C’est avec trois de ces amis que la jeune étudiante a souhaité découvrir les lieux pour la première fois.

La 14ème édition du Spannabis a eu lieu le 10, 11 et 12 mars 2017

 Pas de visites touristiques de Barcelone au programme, les deux jours se sont déroulés au Spannabis. Théo, 22 ans et originaire de Perpignan, a  participé pour la deuxième fois à l’événement et se dit toujours agréablement surpris par la qualité du Spannabis. Alors la capitale catalane est-elle en passe de devenir la nouvelle Amsterdam? Le jeune Français n’en est pas vraiment convaincu. « Amsterdam reste la référence en Europe, il en faudra un peu plus pour que Barcelone le devienne ».

Amsterdam du sud ?

Avec plus d’une centaine de clubs de cannabis installés dans tous les quartiers, un musée du cannabis et même un festival du cannabis, la capitale catalane semble en prendre le chemin. 

Il n’est pas rare que des personnes viennent dans la ville pour consommer du hachich. Diego Maradona, le célèbre joueur de football, avait d’ailleurs lui-même avoué avoir touché à la drogue pour la première fois à Barcelone. A vrai dire, la consommation de marijuana s’effectue dans toutes les grandes villes mais il semblerait que la capitale catalane s’inscrive dans une trajectoire qui l’emmènerait à devenir une référence en la matière et dans toute l’Europe. Qu’en est-il vraiment ?

En Catalogne, 30% des jeunes fument de l’herbe

Que les Barcelonais en consomment ou non, l’odeur du cannabis est familière pour la plupart des habitants de la ville. Et ce, pour une raison simple : en Espagne, « même s’il n’y a pas de dépénalisation, il est permis de fumer du cannabis », explique Amina Omar Nieto, avocate pour le cabinet OMAR NIETO. Il est donc courant de sentir l’odeur de la weed aux fenêtres des appartements dans lesquels les Barcelonais en font un usage privé. Avec les Pays-Bas, l’Espagne est le second pays européen a avoir autorisé le cannabis.

 

Le cannabis est, depuis des années, la drogue préférée des Européens. C’est en tout cas ce qu’a mis en exergue le rapport de 2015 de l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies. 23,3 % des Européens âgés de 15 à 64 ans en ont consommé au moins une fois dans leur vie ; ils sont presque 1% à en consommer quotidiennement. La France reste en pôle position au classement des pays les plus consommateurs puisque 4 personnes sur 10 ont dit en avoir déjà fumer. Elle est suivie du Danemark puis de l’Espagne (3 personnes sur 10).

Pour ce qui est de la consommation régulière, en Catalogne, « le taux de consommation reste stable ces dernières années, il tourne autour des 30% chez les jeunes », selon le docteur Antoni Gual, responsable de l’Unité des Addictions de l’ Hospital Clínic. Un ratio relativement élevé et notablement supérieur à la moyenne espagnole. Ces chiffres expliquent peut-être pourquoi certains n’hésitent plus à nommer Barcelone : « la Nouvelle-Amsterdam ».

La consommation est tout de même considérée comme un délit dès lors qu’elle est menée à des fins de trafic ou qu’elle fait la promotion de la drogue comme le dispose l’article 368 du code pénal Espagnol. Sur la voie publique, elle est sanctionnée d’une amende de minimum 601 euros. Mais, cela n’empêche pas certains riverains d’allumer leurs joints en pleine rue, en faisant ainsi profiter les autres Barcelonais. Pourtant, fumer ne peut être effectué que chez soi ou dans les « Cannabis Social Clubs » qui existent à Barcelone.

180 clubs de cannabis à Barcelone

Un Cannabis Social Club (CSC) est l’endroit, tenu par des bénévoles, dans lequel il est possible de consommer légalement du hachich. Le nom du Président est tout de même gardé secret. Lors de l’arrivée dans le CSC, l’inscrit note son nom sur une liste et donne le prix en fonction de sa demande. Ces lieux sont réservés aux personnes espagnoles ou détentrices du NIE (sorte de permis de résidence) et doivent vivre à Barcelone. Les touristes en sont donc exclus. Pourtant, certains rabatteurs continuent de les interpeller avec la fameuse question : « Coffee Shop? ». Ces deux mots sont entendus fréquemment dans la capitale catalane, surtout l’été. Et c’est normal puisque, certains club de cannabis n’hésitent pas à faire appel à des rabatteurs pour qu’ils ramènent des acheteurs.

 

Sibaritas Cannabis Club

L’accueil du Sibaritas Cannabis Club situé dans le quartier de Gracia. Les inscrits peuvent attendre leur tour en lisant des magazines tous dédiés au cannabis. 

Le problème ? Ça n’est pas légal et cela a valu à 145 clubs d’être fermés par les autorités espagnoles. Au Sibaritas Cannabis Club, l’une des bénévoles Almudena assure que le contrôle de la police catalane est fréquent. « Nous sommes très contrôlés, sans licence c’est impossible de tenir un centre de cannabis ». Un renforcement des contrôles qui se fait ressentir mais qui n’inquiète pas ce club puisque comme l’explique Almudena : « C’est un endroit très calme, il n’y a pas de bagarres ou de dérapages. » Beaucoup de consommateurs barcelonais se rendent dans ce CSC de Gracia qui, de prime abord, ne paye pas de mine. Dans une petite rue étroite, les portes sont renforcées. Il faut sonner avant d’entrer dans ce paradis de la weed. Une fois à l’intérieur, l’odeur de cannabis inonde les différents espaces. La décoration est épurée, limite chic, et l’endroit a l’air très cosy. Nombreux sont ceux qui ont été séduits par ce club de cannabis.  Ils sont de « tout âge, de toute catégorie sociale mais il y a une majorité d’hommes ». Certains viennent pour des raisons médicales, ils présentent leur ordonnance et peuvent accéder à la consommation de cannabis thérapeutique. Le tarif est alors réduit.

Assis sur un canapé confortable et dans un décor moderne, les consommateurs se retrouvent pour raconter leurs journées. Il est 17h et des hommes en jogging, d’autres en costumes sont installés autour des tables. Ces Cannabis Social Club, qui ont tout des bars classiques, attirent de plus en plus de monde. Depuis un an, la bénévole du Sibaritas le confirme. « Il y a une augmentation de la fréquentation dans ce CSC, les gens s’y sentent bien ».

Si la dépénalisation et l’organisation de Cannabis Social Club permettent aux personnes qui aiment le cannabis d’obtenir les sensations qu’ils cherchent en toute tranquillité, Barcelone semble aussi vouloir s’imposer comme la capitale européenne de la weed en accueillant chaque année le festival européen du cannabis.

L’impulsion du Spannabis, le festival 100% cannabis

Le Spannabis, c’est quoi ? Un festival de trois jours dans lequel les plus grandes marques de weed présentent leurs accessoires et innovations. Aux stands, food-trucks et jeux de roulettes où il est possible de gagner des gouttes pour faire pousser ses plantations s’ajoutent des associations, des clubs cannabiques et des maisons d’éditions. De quoi satisfaire tout le monde. Plus de 150 stands sont installés. Stands dans lesquels s’organisent les producteurs, distributeurs de matériel de culture, d’engrais et de semences. Organisé début mars, le festival 2017 a tenu ses promesses et accueilli plus de 30.000 personnes.

 


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Par LAURIANE HUGUET - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 21 novembre 2 21 /11 /Nov 23:09

  "Je ne suis pas juste un fumeur, j'ai faim d'émotions. Des émotions que toi seul peux me donner mais que le H amplifie à la puissance  N . " 

  Résultat de recherche d'images pour "fumeur de h"  Résultat de recherche d'images pour "fumeur de h"

 

 

chillstoners: “420 x Music ”

 

nevertherestillhere: “Growth by FinchFight ”

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

beastcallisto: “rhiannonfrater: “ kissandsky: “ Matt Cedeño ” You’re killing me here, @beastcallisto. ” I aim to please :-) ”

 

   

  on n'est pas des pestiférés ! 

   

    Depuis 30 ans, la consommation de cannabis et d’herbe explose en France. Longtemps importée depuis les Pays-Bas, la marijuana est désormais produite sur le sol métropolitain par des citoyens qui en ont assez de galérer, de se mettre en danger ou de financer des organisations mafieuses pour trouver des produits de qualité.
Le phénomène est massif et en constante augmentation. Une preuve parmi tant d’autres ? Depuis dix ans, la démultiplication du nombre de magasins de ventes de produits et d’ustensiles permettant la culture hydroponique est à mettre en parallèle avec les dizaines (centaines ?) de milliers d’auto-producteurs / consommateurs estimés dans le pays.
Il est vrai que le jardinage est le passe-temps préféré des Français, mais aujourd’hui, si la France pinard existe toujours, fière de ses valeurs et de ses traditions, elle a été rejointe par la France pétard sans que nos dirigeants ne prennent la mesure d’un phénomène socio-culturel irréversible. La culture hasch s’est développée dans toutes les franges de la société pour concerner aujourd’hui plusieurs millions de personnes.
La génération H est insérée dans la société
Il y a deux ans, je racontais dans le premier tome de la trilogie romanesque "Génération H", le road trip d’une bande de jeunes Français adeptes de tous les plaisirs cannabiques et fêtards invétérés. Le deuxième tome, "Têtes chercheuses d’existence", vient raconter le quotidien de cette France d’en bas qui fume dans un pays où la prohibition reste la règle.
Il serait facile de cantonner comme le font beaucoup de médias le fumeur de joint à un jeune avec les cheveux longs, un air ahuri et des yeux rouges, incapable de se sociabiliser et totalement passif. C’est pourtant loin d’être la réalité.
La génération H est multiple et variée et les hommes et les femmes dont je me suis inspiré dans mes romans sont aujourd’hui, pour la plupart, totalement insérés dans la société. Ils sont comme vous et moi, avec leurs qualités et leurs défauts, leurs paradoxes, leurs réussites, leurs déceptions aussi, des opinions politiques différentes, divergentes souvent, mais ils ont tous un point commun : ils fument des joints et sont de ce fait considérés comme des hors-la-loi, des délinquants qui doivent être arrêtés par la police et condamnés par la justice française.
Voici le portrait succinct de cette partie de la population que nos dirigeants ne veulent pas reconnaître : la génération H.

Alexandre Grondeau
Maître de conférences à l'université Aix-Marseille...suite

     Avocats, profs, pères de famille...
Sarah est avocate d’affaires, elle travaille dans un grand cabinet international à Paris et gère des dossiers où les enjeux dépassent souvent les dizaines de millions d’euros. Elle est célibataire mais possède une vie sociale dense. Elle fume un ou deux joints en rentrant le soir pour couper le stress de sa journée et arriver à s’endormir plutôt que de prendre les somnifères prescrits par son médecin. 

Alexis est infographiste. Il a arrêté de consommer du cannabis, depuis dix ans, mais il traîne toujours avec la même bande de potes, bringueurs invétérés le week-end. Il a beaucoup fumé, étant adolescent, puis il a stabilisé sa consommation de manière occasionnelle pendant ses études, pour enfin arrêter complètement quand il a senti que fumer limitait sa motivation. Il est aujourd’hui bien dans sa vie et ne regrette pas d’avoir eu une jeunesse enfumée. 

Eric approche des quarante ans. Il est conseil en assurance, travaille plus de cinquante heures par semaine et gagne l’équivalent de sept ou huit smic par mois. Il est père de deux enfants et fume un joint d’herbe le soir pour se détendre. Sa femme, elle, ne fume ni cannabis, ni cigarettes, mais elle aime bien se moquer des yeux rouges de son mari. 

François est professeur dans un lycée technique. Il enseigne depuis plus de quinze ans l’histoire à des élèves qui apprécient sa franchise et sa pédagogie et dont aucun ne soupçonne la passion pour le cannabis. Il est bien évalué par sa hiérarchie, parfaitement intégré à ses collègues et il espère un jour devenir directeur d’établissement.

Vers une politique plus compréhensive des usagers

Lamia a trente-quatre ans et n’a pas d’enfants. Elle est gravement malade et ne travaille plus depuis de longs mois. Ses traitements médicaux sont lourds et lui coupent l’appétit. Elle vapote du cannabis plusieurs fois par jour afin de soulager certaines douleurs et retrouver l’envie de manger.

Antoine a trente-six ans. Il est chef d’agence et emploie une petite dizaine de salariés. Pacsé à sa compagne, il fume quotidiennement depuis plus de vingt ans. Son agence est en difficulté et Antoine subit de plein fouet la crise de son secteur d’activités du fait de ses responsabilités. Son usage du cannabis est plus relaxant que récréatif. 

Laura est vendeuse, célibattante. Elle consomme occasionnellement  du cannabis ou de l’herbe à des fêtes entre amis, quand les joints tournent. Elle n’achète pas de produits pour fumer seule mais se cotise plutôt avec ses copines lorsqu’une belle soirée se profile.

Tous ces prénoms sont des prénoms d’emprunts puisqu’aujourd’hui, être un fumeur de pétard est interdit par la loi. Et c’est le problème que posent tous ces citoyens intégrés dans la société.

Doit-on encore continuer à les considérer comme des criminels, quand des pays comme les États-Unis, l’Allemagne, l’Espagne, le Canada, les Pays-Bas ont tous constaté l’échec des politiques prohibitionnistes et les ont remplacées par des politiques plus compréhensives des usagers ? Vous imaginez facilement le point de vue de la génération H de France.

Alexandre Grondeau est l'auteur de "Génération H, têtes chercheuses d'existence" (éd. La Lune sur le toit).

 

nevertherestillhere: “Growth by FinchFight ”

  fresque: 

 

stoner-hues: “kushy kush ”

 

 

 

   

 

Moi je marchais les yeux par terre
Toi t'avais toujours le nez en l'air
Et c'est comme a qu'on s'est connu
On avait chacun sa guitare
On était pas loin d'une gare
C'est la hasard qui l'a voulu
Et tu m'as dit, quand leurs ailes sont mortes
Les papillons vont où le vent les porte
On a pris le premier chemin venu
Et quand la nuit est tombée
Sur la voie ferrée
On était bien loin de la ville
On entendait que des notes
Et le bruit de nos bottes
Sous la pleine lune immobile
On a traversé les semaines
Comme de vraies fêtes foraines
Sans même penser au retour
On s'est perdu dans les nuages
Comme les oiseaux de passage
À suivre les filles d'un jour
Et pour ne pas que les fous nous renversent
On prenait les chemins de traverse
Même s'il ne sont jamais les plus courts
Et quand la nuit tombait
Sur la voie ferrée
On était bien loin de la ville
On entendait que des notes
Et le bruit de nos bottes
Sous la pleine lune immobile
Mais quelquefois je me souviens
Ceux qui nous ont lâché les chiens
Et jeté des pierres au visage
Ils n'ont rien empêché quand même
Puisque le seul métier qu'on aime
C'est la bohème et le voyage
Et quand la nuit va tomber
Sur la voie ferrée
On sera bien loin de la ville
On entendra que des notes
Et le bruit de nos bottes
Sous la pleine lune immobile
Et quand la nuit va tomber
Sur la voie ferrée
On sera bien loin de la ville
On entendra que des notes
Et le bruit de nos bottes
Sous la pleine lune immobile
Sous la pleine lune immobile

 

 

 

 


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Par ALEXIS GIRONDEAU DANS LIBERATION - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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