il y a ceux et celles qui dansent sur le pont d’Avignon etil
y a ceux qui dansent une autre gigue sous le pont d’Avignon où on s'encule tous en rond . (légende !) (Avignon- Cavaillon 25 (petits)
km) “Au fait, pour me remercier, tu me feras un cadeau, hein ? après ?…" zid
cette bite renflée au milieu de la tige est très jouissive
J'ai peut-être exagéré en lui disant qu'il ressemble à une statue grecque, mais Yazid a ceaucoup d'atouts ! Je sors d’un spectacle à
minuit passé (Saison Sèche de Phia Ménard). Plutôt que de rentrer à l’hôtel, je décide d’aller faire un tour dans un lieu de drague traditionnel d’Avignon, un endroit où, dans le passé, j’ai fait
de bien belles rencontres... (yatatan comme dit Renaud) Je me dirige donc vers Champfleury, quartier situé derrière la Gare,
c’est-à-dire hors des remparts et de la foule des festivaliers. Je ne reconnais pas bien les lieux, les barres de HLM surpeuplées ayant été détruites ces dernières années. De petits ensembles,
plus coquets, les ont avantageusement remplacées. Il me faut tourner pendant un bon moment avant de repérer la rue où les mecs draguent. Peu de monde, beaucoup moins qu’avant. Mais tout de même
quatre ou cinq bagnoles stationnent dans le coin, lieu que je reconnais bien enfin. Certains automobilistes ont quitté leur volant et fument seuls, debout, appuyés contre leur portière. Je passe
et repasse, à vitesse réduite, histoire de mater les mecs. Ils ont la quarantaine ou légèrement plus, d’assez beaux mecs. Deux mecs me plaisent bien, la vingtaine, ils parlent et rigolent
ensemble. Ils ne semblent pas très intéressés par mes passages répétés. Ils sont en shorts blancs et dotés de bons paquets… Est-ce un couple de garçons, ou deux copains qui se sont retrouvés ?
Quelques autres voitures tournent comme moi. Je finis par m’arrêter et stationner un peu plus loin, à l’entrée de la rue, quand on vient de la gare. Je me souviens que je me mettais toujours à
cet endroit : ça permet de voir les passants qui arrivent à pied du centre-ville, les jeunes mecs par exemple, rentrant chez eux dans les HLM. Mais ça c’était avant ! Y-a-t’il toujours de jeunes
mâles en vadrouille qui habitent dans les nouveaux logements ? Je sors de la bagnole pour fumer une clope. Je trouve que c’est beaucoup plus calme que dans le temps; pratiquement plus de mecs à
pied cherchant fortune. J’attends encore un peu. Je rentrerai si ça ne s’anime pas plus.
Et là, surprise : je vois arriver un groupe de jeunes parlant assez fort entre eux. Plus ils s’approchent et plus les silhouettes me paraissent
intéressantes. Ils sont quatre. Il ne faudrait pas qu’ils viennent à Champfleury pour “casser du pédé”. Je remonte dans ma bagnole. Dans mon rétroviseur je vois un jeune se détacher du groupe;
les autres restent dans l’ombre. J’entends une voix qui crie à l’intention de celui qui s’avance dans ma direction : “Zid ! dis-lui que j’en ai une grosse, bien juteuse !”… Le jeune gars est
arrivé à hauteur de ma bagnole. Il s’approche du côté conducteur. J’avais baissé la vitre. Il me demande ; “T’as pas une clope, s’te plaît ?” Il a une super belle gueule. Je prends mon paquet et
lui tends une cigarette. Il la prend. “File-moi le paquet, sois sympa, comme ça j’en donne à mes potes…” J’hésite un peu : il me reste quand même une dizaine de tiges… Mais il est trop beau ce
jeune mec, je ne peux pas lui refuser !... “Merci… t’es cool, mec…” Il sourit, il a de superbes dents blanches; j’aime bien aussi sa coiffure :
si vous trouvez plus beaux, appelez-moi !
rasé sur les côtés avec de belles boucles sur le haut du crâne. Très originale et soignée. Avec sa gueule d’ange, sa coiffure et sa silhouette
sportive, il doit emballer toutes les meufs qu’il veut… Avant de rejoindre ses trois copains, il me demande à voix basse : “Tu cherches ?... Attends-moi ici, je vais aller avec eux, je fais
semblant moi aussi de rentrer chez moi, et quand ils seront tous montés chez eux, je reviens… Attends-moi, j’en ai pour dix minutes…” Il déguerpit aussitôt. Ses copains l’accueillent bruyamment,
heureux qu’il ait pensé à leur rapporter des clopes. Le groupe disparaît dans l’obscurité. J’attends.
Je regarde ma montre : ça fait un quart d’heure que je poireaute. Je me demande s’il va revenir… Et, sortant de je ne sais où, le voilà qui frappe à
la vitre, côté passager. Je sursaute. Il a l’air pressé, il ne veut probablement pas se faire remarquer. J’ouvre et il s’assoit à mon côté : “Démarre ! J’veux pas qu’on me voie… y’a peut-être des
mecs qui me connaissent putain, vite ! …” Je ne traîne pas et m’éloigne du quartier. Je suis tout émoustillé d’avoir ce jeune mâle assis à côté de moi :
vraiment je ne croyais pas que j’allais faire une si bonne pêche ce soir, tant tout paraissait si calme. “Prends la route de Villeneuve… je connais un endroit tranquille…” On traverse le Rhône,
l’île de la Bartelasse, le deuxième pont, on arrive bientôt aux Angles. J’ai profité de ce petit voyage pour en savoir plus sur ce compagnon tombé du ciel. Il m’a appris que son prénom est Yazid
(son diminutif “Zid”), qu’il a dix-huit ans, qu’il est en apprentissage au C.F.A de l’automobile, il veut devenir mécanicien. Il est seul chez lui en ce moment avec sa sœur aînée, leurs parents
étant en congé dans le village familial au Maroc. Ils sont partis avec les petits frères. Lui n’a pas voulu y aller cette année : on s’emmerde trop au bled. Il est bien plus libre seul ici avec
sa grande sœur; il peut sortir et rentrer comme il veut. Je lui demande d’enlever son tee-shirt pour voir son corps. Il le fait sans problème, fier de me montrer son torse. Il se caresse les
pectoraux dont les tétons, très foncés, me fascinent. Il a aussi de beaux biceps. “Dis, tu es super bien musclé pour ton âge…” “J’ai fait de la gymnastique quand j’étais au collège, de la barre
fixe et des barres parallèles… ça muscle bien… mais surtout la gym ça fait travailler tout le corps…” Je suis de son avis : “ Tu as raison, c’est pas comme les mecs qui font de la muscu en salle…
Les corps des gymnastes sont nettement plus beaux… Et maintenant, Zid, t’en fais encore de la gym ?” “Non, j’ai arrêté, ça me gonflait… surtout les entraînements, tout ça…” “Dommage… En tous cas,
ça t’a déjà bien développé le corps…” Et lui…? il est bien développé ?...” En lui posant cette question, de ma main droite je palpe son paquet, trop serré dans un bermuda-jeans, turquoise clair,
dont la couleur met bien en valeur le teint naturellement bronzé de sa peau. Sans gêne, il me répond : “Il dort encore… Mais tu vas voir, quand il va se réveiller, c’est un super beau jouet… Il
aime qu’on le câline…” Et il ajoute : “C’est pas pour me vanter, parole, il est pas mal… Les meufs me disent qu’au point de vue dimensions, il est nettement au-dessus de la moyenne… Tu aimes
faire quoi, toi ? Sucer ?...” Je réponds aussitôt : “J’aime tout !... mais sucer c’est un de mes trucs favoris…”. On a dépassé largement le deuxième pont sur le Rhône. “Tourne à droite…” La route
passe au milieu des vergers. “Dans ce coin, il n’y a que des cultures… des pêchers… on est super tranquilles… Tu vas pouvoir maintenant t’occuper de lui…” me dit Zid en se touchant le zeb.
J’arrête le moteur. De la route, en contrebas, on ne doit pas voir ma bagnole. J’incline vers l’arrière le dossier de mon siège. Zid en fait autant.
Il s’asseoit un peu plus haut sur son dossier, pour que son paquet soit à la hauteur de mon visage. Mes mains se précipitent, caressent, palpent l’engin. “Putain, Zid il est déjà super dur… tu
bandes bien mon cochon !” Je commence à ouvrir sa braguette. “Attends, je baisse mon froc… On sera plus à l’aise…” Il fait glisser vers le bas à la fois son bermuda et son slip. Sa queue saute
comme un diable de sa boîte !... Il a une belle queue de 17 ou 18 centimètres, épaisse, circoncise, plus foncée que le reste de son corps, de la même belle couleur brune de ses tétons… “Que c’est
beau !... Zid… j’adore ta queue, tes couilles…. ton petit ventrounet… “ Yazid se débarrasse totalement de ses vêtements, ne gardant que ses baskets fluo. Il m’offre ouvertement son beau corps
bronzé, entièrement nu. “Tu es un véritable chef-d’œuvre, Zid !....” une statue d'un mec tout seul non ! celle -ci montre une homosexualité
antique et si Yazid est beau, moi je suis représenté à ses côtés ! -lol- "Il veut savoir : -“Ça veut dire quoi, chef-d’œuvre ?” -“Ça veut
dire que t’as un corps parfait… comme les statues. Tu as déjà vu des statues anciennes ? Les sculpteurs leur ont fait des corps parfaits… Toi, t’es comme une statue grecque, même ta gueule, tes
lèvres, tous tes muscles… tes cheveux aussi, bouclés, tu ressembles à une statue gracque !”
Il rectifie : -“Sauf la bite !... T’as pas remarqué ? les mecs des statues ils ont toujours une petite queue…” Et il éclate de rire ! “C’est pas
faux… mais c’est parce que les sculpteurs, ils ne les sculptent pas en train de bander…” Je le caresse :” Là, toi, par contre tu l’as déjà bien raide… C’est pour ça qu’elle paraît plus grosse…
Même si, c’est sûr, la tienne est grosse… Il est magnifique ton zeb, t’as raison Zid !... Le beau zeb de Zid ! J’aime aussi tes boules… la forme qu’elles ont, bien rondes. Tu te rases les poils ?
“ -“Les meufs, elles préfèrent… T’as pas vu dans les films pornos, les mecs ils sont presque tous rasés!” Je donne mon avis : -“Personnellement, c’est vrai Zid, je dis pas ça pour toi, je préfère
les mecs sans poils… les mecs imberbes, à la peau glabre, ça met bien en valeur leurs muscles, la bite, les testicules… Allez, fais-moi un peu goûter ces petites merveilles que tu as là….”
J’approche ma langue et lèche ses couilles, sa verge, son périnée. Zid réagit comme je le souhaitais : il gémit, commentant et guidant mes gâteries
: “Vas-y, lèche-moi bien partout… comme ça… voila, sous les couilles… putain, c’est super bon !...” J’écarte ses cuisses pour aller plus loin ; son entrejambe sent très fort le sexe. Zid se
tortille de plaisir et moi je m’enivre de ce parfum de jeune mâle beur. Ma langue arrive presque à sa rondelle; mais même si j’en meurs d’envie je ne vais pas plus loin. Je reviens à sa bite,
dont je prends en bouche le gland. Zid m’arrête : “ Tu aimes mon zeb, hein ?...Attends… Reste plutôt couché sur le dos”. Sans sortir sa queue de ma bouche, il se place au-dessus de moi,
tête-bêche. Sa queue, à l’envers, s’enfonce lentement dans ma gorge. Cette position “gorge profonde” plaît bien aux mecs homos, mais l’inconvémient, chez moi, c’est que je m’étouffe… Je tape sur
une cuisse de Yazid pour qu’il se retire. Il ressort sa bite, je retrouve ma respiration : “Non pas comme ça, Yazid, pas si profond, ça fait mal et je m’étrangle !...” Il s’excuse :“D’accord,
j’arrête!... J’ai vu ça dans les films porno… je croyais que ça vous plaisait à vous, les gays…” Je ne réponds pas car ce chibre brun est tellement délicieux que je ne veux pas perdre un instant
! Pendant quelques longues minutes, Yazid me baise la gueule en faisant gaffe de ne pas trop enfoncer sa queue. Son rythme est régulier, je salive un maximum. En le suçant, je regarde ses abdos
aller et venir au-dessus de moi, se contracter dans l’effort, se relâcher. Que c’est beau un corps masculin en train de faire l’amour ! Il me baise avec un réel plaisir, j’entends qu’il
accompagne les mouvements de son bassin d’une respiration de plus en plus sonore. Puis, brutalement, Zid s’arrête, se renverse sur son siège, appuyant fortement avec ses doigts à la base de sa
verge. “Tu as mal, Yazid ?... Qu’est-ce t’as ?” “Non, c’est rien… J’allais jouir… Je ne veux pas éjaculer tout de suite… Je veux que ça dure plus longtemps…” Je suis rassuré : “Oui… t’as raison,
beau mec… On n’est pas pressés… T’’inquiète… je peux te faire jouir plusieurs fois…” Je reprends la fellation, j’évite tout de même de pomper sa queue avec trop de passion, ce qui risquerait de
précipiter les choses. J’arrête la pipe et préfère caresser ses cuisses, ses mollets. Que c’est doux, toutes ces parties de son corps, cette peau soyeuse sous mes mains ! Je m’occupe ensuite de
ses pectoraux, de ses biceps… “Tu es magnifique… Toi, Zid, tu pourrais facilement tourner dans des films pornos. Rien que de voir ton corps, les gays se branleraient des nuits entières !... Au
fait, toi te branles quand tu es seul ? ” “Ouais, de temps en temps… Surtout quand j’étais plus jeune, je me pignolais tous les jours ?” “Ça veut dire quoi se pignoler ?” “ Ah, tu sais pas ? Une
pignole c’est une branlette, on dit comme ça ici… Tu sais un jour un mec voulait me faire des photos, à poil, des gros-plans de ma bite, de mon cul, quand je jute, mon sperme… tout quoi… Il
disait qu’il allait me payer un max. Mes potes, ils m’ont dit de surtout ne pas le faire… il paraît que tu retrouves après tes photos sur internet…”
Yazid me paraît maintenant un peu moins excité. Je peux reprendre mes câlineries, en commençant par une fellation majuscule. J’aspire son gland à
fond, ce qui fait reprendre à son zeb la raideur et la dureté de tout à l’heure. Zid a l’air d’apprécier : “Putain, tu pompes super bien !... Les gays vous êtes tous des champions de la pipe,
mais à toi on devrait te donner la médaille d’or !...” J’arrête une seconde ma succion pour le remercier et lui expliquer : “C’est à cause de toi ! Tu es tellement beau, Zid, et ton zeb est si
goûteux que ca me rend dingue…! Quel dommage que je n’habite pas à Avignon, je te viderais les couilles tous les jours…” Il en profite pour glisser : “Au fait, pour me remercier, tu me feras un
cadeau, hein ? après ?… Avoue que t’as pas souvent sucé un mec qui te plaise autant !… ça mérite récompense !” Je ne le contredis pas, me disant qu’il faut que je me fende au moins d’un petit
pourboire… surtout que lui aussi va bientôt m’offrir à boire !... Ma pensée précède de quelques secondes seulement son orgasme. Le corps de Yazid se raidit, ses muscles deviennent plus saillants,
le jeune Beur arrête sa respiration, puis accompagne d’une main sa queue pourqu’elle ne rate pas ma bouche, Son bel instrument lâche toute une série de jets au fond de ma gorge. Je triomphe : il
est en train de jouir mon beau gymnaste ! Je savoure ce que je peux du jus resté sur ma langue, le reste je l’ai très vite avalé, comme par réflexe. Je l’ai senti couler dans ma gorge. Yazid
laisse sa queue plantée dans ma bouche pour que tout son foutre s’écoule jusqu’à la dernière goutte. Son orgasme n’aura duré qu’une dizaine de secondes. Puis le jeune Beur s’est relâché, laissant
tomber son corps sur le dossier du siège passager. Je retire sa verge de ma bouche. Je la regarde : elle brille tant elle est enduite de foutre. Certes, elle s’est un peu ramollie mais a conservé
toute sa longueur. Je la lèche de tous côtés. Je prends mieux le goût du sperme dont l’essentiel s’est écoulé directement dans ma gorge m’empêchant d’en ressentir la saveur. “T’as bien joui, Zid
?” Yazid attend quelques secondes avant de me répondre. “Putain j’ai super kiffé !... Tu suces hyper bien, mec ! Parole !...” Son compliment, à l’évidence sincère, me flatte. Ce qu’il ne sait
pas, c’est que moi aussi “j’ai super kiffé !” Le petit chef-d’œuvre, non seulement a une plus grosse queue que les statues grecques, mais en plus il en a une super juteuse !
“Toi, Yazid, t’as bien joui… mais moi pas !… J’ai des capotes dans la boîte à gants… et du gel… Tu veux pas m’enculer ?...” Zid me regarde, ne
sachant pas quoi répondre… “Ici… tu veux qu’on fasse ça ici ? Dans la bagnole ? Y’a pas beaucoup de place…” Afin de contrecarrer son argument je repasse tout de suite à la charge : “J’ai un plaid
dans le coffre… Si t’es d’accord, on sort… on fait ça sur l’herbe…” “Ok…si tu veux… mais on attend un petit moment, je suis encore un peu crevé…” Pour patienter, Zid me laisse lui caresser le
corps. Pas un pouce de sa peau ne va échapper à mes doigts, même ses joues, ses oreilles, son nez, ses lèvres, dont mon index suit les contours. J’aimerais tellement lui rouler une pelle,
explorer avec ma langue les recoins de sa bouche, mordiller le lobe de ses oreilles, lecher tout son corps… Je touche ses cheveux : ses mèches bouclées se relèvent après le passage de mes mains,
comme le gazon épais d’une pelouse qu’on vient de fouler. Vraiment, ce garçon a su trouver une coiffure qui le rend encore plus sexy. C’est un sacré séducteur ! Au bout d’une dizaine de minutes
de caresses, dans le plus total silence, Zid: “Alors, on sort maintenant, si tu veux ?” Lui, qui tout à l’heure m’avait paru si peu enthousiaste à l’idée de me niquer, semble maintenant avoir
retrouvé toutes ses envies de mâle…
Nous nous retrouvons tous les deux, à poil, allongés sur le plaid. Zid, après m’avoir caressé les fesses, m’a lubrifié le fion, à l’aide d’un, puis
de deux, même de trois doigts. Le fait de s’occuper ainsi de mon cul lui a redonné de la pêche. Il se confie : “Je vais t’avouer quelque chose : en vérité, je préfère presque niquer un mec que de
baiser une nana… Une chatte, c’est moins serré qu’un fion, ça donne moins de sensations, alors qu’un cul, même si le mec n’est plus puceau, c’est toujours plus serré… Tu sens ton zeb s’enfoncer
dedans… c’est chaud… c’est bon… En plus les mecs ils font tout pour que tu prennes ton pied. Toi, tu aimes te faire prendre comment ? Moi, je vais te dire, ce que j’aime bien, c’est quand que le
mec met ses jambes sur mes épaules. Comme ça, quand je le nique je vois sa gueule, je vois si ça lui plaît… J’aime bien aussi quand je le vois gueuler de douleur !...” “D’accord, Zid… C’est ok !
C’est une position que j’aime beaucoup, moi aussi…” Je me couche sur le dos, pose mes chevilles sur ses épaules. Yazid approche sa queue raide de mon cul. J’attends le moment divin où il va
coller la pointe de son zeb contre ma rondelle. Il a bien visé : il est juste en face. Il ne lui reste plus qu’à pousser. Deux ou trois coups de reins vont suffire. Le gel aidant, sa bite
s’enfonce peu à peu en moi. J’adore ce moment de possession par le mâle. Je sens que son zeb glisse, puis s’arrête ne pouvant aller plus loin au fond … Ses couilles sont maintenant plaquées
contre mes fesses. Yazid attend un peu, histoire que mon rectum s’habitue au format de sa pine. Puis il commence à me limer le cul. Plus d’un quart d’heure de bonheur ! A aucun moment je ne
ressens la moindre douleur. C’est une pénétration parfaite, sans violence, qui donne le frisson à chacun de nous. Yazid semble heureux de me prendre, et moi béat d’être pris. Cette position est
aussi très avantageuse pour le passif ! Je peux voir mon jeune mâle s’appliquer dans sa baise, pour que le rythme de ses coups de reins soit le plus régulier possible et pour que sa queue
coulisse bien, sans risquer de déculer quand elle ressort. Il remue bien son bassin d’avant en arrière. Le corps du Beur vibre d’excitation. Je frémis moi aussi, tant le dard de mon partenaire
déclenche en moi une foultitude de petits bonheurs physiques, notamment sur ma prostate, délicieusement caressée à chaque passage de son pénis. J’ai rarement pris autant de plaisir à me faire
ramoner le cul ! Nombre de mes amants, trop soucieux de leur seule jouissance, m’ont souvent brutalisé, me faisant regretter parfois de leur avoir si ingénûment tendu mes fesses. Avec Zid, rien
de tout ça, rien qui me torture le boyau, agréablement parcouru dans les deux sens. Son magnifique pénis, raide et dur, tôt ou tard, l’inondera de sa liqueur mâle, fruit de ses deux belles boules
rondes, que j’ai chauffées avec ma langue à plusieurs reprises ce soir.
Zid arrête d’un coup ses va et vient, contracte tous les muscles de son corps, poussant sa queue en core plus au fond. J’ai compris : son jus va
gicler, mon actif va délirer de jouissance ! Cette idée d’orgasme imminent déclenche chez moi la même réaction. C’est ma première éjaculation de la soirée ! Je sens mon sperme s’échapper de ma
queue… quel pied ! je le vois s’étaler sur mon ventre… C’est divin ! Je sens parallèlement la chaleur du foutre de Yazid envahir mon cul. Lui aussi est en train de jouir !!! Une double
éjaculation, simultanée, le signe d’une parfaite entente entre nous. Zid, satisfait m’a vu juter : “Toi aussi t’as joui, cette fois, en même temps que moi !!. Tu as eu droit, ce soir, à deux
doses de Yop, petit veinard ! T’as du bol, parce que je ne m’étais pas branlé depuis trois ou quatre jours… Ce soir, j’avais trop besoin de changer l’eau des olives… C’est mon pote Kacem qui dit
ça…” Je ris puis rectifie : “En ce qui te concerne, l’eau des olives ressemble plutôt à de la mayonnaise !”. Zid se marre fièrement.
Après nous être nettoyés avec des lingettes pour bébé, nous nous rhabillons. Je donne alors à Yazid la récompense promise … et si méritée ! Nous
rentrons à Avignon. Pendant le trajet, je caresse sa cuisse, heureux de garder ce contact physique jusqu’au dernier moment. Quand je le dépose à une cinquantaine de mètres de son petit immeuble,
j’ai le cœur gros. Je sens que je bande à nouveau. J’ai rarement passé une soirée aussi jouissive. Comme je voudrais le revoir mon beau Zid, mon jeune gymnaste beur !¤
beau et parfait (de
haut en bas) comme une statue grecque !
AVIGNON CAPITALE MONDIALE DU THEATRE
Phia Ménard entraîne le public dans une expérience tellurique qui va le plonger au coeur des combats contre les normes, au coeur des revendications
pour des identités libres. Il est question de défier le pouvoir patriarcal, de s'extraire de l'assignation des genres, en apportant de nouveaux gestes, de nouveaux rituels poétiques qui vont
nourrir notre imaginaire.
il y a ceux et celles qui dansent sur le pont d’Avignon etil y a ceux qui
dansent une autre gigue sous le pont d’Avignon où on s'encule tous en rond .
Le « genre » dans tous ses états, tel était le thème cette année du
Festival d’Avignon. Et comme le théâtre est le lieu de l’inversion et de la confusion des rôles, je me suis précipité dans la “Cité des Papes”, en espérant que, sur scène, bouleversant tous les
tabous, cette édition 2018 serait l’occasion de l’affirmation triomphante des identités sexuelles. Je dois dire que côté spectacles, je suis resté un peu sur ma faim… Par contre, hors festival,
j’ai passé une soirée, aussi inattendue qu’exceptionnellement chaude, qui restera longtemps dans mon souvenir, me faisant sans doute estimer, en fin de compte, que ce festival est l’un des
meilleurs et des plus réussis auxquels j’ai assisté…
cul nu et bite nue que c'est joli 13 plis roses saturés de sperme Mais non il ne faut pas s'en tenir au
fait qu'il se laisse enculer sans capote et sans violence aucune : ça ne fait pas de lui une lope
Sonnet du Trou du Cul
le texte d'Arthur Rimbaud retouché par Verlaine
Obscur et froncé comme un oeillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encor d'amour qui suit la pente douce Des fesses blanches jusqu'au bord de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait Ont pleuré, sous l'autan cruel qui les repousse, À travers de petits caillots de marne rousse, Pour s'en aller où la pente les appelait.
Ma bouche s'accoupla souvent à sa ventouse ; Mon âme, du coït matériel jalouse, En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C'est l'olive pâmée, et la flûte caline ; C'est le tube où descend la céleste praline : Chanaan féminin dans les moiteurs éclos !
certains croient qu'il n'est fait que pour expulser il est -à égalité- fait pour absorber comme, dans le ciel,
un trou noir, un vorticeglouton, avide, plein d'appétit, insatiable -lol-
oh, viens vite mon Arthur à moi !
mon coeur bat, v i ens !-" tu es une merveille, sans aucun besoin de stimulant sexuel toujours prêt à me pénétrer"
- "et toi tu es ma Mare au Diable, l'attrait magique de ma bite bandée"
pure calomnie sans doute...Je serais le premier à me réjouir si c'était vrai ! Sincèrement -en dehors de toute politique- j'aimerais les voir se
réunir tous les trois car je suis un partisan et défenseur des trouples (throuples pour les anglosaxons)
L'un d'eux avait plus de maîtrise que le fougueux qui a dé...toné et mis fin de ce fait à une belle relation, dissymétrique quelle qu'en
soit la nature.
chacun d'eux avec sa culture, sa valeur
personnelle, a su mener sa barque de son côté, chacun rêvant probablement qu'ils embarqueraient dans la même ; navrés sans doute de devoir naviguer désormais vraiment chacun de son
côté
fragilisé et seul sur une coquille de noix...mais rassurez-vous il sait mener sa
barque...
seul dans sa cuisine,
finies les invitations secrètes. J'ai fait le con fake photo
" STORY TELLING" : Le Chat Botté roule pour le Marquis de Carabas
A...B..., 26 ans, pourra en raconter à ses petits enfants ou petits neveux. mis en examen dimanche pour des violences contre un
manifestant, a connu à l'ombre des politiques une ascension rapide, mais émaillée d'incidents.
et que ça ne le vexe pas - car j'imagine et j'ignore- mais, femme ou homme en ferait un très bon bel amant. Mais l'alcove fait la vie belle et pas toute la vie.
Membre des jeunes socialistes issu d'un quartier populaire d'Evreux, A... B... intègre en 2010 le service d'ordre du PS après avoir été portier d'un
bar à Rouen. "Gentil", "sérieux" : les témoignages recueillis sur lui dans sa Normandie natale sont positifs.
Au lycée Augustin-Fresnel de Bernay (Eure), qu'il a quitté en 2009, on se souvient d'un "gamin gentil, poli et reconnaissant", rugbyman "attachant"
et "pas bien costaud".
Un élu socialiste de l'Eure qui l'a connu à l'époque évoque "un jeune homme gentil, serviable, pondéré et calme. Quelqu'un qui voulait s'en
sortir."
"C'était quelqu'un de calme et posé", se souvient aussi Eric Plumer, chef du service d'ordre du PS en 2010 et son premier employeur en politique,
qui dit avoir "formé" M. B... et n'avoir "rien à lui reprocher".
A...B... est affecté à la sécurité de Martine Aubry lors des primaires du parti en 2011. "Il était très sérieux dans les missions
que je lui demandais", se souvient M. Plumer.
L'entourage de l'ancienne Première secrétaire du PS (2008-2012) évoque un homme "plutôt discret". A...B... fait aussi partie du service d'ordre de François Hollande durant la campagne de 2012.
Arnaud Montebourg pas tendre :
A...B... travaille ensuite pour Arnaud Montebourg, alors ministre du
Redressement productif: "Je m'en suis séparé au bout d'une semaine après une faute professionnelle d'une première gravité: il avait provoqué un accident de voiture en ma présence et voulait
prendre la fuite", a-t-il raconté au Monde, puis à l'AFP.
"Rambo"
Titulaire d'un master de droit, selon la presse locale, A...B...effectuera un passage à
Casablanca dans une société de sécurité. Il intègre ensuite l'équipe de sécurité d'Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle.
A...B... devient "l'épaule" du candidat, son plus proche garde du corps. Plusieurs
journalistes se sont plaints de son comportement "musclé" et au siège de campagne En Marche, on le surnomme "Rambo".
Les Jeunes Communistes de Bobigny et Drancy ont affirmé dans un communiqué qu'un de leurs camarades "a été frappé après avoir été traîné à l'écart"
parA...B...en marge d'un rassemblement à Bobigny, en 2016.
Le niveau de ses dépenses pousse Cédric O, alors trésorier et devenu conseiller d'Emmanuel Macron, à le rappeler à l'ordre sur "ce qui peut faire
l'objet d'une note de frais ou pas" dans un mail interne publié dans les Macron Leaks.
Dans d'autres mails issus des Macron Leaks, A...B...a aussi été rappelé à l'ordre en mars 2017
par Cédric O alors qu'il souhaitait passer "commande d'armes pour le mouvement" (pistolets "gomme cogne", boucliers anti-émeute, etc).
A...B... s'était vu refuser une autorisation de port d'arme pendant la
campagne par le cabinet du ministère de l'Intérieur. Il l'a obtenue ensuite via la préfecture de police de Paris.
Celui dont le mariage devait être célébré le week-end dernier est lieutenant-colonel de la réserve opérationnelle de la gendarmerie nationale, un
grade élevé qui n'est presque jamais atteint avant 40 ans, mais "conféré au titre de son niveau d'expertise", a justifié la gendarmerie.
"Il n'a pas été employé depuis 2015", a précisé la gendarmerie. Et "en 2017, il a été radié à sa demande de la réserve opérationnelle, et a été
intégré comme spécialiste expert pour apporter un éclairage sur la fonction protection".
Après la victoire d'Emmanuel Macron, A...B...est "chargé de mission" en matière de sécurité,
en tant qu'adjoint au chef de cabinet du président, François-Xavier Lauch. Il est perçu comme l'un des très proches garants de la sécurité du président, qu'il accompagne souvent lors de divers
déplacements, officiels ou privés.
La piste gay développée par Video World sur youtube :
Je serais le premier à me réjouir si c'était vrai je vous dis ! Sincèrement -en dehors de toute politique- j'aimerais les voir se réunir tous les
trois
NOTES :
Emmanuel Macron torse nu à la Une d’un magazine gay. Découvrez la réaction de son staff
Par l’intermédiaire de sa chargée de communication, Emmanuel Macron, a réagi à la Une de Garçon magazine, un bimensuel gay, dans laquelle il
apparait torse nu. Dans ce photo-montage, il y est aussi question d’un «Coming out, en référence aux rumeurs d’homosexualité visant le leader d’En Marche il y a
quelques mois.
Sibeth Ndiaye, la chargée de relation presse du candidat, estime qu’ « utiliser son image sans son autorisation, ça n’est pas très élégant,
ce n’est pas très agréable ».
«Son image a été détournée plein de fois, à diverses reprises. Il n’y a pas besoin de ça pour qu’il y ait des rumeurs qui courent. Emmanuel Macron
a toujours été clair sur sa vie privée », indique-t-elle par ailleurs.
En entretien avec «Le Parisien », Emmanuel Macron était aussi revenu sur la rumeur sur sa prétendue liaison avec Mathieu Gallet, une rumeur qu’il
juge « dégradante ».
«Je l’ai traitée avec humour, parce que c’est la meilleure manière de traiter les rumeurs. On disait dans les dîners parisiens que j’étais
homosexuel. C’est déstabilisant pour vos proches, pour vous-même. Mais cela en dit surtout long sur la dégradation profonde des mœurs politiques, sur l’homophobie et la misogynie rampantes. Si
j’avais eu 20 ans de plus que mon épouse, personne n’aurait pensé que nous puissions être un couple illégitime », expliquait-t-il.
Si Emmanuel Macron a fait cas des rumeurs selon lesquelles il aurait une liaison avec Mathieu Gallet, se serait à cause de « Google trends ». Les
recherches sur cette rumeur avaient en effet explosé sur Internet depuis janvier. Lors d’un meeting, le leader de En Marche était revenu sur ces bruits de couloir qui alimentent « les dîners en ville », sur sa prétendue liaison
avec Mathieu Gallet, le patron de Radio France.
«Pour mettre les pieds dans le plat, si dans les dîners en ville, si dans les boucles de mails, on vous dit que j’ai une double vie avec Mathieu
Gallet ou qui que ce soit d’autre, c’est mon hologramme qui soudain m’a échappé mais ça ne peut pas être moi! », avait-t-il lancé lors d’un meeting à Bobino, à Paris, en référence à la
performance effectuée par Jean-Luc Mélenchon, dont le meeting à Lyon était dédoublé en direct à Paris grâce à son hologramme.
Si Emmanuel Macron a évoqué cette rumeur, c’est parce que son entourage s’est rendu compte que des requêtes sur Google ont souvent associé son nom
à celui de Mathieu Gallet. Ces recherches ont explosé depuis la mi-janvier, rapportait le Parisien. Et il avait décidé de mettre les pendules à l’heure.
Ben, tu as beau l'essorer, tu sais bien qu'il en reste toujours un peu. L'urine est la
première retenue à toucher voire, branler, sucer la bite d'un autre. L'nverse n'est pas vrai car ça ne te touche pas que ton suceur absorbe le peu d'urine qui forcément est restée
dans ton conduit urétral ! -lol- Quand tu suces les premières fois tu y penses peut-être un peu et, peu à peu, de fois en fois, cette crainte s'estompe et disparaît. Te voilà plus
libre de ta première inhibition et tu t'en étonnes toi-même car, au départ la répulsion était forte et accompagnée de celle qui concerne l'odeur le parfum d'une queue.
Après il y aura le sperme. Par exemple un éjaculateur précoce te jute par surprise dans la bouche. Peu à peu tu te fais à
ce risque et même tu arrives à y prendre goût.
Se laver les mains après avoir pissé est facultatif. Après tout, vous n'avez touché que votre bite,
n'est-ce pas? Moins des deux tiers des hommes se lavent systématiquement les mains après avoir pissé, ce qui est un chiffre encore trop optimiste.
selon cette enquête statistique anglo saxone 63% se lavent 21% quand ils peuvent 9% allez..fréquemment 4% rarement 2% avouent ne jamais le faire BOF
!
Pour ceux qui sont encore dans le doute, posons la question une fois pour toutes: devons-nous craindre le contact avec les gens qui ne se
lavent pas les mains après avoir uriné?
- moi je dis; " les mains je m'en fous d'autant que je vais après fourrager dans leurs braguettes, renifler, me vautrer, me bifler tout seul, me
saoûler de ses effluves
Simple EXCREMENT pour certains, boisson d'or aux vertus thérapeutiques pour d'autres... depuis l'Antiquité, l'urine est
avant tout un outil pour les médecins. Une source précieuse qui permet de diagnostiquer les maladies / .
Les propriétés de l'urine
L'amarolie consiste à utiliser sa propre urine pour la toilette ou en boisson thérapeutique.
L'urine est un liquide normalement clair. Si l'on boit plus, sa couleur s'éclaircit et au contraire, elle fonce si nous réduisons nos apports. C'est
ce qui arrive le matin, après une nuit sans boire. Elle est composée à 95% d'eau. Pour le reste, on y trouve des minéraux comme des sels (sodium, chlore), mais aussi des déchets. Les protéines,
par exemple, sont utilisées par notre corps. À la fin, il ne reste qu'un produit : l'urée. C'est ce produit qui est mesuré dans le sang et dans l'urine pour évaluer le fonctionnement des
reins.
L'urine a des vertus plus ou moins connues. Cela a été l'un des premiers désinfectants car ce liquide est neutre, une qualité qui a rendu beaucoup
de services dans le passé ou dans les situations de crise.
Pour certaines personnes, l'urine est aussi tout un mode de vie... Elle sert à purifier sa peau et/ou joue le rôle de boisson thérapeutique. C'est
ce que l'on appelle l'amarolie.
AYé VOUS ETES DESHINIBé , BRAVO §
A tous ceux qui sont encore libres pour pouvoir encore apprendre et sans peur ni doute qui sont à l'origine des dépendances ! A tous ceux qui sont
capables de dépasser les croyances et les émotions négatives qui empêchent d'avoir soi-même directement son expérience personnelle pour pouvoir parler avec honnêteté, avant même d'être malades !
MERCI POUR TON COURAGE ET POUR TON AUTHENTICITE EXEMPLAIRES cher Docteur Christian Tal Schaller et BRAVO pour cette publication Jean-Marie Muller
:
BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...
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