je plaisante...en fait je suis pas si libre que ça...je suis bi, mais marié, comme toi
!
Je me pense comme bi, je suis en couple avec une femme, mais j'avoue être parfois être excité par le fait , de baiser avec un homme ou plutôt, pour être
honnête, de me faire baiser par un homme.
Bi
non assumé, , c'est pour ça que j'ai si peu de plans… ici, dans l'anonymat d'un camion, je me dis que c'est la bonne occasion.
J'étais parti tôt le matin de Paris, je devais me rendre dans le
sud de la France.
Voulant voyager pour pas cher, je m'étais résolu à faire du stop.
De véhicule en véhicule, je me rapprochais doucement de ma destination, au niveau de Tours, il était peu avant 11h et j'avais fait plus de la moitié
du chemin, parfait.
Cela faisait maintenant 10 minutes que j'attendais sur une aire d'autoroute que quelqu'un s'arrête quand un routier me propose de m'emmener plus au
sud. Parfait, on the road again !
Et puis la vue depuis un camion n'est pas mal !
Lui, Serge, la quarantaine, souriant, bien foutu mais avec un petit bide, on se met à discuter, de ma vie de voyages, de sa vie sur les routes… une
rencontre banale comme il s'en passe tant.
N'ayant pas l'habitude de monter dans un camion, et plutôt curieux, je lui demande si je peux jeter un coup d'œil, pourquoi pas.
Il y a tout ce qu'il faut pour vivre à l'arrière, sympa.
Quand mon regard est attiré par une pile de magazines gay. Il rougit un peu, je lui dis que je m'en moque. Les a-t-il
laissés là exprès, pour ses hôtes de passage ? C'est efficace comme entrée en matière !
Il m'explique que sur les routes, ce n'est pas toujours facile, qu'avec sa femme il y a des hauts et des bas, des choses qu'elle refuse ( on devine lesquelles)et puis ils ne se voient pas souvent.
Je compatis, nous parlons des problèmes en la matière quand on est loin du foyer.
C'est là que je saute sur l'occasion. Quitte à me répéter, j'ai 30 ans, si j'ai eu mon premier plan gay a 18, je n'ai pas fait beaucoup de
rencontres, peut-être 4/5 depuis une dizaine d'années. Je me pense comme bi, suis en couple avec une femme, mais j'avoue être parfois être excité par le fait de baiser avec un homme, ou plutôt,
pour être honnête, de me faire baiser par un homme.
Je ne l'assume pas vraiment, c'est pour ça que j'ai eu si peu de plans… Mais ici, dans l'anonymat d'un camion, je me dis que c'est la bonne
occasion. On continue de parler de sexe et je dois avouer être pas mal excité, lui aussi d'ailleurs, son pantalon commence à être « bossu ».
Bien qu'effrayé par sa réaction je lui demande alors, poliment, si je peux le sucer. J'espère juste qu'il ne me jettera pas dehors.
Il me regarde surpris, puis rigole, il me dit pourquoi pas…
Oui, c'est un paradoxe : si quand je baise ma copine, je suis plutôt dominateur et actif, je fantasme quand je baise avec un homme, je vais
être le soumis, la salope, me faire baiser comme une actrice de film porno.
Quand je vois Rocco défoncer à grands coups de bite une actrice, lui enfoncer sa bite jusqu'à ce qu'elle étouffe, que les larmes lui sortent des
yeux et qu'elle se débat pour respirer, l'enculer d'un trait jusqu'aux couilles, lui pilonner les intestins, lui éjaculer des litres de foutre sur la gueule et après ça l'enculer encore, j'en
bande et je rêve d'être a la place de la nana, bref, ça ne sera pas aussi intense, mais puisque j'ai la permission de le sucer, je me dis qu'il faut que je me donne à fond, que je m'amuse, c'est
l'occasion !
Je commence par enlever ma ceinture de sécurité et me penche vers son entrejambe, je lui masse doucement la bite à travers son pantalon, celle-ci
continue de grossir et je sens maintenant une bonne grosse bosse !
Je donne des coups de langue sur son jean et lui embrasse le sexe à travers.
Je pense qu'il aime ça, je l'entends souffler plus fort, il doit être heureux de sa chance, s'il savait combien, moi aussi, je suis content de cette
bonne occasion !
J'ouvre sa braguette, et passe une main à travers, maintenant seul son caleçon me sépare de l'objet de mes envies. Hum, je sens une grosse bite,
battre au rythme de son excitation, je deviens salope, de ma voix la plus soumise je lui demande si je peux toujours le sucer, si ça ne le dérange pas… Il est tout rouge, concentre sur la route,
et me lâche un « putain oui ! »
Il se dégage de son pantalon, celui-ci tombe sur ses genoux, j'extrais sa bite, elle est là, à quelques centimètres de mon visage, un peu moins
d'une vingtaine de centimètres, mais épaisse, belle, d'elle se dégage une impression de puissance, le gland est un peu plus gros que la hampe, violacé par le désir, une veine bat sur le coté, je
suis super excité, mais me demande quand même comment je vais réussir a tout faire rentrer dans ma bouche, quant à mon cul, ça fait quelques années qu'il n'a rien reçu, j'espère que ça passera !
tout ça m'excite !
Il n'y a qu'une seule première fois, j'ai envie de mettre dans le mille, alors d'une main je branle sa bite, quand de ma bouche, je souffle
doucement de l'air chaud autour de son gland, ne le suce pas encore, j'ai envie d'une pipe magistrale, j'accumule de la salive dans ma bouche et ça y est, j'y vais, entrouvre à peine ma bouche,
aspire et commence doucement à prendre son gland en bouche.
Je m'ouvre en grand et descends le long de sa tige. Je l'entends pousser un râle de plaisir !
Je serre aussi fort que possible mes lèvres, celle-ci sont déformées par le diamètre, mais je continue et descends aussi bas que je le peux. À peine
la moitié, je bloque et doucement remonte jusqu'à ne garder que le gland en bouche. Quel goût, quelle sensation que d'avoir une grosse bite bien dure dans la bouche !
Je joue avec, le suce doucement, tourne ma langue autour de son gland, tout en le masturbant au même rythme. J'essaye d'être synchronise entre ma
bouche et ma main, de lui donner le maximum de plaisir.
Je refais la même une chose une dizaine de fois tout en salivant le plus possible, il faut que ça bite soit dégoulinante de ma bave si je veux
pouvoir le prendre jusqu'aux couilles.
À chaque fois je descends un peu plus, ouvre ma bouche en grand, je sens le gland qui pousse sur les amygdales, qui descend un peu plus, mais à
chaque fois je m'arrête, un réflexe de haut-le-cœur. Je le garde le plus longtemps possible, je sais que les contractions de ma gorge lui donnent du plaisir et que ça me fait saliver davantage,
et si je salive plus j'aurai plus de chance de le prendre en gorge profonde. Je dois être masochiste, mais j'ai envie de faire disparaitre toute sa bite dans ma bouche, de l'impressionner ! Alors
je continue, mais rien à faire, il en reste toujours dehors !
Il souffle fort, me dit que c'est bien que j'ai une bonne bouche de suceuse, il reste poli dans l'essentiel et j'aimerais bien aller plus
loin…
J'arrête et lui demande s'il aime ça, s'il veut que je continue, il me répond que oui, c'est super.
Mais je veux plus, je place mes mains sur ses cuisses, sa main sur ma nuque et lui demande dans les yeux, sa bite contre ma bouche de m'aider, «
s'il te plaît, aide moi à tout prendre ! »
Il me regarde et semble réfléchir deux secondes, me demande si je suis sûr, pour toute réponse je recommence à descendre le long de sa bite, bloque
aux 2/3, essaye de descendre davantage, impossible, je vais pour remonter, quand je sens sa main me bloquer, ça y est, il a compris. Il me garde comme ça, j'essaye encore, des larmes arrivent,
des sensations de rejets, une puis une autre, je commence à me débattre, je veux remonter, mais il bloque bien.
Enfin il relâche sa pression et je peux respirer, j'halète, le visage en larmes, des filets de bave relient sa bite à ma bouche, j'adore, je le
regarde dans les yeux, l'air de dire, c'est tout ?…
Il me renfonce sa bite dans la bouche et appuie, appuie encore, centimètre après centimètre, sa bite est pleine de ma salive, je dégouline, je ne
sais plus quand est la dernière fois ou j'ai respiré, mais enfin, mes lèvres touchent son ventre, victoire !
Je ne bouge plus, m'immobilise. Je pense à ces actrices video qui une fois ici arrivent à sortir leur langue pour lécher les couilles, putain
elles sont fortes. J'essaye, mais je n'y arrive pas. J'ai besoin d'air je me débats, et enfin me redresse, respire. J'ai la tête qui tourne, je cherche mon souffle, mais j'ai réussi à le sucer
jusqu'aux couilles !
Je regarde autour, nous sommes arrêtés sur un parking, tellement concentré à pomper sa bite que je ne m'en étais pas rendu compte.
Mais je suis fier, j'ai réussi à prendre toute sa bite en bouche, j'ai mal aux mâchoires, mon visage n'est que larmes, dégoulinant de bave, j'ai
failli m'étouffer 10 fois, mais j'adore, ma bite est dure au possible, ma rondelle palpite et veut sa part, je kiffe !
Il me prend la tête à deux mains maintenant et me baise a grands mouvements, sa bite entre et sort presque entièrement, je ne suis qu'un trou, il
m'insulte, me traite de bouche à bite, de petite salope…
De temps en temps il me laisse reprendre mon souffle et je ne peux que l'en remercier.
Il me biffle, caresse mon visage de sa bite, me donne des ordres, des consignes, puis entre deux « apnées », provocateur (stupide ?), je lui demande
s'il pense être assez dur pour m'enculer ?
Il me regarde et explose de rire, me traitant de sacrée salope, et me disant de ne pas m'en faire, que mon cul aussi va prendre cher, mais que pour
l'instant il fallait finir de s'occuper de sa bite, sinon il ne pourrait pas bien me baiser.
Il me décolle donc de sa bite, se lève, et va s'assoir dans la cabine arrière, jambes écartées, le sexe fièrement dressé, dégoulinant de bave, et il
me dit de venir la bouffer, de venir bouffer sa bite, j'ai l'impression d'être dans un film, sa voix, ses ordres, tout m'électrise, j'ai envie de le sucer comme si ma vie en dépendait.
Je viens à lui à 4 pattes, m'agenouille à ses pieds (je dois avouer qu'à ce moment, même si je prenais mon pied, je n'en menais plus aussi large, ma
gorge, mes mâchoires et ma langue étaient en feu, douloureux !)
Je me penche vers son gland, gros et terrifiant, je vais pour le mettre dans ma bouche quand il écarte sa bite et me bloque la tête, il me fait
lever les yeux vers lui, je suis à genoux, la bouche a moins de 5 centimètres de sa bite, hagard, et chienne, étourdi de plaisir, domine et prenant un pied d'enfer…
On voit tant de gens, qui après, voire bien après, après s'être bien régalés, vous accusent de viol
!
Il me
demande si je sais ce qui va se passer ensuite, si j'ai vraiment envie de me faire enculer. Je lui réponds que oui.
Il me dit que maintenant il va me baiser, me demande si c'est ce que je veux. Il me dit qu'il va vraiment me baiser et que j'ai intérêt à être
prêt.
Il me dit aussi qu'il va gicler et que j'aurai intérêt à tout avaler, il me dit qu'il n'a aucune MST et me demande encore une fois si c'est ce que
je veux.
J'ai peur, mais je suis aussi très excité, alors d'une voix timide je lui réponds dans un souffle, oui.
Oui quoi ? il me demande de répéter
Il me demande de répéter que j'ai envie de le sucer encore, que j'ai envie qu'il me baise la bouche, de bouffer son sperme et me faire enculer, de
me faire enculer à fond.
Je suis comme pétrifié, je n'ose pas répondre, puis je réalise tout le chemin que j'ai déjà parcouru ,alors quelque chose bascule en moi, une
sécurité s'envole, un fusible lâche, et je lui dis que oui et j'en rajoute, j'ai peur, mais je prends un pied d'enfer !
(je dois préciser que je suis super parano, capote obligatoire, je ne suis pas du genre à prendre de risque, je n'ai donc jamais pu jouer avec du
sperme comme j'aurais aimé. Il avait l'air reglo, je lui ai fait confiance, même si j'ai vraiment stressé les 3 mois suivants a attendre pour faire un test MST !)
Il se lève, me domine de toute sa taille, je suis à ses pieds, à genoux, il me dit de mettre mes mains sur mes genoux et de ne pas les bouger, en
aucun cas. Il me dit que je dois maintenant le sucer, j'entrouvre mes lèvres pour le sucer, mais il joue avec sa bite, caresse mon visage avec, tapote son gland sur ma langue, sur mes joues, c'et
humiliant, mais je joue le jeu, je le regarde dans les yeux et gémis.
Puis il rentre sa queue centimètre par centimètre, j'ouvre en grand, il est tout au fond, j'ai son énorme bite en entier dans ma bouche. Il la sort
tout doucement, ne laisse que le gland puis re rentre, c'est lui qui donne le mouvement, la vitesse, moi je ne fais que le regarder dans les yeux et saliver, encore et encore.
Je sens sa bite durcir, bondir, prise de soubresaut, il accélère, puis me dit d'ouvrir la bouche, je pense à ces actrices pornos, ouvre la bouche,
tire la langue et gémis comme une chienne, lui demande de gicler dans ma bouche, de me donner son sperme.
Il se branle devant moi, j'ai sa bite entre mes yeux, quand le premier jet part et éclabousse tout mon visage, il appuie sur ma tête et me fait
redescendre sur sa bite, aller et venir, son jus me remplit la bouche, je n'arrive pas à avaler assez vite, sous la pression, son sperme coule à la commissure de mes lèvres. Il me bloque la tête
en me traitant de bonne chienne, me dit de ne pas en perdre une goutte, de tout avaler, je fais de mon mieux, mais il y en a un peu qui coule sur sa bite, je m'active et lèche tout, je suis
déchainé et affame ! J'ai des hauts le cœur, je ne sais pas si c'est dû à la gorge profonde ou à la quantité de sperme qu'il déverse, je ne suis plus là que pour son plaisir. Il reprend ses
allers retours, doucement, dans ma bouche, me disant que maintenant qu'il m'a bien mis la dose, qu'il ma giclé à la gueule, il va s'occuper de mon cul, juste le temps de rebander.
Il me conseille de saliver sur sa bite, de la rendre dégoulinante, sinon ça sera dur pour moi !
Alors je m'applique, je le fais durcir à nouveau et bave le plus possible sur sa queue.
Dans un geste plein de soumission et de bonne volonté je m'agenouille sur le sol, penché, le buste en avant, la tête contre le sol, de mes mains
j'écarte en grand mes fesses pour lui présenter mon offrande. Cette cible, il ne pouvait pas la rater.
Et en effet, je sentis rapidement son gland se poser sur ma rondelle, impressionnant, dur et gorgé de sang. Mais il ne chercha pas tout de suite à
rentrer, il fit d'abord aller et venir sa bite dans ma raie, peut être pour s'exciter, peut être pour me faire prendre conscience de la taille de son mandrin, pour me marquer de son
sceau
Il vient de poser son gland sur mon anneau et commence à forcer le passage !
Comment quelque chose de si gros peut rentrer dans quelque chose de si petit !? C'est un concours entre la bouche et
l'anus, pour savoir celui qui sera le plus permissif -lol-en fait je sais maintenant que c'est toujours le cul qui gagne !
Il pousse encore et je sens mon anus s'écarter. Je ne peux retenir un cri, son gland, en forme de gros champignon ouvre mon anus, prépare le passage
pour la suite.
Je me crispe sous la douleur et lui demande d'arrêter, de m'accorder quelques secondes, un répit. J'ai besoin de respirer.
Je cherche en moi les ressources, reprends mon souffle et respire un grand coup, dans un souffle, je lui dit "vas y".
Alors doucement je sens cette colonne de chair me pénétrer, créer son propre chemin à travers moi, écartant mes organes sur son passage, se faisant
une place au fond de mon intimité.
Je suffoque sous la pénétration. Je n'en reviens pas de la sensation.
Sa bite, version saucisse de morteau, imposante, est en moi, je sens le sang pulser le long du gland, les vibrations de sa verge. Je me demande
comment j'ai fait pour tout accepter, quand lançant ma main derrière moi pour lui demander de faire une pause, je realise qu'il est encore loin d'avoir tout rentré. Peut être à peine la moitié,
mon dieu comment allais je tout encaisser !?
Je n'avais pas fini de me poser la question que déjà il était en train de déculer.
Il ne s'arrête que quand seul son gland reste a l'orée dans mes reins, puis d'une poussée continue, profonde, il me remmanche. Aouch !
Rentrant chaque fois un petit peu plus profond, un petit peu plus loin, m'écartelant et repoussant mes chairs de l'intérieur, il fait doucement son
chemin.
Je suis en nage, j'en tremble, sans savoir si c'est de désir ou de douleur. Heureusement qu'il me tient fermement par les hanches, sinon je pense
que je me serais dégagé. Mais ça doit l'exciter que je gémisse et gigote sous lui, que je me tortille pour essayer de me dégager de cette queue qui m'enculait toujours plus profondément.
Quand enfin je sens ses couilles battre contre mon cul, son pelvis contre mes fesses, j'en pousse un râle de plaisir, il est là, vraiment, en entier
au fond de moi. Enfin.
Je ne peux plus bouger ni respirer.
Les yeux exorbités, la bouche grande ouverte, cherchant mon air comme un poisson hors de l'eau, Je gémis en continu. La sensation est
incroyable.
Il me laisse quelques instants m'habituer à la sensation puis se penche vers moi et me demande ce qu'il est en train de faire, en train de me
faire.
J'ai peut être été trop long à répondre, il me fesse en me reposant la question.
Alors je lui dis qu'il a sa bite tout au fond de mon cul, qu'il est en train de m'enculer.
Il rit et me demande si j'aimais ça, si j'en veux encore, s'il doit continuer… Il veut que je le supplie de me péter le cul. Le salaud!
Encore une fois je mets un peu trop de temps à répondre et une autre fessée me rougit les fesses.
Je lui dis que oui, j'aime sentir sa bite au fond de mon cul, que j'ai envie qu'il m'encule, profondément.
Il m'ordonne de répéter. Je ne dis toujours rien, une autre fessée s'abat, puis encore une autre et une autre.
Alors je ne me retiens plus et lui demande de m'enculer, profondément, de toute la longueur de sa bite, de me péter le cul, de me défoncer encore et
encore.
Il ne repond rien mais sort doucement, inexorablement, sa bite de mon cul (une sensation de vide, horrible, comme la fin du monde) puis il pose son
gland sur mon anus et me remmanche, d'un coup jusqu'à la garde, je sens son ventre claquer contre mon cul, je hurle et me relève, les yeux hors de la tête, son tuteur, profondément enfoui au fond
de moi, je ne peux pas bouger, rien faire. Je n'arrive même plus à respirer.
Il ressort, a la même vitesse, lente et horrible pour finalement sortir son gland, le poser sur mon anus et encore une fois me pénétrer jusqu'à la
garde, d'une longue et dure pénétration à me couper le souffle.
Il me dit en même temps que je le serre bien avec mon cul (comme s'il pouvait en être autrement) qu'il adore m'enculer, me péter le cul et
qu'il va continuer longtemps ! (sympa, mais je suis excité, je l'avoue, je laisse faire )
Effectivement, il poursuit ses pénétrations profondes sur le même rythme, me dilatant à chaque fois un peu plus le cul.
Mais contrairement à avant je ne suis plus sur la défensive, ce ne sont plus ses mains qui me maintiennent en place, sa bite qui s'enfonce dans mon
cul mais bien mon cul, mon corps tout entier qui vient à la rencontre de son pieu, essayant de m'empaler le plus loin possible dessus, encore et encore. Je n'en reviens pas, je crois que lui non
plus car il en explose de rire et arrête de bouger. Me dit que si je l'aimais tant sa bite, c'était à moi de bouger dessus, de faire ma salope et de venir chercher mon plaisir.
Ce que je fais sans hésiter, après tout je prends un pied d'enfer.
Je lance mon cul à chaque fois en arrière, le plus loin possible, m'ouvrant en grand, je bande comme un fou, j'en tire un plaisir fou, mais
justement je n'ai pas envie de gicler tout de suite, en général quand on gicle on n'a plus envie et je voudrais que cette défonce ne s'arrête jamais.
Alors j'arrête mes mouvements et me jette à ses genoux pour engloutir sa bite, pour la faire reluire, la tapisser de bave. Pour le remercier de tout
le plaisir que j'ai pris en m'enculant dessus. Je m'étouffe dessus en essayant de tout engloutir dans ma bouche, je suis déchaîné. Dire qu'on vient à peine de faire
connaissance grâce au stop !
Et il aime ça ! Il sort de temps en temps sa bite luisante de bave pour la promener sur mon visage et étaler ma bave dessus. . Puis il s'amuse à me
baiser la bouche, me bloquant la tête pour une gorge profonde bruyante et agressive. Je le branle des deux mains, j'essaye de lui lécher ses couilles, de les mettre dans ma bouche en même temps,
lui comme moi ne sommes plus que baise pure.
Quand il en eut assez, il s'assit à son tour, son gland luisant, épée dressée vers le ciel et me fit asseoir sur lui.
Je me laisse descendre sur sa bite raide et dure et quand enfin mes fesses sont posées sur lui je sais que toute sa bite est au fond de moi, alors
encore une fois je m'amuse à aller et venir dessus, à remonter et redescendre, à me défoncer tout seul sur sa bite.
Mais lui aussi veut me baiser, il se met donc à me donner des coups de bassin, me faisant tressauter à chaque fois et retomber plus profondément sur
sa bite, chacun de ses assauts me coupe le souffle.
Je jouis. Je n'en reviens pas, je jouis du cul, mon anus se contracte sur sa bite, il m'a défoncé et j'ai adoré ! Tout mon foutre finit dans sa
main, main qu'il porte à ma bouche en me disant de lécher, de sucer, de nettoyer ses doigts. Quel pervers !
Le cul brûlant, toujours emmanché j'essaye de m'acquitter de ma mission, pas facile.
Mais je veux en finir au plus vite, j'aimerais une pause, reprendre mon souffle !
Mais je crois qu'il ne l'entend pas de cette oreille, qu'il veut toujours prendre son pied, car toujours emmanché en moi il me releve et me plaque
contre la cabine (se déplacer avec une bite dans le cul, c'est une sacré histoire!) me tenant fermement et me disant au creux de l'oreille que maintenant, il va vraiment me baiser !
Putain, alors ce qu'il m'a mis depuis tout à l'heure, qu'est-ce que c'était, l'apéritif !?
Effectivement, ses coups de reins sont plus profonds, vigoureux, ses couilles claquent contre mon cul à chacun de ses assauts, par moment il me
baise si fort que mes jambes ne touchent plus le sol, seule sa bite me maintient en l'air. Quelle dérouillée !
J'essaye de suivre son rythme, de venir à sa rencontre, de faire rouler mon cul sur sa bite, de contracter mes muscles intérieurs pour le faire
venir plus vite mais il semble intraitable. Il voulait me défoncer et il tient parole. Un métronome, une machine, un piston, entrant et sortant à toute vitesse.
J'en ai les jambes flageolantes !
Quand enfin il se retire, je m'écroule sur le sol, incapable de me tenir debout, l'anus béant.
Il est devant moi, sa bite dressée, dure, vibrante de sang et de désir, prête à exploser.
Je me mets vaillamment à genoux, ouvre la bouche et l'invite à y déposer son gland turgescent.
Il approche sa bite de mon visage. Celle-ci sent fort mon intimité et son plaisir, il force mes lèvres et se branle dans ma bouche, explose dans un
feu d'artifice, son premier jet atteint le fond de mon palais, le second me remplit la bouche, sous la pression sa bite sort, s'envole et les autres finissent sur mon visage, ma poitrine, j'en ai
partout, je suis poisseux. J'ai enfin droit à ma faciale, digne des meilleurs films pornos, son sperme dégouline de mon visage.
Il s'écroule cherchant son souffle, à coté de moi, me prend dans ses bras et rigole, qu'est-ce que je t'ai mis me dit-il ! je confirme, je
rigole avec lui, lui dis qu'on ne m'a jamais baisé comme ça, que j'ai pris un pied d'enfer. Il me demande si ce n'était pas trop, je lui réponds en prenant sa bite dans ma bouche pour aspirer les
dernières gouttes. Quelle salope me complimente-t-il. (pour le coup je dois avoir fait presque aussi bien que ces actrices avec Rocco, je suis ravi)
Nous avons pris deux heures à baiser dans sa cabine, comme des fous, nous revoilà sur la route, à parler de tout et de rien.
Puis nous parlons de nos fantasmes, de nos envies, faisant des plans sur la comète.
Je l'ai sucé encore une fois pendant qu'il conduisait, je me suis régalé de son jus, j'ai tout avalé en le regardant dans les yeux, non sans lui
avoir montré avant ma bouche pleine de son foutre. Je me suis surpris moi-même d'avoir été autant salope et soumise. Il avait l'air d'un gosse tellement il était heureux, ravi et vide.
Mon seul regret, qu'il ne m'ait pas enculé encore une fois, mais je pense que les dommages à mon cul auraient été irrémédiables.
Il me dépose, j'ai en mémoire son numéro de téléphone
Nous avons échangés quelques sms, il me dit qu'il a très envie de me revoir, qu'il peut même m'aider à réaliser certaines de mes envies.
Je lui demande lesquelles, il me parle des plans a trois, c'est vrai, je lui ai dit que j'avais très envie d'essayer, d'être à genoux entre deux
bites, de se faire prendre par les deux trous à la fois, que j'avais très envie d'essayer.
Il me dit qu'il aimerait bien me baiser dans la lingerie de sa femme, dans ses ensembles de dentelles, guêpières et bas, qu'il voudrait me mettre
des talons et m'enculer à sec, faire de moi sa pute pour la soirée, que je le suce dans la rue, au cinéma… je n'en reviens pas de son langage cru, mais surtout que ça m'excite, à ce point, je
mouille d'imaginer sa bite au fond de mon cul, jusqu'aux couilles, et moi de gémir et de hurler, d'implorer et d'en demander davantage. Mince !
Je pense que bientôt nos routes vont se croiser à nouveau !...¤
Conkest sur cyrillo
JUNGLE : le récit de Conkest illustré par des fake photos ciblées
mais tu peux m'enculer et bien profond s'il te plaît
NOTES : Frères ??? Ennemis en ce cas !
J'ai connu un gay qui, à la découverte que son compagnon était bi, a prévenu la femme et cassé ce couple sans pour autant vouloir
poursuivre sa relation homo initiale traitant son ancien copain de faux-cul et de malhonnête. Beaucoup de gays détestent les bisexuels. On comprend ce qui se passe sans
excuser.
Même si, de nos jours, les sociétés occidentales acceptent bien l’homosexualité, la bisexualité, elle, est encore mal comprise
et souvent perçue comme un phénomène marginal, que certains associent à une homosexualité refoulée. La bisexualité est également confondue avec la bicuriosité, dont on entend de plus en plus
parler chez les jeunes. En fait, la bicuriosité se caractérise par une orientation sexuelle stable (homosexuelle ou hétérosexuelle), mais avec un certain intérêt pour des personnes du sexe envers
lequel on n’est habituellement pas attiré. La bicuriosité pousse les jeunes à essayer une relation homo afin de ne pas risquer de "mourir idiot" comme on dit.
commentaire : " Il n'y a qu'une seule première fois"dit l'auteur de ce commentaite, mais une telle expérience justifie qu'on parle d'une 2ème première fois "
claudio
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