Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 06:47

 la baise,  sans qu'on  "l'intellectualise", exige toutefois un minimum maximum de concentration sur ce qu'on vit. As-tu vécu un moment de baise interrompu parce que tu es assalli de pensées (du gaz oublié aux emmerdes du quotidien) ? et...débandé !

 

  c'est un artiste qui l'a fait ! chapeu ! Avoir ça dans ton pantalon ça te rassure ? te voilà un ange alors  !!! 

  ne restreins pas tes louanges : c'est un artiste :   

 

 

  ne minimise pas son talent J'ai jamais fait ; ça pique ? ça chatouille ?  

 remarque : si tu bandes ou te fais bander ça réserve plus de place pour le dessin -lol-

      ci-dessous on dirait bien que c'est gay ! (chasse gardée ! ) 

  n'exagérons pas les symboles ça pèse lourd ! 

      Je propose qu'on refasse une photo afin qu'on puisse lire ! 

      Dessin d'Ornement, comme sur les bijoux ! ben qu'est-ce que je disais ??? 

      Défense des éléphants. Heureusement que l'artiste ne les a pas oubliées !  

      Ce bracelet de bite en fil barbelé, heureusement que je l'ai oublié quand il me l'a mis ! 

      Un chef d'oeuvre, certes. Il vous charme par devant comme Dumbo ou Bambi et vous l'enculez par derrière ! 

 

Par claudio - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 23:21

Pas si facile que le dit Régis ci-dessous, pour trouver des types qui acceptent de se faire photographier ou filmer il faut négocier et donner de sa personne, en général ils vous disent : "tout ce que tu veux, mais pas ma tête ou ma gueule !)"

  Avec les téléphones portables on peut déjà faire bcp de choses. C'est pourquoi il faut s'en méfier sur les lieux publics de drague et les saunas...Je me souviens d'un mms très hot pris par un partenaire et que j'envoyais pour draguer. Et là je veux souligner des différences entre les mecs : il y en a qui baisent plus avec votre tête qu'avec votre cul ou votre bite. Ca conditionne leur accès à "l'amour". C'est injuste bien sûr et ça dépend de ce qu'on cherche. Moi la tête, je préfère qu'elle soit quelconque, voire pas trop sexy, pourvu que nos sens à tous les deux( si c'est pas trois ou+ -lol-) soient satisfaits. Donc si on ne m'envoie pas de photos de la tête et du corps ça va aussi. Je vais passer pour un gros vicelard mais un gros sexe (pas obligé) est susceptible de me convaincre du premier coup !     

 

Voilà ce qu'en dit l'adorable Régis : "Aucune scène de cul, même la plus salace, ne m'excite autant que vue derrière l'objectif de mon caméscope ou de mon appareil photo, ou bien lorsque, seul chez moi, je me fais une "petite séance". Je tire les rideaux et je m'installe devant le téléviseur. Pendant que, sur l'écran, défilent toutes les scènes que j'ai filmées lors de partouzes et autres, moi, je me caresse, je me branle le braquemart en long et en large, je me tire sur les roubignoles, je m'enfonce des godes, je me pince les seins en suivant le rythme des halètements ou des cris que poussent "mes" acteurs. Et généralement, le cul explosé à mort, je largue ma purée sur l'écran, et je m'écroule, vidé, en contemplant mon foutre dégouliner sur les mecs qui s'enculent derrière.

Je n'ai aucun mal à trouver des types qui acceptent de se faire photographier ou filmer, je connais beaucoup de vicelards. Ils savant bien que ce n'est que pour mon usage personnel, et puis je leur en fais des copies. C'est comme ça que je suis invité en tant que "chef-opérateur" aux partouzes les plus hard de la capitale. Je filme en gros plan les masos qui se font torturer par leurs maîtres, les godemichés géants qui éclatent les culs, parfois des fists impressionnants où tout le bras plonge à l'intérieur du trou, béant comme un tunnel.

Résultat de recherche d'images pour "gay wink le cul en l'air "PHOTO BELAMI Image associée 

Ce que j'aime surtout, c'est prendre en plans rapprochés les expressions d'extase et de bonheur des mecs qui se font mettre, la sueur qui coule, et encore plus les rictus, les traits déformés de ceux qui jouissent, c'est complètement bestial..."

Régis, 44 ans. sur cyrillo 

  Vous aurez remarqué que ce que je recherche pour diffuser dans ce mon blog ce sont les plans rapprochés les expressions de douleur, de jouissance, voire d'extase et de bonheur des mecs qui se font mettre, la sueur qui coule, et encore plus les rictus, les traits déformés de ceux qui jouissent en se faisant mettre, au fond, comme je ne vois pas la gueule que je fais, moi, quand on me prend, ça m'aide à imaginer comment je souris, grimace et même ferme les yeux pour mieux intégrer ce que je reçois d'un partenaire !  

  Résultat de recherche d'images pour "gay porn trois jeunes hommes nus maison avec piscine dans le lubéron" 

 

 

shavedandpierced: “What a body and is the inked cock real? Love it anyway ”

 

 

Par VISLARD - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 22 octobre 1 22 /10 /Oct 06:47

   Eh oui, tempus fugit ! profitez tant que vos sens, vos hormones et tout votre être vous le permettent. L'anonymat de ce récit déssert l'amitié profonde que nous portons à Régis, notre compatriote lubéronnais.   Cavaillon étant la porte du Lubéron, parions que nous nous sommes souvent croisés sur la draue du Pont Julien.  claudemodou@gmail.com  merci!   Ce que c'est que nos destinées ! et ce que c'est que les parcours divers qui, tout en s'offrant à nous librement, sont des chemins enchantés, empreints d'une sorcellerie invisible qui a fait de Régis l'un de nos frères chéris et de ses deux potes de bons (ou de médiocres) hétéros. 

Image associée    Romain a  voulu mesurer nos engins. 19 sur 4 pour lui, 18 sur 5 pour moi. Celle de Richard était la plus petite, 17 sur 4, mais c'est lui qui avait de loin les plus grosses burnes. Je sentais que les choses allaient dégénérer, et je fus le premier à y contribuer.

  Nous étions trois potes, Romain, Richard et moi. On nous y appelait les « trois R ». Moi, mon prénom, c’est Régis. Romain, lui, était le plus friqué. Ses parents, toubibs tous les deux, possédaient une superbe maison avec piscine et courts de tennis dans le Lubéron. L'été de nos dix-neuf ans, Romain a passé le mois d’août, seul chez lui. Son père et sa mère étaient partis en vacances aux States. Ce fut l’occasion pour lui d'organiser des grandes fêtes, le soir au bord de la piscine et qui dégénéraient plus ou moins en partouzes. Comme moi, Romain avait pas mal de succès auprès des nanas. En plus de son fric, il était très mignon, blond avec les cheveux bouclés, les yeux bleus et une belle petite gueule avec les traits fins, mais un corps assez musclé avec une peau claire et imberbe. Le contraire de moi qui suis brun avec la peau mate et plutôt velu. À dix-neuf ans, j’avais déjà baisé avec plusieurs nanas, mais je rêvais d’autre chose. Même si mes idées n'étaient pas encore précises dans ma tête, j’étais déjà tenté par une expérience bi. Richard, lui, était beaucoup plus timide avec les filles.

Un soir, on s’est retrouvés tous les trois chez Romain. Après une petite bouffe arrosée de deux bouteilles de vin du Lubéron, Romain nous a proposé de regarder une cassette VHS porno, et nous nous sommes installés dans le confortable salon avec une bouteille d'Absolut, déjà un peu pétés tous les trois.  Image associée

 Image associée  Image associée Il s’agissait d’un « Black anal ».

Dès les premiers plans, je me suis mis à bander comme un dingue. Une nana, avec une énorme paire de nichons, se faisait sauter dans une salle de gym par deux profs, deux athlètes noirs dotés de bites énormes. Elle les suçait tour à tour, se déchaînant comme une vraie furie sur les deux pieux raides. Puis, elle s’est retrouvée empalée sur l'une des bites alors quelle pompait toujours l’autre. Et celui qu’elle suçait a fini par passer derrière elle pour l’enculer. Entre nous, les commentaires fusaient: « Putain, la salope, ça rentre comme dans du beurre entre ses fesses! Moi aussi, je lui mettrais bien ma pine dans le cul! » J’imaginais très bien mes deux potes bander autant que moi. Le film était super-hard. Ils changeaient de position. De temps en temps, la fille se retrouvait avec l'une des bites dans sa bouche pendant que l’autre continuait à lui limer le trou du cul. J’aurais aimé me retrouver à la place de l’un de ces Blacks, mais aussi... à celle de la nana!   

Image associée

Et le Lub' à proximité du Château de Sade, mêlé à l'Absolut, devait contribuer à la magie de l'ambiance entre gars !

Résultat de recherche d'images pour "absolut vodka" -le Lub' comme on l'avait jamais vu !     C’est Romain qui a déclenché les « hostilités ». Il était assis entre Richard et moi. Nous étions tous les trois en short, et d’un coup, en riant, il a plaqué sa main entre les cuisses de Richard: « Salaud! Je crois que tu te la baiserais bien, cette gonzesse, non? » Richard est devenu écarlate alors que Romain lui palpait la queue et les couilles d’un air amusé. Toujours en rigolant, il a ajouté: « Tiens, regarde ce que je lui mettrais dans la bouche et dans le cul, moi! » Il a tiré sur l’élastique de son short pour libérer sa bite et nous l’exhiber. Je l’avais déjà vu à poil, mais jamais en train de bander. Sa queue était fine et longue. Il l’a empoignée devant nous: « Ça vous dit pas de vous branler? Moi, j’en peux plus, elle me fait trop triquer cette garce! » Les verres de vodka que nous buvions cul-sec nous avaient passablement échauffé les esprits, d’autant plus que les scènes de cul s’enchaînaient devant nous de plus en plus hard.  

À mon tour, j'ai libéré ma tige. Le plus gêné, c'était Richard. Au début, il ne voulait pas trop nous montrer son zob. On a dû le forcer un peu, tirer sur son short et le lui descendre jusqu’aux chevilles. Ce salaud bandait autant que nous! On s’est amusé à comparer nos queues, nos couilles. Romain a même voulu mesurer nos engins. 19 sur 4 pour lui, 18 sur 5 pour moi. Celle de Richard était la plus petite, 17 sur 4, mais c'est lui qui avait de loin les plus grosses burnes. Je sentais que les choses allaient dégénérer, et je fus le premier à y contribuer. C’est moi qui ai lancé: « On va faire un concours de branlette, le premier qui arrive à se faire juter, il pourra filer un gage aux autres! » On s’est foutus à poil tous les trois sur le canapé et, la pine en main, on a commencé à s’astiquer.

À ce moment-là, c’est beaucoup plus ce que nous étions en train de faire que le film qui me faisait bander. Je regardais les deux glands gonflés de mes potes. C’est Romain qui a déchargé le premier. Son sperme a giclé sur son ventre et sur son torse en plusieurs saccades. Le seul fait de le voir éjaculer m’a fait jouir à mon tour. Richard fut plus long à venir, mais son foutre n’en finissait plus de se vider. Comme il était le perdant, Romain a voulu lui donner un gage: celui de nous lécher pour nous nettoyer. Au début, il ne voulait pas mais il a fini par accepter. Il a commencé par lécher mon sperme avant de passer sa langue sur le ventre et le pubis de Romain qui lui a ordonné: « Le gland, aussi! »

J’ai pensé que Richard n’en serait jamais capable. Pourtant, je l’ai vu saisir la queue de Romain, tirer sur la peau du prépuce et lécher les gouttes de sperme. Romain s’est remis à bander presque aussi sec, obligeant Richard à le sucer pour de bon: « Vas-y, j’ai très envie de me faire tailler une pipe! Regarde comme elle s’y prend, la nana. Essaye d’en faire autant! » À la télé, une rouquine pompait deux bites, et Richard s’est mis à faire glisser ses lèvres sur le manche encore raide de Romain. À partir de là, plus rien ne nous a retenus. Les trois queues étaient de nouveau raides.  

 

 

  Image associée

J’ai empoigné celle de Richard et je l’ai branlée avant de me glisser entre ses cuisses pour le sucer. Puis j’ai changé. J’ai pompé celle de Romain alors qu’il suçait Richard. Nous sommes même allés jusqu’à nous lécher et tripoter le cul, mais nous n’avons pas osé aller plus loin. Pourtant, j’aurais bien enculé l’un des deux... Romain a joui sur mon visage. Richard s’est reçu le mien sur le ventre, et Romain, celui de Richard dans les cheveux. Le film était fini depuis longtemps. Ce soir-là, nous avons tous dormi chez Romain.

Nous nous sommes réveillés le lendemain avec la gueule de bois et un peu gênés. Par la suite, Richard s’est peu à peu éloigné de nous, mais je suis resté très copain avec Romain. Mes désirs se précisaient dans ma tête. Je baisais encore avec des nanas, mais c’était lorsque je me retrouvais avec une queue dans la bouche que je me régalais le plus. J’aurais aimé aussi enculer Romain ou lui proposer de me baiser, mais je n’ai jamais osé.

Nous avons fini par perdre Richard de vue après qu’il ait réussi le concours d’entrée d’une grande école commerciale de Paris. Romain, lui, a continué à mener une double vie avant de se marier. Il a rencontré d’autres mecs lui aussi, mais vis-à-vis de ses parents, il ne pouvait pas afficher son homosexualité. Son mariage l'a éloigné d’Avignon. Moi, j'y suis resté et ce n’est pas un hasard si mes plus grands fantasmes tournent autour des Blacks. Les nanas ne me font plus du tout bander, et, depuis ce fameux été 90, beaucoup d’eau a passé sous le fameux pont d’Avignon... et beaucoup de belles bites dans ma bouche et dans mon cul.

Régis, 27 ans.   sur   http://www.gai-eros.org/w/index.php/Teub_et_foune:_la_diff%C3%A9rence!

 

Image associée Invention de la bouteille qui rent "gai" -lol- 

     Pub : La collaboration entre la marque Absolut et la communauté LGBT ne date pas d’hier. Au cours des années 80, la marque suédoise était une des rares à oser publier des publicités dans des magazines destinés aux membres LGBT, et Absolut s’est engagée à lutter contre les discriminations. Présentée dans une bouteille arborant fièrement les couleurs de la communauté LGBT, Absolut Colors Pride prend clairement position pour l’égalité et l’acceptation des homosexuels et transgenres.

Le vodka contenue n’est autre que le grand classique de la marque suédoise. Elle est culte depuis longtemps parmi les membres de la communauté des amateurs de spiritueux. Avec son caractère épuré, Absolut Vodka peut se déguster pure ou parfaitement convenir à différents cocktails.

 


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Par REGIS - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 21 octobre 7 21 /10 /Oct 16:32

que devient-il aujourd'hui à 70 ans ?

1990 : Il y a encore un an, si un mec m’avait mis la main au cul, je lui aurais cassé la gueule. J’ai quarante-trois ans et j’étais de la vieille école. L’homosexualité était une atteinte à la virilité, et jamais je n’aurais fantasmé sur un mec. J’étais marié avec une femme qui, disons-le, ne me satisfaisait pas. Je me masturbais souvent devant des revues porno. Chaque année, nous partions en vacances dans un petit village de l’Ardèche. Des vacances bien réglées, où il ne se passait jamais rien d’insolite ou d’imprévu. L’après-midi, ma femme faisait la sieste, et moi j’allais à la pêche. Comme elle ne voulait pas faire l’amour, j’allais oublier ma frustration en taquinant le poisson.

L’été dernier, vers la mi-juillet, deux mecs d’une vingtaine d’années sont venus planter leur tente sur les bords de la rivière. Un après-midi, alors que je coupais à travers champs pour éviter de les déranger, je tombe sur mes deux lascars, complètement nus, dans l’herbe. Ils étaient loin et j’ai d’abord cru qu’ils se faisaient bronzer. J’allais faire demi-tour quand, tout à coup, je vois les deux mecs se mettre l’un à quatre pattes et l’autre à genoux derrière le premier J’ai été choqué. Je suis parti, écœuré. Ce jour-là, je n’ai pas pêché.

Le lendemain, rebelote. Je les ai retrouvés exactement au même endroit, à poil, mais cette fois, ils se tapaient un bon 69, l’un sur l’autre. Je les ai regardés un moment en me demandant comment on pouvait faire de telles choses entre hommes. C’était dégueulasse. Je n’ai rien dit à ma femme. L’après-midi suivant, je fus plus attentif. Une chose était sûre : les deux mecs prenaient du plaisir, surtout le petit blond quand il se faisait enculer par l’autre. Il tortillait son cul et je l’entendais crier de bonheur. Ma femme n’avait jamais hurlé comme ça quand je la baisais. Ne parlons pas de l'enculer, elle avait toujours refusé en me traitant de pervers. J’arrivais à entendre, d’où j’étais caché, ce que disait le blondinet quand il se faisait prendre : “Vas-y... Vas-y, Richard... Elle est bonne, ta queue... Défonce-moi... Casse-moi le cul !... Prends-moi comme une salope !...”

Si je ne ramenais plus de truites à la maison que nous louions, c’est que, désormais, je passais mon temps à épier les deux mecs. Le brun faisait l’homme, le blond la femme. La première fois que j’ai bandé en les regardant, j’ai eu honte et je suis parti.

Mais le lendemain, je suis resté. J’ai sorti ma queue et je me suis branlé en les regardant baiser. Je m’imaginais à la place du brun, en train d’enculer son copain. Le mal était fait. Je délaissais mes revues porno hétéro (que j’amenais toujours en vacances) pour venir me branler comme un fou en regardant ces deux mecs se niquer. Ma femme pouvait se refuser à moi, je m’en foutais. Les mecs me faisaient bander.

En rentrant à Tours, à la fin de juillet, j’ai commencé à chercher des mecs par minitel. Quinze jours après j’enculais mon premier mec, Julien, trente ans. Je l’ai revu pendant un mois, tous les jours de la semaine, entre midi et deux. Au lieu d’aller prendre mon repas à la cafétéria, je baisais avec lui comme un fou.

J’ai eu envie de connaître d’autres hommes. J’ai commencé à traîner dans les saunas, les jardins publics. Mes relations avec ma femme se sont sérieusement dégradées. Je ne lui ai jamais parlé de ce que je faisais avec les mecs. Je prenais de plus en plus de risques. Je m’absentais de mon travail pour recevoir des mecs chez moi. Ma femme a commencé à avoir des soupçons.

En février de cette année, nous nous sommes quittés. Et maintenant, je cherche des mecs pour vivre ma vraie vie. Je sais qu’il n’y a qu’avec un mec que je serai heureux.

Régis, 42 ans.

 


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Par REGIS - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 20 octobre 6 20 /10 /Oct 06:56

  Image associéeEt dire qu'il y en a qui se sont retrouvés en cabane pour ça ou même pour un excès de vitesse!  Résultat de recherche d'images pour "young man smoking a joint"

 Au risque de se faire transformer en tarlouze !davantage de cas d'infractions sexuelles commises en prison !

  Des chiffres récents publiés par le ministère de la Justice évoquent 50300 places potentielles, de 2012 à 2017 le nombre de personnes incarcérées a progressé d'environ 3 000. Au cours du quinquennat de M. Hollande, le nombre de condamnés derrière les barreaux a pourtant baissé, passant de 50 300 en mai 2012 à 49 780 en avril 2017. C'est le nombre de prévenus incarcérés qui a bondi, de 16 773 à 20 450.

  Ces chiffres suggèrent que, fatalement, davantage de cas d'infractions sexuelles commises en prison ont été enregistrées par rapport aux années précédentes. Par exemple, le nombre de voies de fait de cet ordre commises dans les prisons anglaises et galloises était de 137, mais dès 2015, le nombre total d'agressions avait plus que doublé , avec une population carcérale de plus de 85 000 personnes, vous constatez que le nombre réel de prisonniers qui signalent qu'ils ont subi une agression sexuelle pendant leur détention est relativement faible. Mais un nombre inconnu de voies de fait ne sont jamais signalés car de nombreux détenus craignent d’être étiquetés «balance» ou «mouchard, cafard, cafardeur, cafeteur, capon, casserole, donneuse, indic',mouche, mouton, etc ».

 Le viol en prison ne concerne pas seulement le paiement ou la 'gratification' par le sexe et revêt différents aspects .

Ces dernières années, de plus en plus de détenus jeunes et vulnérables âgés de 18 à 19 ans sont placés dans des sections pour adultes plutôt que d'être envoyés dans des établissements pour jeunes délinquants. 8 détenus sur 10 introduisent des objets ou substances interdites dans les prisons. Certains de ces adolescents en manque d'affection sont vulnérables à la fausse tendresse flatteuse, aux agressions et au viol, ainsi qu'à d'autres formes d'intimidation. Bien entendu, les relations sexuelles consenties se pratiquent également dans les prisons, même parmi les détenus qui ne se considèrent pas comme homosexuels. Les prisons n’autorisant pas les visites conjugales, une minorité de détenus deviennent ce qu’on appelle à l’intérieur «prison gay». Les hommes hétérosexuels qui pratiquent des relations sexuelles en prison ont souvent des épouses ou des maîtresses à l'extérieur, mais optent pour des rencontres sans engagement avec d'autres détenus quand ils pensent qu'il y a peu de chance d'être poursuivi. 

     Image associée  Image associée

Les services de santé des prisons sont supposés distribuer des préservatifs sur demande, même si peu d’entre les détenus en demandent car cela constitue un aveu implicite. La situation est compliquée par la confusion entourant les règles relatives à l'activité sexuelle dans les prisons. Il peut être surprenant de savoir que les règles pénitentiaires ne font en réalité pas référence à l'interdiction des rapports sexuels consensuels derrière les barreaux. En fait, le manuel de discipline pénitentiaire stipule que, lorsque deux détenus sont impliqués dans des affaires de ce type dans l'intimité d'une cellule, aucune infraction n'est réputée avoir été commise. Toutefois, si les membres du personnel qui prennent part aux activités sexuelles en "surveillant" les détenus (notamment en se masturbant dans leur cellule), ils risquent la perte de emploi. Pourquoi nos prisons sont-elles en crise? Peu de surveillants semblent vraiment comprendre des règles contradictoires, et beaucoup préfèrent fermer les yeux sur les activités sexuelles, à moins que de la violence ou de la force ne soit suspectée.

Certains détenus brutaux impliqués dans le trafic de drogue en prison utilisent des menaces d'agression pour faire respecter leur pouvoir, punir les personnes qui ont eu affaire à eux ou pour recouvrer les dettes de leurs codétenus, en particulier dans les prisons pour hommes.  Les détenus sont terrifiés par ce type d'intimidation et de nombreux hommes victimes de viol derrière les barreaux hésitent à dire aux autorités - ou même à leurs proches - ce qui leur est arrivé. Cette sorte d'omerta pénitentiaire dit assez  que le nombre réel de ces agressions est probablement beaucoup plus élevé que ne le suggèrent les statistiques officielles.  En réalité, pour la grande majorité des prisonniers, il y a peu de risque de devenir une victime tant qu'ils ne se droguent pas, qu'ils sont drogués à leur insu (GHB), qu'ils accumulent des dettes de jeu, de tabac et autres et qu'ils ne peuvent pas payer. C'est un défi pour un détenu pervers qu'un jeune codétenu se refuse à eux. Comme tout se vend en prison, il leur est facile de se procurer du GHB et de l'associer à un joint. La combinaison des effets hypnotiques-désinhibants-aphrodisiaques de cette substance évoque toute sa puissance et explique cette singulière appellation de « drogue du viol » : ses effets sont très rapides : sensation d’ivresse avec flottement, perte d’équilibre et de repère du temps qui passe, perte par conséquent des inhibitions, impression de bien-être, hypersensibilité, euphorie…
Le manque de souvenir au réveil n'est pas forcément souhaité car une première expérience n'est pas forcément vécue  négativement dans ce désert affectif qu'est la prison, et ouvre la voie à des rapports continus, la nuit, en cellule. Tout le tact du violeur va consister en amitié renforcée, tendresse, compréhension, partage de tout et aussi des émotions du (jeune ?) codétenu, pour le profit des deux complices.

  Résultat de recherche d'images pour "young man smoking a joint" n'essaie pas de me faire dire que ma première fois passive était un viol...après...    

 

 Mon conseil, en tant qu'ancien détenu, si jamais vous vous retrouvez face à une peine de prison, est de bien éviter de vous endetter - en raison de jeux ou de drogues notamment - car cela pourrait vous exposer à des risques graves, dont l'un serait l'agression sexuelle. Et si quelqu'un fait une proposition importune, précisez que vous n'êtes pas intéressé.
 
CAVAILLONGAY APPUYE PAR Le blog de Alex Cavendish Prison UK: le point de vue d’un initié  

 

  Image associée  NON pas un très mauvais souvenir


 

 L\'intérieur de la prison de Fresnes, en septembre 2016.  Plus jamais seul...Image associée

Image associée

Image associéeOù ça il t'a fait mal ?  fais voir ! 

 


commentaire : "Pour ma part, à force d'être baisé par mon codétenu, je me sentais mieux d'être baisé que de baiser...devinez la suite ..." 

Par 0'KIFFE - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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