Eh oui, tempus fugit ! profitez tant que vos sens, vos hormones et tout votre être vous le
permettent. L'anonymat de ce récit déssert l'amitié profonde que nous portons à Régis, notre compatriote lubéronnais. Cavaillon étant la porte du Lubéron, parions que
nous nous sommes souvent croisés sur la draue du Pont Julien. claudemodou@gmail.com merci! Ce que c'est que nos destinées ! et ce que c'est que les parcours divers qui, tout en s'offrant à nous librement, sont des chemins enchantés, empreints d'une
sorcellerie invisible qui a fait de Régis l'un de nos frères chéris et de ses deux potes de bons (ou de médiocres) hétéros.
Romain a voulu mesurer nos engins. 19 sur 4 pour lui, 18 sur 5 pour moi. Celle de Richard était la plus petite, 17 sur 4, mais
c'est lui qui avait de loin les plus grosses burnes. Je sentais que les choses allaient dégénérer, et je fus le premier à y contribuer.
Nous étions trois potes, Romain, Richard et moi. On nous y appelait les « trois R ». Moi, mon prénom, c’est Régis. Romain, lui,
était le plus friqué. Ses parents, toubibs tous les deux, possédaient une superbe maison avec piscine et courts de tennis dans le Lubéron. L'été de nos dix-neuf ans, Romain a passé le mois
d’août, seul chez lui. Son père et sa mère étaient partis en vacances aux States. Ce fut l’occasion pour lui d'organiser des grandes fêtes, le soir au bord de la piscine et qui dégénéraient plus
ou moins en partouzes. Comme moi, Romain avait pas mal de succès auprès des nanas. En plus de son fric, il était très mignon, blond avec les cheveux bouclés, les yeux bleus et une belle petite
gueule avec les traits fins, mais un corps assez musclé avec une peau claire et imberbe. Le contraire de moi qui suis brun avec la peau mate et plutôt velu. À dix-neuf ans, j’avais déjà baisé
avec plusieurs nanas, mais je rêvais d’autre chose. Même si mes idées n'étaient pas encore précises dans ma tête, j’étais déjà tenté par une expérience bi. Richard, lui, était beaucoup plus
timide avec les filles.
Un soir, on s’est retrouvés tous les trois chez Romain. Après une petite bouffe arrosée de deux bouteilles de vin du Lubéron, Romain nous a proposé
de regarder une cassette VHS porno, et nous nous sommes installés dans le confortable salon avec une bouteille d'Absolut, déjà un peu pétés tous les trois.
Il s’agissait d’un « Black anal ».
Dès les premiers plans, je me suis mis à bander comme un dingue. Une nana, avec une énorme paire de nichons, se faisait sauter dans une salle de gym
par deux profs, deux athlètes noirs dotés de bites énormes. Elle les suçait tour à tour, se déchaînant comme une vraie furie sur les deux pieux raides. Puis, elle s’est retrouvée empalée sur
l'une des bites alors quelle pompait toujours l’autre. Et celui qu’elle suçait a fini par passer derrière elle pour l’enculer. Entre nous, les commentaires fusaient: « Putain, la salope, ça
rentre comme dans du beurre entre ses fesses! Moi aussi, je lui mettrais bien ma pine dans le cul! » J’imaginais très bien mes deux potes bander autant que moi. Le film était super-hard. Ils
changeaient de position. De temps en temps, la fille se retrouvait avec l'une des bites dans sa bouche pendant que l’autre continuait à lui limer le trou du cul. J’aurais aimé me retrouver à la
place de l’un de ces Blacks, mais aussi... à celle de la nana!
Et le Lub' à proximité du Château de Sade, mêlé à l'Absolut, devait contribuer à la magie de l'ambiance entre gars
!
-le Lub' comme on l'avait jamais vu ! C’est Romain qui a
déclenché les « hostilités ». Il était assis entre Richard et moi. Nous étions tous les trois en short, et d’un coup, en riant, il a plaqué sa main entre les cuisses de Richard:
« Salaud! Je crois que tu te la baiserais bien, cette gonzesse, non? » Richard est devenu écarlate alors que Romain lui palpait la queue et les couilles d’un air amusé. Toujours en
rigolant, il a ajouté: « Tiens, regarde ce que je lui mettrais dans la bouche et dans le cul, moi! » Il a tiré sur l’élastique de son short pour libérer sa bite et nous l’exhiber. Je
l’avais déjà vu à poil, mais jamais en train de bander. Sa queue était fine et longue. Il l’a empoignée devant nous: « Ça vous dit pas de vous branler? Moi, j’en peux plus, elle me fait trop
triquer cette garce! » Les verres de vodka que nous buvions cul-sec nous avaient passablement échauffé les esprits, d’autant plus que les scènes de cul s’enchaînaient devant nous de plus en
plus hard.
À mon tour, j'ai libéré ma tige. Le plus gêné, c'était Richard. Au début, il ne voulait pas trop nous montrer son zob. On a dû le forcer un peu,
tirer sur son short et le lui descendre jusqu’aux chevilles. Ce salaud bandait autant que nous! On s’est amusé à comparer nos queues, nos couilles. Romain a même voulu mesurer nos engins. 19 sur
4 pour lui, 18 sur 5 pour moi. Celle de Richard était la plus petite, 17 sur 4, mais c'est lui qui avait de loin les plus grosses burnes. Je sentais que les choses allaient dégénérer, et je fus
le premier à y contribuer. C’est moi qui ai lancé: « On va faire un concours de branlette, le premier qui arrive à se faire juter, il pourra filer un gage aux autres! » On s’est foutus
à poil tous les trois sur le canapé et, la pine en main, on a commencé à s’astiquer.
À ce moment-là, c’est beaucoup plus ce que nous étions en train de faire que le film qui me faisait bander. Je regardais les deux glands gonflés de
mes potes. C’est Romain qui a déchargé le premier. Son sperme a giclé sur son ventre et sur son torse en plusieurs saccades. Le seul fait de le voir éjaculer m’a fait jouir à mon tour. Richard
fut plus long à venir, mais son foutre n’en finissait plus de se vider. Comme il était le perdant, Romain a voulu lui donner un gage: celui de nous lécher pour nous nettoyer. Au début, il ne
voulait pas mais il a fini par accepter. Il a commencé par lécher mon sperme avant de passer sa langue sur le ventre et le pubis de Romain qui lui a ordonné: « Le gland, aussi! »
J’ai pensé que Richard n’en serait jamais capable. Pourtant, je l’ai vu saisir la queue de Romain, tirer sur la peau du prépuce et lécher les
gouttes de sperme. Romain s’est remis à bander presque aussi sec, obligeant Richard à le sucer pour de bon: « Vas-y, j’ai très envie de me faire tailler une pipe! Regarde comme elle s’y
prend, la nana. Essaye d’en faire autant! » À la télé, une rouquine pompait deux bites, et Richard s’est mis à faire glisser ses lèvres sur le manche encore raide de Romain. À partir de là,
plus rien ne nous a retenus. Les trois queues étaient de nouveau raides.
J’ai empoigné celle de Richard et je l’ai branlée avant de me glisser entre ses cuisses pour le sucer. Puis j’ai changé. J’ai pompé celle de Romain
alors qu’il suçait Richard. Nous sommes même allés jusqu’à nous lécher et tripoter le cul, mais nous n’avons pas osé aller plus loin. Pourtant, j’aurais bien enculé l’un des deux... Romain a joui
sur mon visage. Richard s’est reçu le mien sur le ventre, et Romain, celui de Richard dans les cheveux. Le film était fini depuis longtemps. Ce soir-là, nous avons tous dormi chez Romain.
Nous nous sommes réveillés le lendemain avec la gueule de bois et un peu gênés. Par la suite, Richard s’est peu à peu éloigné de nous, mais je suis
resté très copain avec Romain. Mes désirs se précisaient dans ma tête. Je baisais encore avec des nanas, mais c’était lorsque je me retrouvais avec une queue dans la bouche que je me régalais le
plus. J’aurais aimé aussi enculer Romain ou lui proposer de me baiser, mais je n’ai jamais osé.
Nous avons fini par perdre Richard de vue après qu’il ait réussi le concours d’entrée d’une grande école commerciale de Paris. Romain, lui, a
continué à mener une double vie avant de se marier. Il a rencontré d’autres mecs lui aussi, mais vis-à-vis de ses parents, il ne pouvait pas afficher son homosexualité. Son mariage l'a éloigné
d’Avignon. Moi, j'y suis resté et ce n’est pas un hasard si mes plus grands fantasmes tournent autour des Blacks. Les nanas ne me font plus du tout bander, et, depuis ce fameux été 90, beaucoup
d’eau a passé sous le fameux pont d’Avignon... et beaucoup de belles bites dans ma bouche et dans mon cul.
Régis, 27 ans. sur http://www.gai-eros.org/w/index.php/Teub_et_foune:_la_diff%C3%A9rence!
Invention de la bouteille qui rent "gai" -lol-
Pub : La collaboration entre la marque Absolut et la communauté LGBT ne date pas d’hier. Au cours des années 80, la marque suédoise était
une des rares à oser publier des publicités dans des magazines destinés aux membres LGBT, et Absolut s’est engagée à lutter contre les discriminations. Présentée dans une bouteille arborant
fièrement les couleurs de la communauté LGBT, Absolut Colors Pride prend clairement position pour l’égalité et l’acceptation des homosexuels et transgenres.
Le vodka contenue n’est autre que le grand classique de la marque suédoise. Elle est culte depuis longtemps parmi les membres de la communauté des amateurs de
spiritueux. Avec son caractère épuré, Absolut Vodka peut se déguster pure ou parfaitement convenir à différents cocktails.
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