Partager l'article ! O'KIFFE, PRISON GAY: Et dire qu'il y en a qui se sont retrouvés en cabane pour ça ou même pour un excès de vitesse!  ...
Et dire qu'il y en a qui se sont retrouvés en cabane pour ça ou même pour un excès de vitesse!
Au risque de se faire transformer en tarlouze !davantage de cas d'infractions sexuelles commises en prison !
Des chiffres récents publiés par le ministère de la Justice évoquent 50300 places potentielles, de 2012 à 2017 le nombre de personnes incarcérées a progressé d'environ 3 000. Au cours du quinquennat de M. Hollande, le nombre de condamnés derrière les barreaux a pourtant baissé, passant de 50 300 en mai 2012 à 49 780 en avril 2017. C'est le nombre de prévenus incarcérés qui a bondi, de 16 773 à 20 450.
Ces chiffres suggèrent que, fatalement, davantage de cas d'infractions sexuelles commises en prison ont été enregistrées par rapport aux années précédentes. Par exemple, le nombre de voies de fait de cet ordre commises dans les prisons anglaises et galloises était de 137, mais dès 2015, le nombre total d'agressions avait plus que doublé , avec une population carcérale de plus de 85 000 personnes, vous constatez que le nombre réel de prisonniers qui signalent qu'ils ont subi une agression sexuelle pendant leur détention est relativement faible. Mais un nombre inconnu de voies de fait ne sont jamais signalés car de nombreux détenus craignent d’être étiquetés «balance» ou «mouchard, cafard, cafardeur, cafeteur, capon, casserole, donneuse, indic',mouche, mouton, etc ».
Le viol en prison ne concerne pas seulement le paiement ou la 'gratification' par le sexe et revêt différents aspects .
Ces dernières années, de plus en plus de détenus jeunes et vulnérables âgés de 18 à 19 ans sont placés dans des sections pour adultes plutôt que d'être envoyés dans des établissements pour jeunes délinquants. 8 détenus sur 10 introduisent des objets ou substances interdites dans les prisons. Certains de ces adolescents en manque d'affection sont vulnérables à la fausse tendresse flatteuse, aux agressions et au viol, ainsi qu'à d'autres formes d'intimidation. Bien entendu, les relations sexuelles consenties se pratiquent également dans les prisons, même parmi les détenus qui ne se considèrent pas comme homosexuels. Les prisons n’autorisant pas les visites conjugales, une minorité de détenus deviennent ce qu’on appelle à l’intérieur «prison gay». Les hommes hétérosexuels qui pratiquent des relations sexuelles en prison ont souvent des épouses ou des maîtresses à l'extérieur, mais optent pour des rencontres sans engagement avec d'autres détenus quand ils pensent qu'il y a peu de chance d'être poursuivi.
Les services de santé des prisons sont supposés distribuer des préservatifs sur demande, même si peu d’entre les détenus en demandent car cela constitue un aveu implicite. La situation est compliquée par la confusion entourant les règles relatives à l'activité sexuelle dans les prisons. Il peut être surprenant de savoir que les règles pénitentiaires ne font en réalité pas référence à l'interdiction des rapports sexuels consensuels derrière les barreaux. En fait, le manuel de discipline pénitentiaire stipule que, lorsque deux détenus sont impliqués dans des affaires de ce type dans l'intimité d'une cellule, aucune infraction n'est réputée avoir été commise. Toutefois, si les membres du personnel qui prennent part aux activités sexuelles en "surveillant" les détenus (notamment en se masturbant dans leur cellule), ils risquent la perte de emploi. Pourquoi nos prisons sont-elles en crise? Peu de surveillants semblent vraiment comprendre des règles contradictoires, et beaucoup préfèrent fermer les yeux sur les activités sexuelles, à moins que de la violence ou de la force ne soit suspectée.
Certains détenus brutaux impliqués dans le trafic de drogue en prison utilisent des menaces d'agression pour faire respecter leur pouvoir, punir les personnes qui ont eu affaire à eux ou
pour recouvrer les dettes de leurs codétenus, en particulier dans les prisons pour hommes.
Les détenus sont terrifiés par ce type d'intimidation et de nombreux hommes victimes de viol derrière les barreaux hésitent à dire aux autorités - ou même à leurs proches - ce qui leur est
arrivé. Cette sorte d'omerta
pénitentiaire dit assez que le nombre réel de ces agressions est probablement beaucoup plus élevé que ne le suggèrent les statistiques officielles. En réalité, pour la
grande majorité des prisonniers, il y a peu de risque de devenir une victime tant qu'ils ne se droguent pas, qu'ils sont drogués à leur insu (GHB), qu'ils accumulent des dettes de jeu, de tabac
et autres et qu'ils ne peuvent pas payer. C'est un défi pour un détenu pervers qu'un jeune codétenu se refuse à eux. Comme tout se vend en prison, il leur est facile de se
procurer du GHB et de l'associer à un joint. La combinaison des
effets hypnotiques-désinhibants-aphrodisiaques de cette substance évoque toute sa puissance et explique cette singulière appellation de « drogue du viol » : ses effets
sont très rapides : sensation d’ivresse avec flottement, perte d’équilibre et de repère du temps qui passe, perte par conséquent des inhibitions, impression de bien-être, hypersensibilité,
euphorie…
Le manque de souvenir au réveil n'est pas forcément souhaité car une première expérience n'est pas forcément vécue négativement dans ce désert affectif qu'est la prison, et ouvre la
voie à des rapports continus, la nuit, en cellule. Tout le tact du violeur va consister en amitié renforcée, tendresse, compréhension, partage de tout et aussi des émotions du (jeune ?)
codétenu, pour le profit des deux complices.
n'essaie pas de me faire dire que ma première fois passive était un viol...après...
Mon
conseil, en tant qu'ancien détenu, si jamais vous vous retrouvez face à une peine de prison, est de bien éviter de vous endetter - en raison de jeux ou de drogues notamment - car cela pourrait
vous exposer à des risques graves, dont l'un serait l'agression sexuelle. Et si quelqu'un fait une proposition importune, précisez que vous n'êtes pas
intéressé.
CAVAILLONGAY APPUYE PAR Le blog de Alex Cavendish Prison UK: le point de vue d’un
initié
NON pas un très mauvais souvenir
Où ça il t'a fait mal ? fais voir !
commentaire : "Pour ma part, à force d'être baisé par mon codétenu, je me sentais mieux d'être baisé que de baiser...devinez la suite ..."
Derniers Commentaires