Mercredi 26 décembre 3 26 /12 /Déc 00:40

suite ...Les types de la piscine sont revenus…  J’imagine qu’ils savent.  Je me suis rhabillé en vitesse, je suis sorti, comme si de rien n’était.  Et comme je sortais, je l’entends…-   T’aimerais bien te le taper hein?

-Arrête!  T’aimerais bien te le taper hein?

http://www.cyrillo.biz/histoire/many.htm

  -"ET POUR LEUR COUP D'ESSAI VEULENT DES COUPS DE MAITRE" Corneille Le Cid "" MARC TROUVE ICI LA FRATERNITE DES HOMMES LEUR LUBRICITE L'AFFECTION LUMINEUSE DE QUELQUES UNS MAIS IL EST BANNI DE SA FAMILLE ! 

  putain oui, Marc le débutant, "le doux p’tit biscuit d’amour de la haute bourgeoisie" va passer pro! Ils l'ont pris pour le fils de Cahuzac ou de Bolloré ou encore ...que sais-je moi ? 

    Many s’était approché d’un gars.  Celui-ci m’a regardé avec une espèce de regard foudroyant de luxure et de bassesse vicieuse, comme un animal sournois, un prédateur…  Et Many était en train de me marchander avec ce fou…

-Ouais, j’veux me le faire…

            Je commençais à transpirer…  Et Many en rajoutait…

            -Allez, les gars, ça vous dit de vous farcir ce mec?  J’vous le dis, c’est un doux p’tit biscuit d’amour de la haute bourgeoisie.

J’étais dans un état absolument désaxé, plein de malaise, ne sachant quel regard poser sur mon Many…

-Notre petit Marc a besoin d’aventures, qu’il dit…  Alors on va lui faire sa fête!?  Vous auriez dû le voir au taf de pute, il est baisable je vous le dis…  Ouch!  Tendre et sucré, un vrai p’tit biscuit…

Et il se déhanchait en simulant la levrette de tout à l’heure…  P’tit biscuit!?  Qu’est-ce que c’est que cette expression!  J’étais encore plus mal à l’aise.  Alors le gars à qui Many parlait s’est avancé vers moi…

-Ouais, j’vais m’le faire…

-Hep! Hep Hep!

Many l’a retenu.

-Doucement, Don Juan…  Je viens de lui faire goûter à la baise Many…  Il a les couilles et le cul en compote.  Faudrait le laisser se reposer un peu.  Ce soir, quand t’aura fini ta journée de travailleur, tu pourras te faire plaisir.

L’autre type semblait légèrement frustré.

-Bon, c’est pas tout, on a du boulot à finir aujourd’hui.  Alors tout le monde à son poste, bande de salopes…

Je ne savais plus quoi faire.  J’étais abasourdi par tout ce qui m’arrivait.  Many s’est retourné vers moi.

-À ce soir, biscuit!

 

suite-> Ce Many est un vrai obsédé…  Et moi, tu parles d’un con.  Accepter ainsi un « gang bang » presque improvisé…  Mais quelque chose en moi rêvait depuis toujours de se faire mettre par une bande de mâles en rut.  Je suis passé dans la cour en essayant de supporter les regards et les intonations indiscrètes.  Je me suis enfermé dans la maison et je suis allé me laver.  Ce n’est pas que je me sentais sale.  Non, j’avais son odeur sur moi, l’odeur du sexe, son haleine dans mon cou, sa sueur contre mon dos, sa salive dans la bouche et sur la queue, son sperme dans le cul.  Si j’avais pu, je ne me serais jamais plus lavé.  Mais il faisait atrocement chaud et je devais me défaire de ma torpeur.  Une bonne douche froide me ferait du bien.  Et puis, je devais me calmer, parce qu’au soir venu, j’aurais une dizaine de mecs devant ma porte qui viendrait réclamer leur bonbon, la queue bien dressée.  AU SECOURS!!

 

Alors, je suis allé dans la salle de bain.  J’ai enlevé mes vêtements.  Je ne sais combien de temps je suis resté là à me regarder.  Je me suis assis sur le bord du bain, songeur.  J’avais le cul encore ramolli et chaud.  J’essayais de me calmer, mais je n’y arrivais pas.  L’anticipation me rendait complètement fou.  Je venais de me faire défoncer de la façon la plus sensuelle et puis la plus brutale de toute ma vie.  Et ce soir, une bande de mecs voulaient me faire ma fête.  C’était tout simplement trop pour moi.  Je me suis glissé sous une douche fraîche.  Pour purifier mon corps de la luxure, pour me décharger la tête de toutes ces préoccupations sordides.  Mon corps était bouillonnant de vice, engourdis par une sensualité dévastatrice.  Puis, je me suis senti mieux.  J’avais encore des rémanences de ses caresses, de ses râlements, de sa chaleur sur moi, mais ils se dissipaient.  Son sperme a fini par sortir de mon cul et je me suis lavé minutieusement.  Je suis sorti.  Je me suis habillé et je suis allé dans ma chambre, consulter le silence.  Et j’ai eu une idée.

Image associée

 

 

suite-> Je suis allé chercher nos deux caméras.  Je suis allé dans le garage, j’ai installé les caméras sur leurs trépieds, j’ai ajusté l’éclairage de la pièce.  Je me faisais mon scénario…  J’ai pris les trois caisses de 24 bières qu’on garde pour les occasions, et je les ai foutues dans un bac d’eau et de glace pour les rafraîchir.  Et j’ai passé le reste de l’après-midi à tout préparer.  J’ai sorti la grande table basse au centre de la pièce, je l’ai recouverte d’une couverture.  J’ai sorti mon litre de lubrifiant…  Quand tout fut prêt, je suis retourné dans le salon, m’asseoir et me détendre.  Il était bientôt dix-sept heures quand un toc-toc à la porte arrière me glaça le sang.  C’était eux… 

 

suite-> Je suis allé ouvrir.

 

 

-Coucou, fit Many.  On passe à caisse.

Les autres mecs attendaient derrière lui.  Je leur ai souri et je les ai invités à entrer.  Ils étaient tous trempés de sueur et encore plus bronzés…  Alors je leur ai dit que j’avais de la bière froide qui nous attendait dans le garage.  Les gars avaient l’air contents.  Quand nous sommes arrivés dans le garage, Many a pris la direction des opérations.

-Bon, primo : y a personne qui reste ici sans avoir enlevé toutes ses fringues!  Allez, les mecs, exécution!

L’idée plaisait à tout le monde.  Alors on s’est dévêtus.  On a enlevé chaque bout de linge qui restait.  Et là j’étais étonné de voir tous ces mecs virils avec leurs muscles et leurs attributs qui pendaient impudiquement entre leurs jambes.  Ils se regardaient et, aussi, me dévoraient des yeux.

-Secondo, personne ne reste ici sans avoir calé au moins trois bières!

Animated GIF - Find & Share on GIPHY 

 

dRésultat de recherche d'images pour "beer shower in gif gay teen gang bang" 

Image associée


suite-> Alors on alla tous se prendre trois bières.  Le première passa comme si de rien n’était.  La seconde commençait à être bonne.  Et la troisième était merveilleuse.  Quand on a tous terminé, Many s’est pris une autre bière.  Il m’a fait asseoir sur la table au centre…

 

            -Alors, les mecs, vous êtes prêts?

            Des exclamations se sont levées avec lubricité.

            -Alors, qu’est-ce que vous attendez!

            Many m’a caressé la tête et m’a chuchoté quelques mots d’encouragement, puis il a laissé les autres venir à moi d’abord.  Ce qui s’est passé ensuite dépasse les limites de tous mes fantasmes.  Ils se sont approchés de moi.  L’un d’eux s’est penché sur mon visage et s’est mis à m’embrasser.  Un autre est venu par derrière me baiser la nuque.  Un autre  mes pectoraux, un autre, mon ventre, deux autres m’ont pris les mains et se sont mis à me lécher, me sucer les doigts.  Deux se sont mis sur mes jambes, deux sur mon dos et un dernier entre mes jambes.  J’étais au cœur d’une masse de chair virile qui se mouvait avec lascivité et douceur.  J’en embrassais un, puis un autre, puis un autre.  J’en caressais un, et un autre.  Il y avait toujours une nouvelle bouche plus délicieuse à embrasser, toujours un torse plus ferme à caresser.  Pendant ce temps, Many a pris une caméra et a décidé de jouer au réalisateur.  Il venait filmer nos contacts les plus intimes, les plus chauds.  Moi j’étais parcouru de mains qui me caressaient.

Image associée Image associée

 

 

 

 

suite->    De bouche en bouche, je suis arrivé au type de tout à l’heure qui voulait me baiser.  Celui-ci m’a embrassé goulûment, puis il m’a pris la tête et avec un sourire vicieux il m’a fait descendre jusqu’à sa queue qui durcissait.  Ça a donné des idées aux autres.  J’ai commencé à laper, puis sucer le membre de ce mec fou de vice pour la voir et la sentir s’ériger dans ma bouche.  Et puis, les autres mecs on décidé qu’ils voulaient aussi leur part du gâteau.  Ils se sont mis en cercle, debout autour de moi, leurs queues bien gonflées qu’ils me présentaient.  Moi, j’étais au centre d’une tour de mâles, je suçais, de queue en queue, j’en branlais, d’autres.  Et Many s’est joint à nous avec sa queue gigantesque et ses caméras intimidantes.  Puis, il s’est mis à verser quelques giclées de bière sur leurs queues.  Moi, je suçais encore plus ardemment.  Parfois, même souvent, deux mecs s’approchaient pour que je puisse les prendre tous les deux dans ma bouche alors que les autres admiraient.  Je les regardais, je contemplais leurs expressions extasiées, je les caressais avec douceur et soumission.  D’autres me frottaient leurs gros membres sur le visage, la tête, les épaules et le dos.  J’étais au cœur d’une usine de sperme, confiné dans une odeur de transpiration, un bain enivrant de phéromones.  Ma bouche s’agrandissait, je prenais tout ce que je pouvais de leurs beaux membres, avalant avec saveur leur pré-sperme.  Je parcourais leurs queues avec ma bouche, mes mains, je caressais leurs gros bijoux, leurs couilles pendantes et fermes.  Les hommes me caressaient la tête avec satisfaction, d’autres s’enfonçaient de plus belle dans ma bouche.

 

 

suite->    Et puis, Many a pris une autre bière qu’il a vidée sur moi.  Il s’est mis à me lécher et à boire la bière sur ma peau.  Alors qu’il continuait cette dégustation, je me suis couché sur le dos.  D’autres mecs se sont pris des bières et ont fait pareil, sur mon ventre, sur mes jambes.  Un autre s’est mis à me sucer doucement et quelques hommes se sont agenouillés près de ma tête pour me présenter leurs couilles et leur queue que je suçais avidement.  Je continuais à les branler avec vigueur ou douceur, m’ajustant selon leurs soupirs et leurs gémissements.  Many me mordillait maintenant les mamelons, passait ses mains sur mes pectoraux pleins de bière.  Et puis, avec une main il m’a soulevé le flanc pour me faire tourner sur le ventre.  J’étais maintenant sur le ventre, sur mes coudes et je continuais à sucer les mecs agenouillés.  La bière a de nouveau coulé sur mon dos.  Puis, parmi les mains, des baisers se sont posés sur mes fesses.  De la bière encore, sur ma raie et un des gars m’a écarté les fesses et s’est mis à me lécher.  Ça devenait vraiment fou!  Il passait de mon cul à mes couilles et à ma queue alors que les autres me baisaient le dos.  Et puis, des mains m’ont écarté les jambes.  Une autre main toute glissante s’est mise à me caresser la rosette.  J’ai senti un doigt, puis deux, puis trois.  On commençait à m’ouvrir pour ce qui allait suivre.  Je continuais d’explorer avec mes mains tout ce qui bougeait, toute cette chair lubrique autour de moi qui se tordait de plaisir.  Une grande ombre sur moi.  Le premier mec allait bientôt s’enfoncer.  Il mit ses deux mains de chaque côté de mon corps pour s’appuyer.  J’ai senti quelque chose de dur et lisse parcourir ma raie, sa grosse queue.  Puis, lentement, il a trouvé l’entrée et s’est enfoncé.  Je soupirais.  C’était le premier et non le dernier.  Il n’en finissait plus de s’enfoncer en moi, jusqu’à ce que son pelvis soit entièrement pressé contre mon cul.  Il était profondément en moi.  Puis, il s’est mis à faire vaciller sa queue avec quelques coups de muscles.  Et il a commencé à ressortir, puis à se renfoncer.  Pendant que mon cul était possédé par ce gros intrus, des mains me caressaient partout, on m’aspergeait de bière et des queues se frottaient contre ma tête, des langues me léchaient, me suçaient.

 

 

            -C’est du chic les mecs, fit Many avec sa caméra braquée sur nous.

  suite->   Ils continuaient leurs remous indécents et celui qui était en arrière, me ramonait avidement.  Les minutes passaient et la luxure grandissait toujours.  Il allait de plus en plus fortement.  Ses bons coups de pieu me faisaient me cambrer doucement.  Et puis, il s’est enfoncé suprêmement et j’ai senti les giclées chaudes se répandre en moi, son membre battre avec ferveur et ses râlements doux qui se mêlaient aux soupirs des autres.  Quand il s’est retiré, j’avais le cul bien ouvert, prêt à recevoir les autres.  Et puis un nouveau cavalier s’est empressé de le remplacer.  Il m’a couvert et j’ai senti un gros gland ouvrir le passage à une queue délicieuse.  Et il n’a pas attendu avant de me ramoner prestement.  C’était un peu plus sauvage mais aussi bon, différent.  Il s’est ensuite agenouillé et m’a relevé le bassin.  Il m’a saisi et s’est enfoncé de plus belle.  Alors je me suis mis à quatre pattes et je pouvais maintenant donner un peu d’attention à ces pauvres queues qui cherchaient ma bouche depuis quelques minutes.  Les autres mecs soupiraient, gémissaient.  Et le mec derrière moi me défonçait de plus belle.  D’autres gars me versaient de la bière sur le cul pendant qu’il me le pénétrait sauvagement.  Et puis, les minutes passèrent encore.  Cela paraissait une éternité.  Le mec derrière moi était infatigable.  Et moi, je jouissais à petit feu.  Ma queue était très sensible et un filet de présperme y pendait.  Mais je voulais les faire venir chacun en moi avant de venir moi-même.  Cette fois, je ne me servirais pas de mes mains.  Et puis le mec s’est mis à jouir.  Et hop, d’autres giclées chaudes venaient se mêler à celle de mon premier cavalier.

 

               

 

suite-> C’était tellement bon!  Ensuite, le mec pervers qui depuis le début voulait me faire mon affaire a pris une initiative.  Il m’a retourné sur le ventre.  Il m’a mis les cuisses sur ses épaules et avec un sourire qui tenait du sadisme, il s’est enfoncé.  C’était un homme plus félin que les deux premiers.  Il était plus mince et agile, il avait un visage très mystérieux.  Sa queue était moins épaisse mais plus longue et il savait la manier en moi avec une force inouïe.    Il était penché sur moi, sa sueur gouttait sur mon ventre, sa belle queue chaude m’enflammait la prostate.  Et d’autres mecs le caressaient, lui aussi.  Il se prenait vraiment au sérieux.  C’était un vrai piston dont l’ardeur n’aurait pu être éteinte par aucun océan.  Et j’étais pris dans un plaisir confus comme un orgasme continu mais moins intense, plus chaud.  Un peu de sperme finit par s’écouler de ma queue en pleine rage, et j’eus quelques spasmes, mais ce n’était pas un orgasme,  pas un vrai.  Le mec continuait inlassablement, et des queues s’enfonçaient dans ma bouche, les mecs devenaient de plus en plus avides.  Many trouvait des angles étranges pour nous filmer, il se caressait son gros bazar parfois, puis continuait à filmer.  Le piston devint de plus en plus violent.  Car mon enculeur, lui aussi avait l’intention, un jour, de se vider les couilles.  Et hop, il s’est mis à gémir et à avoir de beaux spasmes et il a joui.  Cela devait faire une éternité que nous étions là à baiser  et seulement trois mecs s’étaient vidés les couilles et leurs spermes se mêlaient dans mes entrailles.

 

 

 

  suite->    Le mec qui a suivi a eu l’idée de me coucher sur le côté.  Puis, il s’est penché sur moi, comme les autres et il s’est enfoncé.  C’était un homme plus robuste, avec une queue bien trapue.  Il n’a pas hésité une seconde à prendre là où mon partenaire m’avait laissé envahi de sperme.  Il était très rapide, agressif.  Ses gros muscles se contractaient avec une virilité absolue alors qu’il m’empoignait pour mieux me ramener à lui et me remplir de sa masculinité.  Ouf…  Je commençais à être essoufflé.  Un autre mec s’est littéralement mis à me baiser la gueule;  il a enfoncé sa grosse teube noire au fond de ma gorge.  Il commençait vraiment à vouloir se soulager.  Les autres, ceux qui s’étaient satisfaits étaient plus doux.  Ils se contentaient de me caresser doucement.  Mais j’avais ce malade au cul qui me défonçait et c’était un plaisir malsain!   Et là, dans une grande violence, il m’a fait ressentir le plaisir de son orgasme avec des coups de butoir tout à fait monstrueux.  Et ses giclées de sperme se répandirent en moi.  Il se retira, exténué et se mit à m’embrasser doucement.  C’était au tour du noir.   

 

 

 

 

   

 

 

 

suite-> Il leur a demandé quelque chose d’intéressant.  Alors, les mecs m’ont pris dans leurs bras.  J'étais étendu face vers le sol avec des beaux membres que je suçais, dans le vide.  Lui, il m’a écarté les jambes et s’est enfoncé avec une lenteur aussi démente que féroce.  C’est qu’il avait une bonne grosse queue.  J’étais maintenu dans le vide par leurs grosses mains viriles, je suçais des membres énormes et un gros bélier forçait, défonçait mes arrières.  Que demander de plus!  Bing Bang, les minutes passaient dans cet océan de luxure et de violence.  Le gros taureau noir s’est enfin mis à jouir et son sperme abondant m’a rempli.  Quand il s’est retiré, le sperme commençait à couler mais je me suis resserré autant que j'ai pu pour tout garder en moi.

 

   

 

 

 

suite-> Et puis le sixième mec a demandé son dû.  J’étais debout, penché vers l’avant et le bel athlète s’est enfoncé en moi avec son pilier ravageur.  Moi, je continuais à sucer les gros membres juteux qui avaient giclé et les membres raides qui n’avaient pas encore joui.  C’était une belle monte bien menée, assez rapide, impétueuse.  Le mec qui me défonçait était le plus jeune de tous, plus jeune que moi, mais le plus grand et un des plus baraqués.  Il tenait mes hanches comme si j’étais une poupée et me ramenait à lui fermement;  c’était un mouvement si mécanique, si précis si fort mais si juste.  Personne ne pouvait l’arrêter.  C’était indéniable, il s’enfonçait avec une force et une précision mathématiques, une puissance contrôlée que personne ne pouvait repousser.  Il était impossible de résister.  J’étais son objet et il m’empalait méthodiquement.  Cette sensation de possession était formidable.  Et pour terminer, il s’est mis à éjaculer fortement, très abondamment d’une semence jeune et fertile…  Évidemment, quand il s’est retiré, je ne pus retenir un jet de tout se sperme qui sortit vivement pour ruisseler le long de ma cuisse.  Le plaisir était si doux, ma queue n’en pouvait plus!

 

    Résultat de recherche d'images pour "fool naked boys bathe in beer"  suite-> On m’a recouché ventre contre sol.  On m’a ensuite écarté les jambes et un corps m’a recouvert en entier.  Il s’est enfoncé en moi avec une belle queue.  C’était probablement la plus petite de toutes, mais elle était pourtant très grosse et assez pour me faire jouir comme un fou.  Son corps me couvrait totalement, sa peau se frottait contre la mienne, il me serrait, m’enlaçait tendrement.  Il me baisait la nuque, me léchait, il allait et venait en moi doucement.  Je sentis tout l’amour qui se dégageait de ses caresses.  Il prenait son temps, absolument dévoué à me faire un plaisir immense.  J’étais au paradis.  Jamais on ne m’avait tant fait l’amour.  Car c’était vraiment tendre.  C’était tellement intense!  Il me pénétrait avec une autorité mêlée de respect et de révérence.  Je me sentais en pleine harmonie avec lui.

 

-Allez Nino, faudrait aboutir un jour, fit Many avec humour.

Les autres rirent un peu.  Ils savait que Nino adore prendre son temps, mais que surtout, Nino m’accorde beaucoup plus d’attention.  Il m’a fait me retourner sur le dos, m’a écarté à nouveau et s’est enfoncé et je pu le voir enfin de près.  C’était un mec svelte avec de beaux muscles, assez grand, mon type physique, un visage plein de tendresse et de beauté, d’amour et de folie.  Son regard était tellement intense, quand il s’est penché pour m’embrasser, je ne pus résister.  Il me caressait comme si je fus l’objet le plus précieux qui existât, ses doigts semblaient m’irradier d’éclairs, de frissons passionnés.  Il se collait sur moi pour mieux fusionner avec moi.  Non, ce n’était pas que du cul, je ne peux pas le croire.  Je me cambrais un peu, je fermais les yeux, nous renforcions notre étreinte j’avais tellement de plaisir.  Je dus lui faire signe de me ménager parce que je voulais me rendre jusqu’à la fin.  Il s’est retiré sans avoir eut d’orgasme.  Mais son plaisir avait été aussi fort que le mien, je le voyais dans ses yeux.

-Okay, fit Many.  Maintenant, on va essayer autre chose.  Hearl et Budd, vous allez lui faire un double…

Alors je les ai regardés.  Eux aussi se sont consultés.  Ils avaient de superbes queues, mais je doutais de pouvoir les prendre en même temps…  Mais qui ne risque rien n’a rien.  Et puis, ils étaient si craquants, ce serait l’apogée que d’être pris en même temps par ces deux mecs.  En fait il ne restait qu’eux et Many.  J’étais au comble de la nervosité et de l’ivresse.  Hearl s’est étendu sur le dos avec son beau membre bien dressé.  Je l’ai chevauché et j’ai lu son plaisir sur ses traits quand je me suis empalé sur sa queue.  Ouf…  Sa queue était bonne mais j’avais peur que n’arrive la seconde.  Je me suis étendu sur lui.  Puis, Budd s’est agenouillé derrière moi.  Il m’a caressé doucement le cul et il s’est mis à enfoncer son bel engin.  Hearl voyait avec plaisir ma douleur et me caressait le dos pour me détendre.  Il fallut quelques minutes pour que Budd fût totalement enfoncé en moi.  Alors, j’étais là dans le garage, chez moi avec deux types de la piscine bien enfoncés en moi en même temps.  C’était incroyable.  Quand Budd a commencé à bouger, j’ai senti toute la chaleur, le plaisir et la douleur confuse bouger en moi.  Les deux types allaient et venaient en moi assez lentement.

-Bravo, les enfants, allez, Marc, fais un sourire à la caméra!

Les autres mecs nous regardaient et se branlaient.  J’avais ces deux forces de la nature qui me pompaient.  C’était incroyable.  J’étais véritablement transporté  La suprématie de la possession de la soumission à la virilité devait être de se faire prendre ainsi par deux mâles, c’était vraiment une sensation follement chaude, rassurante.  Ils se sont mis à me pomper plus virilement encore, il fallait prendre maintenant les choses au sérieux  Après, je serais probablement tellement ouvert qu’un torrent de sperme fuirait de mon cul béant.  Ils me pompaient, me pompaient, me pompaient.  Leurs queues dures et tendres s’imposaient en moi, se battaient ensemble pour me donner un plaisir sans cesse croissant.  Bud me mordillait les oreilles, me caressait et Hearl parcourait mon ventre de ses mains viriles.  C’était l’extase, je planais!!!  Les autres mecs se sont approchés et m’ont donné leurs queues pour que je les branle, que je les suce, ils se sont mis à me caresser, à se branler.  Je sentais que le plaisir approchait.  En moi aussi, le plaisir montait comme une éruption.  Puis, une flèche de douleur et de plaisir me transperça.  Je me suis mis à gueuler tant c’était chaud, brûlant, doux, sucré!  Giclées après giclées, j’arrosais Hearl.  Les autres hommes continuaient à se branler.  Mon orgasme semblait durer des heures.  Budd et Hearl atteignirent ensemble l’orgasme et m’emballèrent violement et râlant avec leurs voix gutturales de barbares, déversant leur semence partout en moi, me remplissant comme un sac à foutre.  Et les autres mecs jouirent en cœur, nous arrosant de leur sperme, tous les trois.  Mon dieu, après tant de plaisir, que reste-t-il à vivre!!!

-C’est géant, les mecs, fit Many.

-Hum hum!!

 


DRAME

Mon sang glaça dans mes veines quand j’entendis ce bruit qui nous surprit.  J’ai levé la tête et j’ai vu avec horreur que la porte du garage était grand ouverte.  Et là, se tenaient Papa, Maman, Petit Frère et Petite Sœur qui rentraient de leur journée.  Mes parents étaient horrifiés de voir leur fils ainsi impliqué dans un gang bang immoral et obscène.  Je constatai avec horreur que depuis quatre heures nous baignions ainsi dans la luxure…  Je n’avais pas vu le temps passer.

Les mecs sont partis se rhabiller.  J’ai eu droit à un sermon fou.  Mes parents m’ont forcé à quitter la maison.  Pour l’amour de mon frère et de ma sœur.  Je sais que les choses vont s’arranger avec eux, ce n’est qu’une question de temps.  De toute façon, je mérite un peu ce qui arrive.  Quand je suis sorti de la maison, rhabillé, lavé, les mecs m’attendaient dehors, dans la rue.

-Alors, qu’est-ce qu’ils vont faire? M’a demandé un des mecs.

-Ils ne porteront pas plainte pour vous.  Mais je dois quitter la maison.  Ils n’acceptent pas que je fasse cela sous leur toit et c’est compréhensible.  Surtout avec mon frère et ma sœur…

J’ai vu Nino qui était près de Many s’approcher avec lui en conciliabule pour lui dire quelque chose.  Many s’est ensuite approché de moi.

Il m’a offert, si je n’avais nulle part où aller, de venir rester avec eux…  Ce devait être une idée de Nino.  En fait, ils restent tous les dix dans un loft en ville.  Un loft assez tenu, très grand, avec plusieurs lits.  Bref, maintenant j’en profite pour approfondir ma relation avec Nino, et Many, et les autres.  Et à l’appart, c’est la partouze générale à la moindre occasion…  Imaginez, presque en tout temps, dix bites, dix culs, dix bouches, vingt mains, et j’en passe…  Dix mecs bandants, prêts à baiser, non stop, 24/7…¤

docdoc. sur cyrillo.biz 

 

 

Par MARC - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 23:48

Image associéeça a mis un moment pour s'affirmer mais la chose fut complète quand  j'ai dit :  « je veux être baisé... ».

Manvi m'a donné ses vêtements à porter
 Un soir, de retour du bureau, j'ai raté mon taxi. Il pleuvait beaucoup et j'étais complètement mouillé. Finalement, j'ai trouvé une auto et je suis rentré chez moi. À mon grand désarroi, il n'y avait personne dans l'appartement et je n'avais pas de clé. J'ai appelé mon compagnon de chambre et il m'a dit qu'il était allé à une fête et qu'il reviendrait après minuit.
 J'ai regardé ma montre et il était 6 heures du soir. J'avais froid parce que tous mes vêtements étaient mouillés et que, aussi, c'était l'hiver.
 Ainsi, j'ai appelé ma collègue de bureau Manvi. Nous travaillons dans la même société. Je me suis rendu chez elle.
Elle avait l'habitude de rester seule dans un appartement. Elle a 25 ans.
Elle m'a invité à l'intérieur et m'a donné une serviette. Je me suis essuyé les mains, le visage et les cheveux. Elle m'a dit que je devrais changer de vêtements sinon j'allais attraper froid. Elle est allée dans sa chambre chercher des vêtements.
Elle est revenue et a dit qu'elle avait posé des vêtements dans la salle de bains et que je devrais me rafraîchir et me changer.
J'ai été d'accord.
 J'ai été surpris de voir quel genre de vêtements elle me proposait de porter.
 Elle appela de l’autre pièce : «désolée, je n’ai pas de vêtements masculins, tu peux porter mes vêtements. C'est juste une question de quelques heures. "
J'étais décontenancé mais j'ai dit «pas de problème, chère amie.   

 

 

. Serions-nous à l’aube d’une nouvelle révolution sexuelle ? « J’aimerais vous dire oui, s’exclame en souriant Martin Blais, professeur au Département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal. Mais c’est peut-être simplement l’effet d’une société qui, depuis déjà plusieurs décennies, a élu le bonheur individuel comme principal critère pour juger de la réussite. » Le couple, d’accord, mais à con­dition qu’il serve une cause plus grande, la réalisation de soi.,

 

 

J'ai enlevé tous mes vêtements.
Ensuite, j'ai mis un  panty qu'elle avait choisi pour moi. Il y avait des fleurs roses partout. Je portai la culotte. C'était très doux et ça m'a fait bander.

Je pensais que cela aurait été si agréable si Manvi m'avait aussi prêté un soutien-gorge, cependant, il n'y avait pas de soutien-gorge.

Elle me montra une robe d'hiver bleue. J'en nouai la ceinture. C'était un peu juste pour moi, ce qui m'aurait rendu sexy si j'avais eu des seins à mettre en valeur.

C'était un col montant et il y avait un zip dans le dos. J'étais habillée dans les vêtements de Manvi et ensuite j'ai réalisé que depuis toujours je voulais porter ses vêtements  et que je voulais me vêtir comme elle . Aujourd'hui, mon rêve devenait réalité.

Je suis sorti des toilettes. Manvi m'a vu et elle a souri en rougissant.
Elle m'a demandé de m'asseoir.

Elle m'a dit que si j'avais les cheveux longs et que si j'appliquais un peu de maquillage, je ressemblerais à une fille sans conteste.

D'abord j'ai dit "ce n'est pas possible". Mais ensuite j'ai dit que j'aimerais essayer. Elle a dit qu’elle n’avait pas de perruque.
Mais elle m'a emmenée dans son dressing, elle m'a fait asseoir à la coiffeuse. Elle a commencé à appliquer du rouge sur mes lèvres et de la crème-base sur mon visage.

Elle m'a couvert la tête avec un bandana qui cachait mes cheveux courts. Puis,devant le miroir,  elle a dit "regarde" et a commencé à sourire "maintenant tu ressembles à une femme."
J'ai dit "non, pas encore, je n'ai pas de seins."
Elle a dit "oh, mais que pourrions-nous faire pour corriger ça ?"
J'ai dit "je peux"
Elle a dit "comment?"

Je me suis levé,  Puis j'ai dit "donne-moi un soutien-gorge"

Elle était surprise d'entendre ça. Elle alla dans sa garde-robe et en sortit avec un soutien-gorge rembourré rose.
J'ai pris le soutien-gorge et j'ai commencé à le porter. Elle m'a aidé en accrochant le soutien-gorge par derrière.
Puis j'ai dit "j'aurais besoin de deux chemisiers"

Elle m'en a donné deux. J'ai placé les chemisiers dans les bonnets du soutien-gorge pour faire de faux seins.

Elle a été surprise et a dit “wow! Je n'aurais jamais pensé à ça, est-ce que tu aimes porter ces vêtements? Et d'ailleurs, en as-tu déjà porté?
J'ai dit oui. En même temps elle a zippé la robe par l'arrière.

Maintenant, je ressemblais tout à fait à une femme .
Elle a dit "quels vêtements portais-tu quand tu te déguisais autrefois ?"
J'ai dit: «Quand j'étais enfant, je portais des vêtements de maman. Quand je suis devenu adulte, mon goût pour le métissage s'est accru et j'ai commencé à porter tous types de vêtements. Chaque fois que j'en ai l'occasion, peu importaient  les vêtements, je les portais.

Elle a dit "et comment te sens-tu  maintenant?"
J'ai dit «une femme complète. Sauf qu'à chaque fois que je suis habillé(e) je souhaiterais juste avoir un petit ami ou un mari . "
Elle sourit et dit «Qu'est-ce que tu veux maintenant?  

J'ai rassemblé mon courage et j'ai dit "Je veux me faire baiser."
Elle a  réfléchi et dit "d'accord, il y a un gars qui d'habtude vient réparer la connexion Internet, peut-être que nous pouvons le piéger"
J'étais si heureux et en même temps j'étais nerveux. J'ai dit "d'accord, mais pourquoi sera-t-il attiré par moi et pas par toi?"
Manvi a déclaré "parce qu'il est un de mes amis et qu'il est gay."
Manvi a sorti son téléphone portable de son sac et a appelé le gars pour lui dire qu'elle avait une surprise pour lui.

Après 15 minutes, la sonnette retentit. Un grand gars de  1,80 mètres de haut se tenait à la porte, beau de traits et bel homme, il était un peu sombre et il portait un jean.

Elle le fit entrer, lui aussi était complètement trempé. A ce moment, je suis entré dans la chambre et il a été complètement surpris de me voir.
 Manvi lui a dit: «Faites connaissance, il est mon ami et aime se déguiser en femme. Je suis sûre que vous allez bien vous entendre. "
Il m'a serré la main. Son emprise était serrée, je rougis. Il a dit: «Bonjour, je m'appelle Ajay. Vous êtes très belle."
J'ai dit "Merci, je m'appelle ***** mais j'aime être appelée Rani quand je suis habillée en femme."
Manvi a dit: «OK, Ajay et Rani, asseyez-vous tous les deux et discutez pendant que je fais du thé.   
Nous nous sommes assis sur le canapé. Il s'est assis très près de moi. Il a dit "Alors, tu aimes te travestir, alors tu dois être gay"

J'ai dit "Juste quand je suis habillé, je me sens comme une femme et j'apprécie la compagnie d'un homme honnête."

Il est venu très près de moi et a placé son bras sur mes épaules. Je rougis.
 Manvi entra et posa le plateau du thé sur la table. Elle a dit: «Vous voyez, vous êtes tous les deux très proches maintenant. Pourquoi ne devenez-vous pas partenaires?

Quoi qu'il en soit, Manvi portait une jupe marron soyeuse et un haut noir.
 J'ai dit "Manvi, je voudrais m'habiller comme toi tout le temps et je veux qu'Ajay soit avec moi chaque fois que je m'habille."

Manvi sourit. Ajay a dit "Manvi, je suis complètement mouillé de pluie."
Juste à ce moment, je posai ma main sur le visage d’Ajay et commençai à l’embrasser, je suçais ses lèvres et sa bouche. Il a commencé à m'embrasser et a appuyé sur mes faux seins.
 Juste à ce moment-là, Manvi lui a dit: «Peut-être que tu veux utiliser ma chambre ?  fais-le si tu veux.
Nous sommes allés dans sa chambre, Ajay m'a étreint très fort et a commencé à embrasser mon cou et mes épaules.
 Manvi était assise sur le canapé de sa chambre et nous regardait.
 Ajay ôta sa chemise et me prit dans ses bras. Je lui ai complètement cédé. Il a enlevé son jean. Il était en sous- vêtements. Ses sous-vêtements "Jockey", la marque.

Je l'ai poussé sur le lit et je l'ai saisi. Il s'est allongé et j'ai commencé à enlever ses sous-vêtements. HOU LA LA! Il a une queue de 20 cm de long.
 J'ai pris sa queue dans ma main. C'était très chaud. J'ai commencé à le branler. Il gémissait «ah… suce-moi Rani»    
J'ai posé mes lèvres sur le bout de sa bite dure. J'ai goûté son precum.

Puis j'ai commencé à l'insérer dans ma bouche.

Je l'ai complètement pris dans ma bouche, j'ai commencé à le sucer et me suis frotté les couilles avec la main. Il a dit "Oh, Rani, je veux te baiser, garce."
Il a commencé à me baiser la bouche.

Puis je suis venu sur le lit, j'ai détaché ma robe et l'ai enlevée. Il est venu derrière moi, m'a fait asseoir comme une chienne, a baissé ma culotte et a commencé à me frotter le trou du cul du bout de son pénis.

Je gémis et quand j'ouvris les yeux, je vis que Manvi avait retiré sa culotte rose de sa jupe et se frottait la chatte pendant qu'elle appréciait notre séance.

Ajay a commencé à pousser sa bite dure dans mon trou du cul.
 J'ai ressenti de la douleur et du plaisir.
 Il me tenait par la taille et commençait à pousser sa queue dans et hors de mon cul.

Lentement, il prenait de la vitesse. Il a commencé à me baiser comme un fou. Je gémissais de plaisir.
 Il m'a baisé en disant "Je vais jouir, je ne peux pas me contrôler" et c'est alors qu'il a fait exploser ses flots de sperme dans mon trou du cul.
 Maintenant, il était complètement épuisé.

Je me sentais bien, mon pénis était devenu très dur et je voulais aussi le faire exploser. J'ai remarqué que Manvi se frottait la chatte très vite maintenant et avait les yeux fermés.

Je suis allée la voir, j'ai attrapé ses cuisses et j'ai commencé à pousser ma bite dure dans sa chatte. Elle hésita mais céda à la chaleur du moment.
 J'ai soulevé son haut et commencé à presser ses deux seins et ai également commencé à la baiser follement.

Je ne pouvais pas me contrôler et je la baisais comme un chien. A ce moment-là, elle atteignit son orgasme et gémissait follement mais je ne m'arrêtai pas pour autant. Je l'ai baisée pendant 5 minutes de plus et ai inondé sa chatte de mon sperme.

Ensuite, Manvi et moi sommes revenus au lit.
 Elle a enlevé tous ses vêtements.
 Tous les trois nous avons encore fait l'amour. Ajay était en train de me baiser pendant que Manvi me sucait la bite.  
   
 

 


 

commentaire :

 

  Image associée Image associée

 

 

 

  Image associée  Image associée  Résultat de recherche d'images pour "cross dresser porn gif threesome"

 

Image associée

 

 

  Image associée

 

 

  Résultat de recherche d'images pour "cross dresser porn gif threesome"

 

 

  Résultat de recherche d'images pour "cross dresser rain drenched to the skin porn gif threesome"

 

  Image associée vous l'aviez deviné, nous sommes en Inde moderne mais en Inde où le Kamasutra a gardé tous ses droits

 

Image associée

 

 

Par claudio trad - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 23 décembre 7 23 /12 /Déc 05:46

    Avouez que c'est mieux que chez-nous, il y a toute une vie dans les maisons en sous-sol de ce quartier de Londres, Kensington on passe devant sans y faire attention mais

là s'abritent des escorts, des masseurs, des salons pour accueillir les clients gays, friqués ou non,  

 Résultat de recherche d'images pour "brothel for gays in London" du glauque aux
salons (lounge) d'accueil pleins de GAYté  qui donnernt envie aux clients fidèles ou de passage
Image associée
"yes Madam...turn left at the end of the street"..tout à côté la ville vit sa vie
Image associée cette dame demande son chemin un gay la renseigne aimablement
Le reportage de THE INDEPENDANT :
adaptation et traduction par cavaillongay
Les gens passent le jour devant la maison close et ne la remarquent jamais. Pour eux, tout est parfaitement normal, ce n'est qu'un sous-sol  comme un autre dans une rue de terrasses peintes en blanc entre la Kensington High Street et la King's Road. Sauf que cet appartement abrite un bordel masculin, gay.
       À l'intérieur, il y a une antichambre où jusqu'à une douzaine de garçons principalement dans leur vingtaine sont assis sur des canapés à regarder la télévision (le terme "garçons"est universellement utilisé parmi eux),

Il y avait cinq chambres mais il n'en reste que quatre, l'une d'elles accueille depuis peu un bureau où  un garçon qui s'appelle Rita agit comme réceptionniste, comptable et ordonateur des lieux pour la nuit.

L'atmosphère est moelleuse; L'odeur du vernis dissimule à peine une bouffée de quelque chose de cuit il ya quelque temps. Mais c'est impeccablement propre, même si le papier peint et les gravures bon marché ne  semblent pas à leur place hors de propos pour ce quartier de l'ouest de Londres.

À Londres, à tout moment, jusqu'à 20 adresses  offrent des services d'escorte et de massage pour hommes, par des hommes.
 Quinze semblent attendre un client extérieur et quatre d'entre eux sont là pour offrir du sexe sur place. Il y en avait cinq jusqu'à l'année dernière, lorsque le propriétaire de «Rome, à quelques rues de l'hôtel de ville de Kensington, a été emprisonné pour fraude à la carte de crédit. Selon la police métropolitaine, les dernières condamnations pour conduite d'une maison dite "désordonnée" ont été prononcées en 1990 contre deux hommes qui ont dirigé un sauna gay à Streatham (ils ont été emprisonnés pendant trois et six mois respectivement).              

 

 Certains des garçons qui sont ici sont des acteurs "intermittents"entre deux emplois, mais il y a aussi des employés de bureau qui jouent un rôle qui compte au club gay mais qui ne gagnent pas assez ici pour financer leur mode de vie que par leur salaire régulier dans la vie civile. Certains sont hétérosexuels et ont des copines. Les heures de service varient suivant les personnes, certaines maisons permettent aux garçons de descendre plus ou moins quand ils le souhaitent, même si la règle est qu'ils doivent rester au moins cinq heures sur place et téléphoner à l'avance pour vérifier qu'ils seront utiles s'ils viennent. D'autres ont un système de répartition des charges plus conventionnel et sévère pour les retards, qu'ils débutent à midi pour travailler l'après-midi ou à 18h00 pour être là pour la soirée. S'il n'y a rien de spécial, un week-end tranquille par exemple, les garçons rentreront à minuit. 
Pour la plupart ils détestent ce travail. «C'est juste temporaire, je ne voudrais pas le faire pour toujours, déclare Philip. «C'es comme si un commutateur électrique agissait sur moi. Je suis "un autre" quand je suis là. Je gémis et tout ça, suivant mon inspiration  mais c'est comme si je pouvais me regarder de loin ou dans un film. Je ne me sens pas impliqué.

Les clients voient les choses de manière un peu différente. «C'est génial, déclare, décontracté, Murray, un ancien acteur « c'est comme une troupe de théâtre qui décline son répertoire de façon bien organisée et très joyeusement. Il s'agit d'une branche mineure du showbusiness après tout. Tous sont là pour satisfaire les fantasmes et ils le font tout simplement professionnellement. ... D'abord ils sont presque toujours d'excellents masseurs.

«Je ne suis là que pour une chose et eux aussi; dans une maison close il n'y a pas l'atmosphère agitée d'un club ou d'un bar. Très souvent, je n'ai pas d'attraction physique pour le type de garçon que l'on m'a confié, auquel cas je n'hésite pas à partir.
             
           
 Environ la moitié des clients sont «dans le placard» et, sortis d'ici ils redeviennent les hétéros que leur entourage connaît. «Beaucoup de gens éminents savent qu'ils sont en sécurité ici, qu'ils ne seront pas exposés, déclare Stephen, régulier depuis les années soixante.

Le client choisit son garçon et paie les 50 livres.  Moitié pour le garçon et moitié pour le propriétaire de la maison dite "de quartier". Les cartes de crédit sont acceptées dans la plupart des établissements. Dans certaines maisons, on achète une heure pour faire ce que vous voulez. Dans d'autres, les 50 livres ne payent qu'un massage; les autres services doivent être négociés entre client et garçon. Détail important, on ne fait pas à la course :  «Je n'ai jamais été dérangé à propos du temps, et j'ai passé jusqu'à une heure et demie chez certains garçons, a déclaré un client régulier qui, lui, vient depuis les annés 60, c'est dire son âge et le type de service qui est rendu . «C'est très décontracté, mais bien sûr, il convient que vous laissiez un bon gros pourboire pour tout ce qui excède "l'ordinaire", le basique.
 
           Le pourboire habituel est d'au moins 50 £ supplémentaires, la somme exacte dépendant - au moins en partie - de la façon dont le garçon a des besoins impérieux d'argent comptant! Les aides sexuelles sont prévues et fournies. Le garçon peut avoir dans son placard pour louer les jouets sexuels de ce qu'il appelle "sa batterie de cuisine"  : lanières de cuir, masques et fouets, pornographie hard-core godes et vibros.

Beaucoup d'hommes viennent là simplement pour un massage ou chercher un escort pour accompagner un dîner. La demande de sexe anal est relativement rare. Le plus grand nombre de demandes concerne les «'sports' humides et le 'scat'». La pratique consistant à uriner sur le partenaire ou à boire son urine pour une faveur sexuelle supplémentaire n'est pas aussi rare qu'on pourrait le supposer.

Trash : Les clients paient également pour déféquer sur le sol. Le garçon doit ensuite partir alors que le client se frotte lui-même avec la merde. Le sexe de groupe n'est pas inhabituels, mais c'est le sexe sado-masochiste qui est le plus demandé, en particulier des hommes d'affaires étrangers en voyage à Londres.
 
           

 

La plupart de ces garçons peuvent être appelés à un moment ou un autre pour une prestation chez des clients en séjour dans certains des hôtels les plus élégants de Londres . Ce sont les emplois les plus lucratifs et on  peut gagner jusqu'à 300 livres pour rester toute une nuit. Un garçon raconte son expérience à l'Hôtel Intercontinental,  avec un Allemand qui voulait être battu à mort . "Il a simplement supplié d'être pardonné et, en ce qui me concernait, de le frapper encore plus fort, comme ils le font tous. Ensuite, nous avons pris une collation et  simplement dormi ensemble pour le reste de la nuit, nous avons pris le petit déjeûner le lendemain matin et nous sommes séparés.

Parfois, des idylles se forment dans ces circonstances. Un garçon raconte «J'étais assez déchiré quand, à Noël, Murray, un Australien de Perth qui ressemblait à Mel Gibson, a déclaré : «J'étais absolument certain de ne jamais pouvoir avoir de relation à l'extérieur, mais je voulais juste qu'il soit à mes côtés».

       FAKE PHOTO SEAN CODY      

Les chefs  de la maison close découragent les liaisons en cours. Beaucoup de clients, désireux de voir leur garçon dans des circonstances différentes, laissent leurs cartes de visite à certains garçons. Étonnamment, peu de garçons poursuivent ces contacts. «Il y a une sorte de fidélité à la maison, a déclaré l'un des patrons. «Je pense juste que ça prend trop de temps, dit un garçon. «Je ne le ferais pas à moins d'être vraiment très en manque d'argent. D'autres estiment que le contact à l'extérieur de la maison interférerait trop avec leurs «véritables vies».

En dépit de l'existence de maisons closes, contrairement à la France où c'est sévèrement puni par la loi, "l'écosystème"des garçons de à louer continue d'être fort à Londres. Les prix pour ce type de service rapportent environ 50 livres par passe, mais peuvent être très variables. Beaucoup de garçons de location sont plus jeunes et exercent leur commerce dans les rues autour de Piccadilly Circus. En outre, certains garçons fonctionnent de manière informelle en simple ou par paire à partir d'adresses privées ou leurs e-mails. Il aut souligner qu'en revanche les bordels, offrent de la sécurité aux clients et aux garçons.

Les maisons closes de Londres offrent un moyen plus lucratif pour les jeunes gens qui font commerce de leur corps dans les rues et un service plus discret aux clients conscients et exigeants.

 

Reportage de David Hall pour The INDEPENDANT 

  Image associée           


  Prosti~> Les maisons closes pour garçons de Londres offrent aux jeunes qui y font commerce de leurs corps, que le travail classique et offrent aussi au client exigeant un service sécure

 


commentaire : "question : et si la France autorisait les maisons closes, ce serait si con que ça ?" (Altersex)  

 

Par claudio traducteur - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 22 décembre 6 22 /12 /Déc 08:54

 la plénitude ? oui je l'ai.

https://www.franceculture.fr/conferences/bibliotheque-nationale-de-france/du-plaisir-a-la-jouissance

 

 

hier soir, je venais de me mettre au lit ...

 

blessing your feed with fetus chilled

 

 

 ...et, comme d'hab mes pensées m'assaillaient, mais pas méchamment comme des fois  quand je m'adresse des reproches et j'évoquais tour à tour mes amants, surtout ceux dont "le passage" m'avait "marqué"car il y en a eu bien d'autres, et beaucoup. Et mon système (celui dont on parle quand on dit 'ça me tape sur le système' ...en fait ça m'obsède. Tour à tour dis-jet j'évoquais Jo, Pierre (les deux), Alain.H et Alain F, Fred.. ainsi de suite. As-tu été heureux avec lui, puis,  lui...etc. Je ne renonçais à aucun et c'est comme s'ils n'avaient fait qu'un dans le plaisir et dans la jouissance.

Et là je nuancerais car la jouissance à chaque fois fut éphémère et marquait (un peu) la fin des plaisirs, alours qu'eux, les plaisirs débutaient à la première vue de chacun de mes amants et ne mourraient qu'avec moi... et je ne suis pas mort, pas encore.

J'ai, avec mon insomnie, poursuivi mon diaporama intérieur, éclairant chacun d'eux d'une lumière bien réelle, bien actuelle. Immortelle. Evidemment tu t'es déjà dit -on t'a déjà dit-"ça te fera des souvenirs. Vivants il fallait dire. Car c'est le cas ! 

Je me suis questionné : "tu regrettes"  - "oh non ai-je répondu en mon for intérieur. Non. J'ai aimé, j'aime encore et j'aimerai(s) -lol-.

Mon seul regret n'est pas un amant physique : c'est un flop qui m'a fait, lui, beaucoup souffrir

  Bonne nuit, mes 'petits' chéris   Sleepy Chilly at your service.

 

 

__________________________________________________________________________________________________

 

commentaire :

 

Par claudio - Publié dans : RECONNAISSANCE(S) &TRANSMISSION DE MESSAGES PRIVES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 08:55

aujourd'hui c'est la journée mondiale de l'orgasme. Ne vous privez pas : ne laissez pas encore les femmes s'en emparer. Les gays ont droit à la jouissance libérée !  

 

Samuel aurait pu être gêné, mais il ne l'était nullement.Samuel, passé aux toilettes avait revêtu une tenue confortable et légère

 

 

Oui, nous avons enfin pu rejoindre les portiques de sécurité de l'aéroport.

 

Samuel, passé aux toilettes, avait revêtu une tenue confortable et

 

légère. 

 

 

Jack et moi avons aisément passé les détecteurs, mais lorsque Samuel  a franchi les piliers magnétiques, une sonnerie stridente a retenti. Lui qui est trans et faussement féminin aurait pu être gêné, mais il ne l'était nullement. Un grand type tout en muscle s’est alors approché de lui et lui a expliqué qu’il allait devoir le fouiller. Samuel a hoché la tête, puis il a écarté les bras et les cuisses sans rechigner.

Jack a soupiré en laissant échapper un murmure :

– C’est pas vrai, il fait le coup à chaque fois. Dans les magasins, les gares, partout… Il adore ça, le pervers.

– Vu le contrôleur, je le comprends. J’aurais dû faire pareil…

Le type bâti comme une armoire à glace a palpé les cuisses de Samuel, ses bras, son entrejambe, ses fesses, pour finalement tirer du short un tout petit bout de métal, qui «traînait probablement là par hasard». Après plus d’une minute à se faire caresser dans des endroits sensibles, le garçon semblait ravi de son coup tordu. J’ai été surpris par son adresse à dissimuler quoi que ce soit avec si peu de tissu sur lui. Jack m’a répondu qu’il valait mieux ne pas savoir où il l’avait caché, ce petit objet métallique ! 

 

mais comment fait-il pour masquer un gros machin comme ça ?

 

 

 On imagine aisément la surprise du préposé à la fouille !

 

Résultat de recherche d'images pour "homme gay porn objet métallique caché dans le trou du cul"

Tel je connaissais Samuel ...

 

 


commentaire :

 

 

 

 

Par SPUR - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • LE LAC N° 1 FIN AOUT 005
  • VETERAN CRUISER
  • SEX ADDICT
  • gros penis large
  • 11026-copie-1
  • FORESKIN 007

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés