J'ai reçu ce post : "es ke sa te di de te faire enculer jusqu'aux yeux  par une grosse ke apel 0619213628" ouh ouh !

Sur les murs du lycée Th(éodule)..y avait écrit : "Le proviseur encule sa femme" En conseil d'établissement un des membres honorables parmi les administrateurs lui a demandé ce qu'il comptait faire au sujet de cette inscription. Je vous cite la réponse : "eh bien, continuer monsieur, nous y prenons beaucoup de plaisir"  Textuellement !   
     à travers les forums déchaînés : 

          Sa longue queue elle te sort par la bouche. il t'encule et tu le suces en même temps"

"jusqu'aux yeux" ! -lol-

-Salut à tous la sodomie je la découvre avec plaisir avec mon

nouveau copain (les 2 dernéres fois j'avais 8gr donc je m'en

souviens peu et le lendemain j'avais plus mal au cheveux qu'au cul,

mais je ne me souviens d'aucun plaisir). Mon copain actuel ADORE

 mon petit trou du cucul il adore faire ça en 69 il prends le temps de

me mettre son index (au préalable lubrifié) dans le cul puis une fois

lorifice à son goût il adore y mettre la langue mais ça n'a fini qu'une

seule fois en sodomie.

 
-Mon probléme est que je n'arrive pas à déterminer  ce que je resens

lorsqu'il me pénétre de son index en va et vient répétés

(délicatement tjs avec lui c'est un amour). J'ai une sensation de

chaleur IMMENSE qui m'envahit j'ai l'impression de brûler et je

n'arrive pas à savoir si c'est le plaisir anal ou pas et du coup je ne

fais plus trop attention à ce qu'il me fait car je me pose des  

questions.

 
Un peu d'aide serait la bienvenue car il adore ça et j'aimerais lui en

donner BEAUCOUP plus pour qu'il continue à prendre son pied et moi

le mien.

 
Merci à tous.

     Il adore ça et j'aimerais lui en donner BEAUCOUP plus pour qu'il continue à prendre son pied et moi le mien.

J'encule ma femme 2 à 3 fois par semaine sans aucun souci et elle aime ça

je n'ai jamais rencontré de souci dans cette pratique régulière ... sauf peut etre le fait d'en avoir de plus en plus envie

Avec ma femme nous pratiquons assez régulierement ( 1 fois par semaine en moyenne) elle n'a jamais eu de problèmes
Il nous est même arrivé, en vacances, de pratiquer la sodomie de façon tres intense : jusqu'à deux fois par jour pendant une semaine. L'anus devient alors extrêmement souple et la pénétration peut être alors prolongée et vigoureuse garantissant des orgasmes très puissants pour tous les deux C'est clair que c'est trop bon et ça m'aurait posé un pb de m'en priver! Ca fait beaucoup de temps que je pratique la sodomie.
J'adore cela .Mon mari m'encule plusieurs fois par semaine.
Mon trou est correct . peut-être aussi parceque mon mari as un petit pénis. C'est sur qu'avec un gros sa dois être plus fort. Quelquefois j'ai juste un peu mal quand je vais à la toilette. Ce qui ne va pas m'enpêcher de me faire enculer par mon mari. C'est trop jouissif pour moi.  

 

Aïe !  Chercher ailleurs est-ce tromper ? Sous couvert d'anonymat : « Je te comprends !! je suis une grande fan de sodomie mais mon ami actuel lui est debecté par cette pratique .. alors ben je pratique des rapports anaux " sauvages" avec d'autres complices ou si je ne peux pas ( je ne le trompe pas, mes complices m'enculent et c tout), sinon je me masturbe avec toutes sortes d'objets : bombe de déodorant, pieds de chaises, bouteilles.. et je prends mon pied ainsi.; c'est vrai que c'est frustrant de ne pas pouvoir partager avec lui une telle jouissance, un tel plaisir !! Nous ne sommes pas des putes si nous aimons nous faire enculer, je vous conseille à toutes cette pratique !!!!

 

 -Je pratique la sodomie depuis pas mal de temps et mon petit trou

est impec.... j'adore ca , humm c'est trop bon, comment s'en passer.

je me mets sur lui et je fais des va et viens jusqu'à ce que son sexe

soit au bout, et là c'est l'extase. J'aime quand je suis sur le ventre à

4 pattes et les épaules à plat, je suis dominée et j'adore.      

 

-Conclusion : C'est bon de se la prendre profond profond  
Mais avec modération !  
... Eh puis nan no modération, non stop !    Fuck now !  

 

-Ok, mais qu'est ce qu'il a fait de mieux que les autres ?

 

 -Il l'a fait avec délicatesse...   (joli ! ) 

-En ce qui me concerne je le pratique régulièrement avec mon mari qui est un black bien membré.

 Mon anus se dilate suffisamment pour laisser passé le sexe de mon mari qui peut se mouvoir très facilement pour atteindre un orgasme quasi certain. C'est vrai qu'à force de pratiquer la sodomie le sexe de mon mari peut aller et venir aussi vite dans mon anus que dans mon vagin, pour mon plus grand plaisir et le sien aussi.

-Pas d'inquiétude, la sodomie n'élargit pas l'anus de façon durable et pas de problème d'incontinence, même à long terme, des études ont même prouvé que se faire enculer évite les risques de cancer de l'anus car se faire enfiler ça entretient la tuyauterie... Alors aucune raison de s'en priver...la sodomie n'élargit pas l'anus, à condition qu'elle soit très bien préparée, càd que les sphincters s'habituent et s'adaptent à l'intromission d'objets, et ce, de manière progressive.
Je tiens ttes ces infos de qq'1 de fiable : ma gynéco ! Quel intérêt aurait-elle à me raconter des carabistouilles ?

-Bah, je pense pas qu'il y ait des risques   Et s'il y en a, ben tant pis, je les prends

  -Hello, depuis une bonne dizaine d'années je pratique au minimum une fois par jour, que ce soit avec mon mari ou alors avec mes jouets (concombre, aubergine, etc.)
Absolument aucun problème. La dillatation se passe à merveille, je n'ai besoin d'aucun lubrifiant pour me pénétrer et ce n'est pas pour autant que j'ai des fuites.
Mon anus est toujours en parfait état malgré le fait qu'il m'arrive de m'enfoncer une aubergine entière. Profite de la vie et du superbe plaisir que la sodomie peut provoquer !
J'en ai aussi longuement parlé avec ma gynéco (on est venu sur le sujet car elle m'a trouvé très "étroite" au niveau du vagin (depuis plusieurs années je pratique uniquement l'anal car il me procure plus de plaisir) et elle m'a confirmé qu'il n'y avait aucune contre-indication. Un seul mot d'ordre : si ça fait mal détends toi et prends ton temps. Pour le reste aucun problème. Les fuites et autres soi-disant soucis ne sont que des légendes.

 

  des couples pourraient se défaire ....

 

Chantal : c'est bien regrettable que ton amoureux ne veuille pas t'enculer alors que tu aimes ca le prob c'est que les gens ne savent pas que l'anus fait jouir comme le vagin ou plus et comme les religions sont contre on en reste a ces drames s'il était sympa il t'enculerait et verrait que c'est bon pour lui aussi c'est dramatique que des gens se pourrissent la vie avec des faux problemes personnellement j'appelle ca de la connerie  ! d'autres couples pourraient se former - Moi par contre ma femme ne veut pas la pratiquer, elle a peur d'avoir mal.Alors que moi j'adore ça, j'en suis fou( comme toi Chantal). (appel du ped ! )

       -Hello ! Je pratique la sodomie avec mes partenaires réguliers, je n'ai jamais eu de problème mais j'ai pas non plus 50 ans ^^
Le seul problème c'est lorsque la pratique est un peu plus "violente", j'ai quelques douleurs pendant, bien que je trouve ça excitant, mais aussi après, pendant quelques heures, mais c'est très supportable ^^  

    -Nous pratiquons la sodomie avec ma
femme depuis prés de 30ans, nous avons commencé à 17/18 ans, cela nous est arrivé de le faire tous les jours, et encore aujourd'hui je la sodomise plusieurs fois par mois,
avec des godes ou des boules thaï, il m'arrive de la prendre avec une bouteille de champagne, ça c'est l'idéal vu la forme de la bouteille tu arrives à élargir l'anus trés grand. Quand tu la pénétres en suivant, ça rentre tout seul et en plus c'est tout froid.
Et le lendemain l'anus a repris sa forme normale, ou tu rentres à peine le majeur.
J'arrive même à lui mettre 3 doigts quand elle est bien détendue.
J'aime bien pratiquer la doublette, un gode dans le sex e et je la sodomise, ou l'inverse.

    -Rares sont les femmes qui avouent aimer cela! moi oui, mais Ca n'est pas venu tout de suite... il faut trouver le bon partenaire (pour ma part, c'est mon homme qui m'a fait découvrir cette pratique). On a toutes des réticences, c'est encore considéré comme un "tabou", mais une fois qu'on y a goûté... Miam !!! 

    -Merci pour ces informations utiles, j'ai vraiment envie d'essayer la sodomie

va te faire sodomiser par un n...       sa longue queue elle te sort par la bouche. il te sodomise et tu le suce en même temps..

bravo James je crois que tu surpasses James Dean qui, lui,  en son temps, a dû s'en prendre de belles avant de mourir bêtement sur la route !   

   Oui, Axel m’a comment dire ? laissé un souvenir plutôt savoureux ! oui, le cul, l'anus, goûte un peu comme la bouche les 'aliments' qu'on lui apporte ! Et la bouche vient aussi goûter les saveurs teintées d'amertume du cul. C'est un partage heureux de rôles tellement proches !

    aliments pour la bouche et pour le cul

d'après http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2018-mal-au-cul.php 

La chose est entendue il me donne le N° d’Axel et donc je l’appelle dans la foulée

Axel : bonjour tu pourrais venir à Pau en am ou fin d’am dimanche je suis seul ma femme est partie dans sa famille jusqu’à mardi soir.

Moi :ok tu parles… je me rappelle de l’outil que Monsieur trimballe, et même si j’étais son 1er cul de mec (certes il était en compagnie de Paul) je dois avouer que j’ai ramassé grave j’ai d’ailleurs mis une bonne semaine à m’en remettre totalement...  

    suite :  Axel : super ! j’ai une super envie de remettre ça avec toi j’y pense  

depuis la dernière fois, j’ai bien essayé avec ma femme mais je me

suis fais jeter comme d’hab.. et n’ai pas été voir ailleurs d’autant

que pour moi la discrétion est impérative..  

Moi : OK, RDV est pris et je me pointe hier donc à l’adresse donnée à 16heures

ça va pour l'Axel apparemment c’est un mini manoir qu’il habite. Pas une maison...

Un peu intimidé quand même je rentre dans le hall ou il m’attend en peignoir..

Axel : Bjr ça va ?

Moi : Oui merci toi je te demande pas lui dis je en regardant la bosse énorme que fait son peignoir sous la ceinture, ça a plutôt l’air d’aller..

Axel : m’en parle pas je pense qu’à ça depuis notre coup de fil.. on monte ?

Ok, nous voilà dans la chambre du 1er je vous passe l’architecture elle à l’avenant de la bâtisse et y trône un super lit à baldaquin d’au moins 2 mètres sur 3, un truc impressionnant, assez haut sur pieds, des fauteuils crapauds plus vieux que lui et moi réunis, un bar, un méga écran sur le mur.

Je lui demande à aller à la douche la c’est pareil tout est surdimensionné avec du marbre partout accès direct à la chambre..

Je passe sous la douche et quand je reviens 1 film de cul Gay défile en gros plan sur l’écran, il a tombé le peignoir mais je ne vois pas sa bite il est derrière le bar à nous servir deux coupes de champ...

On bataille un peu bla bla et évidement ça revient sur le plan cul que j’ai fait avec lui et Paul la dernière fois.

Puis il sort de son bar et là, franchement je me la rappelais grosse mais pas tant que ça en plus il est raide comme un bâton, et je remarque particulièrement l’épaisseur de son gland circoncis qui plus est..

Il me dit assieds toi sur un fauteuil et s’il te plaît suce moi...

Je me fais pas prier d’autant que j’ai décidé de le faire tourner en bourrique

Je commence à lui suçoter le gland, à tourner autour de lui, à lécher sa hampe, remonter, puis prendre juste la moitié de son gland, m’écarter, recommencer plusieurs fois comme ça... ça le rend fou il se tient la queue plantée devant moi, puis d’un coup sans le prévenir j’enfourne 10 bons centimètres d’un coup... il trimballe quand même un bon 23 / 6 pépère et là je l’ai rendue dure noueuse tendue il soupire de plaisir me demande de continuer que même sa femme ne l’a jamais sucé comme ça, que c’est incroyable, alors je m’exécute en m’appliquant j’en avale je vais plus profond remonte en appliquant une succion en aspiration, et le pompe il en peut plus d’un coup, j’en suis même surpris, il le hurle : putain je vais jouir !  et, dans la seconde, j’ai à peine le temps de retirer ma bouche, qu’il part dans de puissants jets saccadés à répétition et m’en met plein la gueule et les cheveux ….

Il recule s’assoit sur le bord du lit reprend son souffle et me dit jamais, jamais j’aurai cru qu’un jour je serais sucé comme ça..

Je suis assez content de moi et lui dis, espiègle, j’espère que ça va pas te suffire quand même..

Lui : ha que non laisse moi reprendre mes esprits on a le temps je rêve trop de ton cul depuis la dernière fois...

suite :    Moi ok je repasse sous la douche nettoyer tout ce qu'il vient de m’envoyer. Après pause clope et re champagne ?

Axel : Ha oui alors..

Retour de la douche sa queue a perdu de sa superbe mais elle est impressionnante encore quand même..

On fume, on boit, on mate le film sur l’écran en restant assis sur les tabourets du bar

Le téléphone sonne, c’est Paul qui appelle me dit’il

Moi : Réponds ! 

Lui : OK allo Paul

…

Lui :OUI il est là

…

Lui : M’en parle pas il vient de me sucer magistralement un vrai paradis cette bouche, j’ai jamais joui comme ça avec une pipe.

….

Lui : non tu rigoles on fait une pause et après je le baise

…

Lui : oui comme tu dis je vais lui péter le cul oui je te raconterai après ok, ok je te le passe..

Paul : alors ? tu l’as mis à l’envers ? T’as décidé de jouer avec lui ? Méfie toi quand même il y a du monde sous le nombril..

Moi : je sais j’en ai déjà tâté, j’en bave

Paul : oui mais la dernière fois c’était sa 1ère et en plus là tu viens de le vider il va tenir la distance..

Moi : écoute on verra bien de toute manière il te fera un rapport si j’ai bien compris..

Paul : exact bon je vous laisse. Bonne bourre !  et il raccroche

Je vois que Axel reprend des formes en visionnant le film elle est devenue la gamme au dessus de demi molle, il récupère plutôt vite le garçon..

Axel : tu veux qu’on baise là ça revient grave

Moi : Oui mais tu t’occupes de moi, tu vas me bouffer le cul me travailler les tétons me doigter pour m’ouvrir et quand tu sentiras que je suis prêt tu m’enfileras. Comme vous voyez je suis assez directif. 

Aussitôt dit aussitôt fait direct sur le méga pieu avec au passage un attrapage de pot de crème lubrifiante il a tout prévu

Je me mets à 4 pattes il me caresse les fesses passe ses doigts et affleure ma rondelle me malaxe la queue en la serrant fort par moments puis glisse sa langue et commence à me bouffer le cul il est habile et pas feignant. Il y va de la pointe, la darde, l’enfonce dans mon trou, la sensation est extrême puis il me retourne sur le dos me suce la queue me bouffe les couilles remonte le long de mon torse, ses mains aussi courent sur moi il me pince les tétons me les triture, me les mordille, j’aime ça, ça fait mal et du bien EN MEME TEMPS. Je sens l’envie de plus en plus en moi mes reins se cambrent, je souffle, respire, demande d’arrêter et de recommencer dans la foulée il se déchaîne je suis surpris c’est son, 2 ème plan avec un mec ..Puis il me fait lever et écarter les jambes en V, la il prend du gel me glisse un doigt direct profond puis me travaille puis 2 doigts, et 3 il les enfonce les fait tourner, appuie sur ma prostate…Là c’est moi qui commence à partir, il le sent et s’arrête.

Il me remet à 4 pattes les genoux écartés me dit bouge pas reste comme ça, je l’entends descendre du lit et revenir aussitôt et il me met sous le nez une espèce de gode en latex noir avec deux pénis à chaque extrémité, le truc fait au moins 40 centimètres mais il est fin et a 2 à 2 cm et demi d’épaisseur pas plus.

Axel : je vais finir de t’ouvrir avec ça et après je t’enfile jusqu’à la garde

Direct il pose le gode et pousse, avec le travail qu’il m’a fait et le gel ça rentre tout seul direct et il pousse c’est interminable : 30 cm en moi au moins. Il fait des va et vient il a un moment je le sens au fond de moi limite ca ferait mal, je me plains en me cambrant il comprend s’arrête de pousser.

 Il me dit : "je t’ai presque tout mis à 2 centimètres prés"

La sensation est curieuse le sens ce truc au fond de moi mais il me manque l’épaisseur il fait des va et vient et, à un moment, il plie le gode en 2 et m’insère les deux glands en même temps

Il semble satisfait du résultat obtenu retire le gode de mon cul passe à genoux derrière moi pose son gros gland sur mon trou et pousse d’un coup10 à 12 centimètres j’ai l’impression d’être fendu en 2, mais j’attendais ça depuis un bon moment je crie de plaisir le mélange de la douleur et de la sensation de remplissage me comblent.

Il fait une pose de 30 à 40 secondes et recommence à pousser d’un seul coup lentement inexorablement jusqu'à ce que je sente son pubis coller à mes fesses.. Il est en moi entier jusqu’à la garde il est fier de lui et de sa queue me le dit me demande alors tu l’aimes ma bite

Je l’aime pas ! c'est simple :  je l’adore ! Allez, baise-moi ! Il commence à me limer lentement sur la moitié pour commencer puis sur toute sa longueur il varie les vitesses parfois en puissance parfois tout en douceur, pour mieux s’enfoncer brutalement

Moi je sais plus où je suis j’ai Chaud, j'ai mal, non pas mal m'en fous !  j’en veux !  j’en veux plus ! et puis j’en reveux, maintenant ses 6 cms glissent sans problème (comme papa dans maman) il se sent à son aise moi je suis en transe je remue la tête dans tous les sens je sais même pas ce que je dis j’exulte, je couine, je gueule (ce qui m’arrive rarement en baise)

Puis tout d’un coup il s’arrête alors qu’il est au ¾ en moi et là je sens qu’il pousse sur mon trou je pense qu’il veut aussi mettre un doigt ou deux de plus mais non il est en train de m’enfiler le gode de 2 ½ en plus de sa queue, j’en reviens pas et sans gel et ça passe non sans mal mais ça passe, lui reste fixe et le gode vient me remplir en plus de lui et jusqu’au plus profond de moi une fois planté là il recommence ses va et vient avec sa queue c'en est trop pour moi je sens le plaisir arriver violement mes reins se cambrent mon cul à du mal à se contracter sur cette masse épaisse en moi, lui aussi vient puissamment, brutalement ! il râle et lâche tout son jus (et il lui en restait dans les couilles apparemment) au fond de mon cul je sais pas comment il se débrouille il arrive à retirer le gode en restant en moi EN MEME TEMPS qu’il JUTE et que je jouis de partout, du cul, de la queue j’ai les abdos qui se contractent je me laisse tomber sur le côté il est encore en moi j’ai la tête qui tourne les yeux révulsés je sais pas si j’ai pas perdu conscience une ou deux micro secondes tellement c’était puissant

Enfin il se retire je suis encore secoué de spasmes pendant son retrait

Et là on reste là, pâmés,  lui sur le dos moi en chien de fusil sur le côté..

Il récupère plus vite que moi

Quand même

On se dit pas un mot….

Moi je m’assois sur le bord du lit j’ai chaud au trou très chaud un peu mal aussi

Je finis par me mettre sur mes jambes et avec difficulté aller sous la douche j’ai plus de cuisses, plus de mollets et j’ai mal au cul mais putain que c’était bon…

J’ai encore un peu la tête qui tourne je reste au moins 10 minutes sous la douche, pour récupérer.

Je repasse dans la chambre il est toujours a poil sur un tabouret la queue pendante ; et quelle queue !

Il est au téléphone et je vous le donne en mille...avec Paul !

Il est en train de lui narrer depuis le début et en détail la baise que je viens de subir pour mon plus grand plaisir en plus

Il me passe le téléphone et Paul de me dire :

Alors ma salope, ma petite pute paraît que t’as pris cher… ?

Moi : Putain la vache, ton pote il s’est bien lâché et s’est bien dévergondé en deux fois..Il est passé à la case supérieure, il m’a rincé……..Mais alors quel pied…

Paul : Très bien tu devras te faire pardonner quand je rentrerai je suis en train de te concocter un plan pas piqué des vers…

Moi : si tu veux. Maintenant avec toi je m’attends à tout..

Paul : non pas à ça…

Moi : ok on verra ! là j'suis trop fatigué pour en parler..

Et on raccroche

Axel me propose de rester je suis tenté, mais me dis aussi que s’il me remet ça au réveil demain matin je vais pas être beau a voir pendant un moment et pas sûr que mon cul soit tout de suite prêt comme ça..

On finit en discutant, il m’avoue qu’il a maté au moins une dizaine de films de plans cul gay entre la prise de rendez vous et mon arrivée pour apprendre les bons gestes, comment s’y prendre, envisager diverses situations, moyens d’œuvrer particulièrement pour un mec TTBM..

Faut avouer qu’il a de la mémoire visuelle et qu’il apprend vite, qu’est-ce qu’il m'a mis !

Je reprends ma voiture une heure de route pour rentrer la tête occupée des moments qu’il ma fait passer, avec toujours mal au cul, et là, encore 24 heures après, en vous écrivant je le sens encore, et je fais gaffe quand je vais aux toilettes…C’est chaud de chez chaud…. 

suite : Je sais pas ce que me prépare Paul, mais je pense que s'il veut dès demain ça va être dur de remettre mon cul à dispo…….ca c’est sûr..  

 Bref : on est toujours surpris de la résistance d'un cul à se faire ramoner comme ça juste après, je le conseille pas à tout le monde, je peux vous en parler, il y a un moment, quand on est bien "rôdé" où on ne ressent plus aucun mal, juste du plaisir et des caresses exaltantes   ……..Si vous avez des commentaires, ben ne ne vous gênez pas ils sont les bienvenus..

James

jamescotbask@xxx.com

s’il te plaît suce moi...

  DSL mais cavaillongay, blog porno, libre, et doux diffusé sur et par erog, comporte une grille d'entrée mettant en garde et interdisant l'entrée aux mineurs de moins de dix huit ans.

     VOYAGEUR DU NET, MERCI D'ETRE VENU CHEZ NOUS ! quel que soit ton âge, pour revenir à ce site EN TOUTE LIBERTE  écris "cavaillongay"en clair dans la fenêtre de recherche google et tu obtiens une claire proposition, clique,  laisse-toi guider et fais tout de suite 'ENTRER' : aucune autre condition n'est exigée à partir du moment où la charte erog  est respectee -lol-  

  oui, nous le disons tranquillement, il était gay, homosexuel si vous voulez. L'Histoire française fourmille pétille d'homos glorieux...restés (même après leur mort) au placard

 Le pacificateur du Maroc  a eu droit à une inscription en arabe sur son sarcophage de granit. On rêve ! Lui, l'ami de Proust et de Cocteau se faisait-il prendre par des goumiers de son service, par son ordonnance? son secrétaire ou autre ? Honneur à lui, notre frère !  

   
                                         Lyautey à Ankazobé (Madagascar), 1897-1898           Photo vintage  

Devenu une légende vivante, pour son œuvre dans le Maroc colonial, Lyautey (1854-1934), avait 58 ans d'une histoire militaire française avant cet épisode. Un passé et une carrière presque traditionnels. Pourquoi s'est-il distingué jusqu'à devenir cette figure épique de la France impériale ?

Louis Hubert Gonzalve Lyautey est né le 17 novembre 1854 à Nancy dans une famille aux origines aristocratiques, comptant des militaires de haut rang. En mai 1856, il fait une chute du balcon familial, place Stanislas [ci-contre], en regardant passer le cortège de baptême du Prince impérial, fils de Napoléon III. Il tombe d'un étage, traverse le store d'un magasin puis cogne le plastron providentiel d'un cuirassier à cheval. Sa survie miraculeuse condamne cependant le petit enfant à une opération pour des douleurs lombaires suivi d'un alitement qui dura deux ans. Le jeune garçon est contraint aux béquilles et même au port fréquent d'un corset orthopédique jusqu'à l'âge de douze ans. Cette expérience forgea son caractère et l'inaction forcée le mit au contact de la lecture, des rêveries et d'un entourage féminin. Alternant une scolarité au lycée avec l'instruction donnée par un répétiteur à la maison, Lyautey devient bachelier en 1872. Puis, sous la direction des jésuites de l'école Sainte-Geneviève, il prépare simultanément l'entrée à l'École Polytechnique et à Saint-Cyr qu'il intègre en 1873 à l'âge de dix-huit ans.

En 1874, il fait la connaissance du capitaine Albert de Mun, monarchiste attentif au sort des ouvriers et apôtre d'un "catholicisme social" qui influença durablement Lyautey. Celui-ci est nommé sous-lieutenant à sa sortie de Saint-Cyr en 1875, et accède à l'école d'application d'état-major dans une promotion d'une vingtaine de jeunes officiers. Il en sort avec le grade de lieutenant à la fin décembre 1877 et décide de consacrer une permission de deux mois à un périple en Algérie. La terre africaine, sa lumière, le lyrisme de ses paysages et de ses couleurs, l'ivresse de ses parfums saisissent immédiatement le jeune Lorrain. Ce voyage donne corps aux visions rêveuses de son enfance.

Officier de cavalerie, Lyautey retrouve l'Algérie à l'été 1880 pour deux ans : Orléansville, Alger puis le sud algérien. En garnison à Teniet El-Haad, il affronte la solitude désertique et médite sur sa foi. «Il faut imaginer, ce lieutenant de vingt-cinq ans, seul en plein bled avec quelques soldats, et qui étendu sur un divan, couvre un papier arabe de tableaux synoptiques de saint Marc et de saint Luc. Le résulta de ses travaux l'effraya. Il éprouva un grand trouble. Il était seul. Il ne pouvait consulter personne. Il fit venir des livres de Renan, qui l'intéressèrent mais ne le touchèrent pas. Il cessa de pratiquer avec exactitude.» (André Maurois). En décembre 1882, il doit rentrer en métropole, dans les Vosges… puis à Saint-Germain-en-Laye en 1887 où il reçoit le commandement du 1er escadron du 4e régiment de chasseurs à cheval. C'est de cette époque que datent ses réflexions sur la mission de l'officier.

Le 15 mars 1891, la Revue des Deux Mondes publie son article : "Du rôle social de l'officier dans le service militaire universel". Les commandements de cavalerie se succèdent : Gray (Haute-Saône) puis Meaux (Seine-et-Marne). En 1894, le commandant Lyautey, âgé de quarante ans, est affecté en Indochine. Jusque-là, en vingt ans de carrière militaire, et à l'exception de ses deux années algériennes, il n'a connu que les garnisons de métropole, le temps de paix et jamais le combat.

Au Tonkin, il seconde le colonel Gallieni à la frontière chinoise et essuie son premier feu de guerre à Ké-Tuong en avril 1895. Il participe à l'administration de la région occupée et accède aux fonctions politiques en tant que directeur du cabinet militaire de Rousseau, gouverneur général de l'Indochine. En mars 1897, Lyautey rejoint Gallieni à Madagascar insurgée où il reçoit le commandement d'une région hostile à la nouvelle autorité française. Il fixe son quartier général à Ankazobé [photo ci-contre].

Pendant plus d'un mois, Lyautey poursuit les rebelles : la tactique des colonnes convergentes, apprise auprès de Gallieni, fait son succès. Au lieu de déporter le chef vaincu, il le réintègre dans ses fonctions mais sous l'autorité française, pratiquant ainsi cette politique "d'alliance" qu'il affectionna par la suite. "Montrer sa force pour ne pas avoir à l'utiliser", disait-il.

En septembre 1897, Lyautey obtient le grade de lieutenant-colonel. Son expérience d'administrateur, de "civilisateur" à la Gallieni, s'étend avec l'aménagement et "l'œuvre de résurrection" qu'il impulse dans tout le nord-ouest de l'île. Pour ce militaire, c'est la mise en valeur qui justifie la colonisation. Lors d'un séjour en métropole de 1899 à 1900, il sollicite des soutiens pour son action. Son discours à l'Union Coloniale est publié par la Revue des Deux Mondes sous le titre "Du rôle colonial de l'armée". Rentré à Madagascar, et basé à Fianarantsoa de 1900 à 1902 [photo : maison de Lyautey à Madagascar], Lyautey exerce l'autorité française sur un million de personnes et sur un territoire représentant le tiers de cette grande île…!

 

Rentré à Paris en juin 1902, il est mal à l'aise face aux conséquences de l'affaire Dreyfus (alors qu'il n'a jamais été anti-dreyfusard), et face à l'offensive anti-cléricale de la gauche radicale-socialiste. Il reçoit, sans enthousiasme, le commandement du 14e hussards établi à Alençon dans l'Orne. L'horizon provincial l'ennuie profondément. Heureusement, à la suite d'une rencontre avec Charles Jonnart, gouverneur de l'Algérie, son sort renoue avec l'Afrique. Lyautey est nommé commandant de la subdivision d'Aïn Sefra dans le sud de l'Algérie en même temps qu'il devient général. Il doit pacifier les confins frontaliers avec le Maroc. C'est lui qui, après la mort d'Isabelle Eberhardt, fit rechercher par ses soldats ses écrits emportés par la boue. À la fin de l'année 1906, Lyautey commande la division d'Oran et doit occuper Oujda en 1907 en riposte à l’assassinat du docteur Mauchamps à Casablanca.

Lyautey à Oujda en 1907

Les événements le poussent toujours plus dans les affaires marocaines : intervention contre le soulèvement des Beni-Snassen (novembre 1907) et charge de haut-commissaire pour la zone marocaine occupée à Oujda. Il parvient à convaincre Clemenceau, au départ hostile, de la justesse de sa politique au Maroc. En 1910, cependant, le général est nommé à la tête du Xe corps d'armée à Rennes jusqu'au début de 1912.
Quand la convention de Fès (mars 1912) établit le protectorat français sur le Maroc, Lyautey est tout désigné pour en être le premier Résident général. Instruit par ses séjours indochinois et malgache, ainsi que par l'expérience des bureaux arabes en Algérie (1833-1870), il refuse la politique d'assimilation et d'administration directe. [photo : Lyautey en 1912]

Il s'engage dans la recherche d'une collaboration avec les élites civiles et religieuses : restauration de l'autorité du makhzen (gouvernement central) avec un nouveau sultan, Moulay Youssef (1912-1927). Les colons ne peuvent procéder à la dépossession foncière comme cela avait été en Algérie. La justice, l'enseignement, l'artisanat, sont protégés par la "politique indigène" du protectorat. Admirateur des valeurs et du patrimoine marocain, Lyautey a pratiqué une "politique des égards", déférente à l'égard de l'Islam. Après la "pacification", il impulsa une modernisation de ce vieux pays : infrastructures, développement urbain (Rabat, port de Casablanca). Au sommet de sa gloire, il est élu à l'Académie française en novembre 1912. Appelé par Briand au ministère de la Guerre en décembre 1916, il se sent manipulé par celui-ci et sans prise sur les événements. En avril 1917, il démissionne et retourne au Maroc.

Il avait dit, lors de son premier mandat de Résident général : "Je n'ai tenu le Maroc que par ma politique musulmane" et son bilan plaide en sa faveur. En 1920, il défend ses options et demande une politique de ménagement à l'égard de la Turquie. En 1921, il reçoit la dignité de maréchal de France. Le 19 novembre 1922, il préside la cérémonie d'ouverture des travaux de la Mosquée de Paris. Épuisé par la tâche, Lyautey doit subir des opérations chirurgicales à Paris. C'est le moment de la guerre du Rif déclenchée dans le nord du Maroc par Abd el-Krim. En désaccord avec les dirigeants du Cartel des Gauches, il se retire en 1925. Ses adversaires - colons du Maroc et de l'Algérie – sont satisfaits car il lui reprochaient sa politique "indigène". Lyautey vit désormais dans sa propriété de Thorey en Lorraine.

En 1931, il préside l'Exposition coloniale au bois de Vincennes. Lyautey meurt le 27 juillet 1934 après quelques heures d'agonie. L'année suivante, sa dépouille est transportée à Rabat dans le mausolée (une blanche kouba) où il avait souhaité reposer. Mais le 21 avril 1961, les cendres du maréchal sont ramenées en France et placées par le général De Gaulle aux Invalides le 17 mai.

mausolée du maréchal Lyautey à Rabat

Michel Renard (janvier 2006)