Vendredi 7 décembre 5 07 /12 /Déc 02:11

Au lieu d' une page QUI DECHIRE par son intérêt ou son érotisme qui décoiffe,  le type qui arrive après avoir demandé erog à google, se trouve confronté à une page QUI est DECHIRée par la pub de izichoze  qui rend les textes des blogs difficiles à lire ?  ehben il se barre ! et il a raison

Résultat de recherche d'images pour "EASYFLIRT gay"1170X590 en plein de la milieu page de cavaillongay soit un bon 55  % de l'espace qui nous est alloué... si vous n'êtes pas d'accord dites-le à erog  svp !

on vient de le voir de près : le mépris amène la révolte


commentaire : marre de ce mauvais partage . claudio

j'étais tranquille chez-moi 

Résultat de recherche d'images pour "EASYFLIRT gay près de chez-toi"

quand soudain une pub agressive a envahi l'espace PUTAIN  !!!!!!

 

Par claudio WBM - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 6 décembre 4 06 /12 /Déc 07:42

 être homo a tellement été une malédiction dans le passé ancien ou récent que c'est une (r)évolution de souhaiter ça !  Bravo ! mais il faut que, liberté et respect obligent,  les intéressés le souhaitent aussi !   

  Lu et traduit sur un site américain en  espagnol par cavaillongay 

( d       Image associée Ah, au fait. Jake Borelli, acteur de Gray's Anatomy est sorti du placard le 11 novembre 2018) 
     

       OH les beaux petits  ! quand cette photo aura pris quelques années elle fera date

Le veinard de père !  

Ricky Martin a révélé qu'il aimerait que ses enfants soient homosexuels

Notre bien-aimé, Ricky Martin, a déclaré qu'il s'attend à ce que ses enfants soient homosexuels. Dans la nouvelle interview de Ricky Martin avec Peter Travers de Popcorn sur ABC, le chanteur et acteur qui est devenu père des jumeaux Matteo et Valentino en 2008 a déclaré qu'il s'attend à ce que ses enfants soient homosexuels, car la sexualité est quelque chose de "spécial". Je ne sais pas, mes enfants sont très petits, mais j'aimerais qu'ils soient homosexuels ", a déclaré Ricky. C'est quelque chose de très spécial, de sensibilité, comme je le vois maintenant, que je n'ai pas à cacher. Et puis tu vois l’arc-en-ciel, je comprends pourquoi notre symbole est l’arc-en-ciel. "Il a poursuivi: "C'est réel. Tout est tangible. Cela fait de moi une personne plus forte. "Le 29 mars 2010, Martin a publiquement reconnu son homosexualité dans une publication publiée sur son site officiel: "Je suis fier de dire que je suis un homme gay chanceux. Je suis très heureux d'être qui je suis. " Ricky a déclaré que "ces années de silence et de réflexion m'ont rendu plus fort et m'ont rappelé que l'acceptation doit venir de l'intérieur et que ce genre de vérité m'a donné le pouvoir de vaincre des émotions dont je ne savais même pas qu'elles existaient."       

ricky martin interview
interview de Ricky Martin avec sa famille Dans la dernière nterview avec Peter Travers, Ricky Martin avait révélé qu'il aimerait bien faire son coming-out. "J'aimerais pouvoir sortir du placard parce que cela semble incroyable", a-t-il déclaré. "Au moment où j'ai écrit la lettre, je l'ai publiée sur Twitter et j'ai appuyé sur Envoyer. La liberté, le sentiment de libération étaient si puissants, c’est ce que je veux dire en disant que je voudrais pouvoir sortir du placard parce que moi même je n'y croyais pas . " "Et après cela, les gens venaient me dire merci beaucoup de vous être révélé. Grâce à vous, je comprends mieux mon père homosexuel ou Je comprends mieux ma soeur lesbienne. C'est quelque chose d'important qu'on se doit de faire."Récemment, Martin a admis souhaiter être sorti du placard lorsque Barbara Walters l'a interrogé, lors d'une interview, sur sa sexualité .
  https://hornet.com/stories/es/ricky-martin-hijos-homosexuales/
Par RICKY MARTIN - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 6 décembre 4 06 /12 /Déc 07:15

 

 

Habillé en gilet jaune, ce prof donne un cours de danse particulier à ses élèves

Inspirée par le mouvement social, la vidéo de ce coach sportif cumule déjà près de 900.000 vues sur sa page Facebook.  Par Thomas Louisy                                                                                                          

 

Franky Roy danse en compagnie de ses élèves habillés en gilet jaune, dans une vidéo publiée le 26 novembre 2018 sur Facebook.
YouTube/Franky Roy
Franky Roy danse en compagnie de ses élèves habillés en gilet jaune, dans une vidéo publiée le 26 novembre 2018 sur Facebook.

INSOLITE - Le raz-de-marée jaune ne cesse d'envahir les réseaux sociaux. Après le rap de Kopp Johnson qui cumule plus de 4 millions de vues, un autre anonyme s'est inspiré du mouvement des gilets jaunes en proposant un cours de danse assez particulier et original.

Franky Roy, un coach sportif lyonnais, a eu l'idée d'organiser un cours de danse afro avec ses élèves. Habillées du vêtement de la révolte, elles suivent en rythme leur professeur dans une chorégraphie sportive et dynamique. Cette prestation filmée, publiée ce lundi 26 novembre sur Facebook, a déjà réuni près de 900.000 vues.

 

 

La vidéo du prof et ses disciples est accompagnée du morceau du rappeur toulousain Kopp Johnson en hommage aux gilets jaunes. Contacté par Le HuffPost, Franky Roy admet avoir choisi ce titre après l'avoir découvert "en se baladant sur YouTube", comme des millions d'internautes. Encouragé par la grogne sociale qui lutte notamment contre la hausse des taxes sur les carburants, le danseur-chorégraphe a souhaité œuvrer à sa manière.

"J'essaie de m'inspirer des faits d'actualité pour créer l'événement et permettre aux gens de faire du sport en se faisant plaisir", témoigne-t-il. "Tout le monde est concerné par les gilets jaunes. Et ça rend mes cours plus attractifs."

"C'est ma façon à moi de les soutenir"

 

 

Tournée au Cap Sport de Villefranche-sur-Saône (Rhône), cette séquence insolite relève de l'improvisation totale. "J'ai juste demandé la veille à mes élèves d'amener les gilets jaunes", déclare Franky Roy avant de confesser: "Pour tout vous dire, ce n'est pas la musique d'origine que vous entendez dans la vidéo. J'ai simplement 'collé' la musique de Kopp Johnson au montage parce que je trouvais que ça allait bien avec le dress code".

Improvisation ou pas, le coach sportif se dit "sensible à la condition de certaines familles qui ont de la peine à boucler leur budget mensuel". "C'est ma façon à moi de les soutenir, explique-t-il au HuffPost. On ne peut pas rester insensible à ça."

En relayant sa performance sur Facebook, le danseur ne s'attendait vraiment pas à un tel engouement. "J'ai été le premier surpris du nombre de likes, de partages et de commentaires que cette simple vidéo a générés".

À voir également sur Le HuffPost:

https://www.huffingtonpost.fr/2018/12/04/gilet-jaune-cours-de-danse_a_23607942/

Par HUFFPOST - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 5 décembre 3 05 /12 /Déc 06:24

   

 

Je sais quil vient de jeunes visiteurs ici, permettez-moi, en tant qu'auteur du blog cavaillongay, d'exprimer au passage quelques souvenirs d'expériences personnelles. Merci !          

 

 

    Vince et Ian ont bien de la chance  Ce que je vais dire-là va à l'encontre du récit de Vince ci-après :  «Jeune homme, mets un frein à ton admiration sans bornes pour un copain. Passe aux actes.  Si, quand tu lui fais des avances, que tu le caresses à la dérobée, que tu tentes de l'embrasser il te repousse, si tu lui dis "je suis amoureux de toi" il se moque c'est qu'il ne te vaut pas. Toi tu t'offres avec franchise tout entier : grosse amitié+sexe = amour et lui demeure loin, dans une amitié qu'il pourrait bien avoir pour tout autre garçon, éloigne toi. N'y pense plus car tu pourrais bien te déssécher à le bader* comme tu fais et traîner comme moi des remords toute ta vie croyant que tu es pour quelque chose dans cet échec.  Et là il faut plutôt se garder des "allumeurs-séducteurs qui sans être armés de mauvaises intentions sont des tueurs d'âme qui donnent 'la mort'sans mesurer les conséquences" et vous feraient suicider.»          

*De l’occitan badar (« regarder bouche bée ») ou de l’ancien français bader (« ouvrir, être ouvert (pour qualifier une brèche dans un mur), se borner à attendre, attendre en vain, aspirer, regarder avidement la bouche ouverte, convoiter, avoir de mauvaises intentions ou de fortes envies, rêver ») , attesté au XIIe siècle dans des versions de la Chanson de Roland.    

 

Résultat de recherche d'images pour "énorme charnière" à la charnière entre l'amitié et l'amour

           

  Farceurs ! De longs mois, pour narguer, pour rigoler, pour provoquer, on a fait semblant d'être gays. C 'était du culot ! Les gens, gênés, n'osaient rien dire puisque, à l'évidence, c'était pas vrai. Ca ne préjugeait pas de ce qui se passerait au bout du bout. 

     

 

 

Le fait d'être marié exclut-il d'avoir des relations entre hommes ? Bien naïfs ceux qui le pensent !,

Cela me rappelle, il y a(seulement qq années) deux gars dans ma section : dans l'armée l'homosexualité était interdite et d'autant plus condamnable. Ils faisaient exprès (était-ce pour se faire réformer ? ) de se frotter, de s'embrasser, de partager le même lit ouvertement (surtout en manoeuvres). Hi hi, rien n'y a fait. Les gradés n'y voyaient que "farce et plaisanterie" : comme ils étaient tous deux mariés, nos chefs n'y voyaient que du feu. "Con la verdad te engaño disent les espagnols !" : "c'est avec la vérité que je te trompe !"  et là, moi qui les observais avec une envie bien compréhensible, je voyais bien que ça allait bcp plus loin ! Malins les deux gars ! militaires amis, sachez-le, dans l'armée comme ailleurs le culot paie !

 

 

Le récit :

Ian et moi, Vince,  étions dans la même classe au lycée. Il était vraiment beau  et n'était pas de mes amis car sa beauté me tenait à distance. Dans ma tête, c'eût été trop prétentieux de vouloir être son ami.

Malgré cela, Ian et moi avons fini par nous voir souvent. Comme "apprivoisé", à un moment j'ai décidé qu'il était temps d'arrêter d'avoir peur de Ian et d'essayer d'être ami avec lui.

Environ un an après avoir vraiment commencé à traîner ici et là avec Ian, il y a eu un moment de révélation au cours duquel j'ai réalisé que j'étais le meilleur ami de Ian. Jusqu'alors je pensais qu'en dehors de moi il avait des dizaines d'amis dont il ne me parlait pas et j'en faisais partie sans plus.

Quelle erreur ! Oui, il était silencieux, mais c’est uniquement parce qu’il était plutôt introverti et qu’il n’aimait pas parler de ses états d'âme et sentiments. Aussi, "trop ​​cool" mon Ian et moi étions passionnés de sciences et techniques, notamment d'informatique, et y consacrions la plus grande partie de notre temps. On a vu ensemble chaque épisode de Pokemon et Digimon ET Yu-Gi-Oh. Nous faisions ensemble nos devoirs à la maison et c'est ensemble que souvent nous  regardions  des dessins animés après l’école.

Si je résume, Ian et moi avons fréquenté différents collèges, mais nous parlions tous les jours. La puberté a été gentille avec moi. Aujourd'hui je ne suis pas du niveau d’attractivité de Ian, mais je suis plutôt confiant sur mes facultés de séduction.

Dernièrement, je me demandais si, au point où nous en étions arrivés, Ian et moi devions nous considérer seulement comme "de bons amis" ?    

Cela me rappelle le sentiment de culpabilité que, moi,  j'éprouvais-à l'époque et à tort- pour tout acte masturbatoire ou relevant de mon homosexualité.

 

Vince->"Certaines raisons m'ont amené à me questionner :
• Toucher Ian. Au début, j’ai remarqué qu’il était mal à l’aise lorsque je le touchais, alors je ne l’ai plus fait. Après un moment, c'est lui qui a commencé à le faire. Bien souvent quand nous sommes seuls, il s’installe à côté de moi et pose sa tête sur mon épaule. C’est assez adorable. Maintenant, nous sommes  tout le temps proches physiquement- pas sexuellement-, mais il s’appuiera contre moi si nous sommes debout ensemble ou si je mets mon bras autour de son épaule.
• Au début, quand nous dormions, l'un de nous dormait par terre, sur un canapé ou quelque chose du genre. Maintenant, nous venons de partager les lits. Je me suis déjà réveillé avec son bras autour de moi. Je ne vais pas mentir : mon cœur a ressenti des choses embarrassantes dès la première fois. Je me suis réveillé devant lui et j'ai juste pensé à quel point c'était agréable et quelle chance j'avais. Il s'est réveillé quelques minutes plus tard et nous nous sommes regardés en souriant, puis j'ai hasardé : «Gay». Et nous avons tous les deux éclaté de rire".

      Il s'est réveillé quelques minutes plus tard et nous nous sommes regardés en souriant, puis j'ai hasardé : «Gay». Et nous avons tous les deux éclaté de rire.

       Vince->"Nous avons partagé les vacances dans nos familles respectives.  
• Une fois, à l'université il a participé à un voyage d'études. À son retour, il m’a dit qu’il avait identifié en lui "quelque chose de nouveau" (c'était vague et il me restait à deviner son fond de pensée ). Il a dit que le nom qu'il a donné à ce sentiment c'est le mien. J'en étais un peu abasourdi et je lui ai demandé pourquoi. Il a dit: "Qui d'autre pourrais-je nommer pour exprimer mon état d'âme ?"
• Aucun de nous deux n'est sorti avec quelqu'un récemment. Personnellement, je ne m'en suis pas senti envie. Je pense que c’est peut-être parce que j’ai déjà le sentiment d’avoir Ian. Epris c'est le mot dans tout son sens sémantique. Je n’ai pas de préférence de genre que ce soit homo ou hétéro, et mes amis le savent. Ian, lui, a toujours été vague sur son orientation".

  Vince->" • Nous sortions beaucoup ensemble et tout seuls, comme à la plage par exemple. Une fois, je passais une triste journée et il m'a surpris en se montrant chez-moi et en frappant à la fenêtre. Pour me "consoler"il nous a conduits en voiture au sommet d'une montagne et nous sommes restés sur la banquette arrière, allongés et serrés ensemble pendant des heures en proie à une étrange et nouvelle langueur".        

Non, l'ambiance, il y a seulement quelques années, ne permettait pas de parler impunément -et souvent ou constamment-l'un de l'autre sans éveiller des soupçons d'homosexualité. On évitait.Cela me rappelle...

         Vince->"  Pendant que nous sommes, chacun de notre côté, à la fac, il m’envoie de jolis messages. Comme «tu me manques», «quelque chose m'a rappelé de toi», etc. J'ai appris de ses amis qu'il parle beaucoup de moi, ce qui est un soulagement car je parle de lui à tout le temps à mes amis. Nous nous envoyons des cadeaux parfois. Il m'envoie des échantillons de spécimens de ses recherches, comme des roches ou des feuilles fraîches. Ça a l'air bête de recevoir littéralement des pierres et des feuilles

Honnêtement, Ian pourrait probablement m'envoyer une merde qu'il a trouvée scientifiquement significative et je la chérirais   

Je pense beaucoup à Ian. Il est attrayant, intelligent et drôle et est sans aucun doute ma personne préférée. C’est embarrassant à quel point j’aime Ian. Il peut passer toute la journée à m'envoyer des textos.

Comme vous pouvez le constater, il y a beaucoup de choses qui peuvent être expliquées par ce que font les meilleurs amis ordinaires, et d'autres choses encore auxquelles on ne peut pas donner d'explication. (Quoi, les frères hétéros ne se blottissent pas l'un contre l'autre au lit ?)

Il ne me reste qu'un seul diplôme à obtenir cette année pour achever mes études supérieures et j’ai réalisé que c’était la première fois que je pouvais décider où vivre, et j’ai aussi réalisé que je voulais vivre avec lui. Mais j’ai l’impression que si nous voulons vivre ensemble, je devrais enfin savoir si nous sommes amis ou amoureux. Ian est plutôt réservé, alors il semble que je vais devoir être courageux pour deux.

Mon meilleur ami et moi avons un comportement pas si platonique. Comment puis-je lui demander s’il s’agit d’un petit ami ou s’il veut l’être? Et dire que nous n'avons jamais "consommé" de sexe ensemble, ni même de masturbation !  

Sur mon blog des correspondants à qui je me suis confié m'ont donné de bons conseils, notamment une fille qui a eu une expérience très similaire.


>"Salut à toi "OP", ton histoire me rappelle le temps où je traînais avec ma petite amie actuelle. (Pour votre info, nous sommes deux filles et elle est ma première.) Nous avons commencé exactement comme vous et un jour, nous avons eu une soirée pyjama et je l'ai embrassée. Puis elle m'a embrassé en retour et ensuite tout est devenu flou, puis boum, elle a laissé tomber la question et nous nous sommes retrouvées lesbiennes.

>"Je suggérerais de saisir l'occasion et trouver un moment privé pour lui poser la question, sinon, dites-lui ce que vous pensez de lui. Exprimez de grands sentiments, dites-lui les moments où votre cœur palpite, dites-lui tout cela. D'après ce que vous avez posté, cela ressemble certainement à ce qu'il ressent de la même manière que toi".   

 

Et un autre qui était juste très jaloux de notre gentillesse.

    >Fais durer les câlins un peu plus longtemps. Quand vous êtes proches et que tu lui tiens la main jouer dans ses cheveux s'il met sa tête sur ton épaule. Blottis-toi encore plus fort et plus longtemps. Hum fais-lui ressentir ton contentement ne retiens pas tes gémissements quand il t'entoure de ses bras.

>Si vous vous pelotonnez au lit et que tout ce qui précède n’est pas rejeté, ton visage doit trouver son chemin vers ce lieu merveilleux entre le cou et les épaules… sois une âme courageuse et dépose un baiser sur place, puis attends. Il n’ya rien dans cette démarche qui puisse prêter à confusion. Soit les choses s'amplifient et démarrent en échange de baisers  et de câlins,  soit en une discussion ou alors il ignorera ce moment que vous avez eu et tu seras forcé de faire de même.

>Ou vous pouvez trouver votre esprit de guerrier et franchir le pas. Dis-lui ce que tu ressens. Rassure-le, répète-lui qu'il sera toujours ton meilleur ami, quoi qu’il en soit et vois ce qui se passe.

>Vous êtes trop mignons tous les deux  et je veux vous frapper ! je suis tellement jaloux. Bonne chance mon petit bâtard adorable, la vie est si hasardeuse ! .
 

 

 

 

 

 

 

 - Honni soit qui mal y pense

 

 

 

outcen: “- je dormais, pardon

 - excuse-moi je suis trop fou de toi

 

 - Tu es bien ?

 - ouihhhh

 

 

 

 

 

 

 

 

Par VINCE - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 3 décembre 1 03 /12 /Déc 01:14

PROSTITUES DE MON COEUR

    cette rubrique (catégorie) est née le 6 décembre 2013 dans ce blog

les images, censurées, effacées ont été remplacées une fois, mais c'est marre aujourd'hui

 bien sûr le récit ci-dessous date d'avant les modifications législatives sur  la prostitution  

classé dans PROSTITUES DE MON COEUR N°001

- "combien tu prends, gars ?" - "40 euros"  

- "40 euros ? T'es cher ! J'ai que 15 euros. Je te plais ?  " - "Ouais, tu me plais, ok, mais désolé c'est 40 euros"

- "Et là, je te plais ? T'as aimé ma galoche ? Je vais te faire grimper au plafond. Sens ma bite comme elle est dure. Alors c'est ok ? 17 euros ? C'est tout ce que j'ai " - "Ok c'est bien beau, mais désolé c'est NON ! "


 - "Allez, 17 euros, ouais,  viens chez-moi, ça craint pas. T'as aimé ma galoche ? Tu vois, tu dis plus non...Allez on y va, c'est pas loin je te mène en voiture.

________________________________________________________________________________________     

LE RECIT DE VINCE, employé de sexhop  

Salut, c'est moi Vince. Pour mon premier vrai boulot je travaillais comme vendeur dans un sex-shop. Le boulot en question n’était pas bien terrible mais je me dis que vaut mieux ça que rien du tout et il me permettait d’être indépendant et d’éviter le chômage.

 Je tenais la boutique presque tous les jours de dix-sept heures à une heure du matin. Je n’étais pas tout à fait seul, dès dix-neuf heures, Luc, une énorme armoire à glace originaire d’outre-mer, assurait la tranquillité des lieux et le filtrage à l’entrée. Si au début j’avais bien profité de la profusion de films et de revues, cela m’avait bien vite passé et je trouvais mon boulot plutôt ennuyeux.

Chaque nuit, je voyais le même cortège de clients qui entraient avec des airs gênés et qui payaient leurs achats en prétendant que c’était pour madame ou pour faire une blague à un copain. Chaque nuit, avant de partir, je nettoyais les cabines vidéos et vidais leurs poubelles remplies de papiers essuie-tout maculés de sperme. En toute honnêteté, même si j’étais content d’avoir ce boulot, je m’emmerdais vraiment. Devant la boutique dès vingt-deux heures, un jeune prostitué qui se faisait surnommer "le videur", venait faire le trottoir jusqu’à une heure plus où moins tardive, suivant le temps et la présence de la clientèle. En principe le mot d’ordre était "pas de prostitué, homme ou femme, devant la boutique" mais sa présence était tolérée.

Le prostitué, très jeune, était assez mignon et d’après ce que je pouvais apercevoir, semblait avoir un certain succès auprès des hommes d’âge mur. Son visage était fin et mettait en valeur ses beaux yeux noirs à l’expression innocente. Ses cheveux noirs étaient coupés courts, ce qui allait parfaitement avec son corps plutôt mince et nerveux.

Son physique, un peu trop longiligne à mon goût, faisait qu’il avait des fesses de taille très modeste, mais en contrepartie je dois reconnaître qu’il y avait au niveau de son entrejambe une bosse qui me semblait assez gonflée en permanence. Non pas que cela m’intéressait ou m'excitait car je suis hétéro mais disons qu’ il avait quand même une certaine classe dans la façon dont il bougeait. Il se prostituait, mais je restais toujours courtois tout en maintenant un certain détachement.

L’hiver arrivait et cette distance s’est un peu dissipée  du fait que je ne me sentais pas le droit de laisser un jeune dehors au plus fort des intempéries. Il devint donc courant, qu’avec l’accord de Luc, je fasse entrer le videur pour qu’il se mette à l’abri ou pour qu’il boive quelque chose de chaud dans l'arrière boutique, sans donner à penser qu’il exerçait son métier dans le sex-shop. J’ai rapidement sympathisé avec lui, Johnny de son vrai prénom. Il n’était pas rare que nous discutions de choses et d’autres.

— Dis moi, quel est ton âge véritable Johnny?

— J’ai 17 ans, et je vais sur mes 18 pourquoi?

— Pour rien, par curiosité.

— Je te remercie de me permettre de rentrer pour me réchauffer, certains soirs il y a si peu de clients qu’il m’arrive d’être frigorifié.

— Je m’en doute. Dis moi Johnny, comment se fait-il que tu te prostitues à ton âge? Tu n’as pas de parents pour s’occuper de toi?

— Mes parents n’ont rien à voir avec ce que je fais. Ils ne savent rien et c’est tant mieux, ce ne sont pas leurs affaires.

— Peut-être, mais ne viens pas me dire que tu fais ça uniquement pour le plaisir?

— Et comment! Pour le cash et le plaisir. Il m’arrive assez souvent de tomber sur des hommes d’affaires ou des avocats. Ce sont les plus généreux. De plus, j’adore le plaisir que je leur procure. Pour moi, il n’y a rien de mieux que de bouffer une belle grosse queue ou de me faire défoncer le cul dans diverses positions.

— J’espère que tu te protèges car tu semble très populaire, vu le nombre de voitures dans lequel je te vois partir.

— Faut croire que mes services sont bien appréciés.

Parfois il lui arrivait qu’il vienne me donner un coup de main pour ranger la boutique juste après la fermeture. Au bout du compte, après trois mois de présence mon regard sur lui avait bien changé même si je n’approuvais pas sa façon de vivre. Il lui arrivait même de me raconter tout ce qu’il faisait avec ses clients. Au début, je l’écoutais distraitement, sans trop d’intérêt mais peu à peu, je n’eus d’autre choix que de constater qu’il était une vrai bête de sexe. D’après ses dires, il ne refusait rien à ses clients et il se soumettait à tous leurs fantasmes et désirs. Certains soirs, sans comprendre pourquoi, il m’est même arrivé de ressentir un début d’érection en l’écoutant raconter ses aventures. Luc quant à lui se montrait indifférent à Johnny et parfois gêné en sa présence. Sans que je sache vraiment pourquoi, si ce n’est qu’un jour il m’avait lancé sans plus d’explication :  

— "Un conseil, j’ai rien contre ce que tu sois sympa avec Johnny, mais surtout fais pas la connerie de baiser avec lui si il te le propose un jour."

Je n’avais pas trop compris la nature de cet avertissement et de toute façon je n’avais absolument pas l’intention d’avoir de relation sexuelle avec Johnny, l’idée de faire l’amour avec un homme, prostitué en plus, était une perspective que je n’avais jamais envisagée. En dehors de cela je dois reconnaître que même si son physique ne correspondait pas trop aux normes de la beauté masculine, je ne le trouvais pas déplaisant.

Un soir j’ai eu un sérieux problème avec un client qui voulait absolument que je lui rembourse un aphrodisiaque qu’il avait acheté quelques jours plus tôt et qui s’était révélé inefficace (bien sûr !). Lorsque je lui ai fait comprendre qu’il était hors de question que je le rembourse, il est entré dans une rage folle et même avec l’aide musclée de Luc, il a été très difficile de faire sortir l’hystérique. La boutique s’est transformée en un véritable champ de bataille et l’affaire a fini au commissariat.

Après m’être acquitté des diverses formalités policières je me suis empressé de regagner le magasin pour y remettre de l’ordre. À ma grande surprise Johnny m’attentait devant le sex-shop avec une expression d’inquiétude et d’énervement.

— Bon sang, qu’est ce qui s’est passé ici? En revenant d’une passe, je vous ai vu, toi et Luc, partir avec les flics, qu’est ce qui est arrivé?

— Un taré nous a retourné tout le magasin, c’est pour ça que nous avons appelé la police. Maintenant il faut que je range tout ce merdier.

— Il est passé où Luc?

— Le cinglé a réussi à lui flanquer quelques mauvais coups, j’ai préféré qu’il aille aux urgences pour faire constater ses blessures.

— Vous m’avez foutu la trouille j’ai cru qu’il était arrivé quelque chose de très grave. Il y a vraiment beaucoup de bordel dans le sex-shop?

— Oui, c’est inimaginable.

— Bon alors je vais t’aider, de toute façon j’ai largement fait ma nuit.

— T’es sûr que ça te dérange pas?

Sur ces paroles, nous sommes entrés dans la boutique qui avait vraiment besoin d’un bon rangement et nous nous sommes mis au boulot. Au bout d’une bonne heure, il ne nous restait plus qu’un petit recoin des lieux à ranger et nous sommes retrouvés côte à côte dans cet endroit exigü à ranger différents gadgets. Je dois dire qu’au fil des minutes, je ne sais comment, la présence de Johnny commençait à me troubler et au gré de nos mouvements, nos corps se frôlaient. En plus de ça, son corps un peu trop frêle à mon goût et la lueur d’innocence qui se lisait dans ses yeux me donnait envie de le serrer dans mes bras comme on fait pour un jeune frère.

Comme pour achever de me troubler, alors que je me trouvais juste derrière lui, il fit tomber un gadget et se baissa pour le ramasser. Ses fesses vinrent se coller contre mon bas ventre et il n’en fallut pas plus pour amener à son paroxysme l’érection qui grandissait dans mon pantalon depuis quelques instants. Je ne comprenais vraiment plus rien à ce qui m’arrivait. Il me sentit durcir au travers de mon pantalon et il tortilla ses fesses contre mon sexe en riant avec malice.

— Je vois que je te fais de l’effet, c’est cool.

Je me mis à rougir. J’étais encore plus mal à l’aise, plus troublé.

— Je dis : t’inquiète pas, ça doit être parce que j’ai pas baisé depuis un bout.

— Peut-être, mais il semble t’exciter mon petit cul.

— Ne te fais pas d’idées, allez, on termine de ranger.

Je ne lui aurais jamais avoué mais oui, il m’excitait son petit cul. J’étais encore plus troublé, j’essayais de comprendre cette réaction soudaine de mon bas-ventre.

— Comment ça se fait que malgré tout ce que je t’ai raconté sur mes histoires de baise, tu ne m'as jamais demandé de te faire des choses, car parfois, certains hétéros ne ratent jamais une occasion de s’envoyer un jeune mec pas farouche comme moi.

Je répondis en prenant un air de sérieux et de respectabilité qui cadrait mal avec notre position et le lieu où nous nous trouvions :

— C’est tout simplement parce que je ne fais l’amour qu’à des filles. Et de plus, payer pour faire l’amour ça me donnerait l’impression de cautionner une forme d’esclavage moderne.

Il éclata de rire et il s’était relevé pour se tourner vers moi, le regard rempli de malice. Je me sentis vraiment con, j’étais contre lui, au milieu des vibro-masseurs et autres gadgets, avec une érection d’enfer et je lui faisais la morale. Doucement, il posa sa main sur la bosse tendue de mon entrejambe et se mit à la caresser.

— Tu ne le sais peut-être pas, mais Luc, certains soir quand je quitte le sex-shop, il me rattrape dans la rue et me demande de lui faire une petite gâterie. À ce que je sais, il se dit hétéro lui aussi et pourtant il aime bien que je le suce. Il m’a même dit que je suçais mieux que certaines femmes avec qui il baise.

Je ne pouvais croire ce que je venais d’entendre. Je ne comprenais plus rien. Tout en continuant de me parler, il glissa son autre main sous mon pull et caressait mes mamelons qui durcirent automatiquement.

— Tu te fous de ma gueule, c’est impossible que Luc te demande de lui tailler une pipe, je ne connais pas plus macho que lui.

— Je te jure que je te dis vrai, seulement ne lui en parle pas car il m’a bien averti de me taire, sinon il me le ferait regretter.

Il me pinça doucement les mamelons. Je sentis une onde de choc traverser mon corps et ce fut pire quand il commença à les lécher. En même temps, il entra sa main dans mon pantalon et caressa ma queue gonflée à bloc. Je m’entendis gémir et il ne m’en fallut pas plus pour que je cède au désir qui me tenaillait, surtout que cela faisait un certain temps qu’en fait de sexualité j’en étais réduit aux services de mon poignet. Alors qu’il défaisait ma ceinture et ma braguette, il me dit:

— Laisse-moi faire, tu vas adorer vivre cette nouvelle expérience, et ne t’inquiète pas, cela ne fera pas de toi un homo.

Et puis merde me dis-je, j’étais affamé de sexe, peu importaient mes stupides jugements moraux sur lui et son mode de vie. Autant tenter l’expérience, si ça ne me plaît pas, j’arrête tout. Je me laissai aller au plaisir que me procuraient ses mains avec un sourire de bien être.

— Mmmh ça semble te plaire, laisse-toi faire.

La situation me troublait énormément mais je m’en foutais, je n’avais qu’une pulsion en tête : satisfaire mon irrésistible besoin de sexe. Johnny se mit à genoux en descendant mon pantalon et mon slip et je sentis avec plaisir mon sexe dénudé se dresser fièrement à quelques centimètres de son visage. Je sentais son souffle chaud sur ma virilité alors que sa main droite, elle, me saisissait les testicules pour les soupeser et les malaxer doucement.

— "C’est bien, t’as un bel équipement et tout ça me paraît bien plein" dit-il.

De sa main gauche il se mit à me branler doucement, c’était une formidable sensation que de sentir ses mains expertes, douces et chaudes, sur mon sexe et mes testicules, j’en frissonnais de plaisir. Je ne sais comment j'arrive à raconter car j'étais lancé et en plein ciel !  Ses mains couraient sur toute ma virilité dans un ballet sensuel auquel je m’abandonnais totalement, et, pour ne pas hâter la fin, j'avais encore assez de lucidité  pour retenir une éjaculation imminente. Expert comme il l’était, il s’en aperçut et laissa mon sexe le temps d’aller chercher un préservatif. Pendant ces quelques instants je restais appuyé contre le rayonnage la tête en arrière submergé par le plaisir précédent et la joie à venir.

À son retour Johnny se remit à genoux, et engouffra ma queue dans sa bouche. Je pus sentir la chaleur de sa bouche et le contact de sa langue qui vint comme freiner mon pénis lorsqu’il le sortit de sa bouche. Ensuite Johnny se mit à lécher et à embrasser le dessous de mon sexe, de mon gland jusqu’à mes couilles. Arrivé à celles-ci, il fit jouer sa langue dessus et les aspira légèrement dans sa bouche avec une grande douceur. Puis sa langue courut de mes couilles à mon anus ce qui me fit sursauter et lui arracha un petit ricanement lubrique qui voulait dire : -"eh oui, les hétéros sont sensibles de là aussi".  Il reprit ensuite ma queue dans sa bouche et agita sa langue autour. J’étais comme fou, jamais on ne m’avait fait une fellation avec un tel talent et une telle capacité à jouer sur la montée de ma jouissance. Je gémissais fiévreusement sous ses assauts et il commença à faire aller et venir tout mon sexe dans sa bouche, lentement très lentement. J’étais aux anges et je sentais l’orgasme très proche.

— Alors ça te plaît?

— Tu suces à merveille

— T’as une belle bite, j’ai envie qu'elle me défonce le cul

Il mit le préservatif au bout de mon gland et le déroula tout au long de mon sexe. Il me fit asseoir sur une chaise et vint s’empaler sur ma bite. Le fait de sentir ma queue glisser jusqu’au fond de son anus bien humide me rendit fou de plaisir. Je pris ses fesses dans mes mains et commençai un mouvement de va-et-vient lent et prudent. J’aimais sentir mon gland frapper ses intérieurs. Je ne pouvais m'empêcher de le labourer fortement et d'accélérer vivement mes poussées. Nos gémissements se mêlaient les uns aux autres. Il semblait deviner jusqu’à la moindre de mes sensations et s’y adaptait pour me donner un maximum de plaisir. Incapable de tenir plus longtemps, soudain j’accélérai davantage et mon sexe déchargea mon sperme, remplissant le condom en m’arrachant des cris et des gémissements de jouissance.

Il le retira vitement et jusqu’à ce que mon sexe se ramollisse, Johnny n’eut de cesse de me sucer de nouveau pour bien nettoyer ma queue. Il me fallut de très longues minutes pour me remettre, pendant ce temps Johnny s’habillait avec un air de satisfaction.

— Génial, j’avais jamais joui comme ça, j’ai cru que j’allais mourir de plaisir.

— Il faudra que l’on remette ça de temps en temps.

Sur ces paroles il quitta la boutique en tortillant son beau petit cul.

Après avoir pris une bonne demi-heure pour me reposer, je suis rentré à la maison heureux et étonné d’avoir pris un tel pied. Je dois reconnaître, encore aujourd’hui, qu’en dehors des femmes avec qui je baise, jamais personne ne m’a fait de fellation avec autant de talent que Johnny. Je suis aussi obligé d’admettre que faire un tel aveu me demande un grand effort mais il a eu raison ou presque sur un point; je ne suis pas devenu gay après cette baise mais plutôt bi... ¤

   

     

  vos nouvelles lois disent clairement que, en fait,  au lieu de rencontres paisibles, vous nous préférez comme ça, en cachette, dans la RUE , à la sauvette ?

Aug 24 '15 Image associée 

cette queue?  ce mec ? pkoi pas !

 

 

  Pour elles aussi c'était une échappée belle  Les gros du web préfèrent Meetic hein ?  Bakchich ?

  Image associée 

Aug 24 '15
      
 
 
Escort un métier de service et de partage
 
 
GOOD MORNING!Los Angeles Bi ESCORT: follow my blog & adventures here: http://hotfacedescort.tumblr.com
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

     

 

   

 

>

Par Vince - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • LE LAC N° 1 FIN AOUT 005
  • VETERAN CRUISER
  • SEX ADDICT
  • gros penis large
  • 11026-copie-1
  • FORESKIN 007

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés