PROSTITUES DE MON COEUR
cette rubrique (catégorie) est née le 6 décembre 2013 dans ce blog
les images, censurées, effacées ont été remplacées une fois, mais c'est marre aujourd'hui
bien sûr le récit ci-dessous date d'avant les modifications législatives sur la prostitution
classé dans PROSTITUES DE MON COEUR N°001
- "combien tu prends, gars ?" - "40 euros"
- "40 euros ? T'es cher ! J'ai que 15 euros. Je te plais ? " - "Ouais, tu me plais, ok, mais désolé c'est 40 euros"
- "Et là, je te plais ? T'as aimé ma galoche ? Je vais te faire grimper au plafond. Sens ma bite comme elle est dure. Alors c'est ok ? 17 euros
? C'est tout ce que j'ai " - "Ok c'est bien beau, mais désolé c'est NON ! "
- "Allez, 17 euros, ouais, viens chez-moi, ça craint pas. T'as aimé ma galoche
? Tu vois, tu dis plus non...Allez on y va, c'est pas loin je te mène en voiture.
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LE RECIT DE VINCE, employé de
sexhop
Salut, c'est moi
Vince. Pour mon premier vrai boulot je travaillais comme vendeur dans un sex-shop. Le boulot en question n’était pas bien terrible mais je me dis que vaut mieux ça que rien du tout et il me
permettait d’être indépendant et d’éviter le chômage.
Je tenais la boutique presque tous les jours de dix-sept heures à une heure du
matin. Je n’étais pas tout à fait seul, dès dix-neuf heures, Luc, une énorme armoire à glace originaire d’outre-mer, assurait la tranquillité des lieux et le filtrage à l’entrée. Si au début
j’avais bien profité de la profusion de films et de revues, cela m’avait bien vite passé et je trouvais mon boulot plutôt ennuyeux.
Chaque nuit, je voyais le même cortège de clients qui entraient avec des airs gênés et qui payaient leurs achats en prétendant
que c’était pour madame ou pour faire une blague à un copain. Chaque nuit, avant de partir, je nettoyais les cabines vidéos et vidais leurs poubelles remplies de papiers essuie-tout maculés de
sperme. En toute honnêteté, même si j’étais content d’avoir ce boulot, je m’emmerdais vraiment. Devant la boutique dès vingt-deux heures, un jeune prostitué qui se faisait surnommer "le videur",
venait faire le trottoir jusqu’à une heure plus où moins tardive, suivant le temps et la présence de la clientèle. En principe le mot d’ordre était "pas de prostitué, homme ou femme, devant la
boutique" mais sa présence était tolérée.
Le prostitué, très jeune, était assez mignon et d’après ce que je pouvais apercevoir, semblait avoir un certain succès auprès
des hommes d’âge mur. Son visage était fin et mettait en valeur ses beaux yeux noirs à l’expression innocente. Ses cheveux noirs étaient coupés courts, ce qui allait parfaitement avec son corps
plutôt mince et nerveux.
Son physique, un peu trop longiligne à mon goût, faisait qu’il avait des fesses de taille très modeste, mais en contrepartie
je dois reconnaître qu’il y avait au niveau de son entrejambe une bosse qui me semblait assez gonflée en permanence. Non pas que cela m’intéressait ou m'excitait car je suis hétéro mais disons
qu’ il avait quand même une certaine classe dans la façon dont il bougeait. Il se prostituait, mais je restais toujours courtois tout en maintenant un certain détachement.
L’hiver arrivait et cette distance s’est un peu dissipée du fait que je ne me
sentais pas le droit de laisser un jeune dehors au plus fort des intempéries. Il devint donc courant, qu’avec l’accord de Luc, je fasse entrer le videur pour qu’il se mette à l’abri ou pour qu’il
boive quelque chose de chaud dans l'arrière boutique, sans donner à penser qu’il exerçait son métier dans le sex-shop. J’ai rapidement sympathisé avec lui, Johnny de son vrai prénom. Il n’était
pas rare que nous discutions de choses et d’autres.
— Dis moi, quel est ton âge véritable Johnny?
— J’ai 17 ans, et je vais sur mes 18 pourquoi?
— Pour rien, par curiosité.
— Je te remercie de me permettre de rentrer pour me réchauffer, certains soirs il y a si peu de clients qu’il m’arrive d’être
frigorifié.
— Je m’en doute. Dis moi Johnny, comment se fait-il que tu te prostitues à ton âge? Tu n’as pas de parents pour s’occuper de
toi?
— Mes parents n’ont rien à voir avec ce que je fais. Ils ne savent rien et c’est tant mieux, ce ne sont pas leurs
affaires.
— Peut-être, mais ne viens pas me dire que tu fais ça uniquement pour le plaisir?
— Et comment! Pour le cash et le plaisir. Il m’arrive assez souvent de tomber sur des hommes d’affaires ou des avocats. Ce
sont les plus généreux. De plus, j’adore le plaisir que je leur procure. Pour moi, il n’y a rien de mieux que de bouffer une belle grosse queue ou de me faire défoncer le cul dans diverses
positions.
— J’espère que tu te protèges car tu semble très populaire, vu le nombre de voitures dans lequel je te vois partir.
— Faut croire que mes services sont bien appréciés.
Parfois il lui arrivait qu’il vienne me donner un coup de main pour ranger la boutique juste après la fermeture. Au bout du
compte, après trois mois de présence mon regard sur lui avait bien changé même si je n’approuvais pas sa façon de vivre. Il lui arrivait même de me raconter tout ce qu’il faisait avec ses
clients. Au début, je l’écoutais distraitement, sans trop d’intérêt mais peu à peu, je n’eus d’autre choix que de constater qu’il était une vrai bête de sexe. D’après ses dires, il ne refusait
rien à ses clients et il se soumettait à tous leurs fantasmes et désirs. Certains soirs, sans comprendre pourquoi, il m’est même arrivé de ressentir un début d’érection en l’écoutant raconter ses
aventures. Luc quant à lui se montrait indifférent à Johnny et parfois gêné en sa présence. Sans que je sache vraiment pourquoi, si ce n’est qu’un jour il m’avait lancé sans plus d’explication :
— "Un conseil, j’ai rien contre ce que tu sois sympa avec Johnny, mais surtout fais pas la connerie de baiser avec lui si il
te le propose un jour."
Je n’avais pas trop compris la nature de cet avertissement et de toute façon je n’avais absolument pas l’intention d’avoir de
relation sexuelle avec Johnny, l’idée de faire l’amour avec un homme, prostitué en plus, était une perspective que je n’avais jamais envisagée. En dehors de cela je dois reconnaître que même si
son physique ne correspondait pas trop aux normes de la beauté masculine, je ne le trouvais pas déplaisant.
Un soir j’ai eu un sérieux problème avec un client qui voulait absolument que je lui rembourse un aphrodisiaque qu’il avait
acheté quelques jours plus tôt et qui s’était révélé inefficace (bien sûr !). Lorsque je lui ai fait comprendre qu’il était hors de question que je le rembourse, il est entré dans une rage folle
et même avec l’aide musclée de Luc, il a été très difficile de faire sortir l’hystérique. La boutique s’est transformée en un véritable champ de bataille et l’affaire a fini au
commissariat.
Après m’être acquitté des diverses formalités policières je me suis empressé de regagner le magasin pour y remettre de
l’ordre. À ma grande surprise Johnny m’attentait devant le sex-shop avec une expression d’inquiétude et d’énervement.
— Bon sang, qu’est ce qui s’est passé ici? En revenant d’une passe, je vous ai vu, toi et Luc, partir avec les flics, qu’est
ce qui est arrivé?
— Un taré nous a retourné tout le magasin, c’est pour ça que nous avons appelé la police. Maintenant il faut que je range tout
ce merdier.
— Il est passé où Luc?
— Le cinglé a réussi à lui flanquer quelques mauvais coups, j’ai préféré qu’il aille aux urgences pour faire constater ses
blessures.
— Vous m’avez foutu la trouille j’ai cru qu’il était arrivé quelque chose de très grave. Il y a vraiment beaucoup de bordel
dans le sex-shop?
— Oui, c’est inimaginable.
— Bon alors je vais t’aider, de toute façon j’ai largement fait ma nuit.
— T’es sûr que ça te dérange pas?
Sur ces paroles, nous sommes entrés dans la boutique qui avait vraiment besoin d’un bon rangement et nous nous sommes mis au
boulot. Au bout d’une bonne heure, il ne nous restait plus qu’un petit recoin des lieux à ranger et nous sommes retrouvés côte à côte dans cet endroit exigü à ranger différents gadgets. Je dois
dire qu’au fil des minutes, je ne sais comment, la présence de Johnny commençait à me troubler et au gré de nos mouvements, nos corps se frôlaient. En plus de ça, son corps un peu trop frêle à
mon goût et la lueur d’innocence qui se lisait dans ses yeux me donnait envie de le serrer dans mes bras comme on fait pour un jeune frère.
Comme pour achever de me troubler, alors que je me trouvais juste derrière lui, il fit tomber un gadget et se baissa pour le
ramasser. Ses fesses vinrent se coller contre mon bas ventre et il n’en fallut pas plus pour amener à son paroxysme l’érection qui grandissait dans mon pantalon depuis quelques instants. Je ne
comprenais vraiment plus rien à ce qui m’arrivait. Il me sentit durcir au travers de mon pantalon et il tortilla ses fesses contre mon sexe en riant avec malice.
— Je vois que je te fais de l’effet, c’est cool.
Je me mis à rougir. J’étais encore plus mal à l’aise, plus troublé.
— Je dis : t’inquiète pas, ça doit être parce que j’ai pas baisé depuis un bout.
— Peut-être, mais il semble t’exciter mon petit cul.
— Ne te fais pas d’idées, allez, on termine de ranger.
Je ne lui aurais jamais avoué mais oui, il m’excitait son petit cul. J’étais encore plus troublé, j’essayais de comprendre
cette réaction soudaine de mon bas-ventre.
— Comment ça se fait que malgré tout ce que je t’ai raconté sur mes histoires de baise, tu ne m'as jamais demandé de te faire
des choses, car parfois, certains hétéros ne ratent jamais une occasion de s’envoyer un jeune mec pas farouche comme moi.
Je répondis en prenant un air de sérieux et de respectabilité qui cadrait mal avec notre position et le lieu où nous nous
trouvions :
— C’est tout simplement parce que je ne fais l’amour qu’à des filles. Et de plus, payer pour faire l’amour ça me donnerait
l’impression de cautionner une forme d’esclavage moderne.
Il éclata de rire et il s’était relevé pour se tourner vers moi, le regard rempli de malice. Je me sentis vraiment con,
j’étais contre lui, au milieu des vibro-masseurs et autres gadgets, avec une érection d’enfer et je lui faisais la morale. Doucement, il posa sa main sur la bosse tendue de mon entrejambe et se
mit à la caresser.
— Tu ne le sais peut-être pas, mais Luc, certains soir quand je quitte le sex-shop, il me rattrape dans la rue et me demande
de lui faire une petite gâterie. À ce que je sais, il se dit hétéro lui aussi et pourtant il aime bien que je le suce. Il m’a même dit que je suçais mieux que certaines femmes avec qui il
baise.
Je ne pouvais croire ce que je venais d’entendre. Je ne comprenais plus rien. Tout en continuant de me parler, il glissa son
autre main sous mon pull et caressait mes mamelons qui durcirent automatiquement.
— Tu te fous de ma gueule, c’est impossible que Luc te demande de lui tailler une pipe, je ne connais pas plus macho que
lui.
— Je te jure que je te dis vrai, seulement ne lui en parle pas car il m’a bien averti de me taire, sinon il me le ferait
regretter.
Il me pinça doucement les mamelons. Je sentis une onde de choc traverser mon corps et ce fut pire quand il commença à les
lécher. En même temps, il entra sa main dans mon pantalon et caressa ma queue gonflée à bloc. Je m’entendis gémir et il ne m’en fallut pas plus pour que je cède au désir qui me tenaillait,
surtout que cela faisait un certain temps qu’en fait de sexualité j’en étais réduit aux services de mon poignet. Alors qu’il défaisait ma ceinture et ma braguette, il me dit:
— Laisse-moi faire, tu vas adorer vivre cette nouvelle expérience, et ne t’inquiète pas, cela ne fera pas de toi un
homo.
Et puis merde me dis-je, j’étais affamé de sexe, peu importaient mes stupides jugements moraux sur lui et son mode de vie.
Autant tenter l’expérience, si ça ne me plaît pas, j’arrête tout. Je me laissai aller au plaisir que me procuraient ses mains avec un sourire de bien être.
— Mmmh ça semble te plaire, laisse-toi faire.
La situation me troublait énormément mais je m’en foutais, je n’avais qu’une pulsion en tête : satisfaire mon irrésistible
besoin de sexe. Johnny se mit à genoux en descendant mon pantalon et mon slip et je sentis avec plaisir mon sexe dénudé se dresser fièrement à quelques centimètres de son visage. Je sentais son
souffle chaud sur ma virilité alors que sa main droite, elle, me saisissait les testicules pour les soupeser et les malaxer doucement.
— "C’est bien, t’as un bel équipement et tout ça me paraît bien plein" dit-il.
De sa main gauche il se mit à me branler doucement, c’était une formidable sensation que de sentir ses mains expertes, douces
et chaudes, sur mon sexe et mes testicules, j’en frissonnais de plaisir. Je ne sais comment j'arrive à raconter car j'étais lancé et en plein ciel ! Ses mains couraient sur toute ma virilité dans un ballet sensuel auquel je m’abandonnais totalement, et, pour ne pas hâter la fin, j'avais encore assez de
lucidité pour retenir une éjaculation imminente. Expert comme il l’était, il s’en aperçut et laissa mon sexe le temps d’aller chercher un
préservatif. Pendant ces quelques instants je restais appuyé contre le rayonnage la tête en arrière submergé par le plaisir précédent et la joie à venir.
À son retour Johnny se remit à genoux, et engouffra ma queue dans sa bouche. Je pus sentir la chaleur de sa bouche et le
contact de sa langue qui vint comme freiner mon pénis lorsqu’il le sortit de sa bouche. Ensuite Johnny se mit à lécher et à embrasser le dessous de mon sexe, de mon gland jusqu’à mes couilles.
Arrivé à celles-ci, il fit jouer sa langue dessus et les aspira légèrement dans sa bouche avec une grande douceur. Puis sa langue courut de mes couilles à mon anus ce qui me fit sursauter et lui
arracha un petit ricanement lubrique qui voulait dire : -"eh oui, les hétéros sont sensibles de là aussi". Il reprit ensuite ma queue dans sa bouche
et agita sa langue autour. J’étais comme fou, jamais on ne m’avait fait une fellation avec un tel talent et une telle capacité à jouer sur la montée de ma jouissance. Je gémissais fiévreusement
sous ses assauts et il commença à faire aller et venir tout mon sexe dans sa bouche, lentement très lentement. J’étais aux anges et je sentais l’orgasme très proche.
— Alors ça te plaît?
— Tu suces à merveille
— T’as une belle bite, j’ai envie qu'elle me défonce le cul
Il mit le préservatif au bout de mon gland et le déroula tout au long de mon sexe. Il me fit asseoir sur une chaise et vint
s’empaler sur ma bite. Le fait de sentir ma queue glisser jusqu’au fond de son anus bien humide me rendit fou de plaisir. Je pris ses fesses dans mes mains et commençai un mouvement de
va-et-vient lent et prudent. J’aimais sentir mon gland frapper ses intérieurs. Je ne pouvais m'empêcher de le labourer fortement et d'accélérer vivement mes poussées. Nos gémissements se mêlaient
les uns aux autres. Il semblait deviner jusqu’à la moindre de mes sensations et s’y adaptait pour me donner un maximum de plaisir. Incapable de tenir plus longtemps, soudain
j’accélérai davantage et mon sexe déchargea mon sperme, remplissant le condom en m’arrachant des cris et des gémissements de jouissance.
Il le retira vitement et jusqu’à ce que mon sexe se ramollisse, Johnny n’eut de cesse de me sucer de nouveau pour bien
nettoyer ma queue. Il me fallut de très longues minutes pour me remettre, pendant ce temps Johnny s’habillait avec un air de satisfaction.
— Génial, j’avais jamais joui comme ça, j’ai cru que j’allais mourir de plaisir.
— Il faudra que l’on remette ça de temps en temps.
Sur ces paroles il quitta la boutique en tortillant son beau petit cul.
Après avoir pris une bonne demi-heure pour me reposer, je suis rentré à la maison heureux et étonné d’avoir pris
un tel pied. Je dois reconnaître, encore aujourd’hui, qu’en dehors des femmes avec qui je baise, jamais personne ne m’a fait de fellation avec autant de talent que Johnny. Je suis aussi obligé
d’admettre que faire un tel aveu me demande un grand effort mais il a eu raison ou presque sur un point; je ne suis pas devenu gay après cette baise mais plutôt bi... ¤
vos nouvelles lois disent clairement que, en fait, au lieu de rencontres paisibles, vous nous préférez comme ça, en
cachette, dans la RUE , à la sauvette ?
Aug 24 '15
★
cette queue? ce mec ? pkoi pas !
Pour elles aussi c'était une échappée belle Les gros du web préfèrent Meetic hein ? Bakchich ?
Aug 24 '15
★
Escort un métier de service et de partage
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