dans les Vosges ...
Dans nos provinces,
nos fantasmes et nos 'vices'
cachés trouvent un secret bien naturel, mais on va à Paris pour se lâcher
! !
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Doux rêveur je suis basé et j'ai mon activité dans les Vosges Histoire vraie récemment vécue Je venais d'arriver à paris, en cette fin de
décembre 2O14, habitant dans le département des Vosges, hélas, dès mon entrée dans Paris, peu après Bercy, panne de voiture, remorqué, je dus laisser mon auto trois jours durant boulevard
voltaire pour réparation, trois jours devant moi, alors que je ne devais faire que l'aller et retour pour affaire. Dès le lendemain dans l'après midi, je décidai de rejoindre un sauna où je vais
habituellement quand je descends à Paris. Rapidement à poil, alors que je tendais mon cul dans une cabine, un puis deux puis trois mecs à grosses bites entreprirent de me défoncer le fion
en me traitant de salope. T'aime la bite salope, oh oui, elle aime la bite cette pute, on va lui faire voir ce que c'est que des grosses bites en rut.Ils étaient costauds, la quarantaine et la
cinquantaine comme moi, sauf que je suis mince, imberbe, svelte et terriblement cho du cul pour 1,7O m et 58 kg. Une femelle pute quasiment et rasé pour le peu de poils qui me restaient au
pubis, glâbre pour mieux plaire aux arabes . Le plus costaud m'enfonçait une grosse bite d'environ 19 et bien large de 6, il me pilonnait puis stoppa pour laisser la place aux deux autres,
le second, bite de 2O un rien moins large s'enfonça dans mon cul direct et me pilonna à son tour, il me repassa ensuite au premier,qui me défonça à nouveau pour laisser la suite au troisième qui
me traita de sale pute, t'aime la queue, ça se voit, sa bite était aussi large que le premier mais un chouia plus longue, un bon 21 cm réel. Je ne sentais plus mon cul, j'étais devenu un trou à
bites car ils me baisaient tour à tour depuis une bonne heure dans une cabine assez étroite où je m'étais présenté le cul tendu en levrette tête au mur, d'où l'impossibilité pour moi de sucer
hélas. J'étais taraudé sans cesse, à peine une bite sortie qu'une autre rentrait, d'autres mecs passaient et repassaient médusés par ces enculades à répétition d'une bonne pute soumise. Ils
jouirent tour à tour puis quittèrent la cabine aussi vite qu'ils y étaient entrés. suite ->
suite -> J'allai prendre une douche et me réinstallai dans une autre cabine, plus
spacieuse cette fois et qui fermait à clé. Je laissai la porte ouverte et tendais mon cul, ma croupe à qui en voudrait, en plaçant à côté gants, crisco et gel à fist. Je tournais le dos à la
porte, croupe offerte, j'entendis un mec rentrer et me peloter les fesses, me constatant peu farouche, il fermait la porte et commença à me tripoter le cul. T'as une belle chatte me dit il, t'es
une salope, je répondis que oui, que j'étais même une bonne putain à dispo et que je lui tendais ma vulve de chienne. Il ne se fit pas prier , ne mit pas de gant mais se lubrifia copieusement, il
graissa mon fion de tapette et y pénétra un doigt, voyant la bonne largeur de la chatte, il y mit très vite deux doigts puis trois, puis commença à m'ouvrir de ses cinq doigts, me pénétra
rapidement de sa main que mon cul absorba. Putain dit il, t'es une belle putain toi, je vais te casser le cul salope ! Il me fouillait et commença à aller plus profondément, jusqu'à mi-bras,
putain, t'es profonde comme une grosse pute toi me dit il, ouvre toi, ouvre ton cul salope.... et il se mit à y ajouter quelques doigts de l'autre main, doucement, la première ayant été absorbée
au delà du poignet par ma chatte de pute, il enfonçait alors la seconde doucement et réussi à mettre la seconde main, grosse pute me dit il encore, t'es une grosse pute ! à ses insultes, je
m'ouvrais encore davantage, car j'aime être dominé et insulté en sale pute que je suis. Il me fouilla ainsi puis retira une main, ramena la première à hauteur du poignet et ferma son
poing dans ma chatte et commença à me tringler hard à poing fermé,il le tournait dans ma chatte sans égard, il sortait et rentrait aussitôt, puis il commença à me boxer la chatte de ses
deux mains en aller et retour, il avait des mains de 7-8 cm. Je ne sentais plus mon cul, je n'étais plus qu'un trou , ce que j'aimais être, ne plus penser, n'être plus q'un trou à dispo pour les
bites et les pognes vicieuses, en me gazant au poppers copieusement pour être total soumise. Après une petite heure de défonce, je souhaitai faire une pause... suite ->
non, je n'ouble jamais combien tout ça me manque dans mon petit village de
province
suite ->J'avais le cul en feu et avide à peine ses mains sorties d'en découdre à
nouveau. Aussi, je lui tendis à nouveau ma chatte et la sortais au maximum, les cuisses bien écartées. T'en veux encore grosse pute que tu es ! Oui, vas y, fais ce que tu veux de ma chatte,
je suis en chaleur. Il ouvrit alors la porte, me traita encore de sale pute et me boxa la chatte à un rythme encore plus effréné,poings fermés qui rentraient et sortaient tour à tour,
d'autres mecs regardèrent alors et l'encouragèrent à me casser le cul, vas y ça c'est de la pute ! Un des mecs se joignit à lui et ils me fistèrent à deux, l'un sortait, l'autre rentrait,
ma chatte était pleine de jlube et mouillait sans retenue, j'écartais de plus en plus mes cuisses et je leur tendais de plus belle ma croupe de tapette, de pédale, de femelle pour leur faire
comprendre que j'en voulais encore. Je suis à vous, leur dis je une nouvelle fois, faites ce que vous voulez de ma chatte, je suis une pute totale, car j'avais le besoin de m'abandonner total à
ces mecs , leur donner mon trou, qu'ils me fassent une grosse vulve de truie, je n'étais que ça, une chatte béante prête aux grosses mains et grosses bites. La fin de l'après midi arrivant, nous
fîmes tous une pause et j'en profitai pour quitter le sauna et allai me restaurer avant la soirée que j'avais prévu de passer dans un club fist très connu de la capitale et qui ouvrait vers 22-23
heures.suite -> suite ->
Avec le fist on est un peu
dans le « plus rien à perdre »et
le « sans tabous » !
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aucu, aucune hésitation, prolapsus du partenaire ou
pas...
suite -> Oui, j'avais prévu de passer
dans un club fist très connu de la capitale et qui ouvrait vers 22-23 heures. Je pris mon temps à bien diner et gagnai la direction opposée de là où je me trouvais afin de me présenter au club
proche de Bastille, pile à l'ouverture.Il s'était écoulé quelques cinq heures depuis mon dernier fist dans le sauna, mon cul réclamait déjà. Je rentrai dans le club le premier, je me mis à
poil en joks strap cuir et boots de motard, chaussette rouges, couleur distinctive des Fistés et Fisteurs. Je m'installai au sous sol dans une cabine ouverte où je pus me présenter en levrette,
ma position favorite, cul offert à tous, sans voir, sans choisir, en bon soumis. Je me lubrifiai la chatte et j'attendis. Un mec vint me Fister, sans que je ressente de domination, cela dura peu.
Un autre pris la relève et plongea sa main direct dans ma chatte, sans autre préliminaire, salope me dit il et il s'enfonça plus encore, doucement puis me boxa un petit moment. Je lui
demandai alors s'il voulait qu'à mon tour je lui rende la pareille et que je le Fiste, il me répondit merci, mais je ne suis qu'actif. suite ->
suite -> Je remontai à l'étage, pris un verre de jus de pomme, et snifai comme auparavant mon poppers pour m'exciter et m'offrir comme une pute. Là, après une
vingtaine de minutes, un black, costaud, quatre fois plus costaud que moi, de très grosses pognes me caressa la croupe, je frétillais déjà, il enduit ses mains sans gant de graisse crisco et
commença à plonger deux doigts, puis trois, puis quatre, très vite, il engagea sa main, rentré dans ma chatte il forma son poing et poussa plus loin dans mon cul, je jouissais de la chatte
tellement je me sentais écartelé et dominé sans qu'il prononce un seul mot, je me sentais être sa pute . Il me travailla la chatte en aller et venue changeant de main à chaque pénétration,
doucement. Le cul ainsi préparé, il engagea un rythme plus rapide, il me boxa avec ses grosses pognes de mâle, une main sortait au poing, une autre rentrait, je gueulais de plaisir et de
souffrance à la fois, j'en voulais, ça c'était certain. Je suis incapable de dire combien de temps cela a duré tellement la baise était intense forte et hard. Il me cassa le cul littéralement,
j'étais démonté du cul, une chatte béante de vraie putain cette fois. C'était là ma seconde soirée à Paris, je quittai après ce bourrage intense et bestial de club, il était environ deux heures
du matin.
SUITE ET FIN ->
J'admire les mecs qui savent gérer le
prolapsus du partenaire
et en font du positif :
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suite -> Dès le lendemain, je
reprenais ma voiture réparée, je rentrais dans les vosges, curieusement, je n'avais pas mal au cul, le black m'avait défoncé en roi de la baise hard, vraiment. .. mais je fus rassasié pour un bon
quinze jours, c'est à dire jusqu'à ce début janvier de 2O15. Je dois retourner à Paris vers le 9 janvier et je compte bien trouver quelques machos en rut pour dominer mon cul et en faire ce
qu'ils veulent.... car je ne suis u'un trou, qu'un cul, en baise je ne pense pas, je suis UN CUL en chaleur à dispo. Comme d'autres ici , j'adore les arabes, les blacks et les mecs bien montés,
les mecs vicieux qui savent ouvrir un cul pour en faire une chatte de pute à fist et à bites sans retenue......alors si vous êtes dominateur de cul, de bonne pute, je suis à votre dispo.
mail baladyn@live.fr
Tiger800 FIN d
mentalement je fus rassasié pour un bon quinze jours et je repris mes activités comme si de rien n'était (fake)
fantasmefantasmesfantasmes
mais je ne tarderais pas à retrouver mes fantasmes : FISTé un jour, AMAT' toujours !
Je comprends que les jeunes hésitent
à se lancer dans le fist en
tant que passifs. Je serais plutôt comme vous les
gars !
Mais en tant qu'actifs c'est hyper bon ! et considérez bien
que
pour qu'il puisse y avoir des actifs, il faut qu'il y ait des
passifs,
même pour la baise 'ordinaire'. Une vérité qui enfonce
euh...
les portes ouvertes !
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