cavaillongay-lesitelocal

"T'as envie de te prendre mon jus dans ton petit cul de pédale ? Réponds espèce d'enculé". Il n'arrête pas de me baffer, j'adore ça. Je l'implore de me donner son jus. Alors ...alors sa queue se raidit et, dans un râle aussi masculin que puissant, il déverse sa semence dans mes entrailles. Je n'en peux plus, j'ai donné tout ce que j'avais à donner.

Paul, qui m’a mis le grappin dessus voilà 6 mois environ étant absent (voyage pro pour ses affaires) et moi occupé aussi à mon travail (avec un planning chargé ces derniers temps) ça a été l’abstinence totale…

  Sur le site de rencontres homos, j'étais voisin de mecs 'décidés' comme'" Fion dilaté et capable d’encaisser un max "

  chacun a la parole à son gré sur ce site et certains hommes exprimaient bien ce que je ressentais moi aussi : "MARSEILLE EMPALE MON CUL SANS CAPOTE"

Toutes ces annonces me rendaient délirant de désir et me prouvaient que c'était possible de se faire tanker et juter dedans car j'étais sur rencontre-homosexuel.com/ avec comme pseudo "PassifSalope", c'était assez clair. Ca faisait super longtemps que j'avais pas été pris en main par un mec et je voulais absolument être déboîté cette soirée là.

Un mec vint me parler, il a 26 ans (j'en ai 20). Il me dit qu'il a les couilles pleines depuis un mois et qu'il a vraiment envie de se défouler sur une bonne pute. Sa photo me donne envie: un corps de rêve, musclé, une fine toison brune sur le torse. Il est parfait, je le veux.

Je le chauffe bien, il me dit qu'il a une bite de 20 cm. Il décide alors de me la montrer à la cam. Elle est parfaite : bien longue, bien large, très belle. Un gros gland qui ne demande qu'à se mettre au travail. On se donne rendez-vous au bout d'une ligne de métro, afin de se trouver un endroit tranquille. Je suis intimidé mais j'y vais quand même, mon cul n'attend que ça. Lui, il a été très clair : "je suis un mec sympa, mais une fois que tu te seras mis à genoux devant moi, tu m'appartiendras petite pute, t'as intérêt à être à la hauteur".

J'arrive au point de rendez-vous. Il est encore plus beau en vrai. Ma libido a encore augmenté, je suis prêt à le servir à fond. On discute, il est vraiment sympa, pas du tout macho, je me dis que finalement il n'est peut être pas si domi que ça. On trouve alors un endroit, et c'est alors qu'il me prend la tête pour me mettre à genoux. J'avais tort : va alors commencer une session endiablée de sexe en extérieur.

Il me prend la tête à deux mains et l'empale sur sa queue déjà bandée au max. Il n'en peut plus, il m'insulte dans tous les sens "Sale pute, prends la bien au fond de ta petite gorge de traînée, j'vais tellement t'exploser t'as pas idée". Il m'enfonce sa bite en fond de gorge et maintien la pression, de sorte que je ne peux plus respirer. C'est tellement bon, je n'ai jamais été aussi bien pris en main, je bande à fond, mon cul mouille, je suis aux anges. Lui, il continue à me démonter la bouche avec des coups de reins d'une violence inouïe.

Il m'invite alors à me tourner et me plaque contre un mur. Il tâte un peu mon trou et rentre sa bite d'un coup sec, sans doigtage préalable ni léchage de cul. Je n'en peux plus, j'ai trop mal et me raidis un peu. Lui n'en a rien à foutre et m'ordonne de me cambrer : "Tends ton putain de cul espère de grosse pute, j'ai pas que ça à faire alors cambre toi vieille traînée et plus vite que ça", mais chaque coup de reins de sa part me raidit encore plus. J'ai tellement mal que je couine comme une petite lope.

Lui, il a vraiment l'air de kiffer. Il me laboure le cul pendant dix minutes avec une vitesse incroyable. Sa bite est tellement bonne, au bout de quelques minutes mon cul s'ouvre et je profite enfin pleinement de ce labourage intensif. Il sort sa bite plusieurs fois avant de la rentrer à nouveau. "Tu kiffes ma grosse queue dans ton petit trou de pédale hein salope ? Dis moi que t'aimes ça grosse chienne, j'veux t'entendre vénérer ma queue". Je lui obéis : "Oui maître, enfonce-la moi encore plus profond, je veux te sentir au plus profond de moi".

C'est alors qu'il accélère, je n'ai jamais été aussi bien niqué, je n'en reviens pas. J'en perds la raison tellement je suis au septième ciel. "Alors espèce de petite pute, t'en veux encore ? T'as envie de te prendre mon jus dans ton petit cul de pédale ? Tu le veux ? Réponds moi espèce d'enculé". Il n'arrête pas de me baffer, j'adore ça. Je l'implore de me donner son jus. Je sens alors sa queue se raidir et, dans un râle aussi masculin que puissant, il déverse sa semence dans mon cul. Je n'en peux plus, j'ai donné tout ce que j'avais.

Cette chanson s'impose à moi dans ma tête :  

Nous nous rhabillons, il me raccompagne à ma station de métro. Malheureusement j'ai regretté d'avoir été si idiot et de ne pas avoir fait de la capote une obligation. Je lui ai donc dit que je ne souhaitais pas recommencer sans capote. Il n'a donc plus souhaité me revoir, ce qui est vraiment dommage car nous avons tous deux passé un excellent moment. Il avait d'ailleurs très envie de recommencer. Mais de mon côté le safe-sex n'est plus seulement une option, ce n'est plus négociable...

Il m'a fait remarquer combien je suis con  : si j'ai si peur du HIV c'est trop tard puis qu'il m'a baisé bareback...alors, alors, alors ...dois-je reconsidérer ma position ? hihi

commentaire :