rhabillé pendant qu'il remettait de l'ordre sur le bureau on est repartis. On a fermé, j'ai replacé la clé et on est descendus. Personne en vue, on s'est tirés comme deux voleurs arrivés dans la voiture, on a explosé d'un fou-rire irrépressible
Article 222-22-1 La contrainte prévue par le premier alinéa de l’article 222-22 peut être physique ou morale. La contrainte morale peut résulter [...] de l’autorité de droit ou de fait que celui-ci exerce sur cette victime. https://www.gisti.org/spip.php?article2398 |
EXTRAIT : de https://cyrillo.biz/histoire-gay-2017-fin-de-nuit-agitee-01.php FIN DE NUIT AGITEE
Et vous ? Vous n'avez jamais niqué dans une salle publique (vide bien sûr !) (classe, amphi, théâtre, bibliothèque etc...) La peur ? Le plaisir ? Le défi ? La vengeance sur l'oppression anti baise, anti gay, anti tout quoi ? (héhé, antibaise comme Boby Lapointe le dit) |
Et si on nous avait pécho ?
[...]
- Tu sais ce que j'aimerais faire ?
- Non ?
- Ben, te sauter comme Marc l'a fait, dans le bureau du boss. J'y pense depuis que je vous ai vus, quel fantasme !
- Ben, je sais pas trop, si on se fait pincer, ça peut nous coûter cher !
- Et alors ? T'as la trouille ?
C'est tout ce qu'il ne faut pas me dire ! On s'est fringués et on est partis. Ça allait être chaud. J'étais quand même un peu angoissé, je lui ai
demandé s'il n'y avait pas de caméras, de vigiles, d'alarme. Sa seule réponse était : « J'sais pas, on verra !
On est arrivés, il était presque 3h 30 du matin. Il ouvre la porte d'entrée, on monte dans les bureaux sans un bruit, je guettais le moindre mouvement suspect, prêt à partir en courant, je suivais François mais, à un moment, je l'ai perdu, je me suis arrêté dans le couloir, tous mes sens étaient en alerte. Je ne voyais rien, n'entendais aucun bruit et ne ressentais aucun mouvement. Je me suis ressaisi et j'ai avancé vers le bureau du patron. La porte était fermée, je me suis souvenu de sa note de service disant que, suite à des intrusions dans son bureau en son absence, celui-ci resterait fermé. J'étais au fond du couloir, où pouvait être François ? Je ne pouvais pas l'appeler, l'angoisse me gagnait de plus en plus et là, sans que je n'entende rien venir, j'ai été plaqué violemment contre la porte, un corps me maintenait fermement et j'ai entendu :
- Alors petite pute, tu viens chercher ta dose dans le bureau du boss ? Hummm, je sens que t'as peur, tu trembles, ça m'excite ça
J'avais bien reconnu François mais il m'avait foutu la trouille et, effectivement, je tremblais. Il a déboutonné et baissé mon pantalon. Il m'a dit
:
- Avant d'avoir ta récompense, va falloir payer de ta personne, écarte tes fesses et ferme ta gueule
Il s'est baissé, a craché sur mon trou, s'est relevé et m'a enfilé sa queue d'un coup. Quelle douleur ! Le gel m'avait bien resserré et il
m'enfilait quasiment à sec le salaud. Je ne sais pas comment j'ai fait pour ne pas hurler mais il ne m'a pas laissé le temps de réagir, il m'a collé une de ses mains sur la bouche, l'autre s'est
posée sur mon ventre et il m'a baisé contre la porte. J'ai vite mouillé et le plaisir est arrivé. J'entendais François murmurer :
« Putain, t'es trop bon, j'adore te baiser là, comme une pute, c'est trop le kiff. Toi aussi tu aimes, t'as vu comme tu mouilles,…
Il m'a sauté encore de longues minutes sans bruit, juste un souffle plus fort et son front collé à ma tête. Il s'est retiré sans jouir et a remonté
mon pantalon. J'ai pensé qu'on allait partir, je me suis retourné vers la sortie, il m'a dit :
- Et tu vas où ? Le fantasme c'est le bureau du boss ! Devant la porte, c'était pas prévu, un bonus bien cool mais le deal, c'est dedans
!
- T'es fou ! On a baisé au bureau, en plein couloir, c'était le pied, si tu veux, je te suce pour te finir mais là, faut partir
- Nan, on reste, je vais remplir ton cul t'inquiète mais je le ferai dedans, je sais où il y a une clé du bureau et tu vas aller la chercher !
»
Il m'indique le bureau de la secrétaire dans lequel il y a un tas de placards et, dans un tiroir, il y a tous les doubles des clés. Il me dit qu'il
m'attend 5 minutes, pas plus, après il se tire et m'enferme à l'intérieur du bâtiment. Ça m'a excité comme un gamin qui doit relever un défi, j'ai couru dans le bureau, j'ai fouillé, pas
plus de 3 minutes pour trouver la boîte des clés, je l'ouvre, je trouve la clé et je repars en courant. Il m'entend arriver, étouffe un rire et me dit :
- Putain mais t'es prêt à tout pour te faire sauter et doser !
Je lui donne la clé, il ouvre, on entre. J'avais vraiment peur. Une lueur venant des lampadaires de la rue plongeait le bureau dans une atmosphère
très tamisée. François s'est assis dans le siège et m'a dit :
- Alors, tu viens t'occuper du boss ! Fous-toi à poil d'abord ! »
Je l'ai fait, il m'a demandé de passer sous le bureau pour venir lui tailler une pipe. Je n'avais jamais vécu un plan comme celui-ci, j'étais mort de trouille mais excité, j'ai avancé sous le bureau, j'ai caressé ses cuisses qu'il a écartées, j'ai embrassé sa queue à travers sa braguette et, d'un geste rageur, j'ai fait sauter les boutons en un clin d'œil, je voulais sa bite. Il bandait toujours, je la prends en bouche et là, il appuie sur ma tête de toutes ses forces pour me bloquer en gorge profonde. J'ai cru étouffer, j'ai remonté mes mains sur sa poitrine en passant sous son T-shirt et j'ai pincé ses tétons de toutes mes forces, il a lâché son étreinte sur ma tête, j'ai pu ressortir pour respirer. Je l'ai sucé un moment, j'ai gobé ses couilles, il était chaud bouillant comme au premier coup de la soirée.
Il a reculé le siège, m'a fait signe de remonter. Il m'a assis sur le bureau, face à lui, il m'a embrassé et m'a relevé les jambes. Son gland s'est
posé à l'entrée de mon trou et là, il m'a dit :
- Alors, comme ça, on se fait baiser devant ma porte et on croit s'en sortir comme ça ?
Sans que j'ai pu répondre, il a poussé d'un coup pour revenir en moi. Il m'a baisé encore plus fort qu'avant, il se défoulait et vivait son fantasme
à fond. Moi, je me cramponnais sur le rebord du bureau. Il m'a fait lâcher prise pour m'allonger sur le bureau, il a passé ses avant-bras sous mes genoux et a repris ses va-et-vient. J'entendais
le grincement du bureau comme je l'avais entendu avec Marc, nos souffles profonds et saccadés résonnaient dans la pièce. Malgré le risque, je prenais un pied d'enfer, je me suis branlé comme un
fou, je suis vite monté et j'ai craché sur mon ventre, François, qui continuait à me baiser, a dit :
- Oh oui, c'est bon quand tu jouiiiiiiiiiis
Il est venu en moi sans arrêter d'aller et venir, il lui a fallu au moins deux minutes supplémentaires pour redescendre et se retirer :
- J'ai jamais vécu un truc pareil, j'ai cru que j'arrêterais pas de jouir !
Je me suis relevé, rhabillé pendant qu'il remettait de l'ordre sur le bureau et on est repartis. On a fermé, j'ai replacé la clé et on est
descendus. Personne en vue, on s'est tirés comme deux voleurs arrivés dans la voiture, on a explosé d'un fou-rire irrépressible.
Il m'a dit que j'avais rempli mon contrat, il m'a ramené chez moi à 5h du matin, je suis rentré et me suis effondré direct sur mon lit, mort de
fatigue.
Le réveil a sonné, ça m'a tué ! J'ai dû aller bosser en ayant des courbatures de dingue et mal au cul comme jamais, j'étais mort de fatigue, des
cernes jusqu'au milieu des joues, une tête de déterré ! Quand j'ai vu François, j'y ai pas cru, un teint frais, même pas marqué ! Il est entré dans le bureau que j'occupais avec Marc, il discute
d'un point précis et il me regarde et dit :
- Et ben, faut dormir la nuit mon petit. Tu dois être un grand chanceux toi pour avoir une tête pareille !
Il est parti en riant, j'avais un mal de crâne…..
J'espère que vous avez bien aimé, Denis Chassagnes sur Cyrillo
commentaire :
claudio dans les commentaires a écrit : "vu le pouvoir qu'il a dans la boîte" ton François de doit une embauche et une coloc gratuite dans son appart grand luxe... à moins qu'il ne tépouse... mais c'est moi qui gobe trop les histoires d'amour, et il se peut que tu aies accordé tes faveurs (oh putain c'est chaud ! ) à, une fois de plus, UN DE CES INGRATS D'ACTIFS , tels que j'en ai connus -lol- et qui ne savent pas ce qu'ils perdent à te connaître et te fréquenter !
Hé, attention, faudra essuyer ! -lol-
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