Non mais, qui a décrété (un jour) qu'il est interdit de mater les copains aux douches ? Hein, qui ? Comme le temps est aux protestations, cavaillongay propose de
signer une pétition contre la pudeur -lol-
Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés ?
Je crois qu'ils sont trop clair semés;
Ils ne furent pas bien fumés,
Je crois le vent les a ôtés,
L'amour est morte.
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte,
Les emporta.
La complainte de Rutheboeuf vers
1250
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3 par chambre, était-ce pour éviter
l'homosexualité et les rumeurs qui vont avec ?
Ce serait oublier l'ange gay qui nous protège .-lol-
NB : Si les âges des élèves
vous paraissent trop élevés pour les terminales sachons que Cyrillo. biz impose le seuil de 18 ans pour tous les personnages des
récits.
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LIRE L'ORIGINAL PAR BENVART : https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-souvenir-internat-01.php
C’était il y a plusieurs années, mais je m’en souviendrai encore toute ma vie..
Je venais d’avoir 18 ans, j’étais en terminale dans un lycée de commerce dans une petite ville perdue. Et ce lycée comportait un internat non mixte
ou nous étions tous 3 par chambres.
Les chambres étaient assez spacieuses avec un lit superposé et un lit simple, quelques armoires et bureaux. Je cohabitais donc avec deux mecs de ma
classe, tous les deux légèrement plus vieux que moi, et surtout plus baraqués.
Tout d’abord il y avait Alexis, 18 ans. Un mec assez svelte et grand, plutôt du type racaille de quartiers. Je savais qu’il ne m’aimait pas du tout
et il me le faisait très bien comprendre. Mais même s’il n’était pas excessivement beau, je lui trouvais un charme de mâle dominant très excitant.
Il y avait aussi Thomas, 19 ans. Un homme très séduisant qui prenait assez soin de lui, il avait une pilosité assez importante pour son âge qui
recouvrait son torse de poils incroyablement sexy et son visage d’une barbe épaisse, mais taillée. Il avait un corps élancé sans être trop musclé que j’adorais admirer à chaque fois qu’il sortait
en serviette de la douche.
Les douches elles, étaient sous forme de cabine au fond d’un couloir de l’internat.
Je me souviens très bien l’excitation que je ressentais a chaque fois que je me retrouvais dans une de ces cabines le soir, si proche de ces mecs
nus en train de se doucher de l’autre coté du mur si fin et, qui sait, peut-être en train de se branler.. Tous les soirs je ne manquais pas d’être excité rien qu’à cette idée et je ressentais le
besoin de caresser mon corps fin et imberbe avant de descendre lentement les mains vers mon 17 cm, déjà tendu par l’excitation.
LE "DELIT"d'indiscrétion :
Mais un soir, une chose est arrivée. Quelque chose que je n’aurais jamais cru capable avant ça.
C’était un soir d’hiver, et comme on peut s’y attendre dans un lycée de village de campagne, les radiateurs ne fonctionnaient pas. Alors le seul
moyen pour les élèves en internat de se réchauffer était la douche je me souviens être arrivé alors que la queue vers les douches était déjà presque vide.
Je suis donc allé vers ma chambre chercher des affaires de rechange et je me suis dirigé vers la salle de bain pour prendre une cabine comme tous
les soirs. J’y ai posé mes affaires et j’ai commencé à faire couler l’eau.
Alors que je me douchais, j’entendis un bruit venant de la cabine à ma gauche. Étant de nature curieux, et toujours excité par l’idée d’avoir un
beau mec nu à côté de moi je décidai de jeter un petit coup d’œil entre l’écart du fin mur de la cabine et du sol. Je me rendis tout de suite compte que la personne dans la cabine à côté de moi
était Thomas, je reconnaissais ses jambes poilues et son tatouage sur le mollet, une sorte d’aigle. Je continuais d’entendre ce bruit bizarre, mais je n’arrivais pas a savoir ce que c’était alors
je décidai d’y regarder de plus près.
En me rapprochant de l’ouverture du mur j’ai pu voir plus clairement le reflet de l’eau de la douche et quelle fut ma surprise quand le reflet me
fit voir Thomas, en train de se branler dos contre le mur.
Il était encore plus séduisant que je n’aurais pu m’imaginer, son engin avait l’air parfait, environ 19 cm et entouré d’une légère touffe de
poil qui remontait le long de son torse. J’ai cru que mon cœur allait s’arrêter, mais ma queue elle, marchais encore très bien. Elle était devenue dure comme de la pierre à la vue si excitante de
Thomas en train de se faire plaisir.
Il semblait beaucoup aimer ce qu’il faisait, vu que les bruits que j’entendais étaient au final lui qui laissait échapper quelques gémissements
cachés par le bruit de la douche. Je n’en pouvais plus, je le matais en train de se branler et j’imitais ses mouvements rapides le long de ma queue.
Mais, par malchance, Thomas venait de diriger son regard dans l’espace du mur, le reflet du sol de ma douche venait donc de trahir le fait que je
l’observais en cachette, en train de me branler. Il eut un sursaut et dit.
– Putain Ben, qu’est-ce que tu fous ?!
Par peur, je sortis de la douche a la va vite, enfilant mes vêtements a la vitesse de l’éclair pour partir dans la chambre, honteux de m’être fait
prendre en train de mater un mec aussi sexy.
Ma queue était encore à moitié dure dans mon jogging. Quand je rentrais dans la chambre en voyants Alexis, allongé sur son lit en train de jouer sur
son ordi je cachai ma semi-érection avec le reste des affaires que j’avais en main. Et décida de me diriger vers mon lit quand j’entendis la porte de la chambre s’ouvrir en trombe derrière moi.
Je vis alors Thomas, en serviette me fixer avec colère.
La "punition "
– Ben t’es sérieux ? Tu as vraiment fait ce que j’ai cru voir ?!
J’étais pétrifié, je ne savais pas quoi répondre par peur de finir la gueule cassée par ce mec quand même plutôt baraqué. Son altercation avec moi
avait interpellé Alexis qui s’empressa de demander.
– Qu’est-ce qu’il a fait ?
– Cet enfoiré me matait sous la douche ! A répondu Thomas.
– Ce n’est pas ce que tu crois ! Je... Ramassais mon gel douche et je t’ai entrevu c’est tout ! J’ai alors répliqué, en panique.
Alexis se mit à rire grassement.
– Je t’avais bien dit Thomas qu’il était gay, c’est évident ! Il doit forcément aimer ça nous mater sous la douche.
– Arrêtez je n’ai rien maté du tout, je..
– Et qu’est-ce qui nous dit que le soir quand on dort il ne nous mate pas en boxer en train de se branler, hein ?! rétorqua-t-il. Si t’es
vraiment Pd autant que tu serves a quelque chose, je n’ai pas vu ma copine depuis 1 mois alors je vais te faire me sucer tiens, ça excusera de nous avoir tous matés en cachette.
Je ne savais plus quoi répondre, j’étais partagé entre la peur et l’excitation. Ce qui me tétanisa sur place. Je vis alors Alexis se lever de son
lit et m’attraper par le cou pour me mettre à genoux devant lui.
Il portait un jogging large qui ne laissait pas voir sa queue, mais juste a me savoir si proche de son engin m’excitait tellement que je ne me
rendis presque pas compte que mon érection était repartie de plus belle.
– Alors, t’attends quoi là ? Suce ma bite putain ! Me cria-t-il.
Ce qui me fit sortir de ma paralysie. J’attrapai les bords de son jogging et de son boxer et commença a le faire descendre lentement. Je vis alors
une belle queue au repos, entourée de poils bruns. Je restai quelque secondes à l’observer et je pris enfin mon courage à deux mains.
Je commençai alors à le caresser doucement, d’abord le long de sa queue que je sentais devenir dure entre mes doigts. Lui riait, comme moqueur, mais
je m’en foutais. J’allais le sucer et c’était très loin de me déranger. J’avais désormais une queue bien dure entre les mains, un très bel engin presque de la même taille que la mienne, environ
17 cm. Il semblait s’impatienter, il m’attrapa par le derrière du crâne pour plaquer mon visage contre sa queue veineuse.
Le bonheur : "J’étais aux anges".
– T’as intérêt à faire ça bien, si tu ne veux pas que tout le lycée apprenne que tu te joues les voyeurs dans les douches ! Dit Alexis.
J’acquiesçai en silence même si, au final, je n’aurais pas refusé dans tous les cas. Je commençai d’abord par lécher le long de son pieu, avant de
remonter doucement vers son gland bien gonflé. Je jouai un moment avec, lui donnant des petits coups de langue. Avant de l’enfoncer totalement dans ma bouche et de commencer a faire des
va-et-viens doucement. Sa queue était bien dure, j’essayais d’y mettre le maximum dans ma bouche, mais ayant peu d’expérience, j’avais assez de mal à y arriver.
Je n’en revenais pas. J’avais, depuis 2 ans, toujours fantasmé sur ce mec et j’étais enfin en train de faire ce que j’avais toujours voulu lui
faire. C’était inimaginable. Mais... J’étais loin d’être au bout de mes surprises. Dans l’action, j’avais totalement oublié la présence de Thomas, qui venait tout juste de me prendre par
l’épaule, alors que je suçais Alexis, pour me retourner dans sa direction.
C’était comme un rêve. Thomas était là, devant moi. Complètement nu, la queue dressée dans ma direction. Elle semblait encore plus grosse que dans
la douche, toujours entourée d’une touffe de poil. Il était là depuis le début, a nous observer et avais enfin décidé de s’intégrer.
– Eh, gardes-en pour moi. Ça te servira de leçon pour m’avoir maté en train de me branler sous la douche petit pervers. Me dit-il.
J’avais maintenant deux belles bites à ma disposition. J’étais aux anges. Je continuai un moment de sucer Alexis, tout en masturbant Thomas pour le
faire attendre. Puis j’interchangeai les deux. Je pris en bouche Thomas plus difficilement, sa queue étant plus grosse. Il semblait être plus sensible qu’Alexis, car dès que ma langue passa le
long de son gland, il laissa échapper un gémissement de plaisir que j’adorai. Je suçai Thomas un long moment, tout en branlant la queue humide de salive d’Alexis qui s’impatientait.
– J’ai une meilleure idée les gars. J’ne suis pas Pd hein, mais ton petit cul remplacera très bien celui de ma copine. Lève-toi, allez. Me dit
Alexis.
Je me levai immédiatement avant de me retrouver sur le lit d’Alexis, lui étais parti fouiller dans son armoire pour en sortir une boite de capote et
un tube de lubrifiant. Thomas lui se dirigea vers le côté du lit, la queue toujours tendue. Je m’allongeai sur le ventre, et repris sa queue en bouche pour le sucer encore plus longuement.
Pendant ce temps-là Alexis avait déjà mis en place une capote sur sa queue dure comme de la pierre. Il fit couler un fil de lubrifiant le long de
son engin et commença à l’étaler doucement. Puis il en étala sur mon trou rasé. Il y enfonça un doigt, puis deux. Et dirigea ensuite sa queue vers mon entrée. Doucement il s’enfonça, centimètre
par centimètre pendant que je suçais toujours Thomas. Il commençait déjà a faire des va-et-viens a l’intérieur de moi. J’adorais ça. Ma queue était toujours dure, plaquée contre le
matelas.
Il commençait à prendre le rythme. Ses va-et-vient semblaient si doux et en même temps si fermes. Je sentais sa respiration le long de mon cou. Lui
aussi échappait quelques petits gémissements montrant qu’il semblait aimer mon trou serré. Pendant ce temps-là je sentais Thomas de plus en plus excité, sa respiration était devenue rapide et je
sentais qu’il voulait prendre le dessus sur le rythme de ma fellation et il commença alors à me baiser la bouche. Lui aussi faisait des va-et-vient de plus en plus rapides.
La température dans la pièce semblait être montée d’une centaine de degrés. Je ressentais le corps brûlant d’Alexis sur mon dos, et toujours à
l’intérieur de moi. Sa respiration se faisait de plus en plus rapide. S’il gardait ce rythme, il allait venir très vite c’était sûr. Thomas lui, était déjà au bord de l’explosion. Il me baisait
toujours la bouche, mais cette fois de plus en plus vite. Il ne retenait plus ses gémissements de plaisir intense.
– Ah.. Ah... Putain... Ben..
Je le sentais encore accélérer la cadence et frapper son gland au fond de ma gorge. Il lâcha un dernier râle de plaisir qui dura quelques secondes.
Et je sentis enfin un flot de foutre m’envahir la bouche. Il continuait de faire des va-et-vient tout en me jouissant dans la bouche.
Alexis lui, était aussi proche de la fin. Ses mouvements n’étaient désormais plus lents du tout. Il faisait claquer mes fesses contre ses cuisses de
plus en plus vite, me pilonnant l’intérieur. Je sentais, grâce a ses mouvements rapides, ma queue frotter contre son matelas. Je sentais mon plaisir monter, et le sien aussi. Il enfonça sa queue
encore plus rapidement en moi, avant de lancer un énorme gémissement. Au même moment, je sentais l’éjaculation monter de plus en plus et je lâchai tout mon foutre sur son matelas alors que lui se
vidait a l’intérieur de moi.
Thomas avait déjà retiré sa queue de ma bouche. Alexis fit de même et retira sa queue de mon trou puis enleva la capote pleine de foutre. Alors que
je me relevais du lit, il aperçut tout mon sperme sur son matelas et il m’attrapa encore une fois par le cou.
– Tu as cru pouvoir laisser ça sur mon lit ? Lèche-moi ça ! Me cria-t-il.
Et je me retrouvais alors à lécher mon propre sperme sur son lit sans me plaindre. Je trouvais ça toujours excitant. Lorsque que j’eus fini. Je me
dirigeai vers mon lit puis m’allongea. L’épuisement me fit m’endormir presque immédiatement.
Après ce soir là, Thomas et Alexis avaient pris l’habitude de me présenter leur queue à sucer ou à prendre* lorsqu’ils en avaient besoin. Ce qui me
faisait très plaisir. Et ce fut alors. La meilleure année de lycée de ma vie.¤
PREMIERS BAISERS
*dans le cul, non ?
commentaire :
Ayant subi un outing, je peux vous dire que même les amisgay vous tournent le
dos de peur d'être catalogués homos eux aussi. N'espérez en aucune façon que cette sorte de pub vous profite et vous apporte de bonnes fortunes, Hélas. -lol-
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