2013-2019  six ans de merde

Révolte fiscale

La France grogne

Paris Match  | Publié le 15/11/2013 à 12h59 |Mis à jour le 16/11/2013 à 12h31

Jacques Attali

A Reims, le 9 novembre 2013, Thierry Prévot, fondateur des Compagnons peintres champenois, emploie une dizaine de personnes. Il craint une hausse de la TVA à 10 % : « Déjà, les tarifs des ouvriers venus des pays de l’Est sont inférieurs aux nôtres. » Bernard Wis

Dans tous les milieux professionnels comme dans toutes les régions, le pessimisme envahit le pays.

Brusquement, sur le refus d’un impôt, l’écotaxe décidée par la droite et mise en œuvre par la gauche, tout semble se cristalliser. Les frustrations des salariés, les angoisses des chômeurs, la colère des paysans, la rage des patrons, l’exaspération des contribuables pourraient se rejoindre en une révolte populaire massive, hors des partis et des syndicats, à partir de ce qui vient de se déclencher en Bretagne. Et bien des gens se mettent à craindre – ou à espérer – que se passe quelque chose qui fasse sortir le pays d’une routine qu’on devine sans issue, pour prendre une nouvelle direction ; même si, sur le sens de cette nouvelle direction, personne n’est d’accord. Ce ne serait pas la première fois qu’une révolte fiscale constitue l’étincelle d’une révolution : bien des régimes, dans le monde, se sont effondrés sur de ­soudaines crispations sociales, conséquences de réformes fiscales. Les Etats-Unis d’Amérique sont nés d’une révolte des colons à Boston, en 1773, contre l’alourdissement de la fiscalité sur le thé imposée par le colonisateur anglais. Et c’est une révolte contre un nouvel impôt local, la « poll tax », qui conduisit en 1990 au départ du pouvoir de l’inflexible ­Margaret Thatcher, renversée par son propre parti.

En France, cependant, les innombrables révoltes fiscales, impitoyablement réprimées, n’ont que rarement conduit à une révolution. Pendant la guerre de Cent Ans, en 1413, la fascinante révolte des Cabochiens (du nom de leur chef, Simon Caboche) obtient des états généraux que les nobles paient l’impôt, comme les artisans, avant d’être sévèrement réprimée et de perdre tout pouvoir, avec Jean sans Peur, duc de Bourgogne, qui les soutenait. Au XVIIe siècle, d’autres révoltés contre les impôts, méprisamment nommés « croquants du Périgord » ou « nu-pieds de Normandie » par les nobles et les bourgeois, sont aussi sévèrement matés. De même, au temps de Colbert, en 1675, une révolte contre des impôts sur le tabac, l’étain et le papier timbré, partie de Bordeaux avant d’atteindre la Bretagne (dite des « Bonnets rouges », en référence au signe de ralliement des révoltés), fut si sévèrement réprimée qu’elle sera la dernière du genre sous l’Ancien Régime. La Révolution de 1789, largement issue des revendications fiscales du tiers état, conduisit à une refonte partielle du système fiscal, si réussie que la légitimité de l’impôt ne fut plus jamais sérieusement contestée, si ce n’est par l’anecdotique révolte d’un papetier du Lot, Pierre Poujade, contre les contrôleurs du fisc.

La nouvelle marche du monde exige des réformes qu’aucun gouvernement, gauche ou droite, n’a osé entreprendre

Et aujourd’hui ? Le pays est en grand désarroi. A commencer par la Bretagne, où se cumulent toutes les difficultés : une région périphérique d’Europe, ce qui nuit à sa compétitivité, une agriculture concurrencée par les très bas salaires allemands et dévoyée par des subventions malsaines qui ont, en plus, ravagé l’environnement et détruit l’agriculture africaine. Les nouveaux « bonnets rouges » expriment de manière violente l’exaspération de l’opinion face à un gouvernement qui, tels ceux de Charles VI, Louis XIV ou Louis XVI, doit chaque jour inventer des impôts nouveaux pour combler les trous laissés par ses prédécesseurs. Les portiques d’écotaxe rappellent, avec l’électronique en plus, les barrières d’octroi qui conditionnaient l’entrée dans les villes au paiement d’un impôt, et le mode de gestion de cette taxe nouvelle, confiée à une société privée, rappelle le temps des fermiers généraux, personnes privées qui collectaient l’impôt au nom du roi.

Plus généralement, le pays tout entier souffre depuis plus de vingt ans d’un refus de prise de conscience, par ses élites dirigeantes, politiques et syndicales, des réalités du monde : la chute du mur de Berlin a provoqué une formidable accélération de la concurrence économique, technologique et politique mondiale, exigeant des réformes qu’aucun gouvernement français, ni de gauche ni de droite, n’a osé entreprendre, à la différence de ceux de plusieurs autres pays. Et qu’aucun parti n’a osé proposer : la droite n’a pas voulu réformer de peur d’être battue. Et elle l’a été. La gauche ne veut pas ­réformer, de peur de dissoudre le tissu social, et il se dissout. Même si bien des entreprises, bien des créateurs, bien des chercheurs, bien des fonctionnaires ont compris les enjeux, sans pouvoir imposer qu’on les prenne en compte. Alors, pour survivre, la France, comme d’autres, n’a pas trouvé mieux que de s’endetter, et de se crisper sur des rentes.

Tout cela n’a qu’un temps. La réalité finit par se venger. La croissance s’interrompt, ce qui, en France, en raison de la croissance démographique, se traduit par une baisse de pouvoir d’achat des classes moyennes et des plus pauvres. A cela s’ajoutent la hausse continue du coût des logements, de l’énergie, de l’alimentation, et celle des prélèvements sociaux et des impôts, qui touche en priorité les ­salariés des classes moyennes, les professions libérales, les entrepreneurs, les artisans et les agriculteurs. En sont relativement protégés les plus pauvres, qui n’ont pas les moyens de payer d’impôt, et les plus riches, qui ont les moyens de ne pas le payer.

La situation devient alors intenable. Faute de croissance, les recettes fiscales baissent, les faillites d’entreprises se multiplient, les plans sociaux se généralisent. En conséquence, les demandes, justifiées, de subventions augmentent, qu’il faut ­financer par de nouvelles hausses ­d’impôts, entraînant une nouvelle baisse de la production. Nourrissant le sentiment qu’aucun effort ne permettra d’en sortir. Et que, quoi qu’il arrive, les travailleurs actuels ne peuvent que craindre pour leur emploi et leur retraite ; et que les prochaines générations n’ont rien à espérer sinon un niveau de vie plus bas que celui de leurs parents. Tout cela explique que l’angoisse, encore sourde, dans le pays, peut se transformer en colère contre l’Etat, dont on a toujours tout attendu et dont peu de gens veulent admettre qu’il ne peut ni s’opposer au grand changement du monde ni mettre le pays en situation d’y trouver sa place sans remettre en cause les rentes et sans favoriser l’audace, l’innovation et le goût du risque. Tout ce qu’il ne fait pas. Et que le pays ne lui ­demande pas de faire.

Tout cela conduit à trois mouvements contradictoires. Les forces les plus dynamiques du pays, parce qu’elles sont riches et sans contraintes, ou parce qu’elles sont jeunes et sans attache, choisissent l’exil, pour chercher ailleurs ce que la France ne leur offre plus, c’est-à-dire la perspective d’un avenir meilleur. D’autres choisissent de rejoindre les partis les plus extrémistes, convaincus qu’on a essayé tout le reste et que seuls les ­extrêmes n’ont pas encore été mis en situation de faire la preuve de la validité de leurs programmes. D’autres enfin choisissent la désobéissance : ils ne paient plus l’impôt ; ils travaillent le dimanche, même quand c’est interdit ; et, dans certains cas, de plus en plus nombreux, rejoignent les rangs du marché noir et de la criminalité.

La crise des bonnets rouges est le dernier avertissement : au-delà de cette limite, la démocratie ne sera plus valable

Tout cela peut-il conduire à une crise de régime ? Sans doute pas, aussi longtemps que n’émerge pas un réel projet alternatif. Ou que n’apparaît pas une nouvelle élite capable de le conduire. On peut plutôt craindre une crispation ­égoïste, amenant chacun à se concentrer sur lui-même et sur ses proches. Il appartient à la classe politique de trouver une réponse et de sortir le pays d’une terrible ornière. Et d’abord au gouvernement en place de proposer un cap, qui donne du sens à l’effort. D’expliquer pourquoi la solution à nos problèmes n’est plus dans l’augmentation des impôts, qui fut un temps nécessaire, mais dans une meilleure efficacité de la dépense publique, dans une réduction massive des gaspillages des collectivités locales, dans une concentration des subventions sur les plus défavorisés, dans des investissements massifs en matière de santé et d’éducation, dans une lutte impitoyable contre toutes les rentes. Dans la définition claire d’un projet qui ferait de la France un acteur majeur du monde, par une intégration plus grande de l’Europe (première puissance économique mondiale) et par la constitution d’un véritable ensemble fédéral francophone (qui aura bientôt plus d’habitants que l’Europe). Il appartient aussi à l’opposition de tirer les leçons de ses échecs, de faire son devoir d’inventaire, et de ne plus reprocher au gouvernement actuel de ne pas engager les réformes qu’elle n’a pas osé faire quand elle en a eu l’opportunité.

Il appartient enfin au président, le moment venu, de proposer quelque chose comme une union nationale, pour réaliser les formidables promesses d’un très grand pays, disposant d’atouts considérables, béni des dieux par son climat, sa situation géographique et son histoire. La crise des bonnets rouges restera donc comme le dernier avertissement avant la sortie de route : au-delà de cette limite, le ticket de la démocratie risque de ne plus être valable. Ou, comme le dit Claude Brasseur dans un film devenu culte : la crise actuelle, « c’est la cerise qui peut faire déborder

  et le 27 novembre 2018 naît le mouvement des gilets jaunes

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  Ta réponse à claudemodou@gmail.com

   ça nous arrivait  à JP et moi de mater ensemble les mêmes scènes de baise homo. Et ça nous plaisait bcp !  

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2016-hetero-indecis-01.php   je ne triche pas : si vous voulez voir l'original du texte, allez sur site. Je me contente de commenter par une expérience authentique perso' et d'apporter qq illustrations du web : on a beau dire : ça aide l'imagination !

   oui, ça se rapproche de la bite de JP  qui se faisait juste sucer sur la drague . A mon avis elle est même plus petite sa bite. 

 moi j'ai eu mes propres crosses et handicaps, mais lui, JP, j'imagine ce que ça a été quand il était jeune. Remarquez, à moi ça m'a pas trop servi d'avoir une grosse bite fainéante !  -lol- 

Bonjour, je vais vous raconter une des nombreuses histoires qui me sont arrivées.
Pour des raisons de discrétion et de respect, je changerai les prénoms et les lieux, mais l'histoire est bien réelle.

Je m'appelle Mika et cette histoire s'est passée en 2000 en Seine et Marne. J'avais 21 ans à ce moment là.

J'avais à cette époque beaucoup d'amis hétéros qui savaient tous que j'étais gay et ne m'ont jamais créé de soucis, j'étais accepté sans aucun problème.
En plein mois de juin, lors d'une soirée entre amis, l'un d'eux que l on appellera Julien 20 ANS, vient me voir et me propose de dîner chez lui un soir pour passer une soirée tout à fait ordinaire.

Le jour venu je me rends donc chez lui en centre ville de Melun.
Je lui propose d'aller faire quelques courses en ville pour acheter ce qu'il faut pour la soirée.
En partant faire des courses, nous passons devant un sex chop, Julien me regarde timidement et me dit "tu sais Mika, je ne suis jamais rentré dans un sex chop, mais j'ai envie de voir comment c'est à l'intérieur."
Habitué à ce genre de lieux, je lui propose de rentrer dans le magasin.
Julien devient tout rouge et me dit OK.
On rentre à l'intérieur et à ce moment là Julien était en pleine extase devant tous les articles en vitrine.
On se dirige vers le comptoir pour que le vendeur lui explique certaines des prestations proposées dans ces lieux.
Il nous dit que en ce moment même il y avait des projections de Films X dans une salle sur grand écran comme un petit cinéma.
Je propose à Julien, s'il en a envie, d'y aller, le vendeur nous prévient quand même que c'est un film Gay et non pas hétéro.
Julien hésite et timidement me dit ok.
Nous voila partis dans le cinéma, nous nous installons confortablement dans nos sièges et commençons à regarder le film.
Moi, habitué à ce genre d'endroit, je me mets à l'aise, je déboutonne mon pantalon et commence à me caresser par dessus mon caleçon mais discrètement pour ne pas choquer mon pote.
Il n'était pas assis à coté de moi mais à 4 sièges plus loin sur ma droite, je le regarde discrètement et je le vois qui commence à se caresser au travers de son pantalon et j'entends sa respiration vraiment très forte et tremblante.
Puis au bout de quelques minutes il commence à se déboutonner puis ce retrouve en caleçon, il glisse sa main à l'intérieur et commence à se branler mais tout en laissant sa queue à l'intérieur, je ne voyais donc rien d'autre que son va et vient sous le caleçon.
Il me regarde soudain avec insistance et me fait signe de venir vers lui.
Je viens donc m'asseoir à coté de lui, il pose sa main sur ma cuisse et remonte tout doucement vers ma queue qui était dure comme du béton et qui sortait du caleçon tellement elle était à fond.
Il la prit à pleine main et commença à me branler et il me dit à ce moment là  " Putain mais elle est énorme ta queue" en effet la nature m'a bien gâté, j'ai une queue de 23CM sur 6 cm.
A mon tour je mets ma main dans son caleçon et là, à ma grande surprise, si on peut dire ainsi je prend son sex qui lui par contre était minuscule, je ne pouvais la prendre qu'avec 2 doigts : pouce et index.
Pour ne pas le mettre mal alaise, je continue comme si de rien n'était.
D'un coup en plein milieu de cette masturbation mutuelle, il se lève et me dit "stop on arrête tout, je veux rentrer chez moi"
On est donc ressortis et nous sommes partis chez lui.
Sur le trajet il me demande de pas parler du sujet et de ne jamais en parler à qui que ce soit.

Nous arrivons chez lui, nous prenons un apéro et discutons de tout et de rien mais sans parler du sujet.

Chose que j'ai oublié de vous expliquer, mon pote Julien était d'un gabarit de crevette, 1,60 pour 45 Kg imberbe et moi 1,80 pour 75 Kg Musclé de partout et très viril et modérément poilu .

Nous passons donc à table, tout se passe bien et toujours pas de sujet tabou entamé.
Du début de l'apéro jusqu'à la fin du repas nous n'avons bu que du whisky et de la vodka, imaginez les effets après deux bouteilles.
D'un coup Julien me pose une question. "Mika, quel effet ça fait de sodomiser un mec?"
Ben je lui réponds, "c'est comme quand tu couches avec une femme mais le trou est bien plus serré en général"
Il me regarde et timidement il me dit qu'il veut tester avec moi.
Je le regarde et lui pose une question délicate "mais tu veux etre actif ou passif"?
Car vue la taille de sa queue je me voyais mal être passif avec lui.
Il me répond : "ben je suis hétéro donc je veux être actif"
Etant actif et passif, j'accepte sa proposition pour ne pas le frustrer.
Il me demande comment ça se passe pour commencer, donc je lui propose plusieurs positions et choisis la levrette pour ne pas que je puisse le regarder.
Mais avant tout je lui dis qu'il faut prendre une bonne douche car il faisait une chaleur à crever, j'avais besoin de me rafraîchir et lui aussi
Apres avoir pris chacun une douche seul, Je me mets en position sur le lit.
Je lui propose de me préparer le cul avec sa langue même s'il n'y en avais pas besoin, mais c'est toujours tres agréable et encore plus excitant quand c'est fait par un hétéro.
Au bout de 10 minutes, il commença à approcher sa queue en érection vers mon trou bien chaud, mais je compris à ce moment là qu'il avait un problème.
Vue la minuscule taille de son sex : environ 6 cm de long sur 2 cm de large il ne peut pas la rentrer, il essaie quand même et n'arrive qu'à rentrer à peine son gland et le voilà parti pour des va et viens interminables durant plus de 30 minutes.
A plusieurs reprises je lui dis "stop Julien te prends pas la tête si tu ne peux pas, je peux te faire jouir avec ma bouche si tu veux"
Il me répond que non, il veut aller jusqu'au bout et jouir sur moi.
Une heure s'est passée, je ne sentais absolument rien et j'ai même pris mon téléphone pour envoyer des sms à des potes pour passer le temps jusqu'à un moment où je me suis retourné et ai tout stoppé.
J'ai voulu quand même lui faire du bien et le sucer un peu, il m'a repoussé et il est parti se branler dans la salle de bains, je l'entendais depuis le salon, il était très expressif vocalement et encore plus quand il a joui.
Il ressort de la salle de bain, me regarde même pas et sans un mot il part se coucher.
Ayant bu je ne pouvais pas me permettre de prendre le volant, je suis donc resté dormir chez lui sur le canapé et suis reparti le lendemain matin.
Au moment de partir j'ai voulu lui parler normalement sans parler de ce qui s'était passé la veille, il me répond même pas, je veux lui faire la bise pour partir et il me repousse.
Je suis donc parti de chez lui en le laissant tranquille. Je comprenais qu'il était très mal et qu'il ne fallait pas que je lui prenne la tête.
Je suis donc rentré chez moi et me suis mis devant un bon film X Gay pour me soulager avec mes petits jouets favoris (un joli gode bien gros et un masturbateur accompagné d'un excitant que l'on trouve dans les sex shops que je ne dirai pas le nom mais qui commence par un P.
Je vous cache pas qu'après ce que je venais de vivre, j'avais une grave envie de me défouler.

J'ai attendu quelques jours, et j'ai voulu appeler mon pote Julien, il ne répondait pas à mes appels ni à mes SMS et ça a duré des semaines.
J'étais triste ce cette situation car c'était vraiment un super pote avant.
J'ai compris avec le temps au bout de plusieurs mois que j'avais perdu mon ami.

Donc des mois passent, et arrive le mois de janvier 2001 où un de mes potes m'invite pour son anniversaire. Un soi-disant hétéro de 20 ans que l'on appellera Thomas.
Il habitait dans une grande maison de campagne à 50 Km de Melun.
Thomas par contre me dit, "j'ai invité Julien, ca te dérange pas?"
Je lui répondis que non. Je précise que personne n'était au courant de l'histoire qui s'était passée entre Julien et moi en Juin 2000.
Les invités arrivent Julien aussi, il me dit bonjour mais reste quand même à l'écart toute la soirée.
Une fois la soirée terminée, tout le monde est parti, il restait plus que Thomas, Julien et moi.
Thomas ne connaissant pas l'histoire, eut la bonne idée de nous proposer un film X mais hétéro.
Je lui dis "je veux bien mais je sais pas si Julien va vouloir" et Julien me reprend en disant "pas de souci j'aime ça"
Nous nous installons donc sur le canapé, lumière tamisée et commençons à visionner le film, mon pote Thomas sans gêne sort sa queue et se branle tout naturellement sous nos yeux mais tout en restant de son coté et sans nous toucher ni nous mater.
Pour pas me sentir con, je sors ma queue qui était au meilleur de sa forme et commence à me branler doucement pour un maximum de plaisir.
Mon pote Julien, sur ma gauche commence à sortir la sienne et se branle seul de son coté puis doucement commence à venir me caresser et approche sa bouche pour vouloir me sucer.
Je le repousse et lui dit " Mais tu joues à quoi là?" sur un ton sec.
Mon pote Thomas lui finit de se branler et jouit seul de son coté.
En voyant le comportement de Julien, il nous dit avec un petit sourire, "bon je vous laisse tranquilles tous les deux, je vais dormir"
Je me retrouve donc seul avec Julien qui lui était chaud comme de la braise, il remet ça et commence à me sucer, c'était sa première fois, il avait la bouche complètement pleine et je sentais mon gland rentrer presque dans sa gorge.
Au bout d'un moment je l'arrête et lui dit "tu veux vraiment faire quelque chose avec moi?"
Il me répond et me dit qu'il veut se faire pardonner pour la dernière fois.
Je lui dis ok mais par contre ce soir c'est moi qui suis actif et tu te laisses faire.
Il se met à genoux devant moi et me dit : "Mika je veux que tu me prennes le cul comme si j'était une grosse chienne, je veux que tu me défonces et que tu me jouisses dans la bouche pour finir"
Je lui réponds, "c'est vraiment ce que tu veux?"
Il me dit "OUI J'AI GRAVE ENVIE DE TOI ET DE TA GROSSE QUEUE"
Sachant qu'il était tres expressif vocalement, je lui propose d'aller faire ca en extérieur au fond du jardin de la propriété pour ne pas réveiller la famille de Thomas.
Imaginez la gueule des parents de Thomas s'ils se lèvent en pleine nuit et nous voient à l'action sur leur canapé.
Nous arrivons au fond du jardin, il devait faire au moins -5° et une nuit de pleine lune.
Julien se met en position courbé vers l'avant et baisse son pantalon et son caleçon, et me dit : "vas y Mika bouffe moi le cul bien à fond, je veux sentir ta langue dans mon petit cul serré"
Je prends position, me mets nu et commence à lui bouffer le cul, il gémissait comme une chienne et bougeait son cul dans tous les sens en écartant ses fesses à fond pour ouvrir son cul un maximum, il me demande de lui mettre un doigt, puis deux puis un troisième, à ma grande surprise.
Je sentais son cul s'ouvrir de plus en plus et qui devenait très chaud à l'intérieur.
Je bandais comme un cheval, ma queue bouillait grave, et Julien me dit : "vas y, mets la moi bien à fond ta grosse et belle queue, défonce moi, ravage moi"
Je me mets contre lui, je mets une capote et commence à rentrer ma queue tout doucement pour ne pas lui faire trop mal.
Il me dit : "PUTAIN DÉFONCE MOI DIRECT ÉCLATE MOI LE CUL"
Je l'ai donc pénétré à fond d'un coup sec, il a gémi de plaisir, j'ai commencé un va et vient incessant qui a duré au moins 20 minutes, tellement violent que l'on s'est retrouvés allongés sur le sol gelé, mon corps plaqué contre le sien, il se branlait comme il pouvait en frottant sa queue par terre dans l'herbe gelée.
Une fois son petit cul bien rassasié, il se retourne et me demande de lui fourrer la bouche avec ma queue sans la capote.
J'introduis donc ma queue bouillante dans sa bouche, il me suce à merveille et se branle en même temps.
Je ne pouvais plus me retenir, la pression était à son maximum et j'ai éjaculé au moins 8 jets puissants et consistants dans sa bouche et dans sa gorge, il a tout avalé et a joui en même temps que moi, j'ai senti ses nombreux jets  de sperme sur mes fesses et mon dos. Il a joui d'une puissance incroyable au point de réveiller les voisins.
On a vite remis nos vêtements et nous somme cachés derrière le monticule de bois pour ne pas se faire repérer.
Il me regarde, me prend dans ses bras et m'embrasse tendrement
Il me dit : "alors c'est bon je suis pardonné?"
Je lui réponds avec le sourire "tu n'avais pas besoin de te faire pardonner"
Il me répond, "je sais mais j'avais grave envie de toi car tu m'excites grave"

Apres ça nous sommes rentrés dans la maison sans bruit, nous nous sommes couchés l'un contre l'autre dans le lit de la chambre d'ami fermée à clef.

Nous avons passé une très bonne nuit puis le lendemain son comportement était spécial, il se comportait avec moi comme si j'étais le pacha et lui mon serviteur.
Depuis ce jour il m'a toujours respecté et nous avons eu par la suite des moment intimes mais beaucoup moins bestiaux. On était comme un petit couple, mais sans amour, juste une grande amitié très sensuelle.

Voilà c'était une de mes nombreuses histoires qui me sont arrivées.
Je reviendrai prochainement en raconter d'autres.
En espérant que la lecture vous à plu et qu'elle vous aura fait de l'effet.
Amicalement. Mika sur cyrillo.biz

  Compliments et remerciements à Mika

vis tranquillement l'après baise au seuil de ta nouvelle vie

 Rien de meilleur que de dormir dans ses bras protecteurs

Mal quand tu t'assois ?  Ne te plains pas : tu as le meilleur des amants.

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