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En lisant ça et  en voyant la photo de cette annonce, mon sexe a légèrement gonflé rien de vraiment flagrant mais moi je ressens cette sensation de début d'érection qui vous envahit le bas ventre.

Oui, en voyant la photo  de l'annonce "vends gode",  mon sexe a légèrement gonflé rien de vraiment flagrant mais moi je ressens cette sensation de début d'érection qui envahit le bas ventre

Je suis quelqu’un d’assez timide. Je suis attiré depuis longtemps par les relations gays sans jamais avoir osé passer à l’acte. Je ne suis attiré que par le corps de mecs, autant j’ai envie d’essayer de sucer un mec autant je n’envisage pas de les embrasser.

 « Il y a longtemps que je  prévoyais d’acheter un plug et / ou peut être un gode, dis-je en retournant le bel objet sous tous ses angles
 

«  Ca ne me regarde pas mais c’est pour vous ? »
-       «  Oui…. » murmurai-je -       «  Vous avez déjà essayé ce genre de jeu ? » .
J’avais l’impression qu’il jouait avec moi, qu’il remuait le couteau dans la plaie de ma gêne.
-       «  Non, jamais, mais je ….. », Je n’arrivais pas à aller plus loin..
-       «  C’est la première fois ? »
-       «  Oui…. ». Sa main se posa sur mes fesses et commença à me caresser. Mes jambes flageolaient.
•    Il se mit à me tutoyer : «  Ne t’inquiète pas, je vais te montrer comment ça marche et si c'est la taille qui convient à ton joli petit cul ». Je restais là, entre nos deux voitures, n’osant bouger, le laissant faire. Il ouvrit la portière arrière de la sienne et posa le dildo sur la banquette ainsi qu’un tube de lubrifiant.
Tout en continuant de me caresser les fesses, il se remit derrière moi. Son autre main passa sur le devant de mon jean et commença à me masser le sexe, le faisant encore gonfler. Je ne savais plus trop ou j’étais, complètement soumis à ses caresses. Il dégrafa ma ceinture puis le bouton  et enfin la fermeture éclair. Il fit glisser mon jean sur mes chevilles. Ses caresses se faisaient plus précises, non atténuees par le tissu du pantalon. Ses mains se glissèrent sous le boxer, directement sur la peau, ce fut comme une décharge électrique, je gémis doucement. Mon boxer rejoignit bientôt le jean sur mes chevilles. Il appuya doucement sur mes épaules pour me faire pencher en avant, coudes sur la banquette arrière et tendre mes fesses vers lui.
Ses mains couraient sur mes fesses, l’une s’insinua entre mes fesses jusqu'à ma pastille, elle la massa, appuyant dessus. Je sentis un produit froid : c'était le gel. Puis le doigt rentra doucement sans difficulté et sans douleur, je frémis. Il commença à le faire aller et venir dans mon cul, son autre main faisait la même chose sur mon sexe, bandé sans décalotter.
-       «  Je vais t'essayer le gode, détends-toi. » me dit-il.
       Je le sentis pousser le vibro entre mes fesses, il passa le muscle et la tige reste fût aspirée. J’émis un grognement de plaisir.

Je le sentis passer quand il me l'enfonça. Doucement au début, puis très vite il accéléra la cadence, je commençais à  couiner, tout à mon plaisir de ces allers et venues,  je me demandais pkoi il ne vibrait pas  

  -       «tu as un beau cul !»
sa main glissait sur mes fesses, dans ma raie. Il appuya sur le gode pour l’enfoncer davantage, je gémis. C'est alors qu'il déclencha les vibrations. Attendant l'extase je fermais les yeux.
-     «  tu as le cul sensible, tu vas pas être déçu».

   Je voulus me relever mais sa main appuya sur mon dos.
-       «  Ne bouge pas, je reviens. »
       Découvrant un nouveau côté de ma personnalité, je ne bougeais pas. Je le vis prendre le tube de gel et entendis le léger claquement d'un préservatif et simultanément je vis son pantalon et son boxer tomber à ses chevilles, il retira le gode et posa le gland d'une bite énorme que j'étais loin de soupçonner.  

-       «  Les godes c'est bien, merveilleux même, mais ça n'a jamais valu une vraie bite. Est-ce que tu la veux ? » me demanda-t-il dans le souci que je consente.

C'était à moi de décider si l'aventure allait plus loin et si je voulais bien passer d'une défloration en plastique à une déflorarion en chair et en 'os'. Mentalement je ressentais très mal le fait qu'il m'ait 'doublé' avec son annonce. PHYSIQUEMENT je me sentais frustré par le retrait du gode, et inondé de désir et de sensations nouvelles. En même temps que je pensais "c'est malin ! ce con il m'a eu !", en même temps je disais oui.

Il exigea :   -       «  Dis bien 'oui je la veux'. »

  -       «  OUI JE LA VEUX . » dis-je en élevant la voix.  Dans la fraction de seconde qui suivit je fus baisé pour de vrai.

Je m'avisai alors que j'avais imaginé pour ce moment tant attendu LA TOTALE. Au milieu de nos communs halètements je lui demandai brusquement :  -       «  Tu es sain?  »

  -       «  Oui hhhh  » haleta-t-il «  Je peux te faire voir le certificat du labo de cette semaine»

  -       «  Alors jette la capote et jute-moi dedans ! tu es mon premier ! »car je ressentais encore du plastique-tueur-de-la-planète dans mon cul. Non, c'est pas la seule raison car, je vous l'ai dit, c'était mon fantasme premier qu'un bon gars, avec une bonne queue me 'tapissât' les intérieurs d'une semence d'amour. Ce fut le cas. C'est un moment que l'on ne peut oublier. Amour pur ou factice, peu m'importe. Et c'est ainsi que j'ai continué ma vie amoureuse avec d'autres partenaires     , initié par hasard et par usurpation je n'ai jamais voulu faire les choses à moitié. Oui, le gode il me l'a finalement donné et j'ai su en profiter : mais il a raison, ça ne vaut pas une bonne queue !

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