cavaillongay-lesitelocal

  Une femme ok....mais j'ai une mère aussi ! -lol- comme toi !  mais moi c'est les mecs, pas les nanas !   

   mon ravissement : je n'ai aucune honte à suivre du regard les mecs dans la rue, ni même à les suivre partout !  -lol- 

    lui ! ce n'est que LUI et rien d'autre. Ah si j'étais à la place de la fille.... 

pas de doute, je n'ai d'yeux que pour lui !

    elle st belle mais pareil, c'est lui qui me donne des contractions dans le cul et à ma queue

  il est déjà en pyjama et j'imagine l'effeuiller dans mon lit

  le "vrai ? " c'est seulement entre hommes

  rien de rien, ça bouge pas dans mon boxer et pourtant, elle était belle, les clients ne voyaient qu'elle... 

 elle a quitté sa place et je peux le mater tranquille, espérant qu'il va faire attention à moi, il y ades toilettes au fond...peut-être...

 alors là, avec une fille, même jolie, il ne sait pas ce qu'il perd !  

  il s'ennuie, moi je suis caché dans un buisson, s'il pouvait venir pisser on pourrait faire connaissance...

 un hétéro de 40 ans expérimenté n'a rien à faire avec une nana qui lui a déjà refusé la sodo.... 

  là, bon, je l'admets, mais je ne comprends pas le ravissement du mec !  

 il fait le con, mais moi je sais ce dont il a envie....

 même gros, empâté et joufflu, je le préfère

 Bon, là il semblerait qu'il n'y a pas foto entre les deux et pourtant je prendrais bien l'un et l'autre

 ben voilà, moi c'est ça....les hommes je veux connaître que ça !!!

  Et si je regarde du porno, je ne vois que les mecs !

commentaire : "contractions dans le cul ? Je sais pas si, ado, en parlant à un prof vous avez dû endurer des contractions dans votre cul parcequ'u copain de classe vous collait...heu....sans le vouloir ....ouais..."

  AVEC LES DEUX SHEMALES  j'ai joué, et elles aussi, sur les deux tableaux : HOMME ET FEMME . David de Cavaillon mourait d'envie que le le leur présente ! salut David !   

Je suis debout au pied du lit maintenant, je l'ai ramené(e) vers moi et je présente mon sexe sur son petit bouton. Retirant le doigt qu'elle(il) s'y était inséré, celui-ci s'entrouvre et semble appeler mon sexe. Sans avoir trop à pousser, mon gland passe son sphincter et s'établit dans ses entrailles. Allongée sur ses seins, Virginie s'extasie de la plénitude de sa jouissance qui lui fait fouiller les draps de ses mains qu'elle tend devant elle. Yolanda n'est pas en reste et vient bientôt se placer assise vers la tête du lit, les jambes écartées et présente son sexe à Virginie. Celle-ci dévore littéralement l'entrejambe de sa(son) partenaire qui ne tarde pas à exprimer son plaisir en caressant ses seins, ses yeux sont captivés par le spectacle. Mais cela ne semble pas étancher leur soif sexuelle et je ne reprends la sodomie qu'une fois que celles-ci s'engagent dans un 69 endiablé, Virginie étant maintenant sur le dos.

« Oh putain je vais jouir ! » alors que je sens la sève monter.

« Attends, je veux tout ! » répond Yolanda qui s'empresse de retirer mon armure de latex.

Nouant mes doigts dans sa chevelure dorée, je bascule sa tête en arrière alors qu'elle ouvre sa bouche. De longues giclées s'écrasent sur son visage, certaines pénètrent sa bouche. Mais très rapidement, elle reprend son étreinte avec Virginie qui, elle, n'avait pas arrêté son labeur.

Je prends place sur un fauteuil tandis que je prends plaisir de la sensualité et de la jouissance offertes par la beauté de ces deux corps. Je préfère leur laisser un peu d'intimité à la vue de cette passion naissante et il me faut me rafraichir dans la salle de bain de toute façon. A mon retour, leur ébat a cessé et elles s'échangent de petits baisers, enlacées et allongées sur le lit. Je reforme notre trio et vient m'étendre dans le dos de Yolanda qui saisit ma fesse de sa main droite, je ne tarde pas à m'endormir, épuisé par une journée tronquée dans sa durée mais tellement remplie. Au réveil, je suis seul dans le lit. Je suis debout au pied du lit maintenant, je l'ai ramené(e) vers moi et je présente mon sexe sur l'aire brune de son petit bouton. Retirant le doigt qu'elle s'y était inséré, celui-ci s'entrouvre et semble appeler mon sexe. Sans avoir trop à pousser, mon gland passe son sphincter et s'établit dans ses entrailles. Allongée sur ses seins, Virginie s'extasie de la plénitude de sa jouissance qui lui fait fouiller les draps de ses mains qu'elle tend devant elle. Yolanda n'est pas en reste et vient bientôt se placer assise vers la tête du lit, les jambes écartées et présente son chibre à Virginie. Celle-ci dévore littéralement l'entrejambe de sa partenaire qui ne tarde pas à exprimer son plaisir en caressant ses seins, ses yeux sont captivés par le spectacle. Mais cela ne semble pas étancher leur soif sexuelle et je ne reprends la sodomie qu'une fois que celles-ci s'engagent dans un 69 endiablé, Virginie étant maintenant sur le dos.

« Oh putain je vais jouir ! » alors que je sens la sève monter.

« Attends, je veux tout ! » dit Yolanda qui s'empresse de retirer mon armure de latex.

Nouant mes doigts dans sa chevelure dorée, je bascule sa tête en arrière alors qu'elle ouvre sa bouche. De longues giclées s'écrasent sur son visage, certaines pénètrent sa bouche. Mais très rapidement, elle reprend son étreinte avec Virginie qui, elle, n'avait pas arrêté son labeur. Je prends place sur un fauteuil tandis que je prends plaisir de la sensualité et de la jouissance offertes par la beauté de ces deux corps. Je préfère leur laisser un peu d'intimité à la vue de cette passion naissante et il me faut me rafraîchir dans la salle de bain de toute façon. A mon retour, leur ébat a cessé et elles s'échangent de petits baisers, enlacées et allongées sur le lit. Je reforme notre trio et vient m'étendre dans le dos de Yolanda qui saisit ma fesse de sa main droite, m'écarte et me pénètre encore, insatiable. Elle se finit abondamment dans mes entrailles avec des baises dans mon cou. Je la gratifie d'un dernier orgasme anal et ne tarde pas à m'endormir, épuisé par une journée tronquée dans sa durée mais tellement remplie. Au réveil, je suis seul dans le lit.

    David je t'imagine bien te faire enculer entre elles deux (message ) (foto fake)

  Trahissant les règles de déontologie de son métier, Thierry qui travaille au labo connaît mes résultats d'examens sanguins. Tous trois ils m'expliquent  que leur trip c'est de baiser sans capote et que de nos jours c'est devenu impossible et c'est pour cela qu'ils n'ont pas hésité à me tendre un piège. Je les rassure je ne leur en veux pas à condition qu'ils me passent tous dessus car je suis un gourmand. Nouveau éclats de rire il y a déjà une grande complicité entre nous quatre. Ca, pour nous, c'est moche    :   

 à deux, Thierry et Sylvain connaissent ! Déjà, à trois c'est    mieux  :   

   mais à quatre ça devient le rêve ! : 

    de par les nouvelles facilités qui sont offertes  

    Et surtout être les témoins les uns de autres, surtout de ce qu'on ne peut pas voir quand on se fait enculer :

 : combien c'est beau, combien c'est dur, combien ça contente la vue et l'esprit    sans jamais se lasser

     RECONNAISSSANCE ET SOUMISSION DANS L'EGALITE

boire aux mêmes sources  mises en commun *****

déguster les mêmes spermes bouche à bouche