Au milieu des arbres,
une bonne baise en extérieur; de bons et solides coups de reins, des couilles qui
tapent sur tes fesses..tu t'éclates et retrouves ou cherches à retrouver les sensations paradisiaques de ton dépucelage réussi...
Jeune homme, tu sais forcément que de même que ta bouche conserve , au moins quelques minutes et certaines fois pour toujours, un goût précis (un mets, un fruit, etc... ton anus conserve la sensation inoubliable d'une pénétration marquante. C'est cette sensation que tu vas ressentir et regretter, à partir de ce jour-là les jours de manque. Je ne me suis jamais drogué, mais le manque de bite dans le cul me
semble fonctionner pareil qu'une drogue!) Si, après avoir été dépucelé auparavant, tu te fais de nouveau prendre et que ce plaisir dépasse le précédent, alors tu as eu ton 2EME
dépucelage, Ma foi, c'est comme ça que le le ressens, le définis et l'ai conçu pour mon cas personnel. Au fond, en a-t-on jamais fini avec ses propres découvertes ? Jeune qui nous
lis ici, ne te prive pas de parcourir ta vie. Fais de ce que tu n'as pas encore connu le thème de recherche de ce qui pourrait devenir des regrets ! claudio
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A la fin des années lycée, il y avait chez moi une tentation que, je crois je ne
m'étais jamais avouée. Je n'avais rien contre les filles et je pensais bien qu'un jour je me marierais et aurais des enfants, il n’y avait aucun doute. Mais je me sentais excité par la simple idée d’avoir une relation avec un homme. Non pas des sentiments, mais une expérience sexuelle avec un inconnu. Je
n'imaginais rien d'autre qu'une relation anale. Je m'étais déjà inséré des doigts dans l’anus et trouvais la sensation agréable. Je pensais qu’être pénétré par une verge pourrait me
provoquer un plaisir encore plus grand même si je n’en étais pas sûr. Dans ce petit village de la Creuse, difficile de satisfaire ce fantasme sans m’exposer. La crainte que les amis le
sachent et en rigolent, que les parents l’apprennent, j'en aurais été mort de honte. Difficile d’exprimer à mon âge des fantasmes comme celui-ci sous peine d'être traité de
« pédé »à tous les niveaux. Cette crainte donnait à mes fantasmes un piment encore plus irrésistible quand, dans la chaleur de mon lit, je fantasmais à l’idée de m’offrir à un
homme bien plus âgé que moi qui profiterait de mon cul, sans lendemain, sans sentiments, juste pour l'expérience.
Pourquoi des hommes mûrs ? Ce fantasme, s’il me tourmentait de plus en plus souvent depuis quelques mois, n’était pas pour moi une fierté.
Le fait d’avoir une relation sexuelle avec un homme produisait en moi un mélange d’excitation et de honte. Dans l'éducation que je recevais, il n'était pas admis qu’une personne puisse
avoir des relations avec une personne du même sexe. Comment imaginais-je cela, et avec un homme plus âgé, pourquoi ? Je crois que l'écart de génération me rassurait davantage que d’être
avec un jeune de mon âge. La distance de l’âge aurait été pour moi comme une distance avec cette expérience ne considérant que mes propres risques et ne pensant pas à ceux que je pouvais faire
courir à un éventuel partenaire.... A cet égard, je n'étais pas totalement "nunuche" grâce à internet j'avais un appui écrit et des images d'un tel genre "d'accouplement". Je
franchissais les interdits des sites pour adultes en mentant sur mon âge. Là je pouvais voir que beaucoup d’hommes mariés cherchent des expériences avec d’autres hommes, et souvent des plus
jeunes. Les choses devenaient plus abordables et je m'imaginais moi aussi le sujet du fantasme de certains hommes. Et puis un homme plus âgé aurait aussi plus d’expérience pour que
ce moment soit meilleur. Dans ma tête j'avais aussi le désir de me sentir niqué, mais aussi et surtout gâté, protégé.
Les femmes mûres étaient pour moi une autre grande source de fantasmes, je m'imaginais qu’elles aiment les jeunes inexpérimentés comme moi pour leur
enseigner les choses du sexe, comme une relation de maîtresse à élève.
Interdisez à un jeune de lire un livre, il fera tout pour l'ouvrir en cachette ! Tous ces fantasmes m’accompagnaient souvent le soir avant de
m’endormir. La frustration de ne pouvoir utiliser la connexion familiale à internet pour assouvir la vision de scènes homosexuelles m’incitait encore plus à chercher à passer au"vrai réel".
J'aurais aimé voir des films gays, juste pour être sûr que ça pourrait me plaire, mais c’était difficilement possible. Comme pour aborder les filles, le poids de la timidité, de
l’éducation et du manque d’expérience bridait ce sexe qui bandait plusieurs fois par jour en attendant de pouvoir donner ou recevoir du plaisir, laissant des traces blanchâtres sur les caleçons.
La peur de passer à l’acte nourrissait le fantasme, le fantasme nourrissait le désir.
Je savais qu’à quelque distance du village, en bordure de l'autoroute se trouvait un bois connu pour être un lieu de
rencontres homosexuelles, le bois de Bourre. On en plaisantait dans les bistrots. Celui qui était soupçonné d’avoir ce genre de goûts tombait sous l’expression « d’aller de temps en temps au
bois de Bourre. ». Benjamin se disait que ce lieu pourrait être envisageable. Il n’y avait pas dans la région de lieux de rencontres homos comme des bars ou des discothèques et même si
c’était le cas, il ne pouvait s’imaginer pousser la porte seul si de tels établissements. Pendant plusieurs semaines, cette idée d’aller dans ce bois trottait dans sa tête. Le pour et le contre
se mélangeaient dans son esprit : l’excitation de la rencontre avec un inconnu, y aller seul, sentir une sexe le pénétrer, la peur des maladies, le goût d’un sexe, le plaisir, la peur que
ses proches l’apprennent, être agressé, avoir un orgasme, la honte d’une sexualité différente, toucher un sexe dur, la douleur de la pénétration, le sperme, mettre un préservatif, la gendarmerie
qui viendrait faire une descente, le doute sur sa sexualité…
Un samedi après-midi, je me suis décidé à y aller. Ce fantasme m'obsédait et je voulais le satisfaire pour calmer ces films qui se déroulaient
dans ma tête. Je me disais bien que j'étais un peu dérangé de faire des choses comme ça mais durant le trajet à vélo, mon cœur battait fort, ma queue grossissait dans mon pantalon en
même temps que ma bouche devenait sèche. Arrivé à l’endroit je décidai de planquer le vélo un peu plus loin dans un fourré pour éviter de me faire trop voir et m'engageai mal
assuré sur le petit chemin forestier bien connu des amateurs de plaisirs discrets et furtifs. Le chemin que je faisais à pied pour atteindre la clairière m'avait rendu la bouche
complétement sèche à cause de l’excitation. On était en novembre, il faisait froid et le ciel au-dessus des arbres était lugubre. Je pensais qu’avec ce temps, il n’y aurait personne. Ça
n’aurait pas été décevant pour moi, le simple fait d’être présent ici était déjà une victoire de ma volonté sur mes peurs. Mais ma queue était loin de bander maintenant, sous le coup d’une légère
angoisse qui m’envahissait à mesure que je me rapprochaist du "jardin ds délices ". Les feuilles tombées donnaient plus de visibilité au regard dans cette forêt. Une Opel Corsa grise était
garée mais on ne devinait personne.
Soudain des pas se firent entendre faisant craquer les branches mortes et soulevant quelques feuilles mortes. Je
croisai son regard pendant une seconde et l’expression de cet homme ne laissait aucun doute sur ce qu’il cherchait ici. Il m’avait regardé avec insistance, le visage fermé et concentré de celui
qui veut et attend quelque chose. Je continuai lentement ma route, sans m’arrêter, le cœur battant la chamade, paralysé par la peur d’être si près d’un homme qui pourrait répondre à mon fantasme.
L’homme semblait avoir arrêté de marcher, je n’entendais plus ses pas derrière moi. M’arrêtant à mon tour, je vis l’homme à une vingtaine de mètres qui n’osait plus continuer, sans doute
pensait-il qu'un jeune homme comme moi n'était visiblement pas là dans cette forêt pour ce qu’on y fait habituellement. Je fis alors demi-tour. Passer devant lui en faisant mine de s’être
trompé de chemin pourrait peut-être provoquer un dialogue, l’excitation me faisait bander, mais mou. Ce n’est qu’en me rapprochant que je vis que ce cinquantenaire avait son sexe sorti de sa
braguette . Un gros ver blanc que l’homme touchait de sa main sans s’arrêter de me regarder. L’homme mei demanda simplement :
— Tu la veux ? en me montrant du regard sa queue et je répondis « oui » par un hochement de tête, la gorge trop serrée pour
émettre un son .
— Alors suis-moi, je connais un endroit tranquille dans la forêt. Tu viens souvent ici ?
— Non, c’est la première fois.
— Tu as quel âge, tu me parais jeune pour fréquenter un lieu pareil…
— Je vais avoir 19 ans en mars, mentis-je. En fait je cherche juste du plaisir .
— Et quoi exactement ?
— J’aimerais bien sucer mais je sais pas si je voudrais aller plus loin…
— Comme tu te sentiras, Ok, on verra bien . Tu es mignon toi, tiens, on est presque arrivés, c’est là, à gauche vers le talus.
L’homme n’avait rien de bien séduisant à vrai dire. Il était plutôt pas grand, les cheveux bruns dégarnis et un embonpoint qu’on devinait sous son
blouson bleu sombre. Il parlait avec le souffle court de celui qui est excité par le plaisir à venir, visiblement habitué à ce genre de rencontres. Il avait un air cochon, vicieux qui n’était pas
pour me déplaire car je recherchais du sexe, pas "l'amour". Seul le plaisir et la découverte sexuelle avaient de l’importance.
— Allez, à genoux, suce-moi un peu, fais-moi bander !
A genoux devant cet homme que je ne ne connaissais pas je commençai à sucer le sexe pas encore raidi
de mon amant du bois de Bourre. C’était chaud et la peau du prépuce était douce et soyeuse quand je la pinçais avec mes lèvres. Il sentait l' eau de toilette bon marché et dans cette
situation, elle avait une bonne odeur de propre: celle de l'homme à qui je suçais le sexe. Solennité svp ! C’était le parfum déjà inoubliable d’un moment "volé" en
forêt.
— Il fait froid, hein ! Mais continue à sucer, ça va venir…
Lentement, je sentais que la queue prenait de plus en plus de place dans ma bouche et en voulant le branler, je voyais pour la première
fois sous mon nez un sexe bandé. C’était chaud, ma main glissait le long du membre avec plaisir et je regardais ce gland lisse et brillant, bien plus gros que le mien. Je regardais tout
de même autour de moi si personne ne venait. Mais tout était calme. Suçant de nouveau, je caressais avec plaisir ses bourses remontées sous l’effet du froid sous le pénis de cet inconnu. Sa
main était posée sur ma tête et cherchait à donner du rythme à mes allers-retours. Je goûtais avec plaisir l’impression d’être une sorte de jouet sexuel, de sentir l’odeur d’un sexe. De la salive
coulait de ma bouche à mesure que la pression de cette main sur ma tête s’accentuait. L’homme soudain s’arrêta, sortit la queue gluante de ma bouche il me demanda de baisser mon pantalon "pour me
caresser un peu le cul".
J'ai remonté mon blouson pour défaire mon pantalon, baisser mon caleçon et laisser voir ma queue. Trop ému de la situation et
peut-être sous l’effet du froid, je ne bandais pas mais ça ne m'empêchait pas d'être excité un max. L’homme caressait son sexe d’une main et de l’autre me caressait l’entrejambe en cherchant
à approcher ses doigts de mon anus. Je me retournai alors et, sans seulement réfléchir je me penchai en avant en plaçant mes mains contre un arbre. Je me sentais prêt. Mon initiateur se
prépara, sortit un préservatif qu’il plaça sur son gland en le déroulant avec la rapidité que donne l’habitude. Il mouilla le bout de ses doigts pour humidifier mon trou et le bout de
latex. Sans chercher à me pénétrer avec ses doigts au préalable, il plaça son sexe à l’entrée de l’anus et me demanda de plier tout doucement les jambes en basculant le bassin pour faire entrer
en douceur sa bite. Après la troisième tentative, je sentis que mon trou s’était élargi et que la queue pénétrait mon intimité, s'y frayant un passage.
Je n’avais pas mal contrairement à ce que j' avais pu lire lire et voir sur internet sur la sodomie. Une douce chaleur
envahissait mon bas-ventre, la sensation du sexe dans mon anus me procurait un vif plaisir en me coupant toute possibilité d’avoir une érection malgré les caresses de l’homme qui du
bout des doigts caressait mon sexe circoncis. Je sentais sa respiration bruyante de l'homme qui faisait maintenant de petits allers-retours en me demandant -" ça va ? ça va ?". Il
laissa tomber de la salive sur son sexe pour lubrifier encore un peu et accéléra la cadence. Penché en avant, serrant de mes mains le petit arbre qui me servait d’appui, le blouson
remonté au niveau du nombril, je me revois goûtant à ma première sodomie, à la bouche une envie de crier ma joie, avec le délice d’avoir eu le courage d’aller jusqu’au bout de
l’expérience.
Les mains calleuses de l’homme sur les hanches (il devait avoir un métier manuel pour avoir des mains aussi râpeuses)me procuraient une agréable et
inouliable sensation, bien sûr je me sentais soumis, dominé par la lubricité d’un gars vicieux trop content d’en profiter sur un jeune qui avait l’air de goûter au cul pour la
première fois, je n'étais pas mécontent moi non plus. Très content même ! . Je découvrais aussi par la même occasion, que mon corps pouvait donner du plaisir à un autre, que je
pouvais soulager l’excitation d’un homme en écartant tout simplement mes fesses pour laisser entrer sa queue. Je me sentais un peu salope mais j'aimais ça. Il n’y avait pas de recherche des deux
côtés autre que celle du plaisir et on était bien contents. On était venus dans ce bois pour du cul,moi avec ma curiosité et mon émotion, lui avec son habitude.
L’homme ne tarda pas à jouir, je sentais ses mouvements désordonnés et ses râles en même temps que sa queue s’enfonçait jusqu’à la garde. Il resta
quelques instants puis se retira.
En me retournant, je vis (avec plaisir) le préservatif rempli de sperme qui pendait au bout de la queue. L’homme l’enleva, fit un nœud et le jeta
plus loin. Tout en essuyant sa queue et la mienne avec des kleenex puis il me dit- "attends, laisse-moi faire" et il me nettoya mon anus dilaté comme on fait à celui d'un bébé, il me
demanda : - "alors, maintenant, t'as aimé ?" J je
trouvai ce geste follement doux et affectueux, totalement déshinibé !
Je sentais bien une gêne et une petite douleur dans mon anus mais ce n’était pas désagréable. Je répondis d’un
« oui » aussi bref et timide que le « oui » qui avait débuté l’échange avec cet homme qui semblait ne plus faire trop de cas de moi maintenant qu’il avait joui. Il me demanda
simplement si j' avais besoin d’être ramené quelque part. Je lui dis merci, non . Je coupe à pied par les champs. Il me dit alors qu’il venait souvent les samedis ici et que
si je voyais sa voiture, il pourrait me donner de nouveau « des coups de sa pine ». Sans trop savoir pourquoi,je lui demandai s’il était marié. L’homme eut une mine de dégoût
avant de me dire que non. On n’avait plus rien à se dire.
Je rentrai content de moi et de mon secret d'avoir été dépucelé comme je voulais. Et puis, il avait été tendre et protecteur comme je le voulais.
C'est quand il m'a torché l'anus que j'ai ressenti cette proximité un peu paternelle..
Durant le trajet du retour, alors que la selle massait mon anus dilaté, prolongeant mon plaisir, le terme résonnait dans ma
tête.Encore ému de ce j' avais réussi à faire, ne pensant pas au départ que j'en aurais été capable. Il m'avait donné du plaisir avec ses « coups de pine » qui me
faisaient sourire, et moi j'avais donné du plaisir à un homme et même si moi je n'avais éjaculé, la vision de ce préservatif contenant la semence avait été pour moi une source de plaisir.
J'avais eu du plaisir à donner du plaisir. J'espérais simplement ne pas croiser cet homme quand je serais avec ma famille ou mes amis. J'avais peur d'avoir du mal à cacher mon
trouble face à cet homme qui m'avait dominé pour mon plus grand plaisir. Je rentrai chez mes parents avec la sensation agréable de mon cul dilaté. Avec le temps, je me rends compte que cette
rencontre a déterminé une bonne partie du reste de ma vie. Comment le regretterais-je ?
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commentaire :
Françoise Hardy en 1968 , bien qu'ayant un mari disposant
d'un'joujou extra', savait bien de quoi la recherche
d'aventure "sentimentale" est faite en chantant :
Étonnez-moi, Benoît
Faites la grande roue
Le gros méchant loup, Benoît
Faites le grand fou
Faites les yeux doux
Étonnez-moi
Étonnez-moi
Car de vous à moi
Cela ne peut pas, cela ne peut pas
Durer comme ça
Nous, avec notre bouche et notre fondement, nous savons nous étonner nous-même.
je vais m'en faire vouloir par la bienpensance cavaillonnaise pour incitation de
majeurs à la débauche ! bonne baise! éclatez-vous la jeunesse, sans arrière-pensées ! claudio
Il
faudrait montrer ça à tous ces gens qui pensent que le pédé est obligatoirement un mec effeminé, un sous-homme quoi ! ICI c'est un mec viril, un mâle-mâle, qui se fait mettre et il aime ça
! une prochaine fois essaie le bbk tu verras comme c'est doux, avant, pendant, après ! Enfin, moi je trouve !
il me demanda : - "alors, maintenant, t'as aimé ?"
BANDER PENDANT LA SODO n'st pas donné à tout le monde
Ben c'est variable et ça dépend des passifs. ICI :
"La sensation du sexe dans mon anus m'avait procuré un vif plaisir en me coupant de toute possibilité d’avoir une érection malgré les
caresses de l’homme qui du bout des doigts" caressait mon sexe circoncis"
Je vous chante Ô nuit enchanteresse la romance de Nadir dans les pêcheurs de perles de Georges Bizet ?
"Je crois entendre encore,
Caché sous les palmiers,
Sa voix tendre et sonore
Comme un chant de ramier
Ô nuit enchanteresse !
Divin ravissement !
Ô souvenir charmant !
Folle ivresse ! Doux rêve !"
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