Partager l'article ! Cavaillongay n'est pas en faveur du viol, ce serait horrible...Mais, lui,...un cambrioleur a changé sa vie en le violant: c'est vrai que quand o ...
c'est vrai que quand on est baisé on ne sait plus où on est ... et qu'est-ce que le cambrioleur a emporté ? ...mon pucelage !
LA PEUR DE LA GROSSE BITE ! ET ELLE EST ENTREE QUAND MEME
tout de suite je lui ai dit de partir il est non seulement resté mais a commencé à affirmer que je voulais "être baisé"
ARRACHER UN OUI DE CONSENTEMENT C'EST LE BUT DE TOUTES SES QUESTIONS qui, malicieusement comportent toutes des choix genre : -"tu préfères être mort ou baisé?"Et il rigole le monstre !
-"tu préfèrerais un gros bout ou une bite fine au bout comme la mienne ?" Taillée comme elle est elle entre facilement et elle ne fait pas mal...
et il ajoute : -"Tu vas voir ET J'TE DIS PAS LE PLAISIR! " Le salaud !
ET C'EST GAGNE : meme avec un petit oui plein d'angoisse
à sa prochaine visite notre délicieux malfrat trouvera
un cul bien ouvert et consentant !
et, quelques fois plus tard...c'est moi qui l'ai l'appelé...
NON MAIS QUEL CULOT ! Rien que ça suffirait à me séduire : il m'a dit que je suis un super coup :
Quand il vient, il se pose en "ami de toujours", me prend par la main et me conduit à ma chambre pour battifoler dans mes quartiers de noblesse. De victime je suis devenu son pote de baise. Comment dire ? je n'éprouve pas la moindre horreur pour mon violeur
Allez, désape-toi ! Dépêche !!!
...Il hante mes nuits...
Dis, quand reviendras-tu ? Je suis sa proie, hypnotisé comme par un serpent délicieux.
Oui il me fascine et vous,
vous ne pourriez comprendre que si vous aviez cette barre au ventre quand votre amant paraît. C'est moi qui lui dis : -"Viens, viens au lit "quand il ne se presse pas assez
-"Ouiiiiiichhhh, maintenant !!! "
C'est une grande question ! et il risque de ne pas y répondre.
-" J' TE PLAIS ? "
bien sûr il ne répond pas et je lui dis : -" Quand tu veux,Jo !"
NOTES & RECUEIL DE TEMOIGNAGE :
Parmi toutes les violences subies en milieu carcéral, le viol est sans doute le plus tabou. Avec des conséquences parfois irréversibles sur la sexualité des victimes. Paul, ex-détenu, témoigne.
« Dans ma vie, j’ai subi plusieurs viols. Le premier quand j’étais enfant. Les autres, c’était en prison. Dans un premier établissement, j’ai subi deux fois des attouchements sexuels. Dans un autre, j’ai été violé avec actes de torture et de barbarie. Je ne me souviens pas de tout. Ça s’est passé dans les douches, on m’avait mis un sac sur la tête. J’ai seulement des flashs. Quand j’ai dit à l’AP [administration pénitentiaire] ce qui m’était arrivé, on m’a enfermé dans ma cellule avec des cachets. Je me suis ouvert les veines plus d’une fois. J’ai demandé à être mis dans une aile spéciale. Je ne demandais pas un aménagement de peine. Je voulais juste être placé dans un centre adapté, loin des détenus qui m’avaient fait ça. L’AP a fini par m’envoyer en psychiatrie. J’ai fait plusieurs séjours. Je ne sais pas si réellement ça m’a servi, parce que ça m’a encore plus endurci.
Si je suis en vie aujourd’hui, c’est grâce aux personnes qui m’ont défendu dans la détention, et non à l’administration. C’est ironique : ce sont les personnes que la société juge les plus dangereuses qui m’ont aidé. Ces détenus m’ont appris à surmonter. Quand ils ont appris ce qui m’était arrivé, ils sont venus vers moi en me disant : “Ne t’inquiète pas, on ne te touchera plus, il ne faut pas être humain pour faire ce qu’on t’a fait.” Plus d’une fois ils m’ont relevé la tête en me disant “Pense à ton fils”. Je ne sais pas ce qu’ils ont fait pour ne plus qu’on me touche.
Aujourd’hui, j’ai un comportement assez agressif. Des fois, dans ma salle de bain, je revois certaines des personnes qui m’ont agressé. Je n’ai plus de sexualité épanouie, encore moins avec un homme. Depuis que je suis sorti, j’ai eu simplement une relation avec une copine. Cette histoire n’est pas allée plus loin parce qu’il lui fallait quelqu’un de stable ; elle voyait bien que je ne l’étais pas. J’ai du mal à être avec une fille. Je fais un bisou mais ça ne va pas plus loin, je n’y arrive pas. Donc les seuls plaisirs que je peux avoir, c’est avec moi-même. Et encore, j’ai du mal aussi de ce côté-là. Je trouve ça tellement sale et écœurant… Je pète un plomb rien que quand on me touche. Ce que je vis au quotidien, c’est irrévocable. »
Recueilli par Anne Chereul
commentaire :
commentaire : c'est vrai qu'avec un pareil euh ..."talent" comment se refuser un petit énorme plaisir ?
- un petit oui ? -"tu veux que j'arrête ? " - "oui" .....et c'est ça le consentement ?
....simple comme un coup de fil, (hihi !)
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