CULTURE GAY & SOCIETES

Lundi 29 février 1 29 /02 /Fév 19:28

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  comme ça !  

 

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arabiandelights: Jeddah, Saudi Arabia
DU TEMPS DE LA PAIX
arabiandelights: Jeddah, Saudi Arabia
arabiandelights: Abu Dhabi, U.A.E.
Saudi guy… 
      DEJA PRIS COMME VOUS VOYEZ
                                                      
                                                                        
                                         
                                                           
                                                           
                                                           

 

 

 

 

 

 

 

Par INCH ALLAH - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 29 février 1 29 /02 /Fév 07:56

nous on le croit sans peine... 

QUI DIT LE CONTRAIRE  ?

 

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Harry Styles : "Bisexuel, moi ? Je suis pratiquement sûr que non..."

 

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Le Parisien et Closer

Harry Styles en interview

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Harry Styles tord le cou aux rumeurs ! En couple avec l'animateur Nick Grimshaw selon certains médias, le chanteur des One Direction affirme au cours d'une interview à GQ qu'il "ne pense pas" être bisexuel.

hARRY sTYLES est le membre des ONE DIRECTION le plus médiatisé. Connu pour ses nombreuses conquêtes féminines, comme la présentatrice Caroline Flack ou la chanteuse taylor Swift, le chanteur a également été lié dans la presse à des hommes dont l'animateur britannique Nick Grimshaw.

Les deux stars, qui auraient pour habitude de s'échanger leurs vêtements, ont été aperçus ensemble à de nombreuses reprises. Des rumeurs qui font beaucoup rire Harry Styles, visiblement certain de son penchant pour les femmes. "Nous ne sommes pas en couple, non. Nous sommes juste amis", a révélé le chanteur britannique de 19 ans dans la dernière édition du magazine britannique GQ. "Bisexuel ? Moi ? Je ne pense pas. Je suis pratiquement sûr que non... Certaines rumeurs sont vraiment drôles. D'autres sont ridicules. Et parfois elles sont même agaçantes", confie Harry Styles, qui ajoute cependant "ne pas être comme ces personnes qui se plaignent constamment des rumeurs". "Le seul moment où les rumeurs peuvent m'énerver, c'est lorsque je suis en couple et que je suis vraiment bien avec la personne. Les choses écrites dans les médias peuvent les affecter et changer la vision qu'elles ont de moi. C'est à ce moment précis que cela devient ennuyeux", indique Harry Styles.

Un autre membre des One Direction,  Louis Tomlinson est sujet à de constantes rumeurs sur sa sexualité. Le boys-band The Wanted accusait récemment le jeune garçon de cacher sa préférence pour les hommes. En couple avec une étudiante britannique depuis 2 ans le chanteur continue d'affirmer son goût pour le sexe opposé. "Les filles qui veulent coucher avec vous en un clin d'oeil ne sont pas les filles que je veux ramener chez moi", révèle-t-il au cours de l'interview accordée à GQ.

Niaill Horan  a, quant à lui, confié n'avoir que très rarement le temps d'être en couple, à son plus grand désespoir. "Nous repartons sur les routes dès la fin d'un concert, nous quittons la ville directement. Nous aimerions avoir un peu plus de temps pour voir des filles et sortir nous amuser mais nous n'en avons pas", regrette-t-il.

Avec Cover Media

 

 

 

 

Par CHOUPINOU STYLE - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 08:48

j'ai été à la drague derrière le stade...ATTENTION "y a des vieux !"   

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  NDLR  [ Jé est censé être hétéro...il était puceau....

Alex, le grand frére est limite, là, il trouve qu'un partenaire de 40 ans c'est vieux !    en fait, si son coeur n'était pas pris, malgré ses critiques et vu la description que Jé en fait,  il "se le ferait bien" Jeremy...Nous les homos, et bi... il est bien rare-sur les dragues surtout- qu'il y ait des vénaux. C'est gratos et ça apporte un accès facile...de là à dire que devenir homo c'est plus facile en pensant qu'avec les "nanas c'est + compliqué "Jé a finalement trouvé facilement un partenaire..honnête...ça fait partie de "l'offre' homo des dragues -lol- ]

 

 

http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/alex-recit-sujet_18786_9.htm

 

 


Jérôme : Non, en fait hier, j’étais pas chez Tristan...

Alex : T’es allé aux putes ?

Jérôme : Non. J’ai été au stade...

Alex : Mais t’es trop con toi, tu sais qu’il y a des mecs qui peuvent te violer là-bas, t’es complètement fou !!

Jérôme : Bof, il y avait des vieux, oui, mais aussi des mecs moins âgés, et c’est un gars de presque dix-huit ans qui m’a sucé, et en plus, j’ai vraiment aimé. J’avais trop envie de savoir ce que ça fait.

Alex : Bon OK, j’espère que tu recommenceras pas.

Jérôme : Non, j’ai essayé, c’est bon, je sais ce que ça fait, j’ai aimé, mais en même temps, les mecs, je ne suis pas trop attiré.

Alex : Oui, eh bien pourtant tu bandes dur, là !

Jérôme : C’est de repenser à ma bite dans sa bouche, bon, va faire le déjeuner, je dois me branler !

Alex : Tu ne manques pas d’air toi !

Jérôme : Oui ! Va esclave.

Alex : Tu veux pas que je te branle non plus ?

Jérôme : Si tu y tiens !

Je lui fais un doigt, quitte la douche alors que Jérôme bande comme un âne, et moi un peu je dois bien l’avouer. Je file dans ma chambre avec ma serviette, je me sèche, m’habille, je descends et fais notre petit-déjeuner.
      [ ALEX GERONTOPHOBE ? Jé est censé être hétéro...il était puceau...se faire sucer par un mec de soixante balais, berk....]
Je lui ai promis de ne rien dire, mais il m’emmerde mon petit frère, il est con quand même. Hier, en faisant ça, il a pris un risque, un sérieux, car un garçon de son âge qui va dans un lieu de rencontre gay, j’imagine qu’il a dû attirer les regards, et il a eu beaucoup de chance d’être tombé sur un mec de dix-huit ans. Il aurait très bien pu se faire sucer par un mec de soixante balais, berk, en même temps, il ne l’aurait sûrement pas fait non plus, enfin, je le pense. J’en suis là de mes pensées et j’ai préparé nos petits-déjeuners quand il arrive.

Alex : Jérôme, si tu étais tombé sur un gars plus vieux, est-ce que tu te serais fait sucer la bite ?

Jérôme : Non, je m’étais dit en y allant que je n’irais pas au-delà de vingt ans, et c’est ce qui s’est passé avec Jérémy.

Alex : Parce que tu connais même son prénom ?

Jérôme : Oui, nous avons parlé un peu avant qu’il ne me taille cette pipe. J’y suis allé, je n’étais pas vraiment à l’aise quand même, je me suis même demandé si je n'allais pas faire demi-tour, et c’est ce que j’ai fait, il n’y avait que des mecs d’au moins quarante ans, et ce n’est pas ce que je voulais, je te l’ai dit. En prenant le chemin inverse pour retourner vers la route, je l’ai croisé. Il m’a regardé et m’a parlé. Je l’ai vu, il est pas mal, même si je préfère les filles, il est beau, c’est vrai.

Alex : Et il a fait comment pour t’aborder ?

Jérôme : Je te raconte, mais promis, tu ne me fais pas la morale, et tu n’en parles à personne.

Alex : Promis frangin.

Jérôme me raconte alors cette rencontre au présent, pour que je m’imprègne bien de ce qu’il a vécu.

 

 

Jérôme : « Après être allé au stade j’ai été plutôt déçu et plus sûr de moi du tout, du coup, je fais demi-tour, je suis sur le chemin pour rentrer en me disant que mon idée n’est pas si bonne que ça, car effectivement les gars ici ne sont pas vraiment des jeunes, mais plus des mecs d’un certain âge, les plus jeunes ont bien trente ans, "les plus vieux, je n’ose même pas imaginer". Je décide donc de rentrer et prends le chemin du retour pour aller chez Tristan. Je regarde devant moi et je vois un garçon arriver face à moi, il n’est pas vilain, un mètre quatre-vingt à peu près, et beaucoup plus jeune que les autres mecs présents, autour de dix-huit, mais sûrement pas plus. Nous allons nous croiser, il me regarde, s’arrête à ma hauteur et m’adresse la parole.

Jérémy : Salut mec, c’est la première fois que je te vois ici, tu cherches quelque chose ? Ou quelqu’un ?
Jérôme : Salut. Bof, j’en sais rien. Je suis venu voir, mais je crois que je ne pourrai pas faire quoi que ce soit avec un mec de quarante berges ou plus.
Jérémy : OK, et tu cherches quoi exactement ?
Jérôme : J’avais envie de me faire tailler une pipe, je suis encore puceau, et j’en crève d'envie, mais je ne pense pas que ce soit le bon endroit, ni les bonnes personnes. En plus, je ne suis même pas homo, mais bon, je voulais juste me faire sucer la tige.
Jérémy : Non, c’est vrai, ici, c’est un peu glauque effectivement, les gars sont là uniquement pour le sexe, rien d’autre, et les jeunes sont très rares.
Jérôme : Tu y viens bien, toi, donc tu ne cherches que du sexe aussi, non ?
Jérémy : Oui et non, c’est vrai que j’aime le sexe, mais je me dis aussi souvent que là, je risque de trouver un jour un gars avec qui nous pourrions partager un peu plus qu’un moment de cul, j’espère encore, alors je viens de temps en temps, puis bon, si je ne trouve personne, au moins, je me vide les couilles, c’est déjà pas si mal.
Jérôme : Je ne peux pas te dire le contraire puisque je venais pour ça. Mais je vais repartir bredouille, et je ne pense pas revenir ici, ce n’est pas pour moi.
Jérémy : Ça c’est une évidence. Tu es trop jeune, et puis tu sais, les flics viennent aussi de temps à autre et si tu te fais gauler, ils t’embarquent et appelleront tes vieux pour venir te chercher au poste, et là, je ne suis pas sûr que tu sois très fier devant eux quand les poulets diront, devant toi, où ils t’ont chopé. Je connais, ça m’est arrivé, comme coming-out, c’est pas franchement ce que je souhaitais, mes vieux n’ont pas été emballés non plus... Au fait, tu t’appelles comment ?
Jérôme : Jérôme, et toi ?
Jérémy : Jérémy. Tu as quel âge Jérôme ?
Jérôme : Quinze ans, bientôt seize, et toi ?
Jérémy : Dix-huit ans dans deux mois. Tu sais, tu es mignon, et puisque tu me dis que tu es hétéro, je pense que tu trouveras une fille qui voudra bien te dépuceler. Je ne peux que te conseiller de ne pas revenir, mais puisque tu es là, tu as l’air sympa, tu es super mignon, alors est-ce que tu veux que cette pipe, je te la taille ? Je suis venu pour ça à la base, et t’es pas mal, puis ça me changera des vieux qui me sucent la nouille en se tripotant, trop contents d’avoir une jeune tige en bouche ou dans le cul.
Jérôme : Euh, j’en sais trop rien. T’as envie de me sucer la bite ?
Jérémy : Je le ferais bien, oui, moi je suis gay, et je n’ai encore jamais sucé un garçon comme toi, un beau mec hétéro, c’est rare d’en voir ici. J’ai déjà sucé des hommes, mais rarement des gars de mon âge ou un peu moins. Alors tu veux ou pas ? Tu choisis. Oui, on va dans un coin tranquille et je te suce. Non, on se quitte là, je vais retrouver les mecs et essayer d’attendre celui qui me fera vibrer le cœur, ou au pire, je me ferai sucer, moi.
Jérôme : Tu as l’air plutôt d’un mec qui aime se faire sucer que le contraire, non ?
Jérémy : Bof, j’aime tout. Je suis gay et j’aime le sexe entre hommes. J’aime me faire branler ou sucer, et même plus, mais je branle, je suce aussi quand je trouve le mec mignon, et c’est ton cas.
Jérôme : OK, bon, et pour me faire sucer, on va où ?
Jérémy : Suis-moi.

Là, Jérémy m’entraîne à l’écart du stade, dans le bois qui est derrière, il avance sous les arbres puis lorsque nous sommes arrivés dans un endroit qu’il connaît visiblement, il se retourne face à moi et me dit : « ici on sera tranquille », il s’agenouille devant moi, il défait ma ceinture tout en me regardant dans les yeux. Ensuite il déboutonne mon jean, me le baisse toujours en me regardant. Je me retrouve le pantalon aux chevilles. Il me demande « je peux continuer ? », je lui dis oui.

Il passe alors ses doigts sous l’élastique de mon caleçon et tout doucement le tire vers le bas, libérant ma tige devant lui. Il ne me regarde plus, mais regarde ma queue, je ne bande pratiquement pas. Il me touche la bite, les couilles, me branle un peu en me caressant. Je commence à vraiment bander, j’aime ce qu’il me fait, même si c’est un mec, il me donne une superbe érection.

Il commence alors à lécher mes couilles, remonte sur ma queue, ouvre la bouche et entre mon gland encore dissimulé dans cette dernière. Il entre ma tige de plus en plus dans sa bouche, il me branle entre ses lèvres, je décalotte sous ses caresses buccales. Il passe sa langue autour de mon gland, insistant sur mon frein, puis il me branle encore avec sa bouche. En même temps qu’il me bouffe la bite, il me caresse les couilles. Moi je sens mon plaisir monter le long de ma tige. Je pense qu’elle n’a jamais été aussi longue. Je pose mes mains sur sa tête afin de ralentir un peu le mouvement, j’aime trop cette pipe et je voudrais qu’elle dure le plus longtemps possible avant que je ne lâche la purée.

Il continue alors, mais en laissant un peu ma queue, il repasse sur mes couilles en me léchant dessous, presque jusqu’à mon trou, j’adore et je veux me branler, il m’en empêche. Il entre de nouveau ma queue dans sa bouche, il me lèche, me suce. Mes mains accompagnent le mouvement de sa tête, mes doigts dans ses cheveux, je le caresse un peu, je suis super bien. Je n’en peux plus alors je le préviens que je vais juter, il ne lâche pas ma bite, il me suce encore plus vite tout en me serrant un peu plus les couilles. Je ne me retiens plus, je crache entre ses lèvres, je balance au moins cinq jets de sperme et lui continue ses mouvements avec ses lèvres. Quand je ne jouis plus, il retire ma bite de sa bouche, il crache par terre le foutre que je lui ai donné.

Il me regarde de nouveau, il se redresse, je vois qu’il bande dans son jean. Il me demande :

Jérémy : Ça t’a plu ?
Jérôme : Oui, c’est trop bon. Merci.
Jérémy : C’est moi qui dois te remercier, tu es bien foutu et j’ai pris du plaisir à te tailler cette pipe. Est-ce que je peux me branler devant toi ?

Je ne peux quand même pas le lui refuser, je vais pour remonter mes fringues, mais il me demande de le laisser regarder ma bite pendant qu’il se branle. Il baisse son jean et son caleçon. Il a une bite assez belle, un morceau pas mal du tout. Il bande, il attrape sa bite et se branle devant moi. Il est hyper excité et rapidement crache quatre jets de sperme qui vont se perdent dans l’herbe. Nous remontons alors tous les deux nos vêtements et prenons le chemin de la route. Quand on s’est quittés, il m’a donné son numéro de portable au cas où je voudrais le revoir,* mais bon, je ne pense pas. J’ai aimé, mais je ne veux pas être avec un gars, ce que je veux, c’est une fille. »

J’ai écouté mon frère. Je n’ai pas à le juger. Je souhaite qu’il ne retourne jamais là-bas, mais il fera ce qu’il voudra, puis là, il est tombé sur un garçon à peine plus vieux que lui, et visiblement gentil.

Alex : Et tu vas le rappeler un jour ou pas du tout ?
Jérôme : Je te l’ai dit, je ne pense pas, je n’ai pas envie d’être avec un garçon. C’est clair que la pipe qu’il m’a faite, je vais en rêver, mais bon, je pense que n’importe quelle fille me fera ça aussi bien, et moi, les mecs ne m’ont jamais fait fantasmer, ni rêver.
Alex : Oui mais il n’empêche que tu es allé voir des gays pour te faire sucer, quand même.
Jérôme : C’est vrai oui, j’en avais trop envie, surtout depuis que j’ai sucé Tristan. Notre séance hier m’a vraiment trop excité, et moi j’ai sucé mon meilleur pote, je voulais aussi me faire sucer. Tu ne racontes rien, Al, tu me l’as promis.
Alex : Oui Jé, je ne raconte rien, c’est juré, mais toi, ne retourne pas là-bas, si tu veux vraiment te faire sucer, tu as un numéro, et ce Jérémy, il a l’air pas si mal d’après ce que tu m’en as dit, alors ne fais plus cette connerie, je n’ai pas envie de retrouver mon petit frère dans la page des faits divers du journal.
Jérôme : Tu sais Alex, ne va pas croire que les mecs qui vont dans ces lieux ne sont que des psychopathes ou des mecs qui aiment les jeunes garçons. Je pense vraiment que ce sont juste des mecs seuls qui veulent passer un bon moment, et rien d’autre. J’ai vu des hommes qui me regardaient, mais aucun n’est venu m’agresser, un gars de quarante-cinq ou cinquante ans est venu vers moi et m’a demandé si j’avais envie qu’il me branle ou me suce, je lui ai dit non, il est parti sans rien chercher de plus.
Alex : Tu as certainement raison Jérôme, mais toi, tu n’es pas homo, alors n’y retourne pas s’il te plaît. Moi ça aurait été logique, mais pas toi.
Jérôme : OK, je demanderai à Tris de me sucer la bite la prochaine fois.
Alex : Oui, exactement.
Jérôme : Je ne pense pas qu’il soit d’accord, il est aussi hétéro que moi, et hormis notre jeu, je ne crois pas que nous le refassions un jour.
Alex : Ça, c’est vous deux que ça regarde, mais tu sais, je pense qu’en attendant de vous trouver une copine, vous pouvez vous amuser sans pour autant être homos. Jean et moi, on s’est branlés ensemble souvent, et pourtant, il n’est vraiment pas gay, t’as qu’à demander à Solange ce qu’il lui met.
Jérôme : On verra bien, mais c’est vrai que des branlettes, c’est pas dramatique non plus, il n’y a pas de mal à se faire du bien.
Alex : Exactement. Bon, tu sais que vu l’heure, il est temps qu’on se bouge et qu’on aille prendre notre bus, je pense que Gaby ne va pas nous attendre six mois.
Jérôme : C’est sûr, oui.

Je comprends mieux pourquoi mon frangin n’avait pas l’air dans son assiette hier quand il est rentré. Bien des questions devaient lui remplir la tête, et l’une d’elles était justement de savoir s’il devait m’en parler, comment je le prendrais. C’est vrai que je ne suis pas emballé, mais il n’est pas idiot, il sait se défendre avec le judo et le karaté, mais en même temps, on ne sait jamais ce qui peut se passer dans un tel endroit.

Je lui ai promis de ne pas lui faire la morale, alors je m’abstiens, mais merde, il est hétéro, et il va se faire sucer par un garçon, et au stade en plus. Décidément, là, je ne le comprends pas bien mon Jérôme.

Nous sommes sur le chemin et rejoints par Jean et Tristan. Nous nous faisons la bise, ce n’est pas notre habitude, mais maintenant, nous sommes encore plus proches qu’avant tous les quatre. Il ne faut pas oublier que deux ici présents ont sucé les deux autres, alors une bise, ce n’est pas grand chose, juste de l’amitié.

Tristan : Dis-moi Jérôme, pourquoi tu n’es pas venu chez moi hier soir ?
Jérôme : Je suis resté un peu en ville, je devais aller voir des boutiques, j’ai besoin d’une nouvelle paire de baskets.

Putain, mais quel baratineur mon frère ! Je me suis demandé ce qu’il allait répondre...

Tristan : OK, t’aurais pu me le dire, on y serait allés ensemble.

Pas sûr que tu aies aimé l'endroit où il était vraiment...

Jérôme : Ouais, mais on ira ensemble, je n’ai rien trouvé. Tu fais quoi demain ?
Tristan : Rien de spécial.
Jérôme : Alors on se retrouve après le repas, je vais te chercher et on ira en ville.
Tristan : OK.

Nous arrivons au bus, Gaby, l'ami chauffeur et sa clope sont là, nous lui disons bonjour et allons prendre nos places.

 

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*   Quand on s’est quitté, il m’a donné son numéro de portable au cas où je voudrais le revoir,*  ...héhé quid  de l'orientation sexuelle si déterminée du jeune Jé  ?

 

 

http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/alex-recit-sujet_18786_9.htm

Par ALLUcCARD doctissimo - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 24 février 3 24 /02 /Fév 00:49

 ils ont annoncé qu’elle avait été « exécutée 

  un tweet de  Karl Stoeckel 

Non ce n'est pas hors sujet : Homosexuels brûlés vifs en Irak par des islamistes (Vidéo de 2011).

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     déjà, en France , mourir comme à Charlie Hebdo ou au Bataclan ...

et là, la cruauté dépasse encore les bornes

est-ce qu'on parle assez de tout ça ?

        

      Elle s’appelait Ruqia et racontait son quotidien sous la botte des djihadistes

LE MONDE | 04.02.2016 à 06h47 • Mis à jour le 04.02.2016 à 08h48 | Par Alain Frachon

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image: http://s1.lemde.fr/image/2016/02/04/534x0/4858951_7_538a_ruqia-hassan-mohammed_f55f661976885e2475f7d870f476d183.jpg

Ruqia Hassan Mohammed. Ruqia Hassan Mohammed. Rakka is Being Slaughtered Silently

 

« Là, j’ai reçu des menaces de mort. Daech [acronyme arabe de l’organisation Etat islamique] va sans doute m’arrêter (…) et me décapiter. Mais je garderai ma dignité.

 Mieux vaut mourir que de vivre avec ces types dans l’humiliation. »

Elle s’appelait Ruqia Hassan Mohammed. La photo placée sur sa page Facebook montre une jeune femme élégamment maquillée.

 Elle porte un foulard noir sur un serre-tête doré, bracelets et bagues aux deux mains, tunique longue cintrée à la taille. Le visage

plein, pommettes hautes, sourire timide. Elle était syrienne et habitait Rakka, la capitale de l’Etat islamique (EI). Sur Facebook, elle

  racontait sa vie de rakkaouie sous la botte des djihadistes. Ils n’ont pas apprécié. Début janvier, ils ont annoncé qu’elle avait été « exécutée 

 ». Ruqia avait 30 ans.

Cette information a été rapportée en janvier en Europe. Quelques lignes, parfois un article, pour une mort de plus en Syrie. Pourquoi

chercher à en savoir davantage sur Ruqia ? Pour mettre une vie derrière cette photo, tenter de sortir de l’anonymat statistique ?

Peut-être. Un peu plus aussi. En fouillant la presse de ces deux dernières années – Le Monde, L’Obs en ligne, Le Figaro,

 Libération, les quotidiens britanniques The Guardian et The Independant –, on trouve quelques bribes de la vie de Ruqia. Et, mises

bout à bout (merci confrères), elles racontent une partie de la tragédie syrienne. Ruqia a lutté contre deux puissantes machines de mort :

le régime de Bachar Al-Assad et l’Etat islamique. C’est...   on imagine !


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/02/04/elle-s-appelait-ruqia_4858952_3232.html#yE00BLusBsY6B2yl.99

 

 

Par RUQIA - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 23 février 2 23 /02 /Fév 07:09

son souvenir réel commence à s'estomper, mais les dégâts en vous demeurent.  

 

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c'est "le crush " comme disent les anglo-saxons il a suffi d'une apparition et c'est indélébile dans votre cerveau

james-wolk+9

bien sûr vous aviez appris à distinguer désir et amour ...mais qu'est-ce qui parle le plus fort en vous

ainsi ça peut-être -bêtement, je vous l'accorde- une émotion, un crush collectif

Rayane Bensetti : "Les gens ont vraiment pensé que j'étais gay !"

Rayane Bensetti, "bourreau des coeurs" : "Les gens ont vraiment pensé que j'étais gay !" mais non !

Alors il y avait les hommes d'un côté, les déçus et les indifférents puis les mecs qui ont la fibre gay...(même les bi et les hétéros, hein ? -lol-) 

et d'un autre côté  il a reçu des tweets de filles déçues qu'il ait quitté le "navire" hétéro du fait de ce rôle gay dans ce film.

L'imagination -la folle du logis- va, toute seule,  plus loin que les images et la réalité.

"   Le pôvre Une nouvelle fois, Rayane Bensetti a évoqué Dimitri, l'adolescent gay qu'il incarne dans la série Clem et s'est dit "choqué" des réactions que ce rôle suscite...

Dans le nouvel épisode de "Clem" diffusé ce lundi sur TF1, Dimitri (ou "Dimi" pour les intimes) a enfin fait son coming-out. L'adolescent incarné par le comédien Rayane Bensetti a avoué son homosexualité.

Ce rôle porté par le grand gagnant de "Danse avec les stars 4" suscite d'ailleurs toujours autant de commentaires sur la Toile, des commentaires pas très intelligents. En effet, nombreux sont les fans qui se sont montrés choqués ou déçus.  

Quelques heures avant la diffusion de l'épisode en question, Rayane était l'invité de Cyril Hanouna sur le plateau de "TPMP" et est revenu sur la polémique.

"J'ai eu énormément de tweets. Ça ne s'est pas arrêté. De jeunes filles mais pas que, justement. C'est ça qui m'a choqué, les gens ont fait l'amalgame entre la fiction et la réalité et ont vraiment pensé que j'étais gay, ce qui n'est pas grave en soi mais j'ai préféré juste préciser" a expliqué le jeune homme.

Après avoir assuré qu'il n'avait aucune attirance pour les garçons sur Twitter, Rayane a donc une nouvelle fois clarifié les choses au sujet de son orientation sexuelle, à la télé cette fois.

Le principal intéressé "trouve triste" de devoir ainsi se justifier"

 

 

 

Il y a là de quoi se passionner et recommencer, à travers les générations, et dire à la manière de Racine  "Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît pas..."  

Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue  Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler

(Jean RACINE, Phèdre, I, 3)

 

    Faut-il croire que ce soit différent entre hommes ?

Et, si l'on manque de références, ajoutons avec Musset  :  "on ne badine pas avec l'amour" pour souligner les conséquences indélébiles des images, des écoutes, des odeurs corporelles...des"je-ne-sais-quoi" ...qui vous ravagent le coeur.  Ah, oui, la pudeur des auteurs a évité qu'on parle ouvertement de ce que notre siècle appelle facilement "le cul"! mais ça n'empêche pas que ça existe...d'homme à homme !

 

Et nous sommes nous les hommes pauvres diables

[...] 
Pauvres diables, que nous sommes
Vulnérables, misérables, nous les hommes
[...]  Pauvres diables, pauvres diables ...

Pauvres diables que nous sommes
Vulnérables, misérables, nous les hommes

Pauvres diables, Pauvres diables, Pauvres diables 
 ainsi finit la chanson de Julio .. je vois certains hommes livrés aux mêmes ravages du désir pour un autre homme.

 On n'a pas encore osé (cela ferait-il un succès ? ) chanter voir sous l'étoffe des boxers  en marge de "voir sous les jupes des filles..."de Souchon ...Qui vivra verra..si la sincérité humaine peut aller plus loin...-lol- 

 

lui et moi, ça aurait été extra,
Jean se doute bien du pourquoi j’arrive après les autres, mais il ne me demande rien, il sait, et il sait que le secret doit rester, pour ça, je peux lui faire confiance. Il m'adresse un clin d’œil et un sourire, je passe dans son dos et lui mets une tape sur l’épaule. Nous ne nous parlons pas, nous nous comprenons, je continue à penser que lui et moi, ça aurait été extra, mais malheureusement, ça ne s’est pas fait, et aujourd’hui, je ne le regrette pas. Puis lui est heureux aussi, alors c’est ce qui compte pour nous deux.

 

.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par GALADESARTISTES - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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