CULTURE GAY & SOCIETES

Jeudi 24 mars 4 24 /03 /Mars 07:32

les gays vont tous être absorbés par l'éponge FN -lol-

 

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Quand Valentin Evol ( 22ans et à la retraite) célèbre son anniversaire en compagnie du maire FN d’Hayange

Publié par Yagg
L'ex acteur porno a célébré ses 22 ans dans une discothèque près de Metz. Dans le même lieu, la présence du maire Fabien Engelmann (FN) qui prend la pose avec Valentin Evol a suscité la polémique chez l'association LGBT Couleurs Gaies.

Valentin Evol, avec le maire FN d'Hayange Fabien Engelmann - Photo : 

 facebook , l'ancien petit ami de XAVIER BONGIBAULT  a fait une nouvelle fois parler de lui. Après sa courte carrière dans le ciné porno amateur, le jeune homme fêtait ses 22 ans, le 11 mars dernier dans une discothèque de Metz. Au cours de la soirée, le maire FN de Hayange (Moselle),Fabien Engelmann, arrive à son tour à la discothèque...comme le rapporte le site LORACTU.fr Valentin Evol lui demande de prendre quelques clichés. Des photos qui vont rapidement circuler et susciter l'indignation de l'association COULEURS GAIES.

 

Dans SON COMMUNIQUE l'association locale Couleurs Gaies constate que «le maire d'Hayange semble ne pas conserver de grief envers la Gay Pride de Metz et ses partenaires commerciaux puisqu'il fêtait il y a peu l'anniversaire de l'ex “star” du porno “Valentin Evol” à la discothèque l'Endroit. Un établissement homosexuel bien connu des messins qui participe chaque année au financement de la Marche des fiertés LGBT de Metz».

 

_-----_______________________Ndlr Cavaillongay _________________

ami de Xavier Bongibault ...quand même !....le même milieu avec le maire ????

 

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Fabien Engelmann  :

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beau garçon, il séduit !  

 

 

 

il

Par YAGG - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 24 mars 4 24 /03 /Mars 00:35
 ils n'ont pas choisi de naître là ; ils n'ont pas choisi la guerre non plus
 
 
ORIENTED - un film par Jake Witzenfeld
Tandis qu'une guerre couve au-delà de leurs conflits personnels trois amis palestiniens homosexuels confrontent leur identité nationale et sexuelle à Tel Aviv. Khader est "un chéri" d'une famille Musulmane Jaffa-basée vivant avec son petit ami juif, David. Fadi est un nationaliste palestinien ardent confronté par l'amour juif coupable. Naim doit affronter sa famille avec la vérité de sa sexualité. Déterminés à opérer un changement les meilleurs amis forment un mouvement de résistance culturelle non violent se battant contre le genre et la nationalité …
 
Par JAKE WITSENFELD - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 17 mars 4 17 /03 /Mars 02:07

accompagner son neveu pour un voyage, un examen, justement quand les parents, le père, ne peuvent pas...quoi de plus légitime et...commode pour être ensemble à l'hôtel et partout ? ...

"Tonton". Cette photo ne figura pas ainsi dans l'album de famille ! 

-> et celle-ci dans leur souvenir personnel :  

 

                    Tonton, what you do to me ! 

thecockydad: The love for my son goes deep. And deeper, keep pushing deeper

Bonjour Dave ! tu fais pas la grasse matinée ?

thecockydad: Go on boy, touch it. It’ll leak a little if you rub it the right way, but it won’t bite son. I’m your dad, I’d never hurt you…

 

- non, ça vaut le coup de se lever un peu plus tôt !

lovetheboysfucking: I love doing this

- ah, Tonton, j'aimerais l'avoir grosse comme toi !

adaddysboi: Good boy, make sure you get every drop of daddy’s thick cream…

- pas de souci, fiston, tout à l'heure tu vas l'avoir !

 

-envole-moi !

adaddysboi: That’s it buddy, fuck yourself on daddy’s cock… Make daddy proud.

 

-T'as bien fait d'inviter Sam, ton copain ! 

Dont scream son. Take your fathers dick

 

 

- O-ohhh yes Uncle John , fuck your load deep in my hole…

adaddysboi: O-ohhh yes Daddy, fuck your load deep in my hole…

 

- h.e.u.r.e.u.x.  !

 

 

- Je vous dis.... hein ?.. h.e.u.r.e.u.x.  ! ...et sans histoires !

 

  ne  bouge pas c'est moi, tonton !   

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Par TONTON_C_DOU - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 13 mars 7 13 /03 /Mars 15:46
Yves Saint Laurent – Pierre Bergé, l'amour fou
Yves Saint Laurent – Pierre Bergé, l'amour fou 02010 un film de   Pierre Thorreton
 
1958 : Yves Saint Laurent et Pierre Bergé se rencontrent. Chacun a trouvé l'homme de sa vie. Pour la première fois au cinéma, Pierre Bergé raconte leur histoire d'amour : 50 années ardentes et tourmentées, faites de succès extraordinaires et de douleurs intimes. Saint Laurent crée le vestiaire de la femme moderne et lui donne le pouvoir. Ensemble, ils révolutionnent le monde de la mode. En 2008, après la disparition de Yves, Pierre décide de se séparer de la collection d'art qu'ils ont passionnément réunie, dévoilant ainsi le fruit d'une quête permanente du beau. Des jardins Majorelle à Marrakech au Château Gabriel en Normandie, l'Amour Fou nous invite dans l'intimité de ces deux hommes qui ont un peu changé notre monde...

LIQUIDATION TOTALE

Curieux de voir, à quelques jours d'intervalle, cet Yves Saint Laurent - Pierre Bergé, l'amour fou et le documentaire signé Marie Rivière en compagnie 'Eric Rohmer. Car à partir d'un argument voisin, souvenirs d'un disparu par ceux qui l'ont aimé, les deux films sont le jour et la nuit. En compagnie d'Eric Rohmer transpire d'un amour indéfectible, celui de Rivière, Dombasle ou Luchini pour leur mentor, et est peuplé de fous comme les trois pré-cités. Aux travellings léchés dans des demeures luxueuses qu'habitaient Bergé et son compagnon, s'oppose la mise en scène plus que rudimentaire (pour être poli) de Rivière, plus dogme que dogme avec ses cadres tordus et sa lumière surexposée. Surtout, En compagnie d'Eric Rohmer s'avère être une des meilleures comédies de l'année, une belle façon, aussi, d'évoquer le cinéma de l'auteur savant et lunaire des Comédies et proverbes ou encore des Contes des quatre saisons. Yves Saint Laurent - Pierre Bergé, l'amour fou choisit une autre voie, surprenante là encore. Plus qu'un amour fou (le titre est un vrai trompe l'oeil), c'est une douleur folle qui s'affiche à l'écran, comme une relation malade dont on ne saisit jamais l'ivresse. Par pudeur, peut-être.
Comme si l'histoire de Yves Saint Laurent et de Pierre Bergé allait être racontée autrement, par l'allégorie, où l'hagiographie est à peine écrite (Yves Saint Laurent révolutionne, on le dit, mais on n'ira pas l'expliquer, Yves Saint Laurent se retire d'un art devenu métier de commerçants, et là encore on n'ira pas plus loin). Le chemin commun de Saint Laurent et de Bergé est rythmé par l'acquisition d'œuvres d'art qui ont fini par former une extraordinaire collection. Bergé parle de l'envie de Saint Laurent de transformer telle datcha en palais proustien, de l'attachement à la beauté, et de la désolation autour. Comme si les lieux étaient tombeau, récit aux teintes sinistres d'une impossibilité à être heureux (mais avec de la soie autour: quand Bergé boude, il s'exile à l'Athénée ou au Lutetia, standing oblige). La vente de la collection revient comme un refrain dans le documentaire, comme un symbole évident, deuil et liquidation. Froid dénouement de cinquante années d'attachement.
 
 
 
 
1958 Yves St Laurent et Pierre Bergé se rencontrent
 
 
 
 
 
  Il rencontre en 1950 le peintre Bernard Buffet, dont il devient le compagnon et gère la carrière pendant huit ans, et Jean Giono dont il tente une biographie et dont il partage des idées pacifistes  d'objection de conscience.  
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Bernard Buffet en 1952, avant Yves st Laurent (1958)
                    
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 Jean Giono à ajouter à  son "panthéon"    car Pierre a                                                                                                          été son secrétaire à Manosque    
Par PIERRETHORRETON - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 11 mars 5 11 /03 /Mars 01:54

par la honte la plus injuste

 

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on avait 16 ans et on a été cloués au "pilori" du village par un abruti 

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 [C'était-ce fut- notre première fois]....Nous étions donc prêts à poursuivre notre quête amoureuse, celle-ci nous avait fait découvrir le plaisir d'une séance de suce partagée où nous avions terminé l'apothéose bandaison par la dégustation mutuelle de nos liqueurs de fruits acides. Puis, entraîné par un fougueux Michel, je m'étais dépucelé la queue en même temps que son cul avait, lui, subi sa première intrusion. J'avais joui de ses frottements contre la peau sensible de mon membre et je l'avais vu prendre un gigantesque plaisir qui lui avait été tiré de son intérieur déchiré et bien que je l'aie désiré au tout début de cette séance jouissive, mon trou, lui, restait affamé.  

— Baise-moi Michel, j'ai une putain d'envie de ta bite.

— Tourne-toi sur le dos Sandro, je vais t'enculer et te faire voir ce que c'est que se faire bien baiser.

Lui, le quasi-puceau, commençait déjà à frimer et à faire son malin alors que nous étions encore des bambins il y a quelques heures. Il me prit alors "en main"...

— Laisse-toi faire et profites-en de moi sans te soucier de faire quoi que ce soit.

Je m'abandonnai à lui. Il s'agenouilla devant mon sexe et me releva les jambes, sa bouche entreprit alors de me lécher le gland qui devenait dur et me causait presque de la douleur tant il avait été sollicité auparavant. Il mouilla les couilles et les poils puis descendit, suivant le liséré des bourses vers la raie qu'il ouvrait en me tendant les jambes. Lorsque sa pointe de langue commença à chatouiller l'entour de ma rondelle puis, se faisant précise, pénétra facilement la dentelle de mon anus, je me mis à vibrer tant l'excitation commençait à prendre possession de mon être. C'était le moment annonciateur du plaisir divin que je devinais et qui tardait maintenant à m'exploser la tête.

Michel humecta le trou de sa salive émolliente, se releva et pointa son gland sur mon trou relevé, sans viser il s'enfonça, doucement, trop doucement à mon goût, moi qui relevai le bassin afin de m'emmancher à une queue que je désirais aspirer. Je ressentais bien alors quelques douleurs au passage du membre fort volumineux de Michel, mais les espoirs de plaisir me contraignaient à gommer cette douleur qui, je le savais [je le devinais,] serait mille fois payée en retour par ce que je ressentirais.

Quand il m'eut pénétré, lorsque que je le sentis bien à fond et que ses couilles furent écrasées tout contre mes fesses, il commença alors le divin ramonage, les parois de mon trou ressentaient bien ce va-et-vient et c'était terriblement excitant, j'apprenais à jouir du cul. Michel gouttait de sueur au dessus de moi et redoublait d'ardeur s'enfonçant et se retirant, il s'excitait et je voyais bien qu'il allait éclater dans mon intérieur. Je commençais à deviner que moi aussi, bientôt, j'allais gicler sur mon ventre, quelques spasmes, puis le sperme se répandait, pas la grosse quantité, non, c'était quand même la troisième fois de la soirée, mais ce fut accompagné d'une superjouissance qui me fit pousser une bramée digne d'un jeune cerf dans la nuit. Michel fut plus discret, et juste après moi, je sentis ses dégorgements venir remplir mon anus.

Nous restâmes collés, là, épuisés, quand!

 

 

La porte s'ouvrit brusquement sous la poussée d'une épaule et Marcel surgit, portant deux caisses de canettes de bière vide, et, hurla:

— Qui c'est qu'a crié ici...

Puis, observant la scène en clignant des yeux:

— Ah! les pédés... Ordures de pédés... Je t'en foutrai, moi, des enculades...

Il lâcha ses bouteilles d'un coup et se précipita sur nous, nous empoignant chacun par un bras, et, nous traîna dans le couloir, puis dans le bar en vociférant:

— J'les ai vus les pédés... Regardez... Ils s'enculaient... Les malades... Les vicieux...

L'effet de surprise nous figeait, nous fûmes jetés sur la terrasse, bondée de consommateurs, et devant des dizaines et des dizaines de spectateurs et de danseurs qui regardaient en se tournant vers nous. L'orchestre s'arrêta de jouer et, fendant la foule médusée, toujours sous les invectives de Marcel déchaîné: "Les ordures... Salauds... Pédales... Ordures..." Nous nous refugiâmes dans les ruelles noires où notre nudité éclatait toujours grâce à un clair de lune triomphant.

Un copain vint à notre recherche un peu plus tard, porteur de vêtements qui préservèrent alors le peu de dignité nécessaire pour rentrer chez nous.

______________________________________________________________

[Selon moi c'en était fini de notre droit de cité ] 

 

     [A la suite] de cet incident dans les jours qui suivirent je ne sais pas exactement pour Michel, mais pour moi la vie tourna psychiquement à l'enfer. Le fait était connu seulement d'une très petite minorité du village mais moi je croyais fermement que TOUS les gens, petits ou grands, ne voyait plus que ça dans ma personne...je ne voyais personne qui pourrait prendre notre défense...

 

S'ensuivit alors notre départ volontaire, moi chez mon père et Michel en internat....

 

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je rougissais si facilement

 

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et la foule fut assez cruelle mais je crois que moi aussi j'ai été cruel envers moi-même, plus encore que la foule. J'aurais assumé, c'était bien mieux  

 

 

 

 

Par SANDRO& MICHEL - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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