Partager l'article ! deux frères BCBG au lycée...le petit (Jé) tourne-t-il "mal" ?: j'ai été à la drague derrière le stade...ATTENTION "y a des vieux !" & ...
j'ai été à la drague derrière le stade...ATTENTION "y a des vieux !"
NDLR [ Jé est censé être hétéro...il était puceau....
Alex, le grand frére est limite, là, il trouve qu'un partenaire de 40 ans c'est vieux ! en fait, si son coeur n'était pas pris, malgré ses critiques et vu la description que Jé en fait, il "se le ferait bien" Jeremy...Nous les homos, et bi... il est bien rare-sur les dragues surtout- qu'il y ait des vénaux. C'est gratos et ça apporte un accès facile...de là à dire que devenir homo c'est plus facile en pensant qu'avec les "nanas c'est + compliqué "Jé a finalement trouvé facilement un partenaire..honnête...ça fait partie de "l'offre' homo des dragues -lol- ]
http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/alex-recit-sujet_18786_9.htm
Jérôme : Non, en fait hier, j’étais pas chez Tristan...
Alex : T’es allé aux putes ?
Jérôme : Non. J’ai été au stade...
Alex : Mais t’es trop con toi, tu sais qu’il y a des mecs qui peuvent te violer là-bas, t’es complètement fou !!
Jérôme : Bof, il y avait des vieux, oui, mais aussi des mecs moins âgés, et c’est un gars de presque dix-huit ans qui m’a sucé, et en plus, j’ai
vraiment aimé. J’avais trop envie de savoir ce que ça fait.
Alex : Bon OK, j’espère que tu recommenceras pas.
Jérôme : Non, j’ai essayé, c’est bon, je sais ce que ça fait, j’ai aimé, mais en même temps, les mecs, je ne suis pas trop attiré.
Alex : Oui, eh bien pourtant tu bandes dur, là !
Jérôme : C’est de repenser à ma bite dans sa bouche, bon, va faire le déjeuner, je dois me branler !
Alex : Tu ne manques pas d’air toi !
Jérôme : Oui ! Va esclave.
Alex : Tu veux pas que je te branle non plus ?
Jérôme : Si tu y tiens !
Je lui fais un doigt, quitte la douche alors que Jérôme bande comme un âne, et moi un peu je dois bien l’avouer. Je file dans ma chambre avec ma
serviette, je me sèche, m’habille, je descends et fais notre petit-déjeuner.
[ ALEX GERONTOPHOBE ? Jé est censé être
hétéro...il était puceau...se faire sucer par un mec de soixante balais,
berk....]
Je lui ai promis de ne rien dire, mais il m’emmerde mon petit frère, il est con quand même. Hier, en faisant ça, il a pris un risque, un sérieux,
car un garçon de son âge qui va dans un lieu de rencontre gay, j’imagine qu’il a dû attirer les regards, et il a eu beaucoup de chance d’être tombé sur un mec de dix-huit ans. Il aurait très bien
pu se faire sucer par un mec de soixante balais, berk, en même temps, il ne l’aurait sûrement pas fait non plus, enfin, je le pense. J’en suis là de mes pensées et j’ai préparé nos
petits-déjeuners quand il arrive.
Alex : Jérôme, si tu étais tombé sur un gars plus vieux, est-ce que tu te serais fait sucer la bite ?
Jérôme : Non, je m’étais dit en y allant que je n’irais pas au-delà de vingt ans, et c’est ce qui s’est passé avec Jérémy.
Alex : Parce que tu connais même son prénom ?
Jérôme : Oui, nous avons parlé un peu avant qu’il ne me taille cette pipe. J’y suis allé, je n’étais pas vraiment à l’aise quand même, je me suis
même demandé si je n'allais pas faire demi-tour, et c’est ce que j’ai fait, il n’y avait que des mecs d’au moins quarante ans, et ce n’est pas ce que je voulais, je te l’ai dit. En prenant le
chemin inverse pour retourner vers la route, je l’ai croisé. Il m’a regardé et m’a parlé. Je l’ai vu, il est pas mal, même si je préfère les filles, il est beau, c’est vrai.
Alex : Et il a fait comment pour t’aborder ?
Jérôme : Je te raconte, mais promis, tu ne me fais pas la morale, et tu n’en parles à personne.
Alex : Promis frangin.
Jérôme me raconte alors cette rencontre au présent, pour que je m’imprègne bien de ce qu’il a vécu.
Jérôme : « Après être allé au stade j’ai été plutôt déçu et plus sûr de moi du tout, du coup, je fais demi-tour, je suis sur le chemin pour
rentrer en me disant que mon idée n’est pas si bonne que ça, car effectivement les gars ici ne sont pas vraiment des jeunes, mais plus des mecs d’un certain âge, les plus jeunes ont bien trente
ans, "les plus vieux, je n’ose même pas imaginer". Je décide donc de rentrer et
prends le chemin du retour pour aller chez Tristan. Je regarde devant moi et je vois un garçon arriver face à moi, il n’est pas vilain, un mètre quatre-vingt à peu près, et beaucoup plus jeune
que les autres mecs présents, autour de dix-huit, mais sûrement pas plus. Nous allons nous croiser, il me regarde, s’arrête à ma hauteur et m’adresse la parole.
Jérémy : Salut mec, c’est la première fois que je te vois ici, tu cherches quelque chose ? Ou quelqu’un ?
Jérôme : Salut. Bof, j’en sais rien. Je suis venu voir, mais je crois que je ne pourrai pas faire quoi que ce soit avec un mec de quarante berges ou
plus.
Jérémy : OK, et tu cherches quoi exactement ?
Jérôme : J’avais envie de me faire tailler une pipe, je suis encore puceau, et j’en crève d'envie, mais je ne pense pas que ce soit le bon endroit,
ni les bonnes personnes. En plus, je ne suis même pas homo, mais bon, je voulais juste me faire sucer la tige.
Jérémy : Non, c’est vrai, ici, c’est un peu glauque effectivement, les gars sont là uniquement pour le sexe, rien d’autre, et les jeunes sont très
rares.
Jérôme : Tu y viens bien, toi, donc tu ne cherches que du sexe aussi, non ?
Jérémy : Oui et non, c’est vrai que j’aime le sexe, mais je me dis aussi souvent que là, je risque de trouver un jour un gars avec qui nous
pourrions partager un peu plus qu’un moment de cul, j’espère encore, alors je viens de temps en temps, puis bon, si je ne trouve personne, au moins, je me vide les couilles, c’est déjà pas si
mal.
Jérôme : Je ne peux pas te dire le contraire puisque je venais pour ça. Mais je vais repartir bredouille, et je ne pense pas revenir ici, ce n’est
pas pour moi.
Jérémy : Ça c’est une évidence. Tu es trop jeune, et puis tu sais, les flics viennent aussi de temps à autre et si tu te fais gauler, ils
t’embarquent et appelleront tes vieux pour venir te chercher au poste, et là, je ne suis pas sûr que tu sois très fier devant eux quand les poulets diront, devant toi, où ils t’ont chopé. Je
connais, ça m’est arrivé, comme coming-out, c’est pas franchement ce que je souhaitais, mes vieux n’ont pas été emballés non plus... Au fait, tu t’appelles comment ?
Jérôme : Jérôme, et toi ?
Jérémy : Jérémy. Tu as quel âge Jérôme ?
Jérôme : Quinze ans, bientôt seize, et toi ?
Jérémy : Dix-huit ans dans deux mois. Tu sais, tu es mignon, et puisque tu me dis que tu es hétéro, je pense que tu trouveras une fille qui voudra
bien te dépuceler. Je ne peux que te conseiller de ne pas revenir, mais puisque tu es là, tu as l’air sympa, tu es super mignon, alors est-ce que tu veux que cette pipe, je te la taille ? Je suis
venu pour ça à la base, et t’es pas mal, puis ça me changera des vieux qui me sucent la nouille en se tripotant, trop
contents d’avoir une jeune tige en bouche ou dans le cul.
Jérôme : Euh, j’en sais trop rien. T’as envie de me sucer la bite ?
Jérémy : Je le ferais bien, oui, moi je suis gay, et je n’ai encore jamais sucé un garçon comme toi, un beau mec hétéro, c’est rare d’en voir ici.
J’ai déjà sucé des hommes, mais rarement des gars de mon âge ou un peu moins. Alors tu veux ou pas ? Tu choisis. Oui, on va dans un coin tranquille et je te suce. Non, on se quitte là, je vais
retrouver les mecs et essayer d’attendre celui qui me fera vibrer le cœur, ou au pire, je me ferai sucer, moi.
Jérôme : Tu as l’air plutôt d’un mec qui aime se faire sucer que le contraire, non ?
Jérémy : Bof, j’aime tout. Je suis gay et j’aime le sexe entre hommes. J’aime me faire branler ou sucer, et même plus, mais je branle, je suce aussi
quand je trouve le mec mignon, et c’est ton cas.
Jérôme : OK, bon, et pour me faire sucer, on va où ?
Jérémy : Suis-moi.
Là, Jérémy m’entraîne à l’écart du stade, dans le bois qui est derrière, il avance sous les arbres puis lorsque nous sommes arrivés dans un endroit
qu’il connaît visiblement, il se retourne face à moi et me dit : « ici on sera tranquille », il s’agenouille devant moi, il défait ma ceinture tout en me regardant dans les yeux.
Ensuite il déboutonne mon jean, me le baisse toujours en me regardant. Je me retrouve le pantalon aux chevilles. Il me demande « je peux continuer ? », je lui dis oui.
Il passe alors ses doigts sous l’élastique de mon caleçon et tout doucement le tire vers le bas, libérant ma tige devant lui. Il ne me regarde plus,
mais regarde ma queue, je ne bande pratiquement pas. Il me touche la bite, les couilles, me branle un peu en me caressant. Je commence à vraiment bander, j’aime ce qu’il me fait, même si c’est un
mec, il me donne une superbe érection.
Il commence alors à lécher mes couilles, remonte sur ma queue, ouvre la bouche et entre mon gland encore dissimulé dans cette dernière. Il entre ma
tige de plus en plus dans sa bouche, il me branle entre ses lèvres, je décalotte sous ses caresses buccales. Il passe sa langue autour de mon gland, insistant sur mon frein, puis il me branle
encore avec sa bouche. En même temps qu’il me bouffe la bite, il me caresse les couilles. Moi je sens mon plaisir monter le long de ma tige. Je pense qu’elle n’a jamais été aussi longue. Je pose
mes mains sur sa tête afin de ralentir un peu le mouvement, j’aime trop cette pipe et je voudrais qu’elle dure le plus longtemps possible avant que je ne lâche la purée.
Il continue alors, mais en laissant un peu ma queue, il repasse sur mes couilles en me léchant dessous, presque jusqu’à mon trou, j’adore et je veux
me branler, il m’en empêche. Il entre de nouveau ma queue dans sa bouche, il me lèche, me suce. Mes mains accompagnent le mouvement de sa tête, mes doigts dans ses cheveux, je le caresse un peu,
je suis super bien. Je n’en peux plus alors je le préviens que je vais juter, il ne lâche pas ma bite, il me suce encore plus vite tout en me serrant un peu plus les couilles. Je ne me retiens
plus, je crache entre ses lèvres, je balance au moins cinq jets de sperme et lui continue ses mouvements avec ses lèvres. Quand je ne jouis plus, il retire ma bite de sa bouche, il crache par
terre le foutre que je lui ai donné.
Il me regarde de nouveau, il se redresse, je vois qu’il bande dans son jean. Il me demande :
Jérémy : Ça t’a plu ?
Jérôme : Oui, c’est trop bon. Merci.
Jérémy : C’est moi qui dois te remercier, tu es bien foutu et j’ai pris du plaisir à te tailler cette pipe. Est-ce que je peux me branler devant toi
?
Je ne peux quand même pas le lui refuser, je vais pour remonter mes fringues, mais il me demande de le laisser regarder ma bite pendant qu’il se
branle. Il baisse son jean et son caleçon. Il a une bite assez belle, un morceau pas mal du tout. Il bande, il attrape sa bite et se branle devant moi. Il est hyper excité et rapidement crache
quatre jets de sperme qui vont se perdent dans l’herbe. Nous remontons alors tous les deux nos vêtements et prenons le chemin de la route. Quand on s’est quittés, il m’a donné son numéro de portable au cas où je voudrais le revoir,* mais bon, je ne
pense pas. J’ai aimé, mais je ne veux pas être avec un gars, ce que je veux, c’est une fille. »
J’ai écouté mon frère. Je n’ai pas à le juger. Je souhaite qu’il ne retourne jamais là-bas, mais il fera ce qu’il voudra, puis là, il est tombé sur
un garçon à peine plus vieux que lui, et visiblement gentil.
Alex : Et tu vas le rappeler un jour ou pas du tout ?
Jérôme : Je te l’ai dit, je ne pense pas, je n’ai pas envie d’être avec un garçon. C’est clair que la pipe qu’il m’a faite, je vais en rêver, mais
bon, je pense que n’importe quelle fille me fera ça aussi bien, et moi, les mecs ne m’ont jamais fait fantasmer, ni rêver.
Alex : Oui mais il n’empêche que tu es allé voir des gays pour te faire sucer, quand même.
Jérôme : C’est vrai oui, j’en avais trop envie, surtout depuis que j’ai sucé Tristan. Notre séance hier m’a vraiment trop excité, et moi j’ai sucé
mon meilleur pote, je voulais aussi me faire sucer. Tu ne racontes rien, Al, tu me l’as promis.
Alex : Oui Jé, je ne raconte rien, c’est juré, mais toi, ne retourne pas là-bas, si tu veux vraiment te faire sucer, tu as un numéro, et ce Jérémy,
il a l’air pas si mal d’après ce que tu m’en as dit, alors ne fais plus cette connerie, je n’ai pas envie de retrouver mon petit frère dans la page des faits divers du journal.
Jérôme : Tu sais Alex, ne va pas croire que les mecs qui vont dans ces lieux ne sont que des psychopathes ou des mecs qui aiment les jeunes garçons.
Je pense vraiment que ce sont juste des mecs seuls qui veulent passer un bon moment, et rien d’autre. J’ai vu des hommes qui me regardaient, mais aucun n’est venu m’agresser, un gars de
quarante-cinq ou cinquante ans est venu vers moi et m’a demandé si j’avais envie qu’il me branle ou me suce, je lui ai dit non, il est parti sans rien chercher de plus.
Alex : Tu as certainement raison Jérôme, mais toi, tu n’es pas homo, alors n’y retourne pas s’il te plaît. Moi ça aurait été logique, mais pas
toi.
Jérôme : OK, je demanderai à Tris de me sucer la bite la prochaine fois.
Alex : Oui, exactement.
Jérôme : Je ne pense pas qu’il soit d’accord, il est aussi hétéro que moi, et hormis notre jeu, je ne crois pas que nous le refassions un
jour.
Alex : Ça, c’est vous deux que ça regarde, mais tu sais, je pense qu’en attendant de vous trouver une copine, vous pouvez vous amuser sans pour
autant être homos. Jean et moi, on s’est branlés ensemble souvent, et pourtant, il n’est vraiment pas gay, t’as qu’à demander à Solange ce qu’il lui met.
Jérôme : On verra bien, mais c’est vrai que des branlettes, c’est pas dramatique non plus, il n’y a pas de mal à se faire du bien.
Alex : Exactement. Bon, tu sais que vu l’heure, il est temps qu’on se bouge et qu’on aille prendre notre bus, je pense que Gaby ne va pas nous
attendre six mois.
Jérôme : C’est sûr, oui.
Je comprends mieux pourquoi mon frangin n’avait pas l’air dans son assiette hier quand il est rentré. Bien des questions devaient lui remplir la
tête, et l’une d’elles était justement de savoir s’il devait m’en parler, comment je le prendrais. C’est vrai que je ne suis pas emballé, mais il n’est pas idiot, il sait se défendre avec le judo
et le karaté, mais en même temps, on ne sait jamais ce qui peut se passer dans un tel endroit.
Je lui ai promis de ne pas lui faire la morale, alors je m’abstiens, mais merde, il est hétéro, et il va se faire sucer par un garçon, et au stade
en plus. Décidément, là, je ne le comprends pas bien mon Jérôme.
Nous sommes sur le chemin et rejoints par Jean et Tristan. Nous nous faisons la bise, ce n’est pas notre habitude, mais maintenant, nous sommes
encore plus proches qu’avant tous les quatre. Il ne faut pas oublier que deux ici présents ont sucé les deux autres, alors une bise, ce n’est pas grand chose, juste de l’amitié.
Tristan : Dis-moi Jérôme, pourquoi tu n’es pas venu chez moi hier soir ?
Jérôme : Je suis resté un peu en ville, je devais aller voir des boutiques, j’ai besoin d’une nouvelle paire de baskets.
Putain, mais quel baratineur mon frère ! Je me suis demandé ce qu’il allait répondre...
Tristan : OK, t’aurais pu me le dire, on y serait allés ensemble.
Pas sûr que tu aies aimé l'endroit où il était vraiment...
Jérôme : Ouais, mais on ira ensemble, je n’ai rien trouvé. Tu fais quoi demain ?
Tristan : Rien de spécial.
Jérôme : Alors on se retrouve après le repas, je vais te chercher et on ira en ville.
Tristan : OK.
Nous arrivons au bus, Gaby, l'ami chauffeur et sa clope sont là, nous lui disons bonjour et allons prendre nos places.
* Quand on s’est quitté, il m’a donné son numéro de portable au cas où je voudrais le revoir,* ...héhé quid de l'orientation sexuelle si déterminée du jeune Jé ?
http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/alex-recit-sujet_18786_9.htm
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