MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit"

Jeudi 14 avril 4 14 /04 /Avr 06:03

 alors,  comment croyez-vous qu'un papa se sente quand son fils veut avoir une Mike Willis dad ariel doll son choosespoupée barbie  ?" dit Mikki Willis face à la caméra.Tandis qu' Azai son filscrie "Ouais!!!" "- eh ben, rien : on acceptera toujours vos choix de vie quels qu'ils soient. Par contre, en tant que père, j'ai réagi au fait qu'il n'y ait pas de vraie diversité dans le magasin. S'il y avait eu un choix possible, j'aurais orienté le regard d'Azai vers une poupée qui ressemble à une VRAIE  femme !"

 

Il n'en est que plus fier : son compte facebook  a été visité 14 millions de fois ! 

Preuve que ça bouge dans les têtes ? Preuve que ça évolue aussi ???? ou non ?   

 

 

 

"Now, how do you think a dad feels when his son wants to get this?" Willis asks the camera.

"Yeah!" shouts Azai.

"Yeah!" echoes Dad. "That's how I feel. ... I let my boys choose their life. ... We say, 'Yeah! Choose it!' ... You have my promise forever to love and accept you no matter what life you choose."  

  Actually, he noted that as a father he did have a reaction: He thought that collection Ariel was a part of in the toy store was not very diverse. "I had to resist my urge to say, 'Why don't we chose a more realistic doll,'" he continued. "I don't want my boys to adapt to the programming that ... women should be built like a Barbie."  

                     ouvriers et employé(e)s Playmobil.         

 

  Résultat de recherche d'images pour "azai willis"       Résultat de recherche d'images pour "azai willis"  

 

   Résultat de recherche d'images pour "azai willis"   Résultat de recherche d'images pour "azai willis"

 

 

  Afficher l'image d'origine mais, c'est un vrai bordel votre monde !  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  workhim : le logiciel qui stimule    

 

 

 

 

Par WORKHIM - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 01:41

 réaliser des miracles... on devrait avoir tous cette faculté, hélas tôt ou tard, Dieu nous retire lamagie qu'il nous a donnée...  

 

 

 

                                                                                                         

 

de faire d'un petit morceau de chair un "bâton de joie" (joystick) comme disent les anglo-saxons, interdisez- vous "manette" : ce n'est ni beau ni exact  pour la magie des choses.

 

 

 

Une magie aussi provisoire que le carosse de Cendrillon : observez combien la satiété vient vite et fait de la joystick une chose dégoulinante, dégonflée et aussi "désarticulée" que le pantin de Pinocchio quand la vie l'abandonne ! une petite mort des hommes, répétée et dérisoire...

 

 

 

 

le "miracle" n'est pas toujours, ni automatiquement, possible. Certains y voient le doigt de Dieu lui-même...Dieu qui nous laisse tomber et s'en fout bien de nos fiertés et de nos joies 

 

Afficher l'image d'origine - Dieu ! pourquoi nous abandonnes-tu ? Afficher l'image d'originey en a même qui se foutent de moi...et c'est comme si je n'étais plus rien...c'est vrai que la vie est courte et qu'on ne vit qu'une fois...

 

La fresque du dieu Priape (Mutunus Tutunus -lol-) il y a 1937 ans à Pompéi. 

maison des Vittii à Pompéi

Ronsard, en pleine forme à ce moment n'a pas pensé que c'est à l'Homme, au lieu de la femme, que s'adressent ses paroles :  

Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle,
Assise auprès du feu, dévidant et filant,
Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant :
Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle.

Lors, vous n’aurez servante oyant telle nouvelle,
Déjà sous le labeur à demi sommeillant,
Qui au bruit de mon nom ne s’aille réveillant,
Bénissant votre nom de louange immortelle.

Je serai sous la terre et fantôme sans os :
Par les ombres myrteux je prendrai mon repos :
Vous serez au foyer une vieille accroupie,

Regrettant mon amour et votre fier dédain.
Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :
Cueillez dès aujourd’hui les roses* de la vie.

Pierre de Ronsard, Sonnets pour Hélène, 1578

en langue gaie (lol)  roses*cela s'exprime bien :

sfrobert: Follow http://sfrobert.tumblr.com/ for more like this.

 

floridaniceboy: Tongue that Hole! Floridaniceboy.tumblr.com/archive

allez, toi qui regardes ceci, ne reste pas les deux pieds dans le même sabot ! va draguer, va proposer tes services : cueille la  Rose ! la vie est courte !  Enjoy !

...  

 

Par MUTUNUS TUTUNUS - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 8 avril 5 08 /04 /Avr 07:10

vous constaterez que le nombre des indignés tend vers le nul !!!

 

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/loi-sur-la-prostitution-chronique-177184#reagir 

 

Sur AgoraVox : 

Loi sur la prostitution : chronique d’une victoire annoncée

La proposition de loi relative à la lutte contre le système prostitutionnel arrive en fin de parcours législatif. Enfin ! pourrait-on dire. Car il aura fallu plus de deux ans, depuis son premier examen à l'assemblée nationale, pour qu'elle soit soumise à un ultime vote. Étonnant, alors que la cause défendue aurait dû faire consensus. Pourquoi tant d'avis divergents, notamment sur sa disposition principale, la pénalisation du client ?

La proposition de loi sur la prostitution s'appuie sur le rapport des députés Leroux et Olivier : un long inventaire des différentes législations dans le monde, une compilation d'études sur les conséquences de la prostitution, des statistiques internationales et françaises. Et un pays érigé en exemple : la Suède, premier pays à avoir voté la pénalisation du client. Ce rapport est plutôt fourni, mais il souffre toutefois de quelques lacunes : des pays ne sont pas étudiés (comme la Nouvelle Zélande), confusion entre corrélation statistique et causalité, presque rien sur la clientèle, très peu de place laissée aux prostituées défendant leur métier.

Malgré tout, il a conduit à la proposition de loi visant à lutter contre le système prostitutionnel, dont la pierre angulaire est la pénalisation du client, inspirée du modèle suédois. Le rapport en fournissait une justification, et le vote aurait du se passer sans grande opposition. Mais la France reste la France, et la proposition de loi, chatouillant l'esprit frondeur et libertaire qu'on connait aux français, a réveillé bien des passions.
Les débats au sein de la commission en charge du dossier, à l'assemblée nationale, dans la société civile, chez les prostituées, ont montré que la proposition de loi n'allait pas de soi. Faut-il s'en étonner face au simplisme des propositions qu'elle contient, et des positions qu'elles sous-tendent ? Présenter tous les clients comme des pervers, et toutes les prostituées comme des victimes, était au mieux le résultat d'une certaine paresse intellectuelle, au pire la traduction d'une vision doctrinaire.

Car on ne peut que regretter l'absence de mise en perspective de la prostitution dans le contexte français : que cela plaise ou déplaise à nos députés, il y a deux formes de prostitution. D'abord la prostitution imposée, qui relève de la traite des êtres humains. Ensuite la prostitution choisie, qui relève du travail sexuel.

Bien sur que non s'exclameront les plus farouches défenseurs de la pénalisation du client ! Et pourtant si. C'est écrit dans le rapport de Mme Olivier : en France, 20 à 25% des prostitués sont des indépendantes. Leur activité relève évidemment du travail sexuel, pas de la traite des êtres humains. Peu importe, pas de marchandisation des corps en France hurleront les mêmes députés clientophobes !

Et pourtant (bis), s'ils connaissaient mieux la France qu'ils sont censés représenter, ils découvriraient les différentes facettes du travail sexuel, dont la principale : la pornographie, secteur oh combien florissant, et légal. Cette activité a pourtant des usages bien pires que la prostitution : peu d'usage du préservatif, chosification de la femme, mise en scène de pratiques plutôt "exotiques", entre autres.

Une rapide recherche sur internet permettrait à nos députés de découvrir qu'un des plus gros sexshop de France, qui a pignon sur web et sur rue, revendique à lui seul plus de 5000 DVD X. Ils y découvriraient aussi des films présentant des pratiques qu'aucune prostituée n'accepterait. Des pratiques qui feraient passer 50 nuances de grey pour une bluette romantique pour adolescente pré-pubère. Un seul exemple : en France, à Paris ou ailleurs, en 2016, le quidam peut tranquillement et légalement acheter en boutique, virtuelle ou physique, des DVD de zoophilie.

Pendant qu' à l'assemblée nationale, les députés partisans de la pénalisation du client donnent des leçons sur la marchandisation du corps de la femme, l’État prélève 20% de TVA sur chacun de ces 5000 DVD vendus, par des boutiques bien françaises, inscrites au registre du commerce et des sociétés. Peu importe qu'il s'agisse de zoophilie ou d'autres pratiques bien plus dégradantes que la prostitution. Les indignations seraient-elles solubles dans la TVA ?

Car comment l’État peut justifier cela ? Au nom de la liberté de création artistique ? On attend avec impatience Mme Pellerin, ministre de la culture, venir expliquer à l'assemblée nationale qu'il s'agit juste de cinéma. Car non, ces films, où les pratiques ne sont pas simulées, ne sont pas de l'art, juste du cochon. Au nom de la liberté individuelle des acteurs et actrices ?

C'est le grand paradoxe de cette proposition de loi : elle vise à pénaliser le client, sans interdire aucunement la prostitution. Tout simplement car l'interdiction de se prostituer est rendue impossible par la jurisprudence européenne : celle-ci a au contraire affirmé à plusieurs reprises le droit des femmes et des hommes à disposer d'eux mêmes, fut-ce pour exercer un travail sexuel, pornographie ou prostitution.

La France s'apprête, en votant la pénalisation du client, à contourner cette liberté : la prostitution restera juridiquement légale, mais sera empêchée par la chasse au client. Une liberté dont on empêche l'exercice est-elle encore une liberté ? C'est l'aboutissement d'une logique liberticide, portée par des courants néo-féministes bien mal inspirés : alors que le féminisme défend la liberté et la responsabilité des femmes, le néo-féminisme veut pouvoir dire ce qui est possible ou pas. Et placer les femmes en liberté surveillée.

Étonnamment, cette liberté n'a jamais vraiment été discutée lors des débats, alors qu'elle sera une victime collatérale de la pénalisation du client. Elle n'a pas été discutée car les tenants de la pénalisation du client ont systématiquement amalgamé prostitution choisie et prostitution contrainte. La réalité, un peu plus complexe que cela, fut mise de côté au profit du dogme : tous les clients sont des coupables, toutes les prostituées sont des victimes. Dogme simpliste répété ad nauseam.

Quelques députés courageux ont tenté de questionner les motivations des clients. Ils n'ont reçu pour réponse qu'un recadrage courtois mais ferme. La doxa n'autorise pas à parler de ça. Et pourtant, parmi les clients, combien d'hommes simplement en mal de compagnie, un peu trop seuls depuis trop longtemps ? Des "sans-calins". Pas des pervers, contrairement aux acheteurs de certains DVDs "spéciaux" (mais eux ne risquent rien, l’État apprécie même leur contribution aux finances du pays).

Alors que les immigrés clandestins sont devenus des "sans-papiers", passés du statut de coupable à celui de victime, les tenants de la pénalisation s'apprêtent à faire de ces "sans-calins" des coupables. Peu importe qu'ils recourent aux services de travailleuses du sexe indépendantes. Privilège du camp du bien de désigner les coupables et les victimes.

Ce faisant, on a assisté à un numéro de minimisation assez extraordinaire : sur les plateaux télé, à la radio, dans les journaux, les zélateurs de la pénalisation n'ont eu de cesse de minimiser l'effet de leur loi. Nous cherchons juste à responsabiliser le client disent-ils. Une responsabilisation pour le moins pénible : passage au tribunal, humiliation publique par les éventuelles associations parties civiles, amende de 1500€, inscription au casier judiciaire. Et si cela ne suffit pas, stage de ré-éducation. Une responsabilisation façon Pol Pot en quelque sorte. Ou la novlangue à l’œuvre.

Orwell a prédit la puissance des mots et de leur dévoiement, au profit d'une ré-écriture du réel. On assiste à une sorte de détournement du pouvoir législatif en faveur d'une construction sociétale dont vont faire les frais les clients mais aussi les prostituées indépendantes, égratignant au passage leurs libertés individuelles. Les travailleuses du sexe indépendantes, vent debout contre cette proposition de loi, ont bien vu le danger : après les avoir empêcher de disposer d'elles-mêmes à leur guise, à quelle liberté s'attaqueront nos députés ?

De plus, le risque d'une précarisation accrue des prostituées est grand. De nombreux acteurs de la société civile et institutionnels ont alerté sur cette question. L'ONU, Amnesty International, la commission des droits de l'homme, le défenseur des droits, Médecins du monde. Tous se sont montrés défavorables à la pénalisation du client. Comme la famille Badinter, des associations d'aide aux prostituées, et même des mouvements féministes. Ce ne sont pourtant pas des prostituteurs en puissance. Mais peu importe, les députés promoteurs de la pénalisation du client restent arcboutés sur leur convictions. Nietzche disait : "les convictions sont les ennemis de la vérité". A méditer par nos députés.

On ne peut non plus passer sous silence l’ambiguïté de cette proposition de loi : alors que les clients se voient infligés une peine par la justice, rien de plus n'est prévu pour les proxénètes. Prétendre lutter contre la prostitution sans porter un minimum d'attention aux réseaux criminels organisant la traite d'êtres humains est-il bien sérieux ? Coupable renoncement de députés pour qui les proxénètes ne feraient pas partie du système prostitutionnel ?

Proxénétisme international évidemment facilité par la construction européenne. Les promesses de sécurité et de prospérité sont aujourd'hui battues en brèche, le rêve européen tourne au cauchemar. En ce sens, les deux seuls piliers de la monnaie unique et de la libre circulation ont constitué une formidable opportunité pour les réseaux mafieux. Nos politiques imaginaient-ils sérieusement que l’internationale criminelle resterait bien sagement dans ses frontières de l'époque ?

Les faiblesses de la sécurité en Europe sont apparues cruellement en 2015, surtout en France. De nouvelles lois, particulièrement intrusives, ont du être votées pour faire face à la menace terroriste. Ces lois s'appliquent aussi à la délinquance organisée. Donc au proxénétisme. Par rapport à 2013, la proposition de loi sur la prostitution s'inscrit, de fait, dans un contexte nouveau : les forces de police disposent aujourd'hui de moyens sans précédent pour traquer le crime organisé. Pourtant, certains députés continuent à vouloir pénaliser le client coute que coute.

Alors de deux choses l'une. Soit ils ne croient pas aux lois contre le terrorisme, qu'ils ont eux-mêmes voté. Auquel cas les français doivent s'attendre à de nouveaux attentats sanglants. Et de nouvelles victimes. Soit ils sont convaincus de l'efficacité des lois qu'ils ont voté et des moyens alloués à la police. Auquel cas ils démontrent le dévoiement de leur combat en une dérive liberticide visant à empêcher les femmes et les hommes de disposer d'eux-mêmes. Prémices à la création d'un ministère des bonnes mœurs et de la morale ?

Il y aurait encore beaucoup à dire sur cette proposition de loi, très critiquable sur bien des aspects. L'égalité homme/femme par exemple, citée à moult reprises par les défenseurs de la proposition de loi. Alors qu'elle est loin d'être acquise, mais pas dans le sens où on l'entend habituellement : en France, si aucun homme ne peut imposer la maternité à une femme, une femme peut imposer la paternité à un homme. L'affaire Dati/Desseigne en est la couteuse illustration (près d'un million d'euros à la charge de M. Desseigne). Ou comment transformer une juste cause en slogan vide de sens.

Malgré toutes ses faiblesses, tous ses amalgames, toutes ses atteintes aux libertés, il ne fait guère de doute que les députés voteront, comme un seul homme, la proposition de loi en l'état. Ils s'inspireront ainsi du modèle suédois, oubliant que la Suède a le triste privilège d'être le deuxième pays au monde où se produisent le plus de viols. Il donneront raison aux plus ardents défenseurs de la pénalisation, pour qui les clients sont tous, sans exception, des pervers et des coupables. Ils accepteront de donner une nouvelle définition au mot "responsabilisation" : nom féminin, consistant à passer au tribunal de police et payer une amende de 1500€. Ils oublieront le slogan d'une précédente campagne du gouvernement : mon corps, mon choix, mon droit. Si la liberté, dont celle des femmes à être des travailleuses du sexe, n'a pas de prix, ils en donneront un cout : 1500 € à la charge du client. Ils exposeront au grand jour leur surdité, refusant d'entendre et d'écouter les travailleuses et travailleurs du sexe qui ne manqueront pas de manifester lors du vote, revendiquant leur liberté à disposer d'eux-mêmes. Ils renonceront, tout à leurs contradictions, à poursuivre davantage les vrais coupables, proxénètes et mères maquerelles. Ils choisiront de pousser dans la précarité les prostituées indépendantes, qui, comme tout un chacun, ont aussi des factures à payer. Ils entérineront le caractère respectueux et absolument pas dégradant de la pornographie (accessoirement très utile aux finances publiques).

Et ce sera une grande victoire. Une victoire à la Pyrrhus  

lire toutes les réactions :    

 http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/loi-sur-la-prostitution-chronique-177184#commentaires

 

  par exemple : 

M de Sourcessure M de Sourcessure 2 février 12:40

Toujours la même confusion :

On prétend lutter contre la prostitution comme on prétend lutter contre la drogue, en punissant deux fois celui qui s’est déjà fait rouler.
Les trafiquants et les proxénètes ont suffisamment de ressources pour arroser toute la chaîne des moralisateurs du dimanche, du bas au sommet de la pyramide juridico-administrative.

 

  etc ... 48 commentaires    

 

 

 

 

Par HERMES LEJUSTE agoravox - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 8 avril 5 08 /04 /Avr 02:19
ce matin sourdement menacé par les modérateurs qui me trouvent trop libre,  j'ai mis moi-même fin à mes comptes facebook et google+ faussement considérés comme l'émanation de la liberté d'expression et, partant, de la liberté d'opinion. Ils ne sont que l'instrument de la liberticide  surveillance de masse
Devenus les interfaces obligés avec l'opinion, ils mettent la VRAIE démocratie en danger
 merci à Didier Bourdon pour son clip "Onpeuplu riendire" en bas de texte
prostitution :
  le vote sanctionnant les clients de prostituées.a définitivement adopté La proposition de loi socialiste renforçant la lutte contre la prostitution, au terme de deux ans et demi de vifs débats,
Alors qu'il a effrontément renoncé à quasiment toutes ses promesses importantes, ce vote entérine un des plus contestables engagements de François Hollande lors de sa campagne présidentielle de 2012, et  met fin à un long parcours parlementaire commencé en décembre 2013.
  Pour ma part j'ai déjà exprimé ma défiance  vis à vis de ce lobby interne au PS  et quelques divers-droite que j'ai surnommé "les furies du puritanisme " parlementaire". A l'égal des enragés partisans de la double peine, je suggère que la loi prévoie le doublement , voire le triplement des peines pour un parlementaire ou un élu qui se rendrait coupable d'"aller aux putes ", même à scooter, de nuit.-lol-, à tous les émules des "FAITES CE QUE JE DIS ET PAS CE QUE JE FAIS"  
PROSTITUTION :    
progressivement privé(e)s de ressources par les nouvelles lois d'ordre moral, les prostitué(e)s vont-elles être payées par l'état pour éviter qu'elles (se) manifestent ?   (vous riez ? mais plusieurs autres professions sont sous ce "statut" du genre "ferme ta gueule sinon je te coupe les vivres ") 
      Sur la pénalisation des clients de la prostitution, on doit opposer que l'article 8  de la Déclaration des Droits  de l'Homme sur laquelle s'appuie la Constitution,  stipule :   "  Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, " 
 
La trouble notion d'ordre public à laquelle se réfèrent de nombreux partisans de la nouvelle loi,  a déjà rendu de fiers services à nombre de dictateurs    
Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.
 
 
  il y a certainement trop de vrac dans l'affiche ci-dessous mais c'est le seul graphisme dont je disposais à ce moment ... 
demandons-nous , "Aujourd'hui en 2016, puis-je tout exprimer ? " 
Afficher l'image d'origine
 
  Ailleurs sur le net :  
Flicage, répression Commentaires ouverts sur cavaillongay 

La surveillance de masse d’internet pousse les internautes à s’autocensurer

      De plus en plus les gouvernements mettent en place une surveillance généralisée d’internet et des réseaux sociaux, surveillance qui vise tout le monde sans distinction, pour officiellement lutter contre la criminalité. Cet argument ne tient pas car on sait que les terroristes ou autres grands criminels savent contourner cette surveillance, ce qui leur permet -hélas- de continuer leurs méfaits comme le prouvent les attentats dont nous sommes témoins, sachant du reste que le gouvernement lui-même nous avertit que d’autres attentats auront lieu. Dès lors se pose la question de savoir pourquoi maintient-on et même renforce-t-on cette surveillance inefficace ? Une étude réalisée aux Etats Unis et dont s’est fait écho le Monde nous donne une explication, beaucoup plus vraisemblable : La surveillance de masse conduit les internautes à s’auto-censurer, ce qui permet aux gouvernements de limiter l’expression d’opinions politiquement incorrectes. Ainsi, la surveillance généralisée, loin de lutter contre le terrorisme, permet un contrôle de l’opinion et de limiter le développement d’idées dissidentes.
Pour étudier ce phénomène, la chercheuse Elizabeth Stoycheff, de l’université de Wayne State (Michigan), a mené une expérience sur 255 personnes, à qui elle a fait remplir un questionnaire. Pour la moitié des participants, ce questionnaire était accompagné d’un message rappelant que « même si nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour que vos opinions restent confidentielles, il est important de garder à l’esprit que la National Security Agency surveille les activités en ligne des citoyens, ce qui est hors de notre contrôle ». Tous les participants devaient répondre à des questions sur leur personnalité, puis étaient confrontés à un article de presse sur la poursuite des frappes américaines contre l’organisation Etat islamique en Irak. Ils devaient ensuite donner leur opinion sur le sujet, dire ce qu’ils pensaient être l’opinion majoritaire parmi les Américains, et s’ils comptaient partager leur propre point de vue sur la question.
Résultat : les personnes à qui l’on a rappelé la surveillance d’Etat étaient moins enclines à parler de leurs idées, si elles les jugeaient non conformes à l’opinion majoritaire. Même parmi les participants qui, selon leur profil psychologique, étaient les moins sujets à l’autocensure.
Plus étonnant, les personnes les plus à même de s’autocensurer sont celles qui, dans l’absolu, soutiennent les programmes de surveillance : « Ces individus ont indiqué que la surveillance était nécessaire pour la sécurité publique et qu’ils n’avaient rien à cacher. Pourtant, quand ces individus perçoivent qu’ils sont surveillés, ils modifient leur comportement en conséquence : ils expriment leur opinion quand elle est majoritaire et la taisent quand elle ne l’est pas. »
Ces conclusions sont cohérentes avec la théorie de la « spirale du silence », mise en avant dès les années 1970, qui démontre que les individus ont tendance à taire leur point de vue s’ils sentent que celui-ci n’est pas partagé par leurs pairs, par peur de l’isolement. Mais cette dernière étude apporte un nouvel élément, en s’intéressant notamment à l’expression sur Internet et à la surveillance gouvernementale : « C’est la première étude à apporter la preuve que les programmes de surveillance gouvernementaux en ligne peuvent menacer l’expression d’idées minoritaires, et contribuer au renforcement de l’opinion majoritaire. »
 
  Afficher l'image d'origine 
  Dessin d'humour de Peter Brookes (Angleterre) dans google images 
   
  empêchés de dire, autant qu'empêchés de faire !    
desréactions à la loi sur la prostitution :
   
Par claudio - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 6 avril 3 06 /04 /Avr 03:18

Les mains dans les mains restons face à face, tandis que sous     Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse / Apollinaire

le cycliste de Joubert :

il fait la couverture  !                                                                                                                               

Publié le 9 mai 2015 par lesdiagonalesdutemps

un cycliste de Joubert

 

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
            Et nos amours
       Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
 
     Vienne la nuit sonne l'heure
     Les jours s'en vont je demeure
 
Les mains dans les mains restons face à face
            Tandis que sous
       Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
 
     Vienne la nuit sonne l'heure
     Les jours s'en vont je demeure
 
L'amour s'en va comme cette eau courante
            L'amour s'en va
       Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
 
     Vienne la nuit sonne l'heure
     Les jours s'en vont je demeure
 
Passent les jours et passent les semaines
            Ni temps passé
       Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
 
     Vienne la nuit sonne l'heure
     Les jours s'en vont je demeure

 

Guillaume Apollinaire (1880 - 1918)

 

Par JOUBERT - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • RELAX SUR BERGE
  • ALEX 1
  • PiiiiSS 6
  • TOMBES AMOUREUX DUN CHEMIN FLEURI CACHE 014
  • LUTTE FABIEN 035. LUTTE FINALE
  • tumblr mg31m8ZtT81r59avjo1 500

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés