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Un matin, ça ne sert à rien...sinon à s'aimer...
Matin pour donner ou bien
matin pour prendre...
Ce matin
C'est le mien, c'est le tien
Un matin de rien
Pour en faire
Un rêve plus loin
Encore un matin
Qui cherche et qui doute
Matin perdu cherche une route
Encore un matin
Du pire ou du mieux
A éteindre ou mettre le feu
Encore un matin
Ou juge ou coupable
Ou bien victime ou bien capable
Encore un matin, ami, ennemi
Entre la raison et l'envie
Matin pour agir ou attendre la chance
Ou bousculer les évidences
Matin perdu cherche une route
Matin pour donner ou bien
matin pour prendre
Pour oublier ou pour apprendre
Ou bien victime ou bien capable
Encore un matin, ami, ennemi
Entre la raison et l'envie
Matin pour agir ou attendre la chance
Ou bousculer les évidences
Matin innocence, matin intelligence
C'est toi qui décides du sens
Chiche on suit Mickey ?...
Quelques idées pour préparer Halloween
On va danser, ça c'est sûr !
Faut s'entraîner !
Dormir davantage la nuit -et le jour-avant pour être au top
prévoir un costume
Rêver
à des rencontres aussi !
OK : j'ai la médaille et il m'a conquis !
En drag queen ? La location du manteau doit coûter bonbon !
C'est LUI qui a les meilleures idées...
Il nous fait bander hein ?
La déconne avec lui, vous allez voir !
Question bouffe les burgers aussi rigolent...beurkhhh comme d'ab !
moi je vais y aller comme ça, dans la simplicité et la suggestion ! .......
à suivre, on en reparle !
Classé dans SEXO VIVRE SA SEXUALITE THEME INCESTE entre frères
Un étalon flamboyant :
Quelques semaines après le gang bang où j'ai baisé Simon( "Bébé" pour les intimes (ce qui est vraiment le cas de le dire!), lors d'une séance à plusieurs hommes et jeunes dirigée par son beau-père (un professeur de mon école) et des amis à eux. C'était ma première fois dans une partouze du genre (si on ne compte pas ma première fois avec mes grands frères). Le beau-père et organisateur m'avait "adoubé", en raison de ma vaillance et de mon endurance à 16 ans et "boyfucker" j'étais devenu, le jeune étalon gay local' Jusque là, depuis deux ans, je n'avais baisé qu'en duo, un jeune à la fois, quelques fois par semaine sans plus, et c'était surtout à l'école que ça se passait.
J'avais aussi eu le courage de me retenir de sauter sur mon petit frère. Âgé de 13 ans, Bruno était le cadet de la famille. Psychologiquement, il ressemblait beaucoup plus à Richard, le plus vieux : capable d'être un gars comme les autres et de faire un peu de sport, il était surtout intellectuel, porté à lire beaucoup et à ne pas avoir beaucoup d'amis. Mais il était heureux comme ça! Tout comme Richard d'ailleurs !
Depuis quelques temps, déjà, en baisant des garçons à l'école, je m'imaginais plutôt entrer dans le petit cul de Bruno, mon cadet mignon. Je l'imaginais couiner sous mes coups de queue agressifs. Je me demandais comment m'y prendre... Comme nos frères aînés l'avaient fait avec moi ? Avec force, un peu malgré lui? Ou l'amener à se rendre avec persuasion? Je ne savais pas moi... L'emmener à me désirer tout doucement sans qu'il ne se rende compte? Parfois, je m'imaginais le basculer par terre et le violer sauvagement pendant qu'il crierait ou pleurerait. Ça m'excitait d'y penser, mais je l'aimais trop et je n'aurais jamais voulu le traumatiser en le forçant... Enfin, pas trop...Quand je vous disais que je suis un mauvais garçon ! .!
Bref, je me revois encore en cette soirée de 24 décembre. Après le souper, tout le monde avait fait le ménage de la cuisine, ensuite on était allés regarder la télévision. On avait fait un gâteau pour Bruno, qui était content de recevoir, comme à chaque année, des cadeaux de fête et puis de Noël. Ensuite, vers 21h, tout le monde allait se reposer dans s lit, pour une petite sieste de deux heures. Après, tout le monde se réveillait pour 23h, afin de recevoir le Père Noël à minuit. Même cérémonie depuis toujours! Mais moi j'étais dans mon lit et je n'arrivais pas à dormir. J'avais une érection d'enfer parce que je n'avait baisé personne depuis près d'une semaine et ma main ne me suffisait plus à ce moment. Et Bruno, dormait juste là, dans le lit à côté du mien...
Sans trop me poser de question, je me suis déshabillé et me suis étendu sur le lit en sous-vêtement. Sur le dos, les jambes poilues bien écartées, une main derrière la tête et l'autre sur la bosse chaude et dure sous le tissus, je massais mon érection en ayant aux narines l'odeur du désodorisant montant de mes aisselles. Ma propre masculinité m'excitait. Chaque fois que j'étais excité sexuellement et prêt à trouer une chatte de mec (ou de fille de temps en temps), je me sentais terriblement homme, mâle, dominant et supérieur aux garçons qui m'entouraient.
C'est dans cet état que je regardais Bruno dormir. Je le désirais tellement. Sa petite bouche pulpeuse et luisante de salive sous le clair de Lune me faisait envie comme jamais. Sans me rendre compte, je me suis levé et suis allé à genoux à côté de son lit. J'avais ma tête au niveau de son visage et mes yeux regardaient ses deux lèvres entrouvertes. Vous allez rire dema comparaison mais on aurait dit un petit anus venant d'être ouvert par un gros sexe d'homme, avec les lèvres anales gonflées et le trou incapable de se refermer par l'usure. C'est alors que j'ai approché ma bouche de la sienne et j'ai posé un doux baiser sur ses lèvres avant de sortir ma langue et de les lécher langoureusement. Comme je le ferais avec une bonne chatte chaude. Son haleine sentait et goûtait encore le crémage de gâteau sucré.
Je ne réalisais pas depuis combien de temps on était dans la chambre. Une heure, peut-être? Peu importe... J'ai pris une chance... Je me suis relevé après un dernière lécher sur sa bouche et j'ai baissé mon sous-vêtement à mes chevilles. J'ai un peu penché les jambes et ma queue tendue était maintenant au niveau de la bouche de Bruno. Mon gland, avec une goûte de précum déjà sur le bout, était à quelques centimètres de ses lèvres. Bien que je me disais : "tu diras que c'était une blague", mon cœur battait tellement fort... Mais je l'ai fait : je suis allé toucher mon gland à sa bouche. Et tranquillement, j'ai fait glisser mon précum sur ses lèvres. Fuck! C'était tellement hot, tellement bon... pis tellement obscène, immoral* !!! Un fond de culpabilité venait en moi : pas assez fort pour m'empêcher de faire ce que je voulais, mais assez fort pour me faire trembler et comprendre que j'étais devenu un parfait salaud prêt à tout pour avoir son plaisir. Même à se servir de son petit frère!
Et j'adorais ça!!! Je me sentais grand et pervers!
Si Bruno s'était réveillé avant, je me serais sans doute sauvé dans mon lit en faisant comme si de rien n'était. Mais il dormait toujours et la tension sexuelle montait en moi. J'étais rendu au point de non retour. Peu importe ce qui allait arriver, j'allais le faire. C'est alors que j'ai doucement mis mon gland entre ses lèvres et que j'ai poussé... Et poussé... De voir ma queue écarter doucement sa bouche innocente pour y pénétrer m'a presque fait jouir. Mais je suis un gars avec du contrôle et je me suis retenu tout en réprimant un gémissement. Puis j'ai commencé à branler le reste de ma queue qui était resté à l'air. Chaque fois qu'une goûte de précum sortait de mon gland pour aller dans sa bouche, je devais m'arrêter et prendre une bonne respiration. Mes couilles brulaient, prêtes à laisser sortir une rivière de sperme et inonder sa gorge à tout instant !
Après une minute à jouer comme ça dans sa bouche endormie, j'ai décidé qu'il serait mieux que mon petit Bruno soit tout à fait conscient pour continuer de s'occuper de ma queue. Après tout, je prévoyais déjà de me servir de lui régulièrement dès ce moment ! J'ai donc sorti ma queue de sa bouche confortable, en m'excitant de voir la bosse de mon gland bouger sous sa joue et contre sa langue probablement toute recouverte de mon miel.
En remontant mon sous-vêtement, j'ai commencé à le bousculer un peu pour le réveiller. Après quelques secondes, il est enfin sorti d'un rêve. Je me suis rendu compte que je l'aurais violé et il n'aurait rien senti (sauf peut-être en reprenant conscience!) Il m'a regardé, un peu perdu, les yeux à demi ouverts, en me demandant si c'était déjà le temps de se lever pour se préparer aux cadeaux.
— Non, pas encore... Mais j'ai envie de jouer à un jeu avec toi... Pis si tu réussis, tu vas avoir un cadeau avant tout le monde... Ça te tente-t-il?
Encore un peu fatigué, il s'est quand même levé. Ça voulait dire oui! Je l'ai vu avaler la salive dans sa bouche, et quand j'ai imaginé mon précum se répandre dans sa gorge, mon érection est devenue très apparente sur le devant mon sous-vêtement. Mais je m'en foutais. Et quand Bruno regardait ma grosse bosse avec curiosité, je faisais même exprès de lui laisser la vision libre. Je l'ai emmené avec moi dans le salon où la pièce sans lampe ouverte brillait grâce aux lumières du sapin. Certains des cadeaux étaient déjà à terre, et je savais que les autres étaient dans le fameux sac du Père Noël). Nous nous sommes accroupis à terre et j'ai cherché le cadeau que je voulais offrir à mon petit frère. Je l'ai trouvé et l'ai pris avec moi.
— Voilà ce que je vais te donner si tu gagnes le jeu...
— Mais c'est quoi au juste, le jeu?
— Avant de te l'expliquer, tu dois me promettre de ne rien répéter à personne de ce qu'on va faire ok? C'est un gros secret entre nous ! C'est un truc que tous les bons garçons de ton âge, comme toi, doivent faire le jour de leur 14 ans... Je l'ai fait moi aussi et tu vas voir, c'est super!
— Ok... Mais faut faire quoi?
— T'as commencé à te branler déjà?
Ma question subite et intime l'a fait rougir tout de suite.
— Euh oui...
— Et tu le trouve comment ton pénis? Il est gros?
— Je sais pas... Je crois, oui...
— Eh bien le jeu, c'est de savoir qui a la plus grosse queue. Et celui qui a la plus grosse gagne. Mais ensuite, le perdant a le moyen de s'arranger pour gagner lui aussi : il met le pénis du gagnant dans sa bouche et s'il réussit à le faire jouir, il gagne aussi. C'est comme les gars à l'université qui font une initiation.
Il me regardait d'un drôle d'air. Je voyais son intelligence qui lui faisait comprendre que c'était louche comme jeu, mais je voyais aussi son innocence qui voulait qu'il joue en oubliant le reste ! Mais c'est l'innocence et la jeunesse en lui qui a voulu agir.
— Ok!
— Cool ! Alors on commence? Baisse ton pantalon et on va mesurer nos pénis!
J'ai soudain eu une petite peur... Dans la famille, tous les gars on l'avait énorme ! Et si je perdais et qu'il me demandait de la lui sucer? Bah ça n'aurait pas été si pire, mais je préférais largement la lui mettre dans sa petite gueule d'ange! Quand il l'a sorti de son pantalon, son pénis n'était pas bandé. Je me suis permis de le branler un peu pour l'aider, et il s'est laissé faire, encore un peu endormi. Je lui devais bien ça, après tout. J'ai continué de le masturber encore un peu après qu'il soit monté à son top, pour l'exciter un peu. Ensuite, j'ai sorti ma propre queue et je l'ai mise à côté de la sienne. Mon dieu que la sienne était quand même belle et grosse pour son âge... MAIS c'est moi qui ai gagné! Il ne semblait pourtant pas déçu, mais très craintif, quand il a repris la parole...
— Bon y'a une autre option pour gagner... Mais...
— Mais quoi?
— Ben... C'est la première fois que je vais faire ça...
— T'inquiètes... Je vais t'aider... Pis on est entre frères après tout...
Mon côté dominant est vite ressorti, un peu malgré moi, alors que j'ai pris ma queue par la base et l'ai tendu à mon petit frère.
— Touche-la et suce-la... Tu vas voir, c'est bon... Tu vas aimer ça...
J'ai pris son bras et j'ai emmené sa main sur ma grosse queue. Quand il a posé ses doigts autour de mon membre, j'ai senti tout un frisson m'envahir en même temps que la contraction de mes testicules.. Dans sa main, mon sexe a encore plus durci et Bruno semblait à la fois timide et curieux. Il tardait à agir, alors j'ai moi-même avancé mes hanches pour que ma queue soit à sa bouche.
— Allez, ouvre...
À peine il a ouvert la bouche que j'ai précipité mon gland dedans. Il a un peu reculé la tête sous l'effet de la surprise et a empoigné ma queue de ses deux mains pour prendre un peu de contrôle. Avec sa bouche, il s'est mis à faire des bruits de succion et je sentais sa langue commencer à laper le frein de mon gland. C'était doux et agréable. Mais je voulais plus.
— Tu serais chiche de la prendre plus loin dans ta bouche?
Il allait retirer ma queue pour répondre mais dès qu'il a ouvert un peu plus, je la lui ai enfoncé moi-même. Puis, en lui maintenant la tête, j'ai commencé à lui baiser la gueule, sans aller trop loin pour qu'il soit malade. Au début, il voulait se débattre et il me frappait les bras, puis il s'est calmé en me laissant faire. Il devenait docile.
— Je vais aller plus loin maintenant... Relaxe ta gorge et ouvre-la bien comme il faut...
Dès que j'ai senti qu'il était prêt, j'ai mis mon gland un peu plus loin encore, mais c'était sensible pour lui. C'était sa première gorge profonde après tout. J'aimais bien voir son visage éclairé par les lumières du sapin de Noël. Les ombres ressortaient plus et sa bouche écartée par ma queue m'excitait vraiment. Ça aurait fait une belle photo que j'aurais conservé toute ma vie mais est-ce que les photos sont mieux que la mémoire d'une émotion ?.
Chaque fois qu'il avait un haut le cœur, je me retirais pour y retourner encore un peu plus profond à chaque fois, comme si je croyais que sa gorge allait s'habituer à me recevoir. Mais non, pascette fois. Pourtant, je savais fort bien qu'il devait s'y faire.
Et puis soudain, on a commencé à entendre du bruit, des gens qui marchaient un peu plus loin au fond de la maison. Déjà, les gens se réveillaient pour se préparer pour minuit. Je tenais toujours la tête de Bruno entre mes deux mains, ma queue bien plantée dans sa gueule, et je voyais la panique dans ses yeux.
— Continue! Je vais bientôt éjaculer, t'arrête pas!
Mais en fait, ce n'est plus vraiment lui qui s'activait pour me faire jouir, mais moi-même. lles Les mainsderrière sa nuque, je lui faisais aller et venir sa bouche sur ma queue, lui emmenant de plus en plus de haut le cœur. Je m'en foutais, et je le voyais qui bavait tout autour de ma queue, ça dégoulinait tout le long de son menton.
— Ça vient, ça vient!!
Je sentais qu'il commençait à mal gérer sa respiration, et il s'étouffait dans sa propre salive. De mon côté, de le voir ainsi me donna des frissons des couilles jusqu'au gland, puis j'ai senti la douce brûlure du sperme monter tout le long de ma queue. Les palpitations de mes veines faisaient grossir mon membre encore un peu plus et je lui enfonçais le tout au complet dans sa gueule en lançant un, deux, puis trois gros jets de ma semence dans sa gorge.
— Aaaaah ouihhhh !!! Avale tout!!! Fuck, t'es trop beau!!!
Ça m'excitait de jouir dans sa gorge et de chuchoter ces mots tout en sachant que n'importe qui pouvait arriver n'importe quand dans la pièce. Lui, il s'étouffait toujours, mais je ne le laissais pas s'échapper pour autant. C'était trop bon et mon plaisir valait bien le coup!
Lorsque j'ai senti que j'avais vidé mes couilles bien comme il faut, j'ai alors desserré l'étreinte sur sa tête. En se retirant de ma queue, il a pris une profonde respiration puis il s'essuya les lèvres pleines de salive. Il n'y avait aucun sperme là, tout s'était retrouvé dans son estomac avec succès. J'étais fier de moi, je venais de faire de mon petit frère ma petite suceuse chérie. Ma bouche préférée. Mais ça, il ne le savait pas encore. Ni que son cul allait bientôt devenir ma chatte personnelle.
Je venais tout juste de remonter mon sous-vêtement et lui de terminer de s'essuyer que la lumière s'alluma et notre père entrait dans la pièce.
— Mais... Que faites-vous là, les gars?
On lui a bredouillé une explication qu'il n'a pas vraiment compris, et qu'il ne semblait pas trop croire de toute façon... Et puis, pour sembler un peu plus convaincant, je lui ai expliqué une partie de la vérité :
— J'aime tellement mon petit frère adoré... Je voulais juste lui faire ouvrir mon cadeau avant celui de tout le monde! Je voulais vivre ça avec lui tout seul, et pas avec plein de monde autour...
Il semblait toujours douteux, mais il accepta notre version et nous laissa aller dans notre chambre en secret, avec le cadeau de Bruno. Il ne me reparlait même pas de mon attaque sexuelle tellement il était énervé d'ouvrir son cadeau. Il était vraiment content de trouver dans une boîte des petits bonshommes, pas si petits en fait, de certains personnages de Star Wars. Il m'a sauté dans les bras pour me remercier, et tout ce que j'avais en tête à ce moment, c'est qu'il avait encore l'odeur de ma queue et de mon sperme à son visage. Excitant au plus au point!
Déjà je m'imaginais la suite...
À suivre...
ça je le laisse à d'autres...vous ???
------un mot de Malvina------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Bien l'Bonjour , Claudio !...
> C'est Jean-Marie / Trav-Truie-Pute-Fiotte-Cuve a Jus-Incestueuse "Anne-Marie" !...
( Blog : http://jm80sexe.erog.fr/ ,
et Communauté 'Incests' : http://www.erog.fr/com-
Je te transmet ici , - afin de t'apporter ma p'tite participation a ton blog ! - , Mon recit de ce que je nomme "Mon 'declic' " pour ... LES INCESTs !... ( Et CRADs , surtout !
)
... Ce recit , c'est ce que J'AI REELLEMENT vécu , il y bien 15 ans , maintenant !...
... Je n'en ai ( plus ! , malheureusement !... ) Qu' 1 seule photo ... Mais pour Moi , CETTE photo , ... : HUMmmm !!!...
J'espere ainsi apporter ma ' p'tite touche ' de deviances perverses et d'extremes depravations / avillissements , -O combien JOUISSIFs !- ,
aupres des autres Copines ET Males Virils de ton blog !...
Au passage ; MERCI , CLAUDIO , pour les contribs-articles que tu poste dans ma communautée !... : J' APPRECIE beaucoup !...
Au PLAISIR de te lire !...
> Trav-Truie-Pute-Fiotte-Cuve a Jus/Pisses-Incestueuse a Crader/Avillir -En REEL !- ; "Anne-Marie" !...
P.S. : Tiens !... : >
Autre 'contrib' !... ( Celle la , je ne sais pas si 'elle' t'interessera autant ... )
C'est une B.D. "Incests-Crads Extremes" , que j'ai traduite de l' anglais , et que j'ai mise dans mon "SkyDrive" Live/Hotmail ... > Accessible ET PARTAGEABLE par tout l'monde
!...
http://sdrv.ms/17 25NeC ...
( Elle est sur mon blog , dans ma communauté , aussi , bien sur !... )
... Dis moi ce que t'en pense !...
Désolé mais vous comprendrez qu'il me soit impossible de chercher des illustrations pour certaines scènes de ce nouveau récit
Salut ! c'est encore moi, Pascal. Vous avez aimé "Boyfucker" le récit de mon homérique dépucelage et ma résolution d'être, comme mes frères, un baiseur impitoyable ?
Je n'avais que seize ans, mais j'étais déjà l'étalon de l'école. Enfin, ma queue et moi. Quand je prenais un autre élève dans un coin caché du lycée, qu'il ait 14, 15, 16 ou 17 ans, il savait qu'il allait y passer lui aussi. Et c'est avec crainte et respect qu'il obéissait. Pourtant, je n'en demandais pas beaucoup : juste qu'on me suce la queue et qu'on me fasse jouir ! C'est pourtant pas si compliqué ! Je veux qu'on l'ouvre bien grand pour accueillir mon arme de destruction massive ! Et, de toute façon, plus ils refusaient, et plus j'avais le goût de le leur mettre au cul aussi. Rien de mieux qu'une bonne petite chatte serrée, chaude et humide qui renâcle au début, pour prendre mon sexe du gland jusqu'aux couilles. Bien profondément ! Sept pouces de bonheur et ils en redemandent !
Une après-midi dans les toilettes vides de l'école, alors que j'enculais un petit minet blond et adorable (un jeunot de 15 ans qui était trop bon à l'école mais qui baissait ses pantalons chaque fois que je le lui demandais), un professeur nous a surpris. Mais il n'avait pas l'air surpris lui-même. Au début, j'ai eu peur de recevoir la claque du siècle. Mais non. Il nous regardait faire avec un petit sourire qui en disait long sur le plaisir qu'il ressentait au niveau de l'entre-jambe. Après avoir joui dans l'anus du blondinet sous le regard de l'homme, je l'ai laissé aller, et le prof est venu me parler.
— J'ai une information pour toi qui serait intéressante, petit salaud...
Il m'a souri et tendu un papier où se trouvait une adresse.
— Vas-y... J't'ai remarqué depuis quelques temps, j't'ai regardé faire... T'as une grosse queue, t'aimes être servi... C'est une bonne place pour toi, là-bas... C'est juste parfait pour un gars comme toi...
Curieux, un soir, j'y suis allé. C'était une maison bien ordinaire, semble-t-il. Du moins, de l'extérieur. Lorsque j'ai sonné, un homme est venu me répondre. J'ai été surpris de reconnaître le prof en question à l'entrée.
— Je savais que tu allais venir... Rentre donc et suis-moi au sous-sol.
En haut, tout était parfait. Et plusieurs photos étaient accrochées aux murs. Celle du prof et de sa famille : une femme qui semblait gentille, une jeune femme de vingt ans environ, et un garçon mignon de quinze ans. Je l'ai regardé, lui, et je le trouvais plutôt "cute". Je me le serais peut-être fait si je l'avais connu à l'école. Bref, j'ai donc suivi le prof en bas.
— J'organise ces soirées les vendredis et samedi soirs, lorsque ma femme part voir des amies pour des soirées féministes. Ce n'est pas mon genre, alors je reste souvent seul avec son fils à elle, Simon. Ce n'est pas le mien, mais je m'en occupe comme si j'étais le père. Puis il y a ma fille, mais elle vit en appartement depuis qu'elle a dix-sept ans, et je ne la vois presque jamais.
Rendu au sous-sol, je n'ai rien remarqué de spécial. Puis, il a ouvert une porte au fond qui nous menait à une salle aménagée, plutôt étrange. Il y avait des chandelles partout, des coussins à terre, des sofas, des tables, des chaises...
— Je dois te dire que tu arrives au bon moment. Juste avant l'arrivée des autres...
Je me demandais ce qui allait se passer, lorsque j'ai entendu quelque chose bouger au fond de la pièce. C'est alors qu'est apparu le petit Simon. Il était complètement nu, venant me causer une érection instantanée.
— Salut papa!
Il l'appelait papa, même s'il n'était pas le sien. Je commençais à deviner ce qui se cachait ici. Je me doutais que ça allait être sexuel, mais pas que nous allions être en présence de ce joli minet. Il n'était que d'une année plus jeune que moi, mais on aurait dit qu'il ne les faisait pas du tout. Alors que je commençais à avoir bien du poil, lui n'en avait pas du tout. Il ne faisait pas beaucoup de sport, je crois, parce qu'il était très, très mince. Juste assez pour ne pas être maigre et pour qu'il soit beau. Il portait des cheveux un peu longs, des yeux bleus et un visage doux qui le rendait féminin. Il avait un petit pénis, mais un très beau cul bien rond. Sa peau entière était plutôt blanche. Un contraste face à la peau bronzée du prof. En me rappelant de la photo de famille, j'ai bien vu que, tout récemment, ce garçon avait changé. De jeune ados de 14 ans bien ordinaire aux cheveux courts, plus masculin, il était devenu ce semblant de jeune salope en chaleur de 15 ans. Un an à peine s'était écoulé, et je voyais des changements spectaculaires.
Car, en chaleur, il l'était vraiment. Il s'est approché de moi, tout soumis, et, sans un mot, s'est agenouillé devant moi. J'ai regardé le prof, qui m'a souri en me disant de le laisser faire. Il a posé ses mains sur la bosse de mon pantalon et a commencé à me masser le paquet en me regardant dans les yeux. Il a vite défait le devant et a sorti ma queue par le trou de mon sous-vêtement. Devant mes yeux ébahis, il a commencé par sentir ma queue comme si c'était une viande délicieuse. Il s'est mis à l'embrasser doucement de ses belles lèvres. Le prof, son beau-père, l'encourageait.
— C'est ça... Montre-lui ce que je t'ai appris, mon bébé...
Après avoir embrassé ma queue, des couilles jusqu'au gland, il a commencé à lécher le bout de sa langue rosée. Puis, il a commencé à me sucer délicieusement. Et, à mon grand étonnement, il s'est mis à me faire une gorge profonde bien chaude. Bientôt, sans pouvoir me contrôler, j'ai placé ma main sur ses cheveux, je les ai poignés bien comme il faut, et je me suis mis à lui baiser la bouche et la gorge. Il n'avait pas de haut le cœur, ce qui m'a fait comprendre qu'il avait bien appris ses leçons.
— Ah oui, Simon, suce-moi bien... Avale ma queue...
Mais le prof est intervenu en m'entendant.
— Ne l'appelle pas par son prénom. Tu dois l'appeler mon bébé, ou salope, et tout autre surnoms du genre.
— ok ya pas de souci !
Mes hanches ce sont mises à aller bien comme il faut.
— Mais ne jouis pas trop vite, mon cher ! Garde ce plaisir pour plus tard... Bébé, montre-lui ta belle petite chatte d'ange...
En se relevant, Bébé est allé se placer à quatre pattes sur une table, le dos bien cambré vers le bas comme une pute, et le cul bien ressorti. Son fessier était justement au niveau de mon visage.
— Va lui lécher la chatte selon ton bon plaisir, Mon Cher.
Je m'en suis approché, et j'ai vu cet anus, ou plutôt cette chatte, qui, selon moi, avait été bien usée depuis un an. Ces belles lèvres anales n'étaient plus serrées comme un anus vierge. Non, elles étaient gonflées, rougies, irritées par des passages trop fréquents de grosses queues. Je n'avais jamais léché de cul, c'était ma première fois. J'ai d'abord posé ma langue sur cette fleur. Je l'ai lapé baveusement avant de commencer à la sucer carrément. Avec ma bouche, j'allais prendre ces lèvres anales et les aspirer, en les mordillant un peu. Bébé couinait comme une pute et il m'a rendu fou. Je me suis mis à lui manger le cul comme si ma vie en dépendait, en lui frappant les fesses.
C'est alors que deux hommes sont arrivés entre temps. Prof m'a dit de rester là à m'occuper de Bébé, que lui allait faire autre chose. J'ai demandé au jeune de recommencer à me sucer, doucement, pendant que je regardais ces autres hommes. Ils avaient avec eux deux autres garçons du même âge que Bébé, ou à peu près. Et tous lui ressemblaient : minces, tous blancs, cheveux plus longs que la moyenne, minets... Ils ont vu ce que Bébé me faisait, et moi je les regardais commencer à se déshabiller. Très vite, je me suis rendu compte qu'ils étaient aussi les autres salopes pour ces hommes. Peut-être même des fils à eux, ou des neveux. Ces deux jeunes ados ont commencé à sucer les trois hommes, à les masturber. De loin, je voyais leur cul se trémousser.
C'est ainsi que je me suis mis à jouir dans la bouche de Bébé. Je ne savais pas si je devais avertir, mais je me suis dit que le jeune devait aimer le sperme aussi. Je ne me suis pas trompé, et il a tout avalé. Puis, un peu sonné, je suis allé m'asseoir sur un sofa. Et j'ai réalisé une chose : ce qui semble exciter ces hommes, c'est le contraste. Leur peau bronzée et poilue d'hommes virils contre leur peau blanche et imberbe de garçons féminins. Et leur petite bouche et leur petit cul de pute bien serré... bien entouré autour des grosses queues de mâles, foncées, veinées et juteuses. Et je me suis rendu compte que ça m'excitait aussi. Que je n'allais certainement pas tarder à leur ressembler à ces vicieux.
À un certain moment, l'un des autres garçons est venu entre mes jambes pour me sucer. Je l'ai laissé faire, mais je n'ai pas joui, car il est allé voir le prof avant. Depuis, trois autres hommes étaient arrivés et s'amusaient avec d'autres garçons soumis qu'ils amenaient. Le plus vieil homme devait avoir 45 ans, et le plus jeune (à part moi), 25 ans. Du côté salope, les plus jeunes avaient 14, et le plus vieux 16 ans. Mon âge, mais définitivement pas pareil ! Peu importe où je regardais, donc, des hommes étaient sucés ou bien ils léchaient des chattes de garçons obéissants.
Après un moment, le prof est venu me parler.
— Viens. Je t'ai gardé une surprise...
Je l'ai suivi à nouveau. Il m'a emmené à la même table que plus tôt, où, entre-temps, Bébé avait été attaché sur le dos, les jambes pliées et écartées comme à une visite chez le gynécologue, et les bras au-dessus de sa tête.
— Joue avec sa chatte... Lèche-la, encule-la... Fist-la...
Le terme fist était nouveau pour moi. Il m'a montré un autre jeune sur une autre table où un homme lui entrait la main au complet dans le cul.
— C'est ça, le fist, mon gars... Pis, Bébé, il adore ça...
Le prof a aussitôt sorti sa grosse queue de son pantalon, et l'a donné à lécher à Bébé. Pendant ce temps, je me suis remis à lécher sa chatte, pendant quelques minutes. Puis, j'ai trempé ma queue dans du lubrifiant. Le prof semblait avoir du plaisir à me voir me préparer.
— Bébé aime ça dur, quand ça fait mal...
J'ai compris le message. Et, sans vraiment préparer son anus, j'ai commencé à lui driller le trou avec mon gland. Je prenais mon temps à entrer, pour le voir réagir. Il était sur le bord des larmes, mais il me demandait de le baiser férocement. Je forçais donc l'entrée, puis je me suis mis à l'enculer bien vite. Il criait presque, et m'excitait. Et en regardant autour, je pouvais voir d'autres hommes faire la même chose. Nous étions presque une dizaine de vrais gars à baiser des salopes. Et ça sentait le sexe!
Je suis passé du mode vite au mode violent rapidement. Je le prenais par les cuisses et j'y allais le plus rapidement, le plus profondément possible. Je grognais de plaisir et je ne m'arrêtais que pour ne pas jouir, afin de faire durer ce plaisir le plus longtemps possible. Bébé, qui avait encore la queue de son beau-père sous le nez, ne pouvait rien faire d'autre que subir. Sur ma queue, je pouvais voir des traînées de jus rosé. J'ai deviné que Bébé saignait du cul, probablement parce que j'y allais trop fort, mais que ça ne devait pas être la première fois, parce que le prof me souriait.
— Vas-y mon gars! Oui, baise-le comme un homme, cette petite salope!
Puis, l'homme s'est déplacé sur la table, maintenant nu complètement. Il s'est placé à genoux au-dessus du visage du garçon et lui a rentré toute sa queue dans la gorge. Il s'est mis à la baiser comme un fou. J'entendais des borborygmes écœurants sortir de la poitrine de Bébé, je croyais qu'il allait être malade, mais ce ne fût jamais le cas. Le prof m'a expliqué que son supposé fils n'avait pas du tout mangé de la soirée, que c'était ça la magie pour ne pas être malade lors des gorges profondes. De mon côté, je prenais les pieds de Bébé et je les mordais, lui suçais les orteils, je léchais tout le dessous à fond.
C'est alors que je me suis retiré, sans jouir. J'ai mis ma main entière dans le lubrifiant, et j'ai tout enfoncé dans ce cul accueillant. Je me suis mis à lui baiser la chatte de ma main, tantôt toute droite, tantôt en poing. La peau et le muscle de son cul s'étirait. J'ai levé les yeux et j'ai vu le prof qui jouissait dans la bouche du jeune, en lui criant des obscénités excitantes. Puis, en se retirant, j'ai vu le visage de Bébé recouvert de salive et de sperme que sa gorge recrachait naturellement pour mieux respirer, ce qu'il avait un peu de mal à faire. Mais ça m'excitait et l'érection entre ses jambes me prouvait que Bébé était au paradis.
— Au suivant!
C'était un ordre du prof. Aussitôt, un autre homme est venu prendre sa place pour baiser la gorge probablement endolorie de Bébé. Les sons écœurants ont recommencé, sans aucun dégât. Moi, je continuais à lui ouvrir la chatte bien large. De mon poing, je fessais dans la rondelle beaucoup moins serrée. Lorsque j'ai décidé d'arrêter, les bras morts, j'ai remis ma queue dedans cette chose. Voyant que ça ne me servait pas à grand chose, tellement c'était ouvert, j'ai pris un faux pénis en latex qui trainait pas loin, et l'ai mis dans le trou avec ma queue. De nouveau serré, je me suis remis à le baiser, jusqu'à ce que jouissance s'en suive. Entre temps, un autre homme était venu lui baiser la gueule déjà bien remplie de jus.
Lorsque je me suis retiré, ce que je vis était incroyable. Un homme est venu s'installer en dessous de Bébé, lui mettant sa queue au cul, puis un autre est venu le prendre dans une double-pénétration extrême. Toujours attaché, Bébé ne pouvait pas faire autrement que de se laisser prendre par tous les trous. Le prof est venu m'expliquer que la session du fist était toujours suivie par la double-pénétration pour Bébé. J'étais par contre curieux :
— Mais... Le fist va pas le rendre trop desserré?
— Non, absolument pas. Enfin, oui sur le coup, c'est le cas. Mais après un temps, ça redevient comme tu l'as découvert en arrivant. Il n'aura jamais un cul vierge à nouveau, mais ce sera toujours assez serré pour faire jouir une queue. Même une toute petite bite qui demande un trou très serré.
Pendant cette discussion, un autre garçon est venu se mettre à genoux pour me sucer la queue recouverte de sperme et du jus de cul de Bébé, y compris d'un peu de sang. Enfin, je dis un garçon, mais celui-là avait probablement 20 ans, quatre ans de plus que moi. Un homme, probablement celui qui l'avait emmené ici, s'est approché de nous et a tapoté la tête suceuse de cette nouvelle salope.
— Lui, il aime les jeunes comme toi. T'as quelle âge?
— 16 ans, monsieur.
— 16 ans... Ouais, il adore... Il n'irait jamais en bas de 14 ans, parce que c'est notre limite, ici, à tous, mais il adore être dominé par un plus jeune que lui. Ça fait trois ans que je m'en rends compte. Comme toutes les putes de la maison, il a commencé ici à 14 ans, mais après un bout j'ai bien vu que c'était ça son trip.
— Il a commencé ici à 14 ans? Ça veut dire que ça fait un bon moment que vous faites ces séances-là?
Le prof me répondit.
— Ouais... J'ai commencé tout ça quand j'avais la début vingtaine... J'te raconterai ça un jour...
La pute de 20 ans qui me suçait toujours a fini par me faire jouir à nouveau, pour la troisième fois de la soirée. Mais c'est qu'elle était bien bonne! Puis, je suis resté encore deux heures là. Surtout pour observer les gens baiser entre eux. Parfois, un des garçons venait me sucer la queue, ou me demander de le baiser, ce que je faisais avec plaisir, mais après un temps je jouissais sans éjaculation, ce qui devenait ensuite épuisant.
Et, finalement, je suis parti dans les petites heures du matin. Tous les hommes avaient baisé tous les garçons. Bébé, surtout, qui était le centre d'intérêt, et dont le corps n'était plus qu'une poupée remplie et recouverte de sperme, de salive et même un peu d'urine. Il était devenu une chose méconnaissable, comme transformée en bouillie. J'ai presque eu un instant de pitié pour ce garçon, mais de le voir sucer à nouveau son beau-père comme si c'était ce qui allait lui sauver la vie, avant d'aller se retirer dans la douche, m'a vite remis sur le bon chemin. C'était juste une salope ! Cette aventure pleine de nouveauté m'avait plu et marqué. Je n'arrivais pas, à cet âge, à porter un jugement sur les adultes ainsi réunis et bien condamnables qui faisaient de nous leurs jouets, même s'ils me faisaient jouer, à moi, le rôle qui me convenait.
À suivre...
sans rapport direct avec le récit, quelques photos du netpour le plaisir
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