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Il m'a dit : " ah, les menthes !" et il est descendu de voiture pour humer les herbes foulées.

Lui aussi avait gardé ce souvenir qui, de manière imprévue, nous unissait d'un lien que la chair n'avait pas su conserver, ni même faire naître.

Je pris sa main. Le parfum ennoblissait nos sentiments et nous ne ressentions pas le besoin d'aller plus loin au sens propre comme au sens figuré. Une complétude qui se passait des gestes ordinaires. Mais ça je faisais plus que l'admettre.

Toutes les fois que je l'avais rencontré je pensais à la force fragile de l'extra-terrestre Petit Prince, triomphant du scepticisme du Terrien. 

Dans son beau regard bleu d'enfant du désert, je cherchais à deviner où était  sa " fleur unique au monde" à lui et  sa "planète", et qui était le" petit mouton qui peut anéantir [son rêve] d'un seul coup, comme ça, un matin, sans se rendre compte " ?...

Nous étions sur une ïle créée par le parfum des menthes - à tout moment je craignais que cette petite voix qui me confiait des bribes de sa vie ne vacille et s'éteigne.

J'aurais souhaité qu'il éclate en sanglots, qu'il lâche prise, me moquant bien du reste du monde, de mon propre sort et de la mort. Il y avait,sur la planète Terre, un petit prince malade et faible à consoler ! Je le prenais dans mes bras. Je le berçais. Je lui disais: "Tu n'es pas en danger... Tous tes rêves sont intacts ... Je t'aiderai de toutes mes forces et sans contrepartie... Je..." Je ne savais pas trop quoi dire. Je me sentais très maladroit. Je ne savais où l'atteindre, où le rejoindre... C'est tellement mystérieux, le pays des larmes."

"Le parfum, c’est le lien le plus fort avec l’émotion", souligne

"Seul le parfum est capable de nous faire voyager dans le temps, de nous rappeler, par exemple, les émois de nos 15 ans", affirme cette passionnée. Mais si le parfum est un lien avec l’émotion, c’est aussi parce qu’il s’inscrit dans la mémoire. Un parfum, c’est d’abord un souvenir.

 nous marchions dans les menthes  et c'était comme une île...

"Le parfum, c’est le lien le plus direct de nos sens avec la pensée",

"Le parfum est capable de nous faire voyager dans le temps, de nous rappeler les émois de nos joies passées", Mais si le parfum est un lien avec l’émotion, c’est aussi parce qu’il s’inscrit dans la mémoire. Un parfum, ça peut être d’abord un souvenir.

 POEME PARALLELE  La comparaison avec une fille tient le coup. Il va se récrier le cher M..! 

"Cette odeur sur les pieds,de narcisse et de menthe

Parce qu'ils ont foulé dans leur course légère

Fraîches écloses les fleurs des nuits printanières

Renplira tout mon coeur de ses vagues dormantes

Et peut-être très loin sur ces jambes polies

Tremblant de la caresse encor de l'herbe haute

Ce parfum végétal qui monte lorsque j'ôte

Tes bas éclaboussés de rosée ou de pluie

Jusqu'à cette rancoeur du ventre pâle et lisse

Où l'ambre et la sueur divinement se mêlent

Aux pétales séchées au milieu des dentelles

Quand sur les pentes d'ombre inerte mes mains glissent

Laurence...jusqu'aux flux brûlant de ta poitrine

Gonflée et toute crépitante de lumière

Hors de la fauve floraison des primevères

Où s'épuisent en vain ma bouche et mes narines.

Jusqu'à la senteur lourde de ta chevelure

Éparse sur le sol comme une étoile blonde

Où tu as répandu tous les parfums du monde

Pour assouvir enfin la soif qui me torture ! "

Patrice de La Tour du Pin 

  composé et regroupé par claudio 

classé dans RECITS REELS INITIATIONS

J’ai de nombreux défauts...je suis voyeur et j'ai toujours besoin de raconter... 

J’avais 17 ans et je vivais seul avec mon père, Louis, qui avait 45 ans. Il était veuf et depuis la mort de ma mère qu’il considérait comme son seul amour, il avait de temps en temps des aventures plus ou moins longues avec ses conquêtes féminines. On ne se cachait rien des choses du sexe, en tout cas de mon côté, je lui avais raconté assez rapidement mes rencontres avec les filles. Papa m’avait donné des conseils, je l’avais vu bander plus d’une fois, notamment le matin lorsqu’il sortait de sa chambre avec une grosse bosse au niveau du slip. Je l’avais même vu se branler deux ou trois fois sous la douche. Me voir ne l’avait pas interrompu ce qui me semble exceptionnel chez un père.

Comme j’étais curieux, une autre fois où j’avais remarqué qu’il allait se livrer à son petit manège, je m’étais glissé dans son bureau. Il était en train de se branler et avait éjaculé dans un mouchoir en papier en regardant une revue lorsque quelqu’un avait sonné. Il s’était rhabillé tranquillement et était allé ouvrir la porte, tandis que j’en avais profité pour sortir de ma cachette, récupérer le mouchoir froissé et j’avais reniflé le liquide odorant pour voir s’il était identique au mien. 

Un hiver, il se mit à sortir avec Colette qui avait 10 ans de plus que lui. Or celle-ci commença à me draguer et je ne savais pas trop si je devais avoir une aventure avec elle sans lui dire. Je n’ai pas eu la peine de me poser la question: un soir que nous regardions tous les trois la télé, ils commencèrent tous les deux à se bécoter quand j’ai senti sa main à elle sur mon pantalon. Mon père la laissait faire. Elle me débraguetta et se mit à me sucer pendant qu’il me souriait, complice. Nous nous sommes retrouvés à trois, mon père à l’enculer et moi dans sa chatte.  Pas de souci :  j’ai retrouvé deux jours plus tard papa en train de se faire ma petite amie du moment.

Mais un jour, je compris que, là,’il avait une nouvelle femme qu’il me cachait. J’avais remarqué qu’il avait passé plusieurs nuits à l’extérieur, ce qui était signe d’une conquête, mais il ne m’en parlait pas. Devant m’absenter plusieurs jours, je partis plein de questions qui trouvèrent une partie de leur réponse car le voyage fut écourté. Je suis donc rentré un soir plus tôt à l’improviste. Comme la maison était grande et que la chambre de papa était à une autre extrémité, je m’y suis rendu pensant l’y trouver pour lui faire la surprise.

Or j’entendais des cris de plaisir inhabituels, même si mon père faisait l’amour sans aucune gêne, il semblait y trouver particulièrement son compte. Du coup, j’essayai discrètement d’observer ses ébats et comme les portes étaient ouvertes, ce fut facile. Mon père était en train d’enculer une fille très maquillée aux gros seins. Au vu de sa tenue, c’était une prostituée. J’étais un peu déçu, papa payait maintenant? À moins que ce ne soit un fantasme?

Le matin, mon père fut assez surpris quand il arriva à la cuisine, la main dans le slip comme d’habitude. Il avait l’air gêné. Je lui dis tout de suite que j’avais entendu. Du coup il me présenta Cindy qui s’apprêtait à partir. Il me raconta qu’il était fou d’elle mais qu’il ne voulait pas m’embarrasser et qu’il ne l’emmènerait plus. J’étais un peu déçu alors je décidai de monter un stratagème. J’annonçai à mon père que je partais pour la nuit chez ma copine du moment mais il n’en fut rien. J’espérai qu’il ferait venir Cindy et que je pourrai satisfaire ma curiosité.

Elle n’arriva pas avant quatre heures du matin mais caché dans un placard, je n’en perdis pas une miette et je fus très très surpris quand je vis papa assis sur elle et se relever. Il était en effet emmanché sur une longue queue, Cindy était un travesti. Je bouillais d’aller voir ça de plus près. Je sortis discrètement du placard et de la chambre, me déshabillai et revint le plus naturellement possible, la bite à l’air, fièrement dressée par l’excitation. Quand mon père me vit approcher du lit, tout empalé qu’il était, je vis sa figure se décomposer. Cindy, dont le front perlait de gouttes de sueur me fit au contraire un grand sourire et ouvrit la bouche en se passant la langue sur les lèvres, de telle manière que je ne pouvais résister à cette avance. Elle me suça avec beaucoup d’ardeur tout en continuant à besogner mon père. Elle nous proposa alors de changer de position mais auparavant nous fit nous embrasser à trois.

Elle me fit allonger sur le dos et c’est elle qui s’assit sur ma bite. Elle savait tellement bien diriger les choses que j’eus vite fait de jouir avant de laisser mon père se livrer à une branlette espagnole entre ses deux gros seins. Elle reçut tout le sperme sur le visage, s’essuya avec ses doigts qu’elle léchait puis me fit goûter de la semence paternelle. Après un moment de repos, j’étais à nouveau allongé sur le dos lorsqu’elle s’assit sur ma poitrine, les fesses vers mon visage et elle se pencha sur ma bite. Du coup je me retrouvai face à son anus et sa queue. Emporté par l’élan, je n’eus pas de réticences à lécher le tout. Mon père, lui, continuait à lui malaxer les seins. Elle lâcha alors ma queue et se mit à embrasser mon père qui se retrouva face à elle. 

Même si elle devinait la retenue qu'il y a entre un père et un fils, elle semble nous avoirconsidérés comme un couple de même sexe... elle le fit déplacer légèrement et il se retrouva lui aussi assis sur moi. Son anus était dilaté par l’enculade qu’elle lui avait administrée, ma bite qui s’était redressée, trouva toute seule le chemin et je me rendis compte que je sodomisais mon père. C’était trop bon pour y renoncer. Cindy alors quitta sa position et je me retrouvai face à papa qui se laissait faire. Je lui lâchai la purée et nous nous embrassâmes à nouveau.

Je pense que rares sont les fils qui connaissent leur père à ce point ...

Alors comme ça mon père se faisait enculer. Après tout c’était son droit et c’était surtout très bon, je n’allais pas me priver de le faire...il y eut peu d'autres occasions comme ça mais ce fut à la fois une bonne initiation et un merveilleux souvenir.¤

  alors, raconte !