Deux heures que je croupis au fond d’un trou immonde. Ils me sont tombés dessus à trois, m’ont fourré un sac sur la tête et m’ont emmené dans cet endroit. J’ai eu tout le temps de penser. Ils en veulent à mon fric. Ils demanderont une rançon à ma femme. Elle va céder c’est certain.
La porte grince et deux silhouettes s’avancent.
— Amène-toi!
— Qu’est-ce que vous voulez au juste?
— Ta gueule! Magne ton cul... C’est lui qu’on veut!
Gros rire gras. Impossible d’en obtenir quelque chose. Ce sont des sous-fifres qui agissent sans savoir pourquoi il le font. Donc, voulant éviter un mauvais coup, je suis les deux types. Ils m’emmènent dans une espèce de hangar éclairé par deux candélabres. L’ambiance est sinistre. Je n’ai pas eu le temps de réagir que deux autres mecs me tombent sur le dos et commencent à enlever - que dis-je, déchirer! - mes fringues.
— Eh, merde! Vous êtes fous...
Une mandale sur la tronche.
Pas d’explications.
Ils m’ont carrément foutu à poil et j’essaie de cacher ma bite molle derrière mes mains. Je suis plaqué au sol en deux coups de cuillère à pot. Vlan! Un objet me fouille le cul.
— Arrêtez, bande de tarés!
Deuxième mandale. Je sens un filet chaud couler sur ma joue. C’est décidé, je morfle sans dire un mot. Ces mecs sont vraiment dangereux. Je comprends que l’objet qui me fouille le cul est une matraque. Bien vite, elle est remplacée par une bite bien longue et bien dure. Je ne vois pas mon enculeur puisqu’ils sont trois autres à me tenir fermement. J’ai le visage plaqué contre un ballot de paille. Je préfère encore ne rien voir. Je saigne au visage et l’horrible douleur rectale me fait penser que je saigne là-bas aussi. Mon cul est en feu. Ils seront quatre à me «sauter» comme la pute du coin... sauf qu’ici ça ne me rapporte pas un rond. J’ai cette espèce de faculté de prendre sur moi et de pouvoir maîtriser mon angoisse. Je ne craque pas.
Noir.
Suis-je à nouveau dans mon trou humide? Sûrement. Maintenant, je suis à poil.
La porte grince. La lumière me fait mal aux yeux.
— Y’a du beau monde pour toi.
On me transporte comme un fétu de paille dans l’endroit du premier viol. J’ai dû être drogué car je ne vois que des ombres floues. Il y a effectivement du monde. On me palpe, me tripote. Ma bite est soupesée et mon cul bien claqué.
— Bel objet! dit un type que je devine bedonnant.
Je reste amorphe. Avec leur drogue, je suis devenu un jouet sexuel. Couché sur une table, je subis. Tous ceux que je suce éjaculent dans ma bouche et me forcent à boire leur urine. Je ne suis même pas dégoûté. Plusieurs mâles s’avancent, écartant les autres, et profitent de ma bouche et de mon cul avec force et violence. Ils me laissent le cul béant, dégoulinant de leur sperme. Je le sens couler sur mes cuisses et sur mon visage. On m’a baisé quinze fois et j’ai le cul en feu. Il y a deux ou trois femmes. Elles regardent et n’agissent pas. Un nouvel arrivant écarte mes fesses. Son visage reste flou et pourtant il semble me rappeler quelqu’un. L’homme guide sa grosse queue à l’entrée de mon petit cul. Les invités se rapprochent pour voir l’esclave se faire éclater l’oignon. Il éructe, souffle et presse le gland de son énorme braquemart contre mon trou douloureux. Il y arrive mais avec difficulté. Quelqu’un lui parle, il s’énerve.
— Je veux son cul! Ce sera ma vengeance!
On apporte du lubrifiant et on m’en tartine la rondelle cuisante. Il réapparaît au-dessus de moi. Il repositionne son sexe d’âne sur mon anus, attrape mes hanches et me viole. J’ai l'impression d'être coupé en deux. Ma main part vers ce trou violé qui crie «De grâce!» et elle entre en contact avec de la graisse et un liquide tiède. Du sang! Je suis certainement déchiré! Je hurle avec ce qui me reste de force. Loin de l'arrêter, mes cris semblent juste l'encourager. Il n’a qu’un but: enfoncer son membre à fond dans son ventre. Je n’ai jamais senti quelque chose d'aussi gros en moi. Dire que je déteste les suppositoires. Il commence à me baiser lentement, ressortant complètement puis me pénétrant à nouveau. Il me pilonne, sans se soucier de ma souffrance. Si ce type veut se venger de moi, je dois donc le connaître. Mon esprit est trop occupé pour analyser la situation. L’homme s’emballe et ses cuisses viennent claquer contre mes fesses. Les voix s’élèvent. Le public l’encourage. Il pousse un grognement de plaisir, se retire et vient me coller sa matraque dans la bouche et où il jouit à gros bouillons. J’entends des sifflets et des applaudissements.
Une fillette est penchée au-dessus de moi. Un ange, sans doute?
— Pourquoi t’es tout nu, monsieur?
Je sors doucement de ma torpeur. Effectivement, je suis nu et dans un endroit que je ne connais pas. J’essaie de rassembler le puzzle des dernières 24 heures. À qui vais-je bien pouvoir dire qu’on m’a violé? Qui me croira? La fillette me dit quelque chose que je ne comprends pas et s’enfuit. Elle a laissé tomber un papier rose. Je le ramasse, le déplie...
«Tu l’as bien cherché, Nico. Personne n’avait osé se refuser à moi. Je t’aimais trop. J’ai eu le dernier mot.»
Ce qui m’inquiète c’est que je m’appelle Luis...
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ILLUSTRATIONS REELLES
Au Zimbabwe, un soldat a été capturé par quatre femmes et agressé sexuellement, rapporte le site du Daily Mail. L'homme, âgé de 25 ans, a été retenu prisonnier pendant environ une semaine. Avant de l'abandonner dans les montagnes, ses ravisseuses lui ont jeté des pierres. La victime a été kidnappée en voiture dans la ville de Mutare. A la moindre plainte, l'homme était menacé avec un couteau, explique le site.
Après des heures et des kilomètres parcourus en voiture, l'homme a été emmené dans une maison. Là, il a été contraint d'avoir plusieurs rapports sexuels avec l'une des femmes entre les 19 et 23 avril, a expliqué la police. On lui a ensuite bandé les yeux avant de l'abandonner dans les montagnes de Dangamvura. A cet endroit, les femmes lui ont lapidé le pied gauche, lui causant une blessure sévère.
Les suspectes ont ensuite pris la fuite et le soldat s'est rendu au poste de police de Sakubva pour porter plainte.
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Tarbes
"Ou TOUT est PERMIS , mais RIEN n'est IMPOSé ,
"Pour Le PLAISIR de tout le monde ,
"Dans le respect des limites de chacun" !...
... Le Viol REEL EST a l' OPPOSé de ce 'precepte' !...
>>> Bien sur , ON peux 'JOUER' -de façon CONSENTIE !- aux 'Viols' !... La , C'est pas 'Du Viol' !... : C'est Un SCENARIO !...
Apres , y'a un autre 'concept' BEAUCOUP plus 'ambigue' , LUI !... > Dans les Incests ... REELs , avec ... Les Enfants !...
Pour ma part , CA , C'est HORS de Question !... (Méme si CA me fait fantasmer !)
... Avec Une Famille OU ILS/Elles sont TOUS ADULTES , - ET CONSENTANTS ! - , la , y'a pas de problèmes ...
Mais comme en plus "CA" ne se trouve pas 'comme ca' , des familles 'comme ca' , ... > Ca resoud donc le probleme !...
> Ne reste plus que les Scenarios , Les JEUX de ROLES !...
...
... J'espere avoir repondu a ton interrogation , Claudio !...
Trav-Truie-Pute-Fiotte "Anne-Marie" !...
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