Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 07:05

Le mouvement Rasta  (préparation au prochain récit)

 

Les Rastas et le canabis

Pourquoi les rasta fument du cannabis ?

Les rasta fument la ganja car premièrement, elle est décrite dans la Bible comme étant l'arbre de la sagesse ou l'arbre de la vie : "l'Arbre de Vie dont le feuillage sert à la guérison des nations" (Apocalypse 22.2). La plante de cannabis est donc sacrée pour les rasta et sert de pratique religieuse comme le vin pour les chrétiens.
Cela aide à méditer et à communiquer avec Jah. Cela permet à trouver une voie intérieure pacifique et contemplative.
La ganja est naturelle, et non une substance créée par l'homme, donnée par Dieu à l'humanité pour être utilisée par l'humanité comme elle l'entend, de la même façon qu'Il fournit d'autres herbes ou buissons. En tant que substance naturelle, la ganja n'a pas besoin d'être cultivé. Répandu par les oiseaux et d'autres facteurs, il pousse de façon sauvage. Il ne peut conséquemment pas éradiqué. Dieu a créé d'autres herbes, mais aucune n'est sujette à la prohibition imposée par la loi.

Pour les Rasta : Jah a créé toute la terre, les arbres, les graines, vous savez, alors si vous voulez vous battre contre les herbes, vous combattez ce qu'il a fait. Vous savez déjà que l'homme se bat contre plusieurs de Ses créations. Si vous inculpez un homme pour l'herbe, vous devez inculper Dieu, puisqu'il en est le créateur.

Comment les Rasta pratiquent leur communion avec Jah ?

Pendant le rituel, les fidèles inhalent "la fumée de ganja sacré". Cette inhalation est décrite comme une "communion".
Après la communion, le prêtre distribue la ganja béni en petite quantité aux hommes rastas de 21 ans et plus, pour leur usage personnel à la maison. Une telle ingestion n'est pas vue comme récréationnelle.
"Nous croyons que lorsque quelqu'un est initié à de tels principes, l'herbe n'est plus perçu comme quelque chose qui fait planer, mais comme une partie du corps du christ qui donne de la force" a dit un témoin.
Les Rastas et le canabis
Le mouvement RastaLe mouvement Rasta

Le mouvement Rasta est un pur produit de la culture Jamaïcaine : celle de l'oppression et de la souffrance.
Grâce à leur charisme et à leur combat pour l'Afrique et les africains autochtones ou arrachés à leur Terre d'origine par le commerce triangulaire, Marcus Garvey et Haïle Selassie Ier ont fait naître la voie à cette foi moderne, bien que tournée vers ses racines.
La LIVITY Rasta est un mode de vie basée sur l'Amour de Dieu, des autres et donc de soi. C'est en cela qu'on peut parler de religion Rasta.
Le fait qu'elle prône la méditation, la lecture de la Bible et qu'elle refuse tout chef à part JAH ainsi que son développement mondial la préserve de l'appellation de secte. Malgré les idées radicales de Howell et bien qu'en sachant qu'une de ses aspirations la plus profonde est le rapatriement en Afrique, même des Blancs deviennent Rastas. En fait étant donné qu'elle est issu d'une culture orale (celle des Antillais), la foi Rasta revêt un caractère évolutif ainsi qu'une grande capacité d'adaptation. L'envers de cette médaille est qu'il reste donc difficile de savoir qui est Rasta. Ainsi à la télévision et dans l'opinion publique les dealers, drogués et gangster en tout genre Noirs avec des LOCKS sont appelés Rasta pourtant ils n'ont « les locks que sur leur tête mais pas dans leur coeur » (Jacob Miller) et comme l'a scandé plus récemment le groupe de reaggae grenoblois Sinsemilia par sa reprise de la mauvaise réputation de Georges Brassens : Il n'est pas necesaire d'avoir des dreads ou une crête sur la tête pour être un rebelle...
Quoiqu'il en soit, c'est dans les ghettos et banlieues du monde entier où la misère cette culture positive et optimiste prend tout son sens, et comme le chante Bob Marley : Get up, stand up, don't give up the fight !
Le Natural Mystic de la foi Rasta reste bien présent, il réchauffe l'âme et apporte un espoir de cohésion dans un monde où les relations géopolitiques sont de plus en plus alarmantes...
Loin de cette culture on montre les rastas comme des fumeurs de canabis, les industrielles vendent des figurines et autres amuses-gueules aux jeunes qui voit le rastafari comme la liberté qui leurs manque, une déformation continuelle.

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 06:43

rangé dans la catégorie CULTURE GAY

 Il y a en France  une forte et belle communauté antillaise

Mais Stan, le personnage de mon prochain texte  est en Guadeloupe et rêvait de venir visiter Paris. Il est gay et drague sur le net...

 

  Ils sont beaux, adorables, n'est-ce pas, nos amis antillais !  J'essaie que ce ne soit pas

seulement ma libido qui parle !  

 

contre-jour

------------------------------------------------------------------de tout ---------------------------------------------------------------------------- 

  Antillais beau cul cherche longues queues à Vienne (38)

Antillais BOCUL et QUE passif 1m75 45ans 93kg aime etre pris en profondeur en étant attaché sur le ventre , puis etre sodomisé apres avoir été bâillonné et fessé . JE CHERCHE DES L O N G U E S queux car j`aime etre pris bien à fond dans mon trou serré . Contact par e-mail cliquez ici.

------------------------------------------------------------ce qu'il y a dans l'âme antillaise--------------------------------------------------------------

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 2 novembre 6 02 /11 /Nov 22:16

Paru dans CULTURE GAY (38)

 

Dans le tout prochain article j'unirai un guadeloupéen marrant et les (t)chats du net.

   en fait les chats m'ont rarement déçu...mais quand aux hommes sur les (t)chats du net , oui.

Pourtant, c'est là qu'ils sont, devant leurs écrans :

 

 ...paraît qu'ils sortent plus...

"On entend dire de plus en plus que la communauté homosexuelle a du mal à faire bloc, à ne pas se disperser, que la convivialité des lieux de drague est en perte de vitesse parce que « les » homos ne sortent plus". Ils préfèrent fréquenter des superman virtuels   En France, les espaces de sociabilité sont suffisants pour accueillir tous les gays, mais ceux-ci, en bons enfants gâtés, déserteraient les locaux associatifs, les bars de tous les Marais du monde, et les endroits étiquetés gay friendly ; ils ne se déplaceraient plus (ce qui est assez vrai) dans les festivals culturels qui leur sont dédiés ; ils privilégieraient les rencontres inter-personnelles plutôt que les rassemblements en grand groupe,                  même si les (t)chats les font pleurer...(ici en Provence et en Val de DURANCE, avec l'application stricte de la loi sur les zones humides* voir en fin d'article, les maires se sont appliqués à faire disparaître les lieux de drague, et les gays, eux, sont-ils d'accord pour cultiver leurs illusions sur le net ? ou pas le choix ? ) 

J'y suis tous les jours avec vous et je ne suis pas de ceux qui se plaignent d’Internet, et qui disent que les « chat » homos « c’est trop cul, trop superficiel, trop commercial » ), mais se comportent généralement comme les autres internautes. Souvent ils vont à leurs rencontres la peur au ventre (ça s'arrange nécessairement lol). Ainsi j'avais un pote du net (il m'appelait"Tonton") qui me donnait toutes les coordonnées de ses RV avant d'y aller, de peur qu'il ne lui arrive malheur...Et dieu sait s'il était compulsif dans ses recherches ! 

C'est que, malgré les skype et autres,  chacun raconte ce qu'il veut sur le net.

                                           

La majorité des utilisateurs des sites homos prétextent qu’ils ne doivent rendre compte d’aucun de leurs agissements, de leurs mots, de leurs sentiments, parce qu’Internet « ce n’est pas si important que cela car ça n’est, au final, que du virtuel », qu’une illusion de Réel. Ce n’est que du virtuel ?

 

Je pratique trop souvent et ouvertement dans ce blog LE FAKE pour rigoler ! Cela n'est "du virtuel (= comprendre superficielet "fake", faux) seulement si nous le voulons !  Au fond, depuis le début des (t)chats nous avons contribué à les dévaloriser par des comportements, disons-le, hypocrites.  

HONESTY IS SUCH A LONELY WORD

Allons-y pour le " rêve" , à l'étalage on trouve :  « j'ai besoin et  envies de prince charmant ».   l’utilisateur se choisit lui-même comme « mac », et se prostitue apparemment de plein gré. (« jhTBM », « mec-chaud », « beurcoquin », « Hotknight» violence de cette forme de prostitution qui se veut "plan direct" et transforme tout participant des sites en bout de viande sur un étalage. C'est (c'était) plus franc, reconnaissez-le, sur les dragues en plein air . Au rayon sucreries on remarquera : les bonbons, les biscuits, les friandises (« Crunchyboy », « Lollypop », « Sugarbabe », « Ptibiscui », etc.).

Sinon on se raconte quelques fables qui ne peuvent tromper queles aveugles oules sourds :

"Je veux idéalement du sérieux, mais entre temps, je n’ai rien contre un plan Q… ; Pour une nuit OU pour la vie. " " On verra bien… Qui vivra verra… au feeling… voire plus En attendant… Et plus si affinités… "  Les mecs te promettent évasivement la lune ....ils ratissent et font leur marché "… à vos claviers…"

  La plupart mentent sur leur âge, leur situation de famille et si encore ils se contentaient du flou, mais non, ils s'inventent une vie et sûrement des performances fantaisistes...

 

Bref je déteste les (t)chats qui ont tué la vraie drague et pour ce qui est du fake, je l'adore pourvu qu'il soit à découvert comme vous le retrouvez dans nos courriels à Fabien et moi et quelquefois René dont j'ai dû effacer la plupart  en raison des risques qu'il encourt pour être gay au Cameroun...

Je préfère nettement le mec qui s'exhibe et montre sa bite et ses oreilles décollées dans les bois en bord de route au Prince Charmant Virtuel...Libre à vous les amis de vous masturber devant l'écran.  Ce que je ne réprouve pas quand même !

Dans mon prochain article je mettrai en scène un noir comme René et, comme fond de tableau une visite à Paris doublée d'un RV du net...et on va s'éclater car il est plein de vie et d'humour.

* attention zone humide :

     

 

     

 

ZONE HUMIDE SUITE
Attention si vous cliquez sur les images vous serez dirigé vers un site payant

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danger des (t)chats lol

Par claudio - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 2 novembre 6 02 /11 /Nov 21:30

 

Ce récit de Pascal m'a inspiré parce qu'il rappelle des situations médiatico politiques où de jeunes fils de gens d'une grande notoriété reviennent sur leurs jeunes années.(*lien en bas de page). Un secret de famille qui éclate au grand jour, à grand scandale.

Dans le récit Bruno, dans le passé, a subi la volonté de son frère aîné qui, aux termes de la loi, l'a violé en lui imposant de lui faire une fellation alors qu'il était totalement "innocent", puceau de corps et d'esprit.

Plus ou moins, je dis plus ou moins, dans combien de cas si ce n'est pas un frère, que ce soit un inconnu ou un copain, le trauma d'une initiation n'est-il pas toujours un peu la même chose. Il faut la digérer...surtout si on n'a été consentant qu'à la fin, ou pas du tout ! Après l'esprit travaille, accompagné des sens. Conclusion positive ou négative. On se comprend n'est-ce pas ?... Allez, lisons plutôt !

 

 

 

Nous sommes deux frères : Bruno a maintenant 17 ans, il fait 1m75 pour 70 kg, bien proportionné. Moi j'ai 19 ans et je fais 1m78 pour 73 kg. Nous sommes tous les deux bruns avec des cheveux courts et la peau légèrement mate.

Je craignais que Bruno ne m'en aie voulu de l'avoir forcé à me sucer. Depuis, rien et pas un mot sur "la chose".

Nous sommes vendredi et les vieux et les autres viennent de partir pour le week-end. Il est 19 heures, nous avons dîné, je suis devant la télé et Bruno est monté dans sa chambre pour travailler.

À cette heure-ci le programme n'est pas très intéressant, je monte dans ma chambre pour chercher des cigarettes. Je passe devant la chambre de Bruno , la porte est ouverte, il est sur son ordinateur. Je vais dans ma chambre chercher mes clopes au retour je regarde dans la chambre de Bruno machinalement et surprise, je vois sur son écran deux mecs en train de se sucer. Il est sur Internet sur un site homo.

Doucement je rentre dans sa chambre, me rapproche de lui sans faire de bruit, il vient d'afficher une nouvelle image où l'on voit trois mecs, un avec sa queue enfoncée dans le cul d'un deuxième qui vient de jouir sur son ventre pendant que le troisième vient de lui jouir sur le visage. Il a le visage couvert de sperme, il en a sur la langue. Bruno qui ne s'est pas aperçu de ma présence est en slip, il a sorti sa queue qu'il masturbe lentement depuis un moment. Cela fait un moment que je n'avais vu mon frère à poil, il est pas mal monté le petit frère, musclé finement, belle queue au moins 18 cm, gland large bien décalotté. De voir mon frère se branler sa belle queue devant des mecs qui se donnent du plaisir me fait dresser ma queue qui pointe sous mon boxer.

— Alors p'tit frère, on se branle devant un site gay sur Internet?

Bruno sursaute, remonte son slip, son visage est marqué par la peur, rouge de honte. Il fait un bond et me dit:

       "-- depuis je fais qu'y penser"

Sa gêne me tracasse, le pauvre petit frère, alors que j'ai forcé son premier pas il y a quelques mois,c'est moi qui devrais avoir honte ! J'ai tout de suite envie et d'aller plus loin qu'une fellation.

Ca me sidère le fait qu'il se souvienne de la fellation un peu forcée de la dernière fois et donc qu'il ne m'en veuille pas !

— je l'avais jamais fait, tu sais que je suis puceau, ça m'excite sur Internet mais à part la fois où je t'ai sucé je n'ai jamais rien fait.

— Bon petit frère, je vais te montrer comment on fait après, tu me rendras la pareille.

Je fais tourner son siège me mets à genoux entre ses cuisses. Je pose mes mains sur l'élastique de son slip pour le faire descendre, mais il refuse.

— Petit frère, tu as mon marché, alors laisse toi faire tu verras c'est bon et tu vas mieux savoir comment on fait.

Il est vaincu le petit frère, je glisse mes doigts sous l'élastique du slip pour le faire glisser, Bruno soulève les fesses pour m'aider, il est tout rouge.

— Détends toi, on est entre frères.

— Oui je sais, mais...

Il retire ses bras vers l'arrière...feu vert je note ! Je fais glisser son slip qui libère une belle queue bandée et une belle paire de couilles. Mais surprise, je comprends pourquoi il est si rouge et gêné. Il a le bas du ventre complètement rasé, pubis, couilles, fesses et son trou sont vierges de poils.

— Dis donc petit frère, qu'est-ce que je vois t'as le cul rasé dis-je en effleurant ses fesses ?

— Je t'en supplie ne...

— Oui je sais je ne dirai rien à personne, en plus tu sais que de voir ton matériel à l'air comme ça sans un poil c'est super.

— C'est vrai ? me dit-il avec un sourire qui commence à apparaître.

— Oui petit frère c'est très excitant.

Ça y est il est détendu. Je m'approche de son paquet qui sent bon le jeune homme au maximum de sa forme, il sent bon. Je lui lèche les couilles, il découvre un plaisir nouveau et pousse des gémissements ponctués de "oui c'est bon". Doucement je glisse ma langue sur son trou, il se raidit puis sentant le plaisir que je lui donne il s'abandonne à mes caresses. Les gémissements montent en intensité. La timidité, la pudeur et la gêne ont disparu. Il se laisse faire et il aime. Je marque une pause pour le regarder, il a un sourire béat. Il ouvre les yeux et d'un air interrogateur me dit:

— Pourquoi t'arrêtes?

— C'était juste pour voir si tu aimais?

— Oh tu peux continuer, tu me donnes énormément de plaisir, jusqu'à présent le seul plaisir que j'avais me venait de mes branlettes.

— Bon puisque tu aimes je continue.

Et de fait je prends sa queue en main, je découvre son gland, je le fais rentrer dans ma bouche et l'entoure avec ma langue, il gémit de plus belle. Mon autre main lui masse les couilles, il ondule du bassin. Je commence à le sucer de bon coeur, sa queue prend un peu plus de volume, je sens qu'il va bientôt cracher son jus.

— C'est bon, c'est bon! dit-il de plus en plus fort.

Je sens des sursauts dans sa queue il va exploser.

— Arrête je vais jouir, me dit-il.

Il tente de sortir sa queue de ma bouche, moi,du coup, désirant le voir tout à fait à l'aise, je l'enfonce plus profond et redouble d'ardeur. Un spasme puis deux et le voilà qui me lâche quatre longs jets de sperme dans un cri de forcené, heureusement que nous sommes en pavillon sinon les voisins auraient appelé la police. Le pauvre Bruno est secoué de spasmes tant l'effet a été violent pour lui, il est hors d'haleine comme s'il avait couru un kilomètre. J'ai gardé son sperme légèrement sucré dans ma bouche. Il ouvre les yeux me fait un grand sourire et me dit:

— Merci, putain tu sais faire !

Je l'aide à se lever le prends dans mes bras et approche mes lèvres des siennes qu'il entrouvre. Je plaque mes lèvres et lui donne à goûter son jus. Il a un moment de recul, puis revient après réflexion et vient mélanger son sperme et nos salives dans un élan fougueux. Il me suce la langue comme s'il voulait récupérer tout son sperme. Nous nous séparons. Il est radieux.

— Et bien dis donc, pour quelqu'un qui ne voulait pas se lancer t'as l'air d'aimer petit frère non?

— Oui c'est vachement bon, je n'imaginais pas que ça pouvait être aussi bon.

— J'ai une petite soif pas toi?

— Oui moi aussi on descend boire un coup?

— Ok petit frère.

Nous descendons tous les deux, Bruno est devant moi, son beau petit cul à l'air, il a oublié toute pudeur. Il a vraiment un petit cul craquant le frangin.

— Installe-toi, me dit Bruno. Je vais chercher des bières.

Je m'installe dans le canapé, allume une clope. Tiens c'est parce que j'avais envie de fumer que tout ça est arrivé, ça me fait rire. Bruno revient.

— Pourquoi tu ris?

— Je riais en allumant ma clope, comment les choses arrivent ! si je n'avais pas eu envie de fumer je ne t'aurais pas surpris et rien ne serait arrivé.

— Tu as raison, pour une fois les clopes ont bon goût, me dit-il en éclatant de rire.

Nous finissons nos bières en discutant de ce qui vient de se passer, Patrick est de nouveau raide, moi aussi d'ailleurs.

— Dis donc Bruno , maintenant que tu sais faire, il faudrait peut être remplir ton contrat non?

— Ok boss. Tu n'as pas envie que je te rase le cul? me dit-il.

L'idée me surprend, je bredouille, je ne sais pas. Patrick a pris de l'assurance, il me dit:

— J'ai bien vu que de voir ma queue et mes couilles rasées t'avait fait de l'effet, vrai?

— Je dois t'avouer que ça m'a fait bander pus fort.

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— Alors tu veux que je te rase?

— Pourquoi pas, eh, tu feras attention à ne pas me couper.

— Promis, je ne voudrais pas abîmer un bel engin que j'ai envie de goûter! me dit-il en éclatant de rire. Viens, me dit-il, on va dans ma chambre.

Il passe devant moi avec sa queue raide, dans l'escalier son petit cul est provoquant, je pose ma main sur ses fesses, il ralentit et se laisse faire, mes doigts glissent entre ses fesses, il aime le bougre.

— Bon on y va? On va pas rester dans l'escalier non?

— Tu as raison, allons-y.

Je rentre dans sa chambre, il me dit:

— Ne bouge pas!

Il fouille dans un tiroir et en sort une feuille de plastique qu'il étend sur le lit. Puis il va dans la salle de bain et revient avec des ciseaux, de la mousse à raser, un rasoir jetable et un tube de crème. Il les pose sur le lit, me prend dans ses bras et me roule une pelle d'enfer, il apprend vite le petit frère. Il s'écarte de moi me fait un sourire, s'agenouille devant moi et fait glisser mon boxer. Ma queue vient frapper mon ventre.

— Tu bandes bien. Dis donc ta queue est plus belle que la mienne.

— Tu verras la tienne va grandir encore, lui dis-je.

— Bon mets toi à quatre pattes sur le plastique, je vais te raser les fesses.

Je m'exécute. Il fait sortir la mousse de la bombe et l'étale sur mes fesses tout en douceur en faisant des commentaires salaces, nous rions tous les deux. Il prend le rasoir et me rase doucement pour ne pas me couper, il est très doux, il fait des commentaires sur mes fesses qui sont à son goût.

— Voilà c'est fait! Regarde, me dit-il en me présentant un miroir.

Je peux voir mes fesses lisses comme des boules de billard.

— Bon maintenant mets-toi sur le dos.

Il prend le tube, qu'il ouvre.

— Qu'est-ce que c'est?

— C'est une crème dépilatoire pour les couilles qui sont plus délicates à faire, je ne voudrais pas te couper avec le rasoir, laisse toi faire.

Il fait sortir de la crème qu'il étale généreusement sur mes couilles et tout autour de mon trou.

— Regarde, me dit-il.

Je me relève un peu et peux voir mes couilles transformées en sucrerie anglaise. J'éclate de rire, il me dit:

— On en mangerait. Bon pendant que la crème va faire effet je vais te raser le bas du ventre.

Il prend les ciseaux et les fait jouer près de ma queue comme s'il utilisait une cisaille. En voyant mon air affolé il éclate de rire:

— N'aie pas peur, je ne vais rien de te faire de mal.

Il abaisse ma queue raide et commence à me couper les poils du pubis pour dégager un maximum, mes poils tombent. Il reste une courte longueur, il reprend la mousse à raser et l'étale largement sur mon ventre et mon pubis. Je le regarde faire, il est tout sourire. Lentement je vois le rasoir courir sur mon ventre et apparaître une peau exempte de poils. Finie la trace de poils qui partaient du nombril vers le bas, fini les poils sur le ventre. Il s'attaque maintenant au pubis qui en sort parfaitement net. Encore un peu de mousse et il me rase l'intérieur des cuisses. Voilà il ne me reste plus que la crème sur les couilles et le trou. Il prend un éponge et essuie le ventre et les cuisses.

— Bon maintenant je pense qu'on va pouvoir enlever la crème, je vais faire un essai.

Je me redresse pour voir, il prend quelques poils englués de crème et tire dessus, ils viennent sans problème je n'ai rien senti.

— Tus n'as pas eu mal?

— Non.

— Bon je vais te nettoyer les couilles.

Il prend l'éponge et la passe sur mes couilles, je vois les poils partir sur l'éponge. En moins de deux mes couilles et mon cul apparaissent nus. Je n'ai plus un poil. Il s'allonge sur moi, me roule un pelle et me dit:

— Voilà tu as le cul les couilles aussi nets qu'un bébé qui vient de naître. Allez viens on va se doucher pour nettoyer la crème et la mousse.

Nous passons à la salle de bains entrons dans la douche où nous nous savonnons en nous caressant. Nos queues sont raides. Un rinçage, nous revenons à la chambre. Il fait le ménage débarrasse le lit.

— Viens, lui dis-je.

Il s'approche de moi, je lui dis:

— Regarde quoi?

On se met face au miroir où l'on voit deux beaux mecs à poil et bien bandés qui se tiennent par la taille.

— Beau couple, me dit-il en riant.

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Je le pousse vers le lit où il s'assied, je lui présente ma queue qu'il engloutit avec avidité. Il sait s'y prendre, ma queue est raide comme un bâton, il me masse les couilles, c'est bon.

— Si on faisait un 69?

— Ok!

Il s'allonge sur le côté, moi de même et nous commençons une longue suce quand l'un des deux va jouir il prévient l'autre qui modère sa succion. Au bout de 25 à 30 minutes, mes couilles me font mal et je le dis à Bruno qui me dit aussi avoir besoin de se vider. Je branle sa queue tout en jouant avec ma langue tout autour de son gland. Une chaleur envahit mon bas ventre et le bas de ma colonne vertébrale.

— Bruno je viens!

— Moi aussi je viens, me répond-il.

Il commence à décharger le premier, le goût de son sperme provoque ma jouissance, j'inonde sa bouche pendant que lui se vide dans la mienne. Bruno se retourne ne donne à goûter mon jus, nous mélangeons nos liqueurs dans un long baiser. Bruno me demande un peu gêné:

— Je voudrais que tu me prennes, je voudrais sentir ta queue dans mon cul, tu veux bien?

— Oui petit frère je n'osais pas te le proposer je vais t'enculer, mais il faudra que tu me le rendes, OK?

— Ok, dit-il en me sautant au cou. Je vais pisser un coup, on se boit une bibine après? me dit-il.

— Ok je t'accompagne.

On se retrouve tous les deux à pisser en même temps, mais vu notre excitation c'est difficile de pisser en bandant. Nous rions de bon coeur, enfin les sphincters se libèrent et deux jets puissants tombent en bruit dans la cuvette. Je vais pour m'égoutter quand Bruno me dit :

— Laisse je vais te nettoyer!

En un clin d'oeil il est à genoux et tête ma queue qui ressort toute propre. Du coup je lui en fais autant. Il reste quelques gouttes salées.Je me relève, une claque sur les fesses de Bruno.

— Allez hop, on boit un coup et on en tire un?

Bruno me répond comme dans la chanson de marins:

— Buvons un coup tirons en deux à la santé d es amoureux, à la santé du roi de France et merde pour la reine d'Angleterre qui nous déclaré la guerre!

Ce faisant il me caresse les fesses en me disant:

— T'as un beau cul grand frère.

— Merci, dis-je en me laissant faire et avant que je n'ai eu le temps de réagir, il me claque les fesses avec force:

— On y va?

La douleur et la surprise se mêlent à une curieuse sensation érotique. Les rapports des fessées et du sexe m'ont toujours fait réfléchir. Qu'est-ce qu'on est cool, tout seuls dans la maison ! en bas dans le canapé nous sirotons nos bibines, en échangeant des caresses et en commentant ce qui vient de se passer, le tout agrémenté de commentaires sur nos physiques respectifs. La tension de nos queues nous indique qu'il est temps de s'y remettre. Cette fois je passe devant Bruno qui a dû voir ma réaction à sa claque puisqu'il me flatte les fesses en alternant des petites claques, quand j'arrive à l'étage, mes fesses sont roses. Il va pour se diriger vers sa chambre, je l'arrête en lui disant:

— C'est moi qui invite, et je le pousse vers ma chambre.

Plaqués l'un contre l'autre, nous nous caressons. Bruno me dit presque timidement:

— Tu veux bien m'enculer?

— Attends frérot, je vais te préparer, allonge-toi sur le dos.

Il s'exécute il est là, cuisses écartées, offert. Je m'approche lui lèche les couilles et le cul, je glisse ma langue dans son trou pendant qu'il pousse des gémissements. Ma langue se fait dard et commence à pénétrer sa fleur qui s'ouvre doucement. Je récupère un tube de gel dont j'enduis son trou, la sensation froide le fait se redresser.

— Calme toi, lui dis-je. Laisse-toi aller. Je vais te préparer avec mes doigts.

Son trou s'ouvre doucement je fais glisser mon doigt autour de sa rosette, puis j'enfonce doucement le bout du doigt. Bruno serre un peu, je lui demande de se détendre ce qu'il fait. Maintenant mon doigt est entré en entier dans son trou, je lui masse la prostate il lève son bassin pour accompagner mes mouvements. Un deuxième doigt vient se glisser dedans, rejoint bientôt par un troisième. Bruno fait une petite grimace, puis se détend maintenant mes 3 doigts vont et viennent sans problème. Bruno me demande combien j'ai de doigts dans son cul.

— Trois, t'as 3 doigts dans le cul.

— C'est pas vrai?

— Si, regarde toi-même.

Il se redresse un peu et constate par lui même avec sa main... D'ailleurs je lui montre avec le menton qu'on peut se voir tout le temps dans le miroir en face mon lit.

— Si tu peux rentrer 3 doigts dans mon cul, tu dois pouvoir m'enculer non?

— Ok petit frère, on y va. Là, passe tes jambes sur mes épaules, soulève tes fesses.

Ce qu'il fait. J'ôte mes doigts et présente ma queue à l'entrée de son trou. Bruno a relevé la tête et ne rate rien du spectacle. Mon gland rentre lentement dans son trou chaud, ça y est il est rentré. Je pousse plus loin. Son anneau a un peu de mal à se détendre. Je dis à Bruno de pousser un peu comme pour aller à la selle. Quand je le sens pousser je m'enfonce un peu plus, le sphincter est passé. Je le laisse s'habituer, il me dit:

— Vas-y, c'est passé.

Alors d'une seule et longue pousse je rentre à fond. Ma queue est enserrée par son étui chaud et soyeux c'est extraordinaire. Bruno, lui, a retrouvé le sourire.

— Vas y! me dit-il en donnant des mouvements à son bassin.

Je commence à le limer, il pousse des gémissements ma queue frotte sur sa prostate, sensation délicieuse. Bruno bande comme un cerf, ses couilles sont remontées et toutes ratatinées, il me dit: "Je viens!" et je sens des contractions qui viennent étrangler ma queue. J'accélère les mouvements de pistons. Bruno pousse des cris de dément, les spasmes annonciateurs se font plus nombreux, ma queue gonfle et j'explose dans ses entrailles pendant qu'il se vide sur son ventre. La violence du jet projette du sperme sur son visage. Je finis de me vider en, restant en place puis quand ma queue ramollie sort d'elle même. Je me penche sur lui pour lui lécher le visage nous échangeons un long baiser. Il me dit:

— C'était merveilleux. Viens, il faut que je te nettoie la queue!

Et avant que j'aie eu le temps de réagir ma queue est nettoyée et toute propre. Nous restons un moment silencieux en nous caressant doucement et en échangeant des baisers.

L'inversion des rôles --- Dis, Bruno ...

— Oui.

— Je voudrais sentir ta queue dans mon cul, tu veux bien?

— Avec joie grand frérot, tu ne t'es jamais fait enculer?

— Non comme toi.

— Eh bien tu vas voir c'est extraordinaire.

Il se met à califourchon sur moi et me dit:

— Prépare moi la queue pendant que je m'occupe de ton cul.

Dans le même moment j'ai sa queue sous le nez et je sens sa langue qui titille mon trou. Je ne l'avais pas dit à Bruno mais j'ai un gode que je me glisse de temps en temps et de fait mon trou s'ouvre rapidement. Bruno me dit:

— Eh ben dis donc, ça s'ouvre vite chez toi!

Et ce faisant il glisse un puis 2 et 3 doigts qui viennent masser ma prostate. Quand il juge que je suis suffisamment ouvert, il vient entre mes fesses pose mes jambes sur ses épaules. Il présente son gland contre mon trou.

— Prêt ? me lance-t-il.

— Go petit frère.

"Try to focus on me, bro…"

Il pousse fait rentrer son gland, attend, me demande si ça va, comme je lui réponds oui, il m'empale d'un coup. Sous la douleur fulgurante je pousse un cri. Bruno me regarde surpris, va pour se retirer en me demandant pardon. La douleur passe, je lui dis de recommencer mais plus lentement. Il entre de nouveau son gland, attend que je me détende puis très lentement cette fois, me pénètre. Millimètre par millimètre je sens sa queue rentrer jusqu'à ce que son pubis vienne buter contre mes fesses. Il attend un peu puis commence à me pistonner je sens sa queue butter contre ma prostate. Une onde de plaisir envahit de sa chaleur mon ventre, mes couilles remontent.

— Bruno, je viens!

La chaleur remonte le long de mon dos mon souffle s'accélère un spasme puis deux et j'explose dans un grand cri. Bruno lui, sous l'effet des contractions de mon cul, se vide à son tour me remplissant le cul, je sens les contractions de sa queue qui semble vouloir se vider par litres. Il s'écroule sur moi, nous nous donnons un long baiser.

Bruno me demande s'il peut dormir dans mon lit. Bien sûr qu'il peut rester. Nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre. Il faut prendre des forces les parents ne rentrent dimanche soir, d'ici-là il va y avoir du sport...

 

"You know what your big bro likes, don’t you?"

* http://www.purepeople.com/article/le-fils-de-villiers-abuse-par-son-frere-apres-chaque-viol-j-allais-vomir_a65787/1

 

- “Never mind, I can write you an excuse….” - “Yeah, that’s the advantage.”

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 2 novembre 6 02 /11 /Nov 06:05

Là, les interdits ne sont-ils pas faits pour être ignorés ou  bravés  ?

Ce récit est purement fictif. L'âge des protagonistes peut choquer*, il est bon de rappeler qu'une relation sexuelle avec  une personne n'ayant pas atteint la majorité sexuelle qu'il y ait consentement ou non est sévèrement punie par la loi du ou des pays des partenaires. * la majorité sexuelle en Europe va de 13 à 18 ans selon les pays.


Je n'ai pas honte de l'avouer, moi, Joël, à dix-huit ans, je suis entièrement soumis à mon petit frère Nathan qui a dix-sept ans. Je suis son jouet, son objet sexuel, ma sexualité dépend de la sienne et ça me plaît.

En fait, je lui ai toujours été soumis, il a toujours dirigé ma vie, peut-être parce que, tout petit déjà, il avait une personnalité plus forte que la mienne, ou alors parce que j'ai toujours été malingre tandis que lui, malgré un an de moins était et est toujours un garçon robuste. Dès le bac à sable, c'est lui qui désignait les jouets avec lesquels je pouvais m'amuser, tout comme plus tard c'était lui qui décidait quand et quel jeu on allait faire. Pendant toute notre enfance, il a aimé m'humilier, me mettre la honte parfois jusqu'à me faire fondre en larmes, mais je ne m'en suis jamais plaint à mes parents, je ne voulais pas qu'il soit puni à cause de ça. Parfois il était particulièrement dur quand il montrait à ses copains d'école ou aux miens que je lui obéissais totalement, comme si j'avais été son petit frère de cinq ans plus jeune.

Je devais avoir onze ans quand pour la première fois il m'a ordonné de me mettre tout nu devant lui, j'ai refusé, non pas pour le fait qu'il me voie ainsi, car on prenait souvent le bain à deux, mais parce qu'il avait décidé que ça se passe comme ça, sans raison, juste pour son plaisir. Comme je ne voulais pas, il m'a sauté dessus et sa force a fait que je me suis retrouvé sans aucun habit en moins de trois minutes, puis il m'a penché sur ses cuisses, a bloqué mes poignets dans mon dos, de l'autre main il m'a donné une fessée à m'en faire pleurer et supplier pour qu'il arrête. Quand il a trouvé que ma punition était suffisante, il m'a redressé et a vu que mon petit sexe était devenu tout dur et il s'est amusé à le toucher, je l'ai laissé faire. Il m'a dit de rester debout, les mains sur la tête, et après un quart d'heure, ayant entendu notre mère se déplacer dans la maison, il m'a fait me rhabiller. Inutile de dire que, les fois suivantes pour éviter la fessée, je ne tardais pas à ôter tous mes vêtements et il s'amusait de me voir bander. Il l'a fait aussi plusieurs fois quand son meilleur pote Marc était là, mais heureusement jamais devant des copains de ma classe.

Au début de mes treize ans, j'ai découvert les plaisirs de la masturbation, mais je ne lui en ai pas parlé. Lui, tout robuste qu'il était, avait encore un corps de gamin, alors que je prenais peu à peu des formes. Il me posait assez souvent la question de savoir si je jutais déjà, car, à mon avis il s'en doutait, et un jour, en insistant plus longtemps avec ses doigts sur ma queue, le sperme est sorti, ce qui l'a fait bien rire. Et de ce jour, je me retrouvais de plus en plus souvent à poil devant lui et son copain Marc, soit je devais me masturber devant eux, soit ils s'amusaient à me faire éjaculer. Honteux au départ de jouir devant leurs yeux, j'ai commencé à tirer plaisir de ces manipulations.

Quand quelques mois plus tard, Nathan a eu sa première éjaculation et a découvert le plaisir commun à tous les adolescents, ses jeux avec moi se sont nettement sexualisés. Dès qu'il était certain que nous ne serions pas dérangés, il me faisait déshabiller, et parfois je l'étais avant qu'il ne me le demande et je me mettais les mains sur la tête, debout ou à genoux. Je devais le masturber au rythme qu'il m'indiquait, il m'interdisait de me faire jouir moi-même, je devais le supplier pour qu'il me le fasse. Il m'obligeait aussi à raser tous les poils de mon pubis et de mes fesses.

Au cours des mois et années qui suivirent, ses exigences devinrent de plus en plus fortes, j'ai dû lécher le sperme sur son corps, le sucer et garder son jus en bouche jusqu'à ce qu'il me permette de l'avaler par toutes petites gorgées, parfois après plus de dix minutes. Il m'a ensuite forcé à prendre son sexe tout au fond de la gorge, et sa queue de 13 cm est passée en un an à 15. Il me mettait à genoux et me l'enfonçait parfois brutalement à m'en faire suffoquer et pleurer, il se servait de ma bouche pour se vider. Il aimait trifouiller dans mon cul, surtout quand il a vu qu'il pouvait me faire éjaculer sans me masturber, ce qui me donnait du plaisir mais me frustrait en même temps. Il m'arrivait de me masturber en cachette, mais quand il s'en rendait compte, j'avais droit à une terrible fessée sur ses genoux, et après celle-ci, il m'embrassait et me masturbait. Parfois, il m'emmenait dans la douche, me mettait à genoux, tête en arrière et bouche ouverte et il me pissait dessus, visant mes lèvres. J'ai dû commencer à lui lécher les fesses, puis le petit trou. Au début, c'était après la douche ou le bain ; plus tard, quand il allait à la toilette, je devais l'essuyer avec du papier puis parfaire le travail avec ma langue, je n'avais à m'en prendre qu'à moi-même si le premier essuyage avait été incomplet. Il a ensuite voulu mes doigts dans son cul, doigts que je devais lubrifier par ma salive en les glissant dans ma bouche régulièrement, il me faisait parfois triturer son intérieur pendant plus d'une heure.

Bien sûr, il en est arrivé à vouloir mettre autre chose que ses doigts dans mon derrière, et je suis devenu sa petite femme, j'y passais quasiment tous les jours, ce qui ne me déplaisait pas, je lui présentais mon trou, fesses écartées, je devais me lubrifier moi-même avec mes doigts et ma salive, puis je devais lécher sa queue et il me pénétrait ainsi, soit délicatement, soit d'un seul coup, auquel cas il mettait un de ses slips sales dans ma bouche pour que je ne crie pas.

Son copain Marc, que Nathan appelait petite bite, était très souvent présent, mais il n'aimait pas les mêmes choses que Nathan, il aimait toucher et se faire caresser, sucer et se faire enculer, et comme mon frère préférait mon cul, je pouvais m'occuper de celui de Marc qui adorait que je jouisse en lui. Nathan l'obligeait à me baiser certaines fois, mais un jour, Marc ne voulut pas me pénétrer, Nathan l'a fessé comme il le faisait avec moi, puis il est entré dans son cul et a guidé la queue de Marc vers mon anus, et c'est mon frère qui a géré les mouvements de la brochette que nous formions. Nathan aimait aussi me bander les yeux et me mettre des boules Quiès dans les oreilles pour que je ne sache pas ce qu'il allait faire. Cette privation sensorielle n'était pas pour me déplaire, surtout quand Marc était là, je ne savais quelles mains allaient me toucher ni ce qu'elles allaient me faire.

Un jour, Marc m'a rapidement sucé, je lui ai léché l'anus et l'ai pénétré, tandis que Nathan s'occupait de mes fesses, je trouvais que Marc s'améliorait, il arrivait à bien resserrer ses muscles quand je reculais. Quand j'ai joui en lui, plus fort que d'habitude, Nathan a retiré mon bandeau, et horreur ! Ce n'était pas Marc que je venais d'enculer, mais Serge, mon plus jeune frère de quatorze ans.

Je ne savais plus où me mettre, je me dégoûtais moi-même et ai fondu en larmes, mais Serge m'a serré dans ses bras, m'a dit que je l'avais déjà enculé plus de dix fois et qu'il adorait ça, que lui aussi me l'avait déjà fait sous l'ordre de Nathan, et surtout qu'il m'aimait très fort. Il a approché ses lèvres des miennes et nous nous sommes embrassés sur la bouche pour la première fois de notre vie, puis il est descendu vers ma queue et a commencé à me sucer, je me suis retourné et j'ai pu goûter à son bon jus d'ado. Ce n'est qu'après que j'ai vu que Marc était là aussi, caméra à la main, tandis que Nathan était plié en deux.

Les parents étant rarement à la maison, Serge dort souvent dans mon lit et on se fait l'amour à tour de rôle, restant cependant tous deux soumis à Nathan.

J'adore mes deux frangins.  

   

images du net, récit Nobody69 Belgique

 

Par claudio - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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