Partager l'article ! Récit : Secrets entre frères...Qui sait ce qui se passe dans les fratries qui sont un monde à part?: Là, les interdits ne sont-ils pas faits ...
Là, les interdits ne sont-ils pas faits pour être ignorés ou bravés ?
Je n'ai pas honte de l'avouer, moi, Joël, à dix-huit ans, je suis entièrement soumis à mon petit frère Nathan qui a dix-sept ans. Je suis son jouet, son objet sexuel, ma sexualité dépend de la sienne et ça me plaît.
En fait, je lui ai toujours été soumis, il a toujours dirigé ma vie, peut-être parce que, tout petit déjà, il avait une personnalité plus forte que la mienne, ou alors parce que j'ai toujours été malingre tandis que lui, malgré un an de moins était et est toujours un garçon robuste. Dès le bac à sable, c'est lui qui désignait les jouets avec lesquels je pouvais m'amuser, tout comme plus tard c'était lui qui décidait quand et quel jeu on allait faire. Pendant toute notre enfance, il a aimé m'humilier, me mettre la honte parfois jusqu'à me faire fondre en larmes, mais je ne m'en suis jamais plaint à mes parents, je ne voulais pas qu'il soit puni à cause de ça. Parfois il était particulièrement dur quand il montrait à ses copains d'école ou aux miens que je lui obéissais totalement, comme si j'avais été son petit frère de cinq ans plus jeune.
Je devais avoir onze ans quand pour la première fois il m'a ordonné de me mettre tout nu devant lui, j'ai refusé, non pas pour le fait qu'il me voie ainsi, car on prenait souvent le bain à deux, mais parce qu'il avait décidé que ça se passe comme ça, sans raison, juste pour son plaisir. Comme je ne voulais pas, il m'a sauté dessus et sa force a fait que je me suis retrouvé sans aucun habit en moins de trois minutes, puis il m'a penché sur ses cuisses, a bloqué mes poignets dans mon dos, de l'autre main il m'a donné une fessée à m'en faire pleurer et supplier pour qu'il arrête. Quand il a trouvé que ma punition était suffisante, il m'a redressé et a vu que mon petit sexe était devenu tout dur et il s'est amusé à le toucher, je l'ai laissé faire. Il m'a dit de rester debout, les mains sur la tête, et après un quart d'heure, ayant entendu notre mère se déplacer dans la maison, il m'a fait me rhabiller. Inutile de dire que, les fois suivantes pour éviter la fessée, je ne tardais pas à ôter tous mes vêtements et il s'amusait de me voir bander. Il l'a fait aussi plusieurs fois quand son meilleur pote Marc était là, mais heureusement jamais devant des copains de ma classe.
Au début de mes treize ans, j'ai découvert les plaisirs de la masturbation, mais je ne lui en ai pas parlé. Lui, tout robuste qu'il était, avait encore un corps de gamin, alors que je prenais peu à peu des formes. Il me posait assez souvent la question de savoir si je jutais déjà, car, à mon avis il s'en doutait, et un jour, en insistant plus longtemps avec ses doigts sur ma queue, le sperme est sorti, ce qui l'a fait bien rire. Et de ce jour, je me retrouvais de plus en plus souvent à poil devant lui et son copain Marc, soit je devais me masturber devant eux, soit ils s'amusaient à me faire éjaculer. Honteux au départ de jouir devant leurs yeux, j'ai commencé à tirer plaisir de ces manipulations.
Quand quelques mois plus tard, Nathan a eu sa première éjaculation et a découvert le plaisir commun à tous les adolescents, ses jeux avec moi se sont nettement sexualisés. Dès qu'il était certain que nous ne serions pas dérangés, il me faisait déshabiller, et parfois je l'étais avant qu'il ne me le demande et je me mettais les mains sur la tête, debout ou à genoux. Je devais le masturber au rythme qu'il m'indiquait, il m'interdisait de me faire jouir moi-même, je devais le supplier pour qu'il me le fasse. Il m'obligeait aussi à raser tous les poils de mon pubis et de mes fesses.
Au cours des mois et années qui suivirent, ses exigences devinrent de plus en plus fortes, j'ai dû lécher le sperme sur son corps, le sucer et garder son jus en bouche jusqu'à ce qu'il me permette de l'avaler par toutes petites gorgées, parfois après plus de dix minutes. Il m'a ensuite forcé à prendre son sexe tout au fond de la gorge, et sa queue de 13 cm est passée en un an à 15. Il me mettait à genoux et me l'enfonçait parfois brutalement à m'en faire suffoquer et pleurer, il se servait de ma bouche pour se vider. Il aimait trifouiller dans mon cul, surtout quand il a vu qu'il pouvait me faire éjaculer sans me masturber, ce qui me donnait du plaisir mais me frustrait en même temps. Il m'arrivait de me masturber en cachette, mais quand il s'en rendait compte, j'avais droit à une terrible fessée sur ses genoux, et après celle-ci, il m'embrassait et me masturbait. Parfois, il m'emmenait dans la douche, me mettait à genoux, tête en arrière et bouche ouverte et il me pissait dessus, visant mes lèvres. J'ai dû commencer à lui lécher les fesses, puis le petit trou. Au début, c'était après la douche ou le bain ; plus tard, quand il allait à la toilette, je devais l'essuyer avec du papier puis parfaire le travail avec ma langue, je n'avais à m'en prendre qu'à moi-même si le premier essuyage avait été incomplet. Il a ensuite voulu mes doigts dans son cul, doigts que je devais lubrifier par ma salive en les glissant dans ma bouche régulièrement, il me faisait parfois triturer son intérieur pendant plus d'une heure.
Bien sûr, il en est arrivé à vouloir mettre autre chose que ses doigts dans mon derrière, et je suis devenu sa petite femme, j'y passais quasiment tous les jours, ce qui ne me déplaisait pas, je lui présentais mon trou, fesses écartées, je devais me lubrifier moi-même avec mes doigts et ma salive, puis je devais lécher sa queue et il me pénétrait ainsi, soit délicatement, soit d'un seul coup, auquel cas il mettait un de ses slips sales dans ma bouche pour que je ne crie pas.
Son copain Marc, que Nathan appelait petite bite, était très souvent présent, mais il n'aimait pas les mêmes choses que Nathan, il aimait toucher et se faire caresser, sucer et se faire enculer, et comme mon frère préférait mon cul, je pouvais m'occuper de celui de Marc qui adorait que je jouisse en lui. Nathan l'obligeait à me baiser certaines fois, mais un jour, Marc ne voulut pas me pénétrer, Nathan l'a fessé comme il le faisait avec moi, puis il est entré dans son cul et a guidé la queue de Marc vers mon anus, et c'est mon frère qui a géré les mouvements de la brochette que nous formions. Nathan aimait aussi me bander les yeux et me mettre des boules Quiès dans les oreilles pour que je ne sache pas ce qu'il allait faire. Cette privation sensorielle n'était pas pour me déplaire, surtout quand Marc était là, je ne savais quelles mains allaient me toucher ni ce qu'elles allaient me faire.
Un jour, Marc m'a rapidement sucé, je lui ai léché l'anus et l'ai pénétré, tandis que Nathan s'occupait de mes fesses, je trouvais que Marc s'améliorait, il arrivait à bien resserrer ses muscles quand je reculais. Quand j'ai joui en lui, plus fort que d'habitude, Nathan a retiré mon bandeau, et horreur ! Ce n'était pas Marc que je venais d'enculer, mais Serge, mon plus jeune frère de quatorze ans.
Je ne savais plus où me mettre, je me dégoûtais moi-même et ai fondu en larmes, mais Serge m'a serré dans ses bras, m'a dit que je l'avais déjà enculé plus de dix fois et qu'il adorait ça, que lui aussi me l'avait déjà fait sous l'ordre de Nathan, et surtout qu'il m'aimait très fort. Il a approché ses lèvres des miennes et nous nous sommes embrassés sur la bouche pour la première fois de notre vie, puis il est descendu vers ma queue et a commencé à me sucer, je me suis retourné et j'ai pu goûter à son bon jus d'ado. Ce n'est qu'après que j'ai vu que Marc était là aussi, caméra à la main, tandis que Nathan était plié en deux.
Les parents étant rarement à la maison, Serge dort souvent dans mon lit et on se fait l'amour à tour de rôle, restant cependant tous deux soumis à Nathan.
J'adore mes deux frangins.
images du net, récit Nobody69 Belgique
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