Mardi 5 novembre 2 05 /11 /Nov 22:35

Deux gars sur deux slings qui se font face...

 

L'autre type est déjà en train de bourrer le cul de Julien.

— Ça rentre comme dans du beurre!

Mon client n'attend pas plus pour m'enfoncer d'un seul coup un dard de belle taille; je le prends avec joie jusqu'au fond de mon cul.

— Eh! Michel, on va leur en foutre encore une bonne dose; ça aidera pour la suite!

Leurs ventres claquent sur nos fesses; leur rythme s'accélère. Mon enculeur m'empoigne violemment le paquet pendant qu'il jouit.

— Tiens prends ça, petit salaud!

— Ouille! Tu me fais mal!

— C'est rien à côté de ce qui t'attend!

J'entends mon voisin qui crie sa jouissance tandis que Julien accepte sans bruit le jet de jus

lubrificateur.

— Oh Maxime! Je pense que ça commence pas mal. J'en ai pris plein le cul et je n'ai presque pas senti la bite du mec tant il m'avait dilaté avec son énorme gode... Je suis prêt pour un bon fist... regarde!

 

 

Oh ça c'est un double dong...

 

Une pause bière et nous voici en place sur les slings. Les appareils de suspension sont placés de façon que nos culs soient bien en face l'un de l'autre.

— Tiens Patrick, commence à lui enfoncer ça!

Mon bourreau prend le fameux double gode, impressionnant surtout pour sa longueur (je dirais: 40 cm). Je sens l'objet pénétrer profondément dans mon cul, jusqu'à ce qu'il m'arrache un cri de douleur en passant le premier virage de mes boyaux.

— Branche le dessus!

L'autre bout du gode entre dans le cul de Julien jusqu'à ce que nos deux culs se touchent. Julien n'a pas crié; il est résistant mon copain!

— Oh! que c'est bon! T'en as pas un peu plus long?

— Tu vas moins rire tout à l'heure, petit con!

Ils se placent derrière nos têtes légèrement renversées vers l'arrière et fourrent leurs bites encore molles et couvertes de sperme dans nos bouches gourmandes. Chacun empoigne la bite de son esclave et crée en tirant et en poussant un mouvement de va-et-vient faisant sortir et entrer le gode qui nous envahit les entrailles: une super branlette! Tous nos trous sont occupés et nos bites sont agitées de belle façon...que demander de mieux? Nous nous accoutumons à la douleur sur cette balançoire originale; nos bites sont bien raides et celles de Patrick et Michel prennent une bonne consistance grâce à la chaleur de notre accueril buccal. Nos culs s'entrechoquent chaque fois que le gode est entièrement entré de chaque côté. Le supplice devient un véritable plaisir. Le double godage est de plus en plus violent mais on tient bon! Les deux sucés finissent par cracher leur foutre que nous avalons avec délectation:

— Humm!!! Quelle bonne giclée!

Je ne sais pas si Julien a joui mais je vais bientôt le savoir en examinant sa poitrine. Moi j'ai envoyé de beaux jets jusque sur mon menton. Le double gode est arraché de nos petits culs meurtris.

— Regarde! Ton môme a de la merde pas loin!

En effet, un bout est légèrement colorié.

— C'est normal, je n'ai pas chié ce matin; je suis constipé!

— Bravo! on va en profiter!

Nos anus sont très près l'un de l'autre.

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 5 novembre 2 05 /11 /Nov 12:12

photo series

Pascal jeune loup

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

http://59secondes.blogs.lavoixdunord.fr/archive/2008/04/21/pascal-sevran-pas-mort.html 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 5 novembre 2 05 /11 /Nov 06:30

allo t'es "cuir"toi ?  

-- mais qu'est-ce  ça aurait été avec des ouistitis....!!!

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J'hésite à le classer en RECITS  car c'est très FUN aussi...

SEPT CONTRE UN (ne comptez pas les doigts de vos mains, c'est de sept bonshommes dont il s'agit...) 

    J'en avais assez de chercher sur le net des mecs comme je les aime. Moi, c'est musclé plus cuir archi-moulant, plus grand mecs. J'en veux au moins trois, des sérieux, pas des gros ni des s/m, ni uro-scato. Je suis passif. Je décidai d'aller dans un bar où il y a souvent des motos devant.

Je rentre. Bizarrement, on m'indique une salle au fond. J'avais mis mon perf, mes tiags, et un 501 moulé à faire damner un curé. Il ne laisse rien perdre de ce que j'ai dedans, on le croirait peint. Il fait ressortir mes couilles et mon 18 cm. Je rentre dans la salle et là, surprise, je tombe sur une réunion de cuirs comme rarement: pas des abdos kronembourg, des mecs genre bodybuildés. Je salue. On me dévisage longuement et on répond. Il me semble que la glace se romp. On m'invite à boire un verre. Un super athlète en combarde de course s'approche, je vois qu'il la porte à même la peau. elle est vieille et sent un mélange de cuir et de... sperme. J'ai soif, mais pas de flotte!

Je vois que d'autres se rapprochent et cette fois ci, c'est gagné: en voilà en tout cinq comme dans mes rêves. Je remarque deux choses: ils sont tous immenses et ont tous des couilles plus qu'apparentes à travers leurs cuirs ou leur jeans, de taille énorme. On les croirait fait au moule: je ne sais plus auquel céder, alors je décide de céder à tous. J'en bande comme un cheval et pas un ne perd la vue. Mon cuir est taillé pour que cela se voie et qu'on le sache.

L'un d'entre eux me prend le paquet dans le cuir et le caresse gentiment. Je remarque qu'il commence à bander aussi: sa pine monte en force dans son cuir et atteint la ceinture. Je lui dis que je vais exploser et que ce serait dommage que je sois le seul. Il dit simplement: "Ok, compris." Il se retourne et dit à la cantonade: "J'ai l'impression que le dîner est servi!"

Le temps de le dire et voilà trois autres mecs qui m'entourent. Malgré mon 1m83, j'ai l'air tout petit. Un me masse les couilles, l'autre frotte un jean archidestroy qui laisse sortir par tous les côtés des poils blonds et voir à peu près tout, contre ma jambe. Un autre vient par derrière et commence à faire comme s'il m'enculait. Il est tellement puissant que je me retrouve assis contre son paquet pas encore sorti du cuir!

On décide de tous aller chez l'un d'entre eux qui n'habite pas loin. Je les suis sur ma ThunderAce, eux sont presque tous en 1100GSXR et CBR.

On se range, on monte. On est sept!

On entre dans un appartement plutôt petit mais bien foutu. Un détail: tout est presque occuppé par des appareils de bodybuilding et sent le foutre à plein nez. Partout, des flaques de sperme à peine sèches. Un régal.

...à mon goût...

À peine rentrés, je leur confirme mes goûts et ils éclatent de rire: eux n'ont pas besoin de merde ou de faire mal pour baiser. Simplement, ils me préviennent que chacun à l'habitude de tirer environ 4 coups au moins et encore chacun a une particularité: l'un tire presque 10cl d'un coup avec un orgasme géant, l'autre multiplie les petits coups et son orgasme dure plus d'une heure. Un autre me dit que son gland gonfle tellement qu'il s'ancre dans l'intestin et qu'il est pratiquement impossible de l'enlever bandé sans tout arracher. le programme me plaît. Tous avouent préférer baiser habillés en cuir ou en jean. Un dernier me prévient qu'il se fraie un passage avec une pointe métallique de santiag quand même arrondie et non coupante. J'adore l'idée. Quand tout le monde a fait son couplet, mes réponses les ont tous rassurés, on attaque.

À peine on commence qu'un m'ordonne de sucer son sexe à travers le cuir. Excellent goût et vive surprise: il y a tellement de sperme séché dedans que le cuir est tout raide! Le goût est radieux, cela me fait bander. Ils en rigolent et le premier ouvre son cuir sans enlever son ceinturon. Un énorme chibre en sort comme poussé par un ressort. Belle bête. Je le mets en bouche mais il m'arrête et m'enlève mon cuir. Quand je suis nu comme un ver entouré de sept géants en cuir avec la perspective de me faire enfiler environ 28 fois et de rentrer presque un litre de sperme, j'ai une appréhension. C'est trop tard!

Il m'attrappe comme un brin de paille et m'empale à sec. C'est intenable, j'avais beau être prêt et avoir assez été léché par les uns et les autres, j'ai très mal. Il me dit: "Bienvenue au club."

Il commence à me limer ce qui de douloureux devient extraordinaire. Je suis au 7° ciel. On m'attache empalé à lui, je ne peux que sentir sa pine grossir rythmiquement loin dans mon intestin. Il s'allonge par terre, moi donc dessus. Un deuxième avec une combarde sort une pine incriyablement longue, elle doit faire au moins 28 cm. Elle est fine: c'est les meilleures. Il nous enjambe, se place au dessus de moi, me demande d'ouvrir la bouche et l'enfile après m'avoir conseillé d'allonger l'oesophage en basculant la tête, pour ne pas étouffer. Je ne peux rien faire, car un troisième s'est assis sur mon torse. Il se bascule en arrière, s'empalant sur moi et suçant le troisième. Nous faisons un beau mille feuilles. Je suis pénétré jusqu'au nombril d'un côté ai-je l'impression, jusque dans la moitié de l'oesophage par la bouche. Je ne peux pas bouger.

Les trois commencent à aller et venir, onduler, faire gonfler leurs glands. Je vais de l'extase à l'inquiétude de l'étouffement. Mais ils savent ce qu'ils font.

Un 4° se branle devant mes yeux immobilisés dans la pile de loubards, et soudain, un flot de sperme épais se rue sur moi, m'inondant entièrement: je suis complètement englué. Je me concentre sur ma respiration et essaye de faire pour mon plaisir.

Soudain, un coup de boutoir dans mon intérieur: le premier me décharge son foutre brutalement. Une sensation de satiété dans l'intestin. Bientôt le deuxième en fait autant: j'ai l'impression d'avaler un broc de sperme entier, directement dans l'estomac.

Deux autres se crossent sur nous trois pour lubrifier.

Je ne vois plus grand chose. Quand j'arrive un peu, je vois du cuir, des couilles énormes et des montagnes de muscles qui me triturent, me fouillent, m'empalent, me remplissent.

Mon rêve est devenu réalité.

Au bout d'une partie de la nuit, l'ankylose aidant, nous nous démèlons. Les trois autres commençaient à en avoir assez de devoir se crosser en regardant.

Santiags me fourre dans le cul sa pointe métallique de botte et enfonce gentiment. Pure formalité car avec l'occupation qui se termie, je suis mûr pour un gros machin sans problème. Mais j'aime bien cette mise en contact. Il retire sa botte de mon cul et m'encule sauvagement. Il est monté comme un vrai cheval. Malgré le début de la nuit, j'ai enccore du mal à l'accepter. Il force à grands coups et finalement je sens ses couilles contre mon cul. Sa pine est très vivante: elle est tellement turgescente que je sens chaque pulsation de sang dans mon anus distendu. Il commence à me limer comme un étalon, rien ne peut l'arrêter. Je ne suis qu'un trou d'accueil.

Je sens que sa pine grossit encore, chaque veine sur sa pine démesurée devient douloureuse et soudain il m'inonde. Je sens une marée chaude m'envahir et tout devient super lubrifié. C'est une extase, je ne sens que de la douceur est me sens en même temps complètement devenir son jouet sexuel. Chaque contraction de son corps en orgasme se voit à travers ses cuirs, je vois des muscles impressionnants jouer sous la peau, je le sens se vider en moi. Nous ne faisons plus qu'un.

Pendant ce temps, je n'ai le temps que de voir une combarde qui fut blanche et rouge et sans doute deux tailles trop sérrée, s'ouvrir devant mon visage et libérer la plus grosse paire de couilles que je n'ai jamais vu. De vraies balles de tennis. Branchées sur un chibre de 24 cm environ, ce qui semble être le minimum chez ces mecs.

Il s'assied doucement sur ma figure, se frotte les couilles sur mon nez et ma bouche. J'essaye de goûter au passage, j'ouvre la bouche. Il met ses couilles dedans! comme elles sont trop grosses, je bouge la tête. Le dernier qui était entrain de se crosser sur ma poitrine se met à genous à califourchon sur mon torse et m'enserre la tête fermement avec deux cuisses en cuir, je ne peux plus bouger d'un poil. Mis comme cela, il ne reste plus qu'à la combarde blanche et rouge de m'enfourner sa pine. Je n'ai que le temps de basculer la tête et de happer ce qui vient. Sa pine est très dure, comme un gode. il commence un va et vient rapide et commence une éjaculation multiple que je n'ai que le temps d'avaler au fur et à mesure. Celui qui me maintient la tête éjacule et j'ai l'impression qu'il me dépose une méduse chaude sur le visage: je suis de nouveau complètement englué. J'adore.

Pour occuper mes mains, je caresse les deux premiers du début de la nuit à l'aveuglette. Je soupèse leurs couilles et ais le temps de me demander comment ils font pour récupérer si vite. Ma nuit va être longue. Tant mieux. Le matin semble se pointer, le jour se lève, pas mes 7 mecs.

Je n'ai pas faim, je suis amplement nourri de leur sperme abondant. Je suis un peu endolori mais c'est pour la bonne cause.

On se démèle enfin, je me relève. On rigole tous. Mes sept loubards ont l'air tout frais, leur cheveux longs simplement collés de spermes mélangés.

On mange un petit morceau et on avale un café.

Les motos sont au garage et ils ont une idée: on descend tous et ils me mettent à plat ventre sur une des 1100 GSXR, le cul encore amolli à l'air. Avec sa selle mono très haute, la moto me lève les fesses, je suis appuyé sur le réservoir, la tête dans les compteurs. La bête entre les jambes. Ils la démarrent, et font rugir le moteur. En échappement course, c'est assourdissant et les vibrations sont géniales.

Ils commencent une série de chevauchées en m'enculant ce coup-ci sauvagement. Mon cul est tellement distendu et gavé de sperme que je ne trouve que de l'agrément. Je regrette de ne rien n'avoir en bouche. Comme si ils avaient eu la même idée, l'un se place sous ma bouche, ce qui me relève la tête et lui permet de m'enfourner. C'est les grosses couilles de tout à l'heure. Elles semblent vibrer plus encore et bientôt il recommence à éjaculer. Je pense que je n'en peux plus. J'ai l'estomac comme dilaté de tout ce sperme. L'intestin lui aussi est rempli à déborder, quand ils se retirent, pas mal de sperme ressort et se perd.

Quelques injections de foutre plus tard, je suis tellement gluant qu'ils commencent à glisser en m'enculant. Le plaisir n'est plus le même.

On s'arrête et on remonte à l'appartement.

Mon cul est tellement élargi que l'un d'entre eux y passe le bras sans effort pour lui et sans trop de mal pour moi. Dans mon anus, il serre le poing et le tourne. C'est extraordinaire, je ne me sens plus. Je ne suis pas abimé, bonne nouvelle. Il ressort, on essaye de s'essuyer. L'odeur de sperme est omniprésente. Les pines rentrent peu à peu dans leurs cuirs. On discute encore un peu pour laisser le temps de sécher. Ils me félicitent, disent que je suis le bienvenu quand je veux. On prend rendez-vous pour le week end suivant, cela va être long d'attendre jusque là.

Comme si de rien n'était, ils se mettent sur les appareils de muscu pour y finir le week end.

J'emporte un pot de confiture rempli de sperme pour passer la semaine.

J'en voudrais plus la prochaine fois!

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 22:40

 

 

 

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Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 08:05

conservé dans la catégorie RECITS GAY REELS 

 

  je me demande toujours comment j’ai fait pour supporter un si terrible engin...

Le feu de l'amour personnifié !

C'est LUI qui parle :

Ce mec, c’est le meilleur baiseur que j’aie jamais connu (et c’est aussi le moins salaud que j’ai connu jusqu'à aujourd’hui,  malheureusement, nos domiciles sont légèrement éloignés aujourd’hui (bof environ 9000 kilomètres) dommage...

— Surprise!

— Wouah! Un billet aller-retour pour P-à-P/Paris! C’est pour moi?  

— T’es content?

— Oh oui merci man! Ça fait des années que chuis pas parti en vacances! MERCI! SMACK! (Bisou très sonore! )

Je n’en croyais pas mes yeux, j’allais à Paris rejoindre mon frère de 21 ans (beau mais 120% hétéro... Il sait pas ce qu’il rate). Sans parents, rien que lui et moi, nous allons enfin pouvoir faire les 400 coups! Des fringues pas chères, des parcs d’attractions, une visite dans ce quartier que l’on appelle "LE MARAIS" et plein d’autres choses. Ma tête s’embrouille tant la joie est grande! Je ne suis pas encore parti que mon planning est déjà fait et à ce train là, j’aurais pas assez de mes deux mois pour faire tout ce que je voudrais!

D’ailleurs ça va me permettre de faire le point sur la relation que j’ai avec Cyril, cet apollon, ce dieu... Déjà casé mais qui me voit quand même, et quand je dis "vois", on ne se regarde pas dans les yeux pendant des heures! Et comme ça j’aurai plus à subir les attaques de son mec qui a tout à fait raison de défendre son territoire mais que voulez vous... j’étais fou amoureux, premier amour, premières folies, ça rend aveugle ce truc... bref!

Alors j’appelle Johanne, Nicolas, Amid et Freddy pour leur annoncer la bonne nouvelle!

— Quoi? Toi aussi Amid tu pars! Wouah!

Tout va de mieux en mieux! Qui n’ai-je pas encore prévenu? Mes cyber correspondants parisien bien sûr! Un mail rapide mais coloré, date et heure d’arrivées... demande de rendez-vous, tout s’enchaîne. Mais malheureusement, ils me répondent tous:

 "Oh non!  Tu sais il vaut mieux ne pas qu’on se voit parce que ça va tout  gâcher, j’ai pas envie de perdre la cyber amitié que j’ai avec toi et patati  et patata!  "

Tous me répondent ça sauf un! Le meilleur en plus! Il est guadeloupéen également, a fait ses études là-bas et y est resté pour travailler! C’est cool! Ça fait au moins 6 mois que l’on chat sur le net on se connaît assez bien! Chuis tout excité! Croyez le ou non, je n’avais pas prémédité ce qui allait se passer!

Quelques jours et 8 heures de vol plus tard!

— Oh lala qu’est ce qu’il fait froid! C’est sûr qu’on est en été?  

— Si si!

— STAN!

— Eh oui p’tit frère!

Embrassades fraternelles et tout, vous connaissez, et direction la banlieue. Je pensais que c’était la zone mais en fait ça va, y a pire en Guadeloupe! Sur le chemin je rencontre les premiers parisiens, oh lala! Plutôt pas mal! Ouais vous êtes plutôt pas mal! Et arrivé en banlieue, des noirs, des rebeu... Soit dit en passant, je rêve de sortir avec un beur, oh lala, il me font craquer! Leur belle gueule, leur façon de parler, leur virilité, tout! J’aime tout! J’en bande!

Arrivé dans l’appart, tout est cool, je m’installe et je veux me casser et aller visiter! Mais avant, je passe un coup de fil à Stéphane! On se parle, oh il a une belle voix dis donc! "Oui j’ai fait bon voyage merci!" et tout et tout, j’vais pas vous raconter, c’est pas intéressant!

Me voilà à Paris installé, malheureusement ma mère a appelé Stanley pour lui préciser de ne surtout pas me laisser seul avec qui que ce soit, ni même de me laisser prendre le RER tout seul (!) donc le Marais, j’pouvais faire une croix dessus!

Le quart de mes vacances se sont écoulées... Ça fait des jours et des jours que nous discutons par téléphone. Moi je commence grave à m’emmerder parce que mon frère me casse les couilles! J’en ai marre, je veux rentrer chez moi, en Guadeloupe! Tout ça pour une question de fric! Bref, un jour il nous invite à déjeuner, rendez-vous à l’opéra de Paris! Dans ma tête j’me dis: "Et si il était laid?"  Et il y a un mec qui arrive. Oh non, j’espère que c’est pas lui, merde il arrive vers moi! Pourquoi il sourit comme ça? Merde c’est lui...

— Vous auriez l’heure s’il vous plaît?

— 14h30.

— Merci!

Pfuiiiiiiiiiii! Soulagé! Oh lui là! Oh comme j’aimerais que ce soit lui, regarde moi ces muscles, cette gueule, oh putain! Quelle bosse! C’est pas possible! Il a mis une balle de tennis! C’est pas vrai! Et non c’est pas lui! Finalement, le portable de mon frère sonne, je réponds:

— Regarde juste derrière toi!

Et là une voiture stationnée et je vois un mec tout à fait normal, monsieur tout le monde (j’avais pas encore fouillé dans son caleçon!), ni super beau ni super laid, normal et black! On bouffe, on rigole et tout le monde rentre chez soi.

Puis un autre jour, il m’invite à dîner chez lui. Moi tout seul ! On se fixe un rendez-vous et le lendemain on se retrouve. On va au resto, il me fait visiter ce que mon frère ne m’a pas encore fait visiter et la nuit tombe... Miracle, j’ai l’autorisation pour dormir chez lui. Maintenant, sors moi cette queue et astique toi bien, ça va chauffer et mon putain de cul aussi!

On rentre chez lui, on discute et je m’assoie par terre pour reluquer ses CD, géniaux, pendant que lui met la table. Il dépose une assiette puis tout d’un coup vient se placer derrière moi. Je suis maintenant entre ses cuisses et sur mon dos, je sens sa gaule. Pendant ce temps, il me suce le lobe de l’oreille (je lui avais avoué que cette caresse me laissait sans force) et il frotte et frotte encore sa queue pour que je la sente bien! Il me gruge les tétons à travers le t-shirt!

— Qu’est ce que ça te fait quand je te fais ca!?

—...(néant)...

Il se relève d’un coup et part vers la cuisine pour finir sa table... Moi je cuve la surprise de son geste car jusque là, il avait été correct, je veux dire tranquille et là pour l’instant, il me fait l’effet d’une bête de sexe en manque de cul à troncher! Mais là au fond de moi, je sais déjà que je vais me faire baiser.

Je continue de fouiller dans ses CD mais sur le carrelage au bout d’un moment, j’ai mal au cul! Et je m’allonge sur le ventre mais vraiment sans arrière pensée. Lui il sort de la cuisine et me voit. Il court vite poser ses assiettes sur la table, moi sur le coup j’ai cru qu’il se passait quelque chose de grave: un vase va tomber? Le chat va sauter par la fenêtre? Et non, c’est mon cul qui va prendre un coup de bite! Je m’étais un mis sur le côté et lui me plaque sur le sol face contre terre et se place de façon à avoir sa bite dans ma raie! Oh lo la! C’est pas un p'tit morceau! Il frotte encore plus fort, me maintient les hanches et me lèche la nuque, le cou oh putain, les oreilles; j’en bande d’un coup!

— Putain t’as vu comme tu t’es mis?

—...(néant)...

— Viens, j’en peux plus! Je vais te faire un câlin!

Il me tient par la main et m’emmène dans sa chambre. Il me jette violemment sur son lit, m’enlève mes shoes et se jette littéralement sur moi. Pourquoi les mecs veulent-ils tout le temps me traiter comme une chienne en chaleur? Avec violence?

Et il vient se coucher sur moi, mais avant il me frotte sa queue emprisonnée dans son jogging sur le pied, remonte sur la jambe pour que je sente bien sa gaule; elle me semble énorme, elle gesticule toute seule, de part et d’autre de ma jambe et ça l’excite le cochon à l’entendre gémir virilement. Enfin il m’embrasse quand sa bite vient se presser sur la mienne et, il se frotte ainsi, en nous branlant tous les deux dans nos boxers. Il se relève et avec fureur, fait sauter les boutons de mon 501 et me l’enlève comme un fauve. Il est très violent, il a pris dans chaque main une extrémité des jambes et tire dessus mais fait aussi un mouvement de rotation de sorte qu'une fois, je me retrouve sur le ventre, une autre sur le dos. Il me fait littéralement peur en faisant ça! Enfin il enlève complètement le jeans et se déshabille complètement dans le noir en deux temps trois mouvements. Je ne peux voir que les contrastes que la faible luminosité crée sur sa peau mais sa queue m’est encore inconnue... à la vue!

Ce super baiseur alterne le chaud et le froid. Suite à cela, il se couche tranquillement sur moi en passant son gland entre mes cuisses puis remonte avec sa queue, laissant une trace humide de limace, du précum aussi abondant, c’est un vrai mâle! Quand il arrive au niveau de mon cul, sa queue se glisse entre mes fesses et le léger slip moulant blanc, et là il fait des va-et-vient doux comme si il me baisait. Moi je gémis comme si il me baisait car il me fait un effet monstre! Je jette un coup d’oeil derrière moi et déjà, il est en sueur et je vois une tente sous mon slip qui monte et qui descend, qui monte et qui descend, laissant à chaque fois une tache humide un peu plus grande sur mon pauvre slip qui risque bien de craquer tant il est plein! Puis c’est de nouveau Stéphane le sauvage! Il se relève, attrape les échancrures de mon slip et me les enfonce dans le cul comme si c’était un string et il secouait ce fil sur mon anneau qui s’échauffe grave. Tout en faisant ça, il me frappe le cul:

— T’as un cul, mon poussin, tu vas tout prendre hein pas vrai? T’es tellement bon! T’as l’air tellement bon! Un tout petit peu de gras sur le cul! Il est bien bombé, t’as un cul à te faire baiser, c’est moi qui te le dis !

Moi je ne peux rien faire d’autre que de me laisser diriger par cette ficelle improvisée qui glisse dans ma craque, en gémissant sur les claques qui me cuisent le cul et en plus de ça, cette pression qu’il exerce sur ma pine qui n’a jamais été aussi dure! Ouch! Je pourrais envoyer la sauce comme ça!

Puis il se fait de nouveau doux et me refroidit le cul avec sa langue en léchant, doucement gentiment et badaboum! Il écarte brusquement la ficelle sur un côté, dévoilant totalement ma raie et il y plonge sa langue; qu’elle sensation, c’est une première pour moi je tourne de l’oeil et cette fois-ci, je hurle tant il me fait du bien ! Cette langue qui s’agite si vite, si vite, si sauvagement sur mon trou, avec en plus la sensation que sa barbe mal rasée provoque sur les parois de mon cul! L’avant de mon slip est vraiment super humide! Et tout d’un coup il le déchire violemment ; je suis nu et lui aussi!

Il va me prendre maintenant, j’en suis sûr! Il va me la mettre sa putain de queue et je n’attends que ça! Putain, nique moi Stéphane! Bourre moi! Mais avant, il passe devant et me la fourre dans la bouche. Je n’en crois pas mes lèvres, qu’elle est grosse! Je n’ai pour l’instant que son gland dans la bouche, son gland mouillé, sucré et qui  me remplit les joues. Lui il s’amuse à l’enlever et à le remettre dans ma bouche, à le faire passer sur mes lèvres, il veut que je le supplie de me la laisser à sucer! J’en bave de partout! Je me branle en faisant des mouvements de bassin sur le drap d’une douceur incroyable!

— Oh laisse moi sucer ta queue, elle est trop bonne! Han! Slurppp!

Je l’avais gobé, je ne pouvais plus rien dire! Son sperme, son précum, son odeur, son essence de mâle m’avaient transformé en vraie salope lubrique... Il m’attrape alors des ses deux grandes mains râpeuses et aussi gigantesques que des battoirs par les joues. D’une main il me pose la tête sur ses tétons protubérants, ça m’étonne d’ailleurs beaucoup, mais il sont si bons à sucer! Je mordille et apparemment c’est son point faible, à genoux l’un devant l’autre sur le lit. Je me branle en lui bouffant ses délicieux petit bonbons! C’est son point faible, il rugit comme un fauve et quand j’augmente la pression, il pousse un cri dément et jouit... Moi je le regarde, étonné par sa jouissance inattendue!

— Et mon cul alors? Je vais me chercher un concombre parce que chuis trop chaud maintenant! Et d’ailleurs tu m’as chauffé... tu me refroidis!

— Qui a dit que j’pouvais plus te bourrer l’cul? C’était prévu ça, qu’est-ce que tu crois? Faut pas exagérer l’effet que tu me fais!

—...(néant)...

Oh putain j’ai honte... mais d’un sur le cul, je suis sur le ventre et c’est sans aucune délicatesse qu'il me tartine la rondelle avec sa jute qu’il avait récupérée. Il m’enfonce un index puis l’autre à tour de rôle, me volant des cris aigus, à son plus grand plaisir. Mais c’est pas assez, il les remplace par ses majeurs puis c’est les deux, l’un après l’autre, qu'il me travaille la craque! J’en bave de lubricité! Quel baiseur! 20/20! Hop ça y est! Il en a marre, il va me prendre maintenant, pour peu et c’est moi qui m’empalais dessus, quitte à me déchirer la rondelle! Mais dans un ultime geste:

— Tu la veux toujours? T’as pas peur? C’est 24 x 7, tu vas supporter?

— Ta gueule! Baise moi merde!

Mais où ai-je appris à parler comme ca? D’où me vient ce langage cru?

Il l’a positionné devant mon trou palpitant, qui lui aspire le gland ohhhhh! Tiens je commence à regretter, le gland a du mal à passer, c’est que sa queue est une putain de gigantesque queue en forme de batte de base-ball! Plus, je me dis que le gland passé ça ira mieux, plus j’ai mal!

— Regarde, un rat!

— Où ca?

Et tandis que j’essayais de me relever le cul en premier vu que j’étais couché sur le ventre, lui s’est avancé de sorte que je me suis moi-même empalé sur sa tige et lui, a violé les derniers passages en poussant. J’étais rempli, emmanché à fond, oh là! J’avais oublié comment c’est bon d’avoir une pine bien dure dans le cul! Mais la sensation est violente! Maintenant il n’a plus qu’une poupée désarticulée au bout de la bite! Comment puis-je prendre tout ça? Allongé sur moi, il glisse un bras sous mon ventre et sans déculer, il me met à genoux et commence ses va-et-vient, longs, doux mais profonds. Même si je le voulais, je ne pourrais pas retenir mes cris, mon anneau déchiré par ce terrible engin m’envoie des ondes dans toute la queue! Et il commence à me pilonner de plus en plus vite quand il voit que ma craque s’habitue à son pieu! Il y va fort, je crie,

— Non! Pas si fort, arrête! C’est trop gros! Han! Han! Han! Han! Han!

— Tu la prends tout entière, oh c’est bon mon p'tit chat, bouge ton cul, vas-y! Oooooooooh oui!

Et BAF une claque sur le cul!

— Ahhh non, arrête s’il te plaît, tu me fais mal!

— Écoute toi comment tu cries, tu hurles, tu gémis... tu aimes ca! Elle te fais du bien ma queue, t’as pas arrêté de m’exciter toute la soirée alors prends ça! Tiens! Tiens!

— Ah han! Han! Han!

— Laisse toi aller...

Je me faisais baiser par la plus grosse queue que j’aie jamais vue et lui il me dit "laisse toi aller". Mon trou est chauffé à blanc, son noeud me frotte toutes les parois de mon conduit et elle est tellement grosse, chaque coup de piston fait un bruit de succion qui m’excite et lui aussi! Tout en me baisant sauvagement, moi à quatre pattes et lui derrière, debout sur le lit, juste accroupi à la hauteur de mon cul, il me gruge les seins tout sensibles, il mouille ses doigts de salive et me les pince violemment. Puis tout à coup, il me retourne sur le dos, me met les jambes sur ses épaules, le cul très élevé par rapport au lit et me la refourre:

— Je veux voir ta gueule quand je vais te remplir le cul! Oh je viens! Ohhhh tiens! Tiens!

Et au même moment, je me suis pogné la queue et j’ai joui en même temps que lui! Je me sentais rempli par ce mâle en manque visiblement. Il ne se retire pas et se couche sur moi, sa queue n’a pas débandé, je suis sûr qu’il pourrait me baiser encore... Moi je cuve mon orgasme et il redevient doux et m’embrasse tendrement. Je le serre et nous nous reposons un peu ! Sa queue, toujours pas sortie, d’un coup se raidit. Il est en train de bander, sa queue dans mon cul. Il fait mine de la sortir et me la refourre à fond! Moi je crie, je ne m’y attendais vraiment pas! Il me fait un sourire et il sort. Alors là les gars, fallait voir mon trou ce jour là. ÇA c’était un trou défoncé, il baillait tout seul en essayant en vain de se refermer. J’y ai porté ma main, j’étais vraiment inquiet. Il se couche sur le côté:

— Tu me plais beaucoup tu sais...

— Sans blague? (j’avais légèrement remarqué!)

— Tout à l’heure, quand je t’ai dit de ne pas exagérer ton pouvoir sur moi! Que tu ne me faisais pas d’effet, c’était faux! C’est la première fois que je rencontre un mec comme toi!

— Oh le salaud, t’as menti et tu me fais des compliments maintenant?!

— je t’aime…

— DÉJÀ!

Je sais, je n’ai aucun sens de la répartie, mais moi aussi je ressentais un tout petit petit petit petit truc!

— Tout l’après-midi, je t’ai regardé, je t’ai écouté...

—...(néant)... (j’avais absolument rien remarqué!)

— Booba, je t’aime...

Et il m’embrasse.

On se douche et on mange et on s’endort dans les bras l’un de l’autre...


Le lendemain quand je rentre, j’ai un peu de mal à expliquer pourquoi je marche comme un canard et pourquoi je ne peux plus m’asseoir, ça y est, j’étais handicapé du cul! Je pense que mon frère a compris que j’étais aux hommes, il a peut être un peu de mal a l’accepter mais il doit s’en douter. D’ailleurs, un de ses amis m’a carrément posé la question! J’le hais ce mec depuis cette question:

— Et t’as une copine? Comment elle s’appelle?

— Euh non je n’en ai pas...

— Tu préfères peut-être les garçons?

— Dis pas de connerie!

Que je me sentais mal, mais je n’ai rien dit.


On a baisé pendant toutes les vacances de façon passionnée ou sauvage, il m’aimait vraiment et moi je ressentais (je ressens toujours d’ailleurs) autre chose que de l’amour, c’était fort aussi mais pas de l’amour, ou alors une autre forme d’amour. PUTAIN! Pour une fois que j’en trouve un qui me respecte, qui en a dans la tête, qui est intéressant, qui m’aime et qui baise divinement bien! Ah la nature humaine est vraiment très bizarre parfois...

Mes vacances tirent vers leur fin et mon anniversaire approche! Bien sûr il faut absolument que je passe la veille avec mon keum et il vient me chercher et nous partons. Nous allons passer la nuit dans l’appartement d’un de ses amis parti en voyage en Chine (rien que ca!). La nuit arrive et bien évidemment, on baise...

Le lendemain au réveil, il a une gaule d’enfer. Mais Stéphane que t’arrive-t-il? T’as pris du viagra? À chaque fois que je voyais cette grosse barre de fer noueuse qui pointait sur son bas-ventre, cherchant une grotte, un fourreau où déverser son jus, ça me faisait un petit peu peur et je me demande toujours comment j’ai fait pour supporter un si terrible engin.

On descend et nous prenons le petit déj’ devant la télé. Il y a des supers clips vidéos et confortablement installés sur son torse très musclé, on les regarde.  

— T’as encore la gaule toi, qu’est ce que tu as à bander comme ça?

— C’est d’ta faute!

— Wouais wouais! Booba il a bon dos!

Sur ça, nous continuons de regarder la télé. Je me décide à me lever pour débarrasser les bols, la confiture et tout et lui vient m’aider. Quand je retourne vers le salon pour aller récupérer ce qui reste, il me plaque sur le mur, me serre entre ce mur et son corps et frotte sa queue! C’est parti, j’vais encore me faire troncher comme la première fois! Il m’attrape les cuisses et les enroule autour de sa taille tout en m’embrassant sauvagement! Encore une démonstration de sa force herculéenne! Il m’emmène sur le sofa et nous nous écroulons. Ça chauffe dans les boxers, il y a deux queues qui ne demandent qu’une chose: être libérées de leur prison de toile, l’une pour aller me brouter le cul et les lèvres, l’autre pour la caresse de ma main!

— On continuera à débarrasser tout à l’heure!

Ma main dans son boxer et la sienne dans le mien, nous regardons la télé quand:

— Eh Stéphane! Il est 9h, tu dois aller bosser et il faut me ramener avant! Ah ben non, t’auras pas le temps! J’vais rentrer seul.

— Tu rigoles? Pas question que tu partes sans l’avoir eu dans ton cul ce matin!

— Mais...

Un baiser langoureux vient me clouer le bec!

— Mais attends...

Il vient de me sucer l’oreille, il a gagné, il peut me sauter comme une chienne, je suis d’accord et je n’ai plus de force pour résister. Il me saisit les pieds et les allonge dans le sens de la longueur du sofa et m’écarte les jambes pour s’installer entre elles! Tout en frottant sa queue sur la mienne, il me lèche les tétons, les mordant doucement puis léchant pour atténuer la chaleur, tout en faisant un bruit exagéré qu’il pourrait très bien éviter de faire; mais c’est tellement excitant! Puis il se dresse, me regarde dans les yeux, que va-t-il faire? Il attrape un paire de ciseaux, entaille mon boxer juste sous les couilles puis déchire! Tout en étant vêtu de mon boxer, j’ai ma fente totalement accessible! Ça m’excite au plus haut point! Quelle initiative! Une noix de gel et il est déjà en position de tire et il me pénètre lentement, tout en m’embrassant le cou en me disant des mots gentils:

— Je t’aime tant! Tu vas me manquer... T’es chaud, ton cul aussi va me manquer... Je t’aime, je t’aime!

Et il m’a fait l’amour doucement. Comme sa queue est plus épaisse vers le gland, quand il sort, mon trou est dilaté un max, c’est ça la sensation qu’il me procure. Puis il me soulève la jambe droite et se la met sur l’épaule, dans cette position il peut aller à fond dans mon cul. Je sens sa queue battre, durcir par moments, qu’elle est raide! Ohhh! Je suis complètement offert et écartelé, je n’ai d’autre choix que de prendre cette putain de grosse bite de noir, c’est bon, c’est doux. Il me relève et me met à quatre pattes face au dossier et me chevauche cette fois-ci plus hard. Il me bourre comme si j’étais une chienne:

— Ne crie pas mon chat, les voisins...

— Putain! Oh han! Mais tu... Han!...me défonces... Han! han!...si bien...

— Oh j’aime quand tu parles comme ça!

Sentant la fin venir, il fait des mouvements de petite amplitude avec le collet de son gros gland, la partie la plus épaisse de sa queue et d'un seul coup l'enfonce et il m’envoie toute la sauce au fond du cul. J’ai les larmes aux yeux et le cul défoncé mais habitué au traitement que Stéphane lui inflige. Il s’écroule, me tire entre ses jambes:

— Mon amour, tu n’as pas joui, je veux que tu jouisses en moi...

— Mais tu l’as jamais fait!

— Mais je t’aime, c’est pour cela que je veux que ce soit toi qui me le fasse!

Et sans préavis, il s’est mis du gel au cul, m’a pris la queue et s’est empalé dessus! Ho c’est chaud! Son cul est super serré, c’est vraiment le pied, je ne vais pas pouvoir tenir la sauce longtemps!

— Oh Booba! Vas-y, vas-y, baise moi!

Trois bons coups à fond dans son cul et il n’aura suffi que de ça pour que je lui jute dans le cul, jusqu'à ce qu’il lui en dégouline.

Nous nous lavons et partons, moi à l’appart de mon frère, lui à son boulot, mais tous deux les couilles légères.


C'était le jour du départ et surtout mon anniversaire! J’étais tellement triste de laisser mon Stéphane, mais en même temps heureux de quitter mon frère, cet emmerdeur de première ! Il avait organisé une petite fête avec SES amis: champagne, gâteaux et tout et puis quelqu'un sonne à la porte. Je vais ouvrir et hop: Stéphane! Heureux, surpris et un peu gêné qu’il soit là, j’essaie de cacher en vain mon émoi. La fête continue, Stan avec ses copains et moi avec Steph.

Il m’offre son cadeau: un super bracelet en argent. Chuis tout retourné car à son anniversaire à lui, je ne lui avais rien offert à part mon cul, mais ça c’est à cause de ce radin de Stan ! Je lui dis merci. J’aurais bien voulu l’embrasser mais il y avait du monde...

Il est 1h du matin, je pars dans 5 heures. Enfin il faut que je raccompagne Steph à sa voiture. On appelle l’ascenseur, on y entre et bizarrement, au lieu d’appuyer le rez-de-chaussée, il m’indique le dernier étage; je comprends pas mais j’appuie tout de même. À peine la porte refermée, il me plaque et m’embrasse:

— Tu vas énormément me manquer, je crois que je t’aime trop. J’ai un autre cadeau pour toi

— Ho non, c’est trop! C’est quoi?

— Tu verras au dernier étage!

Arrivés au dernier étage, il appuie le bouton "rez-de-chaussée" et défait son pantalon, juste pour laisser sa matraque déjà bandée sortir:

— Fais moi jouir avant d’arriver en bas.

Relevant le défi, je m’accroupis et gobe le sexe dur. Il gémit, je tète lentement l’énorme gland que je connais bien maintenant, je lèche de haut en bas la longue hampe noire, je m’excite et sors ma queue et me branle! Elle est pleine de foutre, juteuse à souhait et je vais tout avoir que pour moi. Je suce rapidement pour les soulager, lui et ses couilles qui n’en peuvent plus. Je les masse à travers le tissu de son pantalon fin, sa queue hoquète, il va lâcher la sauce et FUIIIIIIT! J’en ai la bouche pleine.

Il m’attrape par les oreilles et se secoue dans ma bouche pour que j’avale tout. J’en laisse pas tomber une goutte mais les jets sont trop abondants et trop rapides. Il m’en coule sur les commissures des lèvres. Quand enfin il se calme, nous sommes au huitième étage. Je me relève, il me met dans un coin et m’embrasse, goûtant son propre sperme. Il m’entraîne rapidement dans un coin quand l’ascenseur s’arrête au septième étage. Le jeune mec qui entre ne voit que son dos et suppose bien entendu que l’autre personne est une femme. Moi j’ai toujours la queue dehors et stéph me branle et j’ai joui, sans trop crier car il me baisait la bouche. Le garçon est descendu au deuxième.

Je l’ai raccompagné a sa voiture, un ultime baiser et je m’en vais.


De retour en Guadeloupe! Enfin! Terre natale. Stéphane, il me manque! Cruel dilemme, à peine arrivé je l’appelle et il me dit curieusement qu’il a envie de me faire l’amour.

Deux mois après, je lui ai dit: "l’amour à distance je n’y arrive pas!" Il m’a dit qu’il comprenait et nous nous sommes quittés comme ça!

N’empêche, l’idée qu’il puisse faire l’amour avec quelqu'un d’autre me rend fou! On s’écrit parfois via le net mais mes autres cyber-copains avaient raison: rien ne sera plus jamais comme avant!

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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