Mercredi 5 février 3 05 /02 /Fév 18:34

RECIT FICTION  ANTICIPATION Bonne  illustration de cette chanson de Felix  Leclerc

Bisex  H + HBK + F

preachingblackpower: Amen to that!!! Every fuckin day I am thankful!

thawickedbullnigga: Tha only way you’ll get a D- out of my class is to suck my dick now you lil stupid ass cunt. Even thou it did everything this Bull told it to do He still gave tha bitch a F in his class.

Alice, Thomas, Danny

UTOPIA LE MONDE DE DEMAIN

Louange de ce monde nouveau qui avait enfin compris que le progrès ne vaut pas un sou s’il ne vise à faire disparaître toute souffrance humaine, que tout individu sans exception a le devoir de profiter du bonheur tout au long de sa courte vie avant de retourner au néant, et que le plaisir, que tous les plaisirs, sont la seule et unique condition du bonheur.

10 Novembre 2550. Dans une petite ville de la banlieue ouest de New-York vit Thomas, âgé d'une cinquantaine d'années, grisonnant, jeune de corps et d'esprit, très bel homme. Son charme et sa gentillesse ne laissent personne indifférent et il séduit aussi bien la gent masculine que féminine. Il est très attaché à sa vie de famille, sa femme et ses deux enfants sont tout pour lui, ainsi que son travail d'historien qu'il exerce avec passion.

Il faisait beaucoup de recherches sur le XX° et XXI° siècles. Même si cette époque lui était familière, les guerres, le racisme, l'homophobie, la connerie humaine de ces temps le faisaient réfléchir et le laissaient souvent sans voix. Avec son jeune stagiaire noir, Danny, ils débattaient à propos de leurs recherches et se rendaient compte que quatre siècles et demi plus tard, le monde avait bel et bien changé: tous les problèmes que soulevait autrefois l'homosexualité leur paraissaient ahurissants, comme le vestige d'une sorte de moyen-âge heureusement disparu.

Alice, l'épouse de Thomas, était une femme brune aux yeux verts, fin quarantaine; son statut de femme au foyer lui laissait du temps pour s'occuper d'elle. Ils formaient un couple magnifique, leur complicité était à fleur de peau. Mily et Quentin, les deux enfants de Thomas et d'Alice se trouvant en France pour leurs études, ils invitaient souvent Danny à dîner.

Un soir, au cours d'un de leurs repas en commun, ils eurent une discussion très animée sur leur époque, mais ils tombèrent tous d'accord sur un point: l'homme était enfin heureux aux quatre coins de la planète. Chacun était libre de vivre son mode de vie sans l'imposer à l'autre; l'amour de soi, mais aussi d'autrui était le maître mot de l'humanité. Les croyances et les religions qui avaient fait tant de ravages par le passé n'existaient plus...

Le repas qu'Alice avait préparé était délicieux et les changeait agréablement des rations turbo-OGM habituelles. Thomas ne manqua pas de féliciter sa petite femme en se frottant contre elle de manière très sensuelle et en l'embrassant langoureusement, sous le regard intéressé de Danny.

Danny était plutôt canon comme garçon, une belle tête rasée plus que court, un regard perspicace avec des yeux en amandes, un nez pas très fin, mais en harmonie parfaite avec son visage et une bouche de toute beauté. Son côté très sportif lui avait donné à 25 ans un corps de dieu grec. Il savait que Thomas l'aimait beaucoup, mais n'imaginait pas que ce mélange d'amitié et d'amour puisse déboucher sur le sexe, même s'il en rêvait.

Bizarrement, Thomas était de plus en plus précis dans ses gestes, caressant sa femme en faisant glisser sa main sous la combinaison rouge qu'elle portait à merveille. Ils étaient sur le grand divan en magnéto-lévitation du salon, tandis que Danny, assis sur le fauteuil leur faisant face, semblait un peu perplexe. Ce n'était pas le spectacle que lui offraient Thomas et Alice qui l'embarrassait, mais il se demandait plutôt de qui il allait s'occuper en priorité s'il prenait part à leurs ébats. Il se trouvait face à un sérieux dilemme...

 

___________________________

Danny resta à sa place un long moment, puis dirigé par son instinct, il alla s'asseoir à même le sol du côté de Thomas. Ses mains ne tardèrent pas à caresser les jambes et les mollets de son bel ami. Il ôta les chaussures à micro-billes et moteur intégré qu'utilisait Thomas pour parcourir les longs couloirs de l'IRH, pour faire apparaître deux pieds sublimes.

Thomas était un adepte de la marche qu'il pratiquait chaque dimanche avec des amis. Il adorait qu'on s'occupe de ses pieds, ce que Danny faisait avec beaucoup d'entrain. Il massait, suçait, faisait couler sa langue entre les orteils. Thomas n'était pas gêné le moins du monde mais au contraire excité au plus haut point. Alice était de plus en plus dénudée, sans complexe face à cette nouvelle expérience. Elle n'avait jamais partagé son mari, mais apparement l'idée ne lui déplaisait pas. La combinaison ne cachait désormais qu'une moitié de son corps. Sa poitrine de déesse envoûtait Thomas qui adorait ses seins blancs et généreux. Il les suçait avec amour tel un enfant assoiffé tétant sa mère.

Danny, très audacieux dans ses gestes, assumait parfaitement et avec talent son rôle d'intrus. Ses mains baladeuses remontaient les belles jambes de Thomas, qu'il supposait musclées au travers du pantalon de cuir qu'il portait. À aucun moment de sa vie, Thomas n'avait pensé qu'un jour il se ferait caresser par un garçon, black qui plus est. Il était curieux de savoir jusqu'où Danny pouvait aller, tout en souhaitant que ce soit le plus loin possible, car il se disait que sa beauté et son talent en caresses en valaient bien la peine...

Danny détacha la ceinture de Thomas, tira sur le pantalon avec force, car il avait hâte de le voir nu. Thomas, à présent vêtu d'un boxer et d'un polo flytex thermo-régulateur, demanda à Danny et à sa femme de passer dans la chambre où ils seraient beaucoup mieux. Les murs et le plafond de cette pièce n'étaient que miroirs, excellent concept pour la bagatelle. Ils se déshabillèrent tous en même temps, puis il y eut un moment de silence. Aux yeux de Thomas et de sa femme, la beauté de Danny était incontestable, mais la belle bite qu'il avait entre les jambes était la cerise sur le gâteau. Danny qui avait tant rêvé du corps de Thomas, le regardait de la tête aux pieds, sans rien dire, juste de ce regard plein de tendresse qui voulait dire je t'aime.

Alice se jeta sur le sexe de son mari, le goba, tandis que son autre main branlait la tige vigoureuse de Danny, qui lui même embrassait Thomas à pleine bouche. Alice était déchaînée par ces deux pines, qu'elle butinait telle une abeille volant de fleur en fleur. Dans sa bouche alternaient queue blanche et dard black. Dans ce trio, personne n'était jamais en rade, et quelle que soit la combinaison, chacun avait son lot de plaisir. Alors que Danny se faisait pomper par Alice, son mari dirigea vers la belle chatte épilée, sa langue délicate. Il lécha cette moule luisante, en faisant bien vibrer le clito, tandis que deux doigts dans le vagin faisaient trembler Alice de plaisir. Elle grognait avec la tige de Danny entre les dents. Celui-ci regarda la belle queue circoncise de Thomas, la caressa tout en douceur puis la porta à sa bouche, en insistant bien sur le gland, ce que Thomas adorait.

Après quelques instants de pur bonheur, Thomas s'allongeait sur le dos, la tige bien droite, sur laquelle Alice alla s'empaler. Elle le chevauchait avec ardeur. Son cul s'offrait à Danny, qui sans aucun complexe, lui lécha la rosette, avant de l'enduire de lubrifiant, ainsi que son membre, qu'il enfonça en elle sans trop de difficulté.

Alice était heureuse de cette nouvelle expérience: deux bites en elle! ses phantasmes les plus fous se réalisaient. D'habitude très belle, elle était ce soir-là simplement sublime, sous le regard admiratif de son mari.

En plein XXVI° siecle, il était bien normal que les femmes vivent leur sexualité pleinement, sans pour cela être considérées comme des salopes. Tout comme les hommes, elles avaient droit au plaisir, sans aucun tabou. Après plusieurs minutes de coups de queues par les deux orifices, elle se laissa aller à la jouissance, qu'elle exprima par des cris de femme libre et souveraine, laissant enfin tomber son corps lourd sur Thomas. Des petits bisous amoureux et tendres fusaient encore entre Thomas et sa femme, puis arriva le moment où elle laissa les deux hommes se débrouiller entre eux.

Toujours vigoureuses, leurs queues dressées faisaient penser à ces deux tours qui étaient la fierté des Américains 546 ans plus tôt...

 

_____________________

Alice regardait Thomas et Danny; leurs deux corps, chacun dans son genre, étaient pures merveilles: l’un était celui d’un homme déjà mûr que l’exercice avait entretenu, l’autre celui d’un jeune homme lisse et délié, tout juste sorti de l’adolescence. À vrai dire, elle ne savait pas lequel des deux elle préférait. Les mains blanches de Thomas parcouraient maintenant la peau couleur café de son disciple. Ce qui étonnait Alice, c’était l’instinct avec lequel ces deux mâles trouvaient tout naturellement la caresse qui convient, le coup de langue qui fait gémir de plaisir, le baiser qui fait chavirer les regards. Elle reconnaissait en cela la supériorité incontestable des amours entre personnes du même sexe qui rendent le corps de l’autre aussi familier que son propre corps.

La belle queue black ne désenflait pas, bien au contraire, car Danny avait deviné que Thomas s'apprêtait à la déguster. En effet, il se laissa aller à toutes les folies: après tout, cet engin au gland brun-rose était là pour lui désormais. Il avait une carte à jouer, rendre Danny encore plus amoureux de lui. Aussi, il prit tout son temps pour contourner de sa langue pointue le sillon à la base du gland, pour aspirer goulûment ce fruit luisant, pour répandre sa salive sur toute la longueur de la verge. Il dégustait une couille, puis l’autre, puis, avec application les deux à la fois, faisant rouler les boules avec sa langue. Danny, n’en pouvant plus, referma ses cuisses et s’approcha du visage de Thomas pour lui glisser quelques mots à l’oreille. Alice devina ce qu’il lui avait demandé, pas sorcier! Lorsqu'elle vit Thomas se retourner sur le ventre et ouvrir ses cuisses, dévoilant à Danny l’épaisse fourrure entre ses fesses, elle se dit que l’occasion se présentait pour elle de reprendre part au jeu.

Elle se précipita sur le tube de gel et légèrement, en déposa une noisette sur l’oeillet de son mari puis, du bout du doigt, à l’intérieur de son cul. Elle sourit en pensant qu’autrefois, les hommes accompagnaient ce geste de l’enfilage d’un préservatif, une espèce de doigt en latex qui évitait la contagion des maladies. Mais il y avait longtemps que ces précautions étaient devenues inutiles et risibles: les MST, comme on disait à l’époque, avaient disparu de la surface de la terre, et l’érotisme le plus extrême pouvait s’exprimer sans retenue.

Danny s’était maintenant placé au-dessus de Thomas. À son tour, il sentit la main d’Alice lubrifier son membre de plus en plus raide, et crut bien qu’il allait jouir sous cette caresse glissante. Mais Alice empoigna fermement le sexe du jeune homme, écarta entre le pouce et l’index l’anus de Thomas et plaça l’extrémité du gland au milieu de la rosette. Trois ou quatre pressions, de plus en plus insistantes, et le gland en entier disparut, comme aspiré par l’orifice le plus secret du professeur d’Université.

Thomas s'étonnait, n'ayant pas eu de relation avec un homme depuis longtemps, d’être pénétré avec autant de facilité. Il faut dire que les mains d’Alice, contrôlant la progression de l’enculade, y étaient pour quelque chose. Lorsque la pénétration fut totale, et que Danny put limer de toute la longueur de sa queue en ne procurant à Thomas que du plaisir, elle s’éloigna vers le living-room puis revint très vite avec une paire de lunettes spéciales SX 940 à crypto-infra-rouges, qui permettaient de voir tout corps humain dans ses couleurs naturelles mais supprimaient comme par miracle tout objet autour. Elle s’installa à genoux, cuisses écartées, au pied du lit. Ce qu’elle voyait lui causait un plaisir fou: Thomas, légèrement cambré, accompagnait ou allait à la rencontre des coup de reins de Danny, comme en apesanteur. Les deux paires de couilles se balançaient joyeusement. Quelques gouttes de sueur perlaient sur les fesses du jeune homme, qui laissaient apparaître à chaque mouvement de retrait un trou du cul ombré de quelques poils. Tous deux semblaient flotter dans l’air avec une liberté totale, sans rien dissimuler de leur intimité... Combien dura ce spectacle, difficile à dire, le temps en tout cas pour Alice de se masturber des deux mains et de connaître une fois encore la jouissance profonde de son corps, le temps pour Danny de décharger interminablement sa crème dans le ventre de Thomas, le temps pour Thomas, de jouir sans même se toucher sur le couvre-lit en soie, cadeau de sa belle-mère.

Les deux hommes s’étaient endormis, l’un sur l’autre. Alice respecta leur repos et se glissa hors de la chambre à coucher. Elle songea qu’une petite collation réparatrice serait la bienvenue. Une demi-heure plus tard, nos trois héros se retrouvaient autour d’une petite table, chandelles, champagne et foie gras végétal, un vrai délice. Chacun avait enfilé un peignoir bien douillet et Thomas comme Alice ne manqua pas de remarquer que, bien sûr, Danny bandait encore; ils s’en amusèrent un moment, avec l’arrière pensée que l’avenir leur souriait; ils bavardèrent jusqu’à l’extinction des chandelles, tout à la louange de ce monde nouveau qui avait enfin compris que le progrès ne vaut pas un sou s’il ne vise à faire disparaître toute souffrance humaine, que tout individu sans exception a le devoir de profiter du bonheur tout au long de sa courte vie avant de retourner au néant, et que le plaisir, que tous les plaisirs, sont la seule et unique condition du bonheur.

FIN

 

 

 

 

Par teddyman - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 5 février 3 05 /02 /Fév 11:18

 

Ohhhh goodness me……. one very sore gurly bottom coming up I think. I love the expression of resignation on the gurls face….. that look is SUCH a turn on!

Pour l'encouragement de la race chevaline...et des juments lol

Et toujours de l'entraînement l'entraînement l'entraînement ...

SE DONNER TOUT A FAIT L'AIR D'UNE FILLE...

 

What a wonderful concept….. a gurls “Finishing School”, now that’s real training!

S'INTERDIRE TOUT A FAIT L'USAGE DE SON PROPRE CHIBRE

Male chastity and feminisation is the answer to many of life’s problems……I

 

Privilégier l'entrée de derrière !

Ladies….. really….. what’s not to like? A pretty Maids uniform and domestic chores are a thing of the past, just as it should be!

PORTER DE JOLIES CHOSES

Ladies…… the fun you can have when you first make your gurl wear nails is enormous, use supa-glue to ensure a long lasting fit and then make her try to pick small things up….. I can assure you it’s very very amusing.

S'exercer à toutes les disciplines

 

thetitanbarbarossa: Lately I have been thinking about what it would be like to have my husband bred by a lady-boy. I mean obviously seeing him submit to a Bull, a man, makes perfect sense, but to see him have to submit to someone like this, to seem him bend over and surrender his hole, and to see the look on his face when someone this feminine actually penetrates him and then eventually ejaculates… the emotional torment of knowing that this seed is inside him… frankly makes me HOT! My context is slightly different but perfectly put, I’ve had a current gurl serviced by a previous gurl in this way, forget the added bonus of what it did to her…. it’s what it did for me…..HOT…. I nearly melted.

 

Ladies, really, what’s not to like! So much better to my eyes than boy pants and pink is just so right

 

Gurls and pink things…… it just seems so very right.

 

littlemisschastity: I love what Lady Sapphire did with my hair on this one! In fact, She’s shaped my look amazingly over the last couple of years… Thanks, Mistress! Oh happy happy days, once again LMC’s Mistress has excelled……. LMC is sooooooo ready for a little outing!

 

 

Et pour l'amour de la race chevaline

 

 

 

 

 

 

 

Par GAYDITOR - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS .
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Mercredi 5 février 3 05 /02 /Fév 02:30

PROSTITUES DE MON COEUR 

 Moi c'est Thomas. J’ai toujours aimé le sexe mais jusqu’ici je n’ai connu que des relations assez ordinaires entre jeunes homos, embrasser, sucer, enculer et se faire baiser tout ça je le pratiquais bien...et avec grand plaisir, mais en amateur-profiteur, pas en "pro". J'aurais bien aimé ajouter cette cerise sujr mon gâteau : devenir vénal !

 

Une fois un vieux m'a donné spontanément 20€ sans que je lui demande rien alors que moi je m'étais dévoué par désir et par pure bonté d'âme... Je tournais et retournais le billet dans ma poche et je pensais que j'allais en faire un sous-verre ou l'encadrer...ne vous foutez pas de moi :)

 

Ce n'était rien qu'un peu de fric mais il m'avait chauffé le coeur à la manière d'un grand soleil...lol

 

En quoi étais-je si sexy ? En quoi avais-je été à la hauteur de ce qu'il attendait de moi? Il faut le croire ! Je préférais croire que ces 20€c'était à valoir sur ma prestation et non la gratification d'un vieux à un jeune "serviable", ce qui est gentil mais.... Donc ma qualification (hihi) restait à prouver...

 

Je voulais que ce premier fric me porte bonheur et comme on rejoue une somme gagnée au PMU, je me baladai sur le lieu de drague homo avec le billet accroché à mon blouson par une pince à linge.

 

Je voulais apprendre, simuler le client pour voir comment il s'y prenait..

 

Celui qui m'aborda me sembla assez sympa et expérimenté C'était Serge.-"Tu cherches quoi? - "chépa, un peu tout"...Il n'a pas l'air d'une caillera du tout.

 

Il décroche mon billet et le met dans sa poche.

 

-"Avec ça je peux juste te laisser me faire une petite pipe...ou alors ce n'est qu'un acompte". Ici en plein air je prends 100 € minimum et parce que c'est toi dit-il avec un sourire qui ferait fondre un saint du Paradis."Il réfléchit Il me rend mon billet - je crois avoir compris que tu veux payer ou alors tu cherches de l'herbe ?

 

Pourquoi un bogoss comme toi veut payer ? Mais si tu veux payer, si c'est ça qui te fait bander tu payeras...

 

- c'est un peu ça...mais à l'envers... en fait je n'ai jamais payé et j'ai toujours tout eu.. je veux faire comme toi, faire payer, mais je sais pas bien comment faire et je veux apprendre

 

- Pourquoi? t'as besoin de thune ? - c'est même pas ça. Un type à qui je demandais rien m'a payé et je me suis aperçu que ça me faisait bander...

 

C'est pas la première fois que j'y pense mais ça m'a décidé. Rassure-toi, je veux pas chasser sur tes terres et j'irai ailleurs pour draguer des clients.

 

- Un t'auras pas de mal fait comme tu es. Deux, je crains pas ta concurrence : quasiment c'est un métier, faut assurer. Peut-être que dès la première fois tu verras que "tu fais pas la maille".

 

Cela dit il me chope aux épaules et me tire une galoche à me laisser sans souffle. - J'embrasse pas les clients, c'est la règle dit-il, sauf...mon chum, mon mec...ça veut dire...à ton avis...?

 

Encore essoufflé de son étreinte je dis encore une fois -'"chépah", mais plein d'espoir je devine.

 

-ça veut dire que je te kiffe !

 

- ....???

 

- Voilà une première chose à éviter : se laisser galocher par son client. Range ton fric. On va faire le contraire : imagine que je suis ton client.

 

J'ai envie de toi...Fais-moi voir comment tu fais.

 

Je suis un peu paniqué mais je veux avancer.

 

Je dis : "-je suis vénal, tu cherches quoi ?

 

- un peu tout. Combien tu prends ?

 

-50 €

 

- c'est cher ... tu suces ? tu baises ? tu te fais prendre

 

- ouais bien sûr mais je suis seulement actif et je mets un préso

 

Je lui touche les fesses. Je lui pince les seins à travers le T shirt

 

- Fais voir ta queue

 

- tu es ok pour 50 euros ?

 

- Ok. Fais la voir ta queue

 

- Montre les 50 euros

 

- tu peux avoir confiance je te paie après si je suis content.

 

- non ça marche pas. Tu paies avant.

 

_ ok voilà

 

il fait semblant de me donner le fric. Je fais semblant de l'empocher.

 

Je me désape ( pantalon, slip) Je bande

 

-Suce-moi

 

Serge se met à genoux et me suce (putain il le fait bien et que je ne dois pas jouir )

 

- désape-toi je vais t'enculer

 

Serge se baisse froc et boxer. Il est beau le mec ! Il dit :

 

- Attends j'ai mon gel et mes capotes

 

je lui mets un doigt au cul il réagit

 

- tu me fais mal

 

- Attends, y a du bon quand même, non ?

 

-vas-y doucement

 

-Ok

 

je lui mets du gel et il gémit il me tend un préservatif je lui dis de me le mettre sur la bite

 

il est en position j'avance ma queue il m'arrête

 

- je me fais prendre que par mon chum, mais putain tu m'as donné envie

 

Il se reprend et se rhabille. Le test est fini

 

- alors qu'est ce que tu en penses ?

 

- Bof question présentation, beauté, culot (ça compte en premier) ça va

 

- Attention si tu jouis ta journée est foutue.

 

- question bander aussi faut voir avec un vieux, un obèse, un passif que tu kiffes pas trop... ? Je te propose pas de te regarder faire ça va te couper...

 

- essaie ! Y a que toi qui verras si ça marche et si tu peux faire plusieurs clients à la file.

 

- Tu prends pas assez cher faut pas avoir peur de les faire casquer...

 

- Putain, Serge tu suces bien...tu veux pas me finir...

 

- Excuse-moi mais j'ai pas fini ma journée, moi

 

- oh pardon ... j'ai un sacré ticket avec toi

 

- moi aussi mais on bosse va de ton côté ne me mate que si tu es sûr que mon client ne te voit pas

 

- non, j'ai peur de te déranger je vais draguer près des chiottes...

 

 

à suivre

 

 

 

 

 

 

Par GAYDITOR - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 5 février 3 05 /02 /Fév 02:22

Il aimait la bite, c’était sûr ! Je me souviens encore de sa voix gémissante chaque fois que je lui fourrais ma belle tige dans le fion, et lui qui me suppliait: “Oui, encore ! Éclate-moi le cul!” Et moi, je lui promettais de transformer sa rondelle en garage à bites capable de recevoir les plus gros calibres. Je le travaillais avec des godes énormes. Je ne suis pas branché fist mais par contre, je m’amusais à l'enculer avec tout ce qui me tombait sous la main.

Je menais un 20 tonnes et je pausais sur cette aire connue pour être une drague homo. Quand j’ai rencontré Thomas il était pratiquement puceau. Quelques pipes, deux ou trois coups de pine entre les fesses dans la cabine de mon camion, rien de plus. Mais lui était subjugué par le plaisir que je lui procurais. Il avait 18 ans, j’en avais 27. Je lui ai plu parce que j'étais un mec mûr et expérimenté, 100% actif et bien monté. J’avais une bite épaisse de 18 sur 6 à lui proposer, ainsi qu’un corps velu, 1m80 pour 83 kilos, et de belles burnes poilues à purger.

Lui, châtain, imberbe, petit sexe fin mais très beau cul aurait fait damner un saint. Il se prétendait vénal. J'ai fait semblant de marcher, je l'ai payé. J’ai découvert ce drôle de petit minet, mignon, mais rouge jusqu’aux oreilles, terriblement anxieux et intimidé. Il fuyait mon regard et, sur le coup, j’ai pensé qu’avec ce mec coincé, Il n'y avait rien de bon à attendre. J’avoue que lorsque je l’ai vu à poil, avec ses jolies petites fesses rondes et sa trique, raide comme un piquet, je me suis fait une autre opinion de lui. Encore plus quand il m’a dit: "Je n’ai pas beaucoup d’expérience, mais j’aimerais que tu m’apprennes!". Après notre première rencontre je lui refilai mon adresse. Mais je lui ai bien précisé qu'il n'était plus question que je le paie. Au contraire j'allais lui faire un cours de baise gratuit.

J’étais à poil chez moi et je n’ai même pas passé de slip quand j’ai entendu sonner. Je suis ailé ouvrir avec la queue à moitié raide entre les cuisses.

Finalement, avec ses airs de pucelle effarouchée, il s’est mis à drôlement m’exciter. Il voulait apprendre, j’allais tout lui montrer... Ce fut d’abord de bien s’occuper d’une tige en la branlant et en la suçant. Ça me faisait bander à mort de guider ses doigts et sa bouche sur ma bite, de lui dire comment palucher mes couilles et mon zob tout en pompant mon gland. Installé sur mon canapé, les cuisses très écartées, et lui, à genoux devant moi, je lui apprenais tout de l’art d’un bon pompage. J'ordonnais et il obéissait en cherchant à s’appliquer de son mieux.

Moment délicat, je lui ai dit qu’une bonne salope devait savoir aussi bouffer un cul. Je craignais son refus, mais non... Je me suis placé à genoux sur le canapé, le corps en appui sur le dossier et je lui ai écarté mes fesses on les empoignant: “Suce! Lèche! Encule-moi avec ta langue!” Ma petite pute s’est révélée être un élève doué et motivé, un apprenti docile et très désireux de se perfectionner.

En fait, j’ai compris qu’il aimait qu’on lui parle en baisant, qu’on le dirige, qu’on lui donne des directives. Je ne m’en suis pas privé, l’obligeant à bien me fouiller le cul jusqu’à ce que, excité par sa soumission, je décide de le troncher. Il y a une position que j’affectionne, c’est de placer mes partenaires à cheval sur les accoudoirs de mon fauteuil club. Le cul est bien cambré, bien offert, la raie s’ouvre d’elle-même, et l’œillet est juste à la bonne hauteur pour que ma bite puisse le défoncer.

Pour le rendre fou de désir, je lui ai d’abord léché le cul avant de le travailler avec mes doigts. En même temps, j’obligeais Thomas à répéter des phrases après moi. Je voulais l’entendre dire qu’il avait le feu au cul, qu’il voulait se faire niquer comme une chienne, que son trou avait besoin d'une bonne queue... Je l’ai lubrifié avant de l’empaler. Une fois sa rosette bien graissée, je l’ai emmanché et je l’ai enculé à fond, le tenant par les hanches et la tête penchée pour regarder son cul grand ouvert avaler mon dard. fuckyeahdaddygifs: Loads of Daddy GIFs at Fuck Yeah Daddy GIFs.Click Here to Follow Fuck Yeah Daddy GIFs.Thomas se tordait de plaisir et gémissait à chaque coup de reins. Son trou a fini par bien se dilater et j’ai pu le pistonner plus violemment. Je n’arrêtais pas de l’insulter, de lui lancer des choses comme: “T'aimerais, hein, salope, avoir une autre bite dans la bouche pendant que je te bourre le cul!” 2hot2bstr8: DAMNNNNNNNNNNNN he is fucking him SO DAMN GOOD!!!!! Look at that motion of him going deep and up!!!! HOT AS HELL!!!!!!♡♡♡

Je l’ai prévenu quand j’ai senti que je n’allais plus tarder à cracher mon jus. Thomas a empoigné sa queue et, au moment où je déchargeais, il jouit avec moi. À chaque spasme de son orgasme, les muscles de son trou se contractaient sur ma queue.

Quand je me suis retiré, l’orifice était rouge et encore bien détendu. J’adore mater le fion élargi d’un mec que je viens de sauter. Très souvent, cela me donne encore envie de le baiser. Mais avant de le faire, j’ai exigé que Thomas lèche son sperme qui avait giclé sur mon fauteuil. Je l’ai vu sortir sa langue et nettoyer consciencieusement les traînées de foutre blanc et épais. Puis je lui ai glissé ma tige entre les lèvres...

Deux soirs plus tard, je revoyais Thomas. Cette fois, il était beaucoup moins intimidé quand je lui ai ouvert ma porte. C’est lui qui m’a dit: "Si tu veux, tu peux te montrer encore plus vicieux avec moi que l’autre jour." C’est à partir de là qu’a commencé son "dressage”.

La première idée qui m’est venue a été de lui raser le trou du cul. Il s’est laissé faire, en levrette sur mon lit en tenant ses fesses bien ouvertes. Je me suis amusé à passer le blaireau dans sa raie et à bien l’enduire de savon à barbe avant de raser ses poils. Durant toute l’opération, la queue de Thomas est restée plaquée contre son ventre tellement il bandait. À présent, j’avais bien cerné mon jeune minet et je savais ce qu’il attendait de moi, aussi, je n’ai pas hésité à l’attacher sur mon lit et à le fesser avant de le baiser.

Nous nous sommes encore revus. Thomas ne disait rien de ses envies, moi seul devais lui imposer les miennes. J’ai commencé à l’enculer avec tout ce qui me tombait sous la main : godes, légumes, objets divers. Il ne restait plus une heure ou deux chez moi mais y passait la nuit entière. De temps en temps, nous allions aussi chez lui.

Il m’arrivait, par exemple, de lui passer un coup de fil et lui ordonner de m’attendre, déjà à poil et à quatre pattes sur le lit, "prêt à se faire tirer comme une pute!" J’arrivais et je trouvais Thomas dans la position que je lui avais imposée.

Cela a duré un peu plus de trois mois. Le temps de sa formation. Notre projet commun était qu'il devienne vénal et fasse damner de désir ses futurs clients. Trois mois que je n’oublierai jamais.

 

L'un de mes meilleurs souvenirs de pieu restera celui de Thomas. Quand on commençait à baiser, on savait que cela durerait des heures et que nous ne nous séparerions pas avant de nous être complètement vidé les couilles tous les deux. C’était hot, c’était hard entre nous; de la bonne défonce virile avec des tendances SM qui flirtaient, parfois, avec des pratiques un peu crades. Uro, odeurs de queue, slip foutreux et pisseux... Thomas voulait du vrai mâle, des rapports musclés, du vice d’homme et une bonne prise en main pour faire de lui une bonne salope à tout faire. Je crois y avoir réussi... Et ce salaud avait l’art de me faire bander encore, quelques minutes après m’avoir fait juter.

dadseed: breed

 

 

Par T. - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 5 février 3 05 /02 /Fév 02:00

PROSTITUES DE MON COEUR

Rassurez-vous je suis majeur, depuis peu, mais ça y est...et j'ai l'intention d'en profiter !

T-shirt kaki d'où sort une masse de poils noirs... Il a une vraie gueule de vicelard. Je serais capable de jouir là sans me toucher tant je suis excité. Ce n’est pas un bel homme mais il colle parfaitement à mon fantasme. Me vendre à un bel homme serait moins excitant...

J’ai toujours aimé le sexe mais jusqu’ici je n’ai connu que des relations assez classiques. Mon rêve serait de devenir un objet sexuel entre les mains d’un ou plusieurs mâles. Devenir vénal! Depuis plusieurs années, ce fantasme ronge ma libido et je suis fermement décidé à le vivre.

Je tremble, mon cœur bat la chamade. C’est aujourd’hui que je saute le pas. Je me suis habillé très... pute... T-shirt moulant et déchiré, short très court, bottines et grosses chaussettes... Je vais enfin me vendre, me prostituer...

J’ai bien réfléchi à propos de l’endroit où j’allais «pratiquer» mon art. C’est sur une aire d’autoroute très fréquentée par les routiers que j’ai jeté mon dévolu. Ce n'est pas la première fois que je me gare sur ce parking. J’y suis venu souvent pour m’installer devant les urinoirs et lorgner les queues de mes voisins. J’ai souvent eu envie d’aller plus loin et de m’offrir à certains hommes qui me tâtaient le cul mais... j’ai toujours reculé au dernier moment. Aujourd’hui, c’est certain, j’irai jusqu'au bout. Je gare ma voiture non loin du bloc des toilettes. La place choisie est idéale, légèrement en retrait mais visible des hommes cherchant une pute. Je respire un bon coup.

Le doute m’assaille... Les doutes même... Vais-je vraiment oser? Y aura-t-il des clients potentiels? Vais-je leur plaire? En fin de compte, je ne dois pas me faire trop de souci. Je suis un beau mec de dix huit ans, très désirable et très vicieux. Je sors de ma voiture et m’expose aux regards des deux ou trois conducteurs installés dans leur voiture. J’ajuste mon short qui rentre dans ma raie chaude et humide. Je dois ressembler à ce que je veux être; une salope prête à tout! J'espère que cette exhibition affiche bien mon statut: pute à louer...

J’essaie de me détendre, de calmer mes battements cardiaques accélérés... Je n’arrête pas de me parler à moi-même:

— Relaxe-toi, imagine ce que tu vas peut-être vivre. Tu vas enfin réaliser ton rêve!

Un nouveau doute! Je le chasse vite en tapotant les poches de mon blouson court. Les préservatifs, j'ai crû que je les avais oubliés! Je sens ma bite qui gonfle et le cockring qui en serre la base. Mon cul palpite.

Je m’appuie contre la portière côté conducteur. Il ne me reste plus qu'à attendre... Les bruits des voitures qui passent à côté de l’aire de repos sont étouffés par la végétation. Il y a un petit massif de buissons derrière moi. Ça doit faire un quart d’heure que je suis là, fébrile et anxieux, et toujours rien. Je commence à envisager la fuite quand un énorme camion s'approche doucement et passe devant moi. Ma queue sursaute. Putain qu’est-ce que j’ai envie d’une bonne bite! J'aperçois le chauffeur qui se penche pour me regarder. Je prends une pose lascive et j’expose mes avantages à sa vue. Le camion m’a dépassé et je suis déçu. Soudain, le bruit du moteur s’arrête. Mon coeur fait un bon dans ma poitrine. Le routier sort de son habitacle. Il est massif et assez grand. Il porte une casquette. Il a la quarantaine, un ventre de buveur de bière et il porte un T-shirt kaki d'où sort une masse de poils noirs... Il a une vraie gueule de vicelard. Je serais capable de jouir là sans me toucher tant je suis excité. Ce n’est pas un bel homme mais il colle parfaitement à mon fantasme. Me vendre à un bel homme serait moins excitant...

Il s'approche et s'arrête à deux pas de moi. Ses yeux me dévisagent puis descendent pour se fixer sur la bosse de mon short. Son regard me déshabille sans pudeur... Mon cœur s’emballe à tout rompre.

— Combien?

Ça y est! J’ai ferré mon premier client.

— 80 euros...

— T’es cher... Tu suces et tu te fais baiser pour ce prix là au moins?

— Oui, je fais tout...

— T’es cher mais tu me bottes vraiment! J’aime les putes dans ton genre...

Il me fout la main au paquet et me tripote les seins. Je me sens humilié face à son attitude... Il soupèse la marchandise avant de l'acheter. C’est normal, non? Il anticipe sur le plaisir que ses 80 euros vont lui rapporter... C'est ce que je voulais après tout....

— Viens dans ma cabine...

Cette fois, c’est parti! Je ne peux plus reculer maintenant. Je vais y passer... Je vais faire ma première passe. Il me fait passer devant lui et en profite pour me caresser les fesses. Il doit y avoir des mecs qui me regardent de leur voiture et nous jalousent et c’est hyper bandant.

— Allez, monte là-dedans, que je m’occupe de ton petit cul...

Je suis surpris de la taille et du confort de l'habitacle où je vais subir sa loi. Sa loi de mâle! Il ferme la portière et tire les rideaux, nous isolant de l'extérieur. Il s’installe confortablement et baisse son slip sur ses chevilles poilues. Je découvre un beau sexe bien droit et très large.

— Qu’est ce que t'attends? Viens me sucer... pour commencer...

Je m’agenouille sur la banquette et je me penche sur le membre encore mou. Mon cul est bien dressé et ça doit l’exciter.

— Ouais, comme ça... Cambre-toi bien, ma poupée !

Ma main saisit sa bite tandis que ma bouche l’engloutit. Très vite, je la sens grossir entre mes lèvres. L'homme a glissé sa main entre mes cuisses écartées et caresse ma raie veloutée. Le mec gémit et sa bite est maintenant énorme. Sa main fait pression sur ma tête pour que j’avale son sexe plus profondément encore. J’ai du mal à respirer car son gros gland bute contre mon palais... Ses doigts fébriles cherchent l’entrée de mon trou.

— Hé dis donc, ma petite pute, mais tu es toute mouillée... Déjà prête à l’emploi!

Me voilà bien excité par sa réflexion. J’ai très envie de satisfaire mon client. Son index s'introduit dans mon cul. Je gémis comme un chiot.

— Bonne petite pute... T'es chaude toi dis donc... Continue bien à sucer mon sucre d’orge... Plus tu le fais gonfler plus il te donnera du plaisir!

Pour ma «première fois», je suis tombé sur un client qui sait y faire avec les putes de mon genre. Il m’excite terriblement. Soudain, il se penche et étend le bras pour permettre à ses doigts de me fouiller plus profondément... C’est trop bon d’être rempli par les deux bouts. Je pousse un petit cri et il me claque les fesses. Il n'est pas tendre et s'amuse sans tenir compte de mes désirs...

— Bouge ton cul, avale la bien jusqu’aux couilles.

J'obéis et mon cul vient à la rencontre de ses doigts plantés dans mon petit trou... Je m'y empale en grimaçant.

— Bordel que tu pompes bien! Arrête de me sucer, tu vas me faire jouir.

Je me remets à genoux, cambré et fouillé par ses gros doigts velus...

— On comme si c 'était ta première passe!

C’est MA première passe!

— Putain, j’en étais certain. Allez. Fous-toi à poil maintenant... Je vais m'occuper de toi... et bien, crois-moi!

Il allume une clope et me regarde en connaisseur me foutre à poil.

— J’ai senti tout de suite que t’étais une bonne. Allonge-toi sur la couchette derrière et relève tes jambes que je vois bien ta raie... Redresse un peu ton cul... Ouais...voilà...

Je relève les genoux sur mon ventre et les maintiens avec mes mains, puis penche mes reins en arrière afin de bien montrer mon cul, de lui offrir la vue de ma chatte ouverte et luisante de mouille (de gel en fait).

— Je vais te le bouffer, moi, ton petit cul. Tu vas voir, ça va te plaire.

— Ouais, bouffe-moi la chatte!

— Tu aimes qu’on parle de toi comme d’une femelle, hein?

— Ouais. J’en suis une. Un vrai trou à bites.

Sa tête plonge entre mes cuisses et sa langue tourne autour de mon anus. Je ne le vois plus mais je sens ce qu’il me fait. C’est divin. Il commence à me lécher les couilles tandis qu'il me sodomise avec son pouce. Je gémis encore. Sa bouche s’occupe de mon trou et le lubrifie en profondeur.

Je bande à tout rompre et je suis dans un état second... sa chose quoi ! Mes yeux tombent sur sa queue qui doit avoir triplé de volume. Elle est monstrueuse , mélange de désir et d'angoisse !

— Allez, on passe aux choses sérieuses! Fous-toi à quatre pattes.

Il s’installe derrière moi, à genoux entre mes chevilles. Je me sens mal. Il agrippe mes hanches et je sens son énorme gland forer mon étroit orifice.

— Non, pas maintenant!

— Hein? Comment «pas maintenant»? J'ai payé non? Tu savais à quoi t'attendre... Assume jusqu’au bout, petite salope! T’as peur d’avoir mal... Crache-toi sur la main et lubrifie encore mais maintenant je vais t'enculer. J’ai une capote... Tu risques rien! Si tu es sage et que tu me laisses faire tout ce que je veux, je te donnerai même un supplément... Allez respire et détends-toi..

L’entrée est rapide et brutale... Je hurle et il me fout mon jockstrap en bouche. Une douleur effroyable irradie mon cul... L'homme n'en a rien à foutre et il continue son va-et-vient de mâle en rut. Je m’agite trop à son goût et il me crie dessus.

— Assume, je t’ai dit! Une pute ça morfle sans se plaindre!

Il se retire doucement pour de nouveau me pénétrer profondément... J’essaie de dominer mes cris. C’est épouvantable. La torture n'en finit pas car il prend son temps. Est-ce que je finis par m’habituer... Toujours est-il que la douleur devient acceptable. Les larmes s’arrêtent et je respire mieux. Un dernier coup de reins. Les poils de son pubis collent à mes fesses. Il grogne comme un chien. Je passe dans toutes les positions et nous finissons, moi assis sur lui, empalé sur sa tige droite. Il s’agite à son tour et son visage s’empourpre.

— Je jouiiiiiiiiis! Putain! Sale truie, sale charogne de pute...

Il est sorti de mon cul et la capote est pleine de foutre. Le calme revient. Il me sourit.

— T’as vraiment été à la hauteur, mec!

Je me rhabille. Je suis assez content et fier.

— Tiens!

Il me tend mes 80 euros. Je les regarde, hébété.

— Tu les a bien mérités, je passe ici le jeudi et le samedi vers 20 heures... Si ça te dit...

— Pourquoi pas! C’était très chouette...

Mon cul est moins d’accord avec le «chouette». Il a bien morflé, lui. Je rentre chez moi, partagé entre deux sentiments: la honte et la fierté.

Une bonne douche me détend et puis je me couche pour repenser à ma première passe. Cette fois, je suis vraiment un prostitué

A SUIVRE  

 

 

 

 

 

Par T. - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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