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il aurait existé, dans l’Occident médiéval de culture chrétienne, une forme de « mariage homosexuel ». Ainsi, non seulement le mariage homosexuel ne serait pas une nouveauté mais il aurait existé au cœur même de l’aire culturelle qui a institutionnalisé le mariage hétérosexuel comme union affective permanente, consentie entre égaux, qui délimite le cadre légitime de la procréation. Cet argument prend naissance dans un ouvrage publié en 1994 par un universitaire de Yale, John Boswell, sous le titre Same-Sex Unions in Premodern Europe (traduction française : Les unions de même sexe dans l’Europe antique et médiévale, Fayard, 1996). Il faut y revenir un peu tant ce livre audacieux a été mal compris voire instrumentalisé. Boswell défend la thèse selon laquelle il aurait existé, dans l’antiquité gréco-romaine, mais aussi dans l’Europe chrétienne médiévale, des formes d’unions affectives, stables et égalitaires, entre personnes de même sexe. Dans les années qui ont suivi sa parution, le livre a été abondamment commenté, spécialement aux États-Unis car en France, il ne suscita guère de débat de la part d’un monde universitaire plutôt enclin à traiter par le mépris cette façon « militante » de questionner l’histoire. Boswell s’appuie sur une définition du mariage moderne : « union permanente et exclusive entre deux êtres socialement égaux, qui se sont choisis librement et mutuellement pour satisfaire leurs besoins sentimentaux respectifs, et imposant d’égales obligations de fidélité aux deux partenaires » (p. 71). À partir de là, son argumentaire s’oriente dans deux directions. D’un côté, il montre que les unions hétérosexuelles dans l’Antiquité et les premiers siècles du Moyen Âge étaient loin de répondre à ces critères : point d’égalité juridique entre l’homme et la femme, pas d’exclusivité ni de permanence, une charge affective ignorée ou à tout le moins secondaire. D’un autre côté, Boswell identifie dans le monde gréco-romain antique mais aussi au Moyen Âge des formes d’associations ou d’unions masculines (les couples féminins demeurant très peu visibles dans les sources) qui reposent sur un engagement affectif et stable, prenant la forme par exemple d’adoptions fraternelles ou de fraternités jurées. Dès lors, Boswell engage une série de comparaisons entre les unions masculines et les conceptions de l’époque du mariage hétérosexuel, s’appuyant notamment, lorsque les sources le lui permettent, sur les cérémonies qui valident ces engagements publics entre hommes. Il relève les similitudes dans le vocabulaire de l’engagement et de l’affection, plus prégnant avec la christianisation, entre époux hétérosexuels et entre compagnons (fondé sur l’affection mutuelle, l’amour véritable, la fidélité) mais aussi les points communs dans les gestes et les symboles de consécration. Selon le déroulement le plus attesté, les deux compagnons devant être unis sont placés dans l’église, parfois devant l’autel, par le prêtre qui leur remet un cierge dans la main. Tandis que les deux hommes manifestent leur engagement en posant leur main droite sur l’Evangile, le prêtre prononce plusieurs prières, engageant les deux hommes à s’aimer tous les jours de leur vie sans jalousie ni tentation. À l’issue de la cérémonie, le couple échange un baiser sur la bouche et reçoit la communion du prêtre. Boswell ne parle jamais d’un « mariage homosexuel » chrétien mais bien d’« union entre couples de même sexe » (same-sex unions)[9], maintenant par là une prudente dissymétrie entre les unions hétérosexuelles et de même sexe. En outre, il faut bien voir que le fait même de penser l’union conjugale en référence à sa forme hétérosexuelle ou homosexuelle relève d’une identification sociale des individus à l’aune de leur sexualité, ce qui fut précisément une conséquence tardive de l’idéologie chrétienne du mariage. Pour les gens du Moyen Âge, jusqu’au tournant du XIIe siècle, si les individus sont jugés pour leurs pratiques sexuelles, ils ne sont pas assignés à une identité sexuelle.
Les unions de même sexe qu’identifie Boswell ne sont pas des « mariages » au sens contemporain du terme, pas davantage qu’ils n’en sont au sens qu’on donne à l’institution conjugale à partir de la fin du Moyen Âge. Pour autant, ce sont bien des formes solennelles d’engagement affectif, fondées sur l’amour et la fidélité, et destinées à unir deux êtres jusqu’à la mort.
>Et mon ex pendant ce temps-là ...
ui, moi Marc D. je suis devenu(e) la femme de Didier, mon Didou, mon mec… Mais, il faudrait que je m’explique. J’avais 20 ans, employé de bureau, sans grand avenir et surtout malheureux en amour. L'ai-je laissé voir? Je croyais aimer une fille, Chantal, oui, mais elle m’aimait bien, mais en tant que copain, voire de colocataire, elle avait fait de mon appart une sorte de pied à terre, rien de plus… et puis un soir...
Coup monté ou coup arrangé ??? En ce cas Chantal aurait décelé dans ma nature des tendances homo... Chose qu'elle avait dû remarquer chez Didier aussi ??? puisqu' elle avait fait quelques allusions sur Didier du genre : "...on dit de lui, qu’il serait un peu homo". En ce cas cela ferait de Chantal une marieuse de mecs. Qui sait faire les bons choix, fabriquer un coupe homo bien assorti. Je n'arrive pas à le croire complètement...il y a des femmes comme ça et pas sectaires* ni bêtement féministes qui veulent le VRAI bonheur des autres, à commencer par leurs ex...et pour sûr GAY FRIENDLY ? *Au fait quel serait le féminin de "macho" ? hihi |
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Elle était venue passer la soirée, mais avec son amant du moment, Christian, et un pote, Didier. Cela faisait "la salope"+ son amant+ le cocu plus le témoin....Je vais vous démontrer que je me trompais. La soirée se passe bien, mais on boit un peu, voire beaucoup ! Ils flirtent sans retenue, il fait chaud… je suis gêné, mais aussi troublé, surtout que Didier, se met à l’aise, il tombe le maillot, le jeans et exhibe son corps d’athlète, sportif le garçon, le torse velu, des pectoraux… je ne peux m’empêcher de le regarder, de l’admirer, surtout que moi, je suis plutôt du genre fluet, voir androgyne. Allons bon, je regarde les hommes, moi maintenant ? Il sent mes regards et me sourit, je suis de plus en plus gêné alors je remets des tournées…
Pas question pour eux de rentrer dans cet état alors j’héberge tout ce beau monde. Chantal prend la chambre d’amis, avec bien sûr Christian… Je laisse le fauteuil à Didier et je vais dans mon lit. Après une demi-heure, on entre dans ma chambre : Didier. Il m’explique que le fauteuil c’est un casse dos ! Il me demande si je ne pourrais pas lui laisser un peu de place, après tout nous sommes entre garçons… Je ne peux qu’accepter bien sur.
— Mon lit est en 120, alors nous essayons de nous faire petits.
Mais pas évident… J’éteins la lumière, mais je ne peux trouver le sommeil, je suis troublé, je sais ce que l’on dit de lui, qu’il serait un peu homo et cela me trouble. C’est vrai qu’il est beau garçon, je repense à son corps musclé… Nous entendons dans la pièce d’à côté le couple qui fait l’amour, des cris, des râles… Ma respiration se fait courte, et celle de Didier aussi… Je me retourne, lui tourne le dos et son corps est contre le mien… Le reste se fait tout seul… Il se colle contre moi, commence à me caresser, le dos, le bas du dos.
— Mais qu’est ce que tu fais ?
Il ne répond pas, enfin pas vraiment, il glisse sa main sur mon ventre, descends et touche, puis caresse ma verge, je suis en érection ! Je ne sais comment me sortir de ce mauvais pas, et je me demande surtout si je veux en sortir ! Surtout, qu’il triche, Il lâche ma bite et me caresse le bas-ventre, glisse entre mes cuises, c’est comme un électrochoc ! Un spasme me parcourt, et ce faisant mes fesses se collent contre lui et je sens sa bite contre mes fesses. Je devrais me sauver, mais je me colle contre cette chose, chaude et douce… Il me retourne et nous sommes l’un contre l’autre, nos verges se mélangent, et il pose ses lèvres sur les miennes. J’ouvre la bouche et sa langue me pénètre, s’enroule autour de la mienne, j’essaie de lui rendre la pareille, mais je ne peux, ni ne veux. C’est lui qui m’embrasse et je me laisse faire, c’est délicieux, je me sens mou, sans volonté, je me donne à lui… Il me met sur le dos, se couche sur moi, il est fort, volontaire… Je crois, je sens que même si je le voulais, je ne pourrais lutter avec lui, il est fort, massif, je suis prisonnier de ses bras…
Il tend la main, allume la lumière… son regard sur moi… Je me sens fondre, je suis sans résistance. Il passe une main, écarte ma verge, la colle entre nos ventres, et glisse la sienne entre mes cuisses tout en m’embrassant et me caressant la poitrine, d’abord doucement puis avec fougue. Il me pince les tétons, il me fait mal, mais cette douleur est délicieuse. Il commence à se branler entre mes cuisses et comme en même temps ma bite se caresse contre son ventre si doux, ses poils me caressent… Je sens son corps se tendre, et un liquide chaud couler entre mes cuisses, et je jouis moi aussi ! C’est merveilleux et je ne peux m’empêcher de crier mon bonheur ! Il pose une main sur ma bouche.
— Chut, se sont les femmes qui crient en jouissant ; quoique…
Il sourit, descend sa main sur mes fesses, me soulève et glisse, un doigt dans le cul, puis deux puis trois… Aïe !
— Tu es bien serré, j’adore. Tu vas avoir un peu mal, mais n’aie pas peur, je serai doux…
Attends, mais il veut m’enculer ! Il semble lire dans mes pensées. Il me retourne, il est fort, mais je ne résiste pas trop… Sa bite à repris de l’énergie, je sens son gland se coller contre mon petit trou. C’est étrange, j’ai peur mais j’ai surtout envie de me faire prendre… Alors je me laisse faire, j’obéis à ses consignes, il me guide. Je m’ouvre au maximum, lorsque son gland commence à me pénétrer, j’ai mal, mais bien moins que je ne le craignais et lorsque la tête est passée et que je me sens envahir par son sexe, je découvre le bonheur, cette chose que je sens vivre en moi… Il le ressent et commence de longs va-et-vient en moi…
— Suis mon rythme, cela viendra tout seul. Je sais que tu aimes, dis-le moi. Tu aimes te faire enculer ?
— Oh oui, continue !
Et il continue, moi je perds assez vite pied et je le prends aussi. C’est vrai que je le devine assez vite et nous nous complétons, je me donne tout entier, enfin tout, plutôt toute, car il me dit des choses… Il me traite de putain, de salope, et cela me donne le frisson. Je plonge dans son délire car c’est aussi devenu le mien… Et quand son corps se cambre, je devine qu’il va venir. Alors je me resserre en cadence pendant qu’il se vide en moi… Il se retire doucement et je regrette de ne plus sentir son membre en moi ! Il regarde sa verge, aïe, il s’est souillé en m’enculant. Il me regarde, la met devant mon visage.
— Il va falloir apprendre à te préparer à accueillir ton homme. Va pour cette fois, mais nettoie-moi !
Il a raison, mais je ne pensais pas que cette nuit serait celle de mon dépucelage ! Alors je commence à lécher son tronc, puis le gland, c’est un peu écœurant au début, mais finalement, c’est bon de manger ces petites boulettes, de prendre sa bite dans ma bouche, ma bouche est comme un autre sexe, qui accueille sa virilité, et quand je dis virilité… Il se reprend aussi vite. Bon sang, quelle bête, et j’ai pris tout cela dans mes fesses, pas étonnant que le passage ait été un peu douloureux ! Il ne tarde pas à cracher, et moi à avaler, enfin a avaler, je commence par un haut-le-cœur, puis je découvre le goût dans ma bouche… Pas désagréable du tout, même bon, alors je mâche lentement, la masse odorante qui se liquéfie et je la fais tourner dans ma bouche et je l’avale doucement, il me regarde en souriant :
— Alors tu en penses quoi, du miel de ton homme ?
— Oh, oui ! Que c’est bon !
Au fait, il ma dit mon homme ? Je dirais bien que c’est n’importe quoi, mais je ne peux que m’avouer qu’il a raison, je n’ai pas été viril sur ce coup là ! Et en plus j’ai adoré me donner !
— Hé bien, il va te falloir attendre demain matin, maintenant je suis fatigué et nous allons dormir !
Dormir ? Mais il veut régenter, même nos horaires ! C’est lui qui fait l’homme et maintenant il me commande. Mais il a raison, et puis je suis sans volonté propre, j’aime lui obéir, je le sens fort et je sais qu’il le fait pour mon bien. Alors, je me colle contre lui, la tête sur son torse, entre ses bras et avec encore le goût de son sperme en moi, je me sens bien. En sécurité contre son torse musclé, je m’endors. Mais peut-être suis-je un peu brusque, je renverse la lampe qui se brise au sol…
Le réveil est un peu douloureux après les excès de la veille… Je suis un peu perdu, mal à la tête, mais je me rappelle bien cette nuit… Et si j’avais un doute, mes fesses douloureuses et ce goût dans ma bouche… Par contre je suis seul, j’entends du bruit en bas, ce doit être Didier, il va falloir que lui parle, que je mette les choses au point, lui dire que ce fut une erreur… Ma vie est bien assez compliquée comme cela !
Je suis nu, m’habiller… Je veux allumer mais la lampe est brisée… Je cherche à tâtons mon slip sous le lit, le trouve, et le passe dans le noir, un peu serré peut-être, mais je n’y prête pas attention. C’est vrai que je bandouille et je descends dans une sorte de brume. J’entre dans le salon, Didier est là, il est là mais il est complètement nu ! J’en reste figé. Qu’il est beau ! Sa bite est en semi érection, il me regarde et me sourit, me prend dans ses bras par la taille et m’embrasse. Je me laisse délicieusement faire et je réponds à sa langue qui fouille ma bouche… Franchement en me comportant comme cela, comment lui dire que ce fut une erreur…
La porte s’ouvre, ce doit être Chantal et son copain. Je voudrais reprendre une tenue plus correcte, mais si Didou arrête son baiser, avec sa bite en érection… Il se tourne vers eux, sans gêne, et sort se vêtir un peu, non sans me peloter les fesses au passage ! C’est comme un choc, je me cabre sous sa caresse !
— Je t’attends dans la chambre, ma chérie ! Pense à laver ton intimité !
Je rougis, Chantal, le remarque et me sourit.
— C’est bien, tu sembles avoir trouvé ton bonheur. Remarque, je m’en doutais mais par contre, tu penseras à me rendre mon slip...
Son slip ? Je me regarde. Bon sang ! Dans le noir, j’ai pris un des siens, une adorable petite culotte de dentelle noire ! Cela ne s’arrange pas pour moi ! Je bredouille des explications et je courre me changer. Après un passage aux toilettes, cela gargouille dans mon ventre. En tirant la chasse, je comprends, en plus de quelques horreurs internes, je vois une grosse masse blanchâtre, le sperme dont mon amant m’a rempli ! Il a peut être été rapide mais il a été efficace !
Cela me fait penser que Didier m’a demandé de me laver l’intime, oui mais comment ? Mais oui, j’avais eu des problèmes intestinaux et il m’en reste une poire à lavement… Et c’est vrai qu'en plus à l’époque, j’avais trouvé cela encore assez sympa. Je ne savais pas que… Alors, je fais, en fait je sais maintenant que c’est bien, et comme en plus le tuyau est beaucoup plus fin que la bite de Didou… Au fait, je pense à lui comme Didou. C’est vrai que maintenant nos rapports ont bien changé ! Par contre pour ressortir et aller dans ma chambre me changer… Surtout que j’ai lavé le slip de dentelle. J’attrape une serviette, m’en ceins et j’y vais. Didier est là, il me regarde entrer en souriant. Il a ouvert les volets, il vient à moi, ou plutôt c’est moi qui vais à lui. Il faut dire que j’ai devant moi mon amant, merveilleusement nu, en érection…
— Et en plus, tu mets une jupe…
Une jupe ! Comment il y va lui ! Mais il passe les mains sur, puis sous ma serviette, y glisse ses mains, l’écarte et me caresse les cuisses, fait tomber le tissu au sol ; finalement encore assez pratique comme vêtement… Il prend ma verge qui grossit, commence à me branler, doucement puis plus vite et je ne tarde pas à éjaculer dans sa main… Il me tend sa paume ouverte et me dit :
— Lèche…
J’obéis, bien sûr et une fois terminé, comme sa verge est là, devant moi, je l’engouffre dans ma bouche… J’adore nos goûts mélangés, mon sperme et sa mouille ! Je n’ai pas encore une grande expérience dans ce genre de rapport mais j’apprends vite. Je fais de lents va-et-vient et lorsque son gland se repose un peu, je le caresse avec ma langue. Il semble adorer lorsque je titille son triangle juste sous la tête, je ne suis pas déçu, à chaque fois il mouille et je peux déguster le doux liquide qui en sort… Superbe, mais ces préliminaires ne lui suffisent pas longtemps. Il passe un bras vigoureux sous mon ventre et je me retrouve à quatre pattes… Il colle sa verge contre mes fesses et son gland tout humide n’a aucune difficulté à se glisser en moi… J’adore !
Et pendant un temps merveilleux, il sait se montrer le plus merveilleux des amants, parfois doux, parfois ferme, mais toujours viril et dominant et je me plie à tous ses désirs, même lorsque il me parle comme à une femme, comme à sa femme… Cela me trouble plus que je le voudrais, en fait cela donne du piquant à nos étreintes, me donne encore plus de plaisir à me donner à lui… Nous ne ‘redescendons’ de notre délire érotique que deux heures plus tard… je suis épuisé. On se sourit, il est onze heure et Didier me demande d’aller faire à manger. Ah bon, c’est à moi de faire à manger ?
— C’est normal que les tâches domestiques te reviennent, non ? C’est qui la femme…
Je trouve qu’il a raison, mais qu’il y va fort, mais… Mais j’obéis, je passe un slip, mais :
— Je préférais celui de ce matin…
Je commence à le connaitre et je vois ce qu’il veut dire, mais je n’y peux rien, mais cette petite chose de dentelle, n’est pas à moi…Mon jean, un tee-shirt long et je descends. Nous sommes seuls, Chantal et Christian sont sortis, chic, j’aime bien vivre ‘peinard’ surtout maintenant avec mon ‘mec’… Je suis un peu interloqué, par ce que j’ai pensé tout haut, et pourtant je dois admettre la vérité, Didier de copain, est devenu ‘mon mec’ et j’adore… Je ferme les yeux et je revois nos étreintes, sa belle bite, je retrouve son goût dans ma bouche… Super ! J’aime ma nouvelle vie, juste un peu de mal à admettre complètement d’être celui à qui il parle au féminin, mais qui aime cela ! Mais par contre, question ménage, la ‘vraie fille’ n’assure vraiment pas, en général le désordre ne me gêne pas, mais là si ! Que va penser Didier, que je ne suis ’bonne’ que au lit ? C’est vrai que c’est une de ses expression préférée, ‘tu es bonne, ma chérie’ cela me choquait un peu les premières fois, mais je prends cela maintenant pour un compliment.
Je commence par ranger tout cela, et en m’activant je me rends compte que je roule et serre les fesses, évidement, avec tout ce que mon amant à éjaculé en moi… Alors passage aux toilettes, effectivement il a joui abondement dans mon ventre… Une pensée émue, en repensant à ces moments de plaisir… plaisirs, plaisirs, il faut que je me prépare aussi pour la prochaine, alors salle de bain. Je remarque que Chantal a repris son petit slip noir, dommage… Par contre je lui pique son parfum, j’adore cette odeur, avant je n’osais pas mais maintenant, je pense que cela plaira à mon ‘Didou’…
Retour dans le salon, mais je suis pieds nus et je n’ai pas envie de mettre des baskets qui puent… Sous le fauteuil, je trouve la solution : les trotteurs noirs de Chantal, on fait la même taille… C’est vrai que c’est agréable à porter, légères, souples et en plus je dois l’admettre assez mignonnes… Elles donnent une jolie forme aux pieds, le seul problème, si problème il y a, c’est qu’ils ont des petits talons, oh pas bien hauts, cinq centimètres. Mais assez rêvassé, j’ai du travail !
Par contre si elle a oubliée ses chaussures, elle a aussi laissé traîner un petit slip blanc… je le ramasse, le tiens en main et je repense à ce que ‘mon homme’ là-haut m’a dit sur mes slips de mec… je n’hésite pas, je me déshabille change de slip, mais au moment de remettre mon jean, j’hésite, il fait bon, voire chaud et je suis seul, alors. Et puis mon tee-shirt est un peu long… donc c’est dans cette tenue que je termine mon ménage, lance le repas. Un dernier regard sur la pièce, il manque quelque chose, mais oui ! Et je vais au jardin cueillir des fleurs que je mets dans un vase. Pas mal du tout, c’est propre, une touche florale et tout à changé !
Et c’est dans cette tenue que Didier, me découvre en descendant. Il sourit en me voyant et me prends dans ses bras, gros bisous, et il me colle la main aux fesses, et cela c’est un truc auquel je ne résiste plus désormais, une bouffée de chaleur dans tout le corps, mais surtout dans le ventre… J’ai envie de lui et je colle une main sur son entrejambe que je découvre gonflé… Maintenant, la suite… je me retrouve couché sur la table, mais lui faisant face, un problème ? Non, car il me fait découvrir un autre plaisir, il prends mes jambes, les passe autour de son cou, et il colle sa bite en pleine érection contre mon petit trou, je dis petit, car dans cette position, j’ai du mal a bien m’ouvrir, mais ce n’en est que meilleurs… Il doit me forcer un peu, faisant entrer son gland, doucement ses yeux dans les miens… Sublime, j’adore le voir me faire l’amour, j’adore son sourire et son air vainqueur… J’ai bien fait de ‘me préparer’…
Mais une odeur de cuisine, me rappelle à la réalité, ma viande ! Il prend quand même, et heureusement pour moi, le temps de me finir. Ah, ce baiser amoureux, pendant qu’il jouit en moi, et quand je dis, jouit, je devrais dire quand il m’inonde, je compte au moins deux longs traits, plus une dernière poussée, qui n’est pas la plus mauvaise ! Je voudrais courir directement à la cuisine, mais il me dit de mettre ‘mon’ joli slip, il n’aime pas que je montre ma petite queue, quoique, comme j’ai joui aussi, elle ne soit pas bien grande ! Donc je lui obéis, après tout, c’est qui l’homme ?
Petit repas sympathique que je sers, et mange à coté de lui, main sur ma cuisse et même plus haut…
— C’est bien de te mettre en robe, mais tu devrais épiler tes jambes !
Il a raison, comme toujours, mais je pensais à tort que comme je n’ai que trois poils blonds sur les cuisses… Aussi après le repas, je dessers la table, vaisselle, et je vais à la salle de bain, et je me rase les jambes, mais aussi le pubis… Retour dans le salon, je le rejoins sur le canapé, il passe sa main sur mes jambes, remonte tout en haut découvre ma ‘petite’, toute nue et me fait un bisou dans le cou.
— C’est bien ma chérie, tu sais obéir et faire plaisir à ton homme. Maintenant viens sucer la bite de ton mari.
C’est plutôt surréaliste, comment il me parle et surtout comment je lui obéis ! Mais, j’aime et je me plie à son désir. Je me penche sur lui, il libère sa bite, qu'elle est belle ! Il a dû s’exciter en m’attendant car il est en érection et son gland est tout humide. Je me régale de son odeur, de sa mouille, je le lèche doucement je le suce, glace ‘parfum d’homme’ et il n’est pas long avant de me retourner et de me pénétrer sans douceur ! Je suis un peu déçu mais je respecte son désir et le prends comme un compliment. Et puis ce n’est vraiment pas désagréable, je me sens encore plus ‘chienne’…
Mon amant m’honore et je suis sa salope, c’est d’ailleurs ce dont il me traite et je ne lui en veux pas, bien au contraire !
L’après-midi, se passe ainsi, je crois bien qu’il y a eu encore trois assauts réussis… je suis comblé et heureux/se… et je ne pense plus au temps qui passe. Le temps qui nous rattrape…
Vers 19h, la porte s’ouvre… Chantal et Christian… Je suis troussé jusqu’à la taille et occupée à faire des bises sur la verge de mon homme, verge un peu en ‘berne’ après nos ébats… Instant de stupeur de la part des arrivants, mais Chantal se reprend vite :
— Alors, les amoureux ? tout semble bien se passer, mais au fait ma 'petite chérie', si tu arrêtais de me piquer mes culottes ?
Je rougis comme une pivoine et essaye de prendre une tenue plus 'sage' et ne peux que marmonner des mots sans suite. Elle prend pitié de moi.
— Allez, ce n'est pas grave, je crois que je vais te la donner, et tu auras même le soutien-gorge! Enfin donner, disons que tu m'achèteras un autre ensemble… Au fait, on mange quoi? Nous vous avons ramené des beafs… Puisqu'il y a maintenant une autre femme à la maison, elle pourra s'en occuper! Au fait bravo, pour le ménage, cela te fait du bien de changer de bord!
Je ne sais pas comment il faut le prendre mais je me sauve en cuisine, c'est trop d'un coup! Surtout qu'en plus, alors je suis presque sorti, j'entends Christian :
— Et en plus, 'elle' bouge bien!
C'est vrai, j'avais déjà remarqué, que les talons plus les pénétrations anales me donnent une démarche 'chaloupée' que je ne peux contrôler!
La suite se passe sans incident, toujours les mains de mon homme sur mes cuisses, il me rend folle… Oui folle, car je ne peux pas dire autrement, j'ai envie de lui, de sa bite! Fin du repas, nous ne nous attardons pas car mon Didier triche : il me caresse les fesses dès qu'il le peut et je suis 'en braise'! Et puis demain, je dois aller au bureaui…
Oui, Didier, je tenais à te dire merci.
Marc
PROSTITUES DE MON COEUR
Comment Diégo m'a maîtrisé, retourné et m'a fait bosser pour lui...
Vas-y, sniffe ! ...
SUBJUGUE AU POPPERS
Diego : —" Maintenant les filles, vous faîtes partie de mon Harem… Aussi salope l’une que l’autre… Avec vous deux, je ne vais pas m’ennuyer. Hakima, dis-moi où tu habites…" Hakim : —"Pendant que je lui explique, Maître Diego démarre et prend la direction de mon quartier ; Djamel me regarde, me sourit et me fait un clin d’œil… Ma nouvelle vie de lope à céfrans commence…nous allons bien lui gagner sa vie à Diégo"
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La queue de Diego est plus grosse que la mienne, mais moins longue... Putain, sa bite est un monstre...
— Tu es pressé, Hakim, me demande-t-il.
— Non, M'sieur...
— Alors suis-moi...
On quitte les douches, direction les vestiaires... On arrive devant son casier, il l'ouvre sort son sac et prend une petite fiole ; il me la tend.
— Tu connais ?
— C'est quoi ?
— Du poppers.
— J'en ai entendu parler, mais je n'ai jamais essayé...
— Ouvre-le et sniffe...
— Pourquoi ?
— Tu verras, t'inquiète je vais en prendre moi aussi... Cela décuple tes sens... t'es un mec ou pas ?
— Oui j'suis un mec...
Putain, il me nargue là... Allez, je me lance. J'ouvre la fiole et renifle le produit, et là... Une bouffée de chaleur m’envahit ; un truc de fou. Diego sniffe à son tour et me repasse la bouteille...
— Vas-y, recommence et plus longtemps...
Je recommence plusieurs fois, et je me sens bien. Je suis sur un petit nuage, complètement popperisé. Diego s'approche de moi, et là surprise, m'attrape la tête et me roule une putain de pelle... Je me laisse aller, il me bouffe la gueule. Ensuite, il me fait mettre à genoux et me présente sa teub à sucer. Normalement je suce rarement, mais là sous l'emprise du poppers, je prends sa bite et je lui taille une pipe d'enfer, je bouffe son zboub.
— Mouais Hakim, c'est bien, continue... tu me fais du bien...
Je le suce pendant au moins 15 minutes, mais une suce de garce... je suis un peu déconcerté, moi qui d'habitude mène la danse, là je me laisse diriger par Diego...
— Hakim, reprends un peu de poppers...
Je me surprends à lui obéir ; ce truc est ouf. Je me lève et re-sniffe le produit... J'aime ça... Diego m'embrasse de nouveau à pleine bouche, puis mon cou, les oreilles ; je kiffe grave. Il me retourne, et m'embrasse le dos. Il m’appuie sur la tête et je me courbe... Il veut quoi là... Putain, il me bouffe le cul et là, une sensation de bien-être m'envahie. J'aime ça, et il fait cela bien. Je me surprends même à gémir... J'essaye de me ressaisir mais c’est trop bon.
— Hakim, allonge-toi sur le banc, sur le ventre.
Je me surprends à le faire… Totalement soumis… Diego reprend son travail sur mon boule et moi, je sniffe son popper…
— Hakim, ton cul est un délice…
Il me titille la rondelle, me lèche le trou du cul ; c’est trop bon… Je gémis de plus en plus… Je ne reconnais pas. Moi l’actif je me laisse dominer par ce mec… Je ne comprends pas. Je ne fais pas le lien avec le poppers, c’est pourquoi je continue à sniffer… Si j’avais su!
2° partie
Tout est allé très vite… Sous l’emprise du poppers, je suis sous l’entière emprise de Diego. Il change son comportement…
— Putain, t’es chaude comme de la braise, ma p’tite salope…
Je me surprends encore ; Diego parle de moi au féminin, et m’insulte et JE NE FAIS RIEN. Il me donne tes tapes sur mes fesses, tout en continuant à me bouffer le trou et tout en m’insultant.
— Salope, t’es vraiment une p’tite salope Hakim… ou plutôt, Hakima…
Soudain, il se lève, prend son sac et sort du gel et une capote. Il me regarde et me sourit. Pour quelqu’un d’hétéro, il a du matos de « rattaye ». Il se met la capote, du gel dessus. Je comprends qu’il veut me baiser. Là je ne suis pas d’accord, mais je ne suis pas assez rapide… Encore sur un nuage à cause du poppers, Diego est plus rapide et me coince. Il me dit à l’oreille…
— Je t’ai menti ; je suis gay… Et j’aime surtout me faire des mecs actifs dans ton genre. T’inquiète pas, je vais bien te faire mouiller ma p’tite salope.
Il appuie son gland sur mon trou, bien dilaté par ses soins, et il entre tout doucement… Je n’ai pas mal, au contraire, j’aime ; plus il entre, plus j’aime. Il commence tout doucement à me limer, pas de brutalités, avec art… Il sait y faire. Je prends mon pied… Je gémis ; je me surprends à gémir, mais pas comme un mec… mais comme une femme… Ce n’est pas vrai, je gémis comme une femme. La tonalité est aigüe.
— Et bien Hakima, tu prends ton pied… T’aime ma salope, dis-le moi.
— J’aimeeeeee, ouiiiiiii…
— T’aime ça ma garce… Je vais faire de toi ma p’tite pute à moi, hein ça te dit…
Je suis en plein délire :
— Oui, Diego, je suis ta pute.
Et là, la douceur fait place à la brutalité… Je reçois une putain de claque sur la tête, puis sur les fesses… Je ne comprends pas :
— Attends, ma pute… Tu m’as tutoyé… t’es ouf toi…
Il sort sa queue d’un coup, me retourne et me met sur le dos, jambes relevés ; il me rentre de nouveau dans mon cul bien dilaté et bien large, d’un coup sec mais je kiffe… Il me fout une claque sur le visage, puis une autre :
— Je t’interdis de me tutoyer… Une pute respecte son maître… C’est soit Monsieur, soit Maître… et le vouvoiement de rigueur… Ok, t’as compris…
— Oui.
— Oui qui ?
Et encore une claque ; j’ai les joues en feu… Il me craque à la face…
— Oui qui ?
— Oui, Maître…
Ça y est, je vois son sourire, devenir une sourire pervers : il m’a dressé, et il le sait… Il attrape la bouteille de poppers, l’ouvre et me fait sniffer… Je repars… Il me défonce pendant des minutes, dans plusieurs positions ; le pire c’est que j’aime ça et… JE NE BANDE PAS… Je jouis du cul !!! il a raison je suis femelle… Il m’a fait découvrir un truc de malade… La sodomie dure plus de 30 minutes ; à un moment donné, je bandouille, mais je ne me touche pas… Le poppers agit bien, je prends mon pied du cul… Il sort sa queue, et retire sa capote, et me dit :
— Tu me plais Hakima, je veux que tu sois à moi, et d’ailleurs tu es à moi…
Et tout en me regardant, il me met sa queue sans capote… Je le laisse faire… Je suis à lui… Il me défonce encore plusieurs minutes… Il a une putain d’endurance, ce mec… Et soudain, je sens de nouveau le plaisir monter ; je jouis sans me toucher, plusieurs jets, un me touchant le visage, un truc de ouf… Soudain, un bruit d’appareil-photo. Mon Maître Diego a pris une photo de moi en train de jouir avec son téléphone portable…
— Ma pute, t’as aimé ; ça se voit… sans te branler… j’suis un as, hein ma pute.
— Oui Maître.
Il prend encore quelques clichés. Quelques minutes après, dans un grand râle, il m’inonde les intestins…
— Une femme, ça s’engrosse…
Je sens sa semence en moi, c’est grave
— Mais t’inquiète, ma pute, je fais le test très souvent… t’as rien à craindre, j’suis clean… Maintenant tu es à moi…
J’suis naze ; je le regarde… il me sourit de nouveau de façon pervers… Je reçois de nouveau une claque sur la gueule, encore un mollard…
— Hakima, retourne toi tout de suite et montre-moi ta chatte…
Je m’exécute sans broncher… Aidé par le mélange de sperme, de gel et la dilatation, il entre trois doigts… Je kiffe et je gémis… Le quatrième arrive, suivi du pouce, de la main… Mon Maître Diego me fiste… J’ai un peu mal.
— Hakima, sniffe encore du poppers, et détends toi…
Je suis les conseils de mon Maître, et là la douleur fait place au plaisir… Soudain, il s’arrête, me fait lever et me roule de nouveau une pelle… Il me fait mettre à genoux et me dit :
— Maintenant, nettoie-moi ma bite… Ensuite nous irons nous doucher…
Je prends son zboub en bouche et le lui lave avec ma bouche. Après nous repartons vers les douches… Pendant que l’on se lave, il m’informe des décisions qu’il a prises pour moi :
— Hakim, à partir de maintenant tu es à moi ; je suis ton mec et toi ma femelle. Je t’appelle tu viens le plus rapidement possible ; je peux comprendre les impératifs liés à ton âge : la famille, l’école et la natation. Mais pour le reste, c’est avec moi que tu vois.
Je l’écoute attentif, sans le couper.
— Quand nous sommes en public, je t’appelle Hakim et toi, tu donnes du Monsieur… Quand nous sommes en privé, pour toi c’est Hakima, et moi…
Il attend ma réponse.
— Maître, lui répondis-je.
— C’est bien, t’as compris… Allez, on s’habille, tu me donnes ton portable et je te raccompagne chez toi en voiture ; Djamila doit m’attendre… Tu vas voir, tu vas l’aimer…
De retour aux vestiaires, on s’habille. Je rouvre la porte d’accès et la referme à clé derrière nous. Maître Diego me montre une BMW 320d cabriolet noire sur le parking… Je me demande qui est cette fille : sa nana ? Et là surprise, au volant, un mec super canon, stylé racaille, débardeur et bas de survêt, musclé sec, casquette sur la tête… Il sort de la voiture, et nous regarde. Il s’adresse à Maître Diego :
— Bonsoir, M’sieur.
— Salut Djamil, je te présente Hakim ; il est comme toi ; il est au courant des règles…
— Bien reçu Maître, répond-il.
— Hakima, tu roules une pelle à Djamila, tout de suite, afin de sceller votre rencontre.
Djamel s’approche de moi et me roule une pelle directe ; je me laisse faire. Il se retire, me sourit :
— Enchanté, me dit-il.
— Moi de même, lui répondis-je.
Maître Diego monte dans la voiture, s’installe au volant, Djamel à côté de lui et moi derrière…
— Maintenant les filles, vous faîtes partie de mon Harem… Aussi salope l’une que l’autre… Avec vous deux, je ne vais pas m’ennuyer. Hakima, dis-moi où tu habites…
Pendant que je lui explique, Maître Diego démarre et prend la direction de mon quartier ; Djamel me regarde, me sourit et me fait un clin d’œil…
Ma nouvelle vie de lope à céfrans commence…
Subjugué au poppers qui est aussi devenu mon maître
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