VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES

Vendredi 5 janvier 5 05 /01 /Jan 23:29

    c'est ce que font les religions car, quelles qu'elles soient,  elles veulent contrôler l'individu en évitant d'en faire un homme libre...

LA SEXUALITE DES GARCONS et L'anus

à divulguer sans modération auprès des jeunes auxquel(le)s les religions , les  antigays de tous siècles, voire les politiques ! ont dissimulé volontairement et réprimé, souvent sauvagement, le pouvoir carrément magique.        

C'est une zone érogène : une partie du corps qui réagit aux caresses, aux baisers, provoquant excitation et plaisir. Et on n'hésite plus à dire  : organe sexuel à part entière avec le vagin et la verge.

     

 Très parcouru de nerfs, il est sensible aux caresses. Il peut aussi être pénétré, avec beaucoup de délicatesse, car c'est un orifice fragile. Dans ce cas, l'utilisation d'un préservatif peut être hautement recommandée. Le lubrifiant est indispensable car l'anus ne secrète pas de lubrifiant naturel. (Zone à protéger (zap)  :  préservatif,  gel lubrifiant au silicone ou à l'eau. (un site scientifique)

    
 
Pour toute pénétration anale, quelques précautions sont à prendre : d’abord, caresser et stimuler longuement l’anus pour qu’il se dilate ; ensuite, utiliser un préservatif, même avec un sex toy, mais aussi un lubrifiant parce que l’anus ne se lubrifie pas naturellement ; il ne faut donc pas hésiter à en remettre pendant le rapport !
cavaillongay un site qui a sa personnalité
Ne t'étonne pas de n'y voir pratiquement que des PSEUDOS et des FAKE PHOTOS. les moteurs de recherche sont de plus en plus futés

Il faut savoir que sur Internet, rien ne se perd. Surtout pas les images. Les moteurs de recherche peuvent associer notre image à notre nom. D’un seul clic, les photos et les films les plus intimes peuvent être diffusés sur la Toile. Rien ne peut plus les retenir.

 VOYAGEUR DU NET, MERCI D'ETRE VENU CHEZ NOUS !   pour revenir à ce site EN TOUTE LIBERTE  inscris "cavaillongay" dans la fenêtre de recherche google tu obtiens une claire proposition, clique,  laisse-toi guider et fais tout de suite ENTRER : aucune autre condition n'est exigee à partir du moment que la charte erog est respectee

 

 

 

Par PANGLOSS - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 4 janvier 4 04 /01 /Jan 23:53

  http://www.espoirsdufootball.com/footballeur-pd  

  Témoignage – « Je suis footballeur et PD »Laurent   27 novembre 2016

L’homosexualité dans le football reste un sujet tabou. Encore plus en centre de formation. Pourtant, impossible d’imaginer qu’aucun joueur, parmi les 2 400 actuellement en centre de formation, n’est homosexuel. Un jeune footballeur a accepté de se livrer pour EspoirsduFootball.com. Pour raconter son histoire et faire réfléchir.

 " Je suis né à la fin des années 90 et mon parcours de footballeur est parfaitement classique. La découverte du ballon rond dans les cours de récréation en primaire, les parties de football avec mes amis, que ce soit sous le préau à l’école ou au pied de la cité. On était une belle bande de potes, et même si j’ai quitté le quartier depuis longtemps, c’est toujours un plaisir de retourner « chez moi » pour revoir toutes les personnes avec lesquelles on a fait les 400 coups.

La découverte de mon homosexualité

On ne peut pas vraiment dire que la découverte de mon homosexualité a été aussi grandiose que la découverte de l’Amérique. Si je me plonge dans mes souvenirs d’enfant, je n’ai rien en mémoire qui me rappelle que j’ai été attiré par les filles. A vrai dire, je pense avoir toujours su que je préférais les garçons. Certains homosexuels disent parfois que l’homosexualité leur est tombée dessus, mais ce n’est pas mon cas. Je me souviens bien de mes parents, comme tous les parents, qui essayaient de me « marier » avec des filles de leurs amis quand j’étais en primaire, mais comme je savais que c’était un jeu, je n’étais pas surpris de ne rien éprouver pour elles.

En primaire, j’étais tout simplement très loin de penser à mon orientation sexuelle. Mon seul but était d’entendre la sonnerie de l’école, pour descendre les marches quatre et quatre et aller taper dans le ballon avec mes potes. Comme j’étais plutôt doué, je pensais au football et j’évitais tout simplement de me faire distraire par des éléments extérieurs, que ce soit des filles … ou des garçons …  Et puis, il faut être franc, à 10 ou 11 ans, on confond souvent l’amitié et l’amour, alors le sexe …

En réalité, c’est peu de temps après avoir signé mon accord de non sollicitation avec un club professionnel que j’ai « découvert » que j’étais homosexuel. Je ne l’ai pas vraiment découvert, puisque comme je l’ai dis, j’ai toujours su que j’étais plus à l’aise avec les garçons. Disons que je m’en suis rendu compte. Signer un ANS est particulièrement éprouvant pour un jeune garçon de 13 ans. Même si dès l’âge de 10 ans, je savais que j’avais du talent puisque des clubs professionnels se déplaçaient pour venir me voir jouer avec mon club, c’est vers 12 ans que j’ai compris que le football allait sans doute être mon avenir. C’est une période charnière pour la construction d’un pré-adolescent, et je dois dire que je l’ai particulièrement mal vécue.

  Comme je l’expliquais, un footballeur un peu doué avec ses pieds, ne peut pas échapper aux radars des recruteurs de clubs professionnels qui sillonnent la France. Surtout que je suis issu d’une zone géographique plutôt dense.  

Alors que c’est à 13 ou 14 ans qu’on se forge une personnalité, qu’on a besoin d’avoir de la stabilité, c’est l’âge auquel j’ai tout quitté. Mes parents bien sûr, mais également mes amis, mes éducateurs, bref mon quartier, mes repères. C’est également à ce moment que j’ai réellement compris que j’étais homosexuel. J’ai quitté mon meilleur ami – il l’est toujours aujourd’hui – et je me suis rendu compte que j’étais triste sans sa présence. Pas comme un couple déclaré bien sûr. Mais comme deux personnes qui s’apprécient, qui sont heureux d’être ensemble. Bref, qui s’aiment, sans bien évidemment savoir si c’est de l’amitié ou de l’amour. De son côté c’était uniquement de l’amitié. Du mien, je ne sais même pas vraiment. Un peu des deux sans doute. Mais comme nous sommes tous les deux complices, j’ai rapidement compris que notre amitié ne deviendrait jamais de l’amour. Et comme de son côté il est très tolérant, nous sommes encore amis. Et malgré quelques jours d’incompréhension au début, il est revenu vers moi comme si de rien était. Et notre amitié est encore plus forte qu’avant. Je ne le remercierais jamais assez pour sa tolérance et sa protection.  

Mes parents ont beaucoup souffert quand je leur ai « avoué » que j’étais homo. Je pense tout d’abord que malgré tout l’amour qu’ils me portent depuis toujours, apprendre que leur enfant était homosexuel a été un vrai choc pour eux. Mes deux parents ont surtout eu peur pour moi. Mon père a longtemps joué au football et il sait à quel point les footballeurs peuvent être de « gros bourrins ». Il avait donc peur qu’on me colle une étiquette et que je sois stigmatisé au centre de formation. De son côté, ma mère avait la crainte que je craque mentalement et elle aurait souhaité que je rentre à la maison pour me protéger.

La vie au centre de formation

« Et alors, on est pas des PD, on leur rentre dedans« . Je crois que ma première expérience homophobe a eu lieu au centre de formation. Comme je ne savais pas vraiment qui j’étais avant, je n’avais jamais fait attention aux discours de mes précédents éducateurs. Peut-être est qu’ils utilisaient aussi des expressions comme « on est pas des tarlouzes » pour nous motiver ou « espèce de PD » contre des adversaires mais sincèrement je ne m’en souviens pas. A l’époque du quartier, on avait plutôt tendance à répondre aux agressions racistes comme « sale présu, retourne en Afrique » ou « putain de bougnoule« . C’était normal pour nous. On avait des joueurs de toutes les origines et de toutes les religions. Donc on se sentait solidaires. Tu insultais un coéquipier, tu insultais toute l’équipe. Par contre, on ne répondait pas vraiment aux insultes homophobes. Enfin si. Mais plutôt pour faire comprendre qu’on « était pas des PD« . Et moi aussi j’étais d’accord avec ça. « Je n’étais pas un PD« . (NDLR : c'est con hein ?) 

Bref, comme je le disais, c’est au centre de formation que j’ai vraiment été sensible aux messages à caractère homophobe. C’était assez récurrent mais pas contre moi bien évidemment. Déjà que je commençais à peine à prendre conscience de mon homosexualité, j’étais confronté de plein fouet à une espèce de banalisation du discours homophobe. Après je ne vais pas pleurer la dessus non plus. Ça serait trop facile. Ce qui m’aurait réellement fait mal, c’est qu’un coéquipier m’insulte de PD en sachant que je l’étais. Là, je pense que j’aurais vraiment souffert. Je ne sais pas si ma sensibilité de l’époque vient travestir mes souvenirs, mais j’avais vraiment l’impression que balancer des insultes était dans les mœurs du centre ! On était des gamins, donc pour s’amuser on pouvait traiter certains coéquipiers de « paysans« . Donc je dois aussi me regarder en face. Je ne vais pas reprocher à un mec de m’insulter de « taffiole » alors que moi-même je l’ai peut-être insulté de « négro » ou de « paysan« .

Je pense que c’est vers 13 ou 14 ans qu’un jeune commence à vraiment découvrir les relations amoureuses voire la sexualité. Cette période coïncide souvent avec l’entrée en centre de formation. Quand on est un jeune footballeur qui vient d’intégrer le club pro du coin, on est parfois considéré comme l’attraction locale. On commence à voir des agents tourner autour de nous pour faire leur business, et les filles à vouloir se caser pour assurer leur avenir. Elles ont tapé à la mauvaise porte en ce qui me concerne. Enfin, surtout pour l’avenir, car comme plusieurs jeunes homosexuels j’ai essayé avec des filles. Bien évidemment, sans un grand succès. Je lis souvent que des footballeurs sont avec des filles pour l’apparence et pour l’image. Je comprends cela. C’est plus facile et ça évite de répondre aux interrogations de l’entourage et aux questions des parents. Moi, j’ai fais ça pendant plusieurs mois. Ça me permettait d’être tranquille et de me découvrir. Je me suis peut-être menti à moi-même. Et à ces filles également. Je ne pense pas que ce soit une attitude propre aux footballeurs. Ça permet de se protéger du jugement, alors même qu’on est pas encore assez fort soit-même pour assumer.

Le regard des autres

Dans le vestiaire, plusieurs de mes coéquipiers savent que je suis homo. Certains connaissent mon copain actuel et d’autres non. C’est normal. Moi non plus je ne connais pas les copines de tous mes coéquipiers. C’est sûr que certains sont homophobes, au sens premier du terme. Ils ont peur de l’homosexualité. Comme si c’était une maladie honteuse et contagieuse. Ils regardent tellement de clips de rap, parlent tellement de sexualité qu’être homosexuel est totalement anormal pour eux. La religion y est également pour beaucoup. Depuis que certains savent, je me rend compte qu’ils font un peu plus attention à leurs propos. Mais je ne les reprendrais jamais. Il y a parfois des insultes qui sortent de ma bouche donc je suis tolérant et j’accepte que ce soit également le cas pour des coéquipiers. Ce qui pourrait réellement envenimer mes relations avec quelqu’un c’est si ses propos étaient récurrents ou blessants volontairement.

Ce qui est marrant, c’est que je n’ai pas fait de coming-out. Je trouve ça complément con. Je ne m’imagine pas réunir tout le monde pour dire : « bon bah voilà je suis PD« . Je l’ai juste dis à quelques potes du centre. Mais un jour, un coéquipier qui n’était pas vraiment au courant est venu me voir car il voulait qu’on « trouve le PD ensemble« . On a longtemps cherché. Il était persuadé d’avoir repéré le coupable qui « avait un regard bizarre » parfois.

Un autre coéquipier a un de ses frères qui est homo. Un jour il est venu me voir en larmes, car il venait de l’apprendre. Je ne sais pas si c’était des larmes de tristesse ou d’énervement. Sans doute un peu des deux. Nous avons beaucoup parlé et je pense qu’il s’est rendu compte que ce n’était pas une maladie héréditaire. On en rigole parfois encore. Il était entré dans ma chambre en me disant « putain tu te rends compte, mon frère est une putain de tapette« . Il a eu l’air tellement con quand je lui ai dis qu’il avait sans doute le flair pour marquer des buts mais pas pour repérer les PD.

J’ai lu plusieurs articles qui évoquent l’homophobie des jeunes footballeurs. Pour moi, ce sont des conneries. Ce que les footballeurs détestent ce sont les faibles. Le raccourci « tarlouze efféminée = faible » est assez facile. Nous sommes dans un milieu où il ne faut pas avouer ses faiblesses. Nous sommes forgés comme ça. Les mauvais prennent la porte. Quand je suis arrivé au centre, je n’ai pas assumé. J’étais dans l’incertitude. Désormais, je suis un leader de l’équipe et il est plus facile pour moi d’assumer qui je suis. Et pour moi, être homo n’est pas une faiblesse. C’est au contraire une énorme force. Il faut un mental exceptionnel pour faire face à ses propres angoisses sur sa sexualité. Je pense même que ça m’a forgé en tant que footballeur.

De façon générale, je pense sincèrement que les footballeurs ne sont pas fondamentalement homophobes. Il y a un culte de la virilité, sans doute encouragé par les entraîneurs et les supporters, qui génère des propos et des attitudes parfois condamnables. Mais j’imagine que c’est également le cas dans d’autres milieux.  Après bien évidemment il y a des joueurs irrécupérables, qui estiment qu’il faut « brûler les tapettes« . Certains m’ont dit ça frontalement. Ça s’est parfois réglé aux poings. Histoire de montrer que l’homosexualité n’est pas incompatible avec la virilité. J’ai beaucoup de mal à comprendre ces mecs. Ils disent souffrir de racisme, mais sont parfois les premiers à insulter les autres.

Comme vous seriez déçu que je ne parle pas des douches collectives, je vais être rapide. Ça a été un peu difficile au début. Un jour j’ai expliqué à un coéquipier que ce n’était pas parce que j’étais homo que j’allais le chopper dans les douches et qu’il n’était pas du tout mon fantasme. Un autre jour, j’ai demandé à un autre s’il allait forcément agresser une fille nue si elle se douchait avec lui. Vu son regard, j’ai compris que c’est lui qui avait un problème.

A une époque où je ne savais pas encore qui j’étais, j’avais l’impression que tout le monde savait que j’étais homo. Dans les duels avec des adversaires qui me traitaient de « sale PD » ou dans les insultes venues des spectateurs le long des mains courantes qui disaient « ne le laisse pas passer cette tapette« . On aurait dit que tous les regards étaient braqués sur moi. Je rêvais de marquer un but, soulever mon maillot et exhiber un tee-shirt avec écrit « je suis PD, et alors ? » un peu comme Balotelli avec son « why always me ?« . J’ai craqué une fois. Personne n’a su que c’était pour ça. Bien évidemment, c’était des insultes en l’air de leur part. Personne ne savait que j’étais homo. Et le révéler aurait été contre-productif.

illustration-foot-pd-3Pas un porte drapeau

C’est sans doute paradoxal, vu le témoignage que j’ai souhaité livré, mais je ne me défini pas par mon orientation sexuelle. Quand je me présente je ne dis pas « bonjour, je suis homosexuel« . Ça ne regarde personne. Surtout que je ne le porte pas sur moi, et que mon interlocuteur n’en a sans doute rien à faire. Je n’ai rien contre les personnes qui se revendiquent « homosexuelles » mais je déteste le communautarisme. Ça m’énerve que des individus s’autoproclament « représentants de la communauté homosexuelle« . Bien sûr, je suis jeune, je n’ai sans doute pas le sens de l’histoire et peut-être que dans quelques années je me dirais que ces personnes se sont battus pour moi. Mais à l’heure actuelle je pense qu’elles génèrent une stigmatisation de la fameuse « communauté gay« . Par exemple, la gay pride, c’est vraiment pas mon truc. Je ne retire aucune fierté à être homo. Moi, si jamais je dois sortir demain pour exhiber une quelconque fierté, ça sera pour assumer un choix ou une conviction. Pas pour assumer ma vie. De façon générale, j’ai l’impression que les coéquipiers que j’estime homophobes le sont essentiellement parce qu’ils n’aiment pas l’image que des gays peuvent renvoyer. Sincèrement, certains sont tellement dans le caricature de la « pédale » ou de la « folle » que j’ai l’impression qu’ils génèrent des réactions encore plus violentes envers les homos.

L’avenir

Le foot a toujours été ma vie. Je n’ai jamais négligé l’école, car c’était le deal de départ avec mes parents, mais je ne pourrai jamais vivre sans football. Que ce soit en Ligue 1 ou en DHR, je continuerai à jouer au football.

En ce qui concerne mon témoignage, mon but n’est pas militant. C’est la raison pour laquelle il est anonyme. Mon nom n’a aucun intérêt. Les personnes qui doivent savoir que je suis homo le savent déjà. EspoirsduFootball.com est lu par de nombreux footballeurs en centre de formation (ou pas) et c’est la raison pour laquelle je voulais témoigner. Il ne s’agit que de mon histoire mais je suis certain que plusieurs lecteurs vont se retrouver dans mes propos. J’ai la chance d’être costaud mentalement et d’avoir eu la chance de tomber sur des gens majoritairement tolérants, donc peut-être que mon expérience n’illustre pas forcément les expériences de certains jeunes homosexuels. Mais je pense fortement à eux et je souhaite leur apporter toute mon énergie pour ne pas subir leur homosexualité et les souffrances qu’elle peut générer.

J’espère également que des lecteurs, peut-être plus fermés que d’autres, pourront également comprendre que des personnes peuvent souffrir de leurs propos ou de leur attitude, et qu’on ne choisit pas d’être homosexuel. " 

Posted by Laurent

Fondateur et responsable du site depuis sa création en 2009.Découvreur de talents.


putain  fait chier le DST 

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c'est quand qu'on va où tous les deux tout seuls ? (DST = devoir sur table)


fresque :

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commentaire : "Putain Laurent ! merci ! c'est un truc que j'ai vécu le premier soir du "sapin" (service militaire). Je sais, plus personne le fait, bon ;  les mecs qui se mettent au lit vu le type de literie y en a en haut, en bas, à droite, à gauche, de quoi affoler tous vos sens et vous sentez à la fois le désir(violent), la crainte (faut pas être pd sinon...)  Oh, image inoubliable du gars qui range ses affaires dans la rangée d'en haut. Un Dieu. Un slip en filet une queue à vous damner d'envie, une peau, un teint bronzé car on est en septembre. Et éteins la flamme qui vient de s'allumer en toi. Ce sera quand le bonheur ? LA JE REGARDE ET JE DOIS FAIRE ATTENTION DE PAS FAIRE VOIR QUE JE REGARDE" (TCHEUDEU)

 

 

 

 

 

Par LAURENT ESPOIRS DU FOOT - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 18:08

      cavaillongay paraît dans ta recherche google tape son nom et tu verras Tu veux l'enculer et tu as fait plein d'erreurs  et la preuve c'est qu'il garde son visage tendu presque jusqu'au bout, tu lui as laissé tout le soin de la préparation (lube, dilatation progressive), tu n'as pas eu le souci de le branler, le sucer, lui faire des langues fourrées, lui caresser tout le corps, et surtout lui titiller l'anneau en même temps et tout le temps des "préliminaires" !   Il est magnifique dans la baise et tu le gâches par ton manque de formation. 

                                                                                                                                                                                                                                           
                                                                                                                                                                                                                 

 

Trop tard : C'en est fini de tes  tentatives infructueuses de rapports sexuels parce que ton partenaire a eu peur que ça fasse mal.
Je vais te montrer des techniques peu connues qui permettront à ton partenaire de ressentir l'extase de l'infiltration dans son fondement sans ressentir rien de la douleur qu'il redoutait ou associait à l'idée de se laisser pénétrer.

Je vais aussi te montrer comment sucer sa bite pour qu'il oublie pendant ce temps que tu le baises.

Commençons par l'aider à se concentrer sur le désir, plutôt que la peur de ta dure bite comme c'est trop souvent le cas dans de pareilles circonstances.

Tout d'abord, il faut que tu le chauffes tellement pour amener son corps à souffrir et s'impatienter que ta dure queue  soit à l'intérieur de ses chairs.

DOULEURS SOUHAITEES. ça va faire mal, mais je suis impatient que tu me fasses mal,  comme une femme au seuil de l'accouchement! Mais, de ce point de vue, il sera déçu : il n'aura pas le mal qu'il redoute !      

 

Si tu as réussi qu'il te désire comme un fou, alors c'est toutes seules que ses jambes vont commencer à se séparer et son sphincter va commencer à frémir d'impatience en anticipant le plaisir, même au prix de la douleur.

    Il te veut tellement que son corps va avaler ta bite goulûment.

L'amener à ce niveau de désir est en fait assez facile si je t'apprends comment le faire.
 

 

Travailler son désir de ta queue ne peut pas signifier la planter en lui violemment et "à sec".

    Taquine-le de ton érection insistante, en lui laissant sentir la chaleur de ta dureté entre ses jambes ainsi que sur mais pas dans son anus.

Cela signifie prendre le dessus et l'embrasser passionnément afin qu'il puisse ressentir en avance l'excitation d'être sous la domination de ton membre viril. 
 

Tu vois : on n'est même pas dévêtus ! (pas encore ! ) 

 

 

1. D'abord, chevauche-le, couche-toi sur lui. La meilleure façon de faire naître la "soumission" chez quelqu'un c'est de le laisser expérimenter le pouvoir de ton corps, ta puissance.

2. Être au-dessus de lui le fait se sentir en sécurité et désiré.

3. Fais-lui doucement sentir ta chaleur, sentir votre odeur corporelle et ressentir la dureté de ton érection.

4. Mets maintenant du lubrifiant dans ses mains, place-les jointes  sur son cul et enfonce doucement ton pénis entre ses mains comme s'il s'agissait de son anus et recommence le geste pour lui donner une envie irrépressible.
 

 

    Image associée

 

Il sentira comme ta queue glisse doucement entre ses mains et il aura envie de te serrer. Il sentira ta force et ta fermeté et les imaginera en lui. 

 

Le taquiner : faire comme si tu renonçais ou te retirais

Ensuite vient le frottage intense . [sexe non pénétrant]

5. Pendant que tu es couché sur lui, sépare lentement ses cuisses avec ton genou

6. Prends sa main et mets-la sur ta fiévreuse érection. Fais-lui sentir la force et la puissance de ton irrésistible virilité.

7. Maintenant, place lentement ta bite entre ses jambes et fais-la danser sur et autour de son anus et sous ses testicules (son périnée sur lequel elle butte constamment).

8. Fais maintenant aller et venir ta verge vers l'intérieur et vers l'extérieur et vers l'avant et vers l'arrière dans un mouvement d'ondulation. 
Image associée
         Image associée 

     

 

9. Joue avec différents angles et positions de frottage, en t'assurant de temps en temps qu'il maintient sa main sur ton érection pour augmenter son désir et le tien. Vous êtes maintenant unis dans la même fièvre et la tension en toi est au top. Lui n'imagine pas, pour ta bite, une autre place que dans son cul !

10. Il est maintenant temps de mettre du lubrifiant sur tes doigts et d'explorer ses fesses.

   
11. Il est impératif que tu commences lentement et avec sensibilité ta pénétration. Et amuse-toi de ses appels, de ses soupirs et vagissements de bébé. Vous entrez doucement sur le chemin de l'extase commune, mais toi tu dois veiller encore sur son désir de ta verge.

 

 

12. Caresse la surface de l'anus lentement, titille ! Ne te contente pas d'insérer une phalange de l'index ou du majeur et ne te fixe pas comme comme si tu allais le baiser avec un doigt.

13. Insére ton doigt lentement. Ai-je dit lentement? Parce que je voulais dire L-E-N-T-E-M-E-N-T
-lol-

14. Quand il s'agit de te le mettre au cul, une pénétration d'1 cm peut se ressentir comme un décimètre !. Assure-toi de jouer avec son pénis afin qu'il associe l'insertion de ton doigt avec la notion de plaisir. Encore une fois, ne pas le baiser avec des va et vient du doigt dedans et dehors. En fait, une fois que le doigt est dedans ne le déplace plus et continue à jouer avec le gland de son pénis.

    la confiance de son sphincter ça se construit !

15. serre mon doigt avec ton cul tu veux bien ? Une fois que ton doigt est confortablement installé, demande-lui de serrer son sphincter aussi longtemps qu'il le peut (il ne pourra pas le faire pendant plus de 20 à 30 secondes). Suis-moi bien car il y a de bonnes raisons de faire ça.

C'est aussi le bon moment pour te mettre à le sucer.

 

 

 

 

16. Garde ton doigt à l'intérieur de son conduit pendant que tu suces sa bite. Sans qu'il s'en doute, tu l'entraînes à détendre son sphincter. Et si, en jouant, tu peux l'amener à serrer ton doigt (il ne pourra serrer qu'environ30 secondes) c'est gagné pour détendre son sphincter juste avant que ton sexe l'investisse

17. Lorsque le sphincter se détend involontairement, c'est le moment où tu le pénètreras.

18. Pendant que tu le suces tu peux aussi insérer un appareil de massage de la prostate.  C'est génial surtout s' il est coudé pour localiser et masser sa prostate.  C'est toujours bon de garder à proximité sur le lit ou la table de nuit un bon "copain" de baise pour chauffer le trou.
   
Vois-tu où je veux en venir avec ça?
La clé est de garder son sphincter détendu au moment où tu entres avec ta bite.

19. Maintenant que tu es prêt, vas-y et bouffe-lui le cul pendant environ 15 minutes. Ou passe à l'étape suivante.

20. Ensuite, tu vas tranquillement mettre la tête de ton pénis en érection, mais bien à l'extérieur de son anus. Il ne devrait pas y avoir d'espace entre l'ouverture du sphincter et la tête de ton pénis.

21. Une fois que ta bite est bien calée contre son anus, demande à ton partenaire de forcer pour ouvrir son trou aussi fort qu'il le peut aussi longtemps qu'il le peut.

Et là on arrive au but : son cul avale ta queue. Oui, c'est ce qui va se passer et ce ne sera que du plaisir pour tous les deux.
 

 

22. tu seras en mesure de dire quand il commence à se détendre involontairement par le regard sur son visage.

23.  Son corps mendie maintenant l'arrivée de ta bite..

24. tu remarqueras à quel point il est facile et indolore de le prendre. la douleur absente il ne reste que le plaisir.

25. Maintenant, remarque bien ce qui vient de se passer: tu entres au moment où son sphincter est le plus détendu. Tu as utilisé la physique et la physiologie pour créer un moment idéal pour la pénétration.
 

    Image associée

 

     par ses gémissements et ses ondulations il mendie ton sexe et l'aspire avec son cul    

Image associée

 

                                             

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             
hollywoodguy55

 

  comme tu profiterais mieux de ce blog si la pub nous laissait un peu de place ! ->  


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Par ALTERSEX - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 25 décembre 1 25 /12 /Déc 07:44

Gay Boy & Gay Daddy le veulent EN MEME TEMPS de Jack Da Cure sur Vimeo

 

 

 

Gay Boy & Gay Daddy le veulent EN MEME TEMPS de Jack Da Cure sur Vimeo
Par SUGARDADDY - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 18 décembre 1 18 /12 /Déc 16:45

 il y a une heure je ne pensais pas à tout ça, je me croyais "normal", j'ai déjà flirté avec des filles et je pensais bien qu'un jour je baiserais l'une d'elles et au lieu de ça…
- Et donc tu ne veux pas continuer parce que tu te dis qu'au lieu de baiser une fille, c'est toi qui va te faire baiser.
- Oui.

- Il eut alors un raisonnement court : "Quant à ce qui est de te faire baiser, tu m'as dit que tu avais aimé me sucer alors dis-toi bien que si c'est le cas tu aimeras te faire baiser... je vais être très doux."

note : cet article avait été diffusé dans cavaillongay en janvier 2013. A ce jour, 18 déc 2017 cavaillongay a diffusé  7400 articles  

    ambiance : 

secretlifeofanabdlboy: At the gym :) Hot!
Locker room cock 8 Locker Room Nudity!
Locker room cock 7 Locker Room Nudity!
Locker room cock 2 Locker Room Nudity!
Locker room cock 12 Locker Room Nudity!
Le récit :
où j'apprends que "salope" est un mot tendre...

J'étais en terminale, j'avais 18 ans, j'étais un jeune homme adorant le sport et ce jour là j'avais fait quelques misères à deux élèves au cours d'un match de hand-ball, à la fin du match les deux m'avaient dit "T'inquiète pas, tu nous as ridiculisés et ça tu vas le payer".

Je n'avais porté aucune attention à leurs paroles me disant qu'une fois la déception passée ce ne serait plus qu'un mauvais souvenir.
Fidèle à mon habitude alors que le cours était terminé, je me mis à faire quelques tours de piste.
Alors que je courrais le prof me dit "Damien, j'ai laissé le vestiaire ouvert ainsi que les douches, n'oublie pas de tout fermer quand tu auras fini.
- D'accord".
Une demi-heure après je rentrais dans le vestiaire, je pris mes affaires de toilettes et après m'être déshabillé j'allai sous la douche.
Après m'être longuement lavé, je me rinçai à l'eau froide et je retournai dans le vestiaire, je pris ma serviette et commençai à m'essuyer.
J'entendis la porte du vestiaire d'ouvrir, je me tournai et vis que c'était le prof, j'étais un peu gêné de me trouver nu devant lui et il me dit "J'ai oublié mon portefeuille".
Il ouvrit son casier et récupéra son bien, il s'approcha de moi et me dit "Tu es bien musclé, c'est fin mais bien".
Il posa ses mains sur mes épaules et commença à les masser, j'étais embarrassé et je lui dis "Mais que faites-vous monsieur ?
- Appelle-moi Max et ne t'en fais pas, il n'y a pas de mal à se faire du bien.
- Oui mais...
- Laisse-toi aller, tu vas voir tu vas te sentir bien".
Il faut dire que le contact de ses paumes sur ma chair nue me faisait ressentir une douce sensation inconnue et à ma grande honte mon sexe commença à se dresser.
Max s'en aperçut et me dit "Tu vois que ça commence à te plaire, tu bandes".
L'homme se colla à moi et prenant mon pénis dans sa main commença à me branler lentement.
C'était la première fois qu'une main autre que la mienne touchait mon phallus et je le sentis grossir encore plus.
Tout en me masturbant Max commença à m'embrasser dans le cou, j'étais rouge de honte de savoir que c'était un homme qui me caressait mais je ne pus m'empêcher de gémir tout en fermant les yeux.
Les caresses de Max étaient expertes, chaque fois qu'il sentait que j'allais jouir il stoppait son branle, j'étais en feu et je sentais contre mon postérieur le Priape gonflé de Max, bien qu'elle soit dans son pantalon de survêtement la chose me semblait énorme.
Les baisers de Max m'enflammaient et je commençais à perdre pied, mon sexe me faisait mal mais un autre sentiment pointait en moi.
C'était la première fois que je ressentais une telle chose, j'étais en sueur, tout mon corps était brûlant je dus bien me résoudre au fait que j'avais envie de cet homme.
A cet instant je sentis mon sexe sursauter et poussant un feulement j'explosais, un jet de sperme gicla de ma verge tandis que Max continuait à me masturber.
Quand le calme revint au niveau de mon phallus Max était toujours en train de me suçoter le cou tout en me caressant les fesses avec son bas-ventre.
Bien qu'ayant joui j'étais encore très excité mais pas de manière normale, ce que je voulais maintenant c'était découvrir le corps de l'homme qui me donnait du bonheur.
Max arrêta et me demanda "C'était bon ?
- Oui très.
- Veux-tu que je continue à t'embrasser ?
- Oui.
- Que veux-tu encore ?
- Je veux…
- Oui ?
- J'ai honte.
- Pourquoi ?
- …
- N'aie pas peur dis-moi.
- Je veux voir ton corps, je sais que c'est mal, mais je ne peux pas résister.
- Pourquoi dis-tu que c'est mal ?
- Parce que nous sommes deux hommes.
- Et alors ?
- Ca veut dire que je suis un pédé.
- Et ça te gène ?
- Oui quand même.
- Si tu veux on peut arrêter là, pour l'instant tu n'as rien fait, c'est moi qui t'ai branlé.
- Non je ne veux pas arrêter.
- Bien dans ce cas, alors allons-y".
Max ôta son tee-shirt puis enleva son pantalon, il était très poilu, son torse était musclé et avait des jambes et des bras puissants mais ce que je vis quand il baissa son short me laissa bouche bée, son Priape dressé était énorme, il faisait au moins 20 cm de long et était très gros.
Mon amant vit mon regard et me dit "Ah oui ma bite est un peu plus grosse que la tienne.
- Elle est énorme.
- Mais non elle est seulement belle".
Max m'attira contre lui et ses lèvres s'écrasèrent sur les miennes, ce contact intime me causa un trouble inconnu et sans réfléchir j'ouvris la bouche, la langue inquisitrice de mon mec vint caresser la mienne, je fermai les yeux et m'abandonnai totalement à ce baiser fougueux.
Mon amant m'embrassa longuement et sans m'en rendre compte je mis mes mains autour de ses épaules musclées et me collai tendrement à lui.
Quand Max délaissa ma bouche j'avais le souffle court et les joues brûlantes, mon homme me sourit puis il commença à me téter les seins.
A ce contact je sentis mes tétons se dresser et durcir, je fermai les yeux et un gémissement pulsa de ma gorge.
Au bout de quelques instants de ce traitement j'étais tellement fébrile que le moindre effleurement me faisait frémir, Max prit une de mes mains et la mit autour de son phallus bandé.
Le contact avec cette chair chaude et douce me provoqua une émotion intense et je me mis à caresser le membre en faisant aller et venir ma main dessus.
Mon mec continua à me titiller longuement puis voyant à mon comportement que j'étais à sa merci, il ôta ma main de sur son Priape érigé et me dit "Mets-toi à genoux et suce-moi".
Malgré une gêne évidente j'obéis, je me retrouvai au niveau du pénis raide sous lequel pendaient deux bourses velues gorgées de sève.
Le gland de Max était complètement décalotté et tout brillant de liqueur translucide, mon homme me dit "Allez vas-y prends-moi dans ta bouche, je sais que tu en as envie, montre-moi comment tu suces".
Sachant bien que j'allais franchir un interdit j'approchai mon visage de la hampe turgescente et je portai un petit coup de langue sur le bout durci.
Cette caresse fit se tendre encore plus le sexe, je posai une main sur les testicules velus et je les caressai.
Perdant toute retenue je pris la verge à la base et me mis à la lécher sur toute sa longueur, le pénis avait une odeur qui ne me déplaisait pas.
Max se cambra pour s'offrir d'avantage et poussa un soupir de satisfaction, je lapai encore quelque temps cette merveilleuse queue ramassant au passage quelques gouttes de semence diaphane.
Ce sperme avait un petit goût salé, je me dis que j'étais vraiment en train de me comporter comme une femelle mais ce que je voulais c'était sucer ce membre.
J'ouvris tout grand la bouche et embouchai le Priape puis je me mis à monter et descendre lentement dessus, mon amant gémit et posa ses mains sur ma tête pour rythmer la cadence à laquelle il voulait que je le pompe.
J'enroulai ma langue autour de la colonne de chair et la mordillai doucement.
Au bout de quelques instants de ce traitement mon mec me dit dans un souffle "Ah vraiment tu suces bien ma petite salope, ta bouche est à ravir et dire que c'est la première fois que tu fais ça, tu es sublime, allez vas-y pompe mon gros sucre d'orge".
Longtemps je pratiquai sur mon amant cette lente fellation, tout en allant et venant je câlinai les burnes duveteuses, Max avait rejeté la tête et arrière et poussait des râles de plaisir.
Sucer cette hampe érigée me procurait un sentiment inconnu, c'était un mélange de honte et de bonheur mais le bonheur l'emportait largement.
Soudain bloquant ma tête entre ses mains, mon homme se mit à aller et venir rapidement entre mes lèvres tout en disant "Tiens ma petite nana, prends ma bite, vas-y avale la, montre que tu es une pipeuse de classe, tiens prends".
            Sentir ce sexe coulisser dans ma bouche me faisait basculer dans un univers que je ne connaissais pas, je ressentais une sensation d'extase.
Au bout de quelques minutes je sentis le phallus tressauter sur ma langue, il me sembla que le gland doublait de volume, mon homme plaqua mon visage contre son pubis et éjacula en râlant.
Je reçus un flot de semence crémeuse au fond de la gorge que j'avalai avec délice tandis que mon mec disait "Oui ma petite salope avale, avale tout, bois mon lait".
Je continuai à me délecter du jus qui coulait de la verge tout en la cajolant jusqu'à ce que le calme soit revenu puis Max ôta ses mains et je pus me détacher de lui.
Son sexe était toujours en érection et mon amant me demanda "Tu as aimé ?
- Oui.
- Tu sais que tu suces très bien, on m'a rarement si bien sucé la pine comme tu viens de le faire, tu es extra.
- Merci mais tu sais j'ai aimé te sucer et aussi boire ton sperme.
- Tu sais que tu es une vraie cochonne.
- C'est vrai ?
- Oh oui crois-moi c'est vraiment rare qu'on avale la première fois.
- Eh bien j'ai aimé.
- C'est bien tu es un petit trésor, je suis sûr qu'avec toi je suis tombé sur une vraie salope.
- Mais…
- Quoi ?
- Pendant tout ce temps j'avais honte.
- Mais de quoi ?
- Je me disais que j'étais un pédé.
- Et alors ?
- Rien car même si j'avais honte, le plaisir était plus grand.
- Alors il n'y a pas de problème, tu aimes les mecs c'est tout.
- C'est vrai.
- Allez viens relève toi que je t'embrasse et que je m'occupe bien de toi.
- Mais que veux-tu faire ?
- Tu m'as superbement sucé et maintenant je vais te faire découvrir l'amour.
- C'est à dire ?
- Je vais tout simplement m'occuper de ton petit cul.
- Non.
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas…
- Et voilà tu ne sais pas, alors comment peux-tu dire non.
- C'est que…
- Quoi tu as peur ?
- Oui.
- De quoi ?
- Je ne sais pas.
- Tu as peur d'avoir mal ?
- Oui et en plus…
- En plus quoi ?
- Tu sais pour moi il y a une heure je ne pensais pas à tout ça, je me croyais normal, j'ai déjà flirté avec des filles et je pensais bien qu'un jour je ferais l'amour avec l'une d'elles et au lieu de ça…
- As-tu ressenti autant de plaisir avec une gonzesse qu'avec moi.
- Non.
- Et donc tu ne veux pas continuer parce que tu te dis qu'au lieu de baiser une fille, c'est toi qui va te faire baiser.
- Oui.
- Pour revenir au début je t'assure que je vais faire en sorte que tu ais le moins mal possible, je vais être très doux, bien sur la première fois c'est un peu comme pour les 
vierges mais tu vas voir après tu ne pourras plus t'en passer. Quant à ce qui est de te faire baiser, tu m'as dit que tu avais aimé me sucer alors dis-toi bien que si c'est le cas tu aimeras te faire baiser. Regarde moi je t'ai branlé tout à l'heure mais jamais je ne te sucerai, je n'y prendrais aucun plaisir.
- Tu me promets que tu ne me feras pas mal ?
- Le moins mal possible.
- Tu crois vraiment que je dois me faire baiser.
- Oui.
- Alors d'accord je te fais confiance.
- Bien allez viens dans mes bras que je te fasse découvrir pourquoi tu es faite".
J'avoue que je n'avais résisté que pour la forme, malgré la sensation de déshonneur qui m'habitait je voulais aller jusqu'au bout de cette aventure.
Je me relevai et me collai à mon amant tout en lui offrant ma bouche, posant une de ses mains sur ma nuque Max approcha son visage du mien, nos lèvres se soudèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Perdant toute pudeur, je mis mes bras autour de la taille de mon mec et m'abandonnai totalement à ce baiser brûlant.
Tout en continuant à me butiner les lèvres mon homme commença à me caresser le dos, sa main courrait le long de ma colonne vertébrale s'arrêtant à la naissance du sillon de mes fesses.
Au fur et à mesure des attouchements que mon mec me procurait je sentais une douce langueur prendre possession de mon être, j'étais en sueur et une boule de chaleur prenait forme dans mon bas ventre.
Je me lovai contre mon amant caressant ses épaules musclées.
Max était maintenant en train de me lécher le visage tout en me massant la nuque, je ressentais un fort désir et je ne pus m'empêcher de gémir.
Au bout de quelques instants mon mec se détacha de moi, j'étais pantelant, il me prit dans ses bras et m'amena jusqu'à la salle de gymnastique où il me déposa à plat ventre sur un coussin de sautoir.
Mon homme s'étendit à mes côtés et commença à me suçoter et à me mordre les bras puis sa langue se positionna à la base de mon cou et descendit le long de ma colonne vertébrale s'arrêtant au creux de mes reins, ce contact me fit frémir et je me cambrai légèrement.
Max pratiqua quelque temps sur moi ces caresses délicieuses me faisant monter au septième ciel, jamais je n'avais ressenti un tel plaisir et je râlais chaque fois que mon mec me touchait.
Soudain mon amant arrêta son effeuillage, il se leva et prit des sacs qu'il roula en boule et qu'il glissa son mon ventre de sorte que je me retrouvai le postérieur surélevé.
Mon mec ouvrit mes jambes et se mit à genoux entre elles, il empauma mes fesses et les écarta puis il enfouit son visage entre elles.
Quand sa langue râpeuse entra en contact avec mon œillet il me sembla qu'une décharge électrique me transperçait et je poussai un lourd gémissement.
Mon homme commença à me bouffer le cul, il promenait sa langue tout le long de ma raie puis s'arrêtait contre mon antre pour la suçoter.
Sous les attouchements lingués que Max pratiquait sur mon intimité, je sentis mes miches s'enflammer, et un profond désir s'empara de moi.
La honte que je ressentais encore à me comporter ainsi s'envola devant les ondes de plaisir qui s'emparaient de mon être enfiévré.
Peu à peu s'insinuèrent dans mon corps de délicieuses sensations inconnues, j'étais complètement en nage et des bouffées de chaleur prenaient naissance dans mon bas-ventre pour remonter par vagues pour exploser ensuite en  mille étoiles vers mon visage.
Quand la langue pointue s'infiltra dans ma corolle je poussai un râle langoureux, je sentais mon anus s'ouvrir sous l'insistance du baiser que mon amant échangeait avec ma grotte embrasée et j'écartai plus encore les cuisses tout en tendant mon fessier vers celui qui me donnait toute cette volupté.
Longtemps mon mec pratiqua sur moi ces délicieux sévices, j'avais la raie pleine de salive et mon sphincter s'ouvrait un peu plus chaque fois.
Jamais je n'avais ressenti un tel plaisir et tout en râlant et soupirant je m'entendis supplier "Ahh c'est bon, viens je te veux".
La bouche de mon homme abandonna mon derrière et il m'enfonça délicatement un doigt dans le fondement, jamais on ne m'avait fait ça et je poussai un petit couinement de surprise.
Max fit aller et venir son doigt lentement en moi me faisant monter chaque fois un peu plus dans le bonheur.
Un deuxième puis un troisième doigt vinrent rejoindre le premier, mon amant faisait coulisser ses doigts en moi tout en tournant sa main de manière à m'ouvrir de plus en plus la pastille.
Sous ces actions répétées je me mis à onduler tout en poussant des petits cris de bien-être, chaque fois que la main de mon homme s'enfonçait dans mon rectum en feu je sentais ma corolle s'agrandir.
Je ne sais combien de temps mon mec exécuta sur moi ces merveilleuses caresses, la seule chose que je savais c'est que je ressentais un plaisir impossible à décrire, j'avais l'impression que tout mon corps était en feu, j'étais tellement excité que le cul tendu vers mon mec je braillais sans arrêt.
Jugeant que j'étais à point Max ôta ses mains de mon antre béant, il prit mes jambes et les replia sous moi de telle sorte à ce que je me retrouvai à genoux la croupe en l'air reposant sur les avant-bras.
Mon amant se positionna derrière moi et je sentis quelque chose de doux, chaud et énorme coulisser dans ma raie bouillonnante, je sus aussitôt que c'était le gland de mon homme.
Bien qu'étant terriblement excité je fus pris de panique quand je me rendis compte des dimensions de ce qui s'apprêtait à entrer en moi que je tentai de me dérober.
Mon mec me maintenant solidement aux hanches me dit "N'aie pas peur, je vais te faire le moins mal possible, décontracte-toi et laisse-toi faire, tu verras au début ça va être un peu dur mais quand ton cul sera bien détendu tu prendras beaucoup de plaisir, fais-moi confiance".
Max promena son bout durci tout le long du sillon de mes fesses s'arrêtant chaque fois contre mon anus jusqu'à ce qu'il sente que je m'étais relâché puis il posta son gland congestionné à l'orée de mon sphincter et commença à peser dessus.
Bien que je sois bien ouvert par les attouchements manuels qu'il avait exercés sur moi une douleur effroyable m'envahit quand la grosse tête du phallus écarta mes chairs, je poussai un hurlement et je dis "Non arrête, j'ai mal, c'est trop gros, ça ne peut pas entrer".
Mon amant suspendit sa poussée et aussitôt la douleur diminua, il me dit "Calme-toi, tu as mal parce que tu n'es pas détendu, et que c'est la première fois que ton petit cul reçoit une bite. Maintenant si tu veux que j'arrête tu n'as qu'à le dire et je me retirerai".
Malgré la souffrance que je venais d'éprouver je ne voulais pas que mon mec arrête, j'étais si excité et j'avais été trop loin pour stopper en si bon chemin, je lui répondis "Non je ne veux pas arrêter, mais je t'en supplie fais doucement, ça me fait très mal.
- Bien sur ma petite chatte que je vais faire doucement mais détends-toi, abandonne-toi et tu verras ça fera beaucoup moins mal".
Mon homme plaça de nouveau son pénis contre ma porte étroite et se remit à pousser, lentement millimètre par millimètre le fabuleux gland me pénétra, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant j'avais mal.
Quand le bout durci fut en moi je pleurais en silence, Max resta immobile un moment puis doucement il sortit de mon antre et l'introduisit de nouveau.
Ce mouvement eut pour effet de m'assouplir la pastille et petit à petit la douleur disparut pour faire place à une douce langueur.
Mon amant s'en aperçut et me demanda "Alors ça va mieux ou tu veux toujours que j'arrête ?"
Tout sentiment de honte avait disparu, bien que je sois le cul en l'air complètement offert au mâle tel une chienne en chaleur, je ne voulais plus qu'une chose c'était me faire baiser comme une salope, je voulais connaître ça, je ne voulais plus reculer et je répondis "Non je ne veux pas que tu arrêtes, je veux que tu t'enfonces entièrement en moi, je veux sentir ta bite me baiser."
Posant ses mains sur mes lobes charnus mon homme s'enfonça en moi jusqu'à la garde, lorsque je sentis les poils follets de son pubis contre mon prose brûlant je sus qu'il était en moi complètement.
Mon mec resta immobile me laissant m'habituer à la monstrueuse présence qui m'obstruait le fondement, j'avais l'impression que mes fesses allaient se détacher tant j'étais distendu par la queue fichée en moi, je sentais au fond de mes entrailles le membre palpiter et cela me fit monter encore d'un cran dans le plaisir.
Quant au bout de quelques instants je sentis mon anneau de détendre je dis à Max "Vas-y baise-moi fais-moi du bien, je veux connaître le plaisir par ta bite".
Mon amant commença à aller et venir lentement dans mon rectum bouillant, m'arrachant à chaque mouvement des petits cris de douleur qui peu à peu se muèrent en gémissements.
Mon homme me possédait de toute la longueur de son pénis turgescent, le sortant presque entièrement de mon fondement pour le replonger au fond de mon cul la seconde suivante.
Au bout de quelques temps de ce traitement mon anus céda complètement et le superbe Priape put coulisser en moi sans gêne aucune.
Sentir cette pine roide coulisser en moi me faisait basculer dans un univers inconnu, je ressentais des bouffées de chaleur embraser mon bas-ventre, jamais je n'avais ressenti de telles émotions.
Ce que j'éprouvais était indéfinissable, il me semblait que mon corps flottait dans un océan de félicité.
Max, les mains posés sur mes hanches, me possédait avec une régularité de métronome. Chaque fois que la fabuleuse verge s'enfonçait au fond de mes entrailles, je poussais de lourds gémissements.
J'avais le sentiment que seul mon cul existait, jamais je n'aurais cru possible de ressentir un tel émerveillement en me faisant sodomiser.
Sentir la bite de mon amant s'enfoncer en moi me procurait une indescriptible effervescence, je n'avais rien connu de pareil, j'étais complètement offert à l'homme qui me donnait un plaisir immense.
Sous les coups de boutoir répétés de mon mec je sentis la volupté prendre possession de mon être, chaque fois que la pine roide s'enfonçait aux tréfonds de mes entrailles je me sentais perdre pied un peu plus et je poussais de lourds râles de joie.
J'avais fermé les yeux et rejeté la tête en arrière savourant l'incroyable bien-être qui m'envahissait par tous les pores de ma peau excitée à l'extrême.
Mon amant, les mains crispées dans la chair de mes hanches, me besognait toujours lentement, il sortait son sexe entièrement de mon antre en fusion pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
J'avais le cul complètement éclaté et j'avais l'impression que de la lave coulait dans mon rectum en fusion, tout mon corps était en feu et je savais que seul le phallus qui me forait les reins pouvait éteindre l'énorme brasier qui me consumait.
Je ne savais plus depuis combien de temps Max me baisait mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment et je me cambrai au maximum pour me donner encore plus au formidable pénis qui me défonçait.
Chaque fois que le membre plongeait entre mes fesses bouillantes m'ouvrant la corolle un peu plus, je sentais les testicules gorgées de sève de mon mec me caresser les miches.
Jamais je n'avais ressenti un tel plaisir, j'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts que mon homme m'assénait.
A chaque poussée je me sentais sombrer un peu plus dans un univers où seul comptait le Priape qui me   cassait le fion, tout mon corps tremblait et la bouche grande ouverte je criais mon plaisir.
Max avait posé ses mains sur mon postérieur et écartait mes deux lobes charnus pour augmenter sa pénétration, je me sentais perdre totalement pied, je ne vivais plus que pour et par la magnifique pine qui me bourrait.
Perdant toute retenue je me mis à hurler toutes les phases de la félicité par lesquelles je passais.
Je sentis une boule de feu exploser sur mon visage, un spasme me foudroya et un orgasme déferla sur moi, je tendis ma croupe enflammée vers la bite de mon mec pour accentuer la pénétration, un hurlement pulsa de ma gorge et je sombrai dans l'inconscience.
Quand je repris le sens des réalités, j'étais allongé sur le dos, mes jambes écartées étaient repliées vers l'avant et reposaient sur les épaules de Max qui, couché sur moi, était toujours fiché dans mon anus.
Mon amant me dit "Bienvenue au pays des vivants.
- Merci
- De quoi ?
- De m'avoir fait jouir comme ça, jamais je n'aurais cru qu'on puisse jouir du cul comme j'ai joui.
- Mais tu n'as encore rien vu, tu te rends compte que je suis encore en toi ?
- Oui.
- Donc ça veut dire que moi je n'ai pas joui et que je vais encore bien te baiser et te faire bien reluire ma petite salope.
- J'en veux encore.
- Mais tu vas en avoir".
Mon homme commença à aller et venir en moi lentement, sous ces va et viens le désir, un instant retombé par le fade que je venais d'avoir, s'insinua de nouveau en moi.
Je fermai les yeux et me laissai emporter par cette déferlante irrésistible, mon mec appuyé sur les avant-bras me besognait de toute la longueur de son fabuleux membre, chaque fois qu'il m'empalait ses couilles duveteuses venaient caresser mes fesses en feu.
Chaque fois que la splendide hampe plongeait au fond de mon cul dilaté je montais d'un cran dans le plaisir et je ne fus pas long à perdre totalement pied dans des hoquets hystériquesque je ressentais était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment.
Mon amant avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me pilonnait l'arrière train avec brutalité, tout mon être était en feu, j'étais en nage et un incendie me ravageait l'intérieur.
Je ne vivais pour que pour mon cul et par cette merveilleuse bite qui me donnait tant de bonheur, j'avais rejeté la tête en arrière et la bouche grande ouverte je râlai sans discontinuer.
Sentir la grosse pine de mon homme me défoncer la pastille me rendait fou de joie, je tendais ma croupe vers cette source de plaisir pour m'offrir plus encore.
Les virils coups de boutoir que je recevais avaient achevé de me faire perdre toute notion des réalités, je me tordais sous mon mec comme un damné.
Je ne savais pas depuis combien de temps Max me baisait mais ce que je voulais c'est qu'il continue à me faire autant de bien le plus longtemps possible.
Dans la pièce, en dehors de mes halètements, on entendait les bruits de succion que faisait mon cul chaque fois qu'il avalait le sexe turgescent qui me forait les reins m'élargissant le fondement un peu plus à chaque poussée.
Mon amant avait lâché mes jambes et posé ses mains au-dessus de ma tête de telle sorte que mon derrière se relève et il me sodomisait en larges coups de reins.
Totalement abandonné je nouai mes jambes autour des reins de mon homme et passai mes mains autour de ses épaules musclées.
Mon mec m'enfilait avec des "HAN" de bûcheron, de la sueur perlait de son front et les grimaces qu'il faisait prouvaient le plaisir qu'il prenait aussi.
Jamais je n'aurais cru qu'on puisse prendre autant de plaisir, je sentais des vagues de chaleur m'envahir et mes râles se muèrent en cris de volupté.
Chaque fois que Max s'enfonçait au plus profond de mes entrailles il disait "Tiens salope, prends ça dans ton cul, ah tu aimes ma bite ma pute, alors prends-la au fond de ton trou du cul bouillant".
Ses paroles m'excitaient encore plus, j'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les coups de boutoir répétés que je recevais.
Dans mon corps enfiévré de bonheur seul comptait mon cul, je ressentais de telles sensations que je ne réfléchissais plus que par mon trou de balle démoli.
Le rythme auquel mon amant me possédait faisait que je me sentais comme un fétu de paille balayé par la puissance de ce que je ressentais, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que mon homme s'enfonçant au plus profond de moi éjacula en râlant, ses abondants jets de sperme crémeux fusant contre mes parois surchauffées me provoquèrent un spasme foudroyant, mes jambes battirent l'air, mon corps s'arqua sous mon mec, je plantais mes ongles dans la chair de ses épaules, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Je sentis mon mec se lever de sur moi et je restai les yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur sur ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux Max n'était plus dans la pièce, j'entendais l'eau couler, il était en train de se laver.
Quand il sortit de sous la douche il s'essuya tout le corps et me dit "Tu vois que tu as aimé.
- Oh oui ça a été génial, jamais je n'aurais cru prendre un tel plaisir par le cul.
- Tu sais moi non plus jamais je n'aurais cru qu'un mec puisse jouir comme tu viens de le faire.
- C'est vrai.
- Je t'assure, tu n'es pas le premier que je baise mais tu es le premier qui a les mêmes réactions qu'une gonzesse, tu baises comme une vraie femme.
- Non !!!
- Si ! tu es une vraie salope, tu es faite pour la baise, ton trou du cul est aussi bien qu'une chatte, c'est vraiment très bon de te baiser.
- Mais tu sais j'adore ça, j'adore sentir une grosse bite comme la tienne me défoncer le cul, maintenant que j'ai goûté à ça je ne crois plus pouvoir m'en passer.
- Salope.
- Eh oui j'adore vraiment la baise, au fait quand est-ce qu'on recommence ?
- Si tu veux on peut remettre ça la semaine prochaine, comme aujourd'hui.
- J'espère que je pourrai attendre, la semaine prochaine c'est loin.
- Ce n'est même pas une salope que tu es mais une nymphomane.
- Eh que veux-tu quand j'aime quelque chose j'en veux toujours plus.
- AH AH AH !! En attendant ça, va donc te laver le cul car tu commences à couler sur le coussin.
- C'est de ta faute, tu m'as complètement inondé.
- C'est vrai que ça a été un bon coup.
- Ca tu peux le dire.
- Bon je te laisse, à la semaine prochaine ma petite poule.
- Au revoir mon super baiseur, la semaine sera longue".
Max s'habilla et partit, resté seul je me levai et allai sous la douche, le contact de l'eau sur mon corps me fit un bien énorme, j'insistai sur mes fesses et mon anus afin de leur rendre une propreté toute suédoise.
Une fois nettoyé je remarquai que bien que restant encore mou, mon trou de balle s'était un peu refermé
Après m'être séché, je me vêtis, fermai la porte du vestiaire, remis les clés au concierge et rentrai chez moi.
Cette nuit là je dormis très mal, je n'arrêtai pas de penser à ce que j'avais vécu quelques heures plus tôt...

 

 

 

Salut ! Ici c'est : claudemodou@gmail.com  qui vous parle de notre site  http://cavaillongay-lesitelocal.erog.fr/ que vous trouvez directement en composant cavaillongay directement sur google. Merci !    

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fresque : Do you see what i see? je t'ai fucké  à mort comme un vampire et tu ne pourras plus te passer de te faire baiser !

 

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commentaire : "une fois ce récit commencé on est comme lui  on a la fièvre d'aller jusqu'au bout ! merci tendresalope ! " (JUS JUBE) 

 

 

 

Par TENDRESALOPE - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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