Pédo' à 13 ans ? l'écart d'âge (3 ans) était-il correct ? moi 10 ans -> lui 13 ans. Il était
exceptionnellement précoce. Explication ? J'ai reçu le message de Montaigne qq années après : "c'est parce que c'était lui, c'est parce que c'était moi". Qui n'explique rien en fait !
J'étais en manque d'affection tout me portait vers ce garçon qui dans le désert affectif de la pension, la nuit au dortoir, me prodiguait généreusement caresses et attouchements et plus ...
Aujourd'hui Je suis gay, majoritairement. A l'heure de tous ces procès tardifs serais-je moi aussi tenté - après 30 ans - de porter des accusations. Même s'il parlait ouvertement et crûment
aux filles ...ce qui annonçait déjà de cruelles déceptions et m'a, par la suite, rendu plus fluide sexuellement. Naturellement je l'aime encore. A travers lui j'aime cet éveil affectif et
érotique : c'est un peu grâce à lui, mon auvergnat à moi, que j'aime la vie.
Il était exceptionnellement précoceet, comme, à l'époque c'est à peine si nous nous
sentions limités par des sentiments de pudeur, de culpabilité ou même de honte, le matin "on se faisait la bise", et le soir il me prenait comme un vrai mâle jusqu'à ce que j'eusse la
sensation que mes fesses glissaient agréablement l'une sur l'autre quand je regagnais mon lit.
A la douche collective où nous conduisaient les aides-soignantes, son physique précocément développé provoquait des remarques muettes de ces
femmes qui se poussaient du coude et donnaient des coups de menton pour désigner l'être exceptionnel qu'était mon copain".¤
pas d'illustration en images pour cet article
NOTES :
Nicolas Sarkozy nous a livré une nouvelle petite perle dans un entretien avec le philosophe Michel Onfray pour Philosophie Magazine. . J'inclinerais, pour ma part, à penser qu'
on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1 200 ou 1 300 jeunes qui se suicident en France
chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Prenez les fumeurs : certains
développent un cancer, d'autres non. Les premiers ont une faiblesse physiologique héréditaire. Les circonstances ne font pas tout, la part de l'inné est immense.
NE PAS CONFONDRE ... ET POURTANT...À la fin des années 1970, une commission d’experts gouvernementaux des pays du Conseil de l’Europe étudiait la possibilité de réduire
les peines appliquées aux infractions relatives aux seuils de consentement, donc aux infractions commises par les pédophiles. Cette volonté d’harmonisation des Codes pénaux européens allait à
l’encontre de considérations climatiques anciennes, reprises par le juriste R. Garraud : – Au début du XIXe siècle, pédophilie signifiait "amour des enfants", sans implication sexuelle,
comme en témoigne le dictionnaire Littré. L’expression pédophilie érotique, traduite de l’allemand, avait été proposée en 1906 par le Dr A. Forel. Par la suite, on abrégea en pédophilie, et le
pédophile est devenu un type homosexuel parmi d’autres (efféminés, folles, hypervirils) la pédophilie homosexuelle masculine apparaissant prépondérante. - Il convient de distinguer entre
pédophilie et pédérastie, ...
Sieger est un jeune sportif de 17 ans qui s’entraîne pour des championnats. Lors de vacances d’été, il fait la connaissance de Marc, un jeune
homme intriguant. Amitié et complicité se développent rapidement entre les deux adolescents. Naissent alors des sentiments bien plus forts.
Bande annonce 2
bande annonce 3
D
Le thème du film porte sur la découverte de l’homosexualité dans une société hétéronormée où il est difficile
de se trouver une place. Un film sur la jeunesse avec ses premiers émois pour un garçon qui est attiré par un autre garçon : que m’arrive-t-il ? Faut-il lui parler de ce trouble ? Quel sera le
regard des autres ? Autant de questions que beaucoup de jeunes se posent toujours et que le film aborde avec pudeur. C’est donc un combat avec soi-même… comme sur la piste d’athlétisme où
Sieger s’entraîne.
Le secret de réussite de Boys est d’avoir réussi à communiquer au spectateur cette sensibilité entre ces deux garçons. Sans compter
l’immersion dans la nature, les longs silences de Boys nous rappellent le film de Brokeback Moutain d’Ang Lee sans jamais ennuyer. La réalisatrice, Mischa Kamp, a su transmettre la tendresse et
les désirs entre ces deux jeunes.
A l’origine, Boys a été conçu pour la télévision mais face au succès, il a été diffusé pour le cinéma en Angleterre, aux USA, en Pologne, en
Thaïlande et enfin en France.
«POUR UN ADOLESCENT, LA DÉCOUVERTE ET L’EXPLORATION DE SON HOMOSEXUALITÉ SONT SOUVENT TRÈS INTENSES»
La réalisatrice, Mischa Kamp considère le sujet comme essentiel : « Pour les adolescents, c’est un sujet important qu’ils n’ont pas souvent
l’occasion d’aborder. Beaucoup de jeunes ressentent des attirances homosexuelles mais pensent qu’ils ne peuvent pas les concrétiser. L’homosexualité est présente partout dans notre société.
C’est un sujet important qu’il est essentiel d’aborder. On peut espérer qu’un film comme celui-ci jouera un rôle pour ouvrir les esprits, d’autant plus qu’il peut toucher un large public par le
biais du cinéma, de la télévision, d’internet et de possibles projections dans les milieux scolaires. Je pense aussi qu’il est important que ce sujet soit diffusé par des médias que les
adolescents ont l’habitude d’utiliser. »
«SE SENTIR DIFFÉRENT VIS-À-VIS DES AUTRES, C’EST JUSTEMENT CE QUE LES JEUNES CHERCHENT À ÉVITER»
"Le combat avec soi-même est également important : « L’honnêteté envers soi-même est pour moi un thème important du film. Pour un adolescent,
la découverte et l’exploration de son homosexualité sont souvent très intenses. Des adolescents hétérosexuels vivent l’amour comme une bonne expérience qui peut être partagée et discutée, alors
qu’un jeune homosexuel se sentira isolé. Se sentir différent vis-à-vis des autres, c’est justement ce que les jeunes cherchent à éviter. J’espère que ce film donnera l’occasion de réfléchir aux
enfants comme aux adultes et facilitera un débat qui devient nécessaire". (Mischa Kamp).
Un film vraiment positif, un film tout public.
GAYVIKING 2015
NOTES : Le film est sorti en salle le 15 juillet 2015 en France. Un film néerlandais réalisé par Mischa Kamp avec Gijs Blom, Ko Zandvliet, Jonas Smulders, Ton Kas, et Stijn Taverne.
contrepoints :
Le passé lumineux de nos jeunesses porte pour toujours la marque au fer rouge de nos renoncements
à dimanche ! tu n'as pas besoin de savoir le portugais pour comprendre Marc et Max
"Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !...
[]
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir ! " Charles Baudelaire
La première fois avec lui je me souviens qu'il a fallu que le désir l'emporte sur l'appréhension...ce
fut bon comme la première cigarette...celle dont on ne peut plus se passer
"On se retrouvait dans les bois au bord du lac sauvage. Il bandait dur, impatiemment, Raymond pétait les capotes d'entrée et fallait se faire confiance sinon rien." La première fois
avec lui je me souviens qu'il a fallu que le désir l'emporte sur l'appréhension...ce fut bon comme la première cigarette...celle dont on ne peut plus se passer
Après...par contre, j'avais beau me faire un nettoyage avant, sa queue pompait si fort dans mon boyau que ça allait chercher la m...plus loin qu'une
queue ordinaire. Putain il en faisait des dégâts, mais ça l'incommodait pas. Quand j'avais sa queue en moi j'étais comme une bête haletante qu'on aurait percé d'une flèche ou un poisson
harponné... et ma bite coulait du jus transparent..."Mais c'était BON !
-"c'est bon ?" putain oui, ça l'était mais
les brochets du lac faisaient pareil avec plus petit
qu'eux(queuex)
Récit extirpé des archives du blog il y a 4 ans
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la necessité de souvenirs vivants :
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Quand nous étions soldats mon ami Camille me disait le plaisir qu'il avait aussi bien de chier que de se branler quand il montait la
garde.C'est interdit bien sûr ! En partie cela marquait une rébellion. Mais surtout il me soulignait l'importance d'avoir des souvenirs de vraies relations sexuelles pour se
masturber avec un max de plaisir. Ainsi lui évoquait "Fernande" lol et, moi tantôt Pierre H. connu en pension ou alors Pierre M que j'ai connu grand ado dans un quartier
de Marseille. Aujourd'hui j'insiste moi aussi sur la nécessité de souvenirs vivants . Le prénom le plus évoqué dans ma sexualité solitaire serait Hassène dont j'ai déjà parlé. Mais
il n'est pas le seul, et j'ai ressenti une violente envie de me masturber en évoquant le garçon ci-dessous.
Je ne saurais trop vous conseiller, moi aussi, d'accumuler de nombreuses expériences et de conserver un vivant souvenir des plus
marquantes.
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RAYMOND
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J'ai évoqué Raymond dans mon dernier article. Le présent récit est le plus authentique
possible. Je draguais souvent en ces lieux
Ci-dessous cette photo du film "L'Inconnu du Lac"me rappelle le moment ou Raymond et moi avons fait connaissance.
On était alors chacun plus jeune que les deux acteurs ci dessous du film "L'Inconnu du Lac"ily a qq temps sur les écrans.
désolé c'est espagnol mais le trailer français n'a vu dans le film que le polar...moi non !
L'INCONNU DU LAC, au cinéma le 12 juin 2013. Un film que la bienpensance s'est empressée de cacher.
L'été. Un lieu de drague pour hommes, caché au bord d'un lac. Franck tombe amoureux de Michel. Un homme beau, puissant et mortellement dangereux. Franck le sait, mais il veut vivre cette
passion.
L'inconnu du Lac Extrait # 2 (celui de dailymotion ) "Je te jure qu'il est bizarre..."
Un film réalisé par Alain Guiraudie, avec Pierre Deladonchamps, Christophe Paou, Patrick Dassumçao, Jérôme Chappatte, Mathieu
Oh, sur la drague tout va très vite et même si vous êtes plutôt timide dans la vie sociale, ici chacun sait pourquoi l'autre est là.Surtout si
on sait soi-même pourquoi on est là ! lol. Je dis ça parce qu'il y a aussi les hésitants qui savent pas eux-mêmes pourquoi ils draguent. Nous non. Il y avait sa moto genre moto
cross
cachée dans les buissons, et lui était assis au bord du lac N° 3 que forme la Durance sur cette route dévolue à la drague en ces temps-là. Je me
suis assis près de lui et j'ai contemplé le lac....
- Bonjour ! - on se connaît ? Je t'ai jamais vu ici. - Je viens pas souvent. Toi oui ? - Quand je peux. Tu dragues ? - je réponds
oui dans un souffle et un hochement de tête.
Il a l'air tranquille Il est costaud, moi plus fluet. Nos mains on joué les éclaireurs.
Il m'a dit que j'étais beau, m'a demandé si j'étais étudiant ... (quelle importance ??? Par la suite il m'a appris qu'il bossait dans une
petite entreprise d'événementiel : location de matériel pour fêtes et expos ).
Je sentis sa verge puissante et épaisse à travers son short. Mon attitude et mon corps lui laissaient entendre que je me laisserais faire. On était
assez abrités des regards, mais sans plus. L'eau était juste là en dessous et le talus trop pentu s'avérait inconfortable. C'est pourtant là qu'il m'a pris pour la première fois. Les caresses ont
été brèves. Je me posais la question de savoir si j'allais pouvoir prendre un tel engin dans mon cul alors encore assez "vierge". Pourtant je ne souhaitais que ça.
Oui, la photo (fake) ci-dessous est hors décor naturel mais sa queue c'était plutôt ça en plus raide et plus épais quand il baissait son short.
:
Je suis sûr que son désir de me prendre était teinté de questionnements. Comme beaucoup allais-je refuser de prendre un tel engin
?... L'incertitude prévalut jusqu'au moment "M", l'instant"T". Je sortis un préservatif. Je n'en avais que des ordinaires. Le lui enfiler sans le déchirer posait problème. Par la suite
j'avais des king size avec moi. Tout le temps et à plusieurs reprises il lubrifia. - je ne veux pas que tu aies mal. Arrête-moi s'il faut..On était tous les deux à genoux, je
me présentais de dos, le défi était pour moi. Enfin je triomphai : j'avais mal. Sur ce talus inconfortable il entreprit de parfaire son oeuvre. Il allait, il venait sans fin.
Savez-vous ce que c'est un piston ? Sa verge me procurait des sensations inconnues. J'étais sa chose. Il m'enculait tranquillement sachant l'envoûtement qu'il était en train de faire
naître. Personne ne m'avait pris de la sorte et il n'en finissait pas.
Par la suite les RV se multiplièrent et on eut une couverture tirée de
ma 2cv et on chercha de bonnes planques.
Je n'avais pas à me poser la question d'être capable de lui
rendre ce qu'il me donnait J'étais subjugué et ma passivité le séduisait à fond selon moi : j'étais ce qu'il cherchait et réciproquement.. Chacune de ces photos (fakes)évoque bien ces moments de plein air et de baise intense.
Au début j'étais épuisé après, au point de ne plus pouvoir rien faire pendant de très longs moments. Ensuite, ce vide en mon corps et
mon esprit jouait comme une détente absolue dont j'avais besoin. Et je devins accroc'. Ca c'est toujours mauvais. En moi il y avait deux luttes : assumer ma bi sexualité et ma passivité
avec les hommes.
Le fait nouveau ce fut qu'un jour il tira de son sac à dos un gode bricolé par lui. On était "en train"et il me dit : "ça je préfère que
ma femme le trouve pas" Il se le mit tout en me baisant et me mit la main sur le long manche en bois pour que je sois aux manettes. Ca changeait la donne et je
culpabilisais légèrement. de comprendre son insatisfaction. Gentil raymond ! Il devait s'en prendre des gros, vu la grosseur du gode.
Mais il passait beaucoup de monde sur la drague et un jour, arrivé après lu,i je vis sa moto planquée et le trouvai en "baise debout"
dans les genêts du bord de Durance avec un petit jeune bien foutu, plutôt plus fluet que moi, l'air d'un apprenti plus que d'un étudiant et dont l'anus était aussi élastique que le
mien. lol Candidat à la complicité je voulus observer sur leurs visages les effets de cette énorme intromission. Je m'offris à sucer, caresser, exhauster la jouissance du jeune... mais
non, sans que Raymont pût protester je fus gentiment évincé.
Il me rejoignit après avec des regards évocateurs de son plaisir. Je le félicitai de sa bonne fortune, mais il me dit que ce garçon était un
habitué. Je savais, pour avoir été avec d'autres gars, que sur la drague il ne faut pas être jaloux. Ca j'ai bien appris. On a vécu pendant une baise l'orage terrible de Vaison en
1992 , ça je me souviens, il faisait si sombre j'ai culpabilisé qu'on ait été dans la joie du sexe pendant que des
gens souffraient et se noyaient. That's life me répondrez-vous : à chaque instant sur la terre certains sont dans la joie et d'aures dans la souffrance. Aucun lien de cause à effet, mais je crois
qu'à partir de là des choses ont concourru à nous séparer. Lassitude ? il y a de ça. Tentations diverses sur une drague riche à l'époque ? sans doute. Raymond avait perdu son
travail l'entreprise ayant fermé. A part quelques stages (infirmier notamment), il fut désormais libre tout le temps et moi toujours heureux de mes trois demi-journées par
semaine.
Côté baise, Raymond si je le croisais, était toujours dispo. Mais une sorte de crainte du pistonnage violent de mon amant était survenue.
J'aimais sa façon rude et exigeante de me posséder, je m'y préparais si j'avais RV en me faisant des lavages et même en ayant le
nécessaire avec moi. Mais j'avais la hantise au bout de quelques minutes que mon anus très sollicité ne vienne à salir, ne serait-ce qu'un
peu. J'ai horreur de ça, on mecomprend sans doute.
Puis, à partir d'un moment, il n'est plus venu à la drague. Je me suis reproché de ne pas savoir où le joindre pour savoir (de façon
désintéressée) s'il allait bien ou lui venir en aide s'il lui arrivait quelque chose. C'était la loi de cette drague : incognito, surtout les hommes mariés. Est-il parti à
l'étranger ? Je prie Dieu, s'il existe, qu'il soit en vie et en bonne santé. Allez, que le hasard fasse que le tag "cavaillon" sur le net lui dise encore quelque chose et qu'il soit
devenu l'un des 5 à 600 visiteurs quotidiens de ce blog...Raymond, rassure-nous, moi je t'aime ! Reviens svp !
Ton souvenir est si vivant, toi si généreux, si vaillant, je te désire encore :
on inventera des choses nouvelles nées de nos
expériences
shootés tous deux par notre plaisir partagé
NB : toutes les photos sont évocatrices de la vérité mais FAKES du net.
:
BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...
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