VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES

Dimanche 15 octobre 7 15 /10 /Oct 00:48

  Il est je ne sais où, Un beau Prince charmant que j'ignore. Je crois l'entendre sur un ton très doux Me dire : "Je t'adore ! "    Les nains demandent à Blanche-Neige de raconter une histoire. Celle-ci commence à narrer l'histoire de sa rencontre avec le prince, puis, laissant libre cours à ses pensées, elle se met à chanter ses rêves d'amour. Pendant la chanson, la caméra est centrée sur les nains et leurs différentes réactions. Puis l'horloge sonne onze heures et Blanche-Neige dit qu'il est temps de se coucher.

Un jour, mon prince viendra Un jour, il me dira
Ces mots d'amour, si troublants et tendres Que j'aurai tant plaisir à entendre ! Qu'il vienne, je l'attends,Craintiff et le  cœur battant, Dans ses bras, alors, Mon beau rêve enchanté Deviendra réalité !

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Jeune travailleur, célibataire et seul dans mon petit logement, il ne m’a fallu que quelques jours avant que l’envie de sexe se manifeste. Les premiers jours, je me suis contenté de mes doigts, de mon poignet et d’un sextoy commandé sur internet. Il a fait son office et puis il m’a fallu un peu plus, le regard insistant de quelques hommes en ville s’est fait suppliant. Moi je ne voulais pas m’attacher mais j’assumais mes envies de passif et je voulais savoir si je pouvais atteindre le plaisir que je me supposais capable d’atteindre légitimement.

 

Vous l’aurez compris, j’ai eu plusieurs conquêtes, souvent pour un soir.

 

Je me suis inscrit sur un site de rencontres gay bien connu et plus d’un homme m'ayant contacté au vu de mes 18 ans et de ma photo, a pu me séduire et me baiser dans le même W.E. Ils se vantaient et se prenaient pour des Don Juan mais n’ont jamais rien compris à mon désir. Je me servais d’eux pour me libérer et être le gars passif que j’avais envie d’être.

 

Enfin arriva celui qui fut mon déclencheur, celui qui me fit franchir allègrement ma barrière mentale.

 

Il s’appelait Rocco, ça ne s’invente pas, il était italien mais ne possédait pas comme son célèbre homonyme une bite monstrueuse. Toutefois, son corps athlétique m’encourageait à aller vers lui et il semblait bien me rendre mon intérêt.

 

Tenue sexy, rendez-vous dans un bar. Un verre, deux verres. Mon lit. Sa queue entre mes fesses.

 

Quand j’y repense, notre première fois ne fut pas très originale. Elles ne l’étaient que bien rarement les premières fois. La porte franchie, nous nous sommes embrassés, j’ai glissé mes mains sous sa chemise. Il m’a pris un téton. Tout en laissant une main sur mon cul. Une assurance toute masculine et je me suis laissé faire. Très vite, ma main sur sa braguette et son sexe dans ma bouche. Il venait pour cela et j’avais pris de mon côté de l’assurance dans ce domaine.

 

À deux pas de la porte, encore à moitié sapé et à genoux, je suçais cette queue d’inconnu comme si j’en espérais un trésor au bout. À défaut de trésor, j’avais un sexe tout à fait méritant pour me prendre (ce qu’il exiga très rapidement). Nous nous sommes dirigés en nous déshabillant vers la chambre. Je lui ai désigné la table de chevet pour le préservatif, mais il m'a laissé entendre  -"très peu pour moi" Je l’ai encore sucé quelques instants pour m’assurer de son érection avant de m’allonger complètement sur le lit.

 

Il devait croire que l’honneur de sucer un tel Apollon était suffisant comme préliminaire pour un passif car il m’a pris sans préambule. Peu importe, en réalité car j’avais besoin de sexe. Point final.

 

J’ai tout de suite pris du plaisir à sa pénétration franche, un peu brutale. En réalité, ce n’était pas du plaisir mais l’assouvissement de mon besoin.

 

Toujours est-il que ce beau gosse me faisait un bien fou. Il était adroit, alternait les rythmes et les positions. C’était bon. Pas forcément la baise du siècle mais un vrai bon coup. J’ai aussi compris qu’il n’en avait que faire de moi ou de mon plaisir, seul le sien comptait. C’était toujours plus moins cela avec les aventures d’un soir mais avec lui, plus qu’à l’accoutumée, je me suis senti objet sexuel pour lui, comme lui l’était pour moi.

 

Une digue s’est rompue en moi ce soir-là, ne me demandez pas pourquoi. Je me suis mis à jouir comme jamais et je ne me contrôlais plus du tout. À peine le temps de me mettre à quatre pattes, la position parfaite pour cette situation car la levrette ne peut pas être romantique, que je gémissais de plus belle et je montais dans les "tours" comme un moteur de F1. Je jouissais de n’être qu’un trou et il savait s’y prendre.

 

Je n’exagère pas quand je dis qu’il n’avait que faire de moi. jUste la peau, ma beauté de 18 ans, ma présence témoignant de sa puissance. J’en veux pour preuve qu’il n’a fait aucun cas de moi pour me sodomiser. Il a planté son sexe sur mon anus. Il en a fait deux ou trois fois le tour avec sa queue rigide manoeuvrée d'une main . Je ne croyais pas à ce moment qu’il allait me sodomiser sans me demander mon accord ni nous lubrifier . Il m’a pris d’un coup. J’ai crié à cet instant, autant de douleur et d’inconfort que de mécontentement. Au deuxième coup, j’étais confus d’avoir aimé, au troisième, j’en voulais encore. Au quatrième, je ne voulais plus qu’il sorte de là, le criant de tous mes poumons en essayant de déchirer les draps de mes poings crispés de plaisir.

 

M’avoir fait jouir comme jamais m’a libéré d’une façon inattendue et excitante. J’avais tacitement accepté la sodomie, j’avais pris du plaisir en quelques instants. Il a attrapé mes cheveux dès le début mais une plus forte pression au bout de deux ou trois minutes m’a fait comprendre qu’il était temps que je me retourne. Installé entre mes jambes, moi au bord de l’asphyxie d’avoir tant crié, il a joui dans mon ventre. Quelques coups de poignet ont suffi pour qu’il se libère au-dessus de mon anus et qu'il poursuive à l'intérieur en feulant de plaisir.  C'était bon de voir un homme jouir comme ça, de sentir son sperme à l'intérieur de mon corps.

 

Je ne sais pas pourquoi mais je savais que cette fois-là, j’avais franchi un cap.

 

À aucun moment je n’ai été amoureux de lui, pas plus que ceux qui l'avaient précédé. Cela ne m' empêchait pas de baiser le plus souvent possible. Ces quelques semaines ont été comme une parenthèse enchantée dans ma vie. Il avait une libido déchaînée et je découvrais dans ma passivité un plaisir comme je n’en avais jamais connu. Il n’y avait pas un matin où je ne soulageais pas son érection matinale avec ma bouche. Nous avions vite eu nos habitudes. Il aimait me sodomiser dès que je rentrais du boulot. Il m’a pris en appui contre la porte d’entrée, dans la douche, sur le lit, la table de cuisine. Durant toute notre relation je suis resté sans initiative, j’écoutais mon corps et mes sensations en fonction du moment, de la position, de son attitude. Lui se vidait les couilles et moi je donnais une suite à mon éducation sexuelle.

 

Au bout de quelques semaines, c’est moi qui ai mis fin à notre histoire. Je suis assez mignon et je savais par expérience ne pas avoir de mal à rencontrer un autre homme, un pour lequel j’éprouverais peut-être un peu de sentiment et avec qui je pourrais expérimenter les découvertes de mon corps. Et puis je commençais à me lasser d’être sodomisé tous les jours à la même heure et de lui tailler une pipe à chaque douche. Même la fellation matinale perdait de son charme.

 

L’amour, je ne l’ai jamais rencontré. J’ai rencontré certains hommes un quart d’heure, d’autres quelques semaines. Avec ceux-là, j’ai quelquefois été actif, dominateur, instrumentalisant leur bite pour mon plaisir. Je prenais juste ma vie en main.¤

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Image associée  ne perds ps cette allure un peu sauvage...je ne sais pas  dans quelle catégorie de gays je dois te classer, ce sera après notre rencontre...je fonctionne comme une agence de notation...

Image associée de l'allure, mais doit faire ses preuves...

 

 

 

 


 

Par SYLVIO - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 29 septembre 5 29 /09 /Sep 06:47

                                                                                                                                                                                             

 

 

 

 

Par EUSEBIO - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 26 septembre 2 26 /09 /Sep 08:56

  quelle chance vous avez, vous,  d'avoir un frère ! à qui on dit tout... 

à voir sur http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2015-inauguration.php

 

gaymanpornblog: “Follow me for more: http://www.gaymanpornblog.tumblr.com ”

Je regardais mon frère avec un plaisir immense . Je ne savais pas qu'il était possible d'être profondément amoureux de mon propre frère sans le priver de sa liberté d'être. Je pouvais sentir sa verge dure pressée contre mon trou serré, allant et venant dans mes intérieurs faits des mêmes chairs, du même ADN que les siennes.

I looked to my brother with overwhelming pleasure. I didn’t know it was possible to be deeply in love with my own brother . I could feel his cock pressed against my tight hole, thrusting in and out.

 

Moi c'est Philippe, 19 ans, chatain clair aux yeux bleux, athlétique, 1,82 m pour 75kg.

Cette histoire s'est passée il y a deux mois. Mon frère, Eliot, 25 ans, brun aux yeux vert, plus musclé quet moi et plus grand, renrait de Nouvelle-Zélande, après 3 ans d'études. Il m'avait manqué et entre temps, j'avais fait mon coming-out. Mais il n'étati pas au courant et comme seul mon entourage proche le savait, je leur avait fait savoir que je voulait lui dire moi même, à son retour.

Nos parents, ce soir là, nous avaient laissé seuls mon frère et moi et je décidais de tout lui dire. Je n'ai aucun secret pour lui et je n'ai eu aucun mal à lui en parler. Il a d'abord été surpris, puis finalement m'a dit :
"Alors comme ça je te laisse 3 ans et tu trouve le moyen de devenir PD ??"
"Je l'étais avant, fallait juste que ça sorte."
"Et t'as déjà eu quelqu'un ?"
"Non ... j'ose pas en parler dehors."
"Ah merde c'est vrai que ça doit pas être facile mais ya plein d'endroit pour les gays non ?"
"Oui mais ça m'attire pas."
"Donc t'es toujours puceau ?"
"Malheureusement ..."
"On peut changer ça tu sais ..."
J'étais surpris par cette phrase et par son intonation.
"Qu'est-ce que tu veux dire par là ?"
"Ben là-bas j'ai eu l'occaz' de tester des petits trucs avec des homos. Je peux te montrer si tu veux."
"Mais t'es mon frère !"
"Et alors. Moi ça me gênerais pas de te dépuceler !"
"Mais ... je ... c'est-à-dire que ..."
"Quoi t'as peur ? Je te plais pas ? T'es coincé ?"
"Non c'est juste qu'avec toi ça fait bizarre."
"Tu veux essayer ?"
Sur ces mots, il a posé sa main sur ma cuisse et m'a dit :
"Les parents ne reviennent pas avant demain et j'ai des capotes."
Je ne savais pas si c'était une bonne mais j'étais curieux de le faire, la fameuse première fois. Et à vrai dire, mon frère me plaît et le voir nu me ferait plaisir.

Je lui ai fait part de ce sentiment. Il m'a alors demandé de me mettre sur ses genoux puis m'a posé quelques questions sur ce que je voulais faire avec lui, si j'étais plutôt actif ou passif, si je voulais être dominé ou pas, etc.
Puis il m'a demandé de m'approcher de lui et lui s'est approché de moi. Il a alors posé ses lèvres sur les miennes. Des lèvres douces et chaudes qui se sont posées doucement sur les miennes. Un premier baiser. Jamais un autre homme ne m'avait embrassé. En moi c'était le feu d'artifice. Je passais par toutes les  émotions. J'avais très chaud et je commençais déjà à bander un peu. Il m'a demandé si j'aimais ça et je lui ai répondu que j'en voulais encore. Il m'a alors embrassé à nouveau. avec plus d'insistance cette fois. Passé les interrogations, je lui ai rendu son baiser et ai pris sa tête dans mes mains pour que sa bouche ne quitte plus la mienne.
Me voyant satisfait par ces débuts, il a alors pressé mes lèvres avec sa langue pour me pénétrer et a commencé à me rouler une bonne grosse pelle. Bien que non-expérimenté, je sentais l'habitude et l'expérience en lui.

Nous commençions à nous caresser l'un l'autre. Je me foutais  complétement que l'homme qui me prenait était mon frère. Nous nous embrassions sans plus nous arrêter. L'étreinte a duré de longues minutes après lesquelles il m'a demandé :
"Alors t'aimes ?"
"Oh que oui !"
"Tu vois, frère ou pas, c'est pareil."
"Tu me plais trop de toutes façons !"
"Wow merci. Tu veux qu'on aille plus loin ?"
"Oui"
"Ok laisse-toi aller."
Eliot m'a à nouveau embrassé, une main sur mon visage, l'autre sur mon dos, puis sa bouche a glissé dans mon cou. Machinalement, j'ai courbé ma tête vers l'arrière et ai laissé échapper un long gémissement de plaisir.
Ses mains se sont alors rapprochées de ma chemise et trois boutons se sont défaits. Il a commencé à m'embrasser le torse et les épaules. Sa langue parcourait chaque cm² de ma peau et rejoignait parfois ma bouche pour ne pas la laisser de reste.
Un à un, les boutons sautaient et laissaient entrevoir à Eliot un corps complétement redessiné depuis son départ, ce qui ne l'a pas laissé indifférent :
"Wow putain c'est que t'es devenu musclé toi. Ca m'excite."
"T'as l'air d'avoir changé. Je peux voir aussi ?"
"Pas tout de suite."
Il a alors commencé à embrasser chacun de mes abdos, tout en me travaillant les pecs et me pinçant les tétons. Il s'attardait sur chaque muscle, chaque creux, chaque bosse, chaque mm de peau qu'il pouvait toucher de sa bouche.
Doucement, il remontait, jusqu'à atteindre mes pecs. Il a recommencé son travail de prospection, inspectant avec sa langue tous les pores de ma peau, avant de s'attarder sur mes tétons, qui pointaient fort.  Il les a pincés, malaxés, caressés, sucés. Je frissonnais de plaisir et bandais déjà pas mal.
C'est alors qu'il a commencé à déboutonner sa chemise. Quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai découvert son torse magnifiquement musclé et parfaitement imberbe. Il avait fait pas mal de sport là-bas et ça se voyait. Il avait également un tatouage au niveau de l'épaule droite : une jolie fleur. Il a guidé mes mains sur son torse et m'a dit : "Fais-toi plaisir maintenant."
J'ai pris un plaisir fou à le caresser de toutes parts, du nombril jusqu'en haut du dos, tant et si bien que j'ai failli éjaculer. Il m'a alors pris contre lui et m'a serré dans ses bras, en m'embrassant dans le cou. Contre mon corps, je sentais maintenant tous ses muscles et j'en avais de longs frissons.

Je l'ai embrassé à nouveau. Un long baiser langoureux qui nous a permis de laisser retomber un peu la pression, car lui comme moi étions au bord de l'implosion.
Il me caressait l'épaule gauche et le visage avec une douceur incroyable. Il me tenait aussi la main et me la caressait. Je ne savais pas mon frère aussi doux ! Et je ne rêvais pas mieux pour une première fois. Il a alors pris la température :
"Alors ça va ?"
"Je me suis jamais senti aussi bien."
"Alors on continue ?"
"Je veux plus jamais qu'on s'arrête !"
"Haha ok c'est parti."

Il a alors commencé à defaire ma ceinture, avant de me l'enlever et de la jeter dans la chambre. Tout en m'embrassant, il a glissé ses mains dans mon pantalon et a commencé à me toucher le cul, à travers mon slip. Moi je ne me lassais plus de le caresser. Lui se faisait royalement plaisir et semblait ne pas avoir fait l'amour depuis des années. J'étais excité comme jamais et même si c'était mon frère et que j'avais des scrupules à me faire baiser par lui, j'adorais ça tant c'est un bon coup.

Puis il a quitté ma bouche, retiré ses mains de moi, et m'a regardé en souriant. Je ne comprenais pas et lui ai demandé :
"Quoi ? C'est fini ?"
"Non au contraire ! Mais j'ai besoin de ta permission pour aller plus loin."
"Comment ça ?"
"Je veux qu'on arrête les préliminaires et qu'on passe aux choses sérieuses."
"D'accord vas-y !"
"Ok lève-toi."
Je m'exécute. Il retire la couette et s'approche de moi. Il m'embrasse goulûment, me prend par les fesses et me soulève. Je mets mes jambes autour de sa taille. Il me couche sur le lit et vient sur moi. Je ne le lâche pas. Nous sommes ainsi comme attachés l'un à l'autre.

C'est après ces préliminaires que réellement j'ai perdu ma virginité." [Mais ça ...ni Philippe, ni Eliot ne nous l'ont raconté] Je passe la parole à Jeremy dans le même cas et la même position que Philippe  au moment où il raconte. 

 

LES FRANGINS QUI SE RENDENT SERVICE CE DOIT ETRE COURANT MAIS ILS NE LE RACONTENT GUERE

 

  ainsi Jeremy  ET Jonathan... http://www.cyrillo.biz/histoire/depucelage-frere.html toujours sur le précieux CYRILLO.COM

[...]"J’étais troublé à vrai dire, et ça se voyait comme les yeux au milieu du visage. Mon frère le ressentait sûrement, ce qui activa ma sensation de malaise et accéléra encore plus les battements de mon cœur. Je m’assis sur mon lit à côté du sien, frissonnant de désir, et je le regardais retirer ses vêtements un à un .
Jonathan, joueur, se déshabilla tout en sensualité. Son torse bien foutu, à peine voilé par une toison brune, m’apparut dans toute sa virilité. Puis, il retira son short, laissant apparaître un boxer qui moulait un sexe en repos. Il était mou mais déjà de bonne taille et ses lourdes couilles formaient un bon paquet. Je commençais doucement à bander dans mon short, mais il était tellement large qu’il ne dévoilait rien de ma soudaine raideur. Ce ne fut pas l’avis de mon frère qui me mit la main au panier. Il agrippa mon sexe à travers mes vêtements et fit mine de me branler. Il n’eut aucun mal à constater mon érection.
- Tu vois, frérot, je te fais bander… T’es attiré par le corps des mecs, hein ? Allez, avoue-le et je te promets une petite gâterie… J’étais anéanti que mon frère se permette ainsi de me toucher, en affirmant des choses aussi crues et vraies par-dessus le marché… -Non, non, répondis-je, simplement envie d’aller pisser.
- Viens frérot et touche, tu en as tellement envie.
Jonathan approcha ma main de son boxer et l’appliqua contre son sexe encore protégé.

- Oublie que je suis ton frère… Imagine que tu caresses un beau mec tout simplement… Ca te fait quoi ?

Je sentis une queue toute douce, qui commençait à frémir. Lui aussi était en train de bander. Il retira alors son boxer en me fixant droit dans les yeux, et je vis sa queue se redresser presque à l’horizontale. Qu’est-ce qu’il était bien monté mon frère… Sa bite poilue était épaisse, tout autant que ses deux grosses couilles velues qui pendaient librement. Je ne pus m’empêcher de comparer mes parties intimes aux siennes.  Rien à voir avec ma bite moins virile, plus courte et plus effilée que la sienne. Quant à mes couilles imberbes, elles ressemblent plus à des noyaux d’olive qu’à ses deux pruneaux charnus super bien dessinés. Ils doivent en donner du jus ! Jonathan s’amusa de me voir le mater. Il me sourit, m’effleura avec sa bite et retira de façon énergique mon short en même temps que mon slip. J’étais désormais à poil devant lui, la queue en erection, ne sachant que faire et que dire...
- Allez Jérémy, goûte-moi ça et dis-moi ce que tu en penses, m’ordonna-t-il en me forçant à m’accroupir devant sa bite. Je ne me fis pas prier, bien que jamais auparavant j’avais fait ça, sucer un mec, mon frère, en plus…
- Comment ? Comment on fait… Jonathan se moqua.
- Décalotte mon gland, fais-le coulisser avec tes doigts, il adore ça mon gland…Voilà, c’est bien… Ouvre ta bouche maintenant et fais rentrer doucement, progressivement ma queue dans ta gorge. Je pris la bite de mon frère à pleines mains et la portai à mes lèvres. Je succombais de désir. Je fis des va et vient avec la hampe de son sexe, et il commença à gémir de plaisir. Sa bite avait un goût fade et j’eus plusieurs fois la nausée, tant elle était volumineuse à s’activer dans ma petite gueule étroite. Mais, ça ne me gêna pas plus que cela.

- Tu me laisses caresser tes couilles ? lui demandais-je alors sans pudeur, ça fait si longtemps que j’en ai envie....
- Elles te plaisent tant, s’amusa –t-il ?
Je passais ma main sur ses grosses couilles soyeuses, je les caressais délicatement, dessous, dessus, je suivais avec mes doigts, leur formes pulpeuses et charnues. Elles m’affolaient de tant d’harmonie.  
- Assez, maintenant, ordonna-t-il. On va baiser comme deux pédés. Tu veux toujours savoir comment on fait, non ? Il m’allongea alors sur son lit. Je le laissais faire. Couché sur le dos, j’écartais instinctivement les cuisses alors qu’il s’approchait de moi, les genoux en avant, la queue plaquée sur son nombril. Il allongea son corps viril sur le mien et commença à se branler sur moi. On se frotta ainsi de longs moments dans des râles bruyants en rien simulés.
- A toi maintenant de t’allonger sur moi, me demanda-t-il, et frotte bien ta queue contre la mienne.

Je saisis nos deux bites dans ma main et les serrai l’une contre l’autre cela me fit comprendre qu’on ne jouait pas dans la même cour… Par rapport à la sienne, j’avais l’impression d’avoir une bite de gamin avant sa puberté… Je m’allongeais sur son ventre en plaçant ma queue raide sur la sienne gorgée de sang et on s’est encore frottés ainsi de longues minutes. Je sentais mon jus prêt à gicler à tout moment. Je criais mon plaisir à chaque coup de rein sur son bas ventre.

- C’est trop bon, Jonathan, je vais jouir… Attends, j’en peux plus !
- Non, jute pas encore, j’ai pas fini, frérot !

Jonathan se redressa un moment et se pencha sur mon sexe. Il  l’enfourna dans sa bouche et l’enroba de nombreux coups de langues doux et humides. C’est pas possible que mon frère hétéro puisse donner autant de plaisir à un mec… J’étais ivre de bonheur, je n'avais jamais ressenti une telle volupté…
- Retourne-toi maintenant, je vais te sodomiser. Comme ça, t’auras la totale…N’aie pas peur et détends-toi… J’étais effrayé. Comment une grosse bite comme la sienne pourrait rentrer dans mes entrailles sans que je hurle de douleur ?
- Il faut mettre un préservatif, non ? lui répondis-je, espérant ainsi le faire renoncer.
Il ricana, son désir était trop fort.
- Tu veux pas non plus que je te nettoie le cul, des fois ? On n’a pas besoin de capote. De toutes façons, tu es mon premier mec, et j’ai trop envie d’essayer. Aucune de mes copines me l’ont permis, alors… Tu vas passer à la casserole… Je vais t’enculer au sens propre du terme…
- Non Jonathan, pas ça, s’il te plaît !
Mais mon frère, ne m’écoutait plus. Il me mit accroupi sur le bord du lit, se serra contre mes reins, et commença à enfoncer sa grosse queue dans mon anus. Mais rien ne passait. J’étais toujours sur les genoux, la tête baissée sur le couvre-lit.  Il me cracha alors des giclées de salive dans ma raie et me passa un doigt mouillé bien profond dans le cul. Cette intrusion me fit hurler, même si je n’avais pas si mal que ça.
- Détends-toi,  je te dis, ou bien tu vas avoir mal !

Mon frère recommença plusieurs fois ses intrusions mouillées et finalement, son doigt coulissa plus facilement dans mon cul. J’en ressentais presque du plaisir.
-T’es prêt, frérot ? C’est ma bite qui va te défoncer maintenant. Sens-la comme elle est grosse et dure… Je fermai les yeux, en pensant à son engin qui allait bientôt me déflorer le derrière. J’allais me faire dépuceler par mon frère. Finalement, c’est pas plus mal… D’autant qu’il a le gland effilé, ça passera mieux, me dis-je confiant. Mais ses tentatives infructueuses me firent mal et, afin d’abréger mon calvaire, je décidais de l’aider. Je pris sa queue et l’aidais à me pénétrer.

Ses premiers coups de reins ne me produisirent aucun plaisir, mais lorsque tout son sexe était enfin dans moi, alors je me détendis, et je pris mon pied. L’idée même que c’est mon frère qui m'enfilait son gros sexe dans le cul renforça mon plaisir. Jonathan faisait de savants va et vient, en modulant le rythme de ses assauts en fonction de son plaisir. Il rentrait sa queue, puis la sortait à moitié, pour m’enculer au plus profond. Je tournais parfois la tête pour le regarder. Mais à chaque fois, m’agrippant par les cheveux, il rabattait énergiquement ma tête sur le lit. Ses couilles épaisses frappaient l’entrée de mon cul, à un rythme de plus en plus soutenu. J’étais balloté, secoué comme une petite chose sans défense, il me força à cabrer plus encore les reins et me claqua les fesses sans ménagement. La pénétration me sembla durer une éternité. Puis mon frère finit par hurler son bonheur en déchargeant tout son foutre dans mes entrailles.

Cet enculeur de Jonathan n’en pouvait plus, il posa son front mouillé de sueur sur mes cheveux et je sentis son souffle chaud haleter sur mes épaules. Il se retira lentement, progressivement de mon cul, la bite apaisée.
- Suis désolé frérot, je peux pas te faire jouir. Suis crevé, j’ai tout donné.
- C’est pas grave, je suis super heureux comme ça, lui rétorquais-je, alors que mon sexe, depuis longtemps recroquevillé sur lui-même, pendait sur mes couilles encore pleines. 
- Pas un mot aux parents, bien sûr !
- C’est sûr, grand, juré, craché ! Mais… Tu es aussi bon avec tes copines, qu’avec moi ?
Jonathan sourit.
- Tu sais, c’est plus facile de satisfaire un mec qu’une femme. Mais quelle jouissance dans les deux cas !
- Mais, je suis ton premier mec, non ?
- A part, quelques touche-pipi avec des copains au stade, oui, on peut dire ça… 

On parla ensemble longtemps, un bon quart d’heure, et comme on ne s’était jamais encore parlé auparavant. Nous n’avions plus de secrets l’un pour l’autre désormais, nous étant mutuellement offert l’essentiel, notre intimité. L'amour d'un frère, fût-il hétéro,dépasse forcément les clivages sexuels ¤ 

il fallait qu'on illustre, il fallait ! :

   trop beau, trop délicat, sublime !

 

Par JEREMY - PHILIPPE - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 26 septembre 2 26 /09 /Sep 00:29

comme il est fou de ne pas avoir prévu qu'après il lui faudrait prendre ce gros calibre dans son petit cul ! 

 

SUITE 1

tu es mon Dieu, mon idole ! 

 Sa mouille coule comme du miel dans ma gorge. Je sens sa main contre mon dos qui me masse

 SUITE 2

Service pour service...

Il est entré en moi très doucement, j’avais l’impression que son sexe ne finirait jamais. Puis j’ai senti ses boules. J’ai gémi. Lui aussi.

Par GLOPAGLOP - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 22 septembre 5 22 /09 /Sep 06:23

  humer, titiller le petit trou du méat pour  faire lever le soleil et cette très légère odeur d'urine et autre chose encore qui vient de lui. C'est impossible à décrire...

 

dicksucker88: “goantinoo3565: “ Are you a white male living in Raleigh, NC or surrounding areas and have a monster cock? Do you like to be deep throated? Send me a message and let’s meet. ” Fuck Yeah!!!!!….. ”

 un parfum...non ...mais oui un parfum,  le meilleur parfum du monde 

 

 

 

 

 

   

 

   

 

horniestinalltheland: “ Sean & Forrest: Bareback [See the video here] ”

  je plains ceux qui n'ont jamais connu ce parfum 

 

 

 

 

Par GRINDY - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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