quelle chance vous avez, vous, d'avoir un frère ! à qui on dit tout...
à voir sur http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2015-inauguration.php
Je regardais mon frère avec un plaisir immense . Je ne savais pas qu'il était possible d'être profondément amoureux
de mon propre frère sans le priver de sa liberté d'être. Je pouvais sentir sa verge dure pressée contre mon trou serré, allant et venant dans mes intérieurs faits des mêmes chairs, du
même ADN que les siennes.
I looked to my brother with overwhelming pleasure. I didn’t know it was possible to be deeply in love with my own brother . I could feel his cock pressed against my tight hole, thrusting in and
out.
Moi c'est Philippe, 19 ans, chatain clair aux yeux bleux, athlétique, 1,82 m pour 75kg.
Cette histoire s'est passée il y a deux mois. Mon frère, Eliot, 25 ans, brun aux yeux vert, plus musclé quet moi et plus grand, renrait de
Nouvelle-Zélande, après 3 ans d'études. Il m'avait manqué et entre temps, j'avais fait mon coming-out. Mais il n'étati pas au courant et comme seul mon entourage proche le savait, je leur avait
fait savoir que je voulait lui dire moi même, à son retour.
Nos parents, ce soir là, nous avaient laissé seuls mon frère et moi et je décidais de tout lui dire. Je n'ai aucun secret pour lui et je n'ai eu
aucun mal à lui en parler. Il a d'abord été surpris, puis finalement m'a dit :
"Alors comme ça je te laisse 3 ans et tu trouve le moyen de devenir PD ??"
"Je l'étais avant, fallait juste que ça sorte."
"Et t'as déjà eu quelqu'un ?"
"Non ... j'ose pas en parler dehors."
"Ah merde c'est vrai que ça doit pas être facile mais ya plein d'endroit pour les gays non ?"
"Oui mais ça m'attire pas."
"Donc t'es toujours puceau ?"
"Malheureusement ..."
"On peut changer ça tu sais ..."
J'étais surpris par cette phrase et par son intonation.
"Qu'est-ce que tu veux dire par là ?"
"Ben là-bas j'ai eu l'occaz' de tester des petits trucs avec des homos. Je peux te montrer si tu veux."
"Mais t'es mon frère !"
"Et alors. Moi ça me gênerais pas de te dépuceler !"
"Mais ... je ... c'est-à-dire que ..."
"Quoi t'as peur ? Je te plais pas ? T'es coincé ?"
"Non c'est juste qu'avec toi ça fait bizarre."
"Tu veux essayer ?"
Sur ces mots, il a posé sa main sur ma cuisse et m'a dit :
"Les parents ne reviennent pas avant demain et j'ai des capotes."
Je ne savais pas si c'était une bonne mais j'étais curieux de le faire, la fameuse première fois. Et à vrai dire, mon frère me plaît et le voir nu
me ferait plaisir.
Je lui ai fait part de ce sentiment. Il m'a alors demandé de me mettre sur ses genoux puis m'a posé quelques questions sur ce que je voulais faire
avec lui, si j'étais plutôt actif ou passif, si je voulais être dominé ou pas, etc.
Puis il m'a demandé de m'approcher de lui et lui s'est approché de moi. Il a alors posé ses lèvres sur les miennes. Des lèvres douces et chaudes qui
se sont posées doucement sur les miennes. Un premier baiser. Jamais un autre homme ne m'avait embrassé. En moi c'était le feu d'artifice. Je passais par toutes les émotions. J'avais
très chaud et je commençais déjà à bander un peu. Il m'a demandé si j'aimais ça et je lui ai répondu que j'en voulais encore. Il m'a alors embrassé à nouveau. avec plus d'insistance cette fois.
Passé les interrogations, je lui ai rendu son baiser et ai pris sa tête dans mes mains pour que sa bouche ne quitte plus la mienne.
Me voyant satisfait par ces débuts, il a alors pressé mes lèvres avec sa langue pour me pénétrer et a commencé à me rouler une bonne grosse pelle.
Bien que non-expérimenté, je sentais l'habitude et l'expérience en lui.
Nous commençions à nous caresser l'un l'autre. Je me foutais complétement que l'homme qui me prenait était mon frère. Nous nous embrassions
sans plus nous arrêter. L'étreinte a duré de longues minutes après lesquelles il m'a demandé :
"Alors t'aimes ?"
"Oh que oui !"
"Tu vois, frère ou pas, c'est pareil."
"Tu me plais trop de toutes façons !"
"Wow merci. Tu veux qu'on aille plus loin ?"
"Oui"
"Ok laisse-toi aller."
Eliot m'a à nouveau embrassé, une main sur mon visage, l'autre sur mon dos, puis sa bouche a glissé dans mon cou. Machinalement, j'ai courbé ma tête
vers l'arrière et ai laissé échapper un long gémissement de plaisir.
Ses mains se sont alors rapprochées de ma chemise et trois boutons se sont défaits. Il a commencé à m'embrasser le torse et les épaules. Sa langue
parcourait chaque cm² de ma peau et rejoignait parfois ma bouche pour ne pas la laisser de reste.
Un à un, les boutons sautaient et laissaient entrevoir à Eliot un corps complétement redessiné depuis son départ, ce qui ne l'a pas laissé
indifférent :
"Wow putain c'est que t'es devenu musclé toi. Ca m'excite."
"T'as l'air d'avoir changé. Je peux voir aussi ?"
"Pas tout de suite."
Il a alors commencé à embrasser chacun de mes abdos, tout en me travaillant les pecs et me pinçant les tétons. Il s'attardait sur chaque muscle,
chaque creux, chaque bosse, chaque mm de peau qu'il pouvait toucher de sa bouche.
Doucement, il remontait, jusqu'à atteindre mes pecs. Il a recommencé son travail de prospection, inspectant avec sa langue tous les pores de ma
peau, avant de s'attarder sur mes tétons, qui pointaient fort. Il les a pincés, malaxés, caressés, sucés. Je frissonnais de plaisir et bandais déjà pas mal.
C'est alors qu'il a commencé à déboutonner sa chemise. Quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai découvert son torse magnifiquement musclé et
parfaitement imberbe. Il avait fait pas mal de sport là-bas et ça se voyait. Il avait également un tatouage au niveau de l'épaule droite : une jolie fleur. Il a guidé mes mains sur son torse et
m'a dit : "Fais-toi plaisir maintenant."
J'ai pris un plaisir fou à le caresser de toutes parts, du nombril jusqu'en haut du dos, tant et si bien que j'ai failli éjaculer. Il m'a alors pris
contre lui et m'a serré dans ses bras, en m'embrassant dans le cou. Contre mon corps, je sentais maintenant tous ses muscles et j'en avais de longs frissons.
Je l'ai embrassé à nouveau. Un long baiser langoureux qui nous a permis de laisser retomber un peu la pression, car lui comme moi étions au bord de
l'implosion.
Il me caressait l'épaule gauche et le visage avec une douceur incroyable. Il me tenait aussi la main et me la caressait. Je ne savais pas mon frère
aussi doux ! Et je ne rêvais pas mieux pour une première fois. Il a alors pris la température :
"Alors ça va ?"
"Je me suis jamais senti aussi bien."
"Alors on continue ?"
"Je veux plus jamais qu'on s'arrête !"
"Haha ok c'est parti."
Il a alors commencé à defaire ma ceinture, avant de me l'enlever et de la jeter dans la chambre. Tout en m'embrassant, il a glissé ses mains dans
mon pantalon et a commencé à me toucher le cul, à travers mon slip. Moi je ne me lassais plus de le caresser. Lui se faisait royalement plaisir et semblait ne pas avoir fait l'amour
depuis des années. J'étais excité comme jamais et même si c'était mon frère et que j'avais des scrupules à me faire baiser par lui, j'adorais ça tant c'est un bon coup.
Puis il a quitté ma bouche, retiré ses mains de moi, et m'a regardé en souriant. Je ne comprenais pas et lui ai demandé :
"Quoi ? C'est fini ?"
"Non au contraire ! Mais j'ai besoin de ta permission pour aller plus loin."
"Comment ça ?"
"Je veux qu'on arrête les préliminaires et qu'on passe aux choses sérieuses."
"D'accord vas-y !"
"Ok lève-toi."
Je m'exécute. Il retire la couette et s'approche de moi. Il m'embrasse goulûment, me prend par les fesses et me soulève. Je mets mes jambes autour
de sa taille. Il me couche sur le lit et vient sur moi. Je ne le lâche pas. Nous sommes ainsi comme attachés l'un à l'autre.
C'est après ces préliminaires que réellement j'ai perdu ma virginité." [Mais ça ...ni Philippe, ni Eliot ne nous l'ont raconté] Je passe la
parole à Jeremy dans le même cas et la même position que Philippe au moment où il raconte.
LES FRANGINS QUI SE RENDENT SERVICE CE DOIT ETRE COURANT MAIS ILS NE LE RACONTENT GUERE
ainsi Jeremy ET Jonathan... http://www.cyrillo.biz/histoire/depucelage-frere.html toujours sur le
précieux CYRILLO.COM
[...]"J’étais troublé à vrai dire, et ça se voyait comme les yeux au milieu du visage. Mon frère le ressentait sûrement, ce qui activa ma sensation
de malaise et accéléra encore plus les battements de mon cœur. Je m’assis sur mon lit à côté du sien, frissonnant de désir, et je le regardais retirer ses vêtements un à un .
Jonathan, joueur, se déshabilla tout en sensualité. Son torse bien foutu, à peine voilé par une toison brune, m’apparut dans toute sa virilité.
Puis, il retira son short, laissant apparaître un boxer qui moulait un sexe en repos. Il était mou mais déjà de bonne taille et ses lourdes couilles formaient un bon paquet. Je commençais
doucement à bander dans mon short, mais il était tellement large qu’il ne dévoilait rien de ma soudaine raideur. Ce ne fut pas l’avis de mon frère qui me mit la main au panier. Il agrippa mon
sexe à travers mes vêtements et fit mine de me branler. Il n’eut aucun mal à constater mon érection.
- Tu vois, frérot, je te fais bander… T’es attiré par le corps des mecs, hein ? Allez, avoue-le et je te promets une petite gâterie… J’étais anéanti
que mon frère se permette ainsi de me toucher, en affirmant des choses aussi crues et vraies par-dessus le marché… -Non, non, répondis-je, simplement envie d’aller pisser.
- Viens frérot et touche, tu en as tellement envie.
Jonathan approcha ma main de son boxer et l’appliqua contre son sexe encore protégé.
- Oublie que je suis ton frère… Imagine que tu caresses un beau mec tout simplement… Ca te fait quoi ?
Je sentis une queue toute douce, qui commençait à frémir. Lui aussi était en train de bander. Il retira alors son boxer en me fixant droit dans les
yeux, et je vis sa queue se redresser presque à l’horizontale. Qu’est-ce qu’il était bien monté mon frère… Sa bite poilue était épaisse, tout autant que ses deux grosses couilles velues qui
pendaient librement. Je ne pus m’empêcher de comparer mes parties intimes aux siennes. Rien à voir avec ma bite moins virile, plus courte et plus effilée que la sienne. Quant à mes couilles
imberbes, elles ressemblent plus à des noyaux d’olive qu’à ses deux pruneaux charnus super bien dessinés. Ils doivent en donner du jus ! Jonathan s’amusa de me voir le mater. Il me sourit,
m’effleura avec sa bite et retira de façon énergique mon short en même temps que mon slip. J’étais désormais à poil devant lui, la queue en erection, ne sachant que faire et que
dire...
- Allez Jérémy, goûte-moi ça et dis-moi ce que tu en penses, m’ordonna-t-il en me forçant à m’accroupir devant sa bite. Je ne me fis pas prier, bien
que jamais auparavant j’avais fait ça, sucer un mec, mon frère, en plus…
- Comment ? Comment on fait… Jonathan se moqua.
- Décalotte mon gland, fais-le coulisser avec tes doigts, il adore ça mon gland…Voilà, c’est bien… Ouvre ta bouche maintenant et fais rentrer
doucement, progressivement ma queue dans ta gorge. Je pris la bite de mon frère à pleines mains et la portai à mes lèvres. Je succombais de désir. Je fis des va et vient avec la hampe de son
sexe, et il commença à gémir de plaisir. Sa bite avait un goût fade et j’eus plusieurs fois la nausée, tant elle était volumineuse à s’activer dans ma petite gueule étroite. Mais, ça ne me gêna
pas plus que cela.
- Tu me laisses caresser tes couilles ? lui demandais-je alors sans pudeur, ça fait si longtemps que j’en ai envie....
- Elles te plaisent tant, s’amusa –t-il ?
Je passais ma main sur ses grosses couilles soyeuses, je les caressais délicatement, dessous, dessus, je suivais avec mes doigts, leur formes
pulpeuses et charnues. Elles m’affolaient de tant d’harmonie.
- Assez, maintenant, ordonna-t-il. On va baiser comme deux pédés. Tu veux toujours savoir comment on fait, non ? Il m’allongea alors sur son lit. Je
le laissais faire. Couché sur le dos, j’écartais instinctivement les cuisses alors qu’il s’approchait de moi, les genoux en avant, la queue plaquée sur son nombril. Il allongea son corps viril
sur le mien et commença à se branler sur moi. On se frotta ainsi de longs moments dans des râles bruyants en rien simulés.
- A toi maintenant de t’allonger sur moi, me demanda-t-il, et frotte bien ta queue contre la mienne.
Je saisis nos deux bites dans ma main et les serrai l’une contre l’autre cela me fit comprendre qu’on ne jouait pas dans la même cour… Par
rapport à la sienne, j’avais l’impression d’avoir une bite de gamin avant sa puberté… Je m’allongeais sur son ventre en plaçant ma queue raide sur la sienne gorgée de sang et on s’est encore
frottés ainsi de longues minutes. Je sentais mon jus prêt à gicler à tout moment. Je criais mon plaisir à chaque coup de rein sur son bas ventre.
- C’est trop bon, Jonathan, je vais jouir… Attends, j’en peux plus !
- Non, jute pas encore, j’ai pas fini, frérot !
Jonathan se redressa un moment et se pencha sur mon sexe. Il l’enfourna dans sa bouche et l’enroba de nombreux coups de langues doux et
humides. C’est pas possible que mon frère hétéro puisse donner autant de plaisir à un mec… J’étais ivre de bonheur, je n'avais jamais ressenti une telle volupté…
- Retourne-toi maintenant, je vais te sodomiser. Comme ça, t’auras la totale…N’aie pas peur et détends-toi… J’étais effrayé. Comment une grosse bite
comme la sienne pourrait rentrer dans mes entrailles sans que je hurle de douleur ?
- Il faut mettre un préservatif, non ? lui répondis-je, espérant ainsi le faire renoncer.
Il ricana, son désir était trop fort.
- Tu veux pas non plus que je te nettoie le cul, des fois ? On n’a pas besoin de capote. De toutes façons, tu es mon premier mec, et j’ai trop envie
d’essayer. Aucune de mes copines me l’ont permis, alors… Tu vas passer à la casserole… Je vais t’enculer au sens propre du terme…
- Non Jonathan, pas ça, s’il te plaît !
Mais mon frère, ne m’écoutait plus. Il me mit accroupi sur le bord du lit, se serra contre mes reins, et commença à enfoncer sa grosse queue dans
mon anus. Mais rien ne passait. J’étais toujours sur les genoux, la tête baissée sur le couvre-lit. Il me cracha alors des giclées de salive dans ma raie et me passa un doigt mouillé bien
profond dans le cul. Cette intrusion me fit hurler, même si je n’avais pas si mal que ça.
- Détends-toi, je te dis, ou bien tu vas avoir mal !
Mon frère recommença plusieurs fois ses intrusions mouillées et finalement, son doigt coulissa plus facilement dans mon cul. J’en ressentais presque
du plaisir.
-T’es prêt, frérot ? C’est ma bite qui va te défoncer maintenant. Sens-la comme elle est grosse et dure… Je fermai les yeux, en pensant à son engin
qui allait bientôt me déflorer le derrière. J’allais me faire dépuceler par mon frère. Finalement, c’est pas plus mal… D’autant qu’il a le gland effilé, ça passera mieux, me dis-je confiant. Mais
ses tentatives infructueuses me firent mal et, afin d’abréger mon calvaire, je décidais de l’aider. Je pris sa queue et l’aidais à me pénétrer.
Ses premiers coups de reins ne me produisirent aucun plaisir, mais lorsque tout son sexe était enfin dans moi, alors je me détendis, et je pris mon
pied. L’idée même que c’est mon frère qui m'enfilait son gros sexe dans le cul renforça mon plaisir. Jonathan faisait de savants va et vient, en modulant le rythme de ses assauts en fonction de
son plaisir. Il rentrait sa queue, puis la sortait à moitié, pour m’enculer au plus profond. Je tournais parfois la tête pour le regarder. Mais à chaque fois, m’agrippant par les cheveux, il
rabattait énergiquement ma tête sur le lit. Ses couilles épaisses frappaient l’entrée de mon cul, à un rythme de plus en plus soutenu. J’étais balloté, secoué comme une petite chose sans défense,
il me força à cabrer plus encore les reins et me claqua les fesses sans ménagement. La pénétration me sembla durer une éternité. Puis mon frère finit par hurler son bonheur en déchargeant tout
son foutre dans mes entrailles.
Cet enculeur de Jonathan n’en pouvait plus, il posa son front mouillé de sueur sur mes cheveux et je sentis son souffle chaud haleter sur mes
épaules. Il se retira lentement, progressivement de mon cul, la bite apaisée.
- Suis désolé frérot, je peux pas te faire jouir. Suis crevé, j’ai tout donné.
- C’est pas grave, je suis super heureux comme ça, lui rétorquais-je, alors que mon sexe, depuis longtemps recroquevillé sur lui-même, pendait sur
mes couilles encore pleines.
- Pas un mot aux parents, bien sûr !
- C’est sûr, grand, juré, craché ! Mais… Tu es aussi bon avec tes copines, qu’avec moi ?
Jonathan sourit.
- Tu sais, c’est plus facile de satisfaire un mec qu’une femme. Mais quelle jouissance dans les deux cas !
- Mais, je suis ton premier mec, non ?
- A part, quelques touche-pipi avec des copains au stade, oui, on peut dire ça…
On parla ensemble longtemps, un bon quart d’heure, et comme on ne s’était jamais encore parlé auparavant. Nous n’avions plus de secrets l’un pour
l’autre désormais, nous étant mutuellement offert l’essentiel, notre intimité. L'amour d'un frère, fût-il hétéro,dépasse forcément les clivages sexuels ¤
il fallait qu'on illustre, il fallait ! :
trop beau, trop délicat, sublime !
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