VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES

Samedi 17 août 6 17 /08 /Août 05:37
SEXO VIVRE SA SEXUALITE (87)  handi, sachonsnous aimer 
 
Dans sa tête ; " Un instant il se traita d'idiot : mais quoi, ce garçon splendide veut faire l'amour avec toi et tu lui dis non ? Quand donc dans ta vie auras-tu une telle occasion ? Et même s'il doit se lasser de toi, pourquoi ne pas savourer l'unique fois ou les quelques fois que ça pourra durer ?"
 
 "Puis il pensa à la belle nudité d'Alain, à son corps blanchâtre et ramolli et se dit qu'il aurait trop honte d'être vu nu par Alain, surtout à côté d'Alain nu. Non, il était vraiment impensable qu'il puisse jamais faire l'amour avec ce splendide garçon ! Il y a des choses qui n'arrivent que dans les contes de fée, et puis il n'y avait pas de contes d'un Cendrillon ou du beau au bois dormant". 
Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 11 août 7 11 /08 /Août 06:37

VIVRE SA SEXUALITE (86)

Sujet délicat, je marche sur la pointe des pieds...ou si vous voulez sur des oeufs !

Zappez si ça vous choque !

Modèle : entre gens du même âge, bon...mais Siiiii  !!!!!!!!!!!!!!! surtout en couple de longue date ...

sinon la "barrière" entre générations ça existe, mais pfffffff ! tâchons de balayer !

vraiment glamour avec un amant en quête de sécurité et d'affection

une attente...

 

à moins d'être choisi (et encore ?) ne se fier qu'aux élans du coeur.

Se faire aider pour bricoler est une bonne idée.

  

 

Vivre ces plaisirs comme sic'était les derniers...et de son côté : "en attendant le véritable amour"

La vraie responsabilité en apprentissage c'est d'être progressif et de ne confier que des tâches motivantes

Ne pas laisser de place au doute. Sinon rien. Voilà un début qui n'augure rfien de bon...mais peut-être ? 

 

 

Rien ne vaut l'amitié qui préserve les dignités.

 

Quelque chose de gênant dans "-venez jouer chez-moi les jeunes" si on ne les laisse pas entre eux. Par contre avoir toujours des jouets, quel que soit l'invité, c'est judicieux.

 

Avec les aînés, les jeunes sont le plus souvent en recherche

par rapport à eux-mêmes :

 

Papy est ravi comme avec son kiné !

Pris comme un service à la personne, voire rémunéré, pkoi pas ? il y a des gars que ça motive ...

Attention : non remboursé par la sécu ou les mutuelles....

Ouais, mais je répète : pkoi pas ?

Je sais que je n'ai pas épuisé le sujet.Et je pense que j'y reviendrai avec votre permission

claudemodou@gmail.com

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 9 août 5 09 /08 /Août 15:06

SEXO VIVRE SA SEXUALITE (85) c'est aussi en parler ! 

claudio à andré                                                            15:20 09/ 08 / 2013

OBJET : OH LA LA LA C'EST MAGNIFIQUE ! 

salut adré   

comment tu feras, toi pour prouver tes 32 ,ans ? 
c'est toi qui décides !
question de confiance.
Tu peux, comme moi te laisser aller 
tu n'en seras que mieux ! 
claudio
PS :
Adults only please no one under 18 ! 
voilà qui irait bien à tes 32 ans !!!! Ne le laisse pas commencer car sinon tu ne peux plus arrêter
ou plutôt tu ne veux plus qu'il s'arrête. Fini, plus de volonté : tu es à lui ! 
A lui mais pour ton bien ! 
Tu t'es déjà fait mettre ?  Ci-dessus c'est magnifique ncp ? 
__________________________________________________________

Le 9 août 2013 11:25, Andre a écrit :
y a certaines phtos et vidéos très excitantes .... j'aime bien cet échange mais j'hésite à te raconter ou t'envoyer des pics . j'ai eu à faire à des petits malins qui se faisaient passer pour des adultes majeurs et vaccinés et me suis fais avoir . pourtant j'aimerai converser avec toi plus librement ; trouve un truc qui me certifie que tu es  majeur ! ok ?
_____________________________________________________________
On nous regarde !

 

petits malins qui regardent

 

 

Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 8 août 4 08 /08 /Août 15:04

VIVRE SA SEXUALITE (84)

ce sera à andré mon contact de se révéler plus clairement s'il le veut
j'ai voulu conserver la mémoire de cette corres '

 Objet : Tu vas aimer mon style... Re: contact

De : claudio
A : andré
 salut 
mon ordi a planté alors que ma réponse était prête à partir ...
me voilà tout de même ! 
Fake ? ça désigne un faux. Sur le net on emploie souvent le procédé et 
le mot. 
Moi je m'en sers très souvent pour conserver mon anonymat tout en évoquant
- quelque chose que j'aime, admire ou , désire subir ou faire subir 
fake 
fake
- A 19 ans tu découvres l'amour gay.OK et tu as cessé pour y revenir maintenant ? 
Pour ma part, je ne me souviens d'aucun instant de ma vie où le sexe n'ait pas joué la plus grande part. Sans pouvoir l'affirmer ça pourrait partir du stade de bébé.
A dix ans j'avais déjà un passé sexuel conséquent mais entre mômes. Quand je regagnais mon lit je sentais mes fesses glisser agréablement l'une sur l'autre en raison du sperme qu'il m'avait mis. Loin de ma famille, je l'aimais comme...je ne sais pas dire : 10 ans !!! Je l'embrassais, je le tenais par la main et c'était imprudent, c'était compter sans les autres.  Très fier de sa précocité qui étonnait  les femmes de la pension. Elles se poussaient du coude quand elles nous passaient à la douche collective. 
Et puis, je n'étais déjà qu'une étape pour lui. Très direct  (quel petit homme déjà) il visait la fille du dirlo. Sans peur d'être mal perçu il  lui fit passer du sperme dans un papier hygiénique. L'étudiante n'en fut pas effarouchée ! elle parla avec Pierre qui lui parla de nous...le naïf !  
En conséquence on nous sépara. Chagrin. Lui le vécut mieux que moi, ça c'est sûr. Moi c'était 
à 10 ans la douleur de perdre l'amant adoré. La honte que tous les autres sachent notre secret amour. Ce supplice enfantin dura encore 8 mois. 
Dans ma vie j'ai fait effort pour triompher de ce traumatisme. J'ai joué les hétéros, et aussi (pour mes partenaires et moi) les bisex. A 16 ans j'ai connu un autre Pierre et des jeux plus "sérieux" Il me mettait une verge conséquente  et du sperme jusqu'aux yeux. 
Mais le plus important c'était cette émotion, cet amour qui me coupait les jambes quand je le voyais. J'étais à lui. Il me donnait ce qu'il avait . Je crois que là, j'étais heureux.
J'aurais bien voulu pérenniser ces amours car j'ai toujours été sincère . Pour la plupart tous mes nombreux partenaires ont eu des projets de "régularisation de leur vie". J'étais une étape ! Ah, si c'était aujourd'hui !  la vie est plus belle pour les homos...bien que...
Là, vois-tu je reviens sur ton gentil petit mail : à 20 ans j'ai combiné un WEde camping sauvage avec LE garçon dont j'étais amoureux. A mon avis pour la vie. Le premier soir on a uni nos duvets. Dans la nuit je me suis rapproché. Le lendemain il a défait les duvets et m'a dit : "ça va pas, tu me prends pour une dame" 
Je n'ai jamais remplacé mon C...et j'ai erré dans des "amours plurielles" et alors ? 
Alors tu me dis : "Tu as l'air d'avoir beaucoup d'expérience" ...
Je ne sais pas, mais heureusement,jusqu'à la mort je n'en aurai jamais assez :  je crois que je suis fait pour aimer. Dans tous les sens.   
 Des bises 
et des fakes très tendres pour toi mon Choupinou de 32 ans ! 
lilgagaa: This is what I want. I want a a relationship like this. I want someone who isn’t afraid to hold hands in public. Someone who makes me laugh and plays with me. Someone who loves me for who I am. I want a family. I want true love
fake : mon chum et moi si...
fuckyeahgaycouples: We have just started dating, but I feel like I am already falling for him. This is us last weekend at the Zoo. I couldn’t be happier knowing that someone that I am crazy about is crazy about me too! I can’t wait to make countless memories. I am on the right (http://nevrshoutnick.tumblr.com)
Fake : lui et moi en camping sauvage (fake)
se laisser aller à ses sens et ses sentiments...(fake)
Eh quoi, on n'était ni malades (fous) ni vicieux... (fake), 

 


De : andré

A : claudio

 Bonjour
 Qu'est-ce que c'est qu'un fake ?
 Tu as l'air d'avoir beaucoup d'expérience . Pour ma part ma première expérience date à l'âge où j'avais 19 ans . À ce moment là j'avais un ami homo entreprenant et actif .  Et naïf aussi . On est parti 4 jours en week-end prolongé . Je ne savais pas à ce moment-là ce qui m'attendait . Lui avait de l'expérience est était plus âgé que moi . Le premier soir on na regarder un film de cul  hétéro . Moi j'étais timide et pendant le film lui il s est masturber en regardant. Le deuxième soir il a mis un film mais bi . Il y avait des scènes où tout se mélangait . Sodomie entre mecs double pénétration pour la nana enfin bref plein plein de choses et ce pote en question c'est mis debout devant moi et c'est masturber et m'a demandé de le suser . J'ai accepté je l'ai fait jusqu'à ce qu'il me mette tout sur le visage.... Et à partir de là le reste du Week end j'ai été ça chose pendant 2 jours....
De : claudio
A : andré
Le mer. 7 août 2013 22:09 HAEC, claudio a écrit :

>Salut! merci de ta réponse ! Tu me demandes "tu aimes quoi ?"
>j'aime qu'on se "déboutonne"entre mecs
>Tout mettre sur la table
>Par exemple tu as fait sentir que tu es tenté
>mais tu ne dis pas si tu as kiffé que le gars du
>sauna te jute sur les fesses. Peut-être oui,
>peut-être non ?  On n'oublie rien de rien,  mais
>pour mon compte je n'ai pas connu ce genre de
>situation : il men a toujours fallu davantage.
>Tu vas me trouver sévère mais est-il possible que tu aies
>attendu d'avoir plus de 30 ans pour ta première expérience
>sexuelle. La situation que tu me décris est située au beau
>milieu de ton existence, pas d'avant, pas d'après.
>Tu sembles être ou aller vers gay passif.
>Ce que je suis devenu après être passé par "petit pédé",
>puis "hétéro" marié, père, et de plus en plus homo et de
>plus en plus passif avec les hommes.
>Chaque situation a eu ses avantages et ses plaisirs.
>Je n'ai AUCUNE retenue pour en parler.
>A toi d'en faire un max avec moi. Tu ne risques rien, ton
>anonymat est garanti.
>Ah, je te répète j'aime les récits et les pics. Par contre,
>en raison de l'anonymat, je joue sue le "fake". Les photos
>et les récits sont là pour l'émotion sans risque. Tu aimes ça, non ?
>claudio
De : adré

A : claudio

>>  Merci pour ta réponse est OK pour se tutoyer !!! Effectivement je suis
>> plus jeune mais est-ce important ?? Pour ma part ça fait déjà pas mal de
>> temps que j ai diverses propositions . Apparemment je plais aux actifs .
>> Peut-être nje te raconterai ma première expérience mais en tout cas la
>> deuxième était dans un sauna . La majorité était nu d'autres en simple slip
>> de bain comme moi par exemple . J'ai profiter du jacuzzi et du hammam .
>> Dans le hammam il fait très chaud et j'étais allongé sur le banc sur le
>> ventre et j'ai surpris quelques minutes après un homme debout à me regarder
>> et se  masturber. Il m'a demandé si j'étais ok pour rester comme ça et
>> baisser mon slip de bain au milieu des fesses . J'ai accepté et il fait
>> masturber jusqu'au bout en me matant . Voilà la petite histoire ... Et toi
De : claudio
A : andré

   Le mer. n 7n août 2013 18:29 , claudio a écrit :
>>
>> >Pas de souci. Je ne vois pas l'urgence d'utiliser le tél en effet.
>> >" tu dois être émotif !
>> >tant mieux pour toi car l'émotion c'est le meilleur de l'amour
>> >(pour mon goût )
>> >J'ai le double de ton âge, tu te rends compte !  tu es donc mon Choupinou,
>> >mon contact préféré.
>> >On n'est obligés de rien, mais tout est permis !
>> >Toi, si tu veux m'en dire un peu plus sur " j ai vu des trucs"...
>> >ça a dû accélérer ton pouls, non ? envie (s) ?
>> >Je n'ai rien de directif,  soyons bien d'accord !
>> >Si tu veux je t'envoie un récit arrangé pour mon blog dans lequel le désir
>> >monte...
>> >ça peut être pour prendre ou se faire prendre...
>> >des fois c'est une meuf pour deux hommes...
>> >Vos impressions, jeune homme!
>> >J'ai déjà une grande sympathie pour ta façon d'aborder les choses...
>> >je vais tomber amoureux ...;-D
>> >en grande amitié
>> >moi c'est claudio
>> >a++ 

 

 

 

De :   andré

A :   claudio

  >> >Le 7 août 2013 15:38, andre écrit :
>> >
>> >
>> > Ok bientôt sms mais j attends de faire un minimum connaissance . Ce que
>> je
>> > cherche je ne sais pas encore . Je suis allé dans club par curiosité un
>> > sauna et voilà j ai vu des trucs
>> > 

 

 

 

De : claudio
A :   adré
Salut! merci de ta réponse ! Tu me demandes "tu aimes quoi ?"
j'aime qu'on se "déboutonne"entre mecs 
Tout mettre sur la table
Par exemple tu as fait sentir que tu es tenté 
mais tu ne dis pas si tu as kiffé que le gars du 
sauna te jute sur les fesses. Peut-être oui, 
peut-être non ?  On n'oublie rien de rien,  mais  
pour mon compte je n'ai pas connu ce genre de 
situation : il men a toujours fallu davantage. 
Tu vas me trouver sévère mais est-il possible que tu aies 
attendu d'avoir plus de 30 ans pour ta première expérience 
sexuelle. La situation que tu me décris est située au beau 
milieu de ton existence, pas d'avant, pas d'après. 
Tu sembles être ou aller vers gay passif. 
Ce que je suis devenu après être passé par "petit pédé", 
puis "hétéro" marié, père, et de plus en plus homo et de 
plus en plus passif avec les hommes.
Chaque situation a eu ses avantages et ses plaisirs. 
Je n'ai AUCUNE retenue pour en parler.
A toi d'en faire un max avec moi. Tu ne risques rien, ton 
anonymat est garanti.
Ah, je te répète j'aime les récits et les pics. Par contre, 
en raison de l'anonymat, je joue sue le "fake". Les photos 
et les récits sont là pour l'émotion sans risque. Tu aimes ça, non ? 
claudio
vintagegayromance: Things have changed, but there are still too many people thinking this way lol homo cry from the darkness
fake 
speedobuttandtaint: Over 40,000 posts on hot men, hot butts , hot speedos and bit of taint. Thanks to over 10,500 followers at speedobuttandtaint.
you...fake

essayer ça...

attention : pas en direct sur la muqueuse !

il y a un moment où tu n'auras plus la force de dire non...ou alors si faiblement....
____________________________________________________________________
Le 7 août 2013 19:22, adre a écrit :
 Merci pour ta réponse est OK pour se tutoyer !!! Effectivement je suis plus jeune mais est-ce important ?? Pour ma part ça fait déjà pas mal de temps que j ai diverses propositions . Apparemment je plais aux actifs . Peut-être que je te raconterai ma première expérience mais en tout cas la deuxième était dans un sauna . La majorité était nu d'autres en simple slip de bain comme moi par exemple . J'ai profiter du jacuzzi et du hammam . Dans le hammam il fait très chaud et j'étais allongé sur le banc sur le ventre et j'ai surpris quelques minutes après un homme debout à me regarder et se  masturber. Il m'a demandé si j'étais ok pour rester comme ça et baisser mon slip de bain au milieu des fesses . J'ai accepté et il fait masturber jusqu'au bout en me matant . Voilà la petite histoire ... Et toi 

  > > Le mer. 7 août 2013 15:31 HAEC, modeste moussor a écrit :
>> >
>> > >Salut
>> > >Ok. Je suis partant. On se tutoie ncp ?
>> > >On va s'accorder 5/5
>> > >dis-moi ce que tu cherches (moi tu as vu)
>> > >et + si..... Merci. A+
>> > >claudio
>> > >
>> > >06 83 .. .. ..   tu peux écrire ce que tu veux, y a que moi qui lis !
>> > >
>> > >mais SVP préfère les SMS on peut les lire quand on veut pas besoin
>> d'être
>> > >àl'écoute. 

 

 

  > > Le mer. 7 août 2013 15:01 >> > >andre a écrit

 

  > > >annonce publiée
>> > >dans la catégorie Gays et Lesbiennes .
>> > >*Coordonnées du contact*Adresse  >Objet de l'email *: Re: Homme 65a recherche amitiés masculines. Ech
>> picsrécits X

>> > >
>> > >Bonjour
>> > >j aimerai franchir un pas le.j ai 32 ans et votre annonce m interesse

Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES
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Samedi 3 août 6 03 /08 /Août 14:57

SEXO VIVRE SA SEXUALITE (83) themes handi et gay ; handi  gay et gay valides

 

  Ressemblance avec le héros ci-dessous,  dans un livre paru en 2012, Marcel Nuss, prisonnier de son fauteuil depuis l'âge de 15 ans, réclame "le droit de faire l'amour" et la création d'assistants sexuels pour les personnes handicapées.

 

Extrait de "La Vie Commence à 25 Ans"nouvelles d'Andrej Koymasky sur son site c'est fabuleux

...à quinze ans, cet accident qui avait coûté la vie à son père et l'avait laissé sur un fauteuil roulant. Et éliminé en même temps toute possibilité d'avoir un quelconque partenaire et toute relation sexuelle. Il ne lui restait qu'à se masturber et rêver les yeux ouverts. Il était devenu très bon, pour rêver les yeux ouverts. Si bon qu'il s'était mis à écrire des nouvelles érotiques gays, à peu près vers dix-sept ans. C'est alors que sa mère avait découvert que son fils était non seulement handicapé mais aussi pédé. Ce ne furent pas ses nouvelles qui le trahirent, mais le fait qu'assoiffé de sexe comme il l'était, il avait essayé avec l'infirmier qui venait l'assister, un très beau garçon de vingt-six ans, lequel ne s'était pas contenté de repousser ses avances et de quitter la maison : il l'avait dit à la mère de Jacques.
Elle en avait fait un drame, les premiers temps. Ils avaient passé des mois de tension, de discussions parfois féroces. Mais à la fin, peu à peu, elle s'était rendue, elle avait accepté. Au point qu'il l'avait persuadée d'aller lui acheter la revue Gay Pied (ce qui la gêna beaucoup) puis de lui payer un abonnement.
Jacques avait alors commencé à envoyer ses nouvelles à la revue qui les publiait sous le pseudonyme de Marc Jaurès, ses vraies initiales mais inversant nom et prénom. Pour chaque nouvelle publiée la revue lui envoyait un chèque appréciable. Cet argent avait permis à Jacques de s'acheter un ordinateur sur lequel il tapait maintenant ses histoires. Un journaliste de la revue lui écrivit un jour pour lui proposer d'essayer d'écrire un roman. Aussi venait-il de publier son premier livre sous le titre de "Un vieil arbre raconte". Il avait imaginé être un arbre du parc qui voyait naître une histoire entre deux garçons et les voyait revenir la nuit faire l'amour sous ses branches, des années durant, voir grandir leur amour mutuel jusqu'à une nuit où une bande de voyous les surprenait et où l'un d'eux était tué. Une histoire triste, mais bien écrite et pleine de sentiments, qui avait connu un remarquable succès et lui avait rapporté pas mal d'argent.
Jacques avait fini ses études à la maison, par correspondance, sa mère ne l'emmenait à l'école en fauteuil roulant que pour les examens, il avait trouvé un autre petit boulot à domicile, encore avec son ordinateur : une imprimerie lui envoyait des disquettes avec des maquettes à corriger. Ce qui lui prenait de trois à quatre jours par semaine et lui donnait un revenu modeste mais utile. Et surtout ça occupait son temps.
A vingt et un ans il avait eu une très courte histoire avec un garçon contacté par les petites annonces de Gay Pied, mais ce dernier, après quelques rencontres, lui avait dit qu'il ne se sentait pas d'avoir une relation avec "quelqu'un de sympathique, mais avec qui il ne pouvait même pas sortir pour une simple promenade." Jacques en avait souffert, parce qu'il tombait amoureux de ce garçon. Mais il avait compris qu'il valait mieux qu'il renonce au rêve de trouver un partenaire. Sa mère, bien qu'elle n'en ait jamais parlé explicitement avec Jacques, était au courant de cette relation (quand le garçon venait chez eux, sous une excuse quelconque, elle partait pour les laisser seuls). Elle avait essayé de le consoler, bien qu'assez maladroitement. Jacques, après cette déception, n'avait plus mis d'annonces dans la revue pour mendier un peu de sexe, à défaut d'amour.
Il n'était pas triste, pas vraiment, juste résigné. Il avait écrit une nouvelle : "Chaste par destin" où il racontait l'histoire d'un garçon qui se fait moine en croyant en avoir la vocation, puis découvre être attiré par les garçons. Il n'a pas de rapports sexuels, pas par manque de désir, mais parce qu'il se trouve prisonnier de sa situation qu'il accepte avec résignation. Mais dans cette nouvelle, quand Jacques décrivait les désirs et les troubles du jeune moine, ses rêves, en fait il parlait de lui et de sa propre situation. Il avait encore eu un grand succès. Gay Pied lui avait envoyé des lettres de lecteurs avec des commentaires sur sa nouvelle. Les histoires de Marc Jaurès avaient toujours un succès remarquable.
Ainsi Jacques arriva à son vingt-troisième anniversaire.

Le maçon qui lui plaisait, là-bas sur l'échafaudage, essuyait maintenant sa transpiration avec un linge blanc. Il avait enlevé son casque, Jacques avait bien deviné : une cascade de cheveux châtain clair brillait au soleil et faisait devenir plus brillant le printemps. Il semblait si proche, à travers les lentilles, qu'on aurait dit qu'il suffisait de tendre la main pour effleurer sa belle poitrine, large et musclée, à peine couverte d'un léger duvet blond. Ou pour caresser la courbe que montrait sa braguette, juste au bon endroit. Le garçon remit son casque, passa le linge à sa ceinture, se remit au travail et disparut soudain de son champ de vision.
Jacques imagina une histoire d'amour entre deux maçons, née en haut de ces échafaudages suspendus dans le vide. Il laissa le télescope, déplaça son fauteuil roulant jusqu'à sa table, alluma l'ordinateur et ouvrit un nouveau fichier sous le titre provisoire de "maçons-01". Le titre définitif lui viendrait tout seul pendant qu'il écrirait l'histoire, comme toujours. Il décida des grands traits de la trame de l'histoire, inventa les noms, les âges, quelques détails qu'il nota sur une feuille et il se mit à écrire :
"De là en haut, la réalité de la ville à l'entour semblait prendre les caractéristiques d'un plastique, plus belle et plus complexe que les maquettes que les gamins admirent les yeux écarquillés dans les vitrines des magasins de modélisme. Yves enleva son casque et essuya la transpiration de son visage bronzé, de son cou puissant, de ses larges épaules puis, avec une sorte de plaisir sensuel, de sa large poitrine nue. Inconscient du regard plein de désir dont Karim, son collègue algérien, le regardait depuis la cabine de la grue..."
Oui, Jacques imaginait à la place de l'homme grassouillet un bel arabe dans les vingt-huit ans, au corps fin et sensuel et, bien que marié et père de trois enfants, amateur de gens de son propre sexe. Il décrirait comment Karim draguerait Yves, comment peu à peu il l'amènerait à découvrir sa sexualité latente et comment il finirait par arriver à le faire sien. Une histoire d'amour et de passion qui culminerait lorsque la femme de Karim essaierait de tuer Yves et finirait par la fuite des deux amants dans un village en Provence où ils vivraient en étant serviteurs dans la villa d'un riche gay, ancien amant de Karim. En général ses histoires avaient toutes une fin heureuse, parce que pour les fins tristes, Jacques trouvait que la réalité quotidienne lui suffisait. Et puis de toute façon la majorité de ses lecteurs aimait autant ses histoires que leurs conclusions.
Jacques écrivait ses histoires d'un seul jet. Puis il les relisait, les corrigeait, les polissait pour leur donner leur forme définitive dans le style qu'il s'était fixé. Pendant qu'il écrivait ses histoires, il tombait amoureux de ses personnages. Il les sentait vivants, réels, animés d'une vie propre. Il était leurs parents : il les mettait au monde, mais après il ne pouvait que les regarder grandir, indépendants. Une fois nés, il ne pouvait plus les obliger à faire ce qu'il voulait. Il s'en rendait compte et il en était ahuri. Il lui semblait presque qu'il ne pouvait créer que les situations puis voir comment ses personnages les affronterait et les résoudrait. Et parfois, bien que rarement, il y avait aussi des fins tristes qu'il ne pouvait pas éviter. Qui sait comment ça finirait, entre Yves et Karim, se demandait-il en continuant à décrire le garçon français, ses émotions, ses idées et ses réactions.

Il s'interrompit pour le déjeuner. Sa mère lui parla des prix qui augmentaient, de la voisine qui se disputait avec son mari, du fils du boulanger qui allait divorcer et d'autres aménités du même genre. Jacques écoutait, disait deux mots de temps en temps pour donner à sa mère l'impression de participer à la conversation et il se demandait ce qu'il ferait le jour où elle ne serait plus là. Sa mère était encore jeune, elle n'avait que quarante ans, sa santé était bonne et s'il n'arrivait pas d'imprévu elle vivrait encore longtemps. Il espéra, égoïstement, mourir avant elle. Bien sûr, il ne pouvait pas le dire à sa mère. Mais que ferait-il, lui, lorsqu'il resterait seul ? On l'accueillerait sans doute dans quelque sordide institut où les infirmières perdraient leur patience avec lui, où viendrait deux fois par an les dames des bonnes œuvres pour leur donner les rebuts de la société d'opulence sous couvert de généreuse charité, où il devrait supporter les autres malheureux comme lui et se faire supporter par eux. Qui vivra verra. Il ne pouvait rien y faire, telle serait sa fin. Et là, à l'institut, il ne pourrait certainement même pas continuer à écrire ses nouvelles ni à épier les beaux maçons avec sa longue-vue... Oui, il espérait vraiment mourir avant sa mère.
Cette dernière, après la perte de son mari, s'était retrouvée avec un fils vivant mais immobilisé, elle avait trouvé un petit boulot à domicile : elle assemblait ou montait des stylos, des colifichets et d'autres choses du genre. Mais entre ses allocations de veuvage, ses revenus et ceux de Jacques, ils arrivaient à s'en sortir dignement. Et heureusement l'appartement leur appartenait. Ils ne pouvaient vraiment pas se plaindre, malgré tout. Parfois sa mère l'emmenait par l'ascenseur descendre faire une promenade dans le quartier et elle poussait son fauteuil. Certains voisins les saluaient avec un sourire de circonstance, mais jamais personne ne s'arrêtait pour leur parler. Et pourtant il savait que quand sa mère sortait seule elle discutait avec les gens du quartier. C'était lui le problème, son infirmité mettait les gens mal à l'aise.
Il arrivait à aller aux toilettes et à se baigner tout seul, grâce à une série de poignées que sa mère avait fait installer aux bons endroits. Parfois ses cousins faisaient un saut pour le voir, mais on ne pouvait pas dire qu'il se liait beaucoup avec eux. C'était une diversion aux journées plutôt monotones, mais Jacques n'avait pas grand-chose en commun avec ses cousins. Il sentait en eux plus de pitié que de sympathie. Il ne leur en voulait pas pour autant, mais bien sûr il n'en était pas particulièrement heureux. Les gens, avait-il vite compris, se sentent mal à l'aise, presque coupables face à un handicapé, et cela, ils ne le lui pardonnent pas. Ils se sentent le devoir d'aller le voir, mais après ils ont hâte de s'enfuir. Jacques sentait tout cela et l'acceptait, comme il acceptait d'être désormais cloué à jamais sur son fauteuil roulant. Parfois il avait pensé écrire un roman sur les handicapés, mais il savait que les lecteurs auraient mal réagi, comme ses cousins, et éprouvé à la fois sympathie et gêne. Il ne devrait pas y avoir de handicapés : les spartiates l'avaient bien compris, eux ils les précipitaient d'une falaise. Mais Jacques était heureux de ne pas vivre dans la Sparte antique. Malgré tout, il aimait la vie.
Seule lui pesait sa solitude affective et sexuelle. Mais, comme pour ses jambes, il ne pouvait rien y faire. Le fauteuil roulant remplaçait, peu et mal, ses jambes ; la masturbation était devenue le fauteuil roulant de sa vie sexuelle. Elle la remplaçait peu et mal, mais c'était mieux que rien. Pourquoi donc, se demandait-il parfois avec une douce ironie, son sexe n'avait-il pas aussi été paralysé ? Comme tout aurait alors été plus simple. Mais au fond il avait de l'affection pour son membre, le compagnon de sa solitude qui parfois même lui procurait l'illusion d'apaiser le désir. L'illusion, parce que quelques minutes après il se sentait à nouveau seul et plein de désir. Il le connaissait bien, le désir : quand il était trop fort il semblait n'être que physique, mais au contraire c'était quelque chose de plus vital, de plus impliquant, de plus profond. C'était le rêve de pouvoir échanger de l'amour, ce qu'on ne peut pas faire avec sa bite, se dit-il tristement.
Jacques Moiret. Quand il avait passé son bac les journaux locaux avaient parlé de lui, de ce "garçon courageux" qui, bien qu'immobilisé sur un fauteuil roulant, avait su aller de l'avant et poursuivre brillamment ses études, seul. Sa mère l'avait par la suite inscrit à l'université, mais il n'avait pas eu envie de continuer. Il avait passé avec peine les examens de première année puis, peu à peu, il avait laissé tomber. Sa mère n'avait pas insisté.
Jacques se demandait parfois comment sa mère faisait pour sa vie sexuelle. Pourquoi donc essayer d'imaginer la vie sexuelle de sa mère le gênait-il ? Il sentait comme un embarras pudique. Les parents devraient-ils être asexués ? Pourtant, s'il existait, c'était bien grâce à l'activité sexuelle de ses parents. Veuve à seulement trente-cinq ans, elle devait elle aussi avoir du désir. Jacques avait la vague impression qu'elle avait un amant : parfois elle mettait un soin particulier à se préparer avant de sortir. Puis elle revenait plus sereine et joyeuse que d'habitude. Il avait envie de lui dire de l'emmener à la maison, de le lui présenter. Mais elle ne lui avait jamais fait la moindre allusion, alors Jacques trouvait préférable de ne rien dire.
Aurait-elle honte devant lui ? Ou tout simplement il s'imaginait des choses qui n'étaient pas ? Projetait-il son désir d'un compagnon sur sa mère ? Parfois Jacques regrettait d'être enfant unique. Il aurait aimé avoir des frères et sœurs. Grandir ensemble. Plus grands ou plus petit, peu importait. Avoir un frère l'aurait peut-être fait se sentir moins seul. Mais pourquoi la présence de sa mère n'apaisait-elle pas aussi sa solitude ? Pourtant elle s'occupait de lui, lui parlait, l'aimait bien... Peut-être était-ce parce que c'est une femme, et d'une autre génération ? Ou alors justement parce que, si grande que puisse être l'affection entre un parent et un enfant, elle ne laisse pas place à une vraie amitié comme il peut y avoir avec un frère, ou plutôt avec un amant...
Après le déjeuner, pendant que sa mère débarrassait, il retourna dans sa chambre. Il hésita entre continuer la nouvelle ou travailler à ses corrections. Il opta pour le second choix, plus tôt il s'en acquitterait plus il aurait de temps pour son nouveau récit. C'était une critique sur les textes de science-fiction des années 60. Intéressant. Tiens, y avait-il des histoires de science fiction gay ? Peut-être pourrait-il en écrire une. Mais pas maintenant, il était trop pris par son histoire de maçons, dont peu à peu il voyait tous les détails. 
    "Oser parler de la sexualité des personnes handicapées, c'est l'ambition du tout nouveau Centre Ressources Handicaps et Sexualités (CeRHeS)." François Crochon, son chef de mission, sexologue clinicien,  dénonce le poids du silence qui confine à la maltraitance...    
Marcel Nuss, prisonnier d'un fauteuil depuis ses 15 ans, publie un manifeste, "Je veux faire l'amour", pour favoriser la création d'assistants sexuels. (Illustration)
_______________________ asso créée il y a un an__________________
France | 23.08.2012 -           
Gay et handicapé, Vincent Sangnier veut briser les tabous avec son association A2H
Lutte contre le VIH, droit au logement, application de la loi du 11 février 2005, rencontres entre valides et handicapé-e-s… Le militant a du pain sur la planche.
          «Vincent, pourquoi tu parles d'homosexualité?».   

Vincent Sangnier a 30 ans et il habite Chépy, dans la Somme, avec son compagnon Éric. Depuis sa naissance, Vincent vit avec une infirmité motrice . Homo et handicapé, il fait donc face à une double discrimination. Pour lutter contre ces inégalités, il a décidé, avec quelques soutiens, de fonder l'Association Handicaps et Homosexualités (A2H). L'organisation a été enregistrée en sous-préfecture d'Abbeville en juin 2012. Conversation avec un homme engagé, à la croisée de chemins.

Pourquoi avoir créé cette association? Notre association s'appelle Handicaps et Homosexualités. Les 2 mots sont au pluriel parce que les handicaps comme les homosexualités sont pluriels. Les personnes handicapées homosexuelles ne sont ni reconnues ni valorisées dans la communauté gay, où règne un culte du corps «parfait».

Comment se manifeste ce culte du corps vis-à-vis des handicapé-e-s? Le corps des personnes handicapées fait peur aux personnes valides, homos ou hétéros. Il y a un tabou, et donc, très peu de rencontres entre valides et handicapé-e-s. Nous sommes regardé-e-s comme des bêtes curieuses. Un-e handicapé-e peut avoir un corps atrophié par le handicap, ou avoir des gestes incontrôlés, bouger énormément… Cela fait peur. Nous ne voulons pas être toléré-e-s, mais totalement inséré-e-s à la société.

Avez-vous constaté un rejet des questions homosexuelles dans les associations d'handicapé-e-s? Au Conseil d'administration (CA) d'une association nationale qui s'occupe du handicap et que je ne préfère pas nommer, j'ai voulu porter ces questions.

J'ai notamment fait mon coming-out au CA, mais le sujet a été zappé, on m'a dit: «Vincent, pourquoi tu parles d'homosexualité?».

Quelles actions comptez-vous mener avec l'association? En priorité, nous allons mener des actions de prévention du VIH/sida, en partenariat avec l'antenne d'Amiens de l'association Aides. Les handicapé-e-s sont très touché-e-s par le VIH car [bon nombre d'entre elles/eux] ne peuvent pas mettre un préservatif. L'emballage n'est pas adapté… À plus long terme, j'ai pour projet de créer une Maison de la santé, avec un côté santé sexuelle. Je l'imagine comme un lieu de rencontres, dans le respect de chacun, pour éviter les lieux de drague très dangereux comme les parkings, qui sont ciblés par les homophobes. Ce ne sera pas un lieu de passe, mais un endroit de rencontres entre valides et handicapés et ensuite ils pourront aller ailleurs pour avoir des relations sexuelles s'ils en ont envie.

Les personnes handicapées souffrent-elles d'un manque d'intimité dans les institutions où elles vivent? Dans les foyers de vie, on ne parle pas de la sexualité, de l'homosexualité, du VIH… Je veux aller dans ces lieux pour témoigner de mon vécu [de militant homosexuel et handicapé, auprès du public et du personnel, ndlr]. Je vais aller à la rencontre des directeurs et directrices d'établissement.

Vous même, pouvez-vous nous dire quelques mots sur votre vie affective? Je vis en couple avec Éric. Il a un petit handicap auditif, mais il est valide.

Mon compagnon est quelqu'un qui a compris qu'un handicapé est capable de désir, d'amour et de sentiments.

Pour revenir à l'association, à qui s'adresse-t-elle? Tout le monde est le bienvenu: les lesbiennes, les gays, les hommes et les femmes bisexuel-le-s, transgenres… Et je tiens à préciser que l'association ne travaille pas uniquement pour les personnes handicapées homosexuelles. Nous nous battons pour l'application de la loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances des personnes handicapées. Actuellement, je soutiens une jeune femme handicapée de 20 ans, hétérosexuelle, pour qu'elle et sa famille vivent dans un logement adapté. Elle vit avec ses parents dans un logement social qui n'est pas adapté: le père doit la porter dans sa chambre à l'étage, mais il vieillit et ne peut plus le faire. Par conséquent, cette jeune femme dort dans un lit de camp dans le salon… Pendant ce temps, un logement adapté du parc du bailleur social a été attribué à des personnes valides! Nous nous battons sur ce dossier.

Comptez-vous interpeller les élu-e-s? Je demande au plus haut. Droite, gauche, centre…

Je suis prêt à discuter avec tout le monde! Je n'ai pas peur. Si Monsieur Hollande veut me recevoir, je suis disponible.

Je souhaite utiliser mon expérience acquise dans d'autres associations. Mon but est que les personnes handicapées soient heureuses.

Quand auront lieu les prochaines permanences de l'association? Le programme est à confirmer mais elles devraient avoir lieu autour du 29 septembre au Bowling des 2 vallées, à Abbeville. Les propriétaires sont des gens très ouverts. Les personnes intéressées par les activités de l'association peuvent nous contacter par e-mail à l'adresse suivante: assoa2h@outlook.com.

Photos Blog Skyrock de Vincent Sangnier

 et si...
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COMMENTAIRES
Voilà, suivant les jours, vous êtes 5 à 600 et + à visiter ce blog. J'en suis ravi et honoré.
Merci. Si vous vous sentez concerné par ce thème du handicap gay, j'ai voulu communiquer des éléments d'info...à vous de voir.
Merci encore.
Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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