à relire plus tard dans SEXO VIVRE SA SEXUALITE (70)
Avez-vous jamais rêvé d'enculer votre ami(e) pendant son sommeil ? de le (la) réveiller par un "je t'aime" ..."je t'aime de toute la longueur de ma queue!" lol !
Ou alors, avez-vous jamais rêvé de rester unis dans le coït au-delà de l'orgasme, de vous endormir unis dans le prolongement (éternel, lol) de ce rapport ? Ou bien rester dans cette situation enculeur-enculé et en profiter pour bavarder, se faire des confidences d'amants ? Bien sûr votre queue ou la sienne, amollie après l'éjaculation est sortie d'elle-même...quel regret ! C'est ça un fantasme...et ça dure toute une vie ! ainsi, moi...
Je me remets de mes émotions chez Gérard; mon anus retrouve des dimensions plus raisonnables et mes couilles se rechargent. Il fait un soleil magnifique et je me prélasse, nu, comme d'habitude, sur ma pelouse au bord du lac.
Soudain j'entends la cloche de la porte de d'entrée! J'enfile un caleçon et je vais voir qui ose m'importuner pendant cette période de repos. Quel bonheur de voir que c'est Julien!
— Salut Maxime!
— Quelle bonne surprise! lui répondis-je.
— Je viens me faire enculer.
— Après tout ce qu'on a fait cette nuit, tu en veux encore?
— Justement, on a tout fait sauf ça!
— C'est vrai! Je ne t'ai pas enculé! Entre, beau gosse!
Malgré cette période de récupération, je ne vais certainement pas faire la fine bouche. Julien est un merveilleux garçon; vicieux certes, mais si tendre, si bien foutu, si entreprenant!
Une fois la porte fermée, notre étreinte est puissante. Nos lèvres se joignent, nos langues s'enlacent, nos mains partent en exploration. Celles de Julien n'ont aucun mal à investir l'intérieur de mon caleçon tandis que les miennes doivent d'abord ouvrir la braguette et écarter la ceinture du slip. Elles parcourent nos parties les plus sensibles et ont le plus grand effet sur nos bites. Je n'oublie pas de m'intéresser à la raie de son joli cul et je n'hésite pas à lui fourrer un doigt puis deux... à sec!
— Oui! Vas-y! Fort! Plus fort!
— Tu en veux? Tu auras bientôt 18cm de chair dure et chaude dans ton antre!
Il est vite à poil et mon caleçon voltige sur le tapis de la chambre. Je mets Julien sur le ventre, lui soulève légèrement les hanches pour mieux faire pénétrer ma bite déjà baveuse dans sa rosette déjà ouverte. Je m'allonge entièrement sur lui et je l'encule de toutes mes forces. En même temps, j'arrive à glisser une main et à le tripoter entre son ventre et le matelas.
— C'est bon!
— Julien, je t'aime de toute la longueur de ma queue!
— Je jouis!
— Moi aussi! Prends tout ça mon chéri! Dans tes entrailles!
Après cette double extase et quelques instants d'immobilité, je tente de me retirer de ce cul si accueillant. Impossible! Julien retient ma bite en serrant bien fort son sphincter!
— Reste en moi! On va recommencer!
— Pas tout de suite!
— Ne bouge plus et attends qu'on ait encore envie...
— OK!
Je demeure collé à Julien et j'entreprends de rouler sur le lit tout en restant en lui. Cette fois, je suis sur le dos et Julien est allongé sur mon côté face; sa bite devient toute molle et les traces de sperme rendent collant son ventre que je ne manque pas de caresser.
— Raconte-moi comment tu es devenu homo! lui demandais-je.
— Tu sais, Maxime, je crois que je suis né pédé! Dès que j'ai ressenti des choses bizarres au niveau de mon bas-ventre, je me suis mis à regarder les hommes... surtout leur braguette! J'étais fasciné par la grosseur des paquets cachés... J'ai d'ailleurs beaucoup fréquenté la piscine pour les voir en slip!
— Et alors?
— J'ai décidé de les provoquer en me baladant souvent la braguette ouverte!
— Qu'espérais-tu? Tous les hommes ne sont pas pédés!
— Oui mais il y en aurait bien un qui s'intéresserait!
— C'est sûr, mais tu étais encore mineur et tu savais qu'ils risquaient la prison si tu avais des rapports sexuels avec eux!
— Je n'y pensais pas!
— Alors?
— Un jour c'est un voisin qui m'a fait remarquer que ma braguette était déboutonnée; j'ai fait celui qui était surpris et j'ai vite refermé le pantalon. Le lendemain, même situation: le même voisin me demande si je le faisais exprès. J'ai osé lui répondre que ça devait lui plaire s'il regardait cet endroit-là; il a vite avoué que oui et m'a invité chez lui.
— Tu l'as suivi?
— Je le connaissais bien et j'avais trop envie!
— Qu'est-ce qui s'est passé?
— Il m'a fourré sa main dans la braguette et m'a tripoté. Il m'a déshabillé entièrement et, me laissant debout, les jambes écartées, il m'a léché ma bite raide, mes bonbons roses et la raie de mon cul.
— Tu as aimé?
— Tu parles! Surtout sa langue sur mon trou! C'était génial!
— Ensuite?
— Il m'a renversé sur son lit et m'a sucé, sucé, sucé... jusqu'à ce que je lui envoie mon jeune foutre dans la bouche.
— C'est tout?
— Non! j'avais très envie de voir une bite d'homme. Il l'a bien compris et je lui ai ouvert la braguette, j'ai saisi son gros morceau poilu et je l'ai branlé... J'ai eu droit à de beaux jets sur ma poitrine. Voilà le début de ma vie sexuelle!
— Il ne t'a pas enculé?
— Il m'a fait comprendre qu'il en avait envie et que ce ne serait pas plus difficile que de chier une grosse merde en période de constipation mais j'ai eu peur, étant donnée la taille de l'engin qu'il voulait m'enfoncer.
— Dis-donc, Julien, tu bandes!
— Toi aussi, je la sens bien dans mon cul !
— On y va?
— Oh oui!
Et l'enculage recommence; les râles de plaisir sont à leur paroxysme... heureusement les voisins sont loin!
— Tu reviendras Julien!
Tu aimes ? dis-le !
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