Cette histoire est une FICTION qui s'adresse uniquement à un public
ADULTE.
Chaque fois, la maturité du
revendeur de drogue me sidère. Le jeune black habite à quelques minutes de marche, de l'autre côté des rails, dans une tour grise en béton. Marwan m'accueille dans l'appart
sans dire bonjour. Il prend un air décontracté de gangster. La plupart du temps, sa mère somnole sur le plancher, une seringue plantée dans le bras.
-"T'as quelque chose pour moi ?" je demande.
-"Ouais, j'ai toujours du shit extra si t'as du fric." Marwan répond d'une voix rendue rauque par la fumée de cigarette.
Nous allons dans sa chambre pour compléter la transaction. Une chambre qui n'a rien de l'enfance, seulement une commode dans le coin et un vieux
matelas au centre, des affiches de rappeurs en colère partout sur les murs. Avec mes dix-neuf ans, je ne me considère pas tellement plus vieux que lui. La cruauté de son milieu social
m'émeut.
Le jeune récupère une boule de haschisch dans son sac sport et je lui tends les billets requis. Mes yeux ne peuvent s'empêcher de butiner sur
son corps ciselé presque nu. Marwan ne porte qu'un caleçon blanc qui moule la bosse de ses organes génitaux.... Sa musculature juvénile accentuée par la maigreur de son torse lui confère une
troublante animalité. Il bouge gracieusement sur de longues jambes lisses et foncées comme du chocolat noir. Le gars viril me bouleverse car sa proximité allonge ma queue.
Remarquant mes regards furtifs vers son aine, Marwan s'anime un jour. -"Qu'est-ce qu'y a ? Tu veux voir ma bite ?" il
rouspète.
Avec un sourire coquin, il baisse l'élastique de son caleçon pour s'exhiber. Ma curiosité est enfin assouvie. Je peux voir ses grosses couilles et
son sexe pendouillant plutôt dodu. Une vision des plus étonnantes. J'ai souvent entrevu le zizi de mon jeune frère, à côté le sien n'est qu'une virgule rose. Bien qu'encore peu
poilu, Marwan possède les attributs d'un garçon noir en pleine bourre !
Obsédé par le fric il dit : - "Tu peux la sucer si tu veux ou je te tire une pipe pour dix balles ."
-"Tu déconnes !"
-"Non," il s'agenouille. "Allez, j'ai besoin de fric pour aider ma mère..."
-"Tu suces des mecs ?"
Marwan hoche la tête.
J'hésite un instant, descends la fermeture éclair de mon jean tranquillement croyant qu'il se fout de ma gueule. Marwan s'impatiente et
prend la relève. Il tire sur mon slip. Ma bite à moitié érigée lui bondit au visage. La paume beige de sa main l'agrippe fermement. Marwan approche sa bouche. Il lui donne des bisous
humides.
-"Oh la vache !" je me mets à bander,il a l' air surpris de la gueule que sa suce me fait faire. Le gosse dévergondé
sourit en constatant mon émoi. Il me branle doucement et décalotte le prépuce. Puis sa langue danse sur le gland. Elle tourne autour, frétille sur la membrane sensible et lèche le bout
suintant. La vue de ma verge blanche et poilue devant son mignon minois tout noir m'excite. Elle m'apparait plus longue que d'habitude malgré la légère courbe vers le
haut.
-"Suce-moi, s'il-te-plaît," je soupire. "Mets ma bite dans ta bouche..."
-"Tu vas me refiler du pognon ?" il s'enquiert, le menton relevé.
-"ok !"
Aussitôt, ses lèvres pulpeuses enveloppent mon gland, puis engouffrent les trois-quarts de mes dix-huit centimètres. Marwan aspire en
remontant puis redescend la bouche sur ma viande durcie. Mon regard se penche vers sa tête rasée quasi chauve. Elle remue de plus en plus vite. Les joues creuses, le jeune suce ma grosse
bite goulûment. Déjà, je sais que ça ratera pas : il va me vider les burnes avant longtemps !
Le plaisir me scie les genoux. Marwan bave à profusion durant sa pipe. Parfois, mon pénis gluant de salive s'échappe de sa bouche. Il le
reprend immédiatement et le fourre dans sa gueule. Je l'observe fixement, le souffle court, surpris qu'il sache sucer aussi bien. Mais bon, je n'ai pas eu beaucoup d'expériences de ce
côté-là.
Le petit black s'active. Il me branle et suce rapidement, ses lèvres brunes étreignent la couronne du gland.
-"Ohhhh ! OHHHH ! tu vas me faire gicler !" je le préviens.
Un instant plus tard, mes jambes tremblent. La puissance de mon orgasme me fait beugler, "ORRGHHH !
ORGGHH !" Marwan continue de sucer. La petite pomme d'Adam au milieu de son cou se trémousse alors qu'il gobe mon sperme au fur et à mesure que je remplis sa bouche. La jouissance me
gèle le cerveau comme si j'avais fumé vingt pétards à la file !
Au cours des semaines suivantes, j'accepte tous les boulots minables afin d'obtenir de l'argent pour me payer mon fix de hash et une pipe
chez Marwan. J'aime par-dessus tout éjaculer dans sa bouche ouverte, puis le regarder avaler toute la crème avec un sourire baveux. L'idée que mes spermatozoïdes nagent dans l'estomac
d'un jeune noir me semble totalement tordue et pour une raison inexplicable, me plaît beaucoup.
Puis un jour, j'aperçois Marwan dans le jardin qui joue au foot avec mon frère cadet Jean-Baptiste(Jean-Ba') . Mon coeur
s'affole. De voir le revendeur de drogue si près de mon milieu familial me glace le sang. Aussitôt, j'imagine qu'il veut me faire chanter ou me dénoncer à mes parents ?
Derrière la fenêtre de la cuisine, j'observe les deux mômes courir nu-pieds après le ballon. Le contraste est saisissant. L'un élancé et
noir comme une panthère, divinement mature. L'autre un an plus jeune, encore chétif et blanc comme un fantôme. Car Jean-Baptiste ressemble au jeune ado que j'étais, rieur et innocent, avec
une tête de 'Petit Nicolas', cheveux bruns courts et yeux noisette.
À mon grand dam, les deux jeunes se lient d'amitié. Ils sont toujours à la maison devant les jeux vidéo ou dehors avec un ballon. Lorsque
l'on se croise, Marwan me salue comme si l'on ne se connaissait pas. Ce petit jeu m'énerve. Je veux qu'il retourne de l'autre côté des rails dans son quartier mal famé.
-"C'est qui ce black ?" j'interroge mon petit frère avant qu'il ne s'aperçoive que je le connais...et bien !
-"Marwan. C'est mon nouveau copain !" Jean-Baptiste réplique avec enthousiasme.
-"Il est pas un peu grand ? Même trop..., disons différent, pour être ton pote ? Tu peux pas en trouver un autre, dans ta classe par
exemple ?"
Jan Ba' se demande pourquoi je le harcèle et s'imagine sûrement que je suis raciste. -"Non, il est hyper sympa. Toi
tu veux jamais jouer avec moi !"
Je me retiens de lui dire que Marwan est une mauvaise influence. Ça me gargouille dans les tripes. Il m'est impossible de révéler la
véritable nature de ce gosse sans me compromettre. Je suis déchiré entre le devoir de protéger mon frangin et l'impératif de cacher ma consommation de stups'.
Par un après-midi de congé, je reviens du resto U à l'improviste. Des ricanements viennent à mes oreilles. Je monte au deuxième. "C'est bon comme
ça... plus vite.. ohhh oui... " les voix résonnent. La porte de la chambre de mon petit frère est un peu entrouverte. J'espionne ce qui se passe par la fente.
Les deux mômes sont nus sur le lit. Ils ont gardé leurs chaussettes de sport. Jean-Ba à quatre pattes, son petit cul blanc soulevé,
glisse ses lèvres sur la pine dressée de Marwan. Le long sexe bouffi est droit comme un soldat. Une vingtaine de centimètres que Jean-Baptiste déguste jusqu'à la racine. Marwan se caresse
les couilles pendant qu'il se fait sucer. Un rictus perfide illumine son visage.
La scène me choque. Mes baskets ont le réflexe de s'élancer et stopper le duo de petits cochons. Mais, je reste cloué sur place. Je me raisonne en
me disant que ce ne sont que des expériences nécéssaires et inoffensives d'ados.
-"À moi !" Jean-Baptiste s'exclame en roulant sur le dos. Marwan attrape une des courtes jambes de mon frère et la place sur son épaule. Il
ouvre la bouche et engloutit ses couilles. Jean-Baptiste rigole. Je n'ai jamais vu l'érection de mon cadet avant. Son zizi est comme un pouce, tout menu à comparer à la bite noire de Marwan. Ce
dernier déplace sa bouche pour le suçoter ce qui ravit son propriétaire. Jean-Ba ferme les paupières et gémit de bonheur.
-"Mmmmmm putain c'est vachement bon ! Rien à voir avec la main quand on se branle..."
Marwan suce les testicules et le zizi de mon frère pendant un bon moment. Il incline la tête et pousse sur la
jambe pliée de Jean-Baptiste pour soulever son fessier, exposant ainsi l'anus rose au milieu de sa raie. Une partie de l'anatomie de mon petit frère que je ne pensais pas voir un
jour !
Marwan darde le bout de sa langue sur le trou plissé qu'il mouille copieusement en léchant à grands coups de
sa langue. 'Complètement dingue ce gosse !' je me dis à moi-même. Jean-Ba' glousse comme une hyène. Le connaissant bien, je sais qu'il trouve l'initiative de son
pote rigolote, comme tous les mômes puceaux qui se font bouffer la rondelle, j'imagine.
Marwan se redresse soudain. -"J'ai envie de t'enculer encore... Tu veux ?" il demande candidement.
Jean-Ba' hoche la tête et rigole encore.
Encore ??? Ils font ça souvent ?
La sueur me pisse dans le dos. Cette séance de voyeurisme commence à m'étourdir. De plus, mon érection me fait mal dans mon jean trop ajusté.
Mais, je ne peux pas rassembler le courage nécessaire pour tout arrêter. Figé derrière la porte, je regarde Marwan enfiler son sexe gonflé dans le troufignon de Jean-Ba'. Il le fait de
manière crue, sans capote et sans gêne.
Le corps de Jean-Ba' se crispe. Il émet des cris plaintifs alors que le grand black lui grimpe dessus. Rapidement, son petit cul se fait pomper
par les élans fougueux de Marwan. Les fesses noires se contractent à chaque mouvement de ses hanches. -"Oh ouais, c'est bon dans ton p'tit trou !" il répète sans cesse.
Les grimaces d'inconfort de Jean-Ba' me déconcertent. Il la veut vraiment cette queue dans son cul ? Il est coincé sous le garçon robuste qui
rebondit sur lui. Les jambes dans les airs, il encaisse les coups de bite dans le derrière en serrant les dents. Marwan se hisse sur les talons pour monter plus haut sur Jean-Ba'. Je peux
alors voir ses couilles valser et l'anus distendu de mon petit frère se cramponner autour de sa bite noire.
Marwan bascule la tête en arrière et mordille sa lippe. Il savoure son plaisir. Son corps mince ondule
adoptant un rythme soutenu et constant de copulation. Puis, il augmente la cadence. Il s'emballe comme une machine détraquée et sodomise mon frère avec l'ardeur d'une vedette du porno
malgré ses lamentations. Des clameurs de jubilation fusent de la gorge du jeune black.
"Onnnhhh Onnnhh ouuuuuais ! Ohhhh OUAIS ! ONNNNHH ! ! !"
Sa brutalité provoque une soudaine montée de colère en moi. Il est drôlement culotté le saligaud ! Il faut être effronté pour venir dans
notre maison enculer mon petit frère comme une vulgaire pute ! Lui qui est si naïf et fragile.
Aussitôt que cette pensée traverse mon esprit, Marwan lâche un grand râle. Il se retire. Son pénis trépidant crache quelques gouttes
blanchâtres sur le nombril de Jean-Ba'. Les deux gamins soupirent d'aise.
La crainte d'être surpris en délit d'espionnage me réveille. Je m'enfuis comme un voleur, ce que je fais toujours avec courage face à des
situations délicates. -lol-
Le lendemain, je me réveille avec la ferme intention de mettre un terme à cette amitié malsaine entre les deux ados. D'autant plus que je ressens
un dégoût permanent envers moi-même de l'avoir laissé s'épanouir. Assurément, têtu comme il est, Jean-Ba' n'acceptera jamais de m'écouter. Mais, si je ne peux pas convaincre Jean-Ba' je vais
empêcher Marwan de revenir dans les parages.
Le soir, mes pas me portent chez mon dealer. Marwan s'attend à ce que je passe une commande. Il me laisse
entrer. Sa mère est affalée sur le canapé probablement plongée dans un autre coma narcotique. Nous allons dans la chambre de Marwan. Je ferme la porte derrière moi. Dès que le môme tourne le
dos je l'attaque et l'écrase sur son matelas. Avec tout mon poids, je maintiens la pression. Marwan se démène.
"Lâche-moi ! Qu'est-ce que tu fais ? Dégage !" il rugit.
"Ta gueule !"
Vêtu seulement de son caleçon, sa peau soyeuse est glissante. En se tortillant, il arrive presque à se faufiler hors de mon emprise. Je lui plaque
les épaules sur le matelas. Le contrôle que j'ai sur le gamin fringant m'excite. Son petit cul bombé sous mes couilles déclenche spontanément une érection.
"Écoute-moi bien," je murmure. -"Tu vas arrêter d'être pote avec mon frère et lui faire des cochonneries. Compris ?"
Marwan pouffe de rire. -"Ton frangin il est pédé !"
-"Ta gueule !" je lui rentre le nez dans les ressorts.
-"Il est accroc aux bites de black !" Marwan rajoute.
-"Je vais envoyer les flics ici," je le menace. -"Tu sais ce qui arrive aux petits salauds comme toi dans les centres "éducatifs fermés"
?"
-"T'es rien qu'un con !"
La rage me noue la gorge. Je tire sur son caleçon et dévoile ses fesses. Un curieux mélange de haine, de jalousie et de désir guide mes
gestes. Marwan rit encore. Je baisse mon jean et mon slip en prenant soin d'assurer une pression sur le dos du gamin. Ma bite dressée dégouline. Je la glisse dans sa raie et pousse contre
son anus. Marwan grogne et sautille pour se libérer. Son sphincter barre l'entrée mais je persiste. Un instant de faiblesse du petit muscle m'offre l'opportunité de pénétrer la fournaise de ses
entrailles.
"Annngghgh ! Anggghhh !" Marwan glapit. Ses bras et ses jambes se tendent. Je commence à l'enculer avec des coups vifs et secs,
voulant lui démontrer la puissance de ma queue. Il se met à hurler comme une sirène, "Ouaouuu ! Ouaouuuu !".
Pris de panique, je flanque ma main sur sa bouche. Il ne faudrait pas que sa mère ressuscite et me surprenne en train de violer son fils, surtout
avant que je puisse me satisfaire !
Maintenant que les lamentations du môme sont étouffées, j'ai un regain d'énergie. Allongé sur lui, je le laboure avec vigueur. Son anneau
étroit me comprime la bite comme un étau. C'est méga bandant ! Tout en l'enculant, je chuchote à son oreille, "Hmmmm, c'est bon de te baiser dans ton p'tit trou..."
Pour un instant, j'oublie qu'il est probablement puceau et que ma queue est bougrement grosse. Je m'enfonce plus profondément dans son rectum.
Marwan grogne dans ma main mais je m'en fous. Confortablement juché sur ses fesses, j'entame une séquence de rude sodo. Le jeune black aplati ne peut rien faire pour se défendre. Il
cesse de gigoter et se résigne à recevoir les assauts de ma bite dans son anus. J'en profite au maximum.
-"Ohhh ouais, je t'encule !Ohhh ouais, je t'encule !"
L'adrénaline me parcourt les veines. L'excitation et le plaisir électrisent tout mon corps . On dirait que chacun de mes poils se dresse. Après un
moment, j'ai une soudaine envie d'entendre couiner le petit crâneur puisqu'il s'est calmé. J'empoigne ses hanches et le recule sur ses genoux. En le tirant vers moi, son cul rencontre les
poussées de mon bassin. Ses petites fesses noires sont comme un coussin moelleux qui enserre ma verge raide. Je remarque son érection et m'en étonne. -"Mais tu bandes mon salaud !"
Marwan se retourne et me lance des grimaces. "Annghhh annnnggh annnggggh !" il gémit, ensuite se met à marmonner. -"Encule-moi... Ouiii
encule-moi..."
Dans le feu de l'action, le revirement du môme me confond. J'y porte peu d'attention. Mes bras le ceinturent sous les aisselles. J'appuie son dos
contre ma poitrine. Marwan poursuit sa litanie de 'encule-moi' même lorsque je lui fourre ma bite en entier dans le postérieur. Ça me fait flipper. Bientôt, la pièce vétuste retourne l'écho de
nos grognements et de mes couilles lourdes qui claquent sur son cul. Je l'encule bien au fond et maintenant il est content.
Marwan se branle. Il jouit aussitôt. Son jeune corps frisonne dans mes bras. La sauce bouillante me brûle le canal en sortant de mon
pénis pour exploser dans son boyau. L'intensité de mon orgasme inonde mes yeux de larmes de bonheur. Je ne ralentis pas mon enculage car le gamin en extase contracte son anus. Son trou du cul
me trait littéralement la bite ! Dix éjaculations en tout !
Vidé, je reste accroché au gamin en l'embrassant sur la nuque tendrement. La fierté d'avoir eu ma première baise anale me fait sentir plus sûr de
moi. Mais aussi, pendant que mon pénis ramollit en lui, mes sentiments pour le petit black sont maintenant clairs. Je suis amoureux.
Déjà, j'ai hâte de la
prochaine fois chez lui.
D'avance, je sais que nous allons bien nous amuser tous les deux avec mon petit frère Jean-Baptiste... Ah, le sexe,
c'est une chose qu'on peut pas nous enlever, même si on n'est pas riches!
FIN
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