AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES

Mardi 30 mai 2 30 /05 /Mai 15:18

Londres reportage traduit de Newsbeat

c'est bête, mais il vaut mieux que les choses aillent au bout, sinon, frustré, insatisfait on risque bien d'attendre "la suite" toute la vie et devenir un gay obsédé !

 

Dean Eastmond

Dean Eastmond


Dean Eastmond, âgé de dix-neuf ans, déclare qu'il n'est jamais allé à la police après avoir été violé parce qu'il pensait que lui-même serait «considéré comme le criminel».

Maintenant, qu' il a parlé à Newsbeat, la chaîne radio des ados,  de l'après-midi qui a changé sa vie, il espère que d'autres hommes se présenteront - maintenant il y a  une Asso, -"Survivors UK"-   qui soutient les victimes masculines  de viols,  subventionnée  par le bureau du maire de Londres.

"Survivors UK" avec l'aide financière espère organiser plus de lieux où les victimes peuvent trouver de l'aide.

Dean a récemment eu le courage de parler de ce qui lui est arrivé.
 

     Nous n'avons aucune raison de ne pas croire à son histoire mais ne pouvons pas le confirmer de façon juridiquement certaine car son cas n'avait jamais été signalé.

- «Mon école a pris une grande initiative pour inciter les gens à participer aux Jeux olympiques de 2012», nous dit-il.

"À l'époque, je n'étais pas ouvertement gay. J'étais encore dans le placard.

«Je me suis lié d'amitié avec quelqu'un que je pensais être gay. Nous travaillions environ neuf heures par jour ensemble et il a suggéré d'aller chez moi alors que mes parents étaient sortis.


Il y a si longtemps que je tâche de bloquer ce souvenir !


Dean dit qu'il était «crédule» en tant qu'ado à l'époque et qu'avoir un ami sans la permission de ses parents lui semblait la chose la plus commode et naturelle qu'il pouvait faire.

Quand ils sont arrivés à la maison, son ami a commencé à agir de façon étrange.

Avant que Dean ne sache ce qu'il se passait, il était attaqué et violé sur son lit.

"Je sais que cela n'a pas duré très longtemps, mais il était évident qu'il l'avait fait.

"Je me souviens avoir été tellement confus parce que je ne savais pas ce qui m'était arrivé."

Dans les jours et les mois qui suivirent, Dean était terrifié. Il dit : «chaque fois que je rentrais dans la maison de mes parents je pensais le trouver dans ma chambre».

Alors, pourquoi Dean n'était-il pas allé à la police? IL EST GAY IL LE DIT et il l'était sans le dire à cette époque . Est-ce qu'en fait ça lui a plu et ce qui luia manqué dès lors c'est que cette relation n'ait pas débouché sur son consentement et une vraie relation suivie. Sans être trop intrusif on pourrait s demander de mieux expliquer ce que ça a produit enlui d'être ok...sans l'être, genre, « Oui, mais pas comme ça ! » ?

Dean Eastmond

Est-ce qu'en fait ça lui a plu et ce qui luia manqué dès lors c'est que cette relation n'ait pas débouché sur son consentement et une vraie relation suivie. Sans être trop intrusif on pourrait se demander de mieux expliquer ce que ça a produit en lui d'être ok...sans l'être, -lol-genre, « Oui, mais pas comme ça ! » ? (Notes de la rédaction)

           Image associée  un peu crédule peut-être ?  ça fait vite un dominant un dominé, un qui se sent victime et un qui ne sait plus s'il a franchi la ligne rouge...

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Par NEWSBEAT - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 29 mai 1 29 /05 /Mai 06:13

 

  What happens next? “Calf Roping at Rodeo” June 14, 1939, San Francisco, CA. Bettmann/CORBIS, BE027752 

Qui est le Mauvais Garçon ?

      petit veaujeune taureau maverick qui sera marqué cette saison

       Cette histoire est une FICTION qui s'adresse uniquement  à un public ADULTE.    

      Chaque fois, la maturité du revendeur de drogue  me sidère. Le jeune black habite à quelques minutes de marche, de l'autre côté des rails, dans une tour grise en béton.  Marwan m'accueille dans l'appart sans dire bonjour. Il prend un air décontracté de gangster. La plupart du temps, sa mère somnole sur le plancher, une seringue plantée dans le bras.

-"T'as quelque chose pour moi ?" je demande.

-"Ouais, j'ai toujours du shit extra si t'as du fric."  Marwan répond d'une voix rendue rauque par la fumée de cigarette.

Nous allons dans sa chambre pour compléter la transaction. Une chambre qui n'a rien de l'enfance, seulement une commode dans le coin et un vieux matelas au centre, des affiches de rappeurs en colère partout sur les murs. Avec mes dix-neuf ans, je ne me considère pas tellement plus vieux que lui. La cruauté de son milieu social m'émeut.

Le jeune récupère une boule de haschisch dans son sac sport et je lui tends les billets requis. Mes yeux ne peuvent s'empêcher de butiner sur son corps ciselé presque nu. Marwan ne porte qu'un caleçon blanc qui moule la bosse de ses organes génitaux.... Sa musculature juvénile accentuée par la maigreur de son torse lui confère une troublante animalité. Il bouge gracieusement sur de longues jambes lisses et foncées comme du chocolat noir. Le gars viril me bouleverse car sa proximité allonge ma queue.

Remarquant mes regards furtifs vers son aine,  Marwan s'anime un jour. -"Qu'est-ce qu'y a ? Tu veux voir ma bite ?" il rouspète.

Avec un sourire coquin, il baisse l'élastique de son caleçon pour s'exhiber. Ma curiosité est enfin assouvie. Je peux voir ses grosses couilles et son sexe pendouillant plutôt dodu. Une vision des plus étonnantes. J'ai souvent entrevu le zizi de mon jeune frère, à côté le sien n'est qu'une virgule rose. Bien qu'encore peu poilu,  Marwan possède les attributs d'un garçon noir en pleine bourre !

 Obsédé par le fric il dit : - "Tu peux la sucer si tu veux ou je te tire une pipe pour dix balles ."

-"Tu déconnes !"

-"Non," il s'agenouille. "Allez, j'ai besoin de fric pour aider ma mère..."

-"Tu suces des mecs ?"

Marwan hoche la tête.

J'hésite un instant, descends la fermeture éclair de mon jean tranquillement croyant qu'il se fout de ma gueule.  Marwan s'impatiente et prend la relève. Il tire sur mon slip. Ma bite à moitié érigée lui bondit au visage. La paume beige de sa main l'agrippe fermement.  Marwan approche sa bouche. Il lui donne des bisous humides.

-"Oh la vache !" je me mets à bander,il a l' air surpris de la gueule que sa suce me fait faire. Le gosse dévergondé sourit en constatant mon émoi. Il me branle doucement et décalotte le prépuce. Puis sa langue danse sur le gland. Elle tourne autour, frétille sur la membrane sensible et lèche le bout suintant. La vue de ma verge blanche et poilue devant son mignon minois tout noir m'excite. Elle m'apparait plus longue que d'habitude malgré la légère courbe vers le haut.    

-"Suce-moi, s'il-te-plaît," je soupire. "Mets ma bite dans ta bouche..."

-"Tu vas me refiler du pognon ?" il s'enquiert, le menton relevé.

-"ok !"

Aussitôt, ses lèvres pulpeuses enveloppent mon gland, puis engouffrent les trois-quarts de mes dix-huit centimètres.  Marwan aspire en remontant puis redescend la bouche sur ma viande durcie. Mon regard se penche vers sa tête rasée quasi chauve. Elle remue de plus en plus vite. Les joues creuses, le jeune suce ma grosse bite goulûment. Déjà, je sais que ça ratera pas : il va me vider les burnes avant longtemps !

Le plaisir me scie les genoux.  Marwan bave à profusion durant sa pipe. Parfois, mon pénis gluant de salive s'échappe de sa bouche. Il le reprend immédiatement et le fourre dans sa gueule. Je l'observe fixement, le souffle court, surpris qu'il sache sucer aussi bien. Mais bon, je n'ai pas eu beaucoup d'expériences de ce côté-là.

Le petit black s'active. Il me branle et suce rapidement, ses lèvres brunes étreignent la couronne du gland.

-"Ohhhh ! OHHHH ! tu vas me faire gicler !" je le préviens.

      Un instant plus tard, mes jambes tremblent. La puissance de mon orgasme me fait beugler, "ORRGHHH ! ORGGHH !"  Marwan continue de sucer. La petite pomme d'Adam au milieu de son cou se trémousse alors qu'il gobe mon sperme au fur et à mesure que je remplis sa bouche. La jouissance me gèle le cerveau comme si j'avais fumé vingt pétards à la file !

 

Au cours des semaines suivantes, j'accepte tous les boulots minables afin d'obtenir de l'argent pour me payer mon fix de hash et une pipe chez  Marwan. J'aime par-dessus tout éjaculer dans sa bouche ouverte, puis le regarder avaler toute la crème avec un sourire baveux. L'idée que mes spermatozoïdes nagent dans l'estomac d'un jeune noir me semble totalement tordue et pour une raison inexplicable, me plaît beaucoup.

Puis un jour, j'aperçois  Marwan dans le jardin qui joue au foot avec mon  frère cadet Jean-Baptiste(Jean-Ba') . Mon coeur s'affole. De voir le revendeur de drogue si près de mon milieu familial me glace le sang. Aussitôt, j'imagine qu'il veut me faire chanter ou me dénoncer à mes parents ?

Derrière la fenêtre de la cuisine, j'observe les deux  mômes courir nu-pieds après le ballon. Le contraste est saisissant. L'un élancé et noir comme une panthère, divinement mature. L'autre un an plus jeune, encore chétif et blanc comme un fantôme. Car Jean-Baptiste ressemble au jeune ado que j'étais, rieur et innocent, avec une tête de 'Petit Nicolas', cheveux bruns courts et yeux noisette.

À mon grand dam, les deux jeunes se lient d'amitié. Ils sont toujours à la maison devant les jeux vidéo ou dehors avec un ballon. Lorsque l'on se croise, Marwan me salue comme si l'on ne se connaissait pas. Ce petit jeu m'énerve. Je veux qu'il retourne de l'autre côté des rails dans son quartier mal famé.

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-"C'est qui ce black ?" j'interroge mon petit frère avant qu'il ne s'aperçoive que je le connais...et bien !   

-"Marwan. C'est mon nouveau copain !" Jean-Baptiste réplique avec enthousiasme.

-"Il est pas un peu grand ? Même trop..., disons différent, pour être ton pote ? Tu peux pas en trouver un autre, dans ta classe par exemple ?"

      Jan Ba' se demande pourquoi je le harcèle et s'imagine sûrement que je suis raciste. -"Non, il est hyper sympa. Toi tu veux jamais jouer avec moi !"

Je me retiens de lui dire que Marwan est une mauvaise influence. Ça me gargouille dans les tripes. Il m'est impossible de révéler la véritable nature de ce gosse sans me compromettre. Je suis déchiré entre le devoir de protéger mon frangin et l'impératif de cacher ma consommation de stups'.

Par un après-midi de congé, je reviens du resto U à l'improviste. Des ricanements viennent à mes oreilles. Je monte au deuxième. "C'est bon comme ça... plus vite.. ohhh oui... " les voix résonnent. La porte de la chambre de mon petit frère est un peu entrouverte. J'espionne ce qui se passe par la fente.

Les deux mômes sont nus sur le lit. Ils ont gardé leurs chaussettes de sport. Jean-Ba à quatre pattes, son petit cul blanc soulevé, glisse ses lèvres sur la pine dressée de Marwan. Le long sexe bouffi est droit comme un soldat. Une vingtaine de centimètres que Jean-Baptiste déguste jusqu'à la racine. Marwan se caresse les couilles pendant qu'il se fait sucer. Un rictus perfide illumine son visage.

La scène me choque. Mes baskets ont le réflexe de s'élancer et stopper le duo de petits cochons. Mais, je reste cloué sur place. Je me raisonne en me disant que ce ne sont que des expériences nécéssaires et inoffensives d'ados.

-"À moi !" Jean-Baptiste s'exclame en roulant sur le dos. Marwan attrape une des courtes jambes de mon frère et la place sur son épaule. Il ouvre la bouche et engloutit ses couilles. Jean-Baptiste rigole. Je n'ai jamais vu l'érection de mon cadet avant. Son zizi est comme un pouce, tout menu à comparer à la bite noire de Marwan. Ce dernier déplace sa bouche pour le suçoter ce qui ravit son propriétaire. Jean-Ba ferme les paupières et gémit de bonheur.

-"Mmmmmm putain c'est vachement bon ! Rien à voir avec la main quand on se branle..."

      Marwan suce les testicules et le zizi de mon frère pendant un bon moment. Il incline la tête et pousse sur la jambe pliée de Jean-Baptiste pour soulever son fessier, exposant ainsi l'anus rose au milieu de sa raie. Une partie de l'anatomie de mon petit frère que je ne pensais pas voir un jour !

      Marwan darde le bout de sa langue sur le trou plissé qu'il mouille copieusement en léchant à grands coups de sa langue. 'Complètement dingue ce gosse !' je me dis à moi-même. Jean-Ba'    glousse comme une hyène. Le connaissant bien, je sais qu'il trouve l'initiative de son pote rigolote, comme tous les mômes puceaux qui se font bouffer la rondelle, j'imagine.

 Marwan se redresse soudain. -"J'ai envie de t'enculer encore... Tu veux ?" il demande candidement.

Jean-Ba' hoche la tête et rigole encore.

Encore ??? Ils font ça souvent ?

La sueur me pisse dans le dos. Cette séance de voyeurisme commence à m'étourdir. De plus, mon érection me fait mal dans mon jean trop ajusté. Mais, je ne peux pas rassembler le courage nécessaire pour tout arrêter. Figé derrière la porte, je regarde Marwan enfiler son sexe gonflé dans le troufignon de Jean-Ba'. Il le fait de manière crue, sans capote et sans gêne.

Le corps de Jean-Ba' se crispe. Il émet des cris plaintifs alors que le grand black lui grimpe dessus. Rapidement, son petit cul se fait pomper par les élans fougueux de Marwan. Les fesses noires se contractent à chaque mouvement de ses hanches. -"Oh ouais, c'est bon dans ton p'tit trou !" il répète sans cesse.

Les grimaces d'inconfort de Jean-Ba' me déconcertent. Il la veut vraiment cette queue dans son cul ? Il est coincé sous le garçon robuste qui rebondit sur lui. Les jambes dans les airs, il encaisse les coups de bite dans le derrière en serrant les dents. Marwan se hisse sur les talons pour monter plus haut sur Jean-Ba'. Je peux alors voir ses couilles valser et l'anus distendu de mon petit frère se cramponner autour de sa bite noire.

      Marwan bascule la tête en arrière et mordille sa lippe. Il savoure son plaisir. Son corps mince ondule adoptant un rythme soutenu et constant de copulation. Puis, il augmente la cadence. Il s'emballe comme une machine détraquée et sodomise mon frère avec l'ardeur d'une vedette du porno malgré ses lamentations. Des clameurs de jubilation fusent de la gorge du jeune black.

"Onnnhhh Onnnhh ouuuuuais ! Ohhhh OUAIS ! ONNNNHH ! ! !"

Sa brutalité provoque une soudaine montée de colère en moi. Il est drôlement culotté le saligaud ! Il faut être effronté pour venir dans notre maison enculer mon petit frère comme une vulgaire pute ! Lui qui est si naïf et fragile.

Aussitôt que cette pensée traverse mon esprit, Marwan lâche un grand râle. Il se retire. Son pénis trépidant crache quelques gouttes blanchâtres sur le nombril de Jean-Ba'. Les deux gamins soupirent d'aise.   

La crainte d'être surpris en délit d'espionnage me réveille. Je m'enfuis comme un voleur, ce que je fais toujours avec courage face à des situations délicates. -lol-

 

Le lendemain, je me réveille avec la ferme intention de mettre un terme à cette amitié malsaine entre les deux ados. D'autant plus que je ressens un dégoût permanent envers moi-même de l'avoir laissé s'épanouir. Assurément, têtu comme il est, Jean-Ba' n'acceptera jamais de m'écouter. Mais, si je ne peux pas convaincre Jean-Ba' je vais empêcher Marwan de revenir dans les parages.

      Le soir, mes pas me portent chez mon dealer. Marwan s'attend à ce que je passe une commande. Il me laisse entrer. Sa mère est affalée sur le canapé probablement plongée dans un autre coma narcotique. Nous allons dans la chambre de Marwan. Je ferme la porte derrière moi. Dès que le môme tourne le dos je l'attaque et l'écrase sur son matelas. Avec tout mon poids, je maintiens la pression.  Marwan se démène.

"Lâche-moi ! Qu'est-ce que tu fais ? Dégage !" il rugit.

"Ta gueule !"

Vêtu seulement de son caleçon, sa peau soyeuse est glissante. En se tortillant, il arrive presque à se faufiler hors de mon emprise. Je lui plaque les épaules sur le matelas. Le contrôle que j'ai sur le gamin fringant m'excite. Son petit cul bombé sous mes couilles déclenche spontanément une érection.

"Écoute-moi bien," je murmure. -"Tu vas arrêter d'être pote avec mon frère et lui faire des cochonneries. Compris ?"

Marwan pouffe de rire. -"Ton frangin il est pédé !"

-"Ta gueule !" je lui rentre le nez dans les ressorts.

-"Il est accroc aux bites de black !"  Marwan rajoute.

-"Je vais envoyer les flics ici," je le menace. -"Tu sais ce qui arrive aux petits salauds comme toi dans les centres "éducatifs fermés"  ?"

-"T'es rien qu'un con !"

La rage me noue la gorge. Je tire sur son caleçon et dévoile ses fesses. Un curieux mélange de haine, de jalousie et de désir guide mes gestes.  Marwan rit encore. Je baisse mon jean et mon slip en prenant soin d'assurer une pression sur le dos du gamin. Ma bite dressée dégouline. Je la glisse dans sa raie et pousse contre son anus. Marwan grogne et sautille pour se libérer. Son sphincter barre l'entrée mais je persiste. Un instant de faiblesse du petit muscle m'offre l'opportunité de pénétrer la fournaise de ses entrailles.

"Annngghgh ! Anggghhh !" Marwan glapit. Ses bras et ses jambes se tendent. Je commence à l'enculer avec des coups vifs et secs, voulant lui démontrer la puissance de ma queue. Il se met à hurler comme une sirène, "Ouaouuu ! Ouaouuuu !".

Pris de panique, je flanque ma main sur sa bouche. Il ne faudrait pas que sa mère ressuscite et me surprenne en train de violer son fils, surtout avant que je puisse me satisfaire !

Maintenant que les lamentations du môme sont étouffées, j'ai un regain d'énergie. Allongé sur lui, je le laboure avec vigueur. Son anneau étroit me comprime la bite comme un étau. C'est méga bandant ! Tout en l'enculant, je chuchote à son oreille, "Hmmmm, c'est bon de te baiser dans ton p'tit trou..."

Pour un instant, j'oublie qu'il est probablement puceau et que ma queue est bougrement grosse. Je m'enfonce plus profondément dans son rectum. Marwan grogne dans ma main mais je m'en fous. Confortablement juché sur ses fesses, j'entame une séquence de rude sodo. Le jeune black aplati ne peut rien faire pour se défendre. Il cesse de gigoter et se résigne à recevoir les assauts de ma bite dans son anus. J'en profite au maximum.

-"Ohhh ouais, je t'encule !Ohhh ouais, je t'encule !"

L'adrénaline me parcourt les veines. L'excitation et le plaisir électrisent tout mon corps . On dirait que chacun de mes poils se dresse. Après un moment, j'ai une soudaine envie d'entendre couiner le petit crâneur puisqu'il s'est calmé. J'empoigne ses hanches et le recule sur ses genoux. En le tirant vers moi, son cul rencontre les poussées de mon bassin. Ses petites fesses noires sont comme un coussin moelleux qui enserre ma verge raide. Je remarque son érection et m'en étonne. -"Mais tu bandes mon salaud !"

Marwan se retourne et me lance des grimaces. "Annghhh annnnggh annnggggh !" il gémit, ensuite se met à marmonner. -"Encule-moi... Ouiii encule-moi..."

Dans le feu de l'action, le revirement du môme me confond. J'y porte peu d'attention. Mes bras le ceinturent sous les aisselles. J'appuie son dos contre ma poitrine. Marwan poursuit sa litanie de 'encule-moi' même lorsque je lui fourre ma bite en entier dans le postérieur. Ça me fait flipper. Bientôt, la pièce vétuste retourne l'écho de nos grognements et de mes couilles lourdes qui claquent sur son cul. Je l'encule bien au fond et maintenant il est content.

Marwan se branle. Il jouit aussitôt. Son jeune corps  frisonne dans mes bras. La sauce bouillante me brûle le canal en sortant de mon pénis pour exploser dans son boyau. L'intensité de mon orgasme inonde mes yeux de larmes de bonheur. Je ne ralentis pas mon enculage car le gamin en extase contracte son anus. Son trou du cul me trait littéralement la bite ! Dix éjaculations en tout !

Vidé, je reste accroché au gamin en l'embrassant sur la nuque tendrement. La fierté d'avoir eu ma première baise anale me fait sentir plus sûr de moi. Mais aussi, pendant que mon pénis ramollit en lui, mes sentiments pour le petit black sont maintenant clairs. Je suis amoureux.

Résultat de recherche d'images pour "la zone des HLM derrière la voie ferrée"Déjà, j'ai hâte de la prochaine fois chez lui.

 

      D'avance, je sais que nous allons bien nous amuser tous les deux avec mon petit frère Jean-Baptiste... Ah, le sexe, c'est une chose qu'on peut pas nous enlever, même si on n'est pas riches!

FIN

 

Par 2EMEDEMARKU - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 24 mai 3 24 /05 /Mai 23:09

dans ce CM1 les élèves se branlaient assis à leur pupitre pendant les cours. Les grands avaient un zeb(b) énorme à mes yeux. Et moi, avec mon petit zizi, la plupart du temps rétracté, j'en ressentais un sentiment d'infériorité jusqu'au jour où un grand nommé Orelio C. est venu s'asseoir à côté de moi. Comme c'était l'activité soi-disant secrète  de toute la classe (sans l'avoir jamais dit, l'instit était forcément consentant*)Orelio C. a sorti son énorme queue et m'a placé la main droite dessus. Et toi, me dit-il ? Fais voir !  Intimidé, je ne bandais pas, sa main insistante dans ma braguette a fait changer les choses. Je savais que depuis tout petit mon sexe stimulé devenait énorme...enfin,  à mes yeux étonnés, mais Orélio en a été très surpris et bruyamment a fait part de cet "exploit" à tous nos voisins et la nouvelle s'est rapidement propagée. -"Il a un tout petit chichi, mais quand il bande il est énorme".  Orélio m'avait sorti de ma mauvaise réputation et m'a fait rentrer dans le groupe des "mecs". Par la suite je me suis fait un copain de branle-en-classe, Alain. Sa bite(on disait son chichi ou son vier) était un peu plus petite que la mienne on s'excitait mutuellement mais à cet âge on ne risquait pas de juter ! Oui, le conte ci-après m'a fait penser à mon CM1! -lol-  

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1.LES MILLE ET UNE NUITS, ANECDOTES MORALES... (LES TROIS SOUHAITS)



"la perfection de l'homme et ses délices résident dans
sa virilité, et que l'homme ne peut être parfait s'il
est chaste, eunuque ou impuissant. Par conséquent,
plus le zebb de l'homme est considérable, plus sa vi-
rilité est grande et le fait s'acheminer dans la voie
de la perfection. Prosterne-toi donc humblement de-
vant la face du Très-Haut, et dis : « Bienfaiteur,
à Généreux, fais grossir mon zebb jusqu'à la ma-
gnificence ! » Et l'homme se prosterna et, tournant
ses paumes vers le ciel, dit : « Bienfaiteur, ô Gé-
néreux, fais grossir mon zebb jusqu'à la magnifi-
cence ! »

Or, à peine ce désir avait-il été formulé, qu'il fut
exaucé, et au delà, à l'heure et à l'instant. Car aussi-
tôt le saint homme vit son zebb se gonfler et se
magnifier, tellement qu'on l'eût pris pour une cale-
basse reposant entre deux grosses citrouilles. Et le
poids de tout cela était si considérable qu'il obligeait
son propriétaire à se rasseoir quand il se levait, et à
se lever quand il se couchait.

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Aussi l'épouse fut si terrifiée à cette vue qu'elle
s'échappait par la fuite toutes les fois que l'appelait
à l'essai le saint homme. Et elle s'écriait : « Comment
veux-tu que je fasse l'essai de cet outil dont le simple
jet est capable de perforer les rochers d'outre en
outre? » Et le pauvre homme finit par lui dire : « O
femme exécrable, que me faut-il faire de cela main-
tenant C'est ton œuvre, maudite! » Elle répondit :
« Le nom d'Allah sur moi et autour de moi ! Prie
sur le Prophète, ô vieillard à l'œil vide ! Moi, par
Allah ! je n'ai point besoin de tout cela, et ne t'ai
point dit d'en demander autant ! Prie donc le ciel

 de te le diminuer"

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 suite :

LES MILLE  ET UNE NUIT

"de te le diminuer !" Ce sera là ton second souhait ! »

Le saint homme leva alors les yeux au ciel et dit :
« Allah, je te supplie de me débarrasser de cette
encombrante marchandise, et de me délivrer du
tracas qu'elle me procure ! » Et aussitôt l'homme
devint lisse quant à son ventre, sans plus de trace
de zebb et d'œufs que s'il eût été une jeune fille im-
pubère.*

Mais cette disparition complète ne le satisfit guère,
pas plus lui que son épouse, qui se mit à l'invecti-
ver et à lui reprocher de l'avoir à jamais frustrée de
son dû. Aussi la peine du saint homme fut-elle ex-
trême ; et il dit à son épouse : « Tout cela est ta
faute et vient de tes conseils insensés! femme sans
jugement, moi j'avais droit à trois souhaits devant
Allah, et je pouvais choisir à mon gré ce qui me
plaisait le mieux des biens de ce monde et de l'autre.
Et voilà que deux de mes vœux ont été déjà exaucés,
mais c'est tout comme si de rien n'était. Et me voici
dans une condition pire que la précédente! Mais
comme il me reste encore le droit de formuler mon
troisième souhait, je vais demander à mon Seigneur
de me faire réintégrer dans ce que je possédais tout
à fait au commencement ! »

Et il pria son Seigneur qui exauça son vœu. Et il
rentra dans ce qu'il possédait au commencement !

La morale de cette anecdote est qu'il faut se con-
tenter de ce que l'on a.

* hélas, ce temps où allah répondait aux souhaits de ses croyants est révolu ! Demandez-lui de faire la paix et vous verrez !

2. (LE JEUNE GARÇON...) 67



LE JEUNE GARÇON ET LE MASSEUR DU HAMMAM


Il est raconté, ô Roi fortuné, qu'un certain masseur
de hammam avait pour clients ordinaires les fils des
notables et des plus riches habitants,car le hammam
où il exerçait son métier était le mieux achalandé
de toute la ville. Or, un jour d'entre les jours, entra
dans la salle où il attendait les baigneurs un garçon
encore vierge de poils, mais bien dodu et riche en
rondeurs de tous les côtés à la fois ; et ce garçon
était bien beau de visage ; et il était le fils même du
grand-vizir ,  roi de la ville. Aussi le masseur se
réjouit-il de masser le corps si doux de cet adoles-
cent délicat, et il se dit en son âme : « Voilà un
corps où la graisse a partout mis des coussins soyeux!
Quelle richesse de formes, et qu'il est dodu ! » Et il
l'aida à s'étendre sur le marbre tiède de la salle
chaude, et commença à le frictionner avec un soin
tout spécial. Et lorsqu'il fut arrivé près des cuisses
il fut à la limite de la stupéfaction en remarquant
que le zebb du gros garçon atteignait à peine le vo-
lume d'une noisette...

— A ce moment de sa narration, Schahrazade vit appa-
raître le matin et, discrète, se tut.
MAIS LORSQUE FUT
LA CINQ CENT TROISIÈME NUIT
Elle dit :

... il fut à la limite de la stupéfaction en remar-
quant que le zebb du gros garçon atteignait à peine
le volume d'une noisette. Et, voyant cela, il se mit
à se lamenter en son âme, et à frapper ses mains
l'une contre l'autre, en s'arrêtant tout court dans le
massage qu'il faisait.

Lorsque le jeune garçon vit le masseur en proie
à un tel chagrin et sa mine bouleversée de déses-
poir, il lui dit : « Qu'as-tu, ô masseur, à te lamenter
ainsi au dedans de ton âme et à frapper tes mains
l'une contre l'autre ? » Il répondit : « Hélas ! mon
seigneur, mon désespoir et mes lamentations sont
à ton sujet! Car je vois que tu es affligé du plus
grand malheur dont un homme puisse être atteint !
Tu es jeune, dodu et beau, et tu possèdes toutes les
perfections de corps et de visage, et tous les bien-
faits dispensés par le Rétributeur à ceux qu'il élit.
Mais justement tu manques de l'instrument de déli-
ces, celui sans lequel on n'est pas un homme et on
n'a pas les apanages de la virilité qui donne et re-
çoit ! Est-ce que la vie serait la vie, sans le zebb et
tout ce qui s'en suit ?» A ces paroles, le fils du vizir
baissa tristement la tête et répondit : « Mon oncle,
tu as bien raison ! Et tu viens justement de me faire
penser à ce qui fait le sujet de mon seul tourment !
Si l'héritage de mon vénéré père est si petit, la faute
est à moi seul qui jusqu'aujourd'hui ai négligé de le
faire fructifier. Comment veux-tu, en effet, que le
chevreau devienne un puissant bouc s'il se tient loin
des chèvres incendiaires, ou que l'arbre se développe
si on ne l'arrose pas ? Moi jusqu'à aujourd'hui je me
suis tenu loin des femmes, et nul désir n'est encore
venu réveiller mon enfant dans son berceau ! Mais
il est temps, je pense, que se réveillent les endor-
mis et que le berger s'appuie sur son bâton ! »

A ce discours du fils du vizir, le masseur du
hammam dit : « Mais comment fera le berger pour
s'appuyer sur un bâton qui n'est pas plus gros que la
phalangette du petit doigt? » Le garçon répondit :
« Je compte pour cela, mon bon oncle, sur ton géné-
reux vouloir. Tu vas aller sur l'estrade où j'ai laissé
mes vêtements, et tu prendras la bourse que tu
trouveras dans ma ceinture ; et avec l'or qu'elle
contient tu iras me chercher une adolescente capa-
ble de commencer ce développement. Et moi je ferai
avec elle mon premier essai ! » Et le masseur répon-
dit : « J'écoute et j'obéis ! » Et il alla sur l'estrade,
prit la bourse et sortit du hammam chercher l'ado-
lescente en question.

En cours de route, il se dit : « Ce pauvre garçon
s'imagine qu'un zebb est une pâte de caramel mou,
qui se développe tant et plus dès qu'on la touche !
Ou peut-être croit-il que le concombre devient con-
combre du jour au lendemain, ou que la banane
mûrit avant de devenir banane ! » Et, riant de l'a-
venture, il alla trouver son épouse et lui dit : «
mère d'Ali, sache que je viens de masser au hammam
un jeune garçon beau comme la lune dans son plein.
H... est le fils du grand-vizir, et il a toutes les perfec-
tions ; mais, le pauvre ! il n'a point un zebb comme
celui des autres hommes ! Ce qu'il possède est à
peine aussi gros qu'une noisette. Et moi comme je
me lamentais sur sa jeunesse, il m'a donné cette
bourse pleine d'or afin que je lui procure une
adolescente capable de développer en un instant le
pauvre héritage qu'il tient de son vénérable père ;
car le naïf s'imagine que son zebb va s'ériger comme
ça en un instant dès le premier essai ! Moi alors j'ai
pensé qu'il valait mieux que tout cet or restât dans
la maison ; et je viens te trouver pour te décider à 
m'accompagner au hammam où tu feras le simulacre
de te prêter à l'essai sans conséquence du pauvre
garçon. Il n'y a aucun inconvénient à la chose ! Et tu
pourras même passer une heure à rire sur lui, sans
aucundanger ni crainte! Et moi je veillerai du dehors
sur vous deux, et je ferai en sorte de vous protéger
contre la curiosité des baigneurs.

En entendant ces paroles de son époux, la jeune
femme répondit par l'ouïe et l'obéissance et se leva,
et se para et se vêtit de ses plus belles robes. D'ail-
leurs, même sans parures ni ornements, elle pouvait
faire tourner toutes les têtes et s'envoler tous les
cœurs, car elle était la plus belle d'entre les femmes
de son temps...

— A ce moment de sa narration, Schahrazade vit appa-
raître le matin et, discrète, se tut.

Puis elle reprit:  

Le masseur emmena donc son épouse et l'intro-
duisit auprès du jeune fils du vizir, qui attendait tou-
jours étendu sur le marbre de la salle chaude ; et il
les laissa seuls et sortit se poster au dehors pour em-
pêcher les importuns de passer leur tête au travers
de la porte. Et il leur dit de refermer cette porte sur
eux deux en dedans.

Quand donc la jeune femme vit l'adolescent, elle
fut charmée de sa beauté de lune ; et lui également.
Et elle se dit : « Quel dommage qu'il n'ait pas ce
que possèdent les autres hommes ! Car ce que m'a
raconté mon époux est bien vrai : il est à peine aussi
gros qu'une noisette ! » Mais déjà "l'enfant "endormi
entre les cuisses de l'adolescent s'était ému au con-
tact de la jeune femme ; et, comme sa petitesse
n'était qu'apparente seulement et qu'à l'état de som-
meil il était de ceux qui rentrent entièrement dans
le giron de leur père, il commença par secouer sa
torpeur. Et voici qu'il surgit soudain comparable à
celui d' un âne ou d'un éléphant, et vraiment très
grand et très puissant ! Et l'épouse du masseur, à

cette vue, jeta un cri d'admiration et s'élança au cou
de l'adolescent qui la monta comme un coq triom-
phant. Et, en une heure de temps, il la pénétra une
première fois, puis une deuxième fois, puis une
troisième fois, et ainsi de suite jusqu'à la dixième
fois, alors que, tumultueuse, elle s'agitait et gémis-
sait et se remuait éperdument.

Tout cela !

Et, de derrière le treillis en bois de la porte verrouillée, le
masseur voyait toute la scène et n'osait, par crainte
de l'opprobre public, faire du bruit ou casser la
porte. Et il se contentait d'appeler à mi-voix son
épouse qui ne lui répondait pas ! Et il lui disait :
« mère d'Ali, qu'attends-tu donc pour sortir? La
journée s'avance et tu as oublié à la maison ton
nourrisson qui attend le sein ! » Mais elle, située en
dessous de l'adolescent, continuait ses ébats et, au
milieu des rires et des halètements, disait : « Non, par
Allah ! je n'aurai désormais à donner le sein à d'autre
nourrisson que cet enfant! » Et le fils du vizir lui dit :
<< Pourtant tu pourrais bien aller un instant le nourrir,
pour aussitôt revenir! » Elle répondit: « On me ferait
sortir plutôt l'âme avant de me décider à rendre pour
une heure orphelin de sa mère mon nouvel enfant! »

Aussi, quand le pauvre masseur vit son épouse lui
échapper de la sorte, et refuser avec cette effronterie
de revenir à lui, il fut dans un tel désespoir et une
telle rage de jalousie qu'il monta sur la terrasse du
hammam et se jeta de là pour aller se briser la tête
dans la rue. Et il mourut.

Or, cette histoire est pour prouver que le sage ne
doit point se fier aux apparences".

Image associée  Image associée

 


*    instit consentant, fou, non ? eh oui il y a + de 60 ans

les mille et une nuits ce conte-ci sur la grosseur du zeb m'a fait penser à ce qui m'est arrivé à 9 ans dans la classe de M.G


commentaire : "morale orientale qui se rit du sort cruel du masseur"On se régale de cette atmosphère de magie...sans viagra ni cialis !

 

 

 

 

 

 

 

Par CONTES DES MILLE ET UNE NUITS - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 24 mai 3 24 /05 /Mai 14:57

par moments on sent ce récit "bonifié" par le temps comme une bonne bouteille, mais il est fort crédible, et si je vous disais que moi aussi, à  dix ans.....mais ceci est une autre histoire...cavaillongay ne se tolèrera aucune illustration ; recueilli dans jeux vidéo.com 

"v vous raconté l'histoir de mes debut de vie d'homme
c'était quant j'avais 15 ans. avans ca javais une vie paisible, j'était un garçon plutot timide qui réster tjr dans son coin, ne penssant pas trop au sex, quelque jeux en solitaire mais sans plus.

l'année de mes 15 ans avez transformer bc de chose en moi, mon corp devenai celui d'un homme, j'été devenu plus grand plus mince, tous le monde disais que je devenais un beau gosse.

cette été mes parent étais partis en vacance, me laissant avec mon frére qui avait 10 ans de plus que moi, c'était un garçon gentil qui ne parlai pas trop, il m'aider a faire mes devoir, me recupérer des foi de l'ecole quant j'était plus petit, enfin des truc de grand frére presque paternel.
ce jour la mes parent été partis vert 15h, mon frére été sortit eet il est revenu vert les 20H.il avait ramener avec lui des pizza et il ma proposer de regarder un film dans sa chambre.

c'etait un film d'action, et pour la premiére foi que mon frére eté resté en calçon a coté de moi
je ne sais pas si c'étai fait expré ou pas, mais j'avais pu entrevoir son gland.et je n'es pas pus detacher mes yeux de cette belle téte de queu
quant le film c'était terminer mon frére ma proposer de regarder un autre, mais cette foi ci c'etai un film porno.au debut je ne savai pas trop j'etais un peu géné vis a vis de lui, mais l'idée me plaiser au fond
alors j'ai décider de regarder le film
c'etai une histoire ordinaire un sénario clasique, moi le film ne m'interessé pas trop, ce qui m'attirer c'était mon frére.
c'était la première fois que je resenter ca
une attirance pour des mecs peu etre mais mon frére c'était autre chose
d'autant plus la différance d'age qui joué aussi, j'était un adolescent et lui pour moi été un homme
d'un seul coup je remarquer une bosse qui se former sous son calçon, j'était exiter de voir ca, je bander com un malade
mon frére étai concentrait sur le film et d'un seul coup...
et d'un coup, il se retourne vers moi en fixant mon sexe qui allez exploser et me dit "je vois que tu es devenu un homme' j'etai plus rouge que la téte de ma bite, par honte et exitation
d'un seul coup il se léve et me propose de faire un concours de bite
il sort alors sa bite du calçon, moi j'ai timidemen refuser, car c'etai mon frére et il avait un sexe ennorme
il devai faire le double du mien en largeur et presque 1 fois et demi en longueur...
je finit par lui montré ma bite, c'était lui qu'il avait gagné, mais il se met a me rassurer en disant qu'elle aurra la méme taille quant j'aurai son age
et d'un coup je ne sais méme plus comment c arriver, il mis sa main sur mes cuisse puis il la glissé sur mes couille en me disant quel été bien plus grosse que les sienne
puis il se met a caresser mes fesse, et il me mis un doigt dans le cul.j'ai eu mal mais ca me plaiser...
je pri alors son sexe dans ma bouche et je me suis mis a le sucer hardemen, j'etai avide de se gros sexe dure comme une bare de fer
je donner du plaisir a mon frere il gemissait de bonneur.il crier de bonheur et moi je lui crier lache ton jus mon gars lache le, et je le pomper de plus en plus ford
a un moment il se redresse et ma pris ma téte en enfonssan bien sa queu au fond de ma gorge, et je sentis un liquide chaud qui jicler de partous...
chaqu'un es repartis dans sa chambre, les jour sont passé sans jamais reparler de ca

mon frere regréter un peu ce qui c passer moi je ne savait pas trop quoi penser.

un soir alors que je n'arriver pas a dormir, je repenser a tous ca et le fait de pensé a la bite de mon frere m'avais exiter. alors g decider d'aller voir la télé pour me changer les idée. en passan devan la chambre de mon frere la porte etai ouverte, je decide alors de jetai un coup d'oeil.
je me decide alors de voir sous son drap, je souléve doucement le drap, et la je voi mon frere avc un boxer blanc bien moulan, sa bite eté enorme meme quant il dormé.j'avai envi de sentir ses hormone de male viril
soudain je me suis trouver le caressan, c'etai agreable de touché sa queu toute mole ca changer de la foi ou elle arriver dans ma bouche.
mais cela n'a pas duré longtemp car il commencer a durcir ...
en le caressant mon frére se reveil, il été aussi rouge qu'une bite, il sourit puis il me prend et m'allonge sur son lit,il me demande de pas boujet de son tiroir il sort une pair de menotte et un gode.
j'ai su que sa allez etre chaud et que le monstre etai bien reveiller.il m'attache au lit puis il m'enleve mon short tous en caraissan mes gambe et mon torse.puis il m'ecarte les cuisse d'un coup sec et se met a me lecher
sa bouche sur mon sexe eté d'un délice, puis il s'est mis a lecher le troup de mon cul en crachant a l'interieur sa langue sur ma fente eté comme un rasoir.il a mis un doigt en meme temp qu'il me branler, puisil me met le god.j'avais mal mais je chauffer trop, je senter que mon penis n'aller plus tenir son jus.d'un coup il s'arrete et me laisse sur le lit ne pouvant rien faire, il partit pour 5 min mais le temps ma parue 100foi plus long.j'etai comme une chate en chaleur

5 min apres il revient sans dire un mot il me detache et me laisse sur le lit, je me reléve pour le chercher et je ne le trouve plus.en rentran dans ma chambre il me surprend par derriére, il me paque au sol je ne pouver plus bouger,il eté plus fort que moi, il me met un doigt puis un autre, et puis g senti qlq chose de plus gros dilatant mon anus, je hurle de douleur et il se lanse dans des aller retour sans fin.
il baiser com un malade com une béte, il crier, disai des mot vulgaire, ma douleur augmenté son exitation, et son exitation augmenter la mienne

a un moment je senté sa bite gonfler encore plus et il me lache sa puré dans mon cul qui n'étai plus le méme depuis se jour
il me pris aprés pendant que je n'avais plus de force,me posa sur mon lit, il a pris ma bite et la masturba violament il me la suce jusqu'a se que je lache mon sprme d'un jet qui lui arrive a la figure, on sai mis a rire,il a pris mon sperme dans sa bouche et on c embraser. puis on a dormie

voila"    :hap:

 


~> 10 ans, 13 ans, 15 ans  et il faudrait que j'en parle plus ? RECIT BRUT DE DECOFFRAGE  aucune faute n'est corrigée. ENJOY !

 


COMMENTAIRE : "à dix ans, moi aussi j'en avais déjà fait des "galipettes" entre copains"(RIENDERIEN)   

Par LANSELO - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 23 mai 2 23 /05 /Mai 14:50

  sorry, j'avais fait ce post avant l'attentat de MANCHESTER si j'avais su... désolé, comment vous dire qu'on vous aime ... désolé,  claudio   

mais nous on était cons , on fantasmait -tous- et l'image qui venait aux mecs c'était plutôt ça qu'autre chose les insultes au quotidien étant "va te faire tirer..." y avait forcément qui "oui" se faisaient tirer et qui "non", le souhaitaient aux autres !    : 

 

 manFuck ..                                                                                                                                                                                                             

  - "non, c'est vrai, on était cons....avec malice et délice !même les purs hétéros" -lol-

This is "to be on the verge of undressing" :

    Résultat de recherche d'images pour "gay porn #assis# sur une verge"

  And thisRésultat de recherche d'images pour "gay porn dick threatening to penetrate" is "to be on the verge of getting double fucked ! "

  sorry, j'avais fait ce post avant l'attentat de MANCHESTER si j'avais su...   

 


commentaire : Je chassais mes idées noires
En chantant
C'est beaucoup moins inquiétant
De parler du mauvais temps
En chantant
Et c'est tellement plus mignon
De se faire traiter de con
En chansons     Sardou "en chantant"


Par claudio - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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