AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES

Samedi 8 avril 6 08 /04 /Avr 07:04

Tout comme vous Je connais ce sentiment De solitude et d’isolement ! - Vous c’est l’eau, c’est l’eau Qui vous sépare Et vous laisse à part.

 

 

 

 

 

Tout comme vous Je connais ce sentiment De solitude et d’isolement ! - Vous c’est l’eau, c’est l’eau Qui vous sépare Et vous laisse à part.

 

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  Rêve,  Rêve, Rêve,  

Lui souffrait du racisme qui ne dit pas son nom  et sourit  hypocritement...toi tu souffres et as souffert d'une "vie"au placard, et c'est bien proche ... Rêve,  Rêve, Rêve, d'être dans les bras d'un métis inconnu que tu aimes et qui t'aime et t'aimera...ET ALORS ?

Francis Cabrel ne se doute pas de l'usage (détourné) qui peut être fait de son texte :(je voudrais pas exquinter sa poésie, mais en version gai c'est bien aussi !)

Mon enfant nu( e ) sur les galets
Le vent dans tes cheveux défaits
Comme un printemps sur mon trajet
Un diamant tombé d'un coffret
Seule la lumière pourrait
Défaire nos repères secrets
Où mes doigts pris sur tes poignets
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Et quoique tu fasses
L'amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l'espace
Dans le moindre rêve où tu t'attardes
L'amour comme s'il en pleuvait
Nu sur les galets

Le ciel prétend qu'il te connaît
Il est si beau c'est sûrement vrai
Lui qui ne s'approche jamais
Je l'ai vu pris dans tes filets
Le monde a tellement de regrets

Tellement de choses qu'on promet
Une seule pour laquelle je suis fait
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai

 

 Et Voulzy, non ?

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Belle-Ile-en-Mer

Marie-Galante

Saint-Vincent

Loin Singapour

Seymour, Ceylan

Vous c’est l’eau, c’est l’eau

Qui vous sépare

Et vous laisse à part.

Moi des souvenirs d’enfance

En France

Violence
Manque d’indulgence

Par les différences que j’ai

Café

Léger

Au lait mélangé

Séparé petit enfant

Tout comme vous

Je connais ce sentiment

De solitude et d’isolement

Belle-Ile-en-Mer

Marie-Galante

Saint-Vincent

Loin Singapour

Seymour, Ceylan

Vous c’est l’eau, c’est l’eau

Qui vous sépare

Et vous laisse à part.

Comme laisse tout seul en mer

Corsaire

Sur terre

Un peu solitaire

L’amour je l’voyais passer

Ohé

Ohé

Je l’’voyais passer

Séparé petit enfant

Tout comme vous

Je connais ce sentiment

De solitude et d’isolement

Belle-Ile-en-Mer

Marie-Galante

Saint-Vincent

Loin Singapour

Seymour, Ceylan

Vous c’est l’eau, c’est l’eau

Qui vous sépare

Et vous laisse à part.

Karukera

Calédonie

Ouessant

Vierges des mers

Toutes seules

Tout l’temps

Vous c’est l’eau

C’est l’eau

Qui vous sépare

Et vous laisse à part...

Laurent Voulzy

les lettres c'est sorti comme ça...-lol-

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commentaire : poster à claudemodou@gmail.com

Par SECLUDED - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 20 janvier 5 20 /01 /Jan 14:53

Beaucoup des jeunes gars avec qui on a une première relation sexuelle homo se disent "bi" car avoir la vie  devant soi implique des possibilités de changer  

forum de CONSEIL Québécois  (ligneazur.org) : " Au pire, tu perds un (mauvais) ami qui te juge avant de chercher à te comprendre. Soyons honnête, tu ne perds donc pas grand chose. Au mieux ? Votre amitié sera renforcée par ce petit secret et cette ambiguité latente entre vous. Et si tu fais partie des gens qui ont une chance insolente : ton meilleur ami te tombe dans les bras et vous finissez dans ses draps".

Témoignage : Moi j'étais un peu plus âgé, ayant le permis j'ai emprunté leur voiture à mes parents et on est partis avec mon ami et moi sous la tente. J'ai proposé d'unir nos duvets. Il n'a pas dit non. J'en avais le coeur battant. Le sommeil dans la nuit nous a rapprochés on était bien je crois à se donner chaud. Je ne sais pas si je suis allé trop loin, il a dû sentir que je le désirais. Le lendemain matin il a séparé les duvets. Je lui ai dit : "ah tu préfères ? " Sa réponse a été sans embages : " oui toi quand tu dors tu me prends pour une gonzesse" et ça a suffi. L'amitié est restée longtemps puis chacun a fait sa vie de son côté. 

Vers 15-16ans Avec mon vrai 1er amour c'est en déconnant et en "luttant" qu'on s'est retrouvés au lit, moi faisant semblant d'avoir le dessous et lui facile vainqueur...on était tout cons après quand on l'a eu fait, mais c'était extra !

 

On faisait semblant de se bagarrer on savait comment ça allait finir...

    en déconnant  et ça a fini au pieu ! : 

   

 

  la lutte, un bon prétexte   une bonne  raison pour rapprocher les corps au maximum  

 

 

 

    Témoignage :Moi et LUi, lol, lui fort et costaud on luttait tout ele temps quand on baladait ensemble dans la pinède.(hummmml'odeur des pins !). Il avait le dessus. Il me déculottait "de force" puis tirait son short avec sa queue bandée entre mes cuisses pointée sur mon trois pièces. Après un bon nombre d'allées et venues il se branlait sur moi et finissait par gicler sur mes testicules et mon sexe. J'ai appris le contact et le parfum du sperme mêlé à cette odeur des pins devenue ma "madeleine de Proust " quand je balade. Mais il avait un sérieux phimosis et ça n'est jamais allé plus loin sinon que je m'offrais vainement...je sais pas ce qu'il est devenu , mais en moi il est vivant et ça peut expliquer mon goût pour le frottage...c'est comme gravé dans le marbre cette chose-la.   

 

 

 Ligne Azur : « Déclarer ses sentiments est une démarche difficile pour beaucoup de personnes, quel que soit l’âge et vers qui est dirigée cette future déclaration (que ce soit vers une personne du même sexe ou de l’autre sexe). Il n’est pas toujours simple de faire la part des choses  entre le sentiment amoureux et la « simple » amitié forte. A l’adolescence, les relations entre deux personnes peuvent être ambigües en mélangeant amitié profonde, sentiment amoureux et désir. Chacun placera alors son curseur en fonction de son ressenti. Cela est rendu d’autant plus compliqué que le sentiment éprouvé est dirigé vers une personne du même sexe. Outre d’avoir à affronter le refus, il y a aussi la crainte d’être rejeté-e par le simple fait d’être attiré-e par une personne du même sexe. Avant toute déclaration, il peut être intéressant de rechercher des éléments qui permettent de penser que ce sentiment amoureux est réciproque. Si cela se passe mal ou pas, il est recommandé de chercher dans son entourage, une (des) personne-s (ami-e-s, membre de la famille….) de confiance avec qui échanger sur la situation. Il serait aussi préférable de « sonder » la personne vers qui se dirigent les sentiments pour savoir comment cette dernière perçoit le désir affectif et sexuel envers une personne de même sexe. »

Francois Renaud M.A, sexologue clinicien à Montréal :                        

« L’adolescence est une période où l’on explore notre sexualité et plus particulièrement notre orientation sexuelle. Cette dernière nécessite de vivre des expériences (masturbation, fantasmes, relations sexuelles, etc.) pour être en mesure de la déterminer. Elle peut varier selon notre vécu et le rapport que nous avons à la sexualité. L’orientation sexuelle est déterminée par de nombreuses variables comme nos fantasmes, nos comportements ainsi que notre attirance sexuelle et amoureuse. Malheureusement, il existe encore de l’homophobie dans nos sociétés, malgré le progrès des dernières années. Donc, annoncer notre attirance homosexuelle envers une personne peut varier énormément. Avant de l’annoncer, on peut évaluer la perception que ce dernier possède de l’homosexualité. Si on perçoit des attitudes homophobes, il serait possiblement mieux de ne pas se dévoiler. Mais dans le cas contraire, il ne faut pas hésiter à en parler. »

REGRETS ETERNELS /Le conseil de Fabien, étudiant en BTS :

« Tout dépend du contexte et du rapport que tu entretiens avec ton meilleur ami. Mais je pense que tu pourrais déjà commencer par aborder plus généralement le sujet de l’homosexualité avec lui, histoire de tâter le terrain. En fonction de sa réaction, tu pourras lui avouer tes sentiments. Ou pas. A titre d’anecdote, j’ai vécu un peu la même situation que toi quand j’étais au lycée. Je n’ai pas osé en parler tout de suite à mon meilleur pote. Aujourd’hui, il sait que je suis gay et quand je lui ai avoué que j’avais été amoureux de lui, il m’a dit que j’avais vraiment été idiot de me taire… parce qu’on aurait pu former un joli couple ! Tu noteras, au passage, que lui non plus n’avait pas osé faire le premier pas pour m’avouer son homosexualité. Bref, maintenant son cœur est pris mais il reste mon meilleur ami.»

 

LE CONSEIL DU SITE canadien  :

Parle avec lui. Au pire, tu perds un (mauvais) ami qui te juge avant de chercher à te comprendre. Soyons honnête, tu ne perds donc pas grand chose. Au mieux ? Votre amitié sera renforcée par ce petit secret et cette ambiguité latente entre vous. Et si tu fais partie des gens qui ont une chance insolente : ton meilleur ami te tombe dans les bras et vous finissez dans ses draps. Non, vraiment, ne te fais pas de souci avec cette question. Mais par pitié ne reste pas dans ton placard ! Nos aîné(e)s ont testé des milliers de placards avant nous, certains cherchent encore à en sortir, alors fais sauter les verrous et sors de là, il fait beau dehors !

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ceci n'est pas un Magritte-lol-

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commentaires :

Par sèzanalor - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 15:11

    mais comme on n'y peut rien...eh ben...on dira tant pis!(-lol-) soyez le bienvenu quand même !  

Gingerbread Man Troye Sivan un majeur qui n'a pas froid aux yeux, lui  

  quelles bonnes choses avez-vous retenues de cette visite sur la pointe des pieds yeux et des oreilles  ? On l'espère.  

 

   

 

  hein pt'its coquins !  

 bromanceuniverse: “Follow me for more @ bromanceuniverse.tumblr.com ”
       

 

 

Par CON CIERGE - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 15:09

 on voyait tous qu'il était bien pourvu et cette histoire est restée entre nous  Je trouve que cet épisode est resté à son avantage  

    irrésistible : je l'ai trouvé dans

 http://www.tropbontropcon.net/index.php?page=story&id=33

   cet épisode est resté à son avantage ...on va dire qu'il s'appelle Franck !                                                                          

 

 

on s'est foutus de lui mais pas méchamment

 

mes potes, les mecs les plus inconnus du lycée et surtout les filles, je sais pas quel regard ils posent sur moi maintenant... 

 

 

18 ans et nouvel élève en plein 1er trimestre en terminale...les autres ont décidé de me bizuter

 13 heures 30. Effrayé à l’idée de devoir courir en pleine nature entièrement à poil m’inquiète. Si je devais rencontrer quelqu’un, comment me cacher. Je supplie Valentin de me rendre au moins mon slip et mon tee shirt. Les autres rigolent et me harcèlent en me montrant mes vêtements comme un trophée et disent « viens les chercher ». Je cours sans cesse après mes vêtements qui changent de main en main plus vite que je ne peux suivre. Thomas, Vincent et Sébastien se passent mon slip comme une balle de volley en rigolant et en criant « alors ta queue va prendre froid, t’a de belles fesses, putain, le beau cul !».
Résigné et plein de honte, j’exécute mon gage et m’engage effrayé dans le chemin qui mène jusqu’à la route en mettant les mains devant mon pénis pour le cacher tant bien que je peux. Au fait, tu as intérêt à aller jusqu’au pont, sinon gare à toi, on te surveille. Et à mon retour, vous me rendez mes vêtements n’est ce pas ? Bien sûr tu peux y compter, on n’est pas vache me répond Valentin en ricanant.
Je m’éloigne et entends toujours les rires de mes copains qui m’ont tendu ce piège. Le chemin est désert mais longe la route où une voiture peut survenir et me voir. Un kilomètre plus loin j’arrive enfin au pont que je traverse en courant dans l’espoir de ne pas être vu. Ma montre que j’ai gardée m’indique qu’il est déjà 15 heures. Il faut absolument que je sois de retour dans la clairière avant les filles. Paniqué à la venue éventuelle des filles je détale comme un lapin vers la clairière où j’ai laissé mes copains. Je me rassure et suis maintenant convaincu que la venue des filles est une farce pour m’effrayer et que valentin mon meilleur copain me ferait pas cela. Je suis soulagé d’avoir vécu le plus gros de cette aventure et suis convaincu de retrouver mes habits.
La clairière est en vue, je ralentis ma course et m’arrête net en me jetant à terre derrière un buisson quand je constate avec frayeur que les filles sont là dans la clairière. Elles ne sont pas venues seules mais accompagnées de toute ma classe. Mon cœur se met à battre et je me trouve à nouveau en érection à l’idée d’être tout nu devant toute ma classe dix filles et dix neuf garçons. Pourtant Valentin m’avait promis. Quelle honte et comment m’en sortir, retourner dans le chemin mais aller où? Où vais je trouver des habits, je panique et me blottis contre terre terrifié d’être découvert. Valentin est en train d’expliquer à toute la meute mon aventure et je vois les filles qui se passent mon slip de main en main en rigolant. Mes vêtements sont exhibés en trophée de guerre et je remarque que Sébastien qui était en short de sport a même revêtu mon jeans. Une fille est assise fièrement sur mon blouson, Thomas et Sébastien jouent au jongleur avec mes baskets. Tout le monde attend mon retour impatiemment et les nouveaux venus scrutent l’horizon en ma direction et sont déjà excités à me voir tout nu . Je rampe lentement en arrière, rouge de honte, et envisage une retraite. Il n’est pas question de pouvoir aller dans la clairière, c’est pire que tout.
Tout à coup, j’entends des bruits derrière moi qui se rapprochent très vite. Je n’ose plus bouger, encore moins me retourner quand je devine qu’il s’agit de vélos. « Putain Eric, cool, les gars du lycée ont foutu un des leurs entièrement à poil. On va voir sa bite c’est super». Rouge de honte, je me retourne et vois à trois mètres de moi cinq gamins du village âgés de 11 à 15 ans qui sont morts de rire. Moi, je suis couché par terre, ventre à terre, ma verge qui bande, et je recouvre mes fesses avec mes mains comme je peux.
Les autres n’ont pas encore remarqué la scène, il faut faire vite. Eh les gars leur dis je confiant, vous êtes sympas, aidez-moi et prêtez moi des fringues. Je vais vous donner ce que vous voulez. Ils continuent de rire et trouvent cette situation extrême marrante. Le plus jeune qui a peut être 11 ans dit « c’est la première fois que je vois quelqu’un à poil c’est trop marrant, ce serait dégueulasse de t’aider » un autre rajoute, «il fait chaud, tu devrais en profiter, pourquoi tu t’caches, lève-toi et montre-toi, pas question qu’on t’aide, débrouille toi tout seul. » Paniqué, je crie, soyez sympas, aidez moi, je ferai ce que vous voulez. «Bon répond le plus grand, tout d’abord tu sors de là et tu te lèves, tu nous fais voir ta verge» ok. Je m’exécute en tremblant. Bien maintenant tu nous laisses toucher ta queue. Je fais un signe de la tête en disant oui forcé. Les uns après les autres me caressent la verge et le plus petit celui qui a onze ans prend un malin plaisir et me chatouille également les testicules en me fixant avec ses yeux brillants.«Pas mal t’as vu que tu y arrives !». «Bon maintenant pour finir, nous te demandons de te masturber devant nous». Pardon ? je n’ai pas compris. Le plus grand qui semble s’appeler Eric s’apprête à appeler le groupe du Lycée. C’est bon,pitié, je vais le faire. Je commence à me caresser mon pénis et à me frotter fortement ma verge, le cœur battant et rouge de figure. Le petit me caresse les fesses en rigolant. Soudain , j’aperçois un flash d’un appareil photo. Te voilà pris en photo me crie Eric. Au même moment j’éjacule ce qui provoque l’étonnement du plus petit qui est stupéfait. « Eh oui, tu as fait l’éducation sexuelle du petit, encore quelques photos en gros plan et on te rend à tes potes, t’étais super. Comment ? Eh oui fallait pas nous croire, on t’as bien eu !» .Le plus grand du groupe me met à crier très fort « hé les gars, votre copain se cache ici » Une seconde après, tout le groupe se met à courir dans ma direction. Pris de panique, je me lève et essaie de sauter sur un vélo. J’y arrive, renverse le plus petit et commence à m’enfuir tout nu sur le vélo. J’ai dû mal à pédaler avec mes pieds nus sur le pédalier en crampon de métal. Les autres me suivent à vélo et finissent par me barrer la route quelques mètres plus loin. Ma situation a encore empiré. Les quatre jeunes du village m’empoignent violemment et me tiennent en attendant que toute la troupe arrive. Tout le monde est déjà tout excité à l’idée de m’humilier. « Tu vas nous le payer ! ». Valentin le premier arrivé demande à tous « qu’est ce qu’on va lui faire ? », une bite au cirage répondent les autres en hurlant. Les jeunes du village à vélo sont priés de chercher du cirage et une corde. Rendez vous est donné dans la clairière. Les filles se rapprochent et fixent du regard ma queue toujours en érection que j’essaie de cacher avec les mains. « Enlève les mains et mets les sur la tête, on veut voir ta belle queue » me crient certains. Les filles posent à côté de moi et les autres commencent à me prendre en photo avec leur smartphone. D’autres commencent à m’humilier en me caressant les fesses et en tirant ma verge. Arrivés dans la clairière je constate que les mômes du village sont déjà de retour en vélo avec le matériel. Ils en ont profité pour ramener d’autres copains du village ainsi que des filles qui sont toutes excités à participer à la fête. On m’attache à un arbre en me bloquant les bras et les pieds avec une corde. Les filles sont chargées de me faire une bite au cirage et en profitent pour me décorer le torse avec du cirage. Tout le monde rigole et m’humilie pendant tout l’après midi. Je suis obligé de courir tout nu dans la clairière entre tous qui rigolent et applaudissent.
Il va être 15h00 quant les jeunes du village décident de rentrer chez eux. Valentin et Olivier me détachent. « Il est l’heure de rentrer au lycée, on va tenir notre promesse et te relâcher, on s’est bien amusés » dit Valentin. Olivier rajoute, on n’est pas vache, tu ne seras pas obligé de rentrer entièrement à poil au lycée, on va te rendre tes baskets, d’accord, » Je le supplie de me rendre mes frusques. « tu es habitué maintenant et t'es tout mignon à poil, tu n’as plus besoin de fringues » A peine dit, Sébastien, toujours vêtu de mon jeans, me jette les basquets aux pieds et tout le monde détale en courant et en rigolant en emportant mes fringues. Les filles rajoutent « traîne pas trop en route, on se verra dans la cour du lycée, il faut que les autres voient ta bite, elle est trop belle »
Je me trouve tout seul dans la clairière, entièrement à poil, couvert de cirage avec seul vêtement accessible, mes baskets. Je chausse mes baskets et n’ai pas d’autre choix que de retourner au lycée et dans cette tenue.
Je m’engage sur le chemin du retour et commence seulement à me rendre compte ce qui m’arrive vraiment. Je suis entièrement à poil, uniquement vêtu de baskets, aucune possibilité de me cacher et ne peut pas rester dans la forêt. Il est 15h et je sais que tous les élèves sont maintenant dans la cour et que les autres ont certainement tout raconté. Débarquer ainsi devant 600 élèves m’est une chose impossible. Je préfère encore aller dans le village et sonner dans la première maison. Que faire ? Je suis désespéré et couvert de honte .N’arrivant pas à trouver une solution, je joue pile ou face avec une feuille de châtaignier. Si elle tombe sur le dos, je vais au village, si elle tombe sur la face, je vais au lycée. Je lance la feuille qui retombe après quelques pirouettes sur la face : c’est le lycée..

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commentaires :

Par FRANCK - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 13 janvier 5 13 /01 /Jan 08:05

  un coming out est souvent préludé par un outing ! et là c'est peut-être le pire !

d

Je dédie ce film aux jeunes du Refuge ainsi qu'à tous les homosexuels dont le coming-out a été difficile. N'oubliez jamais que vous êtes libre de vos propres choix et que nul autre que vous ne pourra choisir la liberté que vous décidez d'avoir. Lucas Morales

Par MIEUKEMOI - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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