Partager l'article ! BIZUTAGE AU LYCEE 18 ans et nouvel élève en plein 1er trimestre en terminale...les autres ont décidé de me bizuter: on voyait tous qu'i ...
on voyait tous qu'il était bien pourvu et cette histoire est restée entre nous Je trouve que cet épisode est resté à son avantage
irrésistible : je l'ai trouvé dans
http://www.tropbontropcon.net/index.php?page=story&id=33
cet épisode est resté à son avantage ...on va dire qu'il s'appelle Franck !
on s'est foutus de lui mais pas méchamment
mes potes, les mecs les plus inconnus du lycée et surtout les filles, je sais pas quel regard ils posent sur moi maintenant...
18 ans et nouvel élève en plein 1er trimestre en terminale...les autres ont décidé de me bizuter
13 heures 30. Effrayé à l’idée de devoir courir en pleine nature entièrement à poil m’inquiète. Si je devais rencontrer quelqu’un, comment me
cacher. Je supplie Valentin de me rendre au moins mon slip et mon tee shirt. Les autres rigolent et me harcèlent en me montrant mes vêtements comme un trophée et disent « viens les chercher ». Je
cours sans cesse après mes vêtements qui changent de main en main plus vite que je ne peux suivre. Thomas, Vincent et Sébastien se passent mon slip comme une balle de volley en rigolant et en
criant « alors ta queue va prendre froid, t’a de belles fesses, putain, le beau cul !».
Résigné et plein de honte, j’exécute mon gage et m’engage effrayé dans le chemin qui mène jusqu’à la route en mettant les mains devant mon
pénis pour le cacher tant bien que je peux. Au fait, tu as intérêt à aller jusqu’au pont, sinon gare à toi, on te surveille. Et à mon retour, vous me rendez mes vêtements n’est ce pas ? Bien sûr
tu peux y compter, on n’est pas vache me répond Valentin en ricanant.
Je m’éloigne et entends toujours les rires de mes copains qui m’ont tendu ce piège. Le chemin est désert mais longe la route où une voiture peut
survenir et me voir. Un kilomètre plus loin j’arrive enfin au pont que je traverse en courant dans l’espoir de ne pas être vu. Ma montre que j’ai gardée m’indique qu’il est déjà 15 heures. Il
faut absolument que je sois de retour dans la clairière avant les filles. Paniqué à la venue éventuelle des filles je détale comme un lapin vers la clairière où j’ai laissé mes copains. Je me
rassure et suis maintenant convaincu que la venue des filles est une farce pour m’effrayer et que valentin mon meilleur copain me ferait pas cela. Je suis soulagé d’avoir vécu le plus gros de
cette aventure et suis convaincu de retrouver mes habits.
La clairière est en vue, je ralentis ma course et m’arrête net en me jetant à terre derrière un buisson quand je constate avec frayeur que les
filles sont là dans la clairière. Elles ne sont pas venues seules mais accompagnées de toute ma classe. Mon cœur se met à battre et je me trouve à nouveau en érection à l’idée d’être tout nu
devant toute ma classe dix filles et dix neuf garçons. Pourtant Valentin m’avait promis. Quelle honte et comment m’en sortir, retourner dans le chemin mais aller où? Où vais je trouver des
habits, je panique et me blottis contre terre terrifié d’être découvert. Valentin est en train d’expliquer à toute la meute mon aventure et je vois les filles qui se passent mon slip de main en
main en rigolant. Mes vêtements sont exhibés en trophée de guerre et je remarque que Sébastien qui était en short de sport a même revêtu mon jeans. Une fille est assise fièrement sur mon blouson,
Thomas et Sébastien jouent au jongleur avec mes baskets. Tout le monde attend mon retour impatiemment et les nouveaux venus scrutent l’horizon en ma direction et sont déjà excités à me voir tout
nu . Je rampe lentement en arrière, rouge de honte, et envisage une retraite. Il n’est pas question de pouvoir aller dans la clairière, c’est pire que tout.
Tout à coup, j’entends des bruits derrière moi qui se rapprochent très vite. Je n’ose plus bouger, encore moins me retourner quand je devine qu’il
s’agit de vélos. « Putain Eric, cool, les gars du lycée ont foutu un des leurs entièrement à poil. On va voir sa bite c’est super». Rouge de honte, je me retourne et vois à trois mètres de moi
cinq gamins du village âgés de 11 à 15 ans qui sont morts de rire. Moi, je suis couché par terre, ventre à terre, ma verge qui bande, et je recouvre mes fesses avec mes mains comme je
peux.
Les autres n’ont pas encore remarqué la scène, il faut faire vite. Eh les gars leur dis je confiant, vous êtes sympas, aidez-moi et prêtez moi des
fringues. Je vais vous donner ce que vous voulez. Ils continuent de rire et trouvent cette situation extrême marrante. Le plus jeune qui a peut être 11 ans dit « c’est la première fois que je
vois quelqu’un à poil c’est trop marrant, ce serait dégueulasse de t’aider » un autre rajoute, «il fait chaud, tu devrais en profiter, pourquoi tu t’caches, lève-toi et montre-toi, pas question
qu’on t’aide, débrouille toi tout seul. » Paniqué, je crie, soyez sympas, aidez moi, je ferai ce que vous voulez. «Bon répond le plus grand, tout d’abord tu sors de là et tu te lèves, tu nous
fais voir ta verge» ok. Je m’exécute en tremblant. Bien maintenant tu nous laisses toucher ta queue. Je fais un signe de la tête en disant oui forcé. Les uns après les autres me caressent la
verge et le plus petit celui qui a onze ans prend un malin plaisir et me chatouille également les testicules en me fixant avec ses yeux brillants.«Pas mal t’as vu que tu y arrives !». «Bon
maintenant pour finir, nous te demandons de te masturber devant nous». Pardon ? je n’ai pas compris. Le plus grand qui semble s’appeler Eric s’apprête à appeler le groupe du Lycée. C’est
bon,pitié, je vais le faire. Je commence à me caresser mon pénis et à me frotter fortement ma verge, le cœur battant et rouge de figure. Le petit me caresse les fesses en rigolant. Soudain ,
j’aperçois un flash d’un appareil photo. Te voilà pris en photo me crie Eric. Au même moment j’éjacule ce qui provoque l’étonnement du plus petit qui est stupéfait. « Eh oui, tu as fait
l’éducation sexuelle du petit, encore quelques photos en gros plan et on te rend à tes potes, t’étais super. Comment ? Eh oui fallait pas nous croire, on t’as bien eu !» .Le plus grand du groupe
me met à crier très fort « hé les gars, votre copain se cache ici » Une seconde après, tout le groupe se met à courir dans ma direction. Pris de panique, je me lève et essaie de sauter sur un
vélo. J’y arrive, renverse le plus petit et commence à m’enfuir tout nu sur le vélo. J’ai dû mal à pédaler avec mes pieds nus sur le pédalier en crampon de métal. Les autres me suivent à vélo et
finissent par me barrer la route quelques mètres plus loin. Ma situation a encore empiré. Les quatre jeunes du village m’empoignent violemment et me tiennent en attendant que toute la troupe
arrive. Tout le monde est déjà tout excité à l’idée de m’humilier. « Tu vas nous le payer ! ». Valentin le premier arrivé demande à tous « qu’est ce qu’on va lui faire ? », une bite au
cirage répondent les autres en hurlant. Les jeunes du village à vélo sont priés de chercher du cirage et une corde. Rendez vous est donné dans la clairière. Les filles se rapprochent et fixent du
regard ma queue toujours en érection que j’essaie de cacher avec les mains. « Enlève les mains et mets les sur la tête, on veut voir ta belle queue » me crient certains. Les filles posent à côté
de moi et les autres commencent à me prendre en photo avec leur smartphone. D’autres commencent à m’humilier en me caressant les fesses et en tirant ma verge. Arrivés dans la clairière je
constate que les mômes du village sont déjà de retour en vélo avec le matériel. Ils en ont profité pour ramener d’autres copains du village ainsi que des filles qui sont toutes excités à
participer à la fête. On m’attache à un arbre en me bloquant les bras et les pieds avec une corde. Les filles sont chargées de me faire une bite au cirage et en profitent pour me décorer le torse
avec du cirage. Tout le monde rigole et m’humilie pendant tout l’après midi. Je suis obligé de courir tout nu dans la clairière entre tous qui rigolent et applaudissent.
Il va être 15h00 quant les jeunes du village décident de rentrer chez eux. Valentin et Olivier me détachent. « Il est l’heure de rentrer au lycée,
on va tenir notre promesse et te relâcher, on s’est bien amusés » dit Valentin. Olivier rajoute, on n’est pas vache, tu ne seras pas obligé de rentrer entièrement à poil au lycée, on va te rendre
tes baskets, d’accord, » Je le supplie de me rendre mes frusques. « tu es habitué maintenant et t'es tout mignon à poil, tu n’as plus besoin de fringues » A peine dit, Sébastien, toujours vêtu de
mon jeans, me jette les basquets aux pieds et tout le monde détale en courant et en rigolant en emportant mes fringues. Les filles rajoutent « traîne pas trop en route, on se verra dans la cour
du lycée, il faut que les autres voient ta bite, elle est trop belle »
Je me trouve tout seul dans la clairière, entièrement à poil, couvert de cirage avec seul vêtement accessible, mes baskets. Je chausse mes baskets
et n’ai pas d’autre choix que de retourner au lycée et dans cette tenue.
Je m’engage sur le chemin du retour et commence seulement à me rendre compte ce qui m’arrive vraiment. Je suis entièrement à poil, uniquement vêtu
de baskets, aucune possibilité de me cacher et ne peut pas rester dans la forêt. Il est 15h et je sais que tous les élèves sont maintenant dans la cour et que les autres ont certainement tout
raconté. Débarquer ainsi devant 600 élèves m’est une chose impossible. Je préfère encore aller dans le village et sonner dans la première maison. Que faire ? Je suis désespéré et couvert de honte
.N’arrivant pas à trouver une solution, je joue pile ou face avec une feuille de châtaignier. Si elle tombe sur le dos, je vais au village, si elle tombe sur la face, je vais au lycée. Je lance
la feuille qui retombe après quelques pirouettes sur la face : c’est le lycée..
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