Mercredi 24 mai 3 24 /05 /Mai 23:09

dans ce CM1 les élèves se branlaient assis à leur pupitre pendant les cours. Les grands avaient un zeb(b) énorme à mes yeux. Et moi, avec mon petit zizi, la plupart du temps rétracté, j'en ressentais un sentiment d'infériorité jusqu'au jour où un grand nommé Orelio C. est venu s'asseoir à côté de moi. Comme c'était l'activité soi-disant secrète  de toute la classe (sans l'avoir jamais dit, l'instit était forcément consentant*)Orelio C. a sorti son énorme queue et m'a placé la main droite dessus. Et toi, me dit-il ? Fais voir !  Intimidé, je ne bandais pas, sa main insistante dans ma braguette a fait changer les choses. Je savais que depuis tout petit mon sexe stimulé devenait énorme...enfin,  à mes yeux étonnés, mais Orélio en a été très surpris et bruyamment a fait part de cet "exploit" à tous nos voisins et la nouvelle s'est rapidement propagée. -"Il a un tout petit chichi, mais quand il bande il est énorme".  Orélio m'avait sorti de ma mauvaise réputation et m'a fait rentrer dans le groupe des "mecs". Par la suite je me suis fait un copain de branle-en-classe, Alain. Sa bite(on disait son chichi ou son vier) était un peu plus petite que la mienne on s'excitait mutuellement mais à cet âge on ne risquait pas de juter ! Oui, le conte ci-après m'a fait penser à mon CM1! -lol-  

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1.LES MILLE ET UNE NUITS, ANECDOTES MORALES... (LES TROIS SOUHAITS)



"la perfection de l'homme et ses délices résident dans
sa virilité, et que l'homme ne peut être parfait s'il
est chaste, eunuque ou impuissant. Par conséquent,
plus le zebb de l'homme est considérable, plus sa vi-
rilité est grande et le fait s'acheminer dans la voie
de la perfection. Prosterne-toi donc humblement de-
vant la face du Très-Haut, et dis : « Bienfaiteur,
à Généreux, fais grossir mon zebb jusqu'à la ma-
gnificence ! » Et l'homme se prosterna et, tournant
ses paumes vers le ciel, dit : « Bienfaiteur, ô Gé-
néreux, fais grossir mon zebb jusqu'à la magnifi-
cence ! »

Or, à peine ce désir avait-il été formulé, qu'il fut
exaucé, et au delà, à l'heure et à l'instant. Car aussi-
tôt le saint homme vit son zebb se gonfler et se
magnifier, tellement qu'on l'eût pris pour une cale-
basse reposant entre deux grosses citrouilles. Et le
poids de tout cela était si considérable qu'il obligeait
son propriétaire à se rasseoir quand il se levait, et à
se lever quand il se couchait.

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Aussi l'épouse fut si terrifiée à cette vue qu'elle
s'échappait par la fuite toutes les fois que l'appelait
à l'essai le saint homme. Et elle s'écriait : « Comment
veux-tu que je fasse l'essai de cet outil dont le simple
jet est capable de perforer les rochers d'outre en
outre? » Et le pauvre homme finit par lui dire : « O
femme exécrable, que me faut-il faire de cela main-
tenant C'est ton œuvre, maudite! » Elle répondit :
« Le nom d'Allah sur moi et autour de moi ! Prie
sur le Prophète, ô vieillard à l'œil vide ! Moi, par
Allah ! je n'ai point besoin de tout cela, et ne t'ai
point dit d'en demander autant ! Prie donc le ciel

 de te le diminuer"

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 suite :

LES MILLE  ET UNE NUIT

"de te le diminuer !" Ce sera là ton second souhait ! »

Le saint homme leva alors les yeux au ciel et dit :
« Allah, je te supplie de me débarrasser de cette
encombrante marchandise, et de me délivrer du
tracas qu'elle me procure ! » Et aussitôt l'homme
devint lisse quant à son ventre, sans plus de trace
de zebb et d'œufs que s'il eût été une jeune fille im-
pubère.*

Mais cette disparition complète ne le satisfit guère,
pas plus lui que son épouse, qui se mit à l'invecti-
ver et à lui reprocher de l'avoir à jamais frustrée de
son dû. Aussi la peine du saint homme fut-elle ex-
trême ; et il dit à son épouse : « Tout cela est ta
faute et vient de tes conseils insensés! femme sans
jugement, moi j'avais droit à trois souhaits devant
Allah, et je pouvais choisir à mon gré ce qui me
plaisait le mieux des biens de ce monde et de l'autre.
Et voilà que deux de mes vœux ont été déjà exaucés,
mais c'est tout comme si de rien n'était. Et me voici
dans une condition pire que la précédente! Mais
comme il me reste encore le droit de formuler mon
troisième souhait, je vais demander à mon Seigneur
de me faire réintégrer dans ce que je possédais tout
à fait au commencement ! »

Et il pria son Seigneur qui exauça son vœu. Et il
rentra dans ce qu'il possédait au commencement !

La morale de cette anecdote est qu'il faut se con-
tenter de ce que l'on a.

* hélas, ce temps où allah répondait aux souhaits de ses croyants est révolu ! Demandez-lui de faire la paix et vous verrez !

2. (LE JEUNE GARÇON...) 67



LE JEUNE GARÇON ET LE MASSEUR DU HAMMAM


Il est raconté, ô Roi fortuné, qu'un certain masseur
de hammam avait pour clients ordinaires les fils des
notables et des plus riches habitants,car le hammam
où il exerçait son métier était le mieux achalandé
de toute la ville. Or, un jour d'entre les jours, entra
dans la salle où il attendait les baigneurs un garçon
encore vierge de poils, mais bien dodu et riche en
rondeurs de tous les côtés à la fois ; et ce garçon
était bien beau de visage ; et il était le fils même du
grand-vizir ,  roi de la ville. Aussi le masseur se
réjouit-il de masser le corps si doux de cet adoles-
cent délicat, et il se dit en son âme : « Voilà un
corps où la graisse a partout mis des coussins soyeux!
Quelle richesse de formes, et qu'il est dodu ! » Et il
l'aida à s'étendre sur le marbre tiède de la salle
chaude, et commença à le frictionner avec un soin
tout spécial. Et lorsqu'il fut arrivé près des cuisses
il fut à la limite de la stupéfaction en remarquant
que le zebb du gros garçon atteignait à peine le vo-
lume d'une noisette...

— A ce moment de sa narration, Schahrazade vit appa-
raître le matin et, discrète, se tut.
MAIS LORSQUE FUT
LA CINQ CENT TROISIÈME NUIT
Elle dit :

... il fut à la limite de la stupéfaction en remar-
quant que le zebb du gros garçon atteignait à peine
le volume d'une noisette. Et, voyant cela, il se mit
à se lamenter en son âme, et à frapper ses mains
l'une contre l'autre, en s'arrêtant tout court dans le
massage qu'il faisait.

Lorsque le jeune garçon vit le masseur en proie
à un tel chagrin et sa mine bouleversée de déses-
poir, il lui dit : « Qu'as-tu, ô masseur, à te lamenter
ainsi au dedans de ton âme et à frapper tes mains
l'une contre l'autre ? » Il répondit : « Hélas ! mon
seigneur, mon désespoir et mes lamentations sont
à ton sujet! Car je vois que tu es affligé du plus
grand malheur dont un homme puisse être atteint !
Tu es jeune, dodu et beau, et tu possèdes toutes les
perfections de corps et de visage, et tous les bien-
faits dispensés par le Rétributeur à ceux qu'il élit.
Mais justement tu manques de l'instrument de déli-
ces, celui sans lequel on n'est pas un homme et on
n'a pas les apanages de la virilité qui donne et re-
çoit ! Est-ce que la vie serait la vie, sans le zebb et
tout ce qui s'en suit ?» A ces paroles, le fils du vizir
baissa tristement la tête et répondit : « Mon oncle,
tu as bien raison ! Et tu viens justement de me faire
penser à ce qui fait le sujet de mon seul tourment !
Si l'héritage de mon vénéré père est si petit, la faute
est à moi seul qui jusqu'aujourd'hui ai négligé de le
faire fructifier. Comment veux-tu, en effet, que le
chevreau devienne un puissant bouc s'il se tient loin
des chèvres incendiaires, ou que l'arbre se développe
si on ne l'arrose pas ? Moi jusqu'à aujourd'hui je me
suis tenu loin des femmes, et nul désir n'est encore
venu réveiller mon enfant dans son berceau ! Mais
il est temps, je pense, que se réveillent les endor-
mis et que le berger s'appuie sur son bâton ! »

A ce discours du fils du vizir, le masseur du
hammam dit : « Mais comment fera le berger pour
s'appuyer sur un bâton qui n'est pas plus gros que la
phalangette du petit doigt? » Le garçon répondit :
« Je compte pour cela, mon bon oncle, sur ton géné-
reux vouloir. Tu vas aller sur l'estrade où j'ai laissé
mes vêtements, et tu prendras la bourse que tu
trouveras dans ma ceinture ; et avec l'or qu'elle
contient tu iras me chercher une adolescente capa-
ble de commencer ce développement. Et moi je ferai
avec elle mon premier essai ! » Et le masseur répon-
dit : « J'écoute et j'obéis ! » Et il alla sur l'estrade,
prit la bourse et sortit du hammam chercher l'ado-
lescente en question.

En cours de route, il se dit : « Ce pauvre garçon
s'imagine qu'un zebb est une pâte de caramel mou,
qui se développe tant et plus dès qu'on la touche !
Ou peut-être croit-il que le concombre devient con-
combre du jour au lendemain, ou que la banane
mûrit avant de devenir banane ! » Et, riant de l'a-
venture, il alla trouver son épouse et lui dit : «
mère d'Ali, sache que je viens de masser au hammam
un jeune garçon beau comme la lune dans son plein.
H... est le fils du grand-vizir, et il a toutes les perfec-
tions ; mais, le pauvre ! il n'a point un zebb comme
celui des autres hommes ! Ce qu'il possède est à
peine aussi gros qu'une noisette. Et moi comme je
me lamentais sur sa jeunesse, il m'a donné cette
bourse pleine d'or afin que je lui procure une
adolescente capable de développer en un instant le
pauvre héritage qu'il tient de son vénérable père ;
car le naïf s'imagine que son zebb va s'ériger comme
ça en un instant dès le premier essai ! Moi alors j'ai
pensé qu'il valait mieux que tout cet or restât dans
la maison ; et je viens te trouver pour te décider à 
m'accompagner au hammam où tu feras le simulacre
de te prêter à l'essai sans conséquence du pauvre
garçon. Il n'y a aucun inconvénient à la chose ! Et tu
pourras même passer une heure à rire sur lui, sans
aucundanger ni crainte! Et moi je veillerai du dehors
sur vous deux, et je ferai en sorte de vous protéger
contre la curiosité des baigneurs.

En entendant ces paroles de son époux, la jeune
femme répondit par l'ouïe et l'obéissance et se leva,
et se para et se vêtit de ses plus belles robes. D'ail-
leurs, même sans parures ni ornements, elle pouvait
faire tourner toutes les têtes et s'envoler tous les
cœurs, car elle était la plus belle d'entre les femmes
de son temps...

— A ce moment de sa narration, Schahrazade vit appa-
raître le matin et, discrète, se tut.

Puis elle reprit:  

Le masseur emmena donc son épouse et l'intro-
duisit auprès du jeune fils du vizir, qui attendait tou-
jours étendu sur le marbre de la salle chaude ; et il
les laissa seuls et sortit se poster au dehors pour em-
pêcher les importuns de passer leur tête au travers
de la porte. Et il leur dit de refermer cette porte sur
eux deux en dedans.

Quand donc la jeune femme vit l'adolescent, elle
fut charmée de sa beauté de lune ; et lui également.
Et elle se dit : « Quel dommage qu'il n'ait pas ce
que possèdent les autres hommes ! Car ce que m'a
raconté mon époux est bien vrai : il est à peine aussi
gros qu'une noisette ! » Mais déjà "l'enfant "endormi
entre les cuisses de l'adolescent s'était ému au con-
tact de la jeune femme ; et, comme sa petitesse
n'était qu'apparente seulement et qu'à l'état de som-
meil il était de ceux qui rentrent entièrement dans
le giron de leur père, il commença par secouer sa
torpeur. Et voici qu'il surgit soudain comparable à
celui d' un âne ou d'un éléphant, et vraiment très
grand et très puissant ! Et l'épouse du masseur, à

cette vue, jeta un cri d'admiration et s'élança au cou
de l'adolescent qui la monta comme un coq triom-
phant. Et, en une heure de temps, il la pénétra une
première fois, puis une deuxième fois, puis une
troisième fois, et ainsi de suite jusqu'à la dixième
fois, alors que, tumultueuse, elle s'agitait et gémis-
sait et se remuait éperdument.

Tout cela !

Et, de derrière le treillis en bois de la porte verrouillée, le
masseur voyait toute la scène et n'osait, par crainte
de l'opprobre public, faire du bruit ou casser la
porte. Et il se contentait d'appeler à mi-voix son
épouse qui ne lui répondait pas ! Et il lui disait :
« mère d'Ali, qu'attends-tu donc pour sortir? La
journée s'avance et tu as oublié à la maison ton
nourrisson qui attend le sein ! » Mais elle, située en
dessous de l'adolescent, continuait ses ébats et, au
milieu des rires et des halètements, disait : « Non, par
Allah ! je n'aurai désormais à donner le sein à d'autre
nourrisson que cet enfant! » Et le fils du vizir lui dit :
<< Pourtant tu pourrais bien aller un instant le nourrir,
pour aussitôt revenir! » Elle répondit: « On me ferait
sortir plutôt l'âme avant de me décider à rendre pour
une heure orphelin de sa mère mon nouvel enfant! »

Aussi, quand le pauvre masseur vit son épouse lui
échapper de la sorte, et refuser avec cette effronterie
de revenir à lui, il fut dans un tel désespoir et une
telle rage de jalousie qu'il monta sur la terrasse du
hammam et se jeta de là pour aller se briser la tête
dans la rue. Et il mourut.

Or, cette histoire est pour prouver que le sage ne
doit point se fier aux apparences".

Image associée  Image associée

 


*    instit consentant, fou, non ? eh oui il y a + de 60 ans

les mille et une nuits ce conte-ci sur la grosseur du zeb m'a fait penser à ce qui m'est arrivé à 9 ans dans la classe de M.G


commentaire : "morale orientale qui se rit du sort cruel du masseur"On se régale de cette atmosphère de magie...sans viagra ni cialis !

 

 

 

 

 

 

 

Par CONTES DES MILLE ET UNE NUITS - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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