AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES

Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 08:40

  Résultat de recherche d'images pour "gay man# fucked hard by strange creatures"   Image associée 

J'ai rêvé ou quoi ?

 

Credit to Ninon Lex Click on the gif to see it in better resolution

 

 

Click on the gif to see it in better resolution

 

Click on the gif to see it in better resolution

 

Click on the gif to see it in better resolution

 

Click on the gif to see it in better resolution

 

Click on the gif to see it in better resolution

 

Click on the gif to see it in better resolution

 

   

Click on the picture to see the gif in better resolution

 

      du feu dans mon cul  

 


commentaire :

 

JUNGLE :

3D

 

Image associée

Image associée

Image associée

Image associée

 

 

 

Par VOLT-KRUEGER - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 06:49

je savais que c'était possible .. mais nous étions trop secrets et introvertis j'ai senti que ça pouvait durer encore, longtemps ... toute une vie...

j'avais tant de fois souhaité qu'il me devine, quite à me laisser entendre que ça ne serait jamais...cette nuit-là j'étais habité à la fois par la peur et le souhait qu'il se réveille...peur de briser l'amitié par mon dévoilement, crainte de révéler à la fois mon homosexualité et ma vraie nature, allait-il considérer que j'étais démasqué, que mes sentiments d'amitié presque fraternelle étaient impurs. Je n'avais jamais osé lui parler "à cœur ouvert", abattre mon jeu,lui laisser découvrir ma face cachée, laisser poindre que j'étais intéressé par un sexe que peut être il allait interpréter comme une saleté.  Me fallait-il vraiment fendre l'armure, d'un geste violent en quelque sorte pour naître enfin à son cœur, l'obliger grave à prendre position?

Lui dormait, moi je ne pouvais pas dormir et sa main sur mon épaule ne signifiait rien, juste su'il m'aimait "BIEN"...il aurait aussi bien pu faire pareil à son chien ou à son chat...   

    Cette attente inffructueuse depuis des mois me faisait penser au lent déssèchement d'une feuille en fin de vie. L'amour et le désir impur qui l'accompagnait allaient mourir ou durer toute une vie... 

  Résultat de recherche d'images pour "gif lent déssèchement d'une feuille d'arbre" pour toujours et à jamais, notre affection, de par moi, oh, horreur, n'avait rien d'éternel.... 

 

  J'élevais une sorte de chant vers lui, vers mon amour, un chant désespéré 

  l'impossible, l'impensable s'est alors manifesté. Oh, ça pouvait n'être rien encore, mais... 

j'éprouvais la magie de sa PREMIERE caresse 

  Il ne dormait plus, il me tapotait l'épaule pour me rassurer : il avait compris les sentiments qui me hantaient

sauvé ! j'étais sauvé ! notre amour était sauvé ...surtout ne pas bouger, attends son baiser me dis-je

eh bien ce baiser-là n'est jamais arrivé ! jamais !

 

 

et bof ! maintenant

 still and ever  

 


 

    TAGS:#gay #homo #gays #gayfriends #lgbtteens #instagay #instahomo #lgbt #lgbtcommunity #lgbts #samelove #love #loveislove #gayisok #gayisokay #homosexual #samesex #bi #biguys #gaykiss #gaylove #lesbian #lesbians #gaygirls #pansexual #gaycouple #transgender #malemodel #malegay #bulge #guy #guys #man #men #boys #gayhot #osmodelos #boy #homem #boanoite #goodnight #fitness #fit #muscle #abs #body #model #brasil #gayboy #follow #bomdia #goodmorning #modelo #bodybuildinggood #stayinbedallday #asexual #polysexual #bisexual    


commentaire :

    poster à claudemodou@gmail.com

Par CAVAILLONGAY - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 01:25

  des cons venus....déconvenue  !  

 

  Image associée  c'est là que je dors...c'est là que je rêve

  ces rencontres du dimanche sont devenues si importantes pour moi, mon seul soutien à l'internat...

FAMILLE JE TE HAIS ! Putain me suis-je dit ce jour-là, tout a merdé de A à Z ! à cause d'eux ! Tous les dimanches je traîne dans sa rue pour voir s'il sort. En ce cas on va chez-moi s'il n'y a pas mes parents, ou -c'est moins confortable la baise debout- dans les sanitaires du club. Et, merde, ce jour-là la famille s'annonce en visite. Après qu'ils soient partis et que je me sois bien ennuyé ferme, je cours vers le couloir de son immeuble, personne ! Et c'est le spleen classique du jeune qui n'a que le dimanche pour s'éclater un peu. Les larmes aux yeux, j'en chialerais parce que, même si c'est son corps, sa queue que j'aime en premier, et ça comme un fou, son amitié dominatrice -et il est un an plus jeune- me donne des forces pour affronter l'engatse* de toute une semaine à me faire chier à l'internat où je ne peux avoir aucune relation de ce type.

LA SEMAINE APRES MON JEUNE AMANT me dit - « je t'ai pas vu dimanche dernier. » - è*, il est venu la famille et je suis venu presque à la nuit » - » putain c'est con : pour une fois on aurait pu aller dans mon lit, ma mère était partie pour l'aprèm »

Dans ma tête ça gueule : MERDE, MERDE , MEeeeeRDE, CENT FOIS MERDE !

  * parler marseillais  

  et voilà ce qu'on n'a pas eu ce WE là !

Résultat de recherche d'images pour "gay porn awkward teens fucking" j'ai pas été entre ses draps roses !

  Image associée

Image associée

  Image associée 

Image associée ni ça non plus d'ailleurs : mais qu'on était godiches !

Image associée 

et voilà, vous avez compris !

Résultat de recherche d'images pour "gay porn gif fucked by all means" il aurait dit non !  

Dans mon désespoir, je me serais donné au premier venu...

Résultat de recherche d'images pour "gay porn gif he gets fucked by a homeless" Image associée

un SDF par exemple

Image associée

un noir aussi bien  !

Image associée

un noir des cités pkoi pas !

Résultat de recherche d'images pour "gay porn gif he gets fucked by a sailor on a tug boat"

ou un marin du port Résultat de recherche d'images pour "twink fucked by a sailor" on peut bien tomber !

Image associée

n'importe qui  quoi ! ... 

Image associée

même le curé (scandale à la paroisse !)

Image associée

Le curé aussi ? pas possible !   -lol-


commentaire :  

 

 

Par MILLERAIES - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 13:55

d

   "Quand j'étais petit garçon..." au lycée, moi mes parents m'ont mis "en un lieu de perdition" : l'internat de garçons... 
Ah j'aimerais le voir derrière mon dos ...  

 

SOUPIRS ->regarder nos propres exploits sexuels grâce à la cam et à l'écran de l'ordinateur voire un mobile c'est quelque chose que même avec un miroir on ne pouvait pas faire autrefois aussi parfaitement qu'aujourd'hui. Dans les bois, même au sauna, il m'arrive encore de soupirer, en manière de regret, de ne pas voir tout le bien que mon partenaire me fait.          

 

 http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2013-copain-internat.php  

  ...je récitais mes leçons en ...baisant  ! -lol- 

Une histoire vraie parce qu'elle est vécue.

Quand je suis entré au lycée, mes parents m’ont mis à l’internat.

Personnellement, je n’y voyais pas trop d’objections : une vaste chambrée unique,   avec une trentaine de jeunes corps masculins à mater tous les jours, ça me va tout à fait.  

Le garçon à côté de mon lit s’appelle David, il est aussi mignon que timide. Les premiers jours, on se parle à peine.

Mais je l’observe sous les douches communes, et discrètement, le matin, j’aperçois les gouttes d’eau qui perlent sur sa peau, ses muscles fins qui jouent avec la mousse du savon, et quelquefois son sexe tendu encore par les rêves nocturnes…

Je m’enhardis un peu et semaine après semaine, j’arrive à vaincre son tempérament farouche et à gagner sa confiance.

Le soir, il vient se blottir contre moi, et nous discutons jusqu’à l’extinction des feux.

J’entre même dans ses confidences : nous sommes puceaux tous les deux.  Il m’avoue un jour qu’il aimerait bien se faire sucer par une fille, mais qu’il n’oserait jamais lui demander cela.

Je sens le sang affluer à mes tempes. Le silence se prolonge.

J’hésite encore. J’ai les oreilles qui bourdonnent. Et je lui dis tout bas : ‘’Si tu veux, je peux te le faire.’’ David demeure immobile, puis très calme, se lève sans répondre et retourne à son lit.

Pendant les deux jours qui suivent, il m’évite manifestement, et moi, par peur du scandale, je n’ose pas lui adresser la parole. Face aux autres copains d’internat, j’essaie de dissimuler mon malaise tant bien que mal.

Le troisième soir, à la cantine, je rejoins la table ou David avec quelques potes, prend son dîner. Je suis à sa gauche, ma jambe touche la sienne, doucement, puis de manière insistante. Brusquement, sans attendre ses potes et profitant du brouhaha général, il s’en va et me dit tout bas : ‘’Ce soir, minuit, dans les douches.’’

Je n’ose y croire. Je ne suis pas sûr d’avoir bien entendu, et surtout bien compris. Je  redoute les faux espoirs, et j’attends, impatient, l’heure fixée. Un peu avant minuit, n’y tenant plus, je feins d’aller vers les toilettes et je me dirige subrepticement vers les douches.

Les minutes s’égrènent, paresseuses, je tremble dans la nuit, de froid et de nervosité.

Furtivement, David s’approche de moi, et me regarde, sans mot dire, droit dans les yeux qui, toujours timides, brillent ce soir d’un éclat presque méchant. Il avance la main, et la pose contre ma nuque. La forte pression qu’il exerce m’oblige à me pencher.

Je m’exécute. Je me mets à genoux, et je vois, devant mes lèvres assoiffées, sa bite en érection qu’il tient de sa main libre.

Elle est belle, longue, droite et son gland mouillé rougeoie dans le noir.

 David enfonce brusquement son sexe dans ma bouche étonnée. Il semble résolu, et l’enfonce jusqu’au bout. Parfois, il la retire et en frappe mon visage. Quand je croise son regard, j’y vois comme une haine qui le rend encore plus beau. Et brusquement, il prend de sa main gauche mon menton, et gicle, sur mon visage, en répandant avec tendresse son jus brûlant sur mon front, sur mes joues, sur mes lèvres.

Soudain, j’entends derrière nous un bruit suspect, Je me retourne effrayé, et toujours à genoux, je vois Stéphane, le chef de la chambrée, un redoublant  assez vulgaire, mais de loin le plus baraqué et le mieux bâti de tout l’internat.[David s'éclipse]

D’une voix sourde, Stéphane me lance :’’ Ah la suceuse ! Tu crois que je n’ai pas compris votre petit manège. T’es une vraie salope. Tu mérites une punition. Allez, à quatre pattes, ou je te dénonce à tous les mecs de l’internat.’’Aussi effrayé qu’excité, j’obéis à ses ordres. Je le sens derrière moi qui baisse son pyjama, et me crache à la raie un jet de salive.

Inquiet du traitement qu’il me réserve, je tourne la tête. Je vois alors un chibre lourd et épais qui se rapproche de mon fion.

Un petit gémissement, peur ou désir, monte de ma gorge. Et Stéphane, aussitôt :’’ David, tu m’aides.

Tu lui fourres ton pieu dans la gueule, et tu l’empêches de crier cette salope’’ Alors David, tout sourire, se rapproche et met sa bite une nouvelle fois dans ma bouche. En même temps, je sens le sexe de Stéphane qui s’enfonce en moi, délicatement en fait, et avec souplesse. Il s’arrête parfois, pour me laisser souffler, puis il reprend son dur labeur, avec maîtrise et énergie à la fois. La douleur se transforme enfin en plaisir, et Stéphane m’attrape le sexe qu’il branle au rythme des mouvements de son bassin.

Ainsi, je n’ai aucun mal à m’offrir largement. Il me ramone copieusement, me branle à la même vitesse, tandis que David me défonce les gencives. Cela dure un bon quart d’heure, les plus belles minutes de ma vie. Stéphane, manifestement, sait s’y prendre pour profiter du cul de ses camarades de chambrée.

Il ne cesse de me branler, et parfois, il me caresse le cou. J’aimerais le voir derrière mon dos.

Puis, je l’entends qui me dit doucement : ‘’Oui, c’est bon…’’Je sens le foutre qui me remplit le cul, et je décharge aussitôt une belle rasade. David, pour ne pas être en reste, gicle encore, mais cette fois dans ma bouche, avec une évidente satisfaction. Alors, se dégageant brusquement, Stéphane s’en va et lance d’un ton rogue :’’Ca ira comme punition pour cette fois, mais si je t’y reprends, tu verras ce qui t’attend….

Mes ça lui a tellement plu qu’il a recommencé tous les jours sous la douche

en résumé : 

oui, sans miroir, sans cam, difficile de se regarder EN MEME TEMPS sous cet angle...

 

 

 

 

  Stéphane.... un redoublant ?  

When the cuck comes home and finds this in the porch and knows I’ve been a slut cum dump again 🤷‍♂️

  à vous couper(agréablement) le souffle !  

il m'a dit que ma bite était plus grosse que celle qu'il venait de se prendre, peut-être je pouvais moi aussi lui jouir dedans, comme son cul le mérite ...donnant donnant donnant ! ...

Par PEAU TACHE - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 8 février 4 08 /02 /Fév 14:55

      1.Fred me disait que je pouvais même plaire aux heteros....le jeune prof de physique que je désire comme un fou...me questionne ...

Afficher l'image d'origine

  Non, mais le souci ! il y a un con qui ma piqué ma clé USB et ma sextape va aller dans toutes les mains et même sur le net...  

la vie peu ordinaire d'un lycéen +18 en ...2018

  ils sont nés en 2000 

 

 my dream !" putain ! fais-toii voir dit le prof, toujoursd aussi cash. 

 

 

11h10… Arrivée remarquée en cours de physique chimie…

UNE BITURE DOUBLEMENT MEMORABLE...   

-“Tu as ton mot d'excuse Axel ?
-Promis demain monsieur….
-va t'asseoir on commence !”

  Résultat de recherche d'images pour "SECRET usb KEY" 

    "Ca c'est la cl USB camoufléen gomme qu'on m'a piquée. 

Elle contient un petit gif que j'ai fait moi même, tiré d'une de mes sextapes. Une meuf etait fan des culs de mecs quand ils baisent. Du coup j'me suis filmé de dos pendant que je faisais semblant de baiser (j'avais coincé ma queue entre deux coussins). Je sais que j'ai un bon cul musclé mais je pensais pas que voir apparaître et disparaître les fossettes au niveau de mes lobes pouvait la rendre aussi folle de moi. Et pas que...” Ces cons avaient subrepsticement branché ma clé sur le portable du prof...et tandis que défilaient les images, tous les élèves* regardaient vers moi, pleins de questions...je devais être rouge...j'avais chaud aux joues.

Je le vois me lancer des regards noirs et interrogateurs durant tout le cours. Hyper difficile pour moi de suivre le cours… Et je ne sais pas trop ce qu'on eu comme effet les doigts [FRUSTRANTS] de Fred à l'intérieur de moi… Au lieu de les satisfaire, ça a, semble t-il, décuplé mes envies sexuelles. Je m'excite à m'imaginer avec le prof à me laisser doigter pendant que je le pompe à fond. Avec un plaisir sadique il découvrirait que plus il met de doigts, et plus il les enfonce rapidement et profondément, et plus sa bite,dans mon fantasme) finit au fond de ma gorge. Il s'autorise de bonnes tapes sur mes fesses… Impossible de suivre le cours dans de telles conditions… En plus j'ai des nausées… Mais si je vais à l'infirmerie l'infirmière va me sentir alcoolisé… Je suis dans l'impasse… Je dois subir l'assaut incessant de mes pensées perverses. Par moment, imaginant sa barbe dense et noire frotter mon anus à chacun de ses coups de langue, par moment j'imagine aussi juste lui pomper sa grosse queue sous le bureau lors d'une réunion parent- prof… Avec lui jamais de chantage, je n'ai jamais dû sucer pour augmenter mes notes… Mais plutôt, en récompense ce serait plutôt mes bonnes notes qui m'autorisent à lui ouvrir le jean pour le pomper longuement et si je dépasse les 15/20 je suis autorisé à recevoir ses magnifiques éjacs faciales…
Bref mes fantasmes me font gonfler la bite, une violente douleur parcourt mon jean trois fois trop serré… Je me déteste dans cette situation… Je ne suis qu'un pervers fantasmant sur un prof inaccessible…

“Si mon cours t'emmerde Axel, tu me le dis. La porte est là !”

Le côté cash de ce prof m'étonnera toujours. L'élève à côté de moi… Toujours le même que je ne supporte pas et qui me déteste se réjouit de lancer devant toute la classe :

“Msieur ! Axel pue l'alcool à plein nez ! J'ai l'impression d,'être bourré rien qu'être à côté de lui ! -en tout cas, toi,  c'est sûr que ton cerveau est loin d'être bourr d'idées lumineuses. -"Axel tu resteras après le cours”

J'admire la répartie de ce prof… Tout le monde était mort de rire, tout le monde à part moi… Mort de honte que tout le monde soit au courant de ma biture… Et en plus le prof qui veut me voir…
N'oubliez pas de me faire penser à envoyer à ce connard d'élève un des potes de mon grand frère qui se fera un plaisir de lui faire la peur de sa vie. Si, en prime, il pouvait baiser son trou jusqu'au sang j'en serais ravi… Mes ennemis ? Je n'ai aucune pitié pour eux… Plus maintenant :-(

Quand la cloche retentit enfin, un moment pénible va arriver… Tout le monde sort, l'élève que je déteste me nargue (vous savez vous ? Je le déteste tellement que je refuse de donner un prénom à ce trou-du-cul) en attendant que tout le monde sorte et que le prof s'approche de moi j'envoie un texto à Nassim et Enzo pour leur demander s'ils peuvent venir me chercher à cause d'un élève qui me fait chier et dont je voudrais juste qu'ils l'intimident. Du tac au tac ils me répondent sans problème.
Le prof s'avance enfin vers moi, pose ses deux mains sur ma paillasse laissant apparaître ses bras couverts de veines saillantes. Je ne parle même pas de son jean moulant dans lequel il rentre une chemise cintrée qui permet de bien mettre en valeur que son dos est creux, qu'il a un bon cul musclé et des pecs tellement gonflés et à l'étroit que la chemise laisse apparaitre son torse entre chaque bouton…

“Laisse moi deviner… Vodka ?”

J'acquiesce d'un petit mouvement de tête, sans dire un mot…

“Une demi bouteille ?”

Je monte mon pouce vers le haut pour indiquer plus…

“Axel…. Je ne te fais pas l'affront de te rappeler les dangers liés à la consommation d'alcool….
- ...
- tu veux en parler ?
- rien de grave je vous assure.
- si c'est grave ! On ne se détruit pas pour rien. Un petit mec comme toi qui a tout pour réussir… Ca me fait mal au coeur de te voir comme ça… Tu veux qu'on aille voir l'infirmière.”

Ca va trop loin là ! Je me lève pour m'énerver et lui interdire d'aller la voir, malheureusement mon geste fut tellement brutal que ma tête se met à tourner je vois tout blanc et je tombe au sol dans ses bras… Avec une voix faible et douce je lui dis :

-je vous en supplie ne faites pas ça, j'ai fait une bêtise mais je ne recommencerai pas… S'il vous plaît je suis prêt à tout pour votre silence.

Soudain le démon qui contrôle mes pensées refait surface… Et je poursuis mon discours avec une voix beaucoup plus provocante :

“S'il faut, vous pouvez me demander quoi que ce soit et je le ferai. Vous pouvez décider du prix de votre silence. Je saurai être discret et vous obéir au doigt et à l'oeil…”

Je me sens mal à l'aise surtout qu'il me tient toujours dans ses bras. J'ose même poser une main sur son pec droit. Il est brûlant et le contact de ma main gelée fait pointer son téton. Il m'attrape le poignet pour me retirer de contre lui. Je percois qu'il est déstabilisé mais étant dans son univers pro' il n'avait pas trop d'options au cas où quelqu'un rentre. Pourtant je sens que mes mots ont eu de l'effet. Je commence à comprendre quel type d'homme je peux amadouer : tous ceux qui aiment que leur virilité soit mise en avant et donc que leur partenaire soit soumis(et obéissant et s'offre complètement à lui. C'est pour ça que Fred me disait que je pouvais même plaire aux hétéros.
Il se ressaisit et me dit avec autorité :

“Je fais comme si je n'avais rien entendu et je mets ça sur le compte de l'alcool mais que ça ne se reproduise pas Axel.”

 

 [sur l'ordi ...mes potes m'avaient tous envoyé des pics de leurs queues dans tous leurs états dans l'espoir que je leur arrange le coup avec une meuf de mon invention . La fin de soirée fut alors un festival de sextos et de photos provenant de Fred, Enzo et Nassim. Je n’avais plus assez de mains pour répondre aux sextos, me branler et me doigter. Par moment ça devenait presque insupportable de savoir que je me faisais autant de bien en touchant ma queue ou ma rondelle qu’en répondant aux profondes envies de Fred, de complimenter et flatter l’ego d’Enzo concernant chaque partie de son corps, d’inventer une conversation entre Nassim et la fille fictive pour qu’il m’en montre plus en m’en dise plus sur ce qu’il compte lui faire… 

Le soir venu c'est avec stress que je me connecte sur skype… Le prof est déjà là…

“-Bsr.
-Bsr.
-je suis vraiment désolé pour le malentendu de tout à l'heure… 

 - [il s'inquiète pour mes fréquentations (Nassim, Enzo...)] 

-Oui [...] ton frère est absent alors méfie toi !
-Comment savez vous que mon frère est absent ??? »

J’ai dû renvoyer des lignes et des lignes de points d’interrogation avant de recevoir un simple « je t’ai entendu en parler dans la cour. Je te laisse j’ai des copies à corriger »
Argument absolument irrecevable !! je ne le crois pas du tout ! Je suis quasiment sûr de ne jamais en avoir parlé !! Ce problème avec mon frère est une douleur interne qui me ronge depuis que j’ai découvert ce qu’était le sexe et l’amour, personne au bahut n’est au courant ! à part Fred…
Mon prof vient de s’être fait prendre la main dans le sac, toutefois je ne sais absolument ce qu’il sait, ce qu’il fait et ce qu’il veut…

  En parallèle je reçois un SMS d’Enzo me disant « Travail effectué - plus d’inquiétude à avoir - autres missions ? » Il me fait bien rire celui là. Il trouve toujours le petit truc qui me fait rire… Je pense néanmoins qu’il était content que je sollicite leur aide pour corriger le mec qui me faisait chier … J’avoue être un peu chaud ce soir et avant même de tourner mille fois mes pouces avant de répondre, je lui envoie : « Ma prochaine mission n’a rien à voir, mais est tout aussi importante. Jusqu’où est tu prêt à aller pour m’aider ? »
Sa réponse fut brève, presque automatique : « j’irai au même endroit où ton frère irait en ne déviant jamais de mes promesses »

Si seulement tous les hommes pouvaient être comme lui…

 

je me suis follement amusé à lire, vous faire goûter et illustrer  le début de cette longue histoire gay vous ai-je mis l'eau à la bouche (et pas que, -lol-) ? ...Axel va-t-il réussir ? 

- 1 à séduire le prof de physique (ça, à mon avis c'est dans la poche !) ?

- 2 à conclure...?

Pour patienter, écoutons ce merveilleux petit intermède :

 

oh my love, my darling - I hunger for your touch  Tentez le changement, mais je trouve que cette interpretation (originale)  est meilleure que cell d'Elvis... 

           enjoy !  

     2. CINQ ANS PLUS TARD ... une partie de flipper : 

  J'entre dans un café en plein centre-ville et commande un demi au comptoir. Le troquet était presque vide, à l'exception d'un couple d'amoureux assis dans un coin isolé et d'un jeune noir d'environ 18 ans légèrement vêtu d'un short en jean et d'un tee-shirt, en train de torturer un flipper au fond de la salle. Ma chope à la main, je me dirige vers lui et m'attable juste à côté. Absorbé dans mes pensées, je le regarde à peine. Au bout de cinq minutes, sa partie terminée, il s'approche de moi et me dit:

— Ça vous dirait une partie de flipper?

Un peu interloqué, je m'apprête à l'envoyer paître mais, voyant son beau visage aux traits fins et ses yeux rieurs, je lui réponds en souriant:

— Avec plaisir! Mais ça va bien faire 3 ans que je n'en ai pas fait. J'espère ne pas avoir trop l'air ridicule...

— Vous en faites pas! Il est plutôt facile celui-là!

Effectivement, après quelques instants, j'arrive à me débrouiller sans trop de honte, et d'autant plus facilement que mon adversaire compatissant m'aide à jouer. Il est à côté de moi devant le flipper et, par moment, son bras passe devant moi pour prendre les commandes. Au début un peu agacé par son manège, je commence à trouver la situation un peu bizarre, d'autant plus que, à chaque fois, comme par hasard, il se glisse entre moi et le flipperet se débrouille por me coller.

Au bout de quelques instants de ce manège, je sens malgré moi une excitation m'envahir. Impossible qu'il ne s'en rende pas compte car mon pantalon de toile légère ne peut cacher mon émoi. Le jeune garçon, tout en martyrisant son flipper, se serre de plus en plus contre moi. Son petit cul bien moulé dans son short se trouve juste à hauteur de ma bosse. Régulièrement, ses fesses cognent ma verge dont la raideur augmente rapidement. Soudain, la partie se termine. Il se retourne vers moi et, avec un sourire charmeur, me dit:

— J'ai l'impression que vous n'êtes pas très branché flipper... Vous pensez à autre chose, pas vrai? Ça se voit...

Je suis tellement embarrassé que je ne sais pas quoi répondre. J'ai l'impression d'être complètement écarlate.

— Soyez pas gêné. Si ça peut vous rassurer, j'pense à la même chose que vous. On s'casse?

— OK, mais où?

— Suivez moi, j'connais un coin tranquille pas loin.

Complètement subjugué, je marche à son côté. Il m'emmène dans un immeuble dans une rue voisine. Pas un chat! Manifestement, il connaît l'endroit car, sans hésiter, il se dirige vers le fond du hall et, derrière une porte, descend un escalier. La lumière éclaire très peu, je le vois à peine.

Après quelques détours dans le dédale de couloirs, nous arrivons dans un local fermé par une porte à claire-voie, à peine éclairé par une ouverture en hauteur donnant au ras du trottoir. Une cave d'immeuble quoi ! Il me fait entrer, referme la porte, se colle contre moi et me gratifie d'un super patin tout en mettant sa main sur mon entrejambe. Ses lèvres fraîches et douces m'électrisent. Le contact de ce jeune corps souple contre le mien, celui de cette main sur mon sexe, tout concourt à me faire perdre la tête... Mes mains le caressent en tremblant. J'ai les réactions d'un jeune adolescent qui fait l'amour pour la première fois.

Paradoxalement, c'est le jeune garçon qui joue les initiateurs. Manifestement il n'est pas novice. Il déboutonne ma chemise et se met à me lécher le torse. Ses mains, en me caressant la poitrine, déclenchent une réaction immédiate: mes tétons se dressent, une sensation de plaisir intense m'envahit. Je suis à sa merci... Pendant que j'enlève ma chemise, il dégrafe mon pantalon, le baisse et saisit ma verge complètement tendue par l'excitation. Il s'agenouille devant moi et commence à me lécher le gland à petits coups, comme si c'était une glace... Puis, avec la pointe de sa langue, il lèche ma queue tout du long, remontant vers mes couilles gonflées et durcies par l'envie, en m'arrachant un râle de plaisir. D'une main, il saisit mes couilles et leur inflige une pression délicieusement douloureuse. De l'autre, il me masse la queue qu'enfin il avale en entier. Fasciné par la vue de ce jeune adolescent dont les lèvres épaisses entourent ma queue gonflée, je perds toute notion de la réalité. À chaque aller-retour, sa langue masse ma bite dans une longue caresse.

Soudain, je sens dans mon cou un souffle chaud. Deux mains puissantes se posent sur mes pectoraux et un corps musclé se colle contre mon dos. Le jeune garçon abandonne un instant ma queue vibrante et complètement ensalivée:

— Ah! Te voilà enfin Ahmed! Tu vas voir, une vraie salope ce mec... Marié, mais prêt à tout.

— T'inquiète pas, Éric, il va être servi...

— Oh oui, j'ai envie d'être baisé à fond... Prends-moi. Encule-moi. J'aime ça...

Pendant que le jeune adolescent reprend son ouvrage, je sens une main s'introduire entre mes fesses moites de sueur et d'excitation. Complètement prisonnier, je ne peux absolument rien faire. Je réussis en tournant la tête à regarder derrière moi. À ma grande surprise, le mec est à peine plus âgé que l'ado en train de me pomper. Il a environ 18 ans, un corps d'athlète et un visage superbe. Son torse, légèrement poilu, est magnifiquement musclé. En passant une main sur son bas-ventre, je trouve un pal de chair chaude, vibrante et dure, d'une taille telle que je n'en avais encore jamais rêvée. Il repousse ma main et, d'un mouvement puissant, introduit son chibre entre mes deux fesses. Instinctivement, je me cambre pour lui faciliter la tâche. Son gland énorme se pose sur ma rosette, à moitié ouverte par l'excitation. D'un mouvement puissant, lent mais régulier, il me pénètre à moitié. Sous la poussée, mes reins se trouvent projetés en avant, ma queue s'enfonce entièrement dans la bouche du jeune éphèbe qui l'avale goulûment.

Son corps complètement collé contre le mien dégage une chaleur et une force peu communes. Je sens mon cul mouler sa queue longue et raide. Lentement, il se retire en déclenchant une vague de plaisir inouïe. Puis il entame des mouvements de va-et-vient réguliers. Je l'accompagne en remuant mon cul autour de la base de sa bite énorme dont je fais à plusieurs reprises le tour avec mon index. Son souffle devient rauque. Il gémit:

— Oui... Vas-y... Remue ton p'tit cul de salope...

À chacun de ses coups, je me trouve projeté contre le visage fin du jeune adolescent. La sensation procurée par la douceur de sa peau se frottant contre mes cuisses contraste délicieusement avec la belle brutalité du mec qui m'encule... Le jeune ado me suce avec fougue, s'aidant de ses mains pour caresser mes couilles, augmentant ainsi la sensation de plaisir offerte par sa langue qui enserre ma queue comme une main chaude et humide.

Au bout de dix minutes de son manège, Ahmed se raidit et, dans un râle de jouissance, décharge son foutre à longs traits dans mon corps. Sous l'effet du plaisir, je gicle à mon tour dans la gueule de l'adolescent qui, à son tour, lâche son jus sur le sol.

Quelques instants après, honteux d'avoir tant apprécié d'avoir baisé avec ces deux mecs, je me rhabille rapidement. Ahmed me lance alors:

— Super ton cul! Reviens quand tu veux, tu sais où nous trouver!

Tout en m'enfuyant comme un voleur, je me dis que j'aimerais bien pouvoir bientôt recommencer 

 

 


commentaire :   

     

 

.

 

 

 

 

Par JH 26 tumblr - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • ALEX 12024
  • gay victim
  • STURB 22
  • 692e
  • TRAV 01 3XSEX
  • COLLANT 0001

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés