AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES

Lundi 28 mai 1 28 /05 /Mai 09:58

ma vie est bien sombre à travailler dur avec mon père et ce matos délabré ...moi, il n'y a qu'un seul matos qui m'intéresse :

Par TANK RAIDE LUPIN - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 23 avril 1 23 /04 /Avr 06:42

 mon premier béguin de gosse

 

Image associée pas con la grange !

ma mère avait dû me le frotter souvent mon petit cul, et ça devait me plaire. Lui, quand il a commencé à me caresser, à travers le short, ça m'a complètement subjugué.


Ados, chez les curés, on avait d'autant plus envie de trangresser mais , à notre âge, Clément, qui fut mon initiateur, en connaisait déjà un bout sur le sexe ! Il osait, lui !  

 


Ca s’est passé à l’école, le jour de la rentrée scolaire je venais d’avoir 13 ans, j’attendais à la porte de l’école, en culottes courtes car dans mon école privée, chez les abbés, c’était la tenue obligatoire, en plus au mois de septembre il y avait du beau temps, j’ai vu arriver un garçon de mon âge beau comme un dieu dans la même tenue que moi, nous avons été attirés l’un vers l’autre sans rien faire. Quand ont est rentrés dans la classe, il me demanda comment je m’appelais je lui dis Fabien ; moi c’est Clément dit-il nous nous sommes assis l’un a coté de l’autre, sans que le professeur ne dise rien.
Il m’a demandé si ça ne me faisait rien qu’il s’assoie a coté de moi, en me fixant dans les yeux, et là il posa sa main sur ma cuisse, et il me caressa jusqu'au rebord de ma culotte pendant un moment et voyant que je ne disais rien, que je le laissais faire car cela m’existais terriblement, mon sang ne faisait qu’un tour dans ma tête cela me procurait un plaisir immense jamais ressenti.
Au bout d’un moment il mit sa main sur ma braguette et je me mis a me caresser la bite, il s’aperçut que ma quequette s’était gonflée et faisait une bosse dans mon slip et toujours je le laissais faire.
L’après midi nous avons eu un cours de chant et nous sommes monté sur l’estrade pour chanter, je me suis mis derrière lui exprès, pour voir s’il allait recommencer a me caresser.  ll finit par glisser sa main dans ma culotte et dans mon slip et il me caressa la quéquette jusqu'à ce que je bande et il me masturba jusqu'à ce qu’elle durcisse et il essaya de me faire jouir il s’arrêta car je rougissais très fort.
A la fin de la classe nous partîmes vers la maison à travers bois, nous nous sommes arrêtés au pied d’un arbre, il me fis allonger et il recommença a me caresser les deux cuisses, le ventre en enlevant mon tricot pour voir mon corps ,moi aussi je lui ai enlevé son tricot et lui ai caressé son joli corps car nous étions vraiment très beaux et bien faits pour notre âge, et là on finit par se déculotter, et on se caressa la bite mutuellement pendant longtemps et on s’est branlés tout doucement jusqu'à l’érection bien dure de nos quéquettes et ont s'est fait plaisir je m’en souviens comme si s’était hier tant fut grande notre jouissance.

    Résultat de recherche d'images pour "le champ de coquelicots"Résultat de recherche d'images pour "le champ de coquelicots" 

Nous avons repris notre chemin car en en fait nous étions voisins, son père était paysan et il habitait dans une ferme proche de la maison de mes parents, il y avait une grange avec des bottes de foin, il m’y emmena , puis nous avons fait une cache dans les bottes, pour pouvoir nous nous cacher et pouvions nous toucher tout notre saoûl puis là ont s’est re déculottés et on s’est caressés a nouveau partout la bite, le corps, les cuisses, le ventre puis nous nous sommes branlés pendant de longs moments , jusqu'à ce qu’on bande et qu’on ait notre première éjaculation nous avons eu beaucoup de plaisir à le faire.

Résultat de recherche d'images pour "violettes dans les bois"Résultat de recherche d'images pour "violettes dans les bois"

-"regarde il y a des violettes à perte de vue !" -"...ouais, tu as vu le petit bois derrière ? "Résultat de recherche d'images pour "violettes dans les bois"

Le moment le plus extraordinaire arriva quelques mois plus tard. Il m’ouvrit ma braguette, puis mis sa main dans mon slip il pris ma bite à pleine main, et sans rien ajouter, il commença à me masturber d’une main, l’autre tenant fermement mes couilles J’ai posé mes mains sur les siennes, pour être sûr qu’il ne les enlève pas, et je faisais le mouvement avec lui. Sentir ses doigts sous les miens me rendait fou.Il a collé son torse contre le mien et sa joue touchait à la mienne. J’ai agrippé sa queue avec ma main et j’ai commencé à le branler moi aussi. J’ai senti sa respiration accélérer dans mon cou et il s’est mis à me mordiller le lobe de l’oreille. Il m’a ensuite murmuré à l’oreille:
— Tu sais tantôt quand je t’ai dis que tu vas vraiment aimé te faire sucer, ben si tu veux, je te le fais maintenant?
— Oui s'il te plaît! Vas-y. Il m a alors embrassé sur le coin des lèvres avant de descendre entre mes jambes. Il m’a léché des couilles jusqu’au gland avant de gober mon sexe dans sa bouche. Il s’est mis à me pomper comme un fou, s’arrêtant parfois pour tourner sa langue autour de mon gland et jouer avec le frein, et il me regardait dans les yeux en même temps. Je le trouvais tellement beau. Ça n’a pas été long avant que je décharge dans sa bouche. Jamais je n’avais joui autant. Pendant que je giclais, lui continuait de me pomper pour bien me vider. Il est ensuite remonté vers mes lèvres pour m’embrasser timidement. Nos langues se touchaient mais sans aller trop loin dans la bouche de l’autre. Sa bouche avait le goût de ma queue et de mon sperme et ça me donnait trop envie de goûter ausien. Il s’est reculé et a commencé à remballer sa queue mais je n’avais pas du tout envie de finir ça maintenant. J’ai pris sa main et je l’ai posée sur ma queue pour qu’il comprenne qu’elle était encore dure. Il m’a alors fait le plus beau sourire que j’ai vu de ma vie et j’ai vu ses yeux briller dans la semi noirceur de notre cache. Il s’est rué vers moi pour m’embrasser de nouveau, mais cette fois beaucoup plus fougueusement. Sa langue poussait contre la mienne et entrait le plus profond possible au fond de ma gorge. Il avait une main qui me caressait la poitrine sous mon t-shirt, et l’autre derrière ma nuque. Je l’ai repoussé et je lui ai dit: «S'il te plaît, suce moi encore, c’était trop bon!»
Il a plongé sur ma queue et s’est remis à me sucer. Cette fois, il glissait une main entre mes cuisses et me massait entre les couilles et l’anus. Il m’a soulevé les fesses et m’a retiré mon jeans et mon boxer avant de continuer sa fellation. Pendant qu’il me suçait, je lui ai retiré son chandail. Il était trop beau. Bien mince, juste assez pour qu’on puisse voir un peu ses côtes, avec des abdos qui commençaient à se former. Je l’ai arrêté. Je n’avais pas envie de venir une deuxième fois avant de l'avoir goûté. On a fini de se déshabiller et j’ai ensuite plongé vers sa queue pour lui faire ma première . Sa queue était géniale. Elle était bien grosse, un peu plus longue que la mienne, et bien humide. J’adorais le goût du liquide un peu salé qui recouvrait son gland. J’avais les mains sur ses hanches et j’essayais de rentrer sa bite le plus profond dans ma gueule. Lui me caressait la tête en même temps, guidant parfois mes mouvements avec ses mains, d’autres fois se contentant de jouer dans mes cheveux. Il me disait tout le temps des trucs du genre «Vas-y Math, c’est trop bon, t’es génial!» Puis il s’est ensuite déplacé, sans sortir sa queue de ma bouche, de sorte à ce qu’on soit couché les deux en 69, sur le plancher de sa chambre. On se suçait le plus vite possible. Il me massait les fesses en même temps et il a commencé à me caresser l’anus. Je n’étais pas sûr de vouloir qu’il aille là, mais comme j’avais la bouche pleine, je ne disais rien. Il m’a entré un doigt dans le cul, puis en a tenté deux, et finalement ça m’a vraiment plu. Je devais sortir sa queue de ma bouche parfois pour gémir, et elle reposait de tout son long contre mon visage.
Il a joui pas longtemps après en lâchant un puissant jet de sperme au fond de ma gorge. J’ai été surpris par cette sensation nouvelle et, par réflexe, j’ai été con et j'ai reculé ma tête et il a fini de se vider sur mon visage. Lui m’agrippait les fesses en jouissant. Je sentais son sperme atterrir sur mes joues, mon nez, et couler sur mes lèvres. J’adorais le goût et j’ai commencé à lui nettoyer le gland pendant qu’il finissait de me sucer. J’ai éjaculé une deuxième fois dans sa bouche et il a encore tout avalé. Il est ensuite venu se coucher contre moi et on s’est embrassés encore un peu. J’avais son sperme partout sur la bouche et les lèvres. Il s’est reculé et m’a dit: "T’es trop cute comme ça!" Il s’est étiré pour attraper la boîte de Kleenex et il m’a nettoyé comme il faut le visage, en me souriant, et ça a durer pendant 3 ans tous les jours. ainsi, à seize ans si vous comptez bien, Nous venons de nous retrouver et nous avons parlé tout ça et on a refait cette fois l’amour avec tous les plaisirs nouveaux que l’on a connus depuis. Ca a été un moment merveilleux et on s’est promis de se revoir le plus souvent possible

jouir de, montagne, fleur, jambes, randonneur, pic, herbe, vue - csp47779325moi, les fleurs j'ai toujours aiméme rouler dedans !

JPEG - Taille Moyenne

 


commentaire :

Par FAB'& CLEM' - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 08:36

  comme lors de tous nos précédents RV on baisait avec passion et rien -sinon la mort ?- ne nous aurait arrêtés ...ainsi va la vie ... on avait raison : la vie passe si vite !  

 

drxgonfly: “ Is there anyone outside? (by Richard Baumgartner) ” Reblog of a favorite, August 2016

  la cicatrice du ciel le 22 septembre "Raymond-coeur-de-loup" -EN MEME TEMPS- me prenait, me prenait, me prenait...

     MOMOND (RAYMOND)

_Momond, alias Raymond, alias Ramon : comme il vous plaira : je dois brouillr les pistes car, s'il revient par chez-nous,  il se reconnaîtra_______________________________>

 

J'ai évoqué Momond dans un autre article. Le présent récit est le plus authentique possible. Je draguais souvent en ces lieux 

Ci-dessous cette photo du film "L'Inconnu du Lac"me rappelle le moment ou Momond et moi avons fait connaissance.

On était alors chacun plus jeune que les deux acteurs ci dessous du film "L'Inconnu du Lac"ily a qq temps sur les écrans.

désolé c'est espagnol mais le trailer français n'a vu dans le film que le polar...moi non !

L'INCONNU DU LAC, au cinéma le 12 juin 2013. Un film que la bienpensance s'est empressée de cacher.
L'été. Un lieu de drague pour hommes, caché au bord d'un lac. Franck tombe amoureux de Michel. Un homme beau, puissant et mortellement dangereux. Franck le sait, mais il veut vivre cette passion.
L'inconnu du Lac Extrait # 2 (celui de dailymotion ) "Je te jure qu'il est bizarre..."
Un film réalisé par Alain Guiraudie, avec Pierre Deladonchamps, Christophe Paou, Patrick Dassumçao, Jérôme Chappatte, Mathieu

Oh, sur la drague tout va très vite et même si vous êtes plutôt timide dans la vie sociale, ici chacun sait pourquoi l'autre est là.Surtout si on sait soi-même pourquoi on est là ! lol. Je dis ça parce qu'il y a aussi les hésitants qui savent pas eux-mêmes pourquoi ils draguent. Nous non.  Il y avait sa moto genre moto cross    cachée dans les buissons, et lui était assis au bord du lac N° 3 que forme la Durance sur cette route dévolue à la drague en ces temps-là. Je me suis assis près de lui et j'ai contemplé le lac....  

- Bonjour !  - on se connaît ?  Je t'ai jamais vu ici. - Je viens pas souvent. Toi oui ?  - Quand je peux. Tu dragues ? - je réponds oui  dans un souffle et un hochement de tête.

Il a l'air tranquille Il est costaud, moi plus fluet.  Nos mains on joué les éclaireurs.

Il m'a dit que j'étais beau, m'a demandé si j'étais étudiant ... (étudiant en médecine ??? pkoi ? Par la suite il m'a appris qu'il bossait dans une petite entreprise de location de matériel).

Je sentis sa verge puissante et épaisse à travers son short. Mon attitude et mon corps lui laissaient entendre que je me laisserais faire. On était assez abrités des regards, mais sans plus. L'eau était juste là en dessous et le talus trop pentu s'avérait inconfortable. C'est pourtant là qu'il m'a pris pour la première fois. Les caresses ont été brèves. Je me posais la question de savoir si j'allais pouvoir prendre un tel engin dans mon cul alors encore assez "vierge". Pourtant je ne souhaitais que ça.

Oui, la photo (fake) ci-dessous est hors décor naturel mais sa queue c'était plutôt ça en plus raide et plus épais quand il baissait son shortet avec le même petit claquement sur son nombril :       

http://24.media.tumblr.com/tumblr_mdppc1nVNR1rec9p5o1_400.gif

 

Je suis sûr que son désir de me prendre était teinté de questionnements. Comme beaucoup allais-je refuser de prendre un tel engin ?... L'incertitude prévalut jusqu'au moment  "M", l'instant"T". Je sortis un préservatif. Je n'en avais que des ordinaires. Le lui enfiler sans le déchirer posait problème. A la première tentative de me prendre, le préservatif éclata en lambeaux  Par la suite j'avais (inutilement) des king-size avec moi : on se fit confiance. Tout le temps et à plusieurs reprises il lubrifia. - je ne veux pas que tu aies mal. Arrête-moi s'il faut..On était tous les deux à genoux, je me présentais de dos, le défi était pour moi. Enfin je triomphai : j'avais mal.  Sur ce talus inconfortable il entreprit de parfaire son oeuvre. Je m'accrochais aux plantes qui poussaient là. Il allait, il venait sans fin. Savez-vous ce que c'est un piston ?  Sa verge me procurait des sensations inconnues. J'étais sa chose. Il m'enculait tranquillement sachant l'envoûtement qu'il était en train de faire naître. Personne ne m'avait pris de la sorte et il n'en finissait pas.  

 Par la suite les RV se multiplièrent et on eut une couverture tirée de ma 2 CV et on chercha de bonnes planques.  Je n'avais pas à me poser la question d'être capable de lui rendre ce qu'il me donnait   J'étais subjugué et ma passivité le séduisait à fond selon moi : j'étais ce qu'il cherchait et réciproquement.. Chacune de ces photos (fakes)évoque bien ces moments de plein air et de baise intense.  

 Au début  j'étais épuisé après, au point de ne plus pouvoir rien faire pendant de très longs moments. Ensuite, ce vide en mon corps et mon esprit jouait comme une détente absolue dont j'avais besoin. Et je devins accroc'. Ca c'est toujours mauvais en raison de la peine que fait toujours une séparation.  En moi il y avait deux luttes : assumer ma bi sexualité et ma passivité avec les hommes.

 Le fait nouveau ce fut qu'un jour il tira de son sac à dos un gode bricolé par lui. On était "en train"et il me dit : "ça je préfère que ma femme le trouve pas" Il se le mit tout en me baisant et me mit la main sur le long manche en bois pour que je sois aux manettes.    Ca changeait la donne et je culpabilisais légèrement. de comprendre son insatisfaction que je ne puisse pas le baiser. Gentil Momond ! Il devait s'en prendre des gros, vu la grosseur du gode.

Mais il passait beaucoup de monde sur la drague et un jour, arrivé après lu,i je vis sa moto planquée et  le trouvai en "baise debout" dans les genêts du bord de Durance   avec un petit jeune bien foutu, plutôt plus fluet que moi, l'air d'un apprenti plus que d'un étudiant et dont l'anus était aussi élastique que le mien. lol  Candidat à la complicité je voulus observer sur leurs visages les effets de cette énorme intromission. Je m'offris à sucer, caresser, exhauster la jouissance du jeune... mais non, sans que Momond pût protester je fus gentiment évincé. Bof ! sur la drague si on est jaloux ou exclusif on rate des choses !  

Il me rejoignit après avec des regards évocateurs de son plaisir. Je le félicitai de sa bonne fortune, mais il me dit que ce garçon était un habitué. Je savais, pour avoir été avec d'autres gars, que  sur la drague il ne faut pas être jaloux. Ca j'ai bien appris. Pendant une baise, on a vécu  l'orage terrible de Vaison en 1992 , ça je me souviens, il faisait si sombre  j'ai culpabilisé qu'on ait été dans la joie du sexe pendant que des gens souffraient et se noyaient. That's life me répondrez-vous : à chaque instant sur la terre certains sont dans la joie et d'aures dans la souffrance. Aucun lien de cause à effet, mais je crois qu'à partir de là des choses ont concourru à nous séparer. Lassitude ? il y a de ça. Tentations diverses sur une drague riche à l'époque ? sans doute.  Momond avait perdu son travail l'entreprise ayant fermé. A part quelques stages (infirmier notamment), il fut désormais libre  tout le temps et moi toujours heureux de mes fréquentes demi-journées libres dans la semaine. Aucun de nous deux ne voulait manquer les RV qu'on se donnait oralement. 

Côté baise, Momond si je le croisais, était toujours dispo. Mais une sorte de crainte du pistonnage violent de mon amant était survenue.  J'aimais sa façon rude et exigeante de me posséder, je m'y préparais si j'avais RV en me faisant des lavages et même en ayant le  nécessaire avec moi. Mais j'avais la hantise au bout de quelques minutes que mon anus très sollicité ne vienne à salir, ne serait-ce qu'un peu.  J'ai horreur de ça, on me comprend sans doute.   

Puis, à partir d'un moment, il n'est plus venu à la drague. Pas de tél entre nous je l'ai dit, je me suis reproché de ne pas pouvoir le joindre pour savoir (de façon désintéressée)  s'il allait bien ou lui venir en aide s'il lui arrivait quelque chose. C'était la loi de cette drague : incognito, surtout les hommes mariés. Est-il parti à l'étranger ? Je crois qu'il avait attaqué une formation d'infirmier. Je prie Dieu, s'il existe, qu'il soit en vie et en bonne santé.  Allez, que le hasard fasse que le tag "cavaillon" sur le net lui dise encore quelque chose et qu'il soit devenu l'un des 5 à 600 visiteurs quotidiens de ce blog...Momond, rassure-nous, moi je t'aime !   Reviens svp !

Ton souvenir est si vivant, toi si généreux, si vaillant, je te désire encore : 

   

 

  © Belamionline.com   on inventa des choses nouvelles nées de nos expériences   

  shootés tous deux par notre plaisir partagélacher prise 004

  Il m'avait dit qu'il avait été expat dans les pays du golfe. Etait-il reparti ?  

 

  NB : toutes les photos sont évocatrices de la vérité mais FAKES  du net. 

 


commentaire : "philosophie ??? humilité : je ne t'ai jamais rendu ce que je te dois , non ? " HYDE 

 

Par JEKILL - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 9 avril 1 09 /04 /Avr 01:53
Résultat de recherche d'images pour "dame censure""je filme mon pote se faire enculer pendant ce temps je roule des pelles à l'enculeur."
SUR LE VIF CAM PORTATIVE
(à voix chuchotée )-- " c'est ça, oui, ...c'est bien  ...ouvre bien ton cul...ça rentre...c'est bien rentré

-- oui ahhh   ahhh ...ohhh ...-- putain tu m'as fait jouir ! ...- putain pas possible c'est bien.... 

 
Chut !  c'est dans les bois que
 filmé PAR MES SOINS  LOL !
2.  (à voix chuchotée )-- " je vais jouir là

-- oui vas-y  ..-- tu as joui ?  ! ...- putain oui c'est bon ça ....       

  ...3
 explication :  

"je filme mon pote se faire enculer pendant ce temps je roule des pelles à l'enculeur." ce site a été plusieurs fois censuré  

 
 
Résultat de recherche d'images pour "dame censure"
Par BENSARENTRE - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 30 mars 5 30 /03 /Mars 11:31

la nostalgie amoureuse et SOCIALE  ça touche aussi les pédés vu(e) l'évolution des moeurs lois  

Image associée

 

d

 

Bon il parlent d'Aragon et des folles. Le poète, gay refoulé, qui a, après la mort d'Elsa, fini ouvertement folle.

 

 Nicolas Peyrac l'auteur

Quand vous dansiez en ce temps-là,
Pas besoin de pédale wah-wah.
C'était pas la bossa nova
Mais ça remuait bien déjà.
Les caves étaient profondes
Et la ronde
Ne s'arrêtait pas.
Un vieux piano bastringue
Et les dingues
Tournoyaient déjà.

Et Juliette avait encore son nez.
Aragon n'était pas un minet.
Sartre était déjà bien engagé.
Au Café de Flore, y avait déjà des folles
Et mon père venait de débarquer.
Il hantait déjà les boutiquiers.
Dans sa chambre, on troquait du café.
Il ignorait qu'un jour, j'en parlerais.

Quand vous flirtiez en ce temps-là,
Vous vous touchiez du bout des doigts.
La pilule n'existait pas.
Fallait pas jouer à ces jeux-là.
Vous vous disiez "je t'aime",
Parfois même
Vous faisiez l'amour.
Aujourd'hui, deux salades,
Trois tirades
Et c'est l'affaire qui court.

L'oncle Adolf s'était déjà flingué.
Son Eva l'avait accompagné,
Des fois qu'il aurait voulu draguer :
Qui sait si, là-haut, il n'y a pas des folles
Et mon père allait bientôt planter
Cette graine qui allait lui donner
Ce débile qui essaie de chanter.
Il ignorait que viendraient mes cadets.

Quand vous chantiez en ce temps-là,
L'argent ne faisait pas la loi.
Les hit parades n'existaient pas,
Du moins, ils n'étaient pas de poids.
Tu mettais des semaines
Et des semaines,
Parfois des années.
Si t'avais pas de tripes,
Ta boutique, eux,
Pouvaient la fermer

Et Trenet avait mis des années,
Brassens commençait à emballer
Et Bécaud astiquait son clavier.
Monsieur Brel ne parlait pas encore des folles
Et mon père venait de débarquer
Là ou restait quelque humanité,
Là où les gens savaient encore parler
De l'avenir... même s'ils sont fatigués.

Et Juliette avait encore son nez.
Aragon n'était pas un minet.
Sartre était déjà bien engagé.
Au Café de Flore, y avait déjà des folles
Et mon père venait de débarquer
Là ou restait quelque humanité,
Là où les gens savaient encore parler
De l'avenir... même s'ils sont fatigués.

Par PAR jean-claude GUITARE - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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