VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES

Lundi 21 mai 1 21 /05 /Mai 09:30

le sexe a-til encore un secret pour ces débutants ? 

 

  1..."Avec toi les Baisers coulaient à flots .
Avec toi mes rêves étaient si Beaux .
J'aimais tellement quand tu me disais "Tu est Beau" .

Avec toi je me voyais dans l'avenir .
Avec toi ma vie été moins pire .
Avec toi j'avais le sourire"...

 

 

 

 

                                    poème d'ado lu sur le net 


murs à point ces jeunes barbus ....

Par ATTENTION AU DEPART - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 20 mai 7 20 /05 /Mai 20:41

le même bond (physiologique) en avant que les nouvelles technologies 

 

Histoire de la masturbation

D’où vient donc ce tabou dont on n’ose à peine parler, même dans la plus grande intimité ? 20 siècles de culture judéo-chrétienne n’y sont pas étrangers avec des théories niant l’existence du plaisir féminin ou encore mettant en exergue le gaspillage de la précieuse semence ! Pour continuer de remonter aux origines, le mot masturbation vient du mot latin masturbatio, Manus signifiant main et Stupratio, action de souiller. Tout un symbole !

En Occident, la plupart des médecins et sexologues du 18ième au début du 20ième siècle pensaient que la masturbation était une maladie et qu’elle provenait d’un vice moral ou d’un dérèglement de l’instinct sexuel. Pendant cette période, le corps médical s’est déchaîné contre cette pratique, responsable, selon lui, de surdité précoce, de vertiges, voire d’arriération mentale chez les hommes, et conduisant à l’hystérie chez les femmes. Une hystérie que l’on soignait par l’emprisonnement avec camisole de force, l’excision chirurgicale, la cautérisation du clitoris au nitrate d’argent, méthode préconisée en 1886 par l’Académie de médecine elle-même.

Le discours s’est depuis un peu adouci. Longtemps considérée comme tabou, dégradante, c’est pourtant un acte tout à fait naturel. La masturbation est une stimulation des parties génitales permettant d’avoir du plaisir pour parvenir à l’orgasme, à l’aide des mains ou d’objets tels des sextoys.

Depuis la fin du 20ième siècle, les recherches scientifiques ont montré que la masturbation est « biologiquement normale » et qu’elle ne provient pas d’une maladie ou de troubles psychologiques.

Image associée vous vous êtes masturbé(e) avant de naître...on vous a vu(e) ! -lol- 

ECHOGRAPHIE Image associée

Il est "criminel" chez les mamans de corriger leur bébé qui se masturbe au berceau. D’ailleurs, la masturbation se développe dès la vie intra-utérine. Plusieurs auteurs ont observé, grâce à l’échographie, des stimulations génitales dès la 26e semaine. L’analyse des résultats montre qu’après la succion du pouce ou de la main, ce sont les contacts manu-génitaux qui sont le plus souvent observés. Ces stimulations génitales semblent parfois aboutir à des états similaires à l’orgasme.

Elle se poursuit avec l’enfance où la stimulation des organes génitaux débute dès que les réflexes moteurs sont fonctionnels. En moyenne, les stimulations débutent vers 6 ou 7 mois chez les garçons et 10 ou 11 mois chez les filles. Cependant, ce n’est que vers 2 ou 3 ans, que la masturbation réalisée avec l’objectif de provoquer un orgasme est observée.

La fréquence est maximale à la période de l’adolescence, en moyenne dès l’âge de 12 ans (2 à 3 fois par semaine chez le garçon et 1 à 2 fois chez la fille) et diminue avec l’âge, avec toutefois des périodes où elle redevient fréquente du fait de l’absence de partenaire, ou d’un partenaire incompétent sexuellement. 90 à 95%des hommes disent avoir eu recours, au moins une fois dans leur vie, à la masturbation contre 80 à 85 % des femmes.

 

Pratiques actuelles de la masturbation

Dans les années 1990, une enquête NHSLS (National Health and Social Life Survey) faîte aux Etats-Unis a permis de mettre en évidence les facteurs qui influencent la fréquence de la masturbation chez l’adulte :

  • Le sexe : les hommes se masturbent plus que les femmes.

  • L’âge : les jeunes se masturbent plus que les personnes âgées.

  • Le statut marital : les personnes non mariées se masturbent plus que les personnes mariées.

En 2006, l’enquête CSF (Contexte de la Sexualité en France) sur la sexualité des français montre que 60 % des femmes âgées de 18 à 69 ans ont déjà pratiqué la masturbation. Enfin, l’enquête CSF montre que si la pratique régulière de la masturbation concerne 43 % de celles qui ont connu au moins 10 partenaires, ce n’est plus le cas que de 11 % de celles qui n’en ont eu qu’un.

Les techniques de masturbation

Il faut tout d’abord préciser que la masturbation n’est pas uniquement une stimulation mécanique ; l’excitation passe avant tout par la tête. Fantasmer, imaginer un scénario fait partie intégrante du processus de masturbation. Chez l’homme, cette phase d’excitation « mentale » est d’ailleurs indispensable à l’érection.

Les chercheurs William Masters (Gynécologue) et Virginia Johnson (Psychologue) ont observé et mesuré avec des appareils spécialisés plus de 10 000 réponses sexuelles auprès de 694 hommes et femmes. Ils ont montré que le pénis de l’homme et le clitoris de la femme étaient les principales régions du corps à l’origine du plaisir sexuel. C’est pour cette raison que le clitoris et le pénis sont les zones érogènes les plus stimulées au cours de la masturbation.

Au niveau physiologique, plusieurs études montrent que les réactions sexuelles entre les femmes et les hommes sont relativement similaires. Lors de la masturbation, les réactions sexuelles féminines ne sont pas tellement plus lentes que celles des hommes. La moyenne des femmes déclarent obtenir un orgasme un peu moins de quatre minutes après le début de l’autostimulation, et certaines atteignent l’orgasme en un peu moins de 30 secondes. Cette différence relativement peu importante entre l’homme et la femme augmente lors de la stimulation coïtale. En général, la femme met plus de temps que l’homme à obtenir un orgasme pendant le coït, probablement parce que la stimulation directe de la région clitoridienne est plus intensive lors de la masturbation que pendant le coït.

Les techniques masculines

Chez l’homme, la manipulation du pénis consiste à étreindre le corps de la verge avec la main et à effectuer des mouvements de va et vient simulant la pénétration. L’homme peut aussi s’allonger sur le ventre et frotter son pénis contre un drap, un coussin… certains hommes utilisent un jet d’eau pour stimuler le pénis sous la douche ; d’autres coincent leur pénis entre les jambes et exercent une pression dessus. Le rythme et la pression des caresses augmentent avec l’excitation jusqu’au déclenchement de l’orgasme. Pour la masturbation, l’homme peut avoir recours à un masturbateur classique , un FLESHLIGHT réaliste ou encore un masturbateur tenga.

Les hommes comme les femmes peuvent aussi se masturber l’anus soit uniquement l’orifice, soit par pénétration, avec des doigts ou avec un plug anal ; ce plaisir est encore plus grand pour les hommes lors de la pénétration puisque cela stimule la prostate.

Une étude faite au Canada sur un groupe de 500 individus masculins, montrait que 94 % des hommes se masturbent avant 20 ans, avec une fréquence d’autant plus élevée qu’ils ont commencé jeune et que dans la plupart des cas cette pratique continue toute la vie, mais souvent réduite pour les hommes qui ont une activité sexuelle régulière avec un ou une partenaire. Au-delà de 40 ans, un certain nombre d’hommes délaissent cette pratique.

D’autres études rapportent qu’un homme en bonne santé âgé de 18 ans ressent le besoin d’avoir un orgasme environ 4 fois par semaine. Cette fréquence diminue progressivement avec l’âge, surtout après 40 ans. Pour les hommes de plus de 60 ans, elle est de moins d’un orgasme par semaine. Ce chiffre n’est qu’une moyenne : concrètement les variations individuelles sont importantes.

85 % des répondants affirment sans aucune hésitation que les parties du corps répondant le plus à leur propre toucher ou à celui d’une ou d’un partenaire sont sans équivoque le pénis, les testicules et toute la région autour des parties génitales.

masturbation masculine

masturbation masculine quelque part sur la planète

 

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Par WANKER NUMBER ONE - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 16 mai 3 16 /05 /Mai 15:27

sur la drague, et au sauna j'en ai eu la confirmation mais la webcam et les échanges anonymes ont donné plus d'ampleur encore à la sturb', mondialement ... ado on croit à certaines choses comme d'être dans une situation provisoire avant la "Vraie Vie"comme  o"n se mariera et ça comblera tous nos désirs"...peut-être on nous décrit la jouissance sexuelle comme une extase céleste et puis...c'est moins...et puis, de façon inextinguible on veut toujours atteindre cet idéal, que nos rêves donquichottesques dépassent ou au moins recouvrent la réalité. La soif d'amour est inextinguible en l'homme.    

  ... HISTORIQUEMENT :   

    IL N'Y A AUCUNE HONTE A SE MASTURBER NOUS AVONS DE GLORIEUX DEVANCIERS vers le 3e siècle Av JC :   c’est Diogène de Sinope qui donne à la masturbation ses lettres de noblesse philosophique :

DEMOCRITE « Il se masturbait constamment en public et disait : « Ah ! si seulement en se frottant aussi le ventre, on pouvait calmer sa faim ! » (VI 69)

Mais est-ce Démocrite qui, théoriquement au moins, aurait ouvert la voie ? Hérodien, un des maîtres de Marc-Aurèle, rapporte en effet ce passage :

« La masturbation procure une jouissance comparable à l’amour. » (Prosodie générale, cité par Eustathe Commentaire sur l’Odyssée XIV 428 p. 1766 Les présocratiques p. 877) 

DIOGENE Diogène était un mendiant, ivrogne et philosophe grec qui fut surnommé le chien (Cynos en grec). Son école de pensée fut donc logiquement appelée l’école Cynique. Il avait de longues discussions philosophiques avec ses disciples qui étaient tous aussi sales et pouilleux que lui, normal puisque c’étaient des chiens errants.

Il fut un des plus grands clochards de tous les temps, passant le plus clair de sa vie à se masturber en regardant discrètement les jeunes hommes au travers d'un orifice de son tonneau.

  mondialement ...  

...Brésil  

 

 

 

,

  ... USA Afrique,...  

 

 

 

 

 

 

  ... Chine, Asie.  

 

 

 

  ... République indienne, Pakistan.    


  ... Pays arabes .    

 

PARTOUT AU MONDE   

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par BRANLEUR N°1 - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 16 mai 3 16 /05 /Mai 07:00

Dieu le Père -si vous y croyez-nous a donné une joystick magique et nous ne savons pas (assez) en profiter on n'en parle guère sur nos sites  

Le mois de mai a de "l'écume" -lol-

et toi tu devrais en avoir aussi La masturbation est la "sexualité la plus libre et la plus démocratique qui soit"

 

MAI

le mois (inter)national de la masturbation

 

             célébration DE LA JOURNEE  DU MOIS  DE LA STURB  PARTOUT   :                                                                            

                                                                                                                                                                                                                                           
                                                                                           Résultat de recherche d'images pour "onan"                                                                                                  dans les siècles des siècles...amen                     

      Vous avez la main taciturne, le poignet mélancolique et vous sentez que vos escapades en solitaire d’antan n’ont plus le même effet réjouissant sur votre corps dorénavant blasé par cet auto-érotisme devenu trop répétitif ? NE SOYONS PAS STUPIDE !

image oui tu as rêvé et tu rêves encore 

 

RIEN NE VAUDRA JAMAIS LA MAIN mais il existe de merveilleux masturbateurs vibrants qui permettent de goûter à des plaisirs solitaires sublimes ! En effet, le pénis est dans sa prison dorée, à jouir des va-et-vient autant que de la douceur du silicone vibrant… Et les plus aventureux pourront également se munir d’un vibreur prostatique performant pour voir du pays d’une façon unique en parallèle des délicieuses caresses péniennes.

 

  RECIT au ralenti: [un délice]

 Allongé de tout mon long, une main parcourant mon corps, l’autre qui me caresse le sexe très délicatement, tout mon corps manifeste lui aussi sa joie en ondulant voluptueusement. Mes jambes pliées et écartées bougent au rythme de mes caresses sur ma verge. J’ondule du bassin à la cadence du plaisir. Je suis si bien là, ma queue est totalement raide maintenant, mon gland n’est pas encore totalement découvert mais il commence à pointer, je sens toutes les courbes subtiles de ma verge. Je continue comme ça encore un peu, quelques minutes de plaisir intense.

Je tire maintenant sur mon sexe afin de libérer mon gland de son fourreau de peau. Il apparaît complètement dégagé, rouge de plaisir. Je place mon pouce à la base de ma queue pour la faire grossir ; l’effet est immédiat : elle semble grandir encore un peu, et mon gland se gorge de sang, il devient plus gros lui aussi, changeant de couleur et devenant presque violacé comme une asperge printanière. Mon sexe ainsi caressé depuis un bon moment témoigne aussi de mon bonheur. Un témoignage d’une grande sensualité, signe de l’intensité de mon plaisir. Ce signe qui trahit ma joie s’écoule tout doucement du méat de mon gland. Ma verge semble pleurer, mais ses larmes sont les larmes de la promesse d'une joie intense. Elles apparaissent en scintillant au coin de la petite bouche de mon gland. Tout d’abord, elles emplissent mon méat, puis elles coulent sur mon gland ; larmes chaudes du plaisir brûlant qui m’envahit. Perles de plaisir trahissant ma joie suprême. Douce rosée naissant, dans l’intimité profonde, au cœur de ma queue et montant s’épanouir sur les lèvres entrouvertes de mon gland.

 

Je continue mes caresses ainsi de longues minutes, ma main qui remonte sans cesse le long de ma hampe depuis la base où je n’oublie pas de caresser mes boules jusqu’au sommet de mon gland, il arrive que mon gland soit recouvert de mon prépuce par moments et je m’empresse aussitôt de le redécouvrir en tirant un maximum sur ma queue. Je suis si bien perdu dans mes pensées qui sont toutes pour toi, l'un de mes amants passés, mais toujours vivants en moi, j’imagine qu’à la place de ma main je ressente la tienne ou même ta langue qui me fait tant de bien. J’imagine ton corps nu et offert tout à moi, ses courbes qui acceptent mes mains, tes tétons dont je sens les pointes durcir de plaisir sous ma langue, ton sexe que j’adore déguster à pleine bouche, ton nectar dont je me délecte, ton gland à toi avec lequel j’aime jouer de longues minutes, ma langue qui s’insinue au plus profond de ton intimité, tes jambes qui m’enserrent, ton visage qui se déforme sous l’orgasme. Voilà toutes les images qui se bousculent dans ma tête et qui me font me sentir bien, très bien même.

 

La plupart du temps, je me masturbe en utilisant une huile parfumée ; cela augmente considérablement l’intensité de mes sensations. C’est comme si je jouissais de manière continue sans éjaculer. Je ressens un plaisir extrêmement fort. Bien sûr, je gémis beaucoup plus et je remue tout mon corps en ondulant plus fort également. Je bande aussi plus fort en me masturbant avec de l’huile ou de la crème, ma verge est très tendue, mon gland d’une jolie et très sensuelle couleur violacée. Ça m’excite beaucoup de voir ma verge bander aussi vigoureusement et j’en sens très fortement toute la tension dans mon bas-ventre. Je nevois plus qu'elle, tout autour mon regard se trouble et rejoint ma pensée. Je regarde ma verge très tendue, merveilleusement belle et excitante, mon gland congestionné de désir. Tout ceci, c’est pour toi qui t'es éveillé dans mon souvenir et que j'ai choisi pour partager mon plaisir.

 

Je me masse la verge avec des caresses amples et douces sur toute sa longueur, de lents va-et-vient de mon gland à la racine, en tournant ma main légèrement à chaque mouvement descendant et montant le long de ma verge. À chaque mouvement descendant, j’insiste sur les points les plus sensibles de ma queue. Mon plaisir est d’une intensité telle que je mouille beaucoup plus ; ces larmes de joie qui coulent du méat de mon sexe sont beaucoup plus abondantes. Ça aussi ça m’excite beaucoup ! Elles sortent de la petite bouche souriante de mon gland à chaque fois que ma main remonte le long de ma verge et elles coulent sur mon gland en longs filets brillants. Je les vois donc continuer de s’écouler doucement tout le long de ma queue en lente cascade argentée, c’est merveilleusement prenant. Avec ma main qui masse mon pénis, j’étale ma mouille sur toute ma verge. Quand ma main remonte sur mon sexe et que je vois apparaître une nouvelle grosse larme de mouille, je gémis plus fort tellement ça m’excite. Et je suis au comble du bonheur de voir à quel point ma verge est heureuse de mes caresses. Et comme je suis plus excité, je mouille encore plus, et de mon pénis s’écoule de nouveau une grosse perle de plaisir.

 

Je suis complètement décalotté. Je tire bien la peau de mon pénis vers la racine pour que le gland, intégralement et complètement dégagé puisse profiter pleinement de chaque caresse subtile de ma main et de mes doigts. Mon pénis ainsi décalotté bien à fond et la peau bien tirée en arrière, mon gland est très impudiquement mais très érotiquement exposé à toutes mes caresses, et cette impudeur est pour toi, Jo, Paul, ou bien Maurice ? Je suis complètement nu, assis les jambes écartées et pliées, mon pénis en érection, décalotté à fond, bien dressé entre mes cuisses ouvertes. Je tire la peau de mon sexe pour encore mieux dégager mon gland. Je bande très, très fort et mon gland est très gros, violet de désir, le méat bien ouvert et suintant d’une mouille abondante. Je suis impudique à l’extrême et j’en suis très heureux. Mais je le suis pour moi et pour toi aussi et pour lui et pour tel autre encore : Hassène, Max ou bien Matt .

 

Le plaisir est plus fort maintenant, je le ressens en deux points bien précis. Le premier se situe exactement entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma verge ; le deuxième se situe à l’extrémité de mon pénis, dans tout mon gland. Les ondes de plaisir remontent tout le long de ma queue et se diffusent intensément dans mon gland tendu et gonflé à l’extrême par le plaisir. C’est merveilleusement beau et bon à la fois. Je pousse des gémissements et des râles de plaisir. Ma tête est complètement investie je ne pense qu'au plaisir qui nous unit ma verge, ma tête, on compagnon virtuel et moi.  Je bouge beaucoup, et toujours au rythme des caresses de ma main sur ma verge tout se brouille en une merveilleuse confusion.

 

J’ai du plaisir, je me fais du bien, beaucoup de bien. J’aimerais tellement que tu me voies, mais tu n’es pas là ; alors je te raconte tout dans les moindres détails pour que tu puisses imaginer dans quel plaisir je suis, comme quand tu me fais partager le tien. Je ne cesse de fixer intensément mon pénis tendu par une puissante érection qui ne demanderait qu'à entrer en toi. Je fixe surtout mon gland complètement dilaté par le plaisir. Le méat, au bout de mon gland, est superbement ouvert et luisant, entièrement baigné d’une mouille abondante qui ne cesse de couler de ma verge caressée. Je mouille beaucoup et j’aime quand je mouille comme ça. Je suis au bord de l’éjaculation , alors je serre très fort ma queue pour stopper cette montée de plaisir ; j’ai du mal à me retenir, je sens un spasme, je me retiens plus fort mais de mon gland s’échappe un peu de sperme cette fois, en petite quantité, j’ai failli jouir, je le recueille, au bout de ma verge en la pressant sur toute sa longueur, depuis la racine jusqu’au bout de mon gland avec un doigt de la main droite et je le dépose sur le bout de ma langue. C’est chaud, un peu salé et liquoreux, j’adore !

 

Je me décide à relâcher la pression sur mon sexe et à l’abandonner un peu pour me concentrer sur mes pointes de seins, que je pince un peu comme l'un de vous, mes amants, le ferait. Je reprends enfin mes caresses sur mon sexe, bien décidé à me faire jouir jusqu’au bout cette fois ; cela fait un bien trop long moment que je me caresse et mon plaisir devient vraiment très fort. Le cœur de ma verge palpite un peu plus, à l'unisson avec le coeur qui bat dans la poitrine. Mes caresses s’accentuent sur les points les plus sensibles. En particulier sur toute la surface de mon gland dont je sens la douceur extrême. Mes caresses se précisent également sur toute la partie du corps de ma verge qui se situe immédiatement sous mon gland, tout autour. Là où tous vous savez si bien poser vos langues. C’est également agréable sur toute la couronne de mon gland ainsi que dessous et de chaque côté. Là, c’est vraiment très, très bon et je dois me forcer pour insister sur ces endroits très sensibles de ma queue car la jouissance est à la limite du non-retour.

 

Pour accentuer mes caresses, je pose mon gland dans le creux de ma main gauche, et je place mon pouce sur la couronne de manière à ce qu’il aille stimuler également juste sous la couronne là où j'ai ces toutes petites crètes blanches. Je fais alors un lent mais très appuyé mouvement circulaire avec mon pouce. Cette caresse m’envoie littéralement en l’air et provoque des ondes de plaisir très fortes vers la racine de mon pénis. Par ces merveilleuses caresses, je parviens à un niveau supérieur d’excitation et je masse ma verge plus intensément ; je la serre fort, je me masturbe avec des mouvements plus amples. Je monte et descends tout le long, du bout de mon gland jusqu’à mon pubis, en accentuant chaque aller et retour, mon bassin accompagne chaque mouvement de ma main.

 

Ma respiration est devenue un halètement entrecoupé de gémissements et de râles qui ne vous laisseraient aucun doute sur l’intense plaisir que nous nous donnons mon frère-pénis et moi. Ma main descend et monte plus vite sur ma verge. Je projette mon bassin en avant à chaque mouvement descendant de ma main sur ma verge. Entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma verge, le plaisir chaud se contracte et se dilate avec une force grandissante au fur et à mesure de mes caresses. Je sens mon sexe se contracter ; les contractions sont plus longues, plus amples, et elles sont de plus en plus rapprochées les unes des autres. J’accélère mes caresses. Mon bassin ondule de plus en plus fort, au rythme des palpitations grandissantes du cœur de ma verge. Mes gémissements et mes râles s’intensifient… Je m’abandonne totalement à mon plaisir. Je pense très fort à toi mon-amant-élu-du-jour.

 

    Mon regard fixe ma queue, le bout surtout, mon gland luisant tant il est tendu. Instinctivement, mon corps se plie, ma tête se rapproche de mon pénis. Mes cuisses s’écartent au maximum. Les mouvements amples de ma main sur mon pénis se font plus lents, mais plus précis. Tout mon corps est transi de plaisir, je suis au bord de l’orgasme, à la limite extrême avant la jouissance. Je vais jouir, je vais éjaculer, je vais gicler, je vais me vider. Ma verge palpite, mon gland violet d’excitation est dilaté à l’extrême. Les palpitations au cœur de ma verge deviennent très fortes : des palpitations profondes et brûlantes. Je ralentis encore mes caresses sur mon sexe tout en les faisant plus précises, sur mon gland, sa couronne, sans en oublier le frein, endroit si sensible, si délicat, et tellement érogène… Je sens que je vais venir… Je sens comme une boule dans la racine de ma queue, elle se dilate ; cette dilatation me fait pousser un long râle de plaisir. Puis elle se dilate encore, puis encore. Je fixe mon gland, ce que je ressens est extraordinaire. Ça vient, oui ça vient ! Ce plaisir est pour toi. Une série de violentes contractions me fait écarter les jambes au maximum. Je projette ma tête vers mon bassin en me pliant en deux. Ça me brûle dans la racine de ma verge, tout près de l'anus contracté à l'extrême. c’est sublime ! Je pousse un long gémissement rauque… Je perçois avec une grande intensité cette explosion de la boule dans la racine de ma verge. En même temps que je ressens cet éclatement, une très vive sensation de plaisir brûlant envahit la base de mon pénis et le fait se dilater à l’extrême. Je la vois en même temps que je la ressens, cette dilatation ; mon gland se dilate aussi, faisant s’ouvrir le méat, dont la béance annonce l’imminence du jaillsement du sperme, tel un chaud geyser.

 

Je fixe le bout de mon gland. Je relâche mes muscles que je ne peux contrôler qu’une ou deux secondes ; une ou deux secondes de paradis ! La base dilatée de mon pénis se contracte. Je sens mon sperme brûlant monter et traverser mon pénis. Je projette mon bassin vers l’avant en même temps que je sens et que je vois jaillir du méat béant de mon gland au bout de mon pénis le premier jet de semence. Première giclée, j’aime regarder et voir les giclées de mon éjaculation qui jaillissent de la petite bouche de mon pénis ! Je suis heureux ! Contempler les giclées de ma semence qui jaillissent en jets brûlants de mon bâton congestionné de plaisir me porte au comble du ravissement et de la jouissance. Chaque jet de sperme giclé par ma verge m’arrache un long gémissement rauque. Au moment exact où un jet de sperme est en train de sortir et de jaillir du bout de ma verge, je projette mon bassin en avant, inconsciemment pour enculer profond quequ'un d'imaginaire et déposer ma semence en lui.

 

Trois ou quatre puissants jets de sperme jaillissent de ma verge, me faisant jouir avec une intensité inouïe. Chaque jet me fait énormément de plaisir. Je jouis, j’éjacule. Le plaisir irradie aussi dans mes boules qui sont remontées pendant la montée de mon plaisir et qui se sont plaquées contre la base de ma verge dès la première contraction. Je contemple chacun des jets de mon sperme qui gicle de ma verge en fixant intensément mon gland durant toute mon éjaculation. Pendant que j’éjacule, je masturbe ma queue plus lentement qu’avant d’éjaculer. Je sens bien chaque jet qui monte dans mon sexe. Un jet retombe sur mon ventre, puis un autre sur mon visage près de ma bouche ; je m’empresse de le lécher avec ma langue pour me goûter comme chacun de vous mes bons amant me le fait. Les jets suivants sont d’une intensité moindre, mais m’arrachent toujours un gémissement rauque de satisfaction et je continue de projeter mon bassin en avant jusqu’à la fin des contractions de mon orgasme. J’éjacule quatre ou cinq de ces petits jets, chacun me procurant une jouissance encore intense, mais sensiblement moindre que les puissants jets du début de mon éjaculation. Je ramène toujours ma verge de manière à ce qu’elle soit bien droite, à la verticale de mon corps ; cette position met très en valeur à la fois mon pénis et les jets de semence qu’il est en train d’émettre en me faisant jouir.

 

Je continue de me masturber en ralentissant mon va-et-vient le long de ma verge, au fur et à mesure que j’éjacule. Les dernières contractions de ma verge font s’écouler ce qui reste de semence en elle en grosses larmes chaudes qui coulent du méat de mon gland, puis sur mes doigts et dans les poils de mon pubis. Ces dernières et ultimes contractions de faible intensité me font encore beaucoup de bien. Chacune me fait gémir et me contracter en projetant mon bassin en avant. À cet instant de ma jouissance, je commence à serrer puis à desserrer alternativement mes jambes en contractant mes cuisses et mes fesses. Mes doigts remontent complètement jusqu’à l’extrémité de mon gland pour vider ma verge des quelques gouttes de sperme qu’il reste.

 

Mon corps est maculé de petites flaques de sperme comme un petit lac bordé du petit jardin de mes poils. J’adore sentir ma semence, mes jets retomber sur ma poitrine et mon ventre dès qu’ils ont jailli de ma verge, j’aime le sentir sur moi, le sentir couler sur mon corps, le sentir s’écouler le long de mon sexe, puis le sentir couler dans les poils de mon pubis. Je suis bien, extraordinairement bien. Je viens de vivre un plaisir sublime grâce à toi mon amant-de-cette-heure.

 

Je penche ma tête sur le côté, mes jambes se détendent, tout mon corps se détend. Je ne bouge pas, je profite de la douce torpeur dans laquelle le plaisir me fait baigner. Ma verge s’est ramollie dans ma main. Je la garde comme ça, décalottée et comme endormie dans ma main. Elle est toute mouillée de son sperme. Je pense aux instants merveilleux que je viens de vivre, au sublime plaisir que nous venons de nous donner mon pénis, mon amant virtuel et moi. Les yeux fermés, je revois ma jouissance, j’entends mes râles, mes gémissements de joie. Je me revois en train d’éjaculer, mon sperme giclant du bout de ma verge en longs jets chauds, au repos que nous vivons tous les deux après l’orgasme. Comme j’aimerais m’endormir dans tes bras, là ! Mes pensées sont toutes au plaisir que je viens de vivre pour et par toi comme un dieu. Je suis bien, détendu et heureux de mon bonheur. Je m’enfonce tout doucement dans le sommeil et une douce torpeur. Je suis sur un nuage de bien-être et de sérénité. Je m’endors, repu de plaisir et de jouissance. Un sourire se dessine sur mes lèvres ; sourire de bonheur qui t’est destiné, délicieux lecteur, charmante lectrice.¤

 

Image associée nom de nom la grosse pomme qu'ona cueillie !

Aujourd'hui au Jardin d'Eden

 

 

 

Cultive et maintiens ta sensibilité: 

J'ai diminué en sensibilité. Que ce soit ou non la cause de mes problèmes (je pense que c'est un mélange de masturbation répétitive dans laquelle je me branle sans plaisir , dans l'anxiété ), je pense que retrouver une certaine sensibilité pourrait être très bénéfique pour ma vie personnelle. Si on croit que  l'abstinence complète de la pornographie, de la masturbation et de tout orgasme va améliorer les choses, normalement on se trompe.
 
Récupérer ma sensibilité prendra beaucoup de temps  si j'arrête la masturbation . Mes progrès sont très lents, j'ai arrêté tout acte sexuel, y compris le porno pendant 7 mois et je me suis masturbé quelques fois au début du redémarrage. J'obtiens des progrès, je crois en ce qui concerne la sensibilité, mais je suis encore loin de ce que j'étais dans ma première jeunesse. (Mon test de sensibilité est de savoir comment et ce que je ressens au cours de baises on va dire normales)
  Je ne me suis pas masturbé ou j'ai joui devant un porno il y a un peu plus de deux mois mais j'ai eu peut-être un orgasme par mois avec ma copine depuis lors.

  J'ai utilisé cette crème que j'ai lu de bonnes critiques pour (je n'ai pas lu les commentaires négatifs OP a) pour un peu plus d'une semaine. Mais à peu près chaque fois que je l'utilise, je bande, ce qui ne m'arrive plus souvent et je me demande s'il y a de réels avantages à 
tirer de cette crème              

Je me souviens de ces jours où, pendant l'éjaculation, je me sentais si bien, mais aujourd'hui il y a une sorte d'inconfort et moins de plaisir. Au lieu de profiter du moment, mon pénis fait mal, et après l'éjaculation, il devient douloureux. J'ai eu ce problème pendant des mois et ça ruine ma vie sexuelle, je ne peux même pas me souvenir de la dernière fois que je me sentais bien que ce soit avec son sexe ou avec la masturbation. : '(

  Comment puis-je retrouver la sensibilité et obtenir cette sensation incroyable d'il y a seulement trois ans ? J'étais sur le point d'acheter de l'huile  man1man mais il y avait de mauvaises critiques, donc j'ai changé d'avis.
 J'ai entendu dire que la vitamine E est bonne pour la peau, mais je ne l'ai toujours pas acheté, toujours à la recherche d'un produit complet. Je vais essayer de mélanger l'huile de noix de coco ou de l'huile d'olive extra vierge, avec de l'eau. J'avais l'habitude de me masturber avec ma main ou de frotter mon pénis avec une serviette, mauvaise idée. Je pense que j'ai brûlé la tête de ma bite par la chaleur et endommagé mon pénis et mes nerfs. Ça me fait toujours du bien avant que j'atteigne le sommet, mais dès que j'éjacule, ça fait mal et ça gâche les sensations.

 


 

La voilà cette huile vendue sur Amazon: "Man1 Man Oil" 4 oz.- Natural Penile Health Cream - M.B. guarantee - Treat dry, red, cracked or peeling penile skin and increase penile sensitivity "Man1 Man Oil" garantie - spéciale pour traiter à sec un pénis, rouge, dont la peau se craquèle ou bien pèle  

 ... TEMOINS  

1950-snake-oil-is-wonderful-stuff hé oui, l'huile de serpent pour ta verge ! c'est une cose trop oubliée ! 

     L'huile de serpent est une médecine traditionnelle chinoise (TCM) utilisant des graisses extraites du serpent d'eau chinois (Enhydris chinensis.) [1] C'est un rubéfiant et / ou une pommade, et est appliqué par voie topique pour soulager la douleur physique mineure. Il a été utilisé dans la médecine traditionnelle chinoise depuis de nombreux siècles, et est un médicament relativement commun prescrit par les médecins attribuant la pratique de la MTC. Son efficacité en tant que médicament a été une source historique de controverse dans le monde occidental, où il y a beaucoup de confusion sur son origine et sa constitution en raison d'un jugement de la Cour de District des États-Unis contre Clark Stanley.

Dans la culture occidentale, l'huile de serpent est le plus souvent associée à un placebo, à une panacée et / ou à un marketing trompeur. Son association à la culture occidentale tient au fait que de nombreux entrepreneurs européens du XIXe siècle et du XVIIIe siècle ont fait de la publicité et vendu de l'huile minérale (souvent mélangée à diverses herbes, épices et composés domestiques actifs et inactifs, mais sans propriétés de serpents, ) comme «liniment de l'huile de serpent», faisant des affirmations frivoles sur son efficacité comme une panacée. Les médicaments brevetés qui prétendaient être une panacée étaient extrêmement répandus du 18ème au 20ème siècle, en particulier chez les vendeurs masquant des drogues addictives comme la cocaïne, l'amphétamine, l'alcool et les concoctions et / ou élixirs à base d'opium, pour être vendus comme médicaments
 

 

 

Je suis un homme, plutôt joli, de 29 ans. À l’âge que j’ai, même si mes plaisirs solitaires demeurent des secrets, j’assume pleinement mon appétit insatiable pour le sexe. Je suis en couple, mais j’adore m’adonner à mon seul plaisir, en solo. Je ne me lasse jamais de regarder de la porno en ligne, ou même d’acheter un magazine ou un DVD de temps en temps pour me soulager.

 

Je passe beaucoup, beaucoup de temps à regarder de la porno, et des sites web avec des annonces de prostituées, etc., etc. Ces fantasmes me procurent beaucoup de plaisir et l’un d’entre eux était de mettre le pied dans un de ces fameux cinémas pornos.

 

J’avais lu sur certains endroits sur le web. La plupart de ces endroits semblaient être des lieux de rencontre de prédilection pour les hommes gays ou les hétéros curieux. Je ne me retrouve dans aucune de ces catégories. J’ai par contre toujours été intrigué par ces lieux. Parce que je sais qu’une fois que je serai à l’intérieur, je pourrai vivre pleinement mon appétit dévorant pour la porno, sans avoir peur d’être jugé.

 

Il y a plusieurs années, alors que je rentrais chez moi rejoindre mon ex-copine, j’avais fait un crochet par un club vidéo porno. Une fois à l’intérieur, mon cœur s’était mis à battre très rapidement. J’étais surexcité par l’endroit et par toutes ces couvertures de DVD sur les murs. Il y avait des cabines de visionnement à l’arrière de la boutique, mais je n’ai jamais osé m’y aventurer. Je suis ressorti assez rapidement, gêné de me trouver là et apeuré d’y croiser quelqu’un que je connaîtrais.

 

Il y a quelques mois, j’ai enfin surmonté ma gêne et je me suis rendu directement dans un cinéma porno de la rue Ste-Catherine, à Montréal ; le Vidéo-Erotica. C’était l’hiver, je me sentais camouflé dans mon gros manteau.

 

Une fois la porte franchie, j’ai vu devant moi un escalier qui descendait vers le sous-sol. Craintif de croiser le regard du portier, je m’y suis directement dirigé. Au sous-sol, il y avait deux entrées différentes pour les salles de cinéma. D’un côté deux films hétéros et de l’autre un film hétéro et un film gay. Un autre homme est arrivé à ce moment et j’ai eu peur qu’il croie que je voulais voir le film gay. J’étais attiré par le film hétéro de cette porte, car il semblait mettre en scène des femmes aux courbes généreuses et cela est définitivement mon fantasme numéro 1. Craignant de croiser trop de gens, je suis remonté voir ce qu’il y avait à l’étage du dessus.

 

Je devais mettre 1 dollar pour pouvoir traverser de l’autre côté. Je le fis et lorsque j’arrivai de l’autre côté, j’ai été soulagé. Il s’agissait de plusieurs cabines individuelles où l’on pouvait s’embarrer (*) pour regarder des pornos tout seul, en toute tranquillité.

 

Je suis donc entré dans une des cabines et j’ai verrouillé la porte derrière moi. J’entendais le son de plusieurs films différents provenant des autres cabines et cela m’a beaucoup excité. Je me sentais bien, enfin lâché dans un lieu où tout est permis. À l’écran, des images crues roulaient en boucle, derrière le texte commandant d’insérer de l’argent. J’ai mis 20 $ dans la fente et la porno a commencé à jouer sur l’écran.

 

Ma première surprise a été le mode de navigation entre les films. J’avais cru que je sillonnerais des allées remplies de DVD où je choisirais le film de mon choix. Mais j’avais plutôt accès à une multitude de pornos différents, en naviguant avec les boutons et le manche qui ressemblait à une manette de jeux vidéo.

 

Je suis un amateur fou des gros seins. Ce n’est jamais trop gros pour moi et je suis du genre à aimer surtout les seins EE et plus gros. Je n’arrivais pas à sélectionner la catégorie des gros seins. J’ignore encore pourquoi à ce jour, le menu ne semblait pas fonctionner correctement. Comme j’avais mis 20 $, je me suis mis à la recherche de quelque chose qui me plairait quand même, car l’argent ne descendait pas si vite et je voyais bien que j’avais beaucoup de temps devant moi.

 

J’ai enlevé mon manteau et augmenté un peu le volume. J’étais assis sur le banc et de gros speakers étaient à gauche et à droite de ma tête. J’adorais cette sensation. Pouvoir écouter de la porno à haut volume, sans avoir peur de me faire surprendre par ma copine ou encore de me faire entendre par les voisins.

 

Mon cœur battait rapidement d’excitation et ma queue était déjà bien dure. Je naviguais entre les films et faisais parfois quelques pauses sur les scènes où les femmes me plaisaient particulièrement.

 

J’ai commencé à astiquer ma queue en regardant des vidéos de lesbiennes ou des belles scènes de cul avec des femmes chaudes.

 

Je ne trouvais par contre pas de seins assez gros à mon goût et il m’arrivait de temps en temps de tomber sur une scène gay, ce qui me déplaisait. J’ai donc lâché ma queue un moment pour me concentrer sur la recherche d’un film qui me plairait vraiment.

 

Et soudain, le meilleur des scénarios se produisit. Je suis tombé sur un film avec Brandy Taylor, une pornstar incroyablement sexy. Dans la vingtaine, avec des seins d’une taille énorme, qui ont une allure très douce et très naturelle. Elle tenait un de ses gros seins dans sa main et de l’autre, une queue, filmée en POV. C’était comme si elle était là, avec moi, sur un écran tellement grand. J’ai commencé à me masturber plus frénétiquement.

 

Elle avait huilé ses seins et la queue de son partenaire. Elle alternait les traitements de faveur entre toutes les options suivantes : bonne branlette à la main, branlette entre les énormes seins, branlette d’une main avec le gland dans la bouche, branlette entre les seins avec le gland dans la bouche, etc. Le tout avec un regard qui ne me lâchait pas, une bouche chaude de salope et une tonne d’insanités envoyées à son auditeur. C’était du pur bonbon. J’ai hésité entre cette vidéo et une autre de Kelly Kay, un autre modèle à gros seins incroyablement sexy (parmi mes préférées), mais Kelly donne uniquement dans le soft et à ce stade-ci, j’avais clairement besoin de m’imaginer la queue entre les cuisses d’une pornstar bien salope.

 

L’argent prenait encore son temps avant de s’épuiser, j’ai donc attendu le plus possible. À mon grand bonheur, il me restait environ 5 $ à écouler quand j’ai vu que la scène d’éjaculation allait arriver. Je me suis relevé de mon siège et j’ai sorti de ma poche le papier de toilette que j’avais pensé à emmener avec moi.

 

Je me suis approché de l’écran, j’ai posé ma main dessus et de l’autre j’ai commencé à me masturber de plus en plus rapidement. Quand l’homme de la vidéo a éclaboussé la grosse poitrine de Brandy, je me suis laissé couler à grands jets sur le sol. Pendant mes dernières secondes de branlette, je me suis dit que je n’avais pas besoin du papier. Après tout, j’étais dans le meilleur lieu pour spermer partout sans me soucier de la propreté.

 

Je me suis astiqué la queue qui ramollissait en regardant Brandy qui s’enduisait les seins de sperme avant que le film ne se termine. Il restait quelques dollars à écouler, mais j’avais obtenu ce pour quoi j’étais venu. Je me suis donc essuyé et je suis sorti de la cabine. En sortant, j’ai croisé un couple de blacks. Un homme… et une femme ! J’ai été immédiatement ragaillardi à l’idée de les imaginer venir vivre du sexe et fort possiblement le faire devant des voyeurs ici même.

 

  NOTES :  

Péché ???...NON MAIS ???

constat de Khayyâm : « Quel avantage a produit notre venue en ce monde ? Quel avantage résultera de notre départ ? Que nous reste-t-il du monceau d’espérances que nous avons conçues ? Où est la fumée de tous ces hommes purs qui, sous ce cercle céleste, se consument et deviennent poussière ? » p.351. D’où sa philosophie : « Ô ami ! À quoi bon te préoccuper de l’être ? Pourquoi troubler ainsi ton cœur, ton âme, par des pensées oiseuses ? Vis heureux, passe ton temps joyeusement, car enfin on ne t’a pas demandé ton avis pour faire ce qui est » p.197. D’autant que la vie est brève : « Mon tour d’existence s’est écoulé en quelques jours. Il est passé comme passe le vent du désert. Ainsi, tant qu’il me restera un souffle de vie, il y a deux jours dont je ne m’inquiéterais jamais, c’est le jour qui n’est pas venu est celui qui est passé » p.22.

Ne sachant ni qui l’on n’est ni où l’on va, seul compte le présent. Et le présent est plaisir. « J’ai beaucoup observé les choses ici-bas, je n’y vois que la joie et le plaisir qui aient du prix : le reste n’est rien » p.84. Qu’est-ce que le plaisir ? Le vin, les êtres, la poésie. « Ô spectacle saisissant ! Notre échanson tenant d’une main le goulot du flacon, et de l’autre la coupe qui déborde, comme pour nous convier à recevoir le plus pur de son sang ! » p.18. Quelle vitalité dans ces vers, qu’elle attrait symbolique : le sang de la jeunesse revigore comme le vin, le vin est la vie parce qu’il donne la joie.

Et la religion dans tout cela ? Dieu, s’il est grand, sait ce qu’il fait ; s’il est grand, il est généreux. « Lorsque Dieu a confectionné la boue de mon corps, il savait quel serait le résultat de mes actes. Ce n’est pas sans ses ordres que je commets les péchés dont je suis coupable ; dans ce cas, pourquoi au jour dernier brûler dans l’enfer ? » p.99.

Et c’est interpellation de Dieu, si grande, si belle dans sa simplicité, que Maalouf a placé en exergue de son livre et que je reproduis sous une autre traduction : « Quel est l’homme ici-bas qui n’a point commis de péché, dis ? Celui qui n’en aurait point commis, comment aurait-il vécu, dis ? Si, parce que je fais le mal, tu me punis par le mal, quelle est donc la différence qui existe entre toi et moi, dis ? » p.356.

Omar Khayyâm, Les rubaïyat, Forgotten books reprint 2018, 80 pages, €8.25 https://argoul.com/tag/peche/

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Des australopithèques à la pratique du safe sex, de Freud à soeur Emmanuelle - l'"autoérotisme" féminin n'est pas en reste -, voilà finalement un plaidoyer très réussi pour "la sexualité la plus libre et la plus démocratique qui soit". Plaisir (de lecture) garanti ! 

VOYAGE AUTOUR DE MON SEXE. SE FAIRE L'AMOUR, par Thibault de Montaigu. Grasset, 238p., 18€. 

 


commentaire :

 

 

Par BRANLEURN°1 - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 28 avril 6 28 /04 /Avr 22:21

cocu martyrisé dans son corps et son esprit mais comblé dans son cul, puis lopé par son prédateur bonne lecture pour un dimanche pluvieux  

  un post de contributeur 

De :  Danielou@hotxxxx.fr  

A : claudemodou@gmail.com

Ce récit m'a mis le feu mon cher Claude. J'aurais préféré qu'Ahmed soit comme AZIZ

  Paddy O'Brian © Men.com  merci pour ce post Daniel. Bises !

MA TETE ANTICIPE TOUJOURS TROP

 

Le poste de la Mégane est allumé. Un animateur radio pose des questions à son invité politique. Je n’y prête aucune attention. J’ai l’esprit ailleurs.

J’ai trouvé dans ma boîte aux lettres un simple bout de papier, hier matin. Griffonné négligemment, j’y ai reconnu l’écriture d’un détective privé que j’ai bien chèrement payé pour qu’il suive ma femme. Il y a trois semaines, j’ai trouvé des traces sur des bas de ma femme. Habituellement, je ne fourre pas mon nez dans les vêtements sales, mais elle n’avait pas lavé mes chaussettes ni mon maillot de rugby. Hasard cruel mais salvateur. Je sais à présent où se trouve ma femme. Cela m’a fait perdre tous mes gains au poker…

Lundi après-midi. La banque de ma femme est fermée, elle ne travaille donc pas. Elle en profite habituellement pour s’occuper du ménage, exécuter quelques tâches administratives ou se faire belle pour moi. Enfin, pour moi, c’est ce que je croyais… Depuis combien de temps va-t-elle voir ailleurs ? A-t-elle toujours été comme ça, depuis les premiers jours ? Quoi ? Ma bite ne lui suffit pas ? MA BITE ?!? Grosse salope, je vais te la mettre, tu vas voir ! Et il n’y a pas que ça que tu vas recevoir ! Et quant à ton connard de baiseur, je vais lui faire ravaler ses dents, à lui aussi : il va tâter de mes poings, et je ne les ai pas petits.

J’ai trouvé l’adresse. Une petite rue, je gare ma voiture sur un stationnement peint sur les pavés irréguliers. Le papier indiquait une adresse et un créneau horaire. J’avais pensé au début arriver peu après elle, et lui exprimer mon point de vue. Mais en y réfléchissant quelques instants, elle aurait pu nier les faits, se plaindre et détourner les accusations sur moi : elle en serait bien capable. Connasse. J’ai donc sagement décidé de les rejoindre un peu plus tard, pas de manière à arriver en plein milieu de leurs ébats mais de quoi surprendre une main dans le soutien-gorge et une autre sur les fesses. Tant qu’à faire, je ne voulais pas en voir plus de la part de la mère de mes enfants.

Un modeste magasin de vêtements. La vitrine présente quelques mannequins sans intérêt, habillés trop près du corps, avec un maillot G-Star et une casquette américaine trop large. Je ne m’étais pas représenté le tocard auquel ma femme s’était attachée, mais je ne me serais pas imaginé une tantouze vendeuse de vêtements pour ados attardés ! J’allais bien m’amuser à lui casser sa petite figure d’empaffé, à celui-là. Il ne touchera plus les femmes des autres de sitôt, lui. J’ai souri.

Moi, un mètre quatre-vingts, quatre-vingt-quinze kilos de muscles, le torse velu comme un vrai homme, le visage haut, marqué par vingt-cinq ans de rugby et l’expérience de quarante ans de vie, moi, donc, j’entre dans cette boutique. Entre les sustenteurs pour cintres et les rayons où reposent les jeans troués, j’entraperçois au fond une porte qui se ferme. D’un pas ferme, je m’y dirige. À quelques mètres de l’endroit où je suppose être ma femme, je suis intercepté par l’arrière.

— Excusez-moi Monsieur, je peux quelque chose pour vous ? Bonjour !

La personne qui m’a agrippé le bras est un gros arabe d’une grosse trentaine d’années. Ses 90kg, environ, pour un mètre soixante-dix à peine dépassés, indiquent qu’il ferait bien de s’occuper à faire un régime et un peu de sport, plutôt que de m’emmerder. Il semble soulagé de m’avoir empêché de pousser la porte. Je déteste les débiles qui couvrent les très grosses conneries des petits pédés qui baisent ma femme.

— Oui, je vais voir ce que t’as en stock là derrière. Y a ton collègue là-dedans qui pourra me renseigner.

— Je travaille seul ici monsieur, je n’ai pas de collègue. Le stock n’est pas ouvert au public, mais vous trouverez des échantillons de tous nos produits en rayon. Si quelque chose vous intéresse, j’irai chercher votre taille pour...

— Rien à foutre ! Y a ma connasse de femme là-dedans, et je vais aller la voir cette pétasse ! Et je vais défoncer la gueule de ton connard de pote, connard !

J’explosais. Je n’en pouvais plus. Il me prenait pour un con, ma femme me prenait pour un con, et un mec me prenait pour un con en se tapant ma femme, là ça allait chier. Il n’avait pas intérêt à me chercher l’autre corniaud. Je me retournais et mettais ma main sur la poignée.

— Il n’y a rien à voir là-dedans, et c’est mon magasin ! Sortez !

Il m’avait tiré en arrière. Assez fort pour que je recule, pas assez pour me faire tomber. Il voulait juste me forcer à sortir : il n’était pas assez agressif. Je lui envoyai mon poing à la figure. Il recula sa tête, insuffisamment pour m’échapper, mais le coup fut amorti. J’avais atteint son œil.

— Aïe ! Mais il est taré ce type !

Je lui assénai un second coup dans la poitrine, et un troisième dans les côtes gauches. Il reculait à peine, j’y avais pourtant mis de la force. Il me regarda d’un air méchant à la Hulk ou bien KingKong.

— Laisse-moi voir dis-je.

— C’est mort.

Avant qu’il n’esquisse un geste, je propulsai de nouveau mon poing dorit vers son visage. Je touchai sa joue. Mon bras ne bougeait plus. Il tenait mon avant-bras dans sa main. Je n’eus que le temps de voir son regard déterminé, avant de recevoir moi-même un coup sur la pommette. Ma tête fut emportée par le choc, propulsée dans le stock de jeans ; déstabilisé, je fus projeté en arrière dans d’autres vêtements. Une barre reçue dans le dos me coupa le souffle. Je ne pensai pas même encore à me relever que déferlait sur mon visage une véritable cascade de coups. Bientôt, je ne vis plus rien.

IL BAISE MA FEMME Je me réveillai bien difficilement, la bouche pâteuse, avec un léger goût de sang. Je découvrirai quelques minutes plus tard que cela venait de deux dents cassées. Moi qui n’en avait jamais perdu, ni au rugby, ni dans une bagarre de bar… La salle est médiocrement éclairée. J’ai quelque peine à respirer, l’air est chargé de poussières. J’ai froid. Je sens du carrelage sous mes cuisses allongées. Elles sont nues. Mon torse aussi. Il ne me reste qu’un modeste caleçon.

Je sens une barre dans mon dos, et des liens enserrent mes poignets et mes coudes. Je force, mais reste solidement attaché. Encore un peu groggy, j’abandonne le temps de retrouver tous mes esprits. Et un peu de hargne, peut-être, aussi. Pour l’instant, je suis calmé.

J’observe le reste de la pièce. Des vêtements traînent un peu partout, des jeans, des sweats, des t-shirts. L’éclairage s’améliore peu à peu : en réalité, c’est ma conscience qui émerge. De même, les quelques bourdonnements de ma tête s’atténuent pour laisser place au son réel. La situation n’est pas tout à fait celle que je prévoyais. Au lieu d’arriver en conquérant pour surprendre ma femme, un gros arabe m’avait collé une rouste, je me trouvais attaché à poil dans une remise avec deux dents en moins et l’air vainqueur d’un français en 1962.

Le pire n’était peut-être pas seulement là. Non, face à moi, alors que mes sens s’éveillaient peu à peu, je voyais ma femme. Son petit corps souple et doux posé sur un tas de linge ses deux seins charnus reposant sous son buste, son cou généreux remontant vers l’arrière, sa bouche ouverte laissait s’échapper quelques râles et ses yeux d’améthyste fermés révélaient son plaisir. Ses cheveux châtain clair, sa crinière sauvage de reflets mêlés était retenue par la main de son cavalier.

Sa main rude était continuée par un bras épais et poilu, qui remontait jusqu’à son torse large, qui bien que gras révélait aussi une musculature que je n’avais pas soupçonnée auparavant. Sa pilosité extrême me rendit jaloux. De sa main droite, il cravachait les fesses surélevées et rougies de ma femme, qui de ses cris ponctuait ses coups. En rythme, je voyais ses hanches propulser son sexe que je ne pouvais que deviner ; un claquement régulier et sonore résonnait dans la pièce. Les lèvres entrouvertes de cet homme étaient plutôt silencieuses, et les yeux mi-clos ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’il ressentait à être dans cette position.

Alignés devant moi, la créature unique qu’ils formaient ensemble, le centaure qu’ils étaient devenus me faisait très précisément face. Alors que le corps de ma femme était proche du bout de mes pieds, je ne pouvais que regarder le spectacle de cet homme au solide corps de bronze enfilant mon épouse devenue une extension de sa bite. Celle-ci, dorée par la sueur abondante sous la lumière jaune, donnait de plus en plus de la voix. Elle était certainement incapable en ce moment de faire autre chose, de penser à autre chose qu’à sa jouissance.

— Oh ! Aziz, Aziz ! AZIZ !

Ne savait-elle donc dire que cela ? Elle partit soudain dans un grand cri, prise de tremblements, emportée par l’orgasme. Ledit Aziz soupira fortement.

— Ah !.. Chienne.

Après quelques tressautements, et ce simple mot, il s’écroula sur elle comme sur un matelas. Il se redressa au bout d’une minute et recula. Je le vis glisser sa main entre les cuisses de ma femme haletante, s’y activer un peu, ce qui arracha quelques gémissements fatigués à celle-ci. Il retira alors sa main, la leva devant lui pour l’exposer à la lumière blafarde. Elle était luisante de mouille et de sperme mêlés.

— Voilà. C’est ta femme.

Il n’ajouta rien immédiatement. Cette phrase suffisait. La garce gardait la tête baissée.

— L’histoire, elle est venue il y a quelques semaines. Elle voulait acheter un sweat pour son mari. Elle en a profité pour essayer des habits pour elle, et m’a demandé mon avis. Je craque un peu sur les femmes un peu rondes, avec des gros seins, et qui aiment bien crier. Bon, ça, je ne le savais pas au début, mais je l’ai vite découvert… Bref, je lui ai fait essayer quelques trucs, j’ai plaisanté, je lui ai offert un café, et une heure après je rigolais bien avec elle, comme là ce que tu viens de voir. C’est ça que tu voulais savoir, non ?

Elle avait cédé en une heure à peine. Il ne l’avait pas séduite, il l’avait presque directement baisée. Là, dans son arrière-boutique. J’étais en colère de ce qu’elle avait fait, mais en quinze ans de mariage, elle ne m’a jamais laissé croire qu’elle était une pute. Moi-même, j’ai dû faire pas mal d’efforts pour la conquérir. Qu’est-ce qu’il avait bien pu lui raconter ? Elle était en manque, ou était-il vraiment si fort ? Je lui faisais régulièrement l’amour, pourtant…

— Comme tu n’es qu’un connard, et que tu es venu foutre le dawa dans ma boutique, j’ai voulu t’expliquer un peu comment tourne ton monde. T’as vu, bien en face, je l’ai mise bien profond dans ta femme. C’est comme ça toutes les semaines, depuis un mois. Je lui ai demandé si elle voulait, elle a dit OK pour se prendre ma grosse queue devant toi. Hé, salope, explique à ton mari pourquoi t’as bien voulu que je te fourre devant lui.

— J’ai pas pu refuser…

— Explique mieux que ça.

— Il me fait trop jouir… Il m’a dit que si je ne le faisais pas, il se vengerait !

— Menteuse ! Dis la vérité !

Il enserra sa taille de ses mains puissantes. Elle poussa un petit cri, et replongea sa tête. Ses paroles s’entrecoupaient de sanglots.

— C’est trop bon ! Je ne peux pas refuser, c’est tellement bon ! J’ai des orgasmes ! Dès que je pense à lui, mes cuisses s’ouvrent et je deviens humide. Je l’aime…

— T’as entendu ta femme ? Elle m’aime. Ou plutôt, elle aime ma bite. Chouffe.

Il venait de se lever. Je vis alors un morceau formidable, un sexe qui, bien que mou, offrait une impressionnante sensation de puissance. Sans avoir de compas dans l’œil, sa colonne était aussi longue que mon sexe en érection. Ce dernier d'habitudei offrait un fier 19 cm, mais là, dans ces circonstancesje le sentais rapetisser un peu. De plus, à l’instar de son corps, le membre était épais, large, gras, et luisant. Je voyais des reflets faire scintiller un fil qui le reliait encore à ma femme, qui restait toujours la tête dans les pantalons, le cul relevé par un tas d’habits.

Il me laissa le temps d’admirer cet impressionnant organe, parfaitement visible car débarrassé de tout poil. Cela faisait un contraste saisissant avec son ventre et sa poitrine noirs de virilité. La mienne, en comparaison, en prenait un coup. Moins bien doté de ce côté-là, moins bien équipé aussi, je m’étais également montré moins fort, et je commençais à craindre d’être aussi un amant moins performant. Tout à l’heure, j’ai pu voir l’un des plus beaux orgasmes que ma femme ait eu. Je bouillonnais de rage.

Lui fit le tour du tas de linge. Il s’assit par terre, jambes étendues perpendiculairement aux miennes, et posa la tête de ma femme sur ses cuisses. Elle amena sa main à saisir sa hampe, et fit d’elle-même les quelques centimètres qui lui manquaient pour prendre son sexe en bouche. Il ne lui fallut pas longtemps pour gémir un peu : elle aimait cette position soumise. J’explosais ! Je ne l’insultais pas elle, je l’invectivais lui.

— Enculé ! Connard ! Espèce d’enfoiré je vais te défoncer la gueule ! Je vais te baiser, toi et toute famille ! Ta mère c’est une...

Je n’eus pas le temps de finir. Une grande claque me fit fermer la bouche. Une seconde. Une troisième. Bien fortes. J’avais mal.

— Ferme ta bouche. Tu vas pas me casser la gueule, parce que c’est moi qui t’ai fracassé tout à l’heure. Même quand t’as tapé j’ai pas eu mal, pédé. Moi, je suis gentil avec ta femme, et c’est comme ça que tu me remercies ? Comment je dois le prendre, hein ? Tu viens, tu casses tout, et tu m’insultes ? Tu joues l’homme ? T’as vu, je t’ai mis trois claques maintenant tu te tais. Alors c’est qui, l’homme ?

Il s’était détendu. Il me donnait des petites claques. Je ne pouvais rien faire.

— Baisse les yeux.

Je baissai les yeux. Je sentais des larmes chaudes courir sur mes joues. J’entendis un claquement de doigts, puis vis ma femme venir à moi. Elle attrapa l’élastique de mon caleçon et entreprit de me le retirer.

— T’as vu, t’as rien entre les jambes.

Il posait son pied nu sur mes parties génitales recroquevillées, comme si elles voulaient se cacher. Je sentais ses orteils à l’intérieur de mes cuisses. Je regardais son pied comme s’il était le centre du monde. Mon sexe avait disparu dessous. J’entendis des bruits de succion à quelques centimètres de mes oreilles. Mes larmes redoublèrent. Je poussai un sanglot.

— Lève les yeux.

Je les levai, et mon regard s’arrêta à hauteur de sa bite. Elle était dressée, fièrement. Elle était effectivement plus longue, plus épaisse que la mienne, sans commune mesure. Les lèvres de ma femme couraient sur le gros membre d’Aziz. C’est avec délectation qu’elle prenait son gland en bouche entre deux coups de langue. Elle levait les yeux vers le maghrébin. Sa voix descendit doucement jusqu’à moi :

 

MON HUMILIATION ET MON RETOURNEMENT

 

— T’as vu comme elle m’aime… C’est foutu mec, ta femme ne t’aimera plus jamais comme avant… Il paraît que la vie, c’est une compétition… Il y a des gagnants, il y a des perdants… C’est la défaite que je vois sur ton visage… Tu comprends ? Il faut que t’acceptes, maintenant…

Je sentais sa main caresser mes cheveux. Il ramassa quelques bouillons de larmes sur son index qu’il plaça devant moi. Je baissai les yeux en l’acceptant en bouche. Mon corps était entièrement relâché. J’avais abandonné, devant l’évidence. J’avais beau être prisonnier, je me sentais lâche, faible. Je me sentais peu de choses. Je pleurais de nouveau, en regardant le pied d’Aziz qui lentement me caressait la queue tantôt avec sa plante de pied, tantôt avec son talon. Je commençais à bander. Il prit mon sexe entre son gros orteil et le suivant pour le soulever, et faire quelques va-et-vient. Il m’écrasait légèrement les testicules, la douleur irradiait peu à peu mon cerveau, mais une moite chaleur montait également de mon bas-ventre.

— Tu sais, on ne peut pas être à deux sur la même femme. Je pense qu’il vaut mieux qu’elle ait un seul homme, c’est plus sain. Je crois qu’elle n’est pas assez maîtresse d’elle-même pour choisir, alors on va décider toi et moi rationnellement.

Il parlait calmement, doucement. Je l’écoutais et relevais un regard humide vers lui. Il se mit à genoux, après avoir écarté mon épouse et mes jambes. Il approcha son sexe du mien. Il était beaucoup plus épais, et avait une ou plutôt deux belles longueurs d’avance. Ma gorge se nouait, mes sanglots reprirent et je devenais un peu mou.

— Regarde. Tu vois la différence. En plus, apparemment, tu n’arrives pas à rester très dur. Je suis aussi plus viril, plus fort. Je peux la protéger. Je peux la faire jouir. Et j’ai de l’argent.

Il avait raison.

— Viens ici, chérie.

Elle se plaça à ma gauche, à genoux. Il la repoussa gentiment, pour qu’elle bascule en arrière, les jambes écartées. Pendant qu’elle regardait nos deux sexes, je vis le con de la mère de mes enfants, rougi par une chevauchée terrifiante, menée par un étalon viril, s’ouvrir pour laisser s’échapper sur le carrelage un flot de sperme épais que j’eus été bien en peine de fournir.

— Voilà. Je suis plus un homme que toi. Tu comprends ?

Je pleurais. Il mit sa main dans la chatte de ma femme, et y remua lentement les doigts. Elle fermait les yeux. Puis il les retira, luisants de son épaisse crème. Il les plaça devant nos yeux à tous deux, et admira son œuvre.

— Regarde…

Il avait littéralement rempli ma femme, lui avait fait oublier ma queue. Il lui faisait faire ce qu’il voulait, une chienne obéissante. Son mari n’était pas capable de la protéger. Son mari était attaché à un tuyau, son amant entre les cuisses, en train d’admirer le sperme d’un autre homme qui lui apprenait ce qu’était la virilité. La leçon n’était pas finie.

— Tiens. On partage.

Il dirigea lentement ses doigts vers ma bouche entrouverte, et les lava sur ma langue. Je goûtais pour la première fois du sperme, et non seulement, ce n’était pas le mien, mais c’était celui de l’homme qui avait conquis ma femme, et en plus je ne faisais rien. J’étais humilié, car j’étais devenu incapable d’agir. J’avais abandonné. Inexplicablement mon sexe reprenait du volume.

Ses phalanges allaient et venaient sur ma langue, dessus, sur les côtés, dessous. Il replongea ensuite sa main dans ma femme, en retira encore une belle coulée, et revint à ma bouche. Cette fois-ci, il badigeonna mes dents. Il défit en même temps les liens qui m’enserraient les bras. Ceux-ci tombèrent, ballants.

— Tiens, c’est du dentifrice, c’est pour l’haleine… Attends, il te faut une brosse à dents aussi.

Le gros maghrébin se releva. J’avais son sexe, dur, en face de moi. Je pris peur, mais il m’attrapa la tête entre ses deux mains puissantes et enfonça d’un coup sa puissance virile au fond de ma gorge. Mes dents s’écartaient seules sur son passage, ma mâchoire se distendit. J’eus un haut-le-cœur. Il avait d’un coup pris possession de ma bouche vierge ! Un homme m’utilisait pour glorifier sa bite ! Je ne voulais pas me laisser violer, et essayais de repousser ses hanches de mes mains, mais je me trouvais impuissant, une fois encore, devant sa force. J’avais beau être musclé, cet homme était beaucoup plus fort que moi. Il commença de longs et puissants va-et-vient. Je subissais sa loi en geignant avec de petits cris aigus et en m’étouffant à moitié.

— Allez, suce salope, suce… Quoi, t’es pas content ?

Il s’arrêta rapidement et se retira.

— Tu te plains ? Tu te plains de quoi ? J’t’ai niqué, j’ai niqué ta femme, alors suce !

Il appuya son ordre d’une grange claque cuisante et sonore. Il prit mon menton entre ses doigts, et releva mon visage vers le sien. J’essayai de reculer la tête.

— Non…

Une deuxième gifle me projeta immédiatement à terre. Il me releva par les cheveux. Lui se tenait les mains sur les hanches, la verge en avant, droite et fière. Moi, je tenais mes joues entre les mains, les jambes relevées, je pleurais bruyamment, comme un enfant. De la nasse s’écoulait de mes narines, et mes yeux étaient des rivières.

— Alors, tu suces ?

Un petit « oui » de défaite lui répondit.

Il patienta une seconde.

— Alors, j’attends.

D’un rapide mouvement du bassin, il secoua sa puissante colonne sous mon nez. Alors moi, un solide rugbyman de quarante ans, musclé, poilu, qui était tout à l’heure encore prêt à abattre l’amant de ma femme, me mettais à genoux devant lui, baissais les yeux, soumis, pris doucement son sceptre dans mes deux mains et posai mes lèvres sur son gland, qui il y a peu inondait la matrice d’où provenaient mes enfants.

— C’est bien kahba, suce salope, tu vas voir ce que c’est qu’un homme…

Il m’avait battu. Humilié. Il m’avait pris ma femme. Réduit ma force à néant. Démontré mon infériorité. Fait chialer comme un gosse. Et maintenant, je le suçais avec application devant ma femme souillée de son sperme. J’avais englouti le gland et progressé sur la hampe. Je n’arrivais pas à aller très loin. Il me mit la main droite sur la tête, et me dit de me dit de faire attention avec mes dents. J’ouvrais au maximum les mâchoires. Je lui obéissais.

Il me faisait faire de petits allers retours, reculait ses hanches et avançait sa pine alternativement. Je sentais son ventre écraser mon front. J’étouffais un peu sous son gras, et cela me faisait bien sentir ma soumission face à cet homme. Bientôt, il me prit la tête entre ses deux mains pour accélérer le mouvement. Je n’avais pas dû me débrouiller très très bien. Son vît allait de plus en plus profondément, jusqu’à pénétrer ma gorge. Je ne tenais plus en équilibre, et mes mains se raccrochaient à présent à ses cuisses velues et puissantes. Je ne maitrisais plus ma bouche, qu’il utilisait selon son bon vouloir, comme un roi, et des flots de salive débordaient mes lèvres pour couvrir mon menton et tomber sur ma poitrine. Lui-même, sa virilité s’ornait de mon humidité buccale. Je ne pourrais plus jamais me regarder dans une glace sans me rappeler cette scène.

— Ah… Connasse, lèche mes couilles ! Mets-toi à quatre pattes !

J’obéissais. Je plaçais ma tête entre ses deux imposantes cuisses, et la tournais pour placer ma langue sous ses bourses. Je rendais hommage à sa capacité reproductrice également bien dotée, et goûtais au goût un peu rance de ses testicules. Elles étaient déjà humides de ma première fellation. Je sentis mon dos ployer sous le poids de son ventre. Mon visage s’écrasait entre ses cuisses, ses couilles et son chibre, je m’affaissais sous son poids, et mes fesses s’écartaient mécaniquement, lui offrant une entrée royale vers mon petit trou qu’il commença à caresser.

Je me débattais. D’abord, parce que je ne voulais pas qu’on me fasse ça, ensuite, parce que j’étouffais. J’étouffais réellement. Ne parvenant plus à respirer, j’abandonnais la lutte tandis que des étoiles apparaissaient devant mes yeux. Soudain, ma tête trouva de l’air. Elle venait de passer entre ses cuisses. Je pris de profondes inspirations, le corps abandonné à Aziz. Celui-ci me pris par le ventre, me fit coulisser et me reposa sur le dos.

— Tu vas voir, je suis gentil. Je ne vais pas te faire de mal. Je veux te faire du bien. Je sais faire beaucoup de bien, tu sais. Mais je sais que ce n’est pas facile, alors je vais te trouver quelque chose à faire pour faire passer la pilule.

Il prit la tête de mon épouse, et la fit s’assEoir sur mon torse, à quelques centimètres de ma bouche. Pendant qu’il relevait mes jambes sans force, il lui ordonna d’approcher sa chatte gluante de ma bouche. Je pouvais toucher mon épouse parce qu’il lui avait ordonné de se donner à moi.

Je goûtais sa liqueur à elle, et les restes de sa saillie à lui. C’était amer et fort. Il avait pris son droit sur elle. J’entendis un crachat, qui atteignit ma rondelle. Il allait prendre le sien sur moi. En attendant, ma langue qui connaissait le sexe qui avait perforé cette chatte fouillait celle-ci comme pour retrouver un peu de masculinité, ou peut-être en creux l’empreinte de son maître. Je n’avais plus de souveraineté sur ce con. J’entrepris de laper le clitoris qui se présentait à moi, après avoir intégralement nettoyé sa matrice. Elle gémissait.

Les doigts d’Aziz couraient autour de mon petit trou. Il le chauffa quelques minutes, puis il commença à picoter. Je tentais d’agripper les jambes de ma femme, mais ne trouvais que celle de l’homme assis sur mon torse.

— Tu commences à aimer, hein…

Un grognement négatif essaya de se faire comprendre, mais en réalité je devenais moite et mon corps commençait à remuer. Son index grattait ma corolle. Il éclata de rire lorsqu’il vit entre mes jambes complètement écartées mon anus sauter vers son doigt. J’avais envie de le recevoir.

— Attends, lève-toi chérie s’il-te-plaît… Alors, t’as compris mec ?

Un silence, je ne le voyais pas mais le devinais souriant, satisfait. Cela s’entendait à son petit air sardonique.

— Alors, c’est qui le maître ? C’est qui l’Homme ? Celui qui peut mettre sa bite partout ?

Il continuait à tourner. Je répondais d’une voix rauque :

— C’est toi, c’est toi Aziz… Aziz…

J’avais chaud, mes jambes et mon bassin se tournaient tout seuls. J’avais les yeux mi-clos.

— Alors, qu’est-ce que tu veux ?

Mes idées n’étaient pas claires, mais l’instinct me faisait lui répondre.

— S’il-te-plaît… S’il-te-plaît… Je t’en prie… Mets-moi un doigt ! J’ai envie ! ALLEZ ! S’IL-TE-PLAÎT AZIZ !!!

Ces deux dernières phrases criées exprimaient bien à quel point cet homme avait su me subjuguer. Ma femme rit.

— D’accord, d’accord, je vais m’occuper de toi. Mais toi aussi il faut que tu t’occupes de moi. D’accord ? Alors, pendant que je m’occupe de ton cul, tu vas t’occuper du mien.

Il plaça ses fesses au-dessus de mon visage. Je projetai ma langue à la rencontre de son anus, sans dégoût mais avec envie, et rapprochai son très large postérieur de mes mains. Il y avait un goût un peu âcre, qui m’excitait encore plus. Moi sitôt mis à ma besogne, lui, entreprit mon trou. Il y fit pénétrer une phalange, qu’il fit lentement tourner. Il prenait tout son temps. Mon sexe était bouillant, mais je ne pouvais m’en occuper. A la place, je poussais des gémissements plaintifs, en écartant mes jambes comme si je voulais me déchirer moi-même en deux.

Bientôt, il fit entrer un doigt entier dans mon fondement. Il tourna pour élargir mes possibilités, et lorsque je fus un peu assoupli il y joignit un second. De ces deux doigts, il entreprit de me masser la prostate. Je progressais dans la jouissance. De son autre main, il caressait sa première femme, s’occupait de ses tétons, faisait courir sa paume sur sa nuque qu’il abaissa goûter sa verge. S’abaisser pour lui, le terme est bien choisi. Elle s’était abaissée pour vénérer sa virilité, je m’étais abaissé à nettoyer ce qu’il a de plus sale. On s’abaisse pour lui. Cet homme me rendait folle, il avait un talent immense pour s’occuper des femmes.

Une seconde… Je ne suis pas une femme ? Sweet bubble gum pink rosebud hole

Une caresse prodiguée par les doigts d’Aziz, courant dans mon rectum, fit s’évanouir cette réflexion. Je gémissais pour de bon, en continu. Un troisième vint rejoindre peu après ses deux frères. Pendant ce temps, ma langue s’enfonçait de plus en plus loin, visitait plus profondément son intimité. J’avais envie, en léchant ce cul, de lui sucer la bite. Comme je ne pouvais pas le faire, c’était son anus qui contentait ma faim. Car c’était cela : j’avais faim de lui. Soudain, ses doigts arrêtèrent leur mouvement. Il les retira. J’eus brutalement froid, et ressentis un vide profond. De la déception, aussi. Il se leva.

Je le regardais l’œil implorant. Comme une vulgaire salope, je me touchais les tétons, effleurais ma bite qui à présent ne m’intéressait plus. J’avais envie de lui. Je voyais son sexe viril et imposant, doté de tous les droits, son ventre proéminent qui me dominait, ses cuisses puissantes et velues. Lui me regardait de toute sa hauteur. Il mit son pied sur ma bouche. Avec délectation, dans une totale soumission, je passais ma langue entre ses orteils en gémissant. Je passais lascivement mes mains entre mes cuisses relevées, et approchais mes doigts de mon trou. Je le trouvais souple, humide et brûlant.

D’un petit coup, il me fit tourner la tête et abandonner ma tâche. Il se dirigea sans dire un mot vers le tas où se trouvait ma femme tout à l’heure. Il me regardait, impérial, méprisant. J’obéissais. Arrivé à sa hauteur, tête baissée, il m’attrapa par la bouche, me cracha soudainement au visage.

— Chienne.

Puis il me projeta sur le tas de linge : il avait compris qui j’étais, au fond. Je poussai un petit cri de surprise. Sur le ventre, les bras me retenant faiblement au tas de linge autour de moi, j’avais les fesses relevées, et le visage au niveau du sol.

Tournant légèrement la tête, je le vis se mettre à genoux, ses jambes enserrant les miennes, et son gland dépasser de ma raie. Il m’asséna une claque sonore sur la fesse.

— Ecarte tes fesses, grosse pute.

Encore une fois, je m’exécutai. Je baissais les yeux, rouge de honte. Aziz allait m’enfiler, comme une femelle. Et moi, je n’attendais que ça. Il avait raison. Je mouillais. J’étais une salope pour lui. Aziz rigolait. Il me faisait lécher les doigts avec lesquels il m’avait doigté et se moquait de moi :

— Alors c’est ça, le mec qui voulait me défoncer tout à l’heure ? C’est bien un gawri ça, trois claques et ça ferme sa grande gueule, ça baisse les yeux. Et t’as trouvé ma bite, quand t’as baissé les yeux, hein ? T’as vu, la mienne c’est une vraie. Ah, mais en fait, c’est ça ? T’es pas jaloux parce que ta femme te trompe ? T’es jaloux parce que tu voulais la goûter toi aussi ? Ah c’est bon une bite d’arabe hein ? Tu la veux dans ton cul, hein, maintenant ? Alors, c’est qui l’homme ?

 

MON  RAVISSEMENT

Je n’en pouvais plus. J’étais humilié comme jamais, il m’avait battu, pris ma femme, mon honneur, et maintenant il voulait faire de moi sa femme. Mon anus s’ouvrait et se fermait tour à tour. Il était devenu vivant. Il avait faim. Son immense sexe coulissait dans ma raie humide. Sa main gauche pinçait mes fesses. Il prenait son droit.

— Alors, c’est qui l’homme ici ? Réponds !

— C’est toi, oh oui c’est toi, oui…

Ma voix mourante exprimait autant ma défaite, ma soumission que mon désir.

— Vas-y, je veux t’entendre me supplier, putain…

Je ne tenais plus. Alors que ma femme s’installait à la place que j’occupais tout à l’heure, je l’implorais sans honte, le cul ouvert.

— Oh prends-moi, prends-moi, vas-y, j’ai envie de ta grosse bite, je veux que tu me plantes, tu m’as fait jouir avec tes doigts, prends-moi, je ferai tout ce que tu veux, je te lècherai les pieds, je te téterai la bite mais pitié, BAISE-MOI !

J’essayai de happer sa bite avec mon cul. Mais ce n’était apparemment pas suffisant. En face de mon corps haletant, ma femme se doigtait avec délectation, son regard plongé dans le mien.

— Explique pourquoi c’est moi qui te baise, pourquoi c’est moi qui baise ta femme, et pas l’inverse, grosse tantouze.

Je dégoulinais littéralement. Je lui aurais dit n’importe quoi.

— Parce que t’es trop fort, parce que t’as une grosse bite, parce que tu baises trop bien ! T’es un homme ! Un homme ! Je fais pas le poids, t’es trop fort et trop viril ! Allez ! ENFONCE-MOI TA BITE ! Je t’en supplie, enfonce-moi ta bite…

Je commençais à pleurer. Lui donnait le rythme de mes phrases en me claquant les fesses. Il faisait durer le plaisir, je ne pouvais rien faire qu’attendre son bon vouloir, j'étais là, concubine jetée sur un tas de linge.

— Et toi, t’es quoi ? Hein ? Allez, dis-le.

— Je suis une gonzesse !

— Non, t’es une PUTE !

LE MOMENT

Une douleur fulgurante me traversa le cerveau. J’avais les yeux écarquillés, et le souffle coupé. Ma femme se pencha sur moi :

— Il en a enfoncé la moitié d’un coup. Tu dois avoir mal. Mais ne t’inquiète pas, tu aimeras. Toutes les femmes aiment.

Il me caressait le dos, lentement, en me parlant doucement.

— Calme, calme, détends-toi, ça va aller, je vais bien m’occuper de toi, va. Tiens, mange ça.

Il me présenta ses doigts à sucer. Ma femme reprit son poste d’observation.

Après quelques instants, je commençais à me détendre. Il le sentit, et commença à reculer doucement sa bite, avant de me la ré-enfoncer avec force mais sans violence. Je me sentais… envahi. J’avais quelque chose de chaud, vibrant et puissant qui prenait possession de mon fondement. Des mains rassurantes me retenaient par les hanches. Un homme s’occupait de moi. Il prenait quelques instants pour me flatter la nuque, ou caresser mes flancs. Il jouait quelques secondes avec mes seins. Mon souffle revenait. Il devenait chaud, et profond… Je soupirais bientôt. Lorsqu’il était entré, je me sentais rempli. J’étais bien… Lorsqu’il se retirait, je me sentais vide, et je voulais qu’il reprenne sa place. Mais c’était la lente caresse de sa virilité dans mon humidité qui me procurait le plus de plaisir.

Je commençais à sentir quelque chose au niveau des couilles. Une sorte d’électricité passagère. Soudain, dans un râle, il plongea entièrement en moi en m’attirant à lui.

— Voilà, c’est à moi.

Ses lourds testicules recouvraient les miens, plus modestes. Son bassin collé au mien témoignait de sa domination sur moi. Son ventre poilu qui écrasait à présent mes reins, ses jambes qui contrôlaient les miennes, ses larges mains qui lui permettaient de m’enfiler m’assuraient de la présence d’un homme qui faisait ce que tout homme doit faire : utiliser sa supériorité.

Il ressortit la longueur de son sexe, et la replongea avec vigueur et détermination dans mon trou béant. Etait-ce lui qui m’empalait, ou moi qui servais de gant à sa bite ? Je lui servais de sac dans lequel plonger sa virilité. Il accéléra peu à peu le mouvement, et moi je commençais à ahaner mon plaisir. « Ah, putain, t’aimes ça hein ? Regarde chérie, ton mari, comment il aime se prendre ma queue… » Ma femme prenait son vagin humide d’une main, et s’agrippait au tuyau de l’autre. Moi, je prenais un tuyau dans mon cul trempé et attrapais le linge pour m’y retenir. Mais cela ne servait à rien. Aziz imprimait sa vitesse, de plus en plus grande, et c’est lui qui retenait réellement mon corps de ses mains et ses bras puissants.

— Ah la pute !

Un bruit de succion se faisait à présent entendre, entre deux percussions par ses couilles. Mes fesses aussi claquaient. Je glissais tellement que sa verge sortit plus d’une fois de son fourreau. Elle en retrouvait tout aussi naturellement le chemin. Ses mains se dérobant également, il me prit par la tignasse. Moi, j’étais enculé en profondeur et je criais, le visage levé, les yeux fermés. Le plaisir avait fini de m’envahir ; ma femme avait raison, j’aimais ça. J’aimais la manière dont il me chevauchait. J’aimais le sentir entrer, ressortir, prendre possession de moi. J’aimais être soumis à son sexe, plus imposant que le mien. Et j’aimais me faire prendre devant ma femme, voir ma virilité complètement anéantie devant celle à qui je faisais si souvent l’amour.

Il m’insultait en me baisant, entre deux souffles.

— Ah grosse chienne ! Tu voulais me niquer hein ! Qui c’est qui nique qui, hein, maintenant ? Grosse pute ! Tu l’aimes ma bite, hein connasse ? T’en veux hein ? T’en as plus rien à foutre de ta femme maintenant, tout ce que tu veux c’est le foutre du gros Aziz, hein salope ! A me lécher les pieds comme une pute, t’aimes ça hein ? Hein ! HEIN ?!?

L'ORGASME DECISIF QUI ME "RETOURNE" 

Je sentais quelque chose monter profondément de mon ventre, toucher mon sexe vibrant avant d’atteindre à mon cerveau et d’exploser partout en même temps. Pour la première fois de ma vie, j’avais un orgasme homo. Je hurlais mon bonheur, mon pénis débandé répandait son sperme sous la loi d’Aziz à qui mon anus gémissant révélait l’étendue de son talent.

— Ah ah gros pédé ! T’aimes ça la bite d’Aziz dans ton cul sale garce ! Kahba ! Elle te fait jouir hein ! » Je vis ma femme essoufflée prendre son pied à l’écouter, et à me voir soumis à son pieu. Il accéléra sa cadence, affermit son emprise sur mes cheveux et d’un coup se bloqua dans mon cul. « AAAHHHHHH !

Son long cri de jouissance retentit dans la pièce, et je sentis ses longs jets de foutre crémeux repeindre mon cul à ses couleurs. Il s’était enfoncé avec force, mais finit par se détendre. Il laissa s’échapper cet unique mot : « chienne », avant de s’effondrer sur mon dos. J’avais encore son sexe épais planté dans le cul, et j’étais en nage. J’attendais le bon vouloir de mon maître. Il ne se relevait pas. Ma femme avait fini de jouir. Elle me dit de rester là en attendant qu’il se réveille : il dormait donc. J’attendais sagement le temps que mon homme se relève, pendant que mon épouse rassemblait nos affaires et préparait un café bien serré.

J’entendis dans mon oreille un souffle fatigué, au bout d’un petit quart d’heure.

— Salope, va.


Aziz se releva en s’appuyant sur ma tête, la plongeant dans les jeans. Il garda les doigts agrippés dans mes cheveux afin de me redresser.

— Maintenant, nettoie avec ta langue. Fais attention à tes dents, ou je te cogne.

Tombant à genoux, je m’appliquais immédiatement à reprendre son membre en bouche, mû autant par la peur que par la gratitude. Je léchais partout, avec goût cette fois. Oui, j’aimais la bite d’Aziz. Son sperme avait un goût plus fort que ce que j’avais cru en m’occupant de la chatte de ma femme. Il y avait aussi une forte odeur de cul, et un goût que je supposais provenir de ma merde. Je nettoyais.

— Dégage du linge, t’as le cul qui dégouline.

Il me repoussa du pied vers le carrelage. En plaçant une main sous mon cul, je sentis celui-ci encore ouvert qui se vidait lentement. Je commençai à me branler avec la main qui avait recueilli le sperme.

— Suce mieux.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, il reprenait encore de la vigueur. Je m’exerçais à être meilleur encore, et faisais tourner ma langue autour de son gland, comme me le faisait parfois ma femme. Je le lui tétais en levant les yeux par-dessus son ventre, lui lançant un regard excité.

— T’essaies de me provoquer, salope ? Tu la veux encore, hein ? Tu la veux dans ton gros cul tout blanc ?

Il reprit son sexe, et me donna des petits coups de queue sur les joues quelques instants. Je poussai un petit cri surpris et légèrement indigné. Il bloqua alors ma tête entre ses mains, et s’enfonça d’un coup dans ma gorge. Comme précédemment, je dus me tenir à ses cuisses pour ne pas tomber. De nouveau, de la bave s’échappait de ma bouche. Son sexe devait être bien propre à présent.

Ma femme ??? dit :  

— Il est insatiable. Le lundi, c’est trois ou quatre fois dans l’après-midi. Sans compter le reste de la semaine, quand je viens ici à midi, quand il passe au bureau ou même à la piscine il y a deux semaines, quand tu t’occupais des enfants.

Ma femme venait de rentrer avec le café.

LOPé, C'EST CA

— Ecoute petite pute, le boss c’est moi. Maintenant, ta femme, tu l’oublies. Tu la touches plus, sinon je te défonce, pédé. C’est moi qui la nique. C’est moi qui te nique aussi. Mais tu vas pas te plaindre, t’aimes ça salope.

Constatant qu’il avait raison, je grognais mon accord.

— Mais faut gagner le droit de me sucer la queue, petite soumise. Alors maintenant, après ton taf, tu viens direct ici faire mon ménage.

Je ferai reluire ton sol et ta bite, Aziz. Il accélérait la cadence, sans pitié.

— Tu feras ce que je te dirai, quand je te le dirai ! Je te retourne je te baise où je veux grosse putain ! Tu t’habilleras comme je dis, fini de jouer à l’homme ! OUVRE GRAND TA GUEULE CONNASSE ! Devant moi tu baisses les yeux pédale ! Maintenant, AVALE !

Comme pour confirmer cet accord, il se déversa à jets encore épais dans ma bouche. Obligé par sa force, convaincu de sa supériorité, j’avalais comme une catin et me répandais à ses pieds. J’étais sa femme.


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  ohthentic: touch  

  Voilà, Claude, il faut absoument qu'Isa parle à Ahmed. Je n'en peux plus. 

 


commentaire (si vous avez encore du souffle ! -lol-) "Daniel, Ahmed te baise ? je me souviens plus."

Par DANIELOU - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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