VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES

Mardi 21 août 2 21 /08 /Août 19:16

  ENCOR' 1 CARREAU D'CASSé  V'LA L'VITRIER QUI PASSE....

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The maintenance men   Image associée  "Take two" l'ironie de l'affiche et du sort !

Maintenance Men Image associée  "celui qu'on croyait prendre n'est pas toujours pris" 

    bygreyhound_guy30©
Comment les choses s'enchaînent, comment tout a-t-il vraiment commencé ? Au fond aujourd'hui tout est bien...On peut percevoir comme négatif un événement et puis évoluer et voir d’autres aspects de ce même événement peut-être plus positifs. Au départ on ne voit qu’un aspect des choses, et puis on peut évoluer vers une vision plus nuancée de ce que l’on a vécu. Si quelqu'un m'avait dit que quand je casserais une vitre de la fenêtre de notre chambre d'ami et que ma femme Jane se trouvait sur le chemin de la dépravation sexuelle, je ne l' aurais pas cru. Mais c'est ainsi. La vitre n'a pas résisté à la chute du meuble que je voulais déplacer. Jane et moi avons discuté de "à qui c'était la faute". Elle a insisté pour que j'appelle la maintenance des appartements afin qu'ils puissent réparer la fenêtre dès que possible. J'aime ma femme mais parfois elle se montre intransigeante et je lui cède toujours.

     
Il fallait au moins une semaine pour que la fenêtre puisse être réparée. Pour ma part, absorbé par la vie quotidienne,  j'ai vite oublié cet incident que je considérais sans importance. Le samedi suivant, Jane a dû partir travailler, ce qu'elle fait souvent en tant qu'infirmière.

 
Ma femme Jane est très attirante. De taille moyenne, mais plus grande que moi, avec de longs cheveux bruns et de profonds yeux noisette. Jane a de beaux seins fermes de la taille d'un pamplemousse. J'ai toujours senti qu'elle était bien trop belle pour un type aussi moyen que moi qui ai les yeux bleus et les cheveux blonds. Il n'y a guère à admirer chez moi ! Je suppose que c'est pour cette raison que je supporte avec patience l'attitude parfois salope de Jane et que je ne l'en aime que plus.
 

   Pour les gens, je suis un parfait hétéro homophobe. En fait, en  privé, j'ai toujours été fasciné par les bites dès qu'elles dépassent les 16 cm. Avant, je ne remettais jamais en cause ma sexualité. Mais il me faut bien convenir que mon intérêt pour les grosses queues était une envie cachée et secrète de pénis.

Ce samedi-là, je me sentais excité alors j'ai voulu inaugurer la plus récente acquisition de ma collection de DVD XXX. Je les regarde sur mon ordinateur. Je ne peux pas faire jouer les films trop fort du fait que les voisins pourraient entendre, alors j'ai acheté un bon casque pour les visionnages privés. Je pensais que mon nouveau film mettait en vedette des filles blondes blanches baisées par des hommes noirs et hispaniques. Ma femme et moi sommes tous les deux blancs mais les scènes de sexe interracial m'ont toujours excité.

Quand j'ai ouvert l'emballage, j'ai découvert que le commis m'avait donné le mauvais film. J'étais énervé mais j'ai décidé de regarder le film quand même. La première scène a commencé avec une jolie petite blonde aux gros seins présentant son mari à un hispanique qui était son amant. C'est pas une intrigue terrible mais peu importe. La blonde se met à genoux devant le latino et tire une énorme bite brune. Tout le temps, elle dit à son mari combien elle aime la bite d'Hector le latino. J'ai caressé ma bite en croissance. Il se préparait une vraie scène chaude quand le mari a avancé la main vers la queue du gars.

Merde c'était un film bi. Je me souvenais que l'employé souriait en flirtant presque avec moi au magasin de vidéos. Je l'avais ignoré mais je parie qu'il avait volontairement échangé les films. J'ai éteint le film. Je suis passé à un DVD plus ancien mais je me suis retrouvé à penser au nouveau film. Je suis revenu au film bi. J'étais dégoûté mais attiré par le couple qui a sucé cette bite hispanique. Ma main a inconsciemment soulevé ma bite douloureusement dure. Le mari reprit en train de sucer la bite de l'amant pendant que la femme cherchait son gode-ceinture. Quelques minutes après le début de la scène, le pauvre mari se faisait enculer par sa femme avec un gode-ceinture, tandis qu'il sucait la grosse queue de son amant latin.

À ce moment-là, je caressais furieusement ma bite dure. Je n'ai pas entendu qu'on frappait à la porte. Je n'ai pas entendu les deux préposés à l'entretien ouvrir la porte.

 

Comme j'étais dans la chambre du fond avec le dos à la porte, je ne savais pas qu'ils étaient là à me regarder, assis, nu devant l'ordinateur en train de me branler alors que ce type la prenait par tous les trous.

J'ai sursauté quand j'ai vu que Enrique et Juan, les deux latinos qui avaient été désignés pour réparer la fenêtre,  se tenaient debout à côté de moi.

 
Dans les films XXX, les hommes latino-américains sont connus pour leurs exploits sexuels et leurs grosses bites et, dans notre ville, dans de nombreux bars gays, beaucoup d’entre eux apportent leur soutien et leur encouragement aux autres gays latinos pour qu’ils soient intrépides et audacieux alors que nous, les blancs sommes plutôt réservés sur ce point et mal vus si nous sortons de cette attitude. Je possède beaucoup de DVD gay blanc-latino. Quoi qu’il en soit, plus ou moins clairs de peau, les Latinos ont la mauvaise réputation d’être arrogants envers les blancs et, bêtement, je n’échappe pas à ce réflexe blanc à leur sujet.

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 Voyant deux latinos dans notre appart, je me suis écrié: "Que diable faites-vous ici tous les deux?"

Enrique a répondu: "Nous avons frappé et appelé. Personne n'a répondu."

Juan a dit: "Nous sommes ici pour réparer la fenêtre."

Ils regardaient l'écran du moniteur. J'étais complètement embarrassé alors que j'étais assis nu.

Enrique a dit quelque chose à Juan en espagnol et ils ont souri.

Juan a dit: "Mademoiselle Jane sait-elle que vous aimez regarder des films gay?"

"Sors, ​​sors de mon appartement maintenant. Je te ferai virer."

Après leur départ, j'étais vraiment en colère. Je ne savais pas quoi faire. Je ne voulais pas que les deux préposés à l'entretien racontent à personne ce qu'ils avaient vu. Après environ une heure à parcourir les différentes possibilités dont aucune ne semblait acceptable, j'ai décidé d'aller parler à Juan et Enrique.

Au téléphone j'ai appris par l'une des filles du bureau qu'ils travaillaient dans un appartement vide à l'arrière du bâtiment.

J'ai frappé a la porte. Enrique a répondu. "Hola, M. Smith."

J'ai dit: "Appelle-moi Mark." Je leur ai présenté mes excuses pour avoir crié. Je les ai suppliés de ne rien mentionner à personne. C'est là que les choses ont mal tourné et que ma vie a pris un vrai tournant.

Juan a dit: "Mark, qu'est-ce qu'on gagne si on te laisse garder ton petit secret?"


Ne comprenant pas au juste ce qu'ils demandaient, je leur ai offert de l'argent.

Enrique a déclaré: "Nous allons prendre l'argent, mais nous voulons autre chose."

"Voici l'argent. C'est tout ce que j'ai. Que veux-tu d'autre?"

Fort de ce qu'il m'avait vu regarder dans mon ordi, Juan a ouvert son pantalon de travail et sorti une grosse queue mexicaine de plus de 20 cm. Il a souri en verrouillant la porte d'entrée.

Effrayé, j'ai dit: "Attendez une minute, les gars. Je ne suis pas gay. Je ne fais pas ce genre de chose."

Enrique a également exposé sa grosse bite latine brune. Il a dit: "Mark, tu étais en train de regarder un homme blanc sucer de la "viande" latine. Nous t'offrons juste la chance d'essayer la vraie chose." Viande (carne en mexicain) était le mot qui pouvait convenir le mieux à ces hommes assez rudes mais que je préfère bien à des gens effeminés.
Juan a ajouté: "On le sait que ça te plaît insista-t-il. Personne ne le saura. Nous garderons le silence sur l'autre "chose" aussi."
Ils se tenaient tous les deux avec leurs queues en main.

 

  Image associée    personne ne le saura...je pouvais à peine prendre la moitié de la queue d'Enrique en bouche. 

        Interloqué, j'ai quitté l'appartement inoccupé. Tout le chemin du retour dans mon appartement je continuais à revivre la rencontre  lorsque ces deux grosses bites brunes étaient apparues. J'étais tellement fou que je tremblais. Ces putains de mecs avaient du culot. Pourquoi ma bite était si dure? Comment pourrais-je me laisser toucher par Juan et Enrique?

Qu'allais-je faire? Je ne pouvais le dire à personne. Plus j'y pensais, plus ma bite devenait difficile. Je ne pouvais pas croire que je songeais à sucer une bite pour garder mon secret.

Je suis retourné chez-moi et au moment où j'arrivais devant ma porte, mu par je ne sais quelle force, j'ai fait demi-tour. Lentement je suis retourné à l'appartement vacant où Juan et Enrique travaillaient. Juan a répondu à la porte avec un grand sourire et je suis entré dans la pièce.

Enrique a dit: "Je vois que Mark a décidé de revenir pour goûter à la bite. Vas-tu jouer gentiment cette fois-ci Mark? Je veux que tu suces ma grosse bite mexicaine brune." Il avait dit ça sans provocation d'un air calme et gentil.

Il laissa tomber son pantalon et caressa sa queue en croissance. Ce grand gaillard , d'une voix molle et douce me demanda : "Tu vois ma queue Mark, caresse-la . Fais-la moi durcir."

J'ai mis la main sur sa bite brune. Elle était bouillante et très épaisse. Je l'ai caressée lentement comme j'aime le faire à la mienne.

Juan a placé ma main sur sa grosse bite mexicaine non circoncise. J'ai plaidé: "S'il vous plaît, ne le dites à personne."

A quoi Juan a répondu : "Ca dépend de ta bonne volonté." Il a placé une main sur ma tête et m'a doucement poussé à genoux. Je n'ai pas résisté. Une fois à genoux devant eux, leurs grosses queues approchées à quelques centimètres de mon visage semblaient encore plus grandes. Au fond, j'avais fantasmé à ce sujet. Je ne l'ai jamais avoué mais j'avais imaginé ce que ça ferait de voir une grosse bite ethnique de près. Maintenant, c'était bête mais tout naturellement, je voulais vénérer ces deux grosses bites avec ma bouche et ma langue.

Je ne pouvais pas décider quelle bite sucer en premier. Tentative : j'ai ouvert la bouche et léché  la grosse bite dure de Juan. Son prépuce épais m'a fasciné. Je n'avais jamais vu une bite non circoncise de près. Bon sang, la seule queue que j'aie jamais vue de près était ma propre bite. J'ai sucé le gros gland de Juan. Puis j'ai léché sa tige. Enrique tapota légèrement sa queue sur mon torse alors que je suçais son ami. Je sentais une odeur affolante de sexe qui me faisait encore plus fantasmer. Mon sexe était dur et il y avait du jus dans mon boxer.
Ne voulant pas ignorer Enrique, j'ai abandonné la délicieuse chair de Juan et j'ai léché avec application la tige brune d'Enrique.

Enrique a dit: "Lèche mes couilles mec". Il leva sa bite en m'offrant un meilleur accès à ses gros œufs bruns. Je suçais ses couilles, une à la fois, et je léchais sa queue en suivant une grosse veine jusqu'à ce que j'atteigne la tête de champignon surdimensionnée du sommet. J'ai sucé Enrique. Il m'a encouragé à prendre de plus en plus de sa queue dans ma bouche. C'était trop gros, je ne pouvais que prendre un peu plus de la moitié de sa queue dans ma gorge avant que ça ne me donne mal au coeur.

Ca m'a fait tousser et ils se sont moqués de moi.
 

          Quand j'eus repris mon souffle , Juan me remit sa queue en bouche. Je l'ai sucé comme j'avais essayé de sucer Enrique. J'ai pris Enrique pendant que je suçais Juan. Puis j'ai sucé Enrique et pris Juan. Dans une frénésie sexuelle, j'ai sucé une bite, puis je suis passé à l'autre bite encore et encore.

Je suçais la bite d'Enrique quand Juan a dit: "Merde Mark, je vais jouir." Sa première giclée m'a frappé dans les yeux avant que je puisse changer de bite. Les éjaculations suivantes ont rempli ma bouche. Sa queue a tressailli et tressailli pendant que je tirais les dernières gouttes de sperme. Enrique a dit: "Mark, es-tu prêt pour le numéro deux?" Je laissai tomber la queue de Juan de mes lèvres et ouvris grand pour Enrique. Ses giclées de sperme étaient chaudes et dur. Ca a frappé ma gorge. Enrique n'arrêtait pas de jouir. Quand il a eu fini j'ai eu du sperme dégoulinant de mon menton et de mon nez. J'ai sucé la bite ramollie d'Enrique jusqu'à ce qu'il me repousse.

Juan a dit: "Merci Mark. C'est ce dont nous avions besoin. Ces enculés de gringos comme toi je les adore ! " Leurs bites étaient vidées et  épuisées. Enrique a déclaré: "Mark, il te faut partir maintenant."

J'ai dit: "Ecoute j'ai fait ce que tu as demandé, maintenant s'il te plaît, je fais ce que je veux ."Preuve que moi j'aurais aimé continuer, mais, à la merci d'un contrôle, ils devaient se remettre au travail et vite ! .

Encore une fois, ils rirent alors que Juan me fermait la porte au nez. Jétais déprimé. Ca avait été assez humiliant et pourtant passionnant d'être obligé de les sucer. Je suis rentré chez moi. Je me suis remis à regarder la vidéo bi et j'ai décollé en imaginant que j'étais le mari et que Juan ou Enrique était l'étalon latin. Je suis venu d'une énorme charge en direction du visage des acteurs blancs. J'ai gardé la vidéo au lieu de la retourner.

Jane était furieuse que l'équipe de maintenance n'ait pas réparé la vitre lorsqu'elle est rentrée chez nous. Elle a menacé d'appeler le bureau. Jane a dit: "Tu es une putain de loque. Je vais devoir trouver un homme, un vrai, pour prendre soin de moi. C'est ce que tu veux ?"

Je ne pouvais pas la laisser parler à Juan ou à Enrique alors j'ai promis de m'en occuper. Parfois, Jane était méchante avec moi, mais je n'ai rien dit. Je ne lui fais jamais de reproches.
       
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  ma Jane était changée  
Le mardi suivant, je suis rentré du travail et le véhicule de l'entretien était garé devant chez nous. Quand je suis entré dans l'appartement, j'ai entendu Jane crier avec passion. En m'approchant de notre chambre , je pouvais distinguer ce qu'elle disait. Jane a dit: "Vas-y, vas-y, vas-y, baise-moi comme une pute blanche avec ta grosse bite mexicaine." Je savais que l'humiliation m'attendait derrière cette porte mais mon sexe était dur et je ne pouvais pas m'en empêcher. Je suis entré dans la pièce. Enrique était sur son dos alors que ma belle femme rebondissait sur sa grosse queue mexicaine. Juan se tenait à côté du lit en pinçant ses tétons rouges et durs en même temps qu'il se caressait la queue.

Jane m'a vu debout à la porte. Elle a dit sarcastiquement: "Bonjour, je suis contente que tu sois à la maison. Comment s'est passée ta journée?" ce qui ne l'empêchait pas de rebondir sans arrêt sur la grosse queue mexicaine d'Enrique. Jane dit: « J'ai compris.  Maintenant je sais ce que c'est que sucer une grosse bite latine. Maintenant je sais pourquoi tu es si nul. Mais, je ne peux pas t'en vouloir, ces gars-là,eux, sont de vrais hommes.
 Déshabille-toi pendant que les mexicains me baisent.       
     

        De honte j'ai baissé la tête alors qu'ils riaient tous. Je me suis dépouillé de mes habits. Ma bite dure m'a trahi. Je ne pouvais pas nier mon excitation. Ma femme m'a fait enlever mes sous-vêtements aussi.

Juan a dit: "Mark va nous chercher quelques bières pendant que ta femme salope baise avec mon ami."
        
         Quand ils ont découvert que nous n'avions pas de bière, ils m'ont fait aller en acheter au magasin avec les sous-vêtements de Jane sous mes vêtements. Ma bite est restée dure tout le temps que j'étais au magasin. À mon retour, Juan baisait Jane en levrette. Elle suçait la grosse queue d'Enrique en même temps.
        

Juan m'a fait me déshabiller sauf pour la culotte avant de leur servir de la bière. Aussitôt que Juan a bu sa bière, sa queue est sortie de la chatte de Jane. Jane m'a fait mettre moi-même la grosse bite brune d'Enrique dans sa chatte béante. Il a giflé mon cul et Juan a dit: "Merci Mark."

Jane gémit avec une bouche pleine de bite, "Mmm, baise-moi. J'aime ta grosse bite brune."

Ces deux hommes d'entretien mexicains ont bousillé ma garce de femme . Ils se sont relayés pour la baiser pendant qu'elle suçait l'autre. Juan a baisé son cul pendant qu'Enrique a baisé sa chatte. Puis ils l'ont fait aussi en même temps :

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Tout le temps ils se sont tous moqués de moi. Juan s'est retiré et est revenu sur elle. Enrique est entré profondément dans sa chatte. L'excitation était trop pour moi. Ma bite a tiré une grosse charge trempant le devant du boxer que je portais. Jane m'a fait sucer le foutre sur sa chatte dégoulinant de leurs spermes. J'ai savouré le mélange de leurs jus. Jane est venue abondamment pendant que je la mangeais. Ensuite, ils m'ont fait sucer le sperme de sa culotte trempée.

Ma femme était épuisée quand ils sont finalement partis. Ils l'ont remerciée pour la chatte et le cul. Elle les a remerciés pour les grosses bites dures mexicaines. Juan m'a remercié pour la chatte de ma femme et ma bouche.

Depuis ce jour, ils viennent au moins une fois par semaine pour baiser ma femme. Je n'aime pas ça. Mais Jane aime ça. Parfois, elle me laissera la baiser. Habituellement, mon rôle est de nettoyer sa chatte, mais dernièrement, Jane m'a fait lécher les bites bien lisses de Juan et Enrique après qu'elles se soient enfoncées profondément en elle.

Hier, Jane était à son travail quand la sonnette a retenti. C'était Juan et Enrique. Ils étaient mécontents quand je leur ai dit que Jane était au travail. Je leur ai offert une bière. Après avoir bu le premier, Enrique m'a demandé si j' en avais plus. Quand je suis revenu, ils avaient tous deux laissé tomber leur pantalon et caressaient leurs dures queues latines.
Je savais ce qu'ils voulaient. Je le voulais aussi. Ils m'ont fait me déshabiller. J'ai remis les bières aux gars et je me suis agenouillé devant Juan. Il a dit: "Voyons si tu peux nous faire plaisir aussi bien que ta femme salope."     

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    Bien sûr je pensais qu'ils auraient préféré ma femme, mais moi, tout excité maintenant, j'étais prêt à leur céder avec une grande joie : enfin, à mon tour, j'allais être baisé ...

C'est pour dire hein comment les choses s'enchaînent. C'est pas forcément le drame. La preuve s'est faite toute seule : moi je suis passé du virtuel à un réel sans pareil et ma femme a su tirer parti de la situation. Tout le monde a été gagnant DE TOUTE CETTE CASCADE DE CIRCONSTANCES AU DEPART DESAGREABLES et il semblait que la victime soit grugée et malmenée alors que c'était la 2e chance de sa vie... Au fond aujourd'hui tout est bien... Ca m'a rappelé cette chanson de Line Renaud -chérie des gays comme Dalida ou Barbara- :   Où vas-tu Basile ?     

 

 

        Où vas-tu Basile sur ton blanc cheval perché ?
Je vais à la ville le vendre au marché
Ton cheval claudique mais vois-tu pour t'obliger
Contre une vache magnifique je peux l'échanger

{Refrain:}
Sitôt dit sitôt fait bonne affaire se dit Basile
Sitôt fait sitôt dit, Basile est un dégourdi

Où vas-tu Basile avec cette vache à lait ?
Je vais à la ville la vendre au marché
Ta vache à la fièvre, la vendre est bien compliqué
Contre ma plus belle chèvre veux-tu la troquer ?
{au Refrain}

Où vas-tu Basile de ta bique accompagné ?
Je vais à la ville la vendre au marché
Ce n'est pas facile car elle a le dos tordu
À la place, prends Basile ce chapon dodu
{au Refrain}

Où vas-tu Basile avec ce petit poulet ?
Je vais à la ville le vendre au marché
C'est un vrai squelette jamais tu ne le vendras
Pour ce bouquet de violettes tiens, laisses-le moi
{au Refrain}

Où vas-tu Basile avec ce bouquet joli ?
Je vais à la ville Mad'moiselle Lili...
La ville est lointaine donne-moi plutôt ces fleurs
En échange pour ta peine tu auras mon cœur

{Refrain:}
Sitôt dit sitôt fait, que je t'aime dit Basile
Sitôt fait sitôt dit, c'est ainsi qu'on se marie !

Dans toute la ville ce mariage fit tant de bruit
Qu'on nomma Basile Roi des dégourdis
De toute cette histoire la morale est celle-ci
Que celui qu'on croyait prendre n'est pas toujours pris 

 

 

 

 

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Par CAVAILLONGAY TRADUCTION US - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 20 août 1 20 /08 /Août 01:01

  Salut, je m'appelle Yanis.  Un gars qui "pousse sa fortune dans votre cul n'est pas forcément un violeur ! Si vous donnez votre cul ça peut bien vous arriver et vous n'en aurez pas un mauvais souvenir.   

  Par contre, un jour que nous avions commencé à baiser, un cycliste nous a interrompus ma "rencontre" et moi. Il était jeune, mais sans plus. IL a voulu prendre ma place et se faire prendre. Sa beauté, sa jeunesse ont suffi à convaincre mon baiseur. Le jeune a eu mal à ce qu'il a prétendu et est parti en menaçant mon partenaire de porter plainte pour viol. Ma "rencontre" était blême sous la calomnie. Car on se défend toujours mal de ce genre d'accusation. Je croirais que ce cycliste était un comédien qui faisait le coup à tous ceux qu'il séduisait. En fait il ne se passait rien ! rien d'anormal pour la drague !  Ouais, même pour ces moments de stress, j'aime la drague en plein air car c'est la Vraie Vie. 

DANS MA MEMOIRE LE FLOU DES VISAGES, LA PRECISION DES EMOTIONS     

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NO CONSENT ?

Ca vous excite ? : ...Là « Je sens de longues trainées de sperme glisser vers mes jambes, entre mes fesses. »



    Image associée Cette histoire a dû commencer il y a bien une dizaine d’années si ce n’est plus. En Septembre 2001, le jour de l’explosion d’AZF, à Toulouse. Je travaillais à quelques kilomètres de la zone d’explosion, et dans le chaos, nous avons tous été enjoints à rejoindre notre domicile pour  raison de sécurité.
C’était un foutoir innommable sur la route, impossible de circuler, même à moto. C’est à hauteur du centre de loisirs de la Ramée que j’ai décidé de m’arrêter, de me dégourdir les jambes en attendant que les rues se dégagent. Une fois la moto garée sur le parking, je me suis enfoncé dans les bois et me suis perdu dans les allées, sentiers et autres voies. Cela me vidait la tête. C’est ainsi que je suis tombé sur un endroit plein de sachets de préservatifs vides par terre. J’ai cru avoir trouvé un endroit d’échangistes ou de voyeurs. Je suis resté un peu dans le coin, espérant pouvoir assister aux ébats d’un couple ou autre mais sans succès. Je rencontrais de temps à autre un homme isolé qui déambulait dans les allées. Je me suis promis de revenir et de mieux observer, ce que j’ai fait un mois plus tard. Mais là encore je n’ai trouvé aucun couple, seulement des hommes. Il m’a fallu un peu de temps pour me rendre compte que ce n’était pas un endroit pour couples mais un lieu de rencontre pour hommes, pour gays. Par amusement j’ai observé leurs manières et je me suis rendu compte qu’il suffisait de s’enfoncer dans un sentier pour faire comprendre à la personne qu’on croisait qu’on était bon pour un rencart. « L’invité » suivait ou non en fonction de son intérêt. Celui-ci pouvait aussi montrer son intérêt en suivant un « soupirant » dans les allées. Si ce dernier était intéressé, il s’enfonçait alors dans le bois, l’autre sur ses traces. [C'est marrant les km que ces gens-là peuvent parcourir pour une rencontre !]Après…..
Amusé, je suis parti et ne suis plus jamais revenu à cet endroit jusque récemment.

EH OUI, LA DRAGUE HOMO C'EST CETTE SORTE D'EMOTIONS OU SE MELENT DESIR ET APPREHENSION, ADRENALINE ET BATTEMENTS DE COEUR :

Nous sommes en Juin 2014. Près de treize ans ont passé. Pour des raisons professionnelles je suis dans le coin. Ma réunion s’est terminée beaucoup plus tôt que prévu. Ayant du temps devant moi et piqué par la curiosité, je dois l’avouer, j’ai voulu revisiter cet endroit.
Je dois aussi avouer que depuis 10 ans j’ai également évolué et du point de vue sexuel ou érotisme avoir une aventure avec un homme a commencé à faire partie de mes phantasmes les plus fréquents.
Je me suis donc arrêté sur le parking de la Ramée et me suis enfoncé dans les sous-bois à la recherche de cet endroit
Il existait toujours.
Et si…. ?
Je me suis mis en tête de tenter ma chance et je commence à déambuler dans les allées, croisant de temps en temps un homme ou deux, pas grand monde. Par ennui, je m’enfonce aussi dans le bois en prenant un sentier ou l’autre mais je croise quasi personne. Et en tout cas, personne ne fait un quelconque signe d’intérêt pour moi. Moi en revanche, j’essaye une ou deux fois de m’enfoncer dans les bois en prenant un sentier lorsque par hasard un homme me suit mais sans aucun résultat. Je dois m’y prendre mal sans doute. Le débutant, cela doit se voir gros comme une maison.

Après deux heures à ce régime là, je décide que j’ai perdu assez mon temps comme ça et qu’il est temps de rejoindre ma voiture et de me casser. Je prends un sentier que je ne connais pas et je m’enfonce dans le bois. Mais c’est pour aboutir à un endroit par où j’étais déjà passé deux fois et c’est un peu désappointé que je prends à droite pour rejoindre une grande allée. A ce moment un homme grand débouche sur ma gauche. Je suis surpris, baisse la tête et accélère le pas. Drôle de réaction. L’homme me suit; mon coeur commence à battre mais je me raisonne tout de suite: il n’avait pas vraiment beaucoup de choix: soit il allait d’où je venais, soit il allait où j’allais. Une chance sur deux qu’il me suive délibérément.
Une fois sur l’allée, je prends à droite pour me diriger vers le parking. L’homme me suit toujours, à une vingtaine de pas. Je commence à espérer; aussi je m’éloigne du parking et je me dirige vers un côté où j’ai découvert plusieurs embranchements. Et surprise, à chaque embranchement, l’homme décide de prendre la même direction que moi. Là, pour le coup, mon cœur s’emballe pour de bon, mon ventre se noue, j’ai un début d’érection en mêmetemps qu'un peu la trouille. Arrivé à un abri, je prends le chemin qui le longe. Je sais qu’il amène à une impasse et au bout de celle-ci je m’adosse à un arbre. Je guette les bruits de pas, les mouvements à travers le feuillage du coin de l’œil et le voilà qui apparaît. J’ai ma queue toute raide. Qu’est-ce qui m’arrive ? Je tourne la tête pour le dévisager ; il est grand, très sec et je devine qu’il a mon âge. A cinq mètres environ il écarte les pans de son imperméable et je vois pendre son sexe et ses burnes hors de son pantalon. Je suis surpris par ce que je vois et en même temps je sens une chaleur parcourir mon ventre. L’homme s’approche mais je n’ai de regard que pour ses attributs ; je suis attiré comme une mangouste par le serpent. L’homme se colle à moi, ouvre ma braguette, sort mon sexe qu’il commence à caresser. Ensuite, il me caresse les tétons et cela me procure d’énormes frissons. Je sens du coup mon sexe se durcir encore. Je gémis de plus en plus fort sous ses caresses, c’est tellement bon que je serais prêt à faire tout ce qu’il me demanderait. Moi j’ai commencé à caresser sa queue qui s’est mise à gonfler ; je caresse ses burnes. Son sexe est doux, spongieux, chaud. Curieux de découvrir des sensations tactiles que je ne connais pas lorsque je me branle.
L’homme me délaisse et se place derrière moi ; je n’ai plus accès à son sexe, à ma grande déception. Il m’intime d’enlever mon pantalon et lui même m’enlève mon caleçon; il m’oblige à me pencher en avant, les jambes écartées. Je suis à sa merci. De derrière il passe sa main entre mes jambes et se met à me branler. C’est bon ! je le dis, je soupire. Puis il m’abandonne de nouveau, écarte mes fesses des deux mains et ….plus rien. J’imagine qu’il est en train de regarder mon trou de cul. Je me sens gêné, je ne sais que faire mais voilà qu’il caresse ma rondelle avec un doigt qu’il a mouillé. Moi, je me suis mis à me branler. C’est bon, plein de sensations inconnues, nouvelles. C’est dans cette position, courbé en avant, le cul à l’air offert (?)à  cet étranger que je vois un peu plus loin devant moi, sur l'autre sentier, un homme à bicyclette qui nous regarde. Nos regards se croisent ; j’ignore ce que peut lui inspirer l'expression de mon visage, mais en tous cas il démarre en vitesse et quelques instants plus tard je l’entends arriver par où nous étions venus. Il jette son vélo par terre et se rapproche de nous. L’homme derrière moi arrête son exploration - car entre temps il a fait glisser un long doigt dans mon cul - et se redresse. Mais le nouveau, un petit trapu, bien plus jeune que nous fait signe de continuer. Il s’approche de nous et une fois en face de moi, déboutonne sa braguette et sort sa queue. Il bande et vachement. L’homme derrière moi appuie sur mon dos m’obligeant à me baisser de nouveau. La fouille de mon rectum reprend en même temps qu’une main passée entre mes jambes se met à me branler de nouveau. Le nouveau venu glisse son sexe tendu dans ma bouche. Première fellation ; je ne sais comment faire mais je fais. Cela semble plaire au nouveau venu car il me dit de continuer. Derrière la fouille s’est arrêtée, mes sensations également, ma queue est toujours raide et je reste très excité par tout ce qui m’arrive. Après un petit répit, je sens quelque chose de dur et tendre à la fois glisser entre mes fesses ; c’est la queue de l’autre. Je l’entends cracher à deux ou trois reprises, j’imagine pour lubrifier sa queue, et je réalise que non seulement je me fais ma première fellation, mais en plus je vais me faire enculer pour la première fois.

    Image associée Image associée 

Je hurle de douleur lorsque l’homme me pénètre ; je réagis, je veux l’écarter mais l’autre me retient et m’oblige à le sucer. Je crie, j’essaie de dire que j’ai mal, que je veux que ça s’arrête, mais ni l’un ni l’autre ne m’en laisse l’occasion. L’homme derrière moi me bourre profondément; cela me fait mal au ventre mais en même temps, par moments, ses pénétrations me procurent un plaisir étrange qui adoucit les douleurs de brûlure à l’anus. L’autre manque de m’étouffer tant il enfonce son dard loin dans ma gorge au point que j’en bave comme un malade. Et ma queue est toute raide, toujours. La douleur s’estompe sans disparaître complètement et je recommence à me branler sous les encouragements de l’homme dont je suce la queue. Derrière les chocs sont brutaux, je sens le ventre de cet homme s’écraser sur mes fesses, sa queue s’enfoncer loin, loin, pousser sur ma prostate et me donner plaisir et douleur en même temps. Soudain, l’homme en face de moi dans un grognement retire sa queue et éjacule sur mon visage ; j’en ai partout, de longues giclées de sperme épais dont je peux goûter quelques échantillons. Et comme par hasard voilà que l’homme derrière grogne lui aussi ; il éjacule en moi et termine sur mon dos. Je sens de longues traînées de sperme glisser vers mes jambes, entre mes fesses. Après avoir frappé quelques coups de sa bite sur mes fesses, j’entends l’homme se rhabiller et partir. Je me redresse, pataud, légèrement assommé. Mais l’homme que je venais de sucer ne me laisse pas reprendre mes esprits et se met à me branler avec des mouvements rapides et très brefs. Les effets sont immédiats, je me mets à mon tour à éjaculer en grands jets arrosant les plantes devant moi. L’homme éclate d’un rire sonore : « Pas mal, vraiment pas mal. Tu es bon. Tu devrais venir plus souvent ». Il me faudra quelques longues minutes pour recouvrer mes esprits et me rendre compte que je suis assis par terre, seul, la tête entre les jambes me demandant ce qui m’était arrivé. Jamais je n’avais eu aussi grande jouissance.

 

  fresque :  

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    A la suite de quoi, bien sûr, j’ai renouvelé cette expérience que je trouve assez fabuleuse et j'ai décidé de la faire connaître aux jeunes puceaux sur les réseaux. D'ailleurs j'encourage les jeunes à éviter les saunas et autres et à aller fréquenter les dragues comme dans ce texte.

Peu après j'ai croisé l'un de mes deux partenaires de "jeu". Très franchement ça ne m'a pas gêné et j'ai accepté de monter "un coup" ensemble 

  Image associée    Bien sûr ça se passait chez lui

   Image associée  nous convenions  que je les surprenais en pleine action Aussitôt la fête commençait...

         Shoreline-Shag-026_eb18 

   notre hôte était génial pour les scénarios à trois et ne les ratait jamais, sachant bien avec qui il choisissait de les réaliser   

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Oh, ça n'atteindrait pas la dizaine de fois mais au moins 7 moments de libre jouissance. Voyez vous-même ces jeunes beautés affamés de sexe. Des peaux de satin, des formes de rêve mon camarade -  avec moi- n'organisait que des one-shots, ce qui m'honore beaucoup. De sa voix caressante il a su faire sortir chacun de lui-même, oublier ce qui le retenait, et, comme moi, accepter de donner leur plus intime intimité, et en payer le"prix", car il est outillé hors du commun pour faire franchir le pas difficile aux jeunes qui, pas innocents, avaient comme je dis  à accomplir un deuxième dépucelage, celui d'une très grosse bite qui, une fois lancée n'a plus de maître que son désir diabolique.

   Image associée

Arrivez-vous à imaginer les tendres moments avec chacun de ces tendres poulets... 
  Image associée         tendres moments que ces dons de soi spontanés ont permis

(ci-dessous ça vaut la peine d'interrompre la gorge profonde qu'il avait commencée avec moi en position couchée pour se concentrer sur son plaisir et sa douleur anales) 

    Résultat de recherche d'images pour "porn gay threesome# fuck young+older+young" et vous me pardonnerez d'avoir été le voyeur privilégié de ces scènes de sexe. Je savais nous savions ce qui allait arriver. Voir la surprise et l'émotion de notre "participant", et, à travers elles retrouver mes inédites sensations avec notre initiateur commun.

Je n'ai qu'un regret : c'est que ce soit fini. Ca me rend fou. Laissez-moi me masturber, les yeux fermés pour évoquer ces souvenirs.¤       

 

  Image associée 

 


commentaire ;

 

 

Par Yanis - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 17 août 5 17 /08 /Août 15:30

           on a tout sur soi !                  

          

 

 

J'ai eu quelques-unes de ces choses quand j'étais petit, et tu sais - entre le moment où j'ai compris à quoi servait ma bite et la première fois que je devais vraiment l'utiliser dans ce but, j'ai voulu VRAIMENT essayer de baiser une de ces choses. La seule fois où je les ai découverts j'étais avec ma mère. Cependant, je n'arrivais pas à imaginer une bonne raison de lui demander d'acheter un "wiggler" d'eau à un garçon de 13 ans. Donc, ma curiosité n'a jamais été satisfaite. Au moment où j'ai eu l'argent, la mobilité et la vie privée pour aller acheter moi-même un wiggler d'eau à branler, j'étais devenu beaucoup plus intéressé par les  vagins réels que les imitations (ersatz) remplies d'eau. Je voyais  de temps en temps un wiggler à eau dans les vidéos ou les étalages des sexshops et je ne pouvais jamais m'empêcher de me demander ce que j'aurais pu, moi, en faire. J'ai toujours pensé que j'étais le seul ado qui avait éprouvé un quelconque intérêt à imaginer faire l'amour avec un manchon en caoutchouc ou en plastique. Ca a fini par arriver. Je n'ai pas besoin de vous expliquer pourquoi -lol- Je tiens à remercier les auteurs de viéos de démonstration pour leur examen approfondi - à la fois pour me rassurer que je ne suis pas si bizarre de m'y intéresser (voire plus) Allez concepteurs, on n'arrête pas le progrès, fût-ce au prix de quelques grammes de plastique !  Ex pliquez bien, détaillez bien : comment est-ce qu'un garçon est censé découvrir le mode d'emploi sans qu'on le suive pas à pas?-lol- . Quelqu'un veut-il bien me tenir par la main le poignet ? 

Au lycée,comme une blague, pour mon anniv', mes amis m'ont acheté des perles anales . Ils sont habitués de la connerie et se font des blagues entre eux. Mais ils auraient été surpris de savoir que je les utilise sur moi dans mon cul. C'est bon !

Au sujet de ces boudins creux pour se branler, ces choses sont si glissantes quand elles sont à température ambiante et sèches. Je ne peux pas imaginer comment vous maîtrisez cette chose après l'avoir huilé. Dans ma tête j'imagine un enfant des années 90 essayant d'arrêter de le laisser tomber et d'essayer de le ramasser.
( 

Si c'est un de ces poissons en plastique que vous avez enfilé dans votre cul , il va certainement éclater et déclencher " le grand bleu" sirupeux  dans vos arrières ! -lol-

 

 

 

 

 

 

 

   
Par XHAMSTER - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 13 août 1 13 /08 /Août 05:08

            Image associée   Image associée  Image associée ce n'est qu'après que j'ai réalisé qu'en tombant publiquement dans les bras de Pierre qui m'attendait au pied de l'escalier de la pension j'avais déclenché des réactions d'isolement autour de nous : la direction nous a changés de dortoir, les autres ont cessé d'avoir des rapports neutres envers nous. Je souffrais mais je pensais qu'ils réagissaient par jalousie. Peut-êfre n'avais-je pas tout à fait tort. Je le pense encore aujourd'hui mais j'ai encore mal.     

     Cette photo a reçu plus de 600 000 likes en 2 jours : 

   Image associée   Image associée  Image associée

     l'Express "Je suis homosexuel et j'ai peur pour mon futur, peur que les gens ne m'aiment pas." Ce garçon, photographié sur la page Facebook Humans of New York, a ému par son désarroi. Mais beaucoup d'internautes se sont interrogés qu'un garçon si jeune soit fixé sur ses orientations sexuelles.Facebook / Humans of New York / Stanton Ses larmes ont fait le tour du monde. Ses larmes ont fait le tour du monde. Assis sur le perron de son immeuble, un jeune new-yorkais pleure. Pas pour une histoire de goûter volé ou de mauvaise note, c'est pour son avenir que cet enfant s'inquiète. "Je suis homosexuel et j'ai peur pour mon futur, peur que les gens ne m'aiment pas", confie-t-il sur le blog d'un photographe de rue américain. 

Image associée

 on voit l'avenir dans les yeux de l’enfant qui écoute le secret dans le coquillage ?

Image associée Papa, fake photo 

     Moi: Rien, rien, je ne savais rien de la vie, à 8 ans, ma copine s'appelait Eliane, on disait qu'on se marierait. Le copain pour qui je fondais à la récré s'appelait Marc. Je l'aimais tellement que je me laissais dominer par lui, je me traînais à ses pieds. J'attendais qu'il me donne des ordres. Je ne faisais pas que l'admirer, je voulais être lui. Je voulais que mon corps fusionne avec le sien.  une autre façon de dire ne faire qu'un. J'ai été jaloux de lui. Plus tard, en 4e et 3e nous avons eu des relations orageuses.

 A 10 ans, pas avec lui, mais en pension, Pierre (12 ans, presque 13 ans), m'a initié à SA vie sexuelle. Il avait un gros zizi, moi non. Il se masturbait, je pouvais le toucher et c'était doux. 

  je ne peux pas affirmer que ça a fait de moi le gay-bi  que je suis car je pense j'avais de solides dispositions. -lol-  

 

 

   "Bon, là on était en pension médicalisée. Pierre était un magnifique garçon de 12 ans qui vivait comme moi  dans la banlieue de notre ville devenue distante de 300km. Le croirez-vous , il était pubère. J'ai découvert la masturbation en le voyant se branler dans la pénombre au dortoir, il avait une grosse bite, il me montrait ses éjacs conservées dans du papier-toilette, puis, dans les jours qui suivirent il commença à m' insérer son sperme directement avec son sexe entre mes petites fesses où, même s'il en parcourait la raie, il ne pénétrait pas malgré ma propre envie et que, après de longs "frottings" son sperme juvénile déposé entre mes fesses (un délice ) faisait glisser entre elles quand je marchais (sensation délicieuse aussi).  

La nuit au dortoir il savait trouver un bon accueil dans mon lit. Je souffrais de la séparation familiale, lui moins je pense pouvoir dire. Ca me jetait dans ses bras : il avait besoin d'une certaine forme d'affection, moi d'affection tout court. Et puis m...on va culpabiliser ni l'un ni l'autre ! Il mesurait déjà dans les 1 mètre 60(?) et me dominait largement d'une trentaine de cm. Ses cheveux étaient bruns et ses yeux marrons. Son corps avait commencé à bien se muscler.Il était bien plus grand que moi qui n'avais alors que 10 ans. Si j'en étais amoureux(ça oui!) aussi bien je le voyais comme un homme.

Il avait du duvet sur sa lèvre supérieure. Il était très en avance sur sa puberté. Il savait qu'il était fait pour les filles alors que moi je ne leur prêtais aucune véritable attention Pierre observait beaucoup les filles et parlait d'elles très souvent. Une fois il m'a fait porter à une certaine Annie un papier plié en 4 contenant sa juvénile semence... La pension était mixte. Certaines filles aimaient bien qu'il leur parle aussi crûment que ça lui plaisait mais avec moi ce qu'il pratiquait c'était un exercice mécanique. Faute de mieux, tous les soirs il me frottait sa verge bandée dans la raie jusqu'à jouir et me "graisser" un anus follement désireux d'aller plus loin. J'en suis encore ahuri. Il était mon idole avec son corps un peu maigre mais bien dessiné et en pleine croissance contrairement à son visage qui reflétait encore, forcément,  copieusement l'enfance. 

 

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moi je rêvais à je ne sais quoi de beau plus beau que la réalité de ma vie. Je rêvais sans doute d'être à lui sans pouvoir encore le formuler

"Pierre 1er" avait de grands yeux marrons et un petit nez. Quand il sourait, ses joues affichaient toujours une fossette sur les deux côtés. Son teint était assez mat et bronzé  je le revois encore, nu, aux douches où les deux nurses qui nous surveillaient se poussaient du coude en riant, en observant à la dérobée son pénis et sa toison pubienne dignes d'un adulte.  Il avait plusieurs amis à la fois garçons et filles, mais pas encore de petite amie. Autrement dit, Pierre  est l'amant presque parfait mais je reste sur ma faim et j'ai toujours pensé qu'au lieu de ça, il aurait mieux valu qu'on "consomme" complètement, sinon pour me lever l'envie, au moins pour m'éviter la frustration qui m'a poursuivi toute ma vie.  

Un matin le directeur m'a retenu à son bureau pour me rendre à mes parents venus me chercher, étais-je viré ??? et je n'ai même pas pu dire au-revoir ou plutôt adieu à mon "Pierre 1er" que je n'ai jamais revu. Je sais son nom de famille. J'ai cherché. Rien ! ".¤  

 

 l'Express A quel âge prend-on conscience de son homosexualité?   

Xavier Pommereau, Pédopsychiatre -"Le plus souvent, les jeunes gens le savent dès leur enfance mais sans pouvoir se le dire, mettre des mots sur ce qu'ils ressentent. Un petit garçon, par exemple, va sentir qu'il est attiré par les hommes mais pas pour trouver une figure de l'autorité. J'ai un patient qui aimait les bras de son prof de judo. C'est la même chose qu'un gamin attiré par sa maîtresse à l'école. Mais à cet âge, il n'y a pas de représentation sexuelle de cette attirance. Généralement, ils reconnaissent ces signes a posteriori.

 

     l'Express      Vers quel âge? Xavier Pommereau, Pédopsychiatre 

A l'adolescence, voire même à la préadolescence. Les jeunes mûrissent aujourd'hui plus précocement : grâce à Internet, la télévision, ils sont hyper informés et commencent à avoir des représentations sexuelles vers 9-11 ans. Le processus d'acceptation reste malgré tout long.     

 Moi : aurais-je été pire ou bien meilleur si c'était en 2018 ???  

     Qu'est-ce qui est le plus dur à accepter?  

 Xavier Pommereau, PédopsychiatreL'adolescence d'un jeune homosexuel est souvent une source de souffrance en raison du vécu de la différence. L'homophobie est bien évidemment un problème: les attaques, le harcèlement, les moqueries leur font beaucoup de mal mais ce n'est qu'un aspect de la souffrance. Avant même d'accepter le regard des autres, il faut s'accepter soi-même. Les aider à accepter leur différence est le but de notre travail. Beaucoup d'ados refoulent un temps leur homosexualité, vivent une relation hétérosexuelle pour se convaincre qu'ils sont comme tout le monde.   

     L'Express: Y a-t-il une différence entre l'acceptation de l'homosexualité masculine et féminine? 

L'homosexualité féminine étant moins visible, elle est souvent plus facile à accepter. Deux adolescentes qui se tiennent par la main ou dorment dans le même lit peuvent facilement passer pour les meilleures amies. Alors que deux garçons de 15-16 ans qui font la même chose seront immédiatement catalogués "homosexuels". 

L'acceptation de l'homosexualité par les proches a-t-elle évolué? 

Énormément. Il y a vingt ans, les parents acceptaient très mal cette annonce, certains hurlaient, pleuraient, tournaient le dos à leur enfant. On en avait régulièrement qui nous emmenaient leur ado pour qu'on "corrige" cette homosexualité. Les mentalités ont beaucoup évolué. Dans les manuels de psychiatrie des années 60 ou 70, l'homosexualité était par exemple considérée comme une perversion sexuelle. Il a fallu attendre les années 90 pour qu'on admette qu'il s'agissait d'un penchant dont on ne sait d'ailleurs toujours pas vraiment quand il prend racine.

Aujourd'hui ces réactions extrêmes sont rares. Dans la grande majorité des cas, les parents ne sont pas très à l'aise avec l'homosexualité de leur enfant - notamment parce qu'ils ont des représentations* - mais ils l'acceptent. Et les mentalités évoluent dans ce sens: les adolescents sont plus ouverts que leurs parents sur le sujet. 

   * Moi: Des représentations ?      Ben je suppose qu'ils imaginent, avec l'effroi de leur concepts à eux, ce qu'on fait quand on est ensemble dans un lit ! Des représentations ? "Ah oui, madame Michu...ben notre fils on le voit pas souvent...."¤

GAY ACCESS :         

  Image associée

  «J’aimerais pouvoir inviter mon copain à Noël chez mes parents» 

Image associée «En Suisse, être homosexuel ne pose aucun problème. Je me sens accepté partout, y compris au travail. Nous avons déjà l’égalité, seules les lois doivent encore être adaptées», affirme David.

 

  Image associée ouais, et alors ?

 

tout est joué avant six ans disent-ils ...et à 10 ans, qu'est ce qu'on joue ?

2015 école en Ardèche sur Pinterest fake photo 

Je m'appelle R... et j'ai 10 ans /J'ai dix ans
Je sais que c'est pas vrai mais j'ai dix ans
Laissez-moi rêver que j'ai dix ans
Ça fait bientôt quinze ans que j'ai dix ans
Ça parait bizarre mais
Si tu m'crois pas hé
T'ar ta gueule à la récré/   Alain Souchon

    Enzo  fake photo

   Je l'aimais fort mon Enzo, j'aurais voulu être lui.

Un jour j'ai dormi chez lui et sa mère m'a prêté un de ses pyjamas. Une fois habillé pour la nuit j'étais fou d'excitation. Sa mère est restée perplexe quand je lui ai dit : "Je suis un autre Enzo. Vous avez deux Enzo!"     Je l'aimais fort mon Enzo c'était très fusionnel. 

 


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Par L'Express - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 4 août 6 04 /08 /Août 07:28

tout ça m'est arrivé en bord de Durance Toi qui fais le tour de nos dragues cet été  espère de bonnes fortunes :  Pat dépasse tout ce que j'ai pu prendre jusqu'ici... 

   Lorsqu’on dit « une grosse queue », on la voit généralement longue. Et des longues, ma foi, il y en a pas mal. Mais habituellement, je trouve mes amants au parc le soir, et c’est le plus souvent pour une bonne turlute. Longue à souhait, j’aime sucer et branler une bonne tige. De temps en temps, il se passe quelque chose de plus avec certains mecs, et si la queue me plaît, une sodomie est la bienvenue.  

  Image associée 

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Mais c’est souvent derrière un arbre, sur le capot d’une voiture… bref, dans des conditions précaires. Pour peu que l’homme ne pense qu’à lui, je lui demande d’arrêter prétextant qu’il est trop gros pour mon p’tit cul, ce qui le flatte toujours, et je le finis dans ma bouche.

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      Image associée 

Image associée -" il s'en va ? Tu l'as vexé ? il t'a dit qu'il veut pas faire à trois ?" - "Non mec  : il m'a dosé dans le cul juste avant que tu arrives...aussi tu es entré facile !"  

      Image associée     Image associée

  Image associée      Image associée 

 Image associée Image associée 

 

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      Drague et baise en groupe en plein air et sans retenue

 

 

  d

 

 

  mon premier amant :  

 

Seul mon premier amant m’avait bien enculé, et m’avait fait vraiment jouir, en prenant son temps. Malgré son gros morceau (6,5cm de diamètre ! ), il avait su me mettre en confiance pour mieux me combler.  

  Image associée  Image associée 6,5 cm  d'epaisseur 

     dans mon cul

Par RAÛLMON 1ER AMANT - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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