Partager l'article ! un actif en pleine lancée, ça lui est difficile, voire impossible de s'arrêter.La plupart du temps aucun des partenaires ne regrette. « Je sens de ...
Salut, je m'appelle Yanis. Un gars qui "pousse sa fortune dans votre cul n'est pas forcément un violeur ! Si vous donnez votre cul ça peut bien vous arriver et vous n'en aurez pas un mauvais souvenir.
Par contre, un jour que nous avions commencé à baiser, un cycliste nous a interrompus ma "rencontre" et moi. Il était jeune, mais sans plus. IL a voulu prendre ma place et se faire prendre. Sa beauté, sa jeunesse ont suffi à convaincre mon baiseur. Le jeune a eu mal à ce qu'il a prétendu et est parti en menaçant mon partenaire de porter plainte pour viol. Ma "rencontre" était blême sous la calomnie. Car on se défend toujours mal de ce genre d'accusation. Je croirais que ce cycliste était un comédien qui faisait le coup à tous ceux qu'il séduisait. En fait il ne se passait rien ! rien d'anormal pour la drague ! Ouais, même pour ces moments de stress, j'aime la drague en plein air car c'est la Vraie Vie.
DANS MA MEMOIRE LE FLOU DES VISAGES, LA PRECISION DES EMOTIONS
car l'émotion est indélébile vous suivez le gars
et il vous attend un peu plus loin
NO CONSENT ?
Ca vous excite ? : ...Là « Je sens de longues trainées de sperme glisser vers mes jambes, entre mes fesses. »
Cette histoire a dû commencer il y a bien une dizaine d’années si
ce n’est plus. En Septembre 2001, le jour de l’explosion d’AZF, à Toulouse. Je travaillais à quelques kilomètres de la zone d’explosion, et dans le chaos, nous avons tous été enjoints à
rejoindre notre domicile pour raison de sécurité.
C’était un foutoir innommable sur la route, impossible de circuler, même à moto. C’est à hauteur du centre de loisirs de la Ramée que j’ai décidé de
m’arrêter, de me dégourdir les jambes en attendant que les rues se dégagent. Une fois la moto garée sur le parking, je me suis enfoncé dans les bois et me suis perdu dans les allées, sentiers et
autres voies. Cela me vidait la tête. C’est ainsi que je suis tombé sur un endroit plein de sachets de préservatifs vides par terre. J’ai cru avoir trouvé un endroit d’échangistes ou de voyeurs.
Je suis resté un peu dans le coin, espérant pouvoir assister aux ébats d’un couple ou autre mais sans succès. Je rencontrais de temps à autre un homme isolé qui déambulait dans les allées. Je me
suis promis de revenir et de mieux observer, ce que j’ai fait un mois plus tard. Mais là encore je n’ai trouvé aucun couple, seulement des hommes. Il m’a fallu un peu de temps pour me rendre
compte que ce n’était pas un endroit pour couples mais un lieu de rencontre pour hommes, pour gays. Par amusement j’ai observé leurs manières et je me suis rendu compte qu’il suffisait de
s’enfoncer dans un sentier pour faire comprendre à la personne qu’on croisait qu’on était bon pour un rencart. « L’invité » suivait ou non en fonction de son intérêt. Celui-ci pouvait aussi
montrer son intérêt en suivant un « soupirant » dans les allées. Si ce dernier était intéressé, il s’enfonçait alors dans le bois, l’autre sur ses traces. [C'est marrant les km que ces gens-là
peuvent parcourir pour une rencontre !]Après…..
Amusé, je suis parti et ne suis plus jamais revenu à cet endroit jusque récemment.
EH OUI, LA DRAGUE HOMO C'EST CETTE SORTE D'EMOTIONS OU SE MELENT DESIR ET APPREHENSION, ADRENALINE ET BATTEMENTS DE COEUR :
Nous sommes en Juin 2014. Près de treize ans ont passé. Pour des raisons
professionnelles je suis dans le coin. Ma réunion s’est terminée beaucoup plus tôt que prévu. Ayant du temps devant moi et piqué par la curiosité, je dois l’avouer, j’ai voulu revisiter cet
endroit.
Je dois aussi avouer que depuis 10 ans j’ai également évolué et du point de vue sexuel ou érotisme avoir une aventure avec un homme a commencé à
faire partie de mes phantasmes les plus fréquents.
Je me suis donc arrêté sur le parking de la Ramée et me suis enfoncé dans les sous-bois à la recherche de cet endroit
Il existait toujours.
Et si…. ?
Je me suis mis en tête de tenter ma chance et je commence à déambuler dans les allées, croisant de temps en temps un homme ou deux, pas grand monde.
Par ennui, je m’enfonce aussi dans le bois en prenant un sentier ou l’autre mais je croise quasi personne. Et en tout cas, personne ne fait un quelconque signe d’intérêt pour moi. Moi en
revanche, j’essaye une ou deux fois de m’enfoncer dans les bois en prenant un sentier lorsque par hasard un homme me suit mais sans aucun résultat. Je dois m’y prendre mal sans doute. Le
débutant, cela doit se voir gros comme une maison.
Après deux heures à ce régime là, je décide que j’ai perdu assez mon temps comme ça et qu’il est temps de rejoindre ma voiture et de me casser. Je
prends un sentier que je ne connais pas et je m’enfonce dans le bois. Mais c’est pour aboutir à un endroit par où j’étais déjà passé deux fois et c’est un peu désappointé que je prends à
droite pour rejoindre une grande allée. A ce moment un homme grand débouche sur ma gauche. Je suis surpris, baisse la tête et accélère le pas. Drôle de réaction. L’homme me suit; mon coeur
commence à battre mais je me raisonne tout de suite: il n’avait pas vraiment beaucoup de choix: soit il allait d’où je venais, soit il allait où j’allais. Une chance sur deux qu’il me suive
délibérément.
Une fois sur l’allée, je prends à droite pour me diriger vers le parking. L’homme me suit toujours, à une vingtaine de pas. Je commence à espérer;
aussi je m’éloigne du parking et je me dirige vers un côté où j’ai découvert plusieurs embranchements. Et surprise, à chaque embranchement, l’homme décide de prendre la même direction que moi.
Là, pour le coup, mon cœur s’emballe pour de bon, mon ventre se noue, j’ai un début d’érection en mêmetemps qu'un peu la trouille. Arrivé à un abri, je prends le chemin qui le longe. Je sais
qu’il amène à une impasse et au bout de celle-ci je m’adosse à un arbre. Je guette les bruits de pas, les mouvements à travers le feuillage du coin de l’œil et le voilà qui apparaît. J’ai ma
queue toute raide. Qu’est-ce qui m’arrive ? Je tourne la tête pour le dévisager ; il est grand, très sec et je devine qu’il a mon âge. A cinq mètres environ il écarte les pans de son imperméable
et je vois pendre son sexe et ses burnes hors de son pantalon. Je suis surpris par ce que je vois et en même temps je sens une chaleur parcourir mon ventre. L’homme s’approche mais je n’ai de
regard que pour ses attributs ; je suis attiré comme une mangouste par le serpent. L’homme se colle à moi, ouvre ma braguette, sort mon sexe qu’il commence à caresser. Ensuite, il me caresse les
tétons et cela me procure d’énormes frissons. Je sens du coup mon sexe se durcir encore. Je gémis de plus en plus fort sous ses caresses, c’est tellement bon que je serais prêt à faire tout ce
qu’il me demanderait. Moi j’ai commencé à caresser sa queue qui s’est mise à gonfler ; je caresse ses burnes. Son sexe est doux, spongieux, chaud. Curieux de découvrir des sensations
tactiles que je ne connais pas lorsque je me branle.
L’homme me délaisse et se place derrière moi ; je n’ai plus accès à son sexe, à ma grande déception. Il m’intime d’enlever mon pantalon et lui même
m’enlève mon caleçon; il m’oblige à me pencher en avant, les jambes écartées. Je suis à sa merci. De derrière il passe sa main entre mes jambes et se met à me branler. C’est bon ! je le dis,
je soupire. Puis il m’abandonne de nouveau, écarte mes fesses des deux mains et ….plus rien. J’imagine qu’il est en train de regarder mon trou de cul. Je me sens gêné, je ne sais que faire mais
voilà qu’il caresse ma rondelle avec un doigt qu’il a mouillé. Moi, je me suis mis à me branler. C’est bon, plein de sensations inconnues, nouvelles. C’est dans cette position, courbé en avant,
le cul à l’air offert (?)à cet étranger que je vois un peu plus loin devant moi, sur l'autre sentier, un homme à bicyclette qui nous regarde. Nos regards se croisent ; j’ignore ce que
peut lui inspirer l'expression de mon visage, mais en tous cas il démarre en vitesse et quelques instants plus tard je l’entends arriver par où nous étions venus. Il jette son vélo
par terre et se rapproche de nous. L’homme derrière moi arrête son exploration - car entre temps il a fait glisser un long doigt dans mon cul - et se redresse. Mais le nouveau, un petit trapu,
bien plus jeune que nous fait signe de continuer. Il s’approche de nous et une fois en face de moi, déboutonne sa braguette et sort sa queue. Il bande et vachement. L’homme derrière moi appuie
sur mon dos m’obligeant à me baisser de nouveau. La fouille de mon rectum reprend en même temps qu’une main passée entre mes jambes se met à me branler de nouveau. Le nouveau venu glisse son
sexe tendu dans ma bouche. Première fellation ; je ne sais comment faire mais je fais. Cela semble plaire au nouveau venu car il me dit de continuer. Derrière la fouille s’est arrêtée, mes
sensations également, ma queue est toujours raide et je reste très excité par tout ce qui m’arrive. Après un petit répit, je sens quelque chose de dur et tendre à la fois glisser entre mes fesses
; c’est la queue de l’autre. Je l’entends cracher à deux ou trois reprises, j’imagine pour lubrifier sa queue, et je réalise que non seulement je me fais ma première fellation, mais en plus je
vais me faire enculer pour la première fois.
Je hurle de douleur lorsque l’homme me pénètre ; je réagis, je veux l’écarter mais l’autre me retient et m’oblige à le sucer. Je crie, j’essaie de dire que j’ai mal, que je veux que ça s’arrête, mais ni l’un ni l’autre ne m’en laisse l’occasion. L’homme derrière moi me bourre profondément; cela me fait mal au ventre mais en même temps, par moments, ses pénétrations me procurent un plaisir étrange qui adoucit les douleurs de brûlure à l’anus. L’autre manque de m’étouffer tant il enfonce son dard loin dans ma gorge au point que j’en bave comme un malade. Et ma queue est toute raide, toujours. La douleur s’estompe sans disparaître complètement et je recommence à me branler sous les encouragements de l’homme dont je suce la queue. Derrière les chocs sont brutaux, je sens le ventre de cet homme s’écraser sur mes fesses, sa queue s’enfoncer loin, loin, pousser sur ma prostate et me donner plaisir et douleur en même temps. Soudain, l’homme en face de moi dans un grognement retire sa queue et éjacule sur mon visage ; j’en ai partout, de longues giclées de sperme épais dont je peux goûter quelques échantillons. Et comme par hasard voilà que l’homme derrière grogne lui aussi ; il éjacule en moi et termine sur mon dos. Je sens de longues traînées de sperme glisser vers mes jambes, entre mes fesses. Après avoir frappé quelques coups de sa bite sur mes fesses, j’entends l’homme se rhabiller et partir. Je me redresse, pataud, légèrement assommé. Mais l’homme que je venais de sucer ne me laisse pas reprendre mes esprits et se met à me branler avec des mouvements rapides et très brefs. Les effets sont immédiats, je me mets à mon tour à éjaculer en grands jets arrosant les plantes devant moi. L’homme éclate d’un rire sonore : « Pas mal, vraiment pas mal. Tu es bon. Tu devrais venir plus souvent ». Il me faudra quelques longues minutes pour recouvrer mes esprits et me rendre compte que je suis assis par terre, seul, la tête entre les jambes me demandant ce qui m’était arrivé. Jamais je n’avais eu aussi grande jouissance.
fresque :
A la suite de quoi, bien sûr, j’ai renouvelé cette expérience que je trouve assez fabuleuse et j'ai décidé de la faire connaître aux jeunes puceaux sur les réseaux. D'ailleurs j'encourage les jeunes à éviter les saunas et autres et à aller fréquenter les dragues comme dans ce texte.
* Peu après j'ai croisé l'un de mes deux partenaires de "jeu". Très franchement ça ne m'a pas gêné et j'ai accepté de monter "un coup" ensemble
Bien sûr ça se passait chez lui
nous convenions que je les surprenais en pleine action Aussitôt la fête commençait...
notre hôte était génial pour les scénarios à trois et ne les ratait jamais, sachant bien avec qui il choisissait de les réaliser
Oh, ça n'atteindrait pas la dizaine de fois mais au moins 7 moments de libre jouissance. Voyez vous-même ces jeunes beautés affamés de sexe. Des peaux de satin, des formes de rêve mon camarade - avec moi- n'organisait que des one-shots, ce qui m'honore beaucoup. De sa voix caressante il a su faire sortir chacun de lui-même, oublier ce qui le retenait, et, comme moi, accepter de donner leur plus intime intimité, et en payer le"prix", car il est outillé hors du commun pour faire franchir le pas difficile aux jeunes qui, pas innocents, avaient comme je dis à accomplir un deuxième dépucelage, celui d'une très grosse bite qui, une fois lancée n'a plus de maître que son désir diabolique.
Arrivez-vous à imaginer les tendres moments avec chacun de ces tendres poulets...
tendres moments que ces dons de soi spontanés ont permis
(ci-dessous ça vaut la peine d'interrompre la gorge profonde qu'il avait commencée avec moi en position couchée pour se concentrer sur son plaisir et sa
douleur anales)
et vous me pardonnerez d'avoir été le voyeur privilégié de ces scènes de sexe. Je savais nous savions ce qui allait arriver. Voir la surprise et l'émotion de notre "participant", et, à travers elles retrouver mes inédites sensations avec notre initiateur commun.
Je n'ai qu'un regret : c'est que ce soit fini. Ca me rend fou. Laissez-moi me masturber, les yeux fermés pour évoquer ces souvenirs.¤
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