Samedi 28 avril 6 28 /04 /Avr 22:21

cocu martyrisé dans son corps et son esprit mais comblé dans son cul, puis lopé par son prédateur bonne lecture pour un dimanche pluvieux  

  un post de contributeur 

De :  Danielou@hotxxxx.fr  

A : claudemodou@gmail.com

Ce récit m'a mis le feu mon cher Claude. J'aurais préféré qu'Ahmed soit comme AZIZ

  Paddy O'Brian © Men.com  merci pour ce post Daniel. Bises !

MA TETE ANTICIPE TOUJOURS TROP

 

Le poste de la Mégane est allumé. Un animateur radio pose des questions à son invité politique. Je n’y prête aucune attention. J’ai l’esprit ailleurs.

J’ai trouvé dans ma boîte aux lettres un simple bout de papier, hier matin. Griffonné négligemment, j’y ai reconnu l’écriture d’un détective privé que j’ai bien chèrement payé pour qu’il suive ma femme. Il y a trois semaines, j’ai trouvé des traces sur des bas de ma femme. Habituellement, je ne fourre pas mon nez dans les vêtements sales, mais elle n’avait pas lavé mes chaussettes ni mon maillot de rugby. Hasard cruel mais salvateur. Je sais à présent où se trouve ma femme. Cela m’a fait perdre tous mes gains au poker…

Lundi après-midi. La banque de ma femme est fermée, elle ne travaille donc pas. Elle en profite habituellement pour s’occuper du ménage, exécuter quelques tâches administratives ou se faire belle pour moi. Enfin, pour moi, c’est ce que je croyais… Depuis combien de temps va-t-elle voir ailleurs ? A-t-elle toujours été comme ça, depuis les premiers jours ? Quoi ? Ma bite ne lui suffit pas ? MA BITE ?!? Grosse salope, je vais te la mettre, tu vas voir ! Et il n’y a pas que ça que tu vas recevoir ! Et quant à ton connard de baiseur, je vais lui faire ravaler ses dents, à lui aussi : il va tâter de mes poings, et je ne les ai pas petits.

J’ai trouvé l’adresse. Une petite rue, je gare ma voiture sur un stationnement peint sur les pavés irréguliers. Le papier indiquait une adresse et un créneau horaire. J’avais pensé au début arriver peu après elle, et lui exprimer mon point de vue. Mais en y réfléchissant quelques instants, elle aurait pu nier les faits, se plaindre et détourner les accusations sur moi : elle en serait bien capable. Connasse. J’ai donc sagement décidé de les rejoindre un peu plus tard, pas de manière à arriver en plein milieu de leurs ébats mais de quoi surprendre une main dans le soutien-gorge et une autre sur les fesses. Tant qu’à faire, je ne voulais pas en voir plus de la part de la mère de mes enfants.

Un modeste magasin de vêtements. La vitrine présente quelques mannequins sans intérêt, habillés trop près du corps, avec un maillot G-Star et une casquette américaine trop large. Je ne m’étais pas représenté le tocard auquel ma femme s’était attachée, mais je ne me serais pas imaginé une tantouze vendeuse de vêtements pour ados attardés ! J’allais bien m’amuser à lui casser sa petite figure d’empaffé, à celui-là. Il ne touchera plus les femmes des autres de sitôt, lui. J’ai souri.

Moi, un mètre quatre-vingts, quatre-vingt-quinze kilos de muscles, le torse velu comme un vrai homme, le visage haut, marqué par vingt-cinq ans de rugby et l’expérience de quarante ans de vie, moi, donc, j’entre dans cette boutique. Entre les sustenteurs pour cintres et les rayons où reposent les jeans troués, j’entraperçois au fond une porte qui se ferme. D’un pas ferme, je m’y dirige. À quelques mètres de l’endroit où je suppose être ma femme, je suis intercepté par l’arrière.

— Excusez-moi Monsieur, je peux quelque chose pour vous ? Bonjour !

La personne qui m’a agrippé le bras est un gros arabe d’une grosse trentaine d’années. Ses 90kg, environ, pour un mètre soixante-dix à peine dépassés, indiquent qu’il ferait bien de s’occuper à faire un régime et un peu de sport, plutôt que de m’emmerder. Il semble soulagé de m’avoir empêché de pousser la porte. Je déteste les débiles qui couvrent les très grosses conneries des petits pédés qui baisent ma femme.

— Oui, je vais voir ce que t’as en stock là derrière. Y a ton collègue là-dedans qui pourra me renseigner.

— Je travaille seul ici monsieur, je n’ai pas de collègue. Le stock n’est pas ouvert au public, mais vous trouverez des échantillons de tous nos produits en rayon. Si quelque chose vous intéresse, j’irai chercher votre taille pour...

— Rien à foutre ! Y a ma connasse de femme là-dedans, et je vais aller la voir cette pétasse ! Et je vais défoncer la gueule de ton connard de pote, connard !

J’explosais. Je n’en pouvais plus. Il me prenait pour un con, ma femme me prenait pour un con, et un mec me prenait pour un con en se tapant ma femme, là ça allait chier. Il n’avait pas intérêt à me chercher l’autre corniaud. Je me retournais et mettais ma main sur la poignée.

— Il n’y a rien à voir là-dedans, et c’est mon magasin ! Sortez !

Il m’avait tiré en arrière. Assez fort pour que je recule, pas assez pour me faire tomber. Il voulait juste me forcer à sortir : il n’était pas assez agressif. Je lui envoyai mon poing à la figure. Il recula sa tête, insuffisamment pour m’échapper, mais le coup fut amorti. J’avais atteint son œil.

— Aïe ! Mais il est taré ce type !

Je lui assénai un second coup dans la poitrine, et un troisième dans les côtes gauches. Il reculait à peine, j’y avais pourtant mis de la force. Il me regarda d’un air méchant à la Hulk ou bien KingKong.

— Laisse-moi voir dis-je.

— C’est mort.

Avant qu’il n’esquisse un geste, je propulsai de nouveau mon poing dorit vers son visage. Je touchai sa joue. Mon bras ne bougeait plus. Il tenait mon avant-bras dans sa main. Je n’eus que le temps de voir son regard déterminé, avant de recevoir moi-même un coup sur la pommette. Ma tête fut emportée par le choc, propulsée dans le stock de jeans ; déstabilisé, je fus projeté en arrière dans d’autres vêtements. Une barre reçue dans le dos me coupa le souffle. Je ne pensai pas même encore à me relever que déferlait sur mon visage une véritable cascade de coups. Bientôt, je ne vis plus rien.

IL BAISE MA FEMME Je me réveillai bien difficilement, la bouche pâteuse, avec un léger goût de sang. Je découvrirai quelques minutes plus tard que cela venait de deux dents cassées. Moi qui n’en avait jamais perdu, ni au rugby, ni dans une bagarre de bar… La salle est médiocrement éclairée. J’ai quelque peine à respirer, l’air est chargé de poussières. J’ai froid. Je sens du carrelage sous mes cuisses allongées. Elles sont nues. Mon torse aussi. Il ne me reste qu’un modeste caleçon.

Je sens une barre dans mon dos, et des liens enserrent mes poignets et mes coudes. Je force, mais reste solidement attaché. Encore un peu groggy, j’abandonne le temps de retrouver tous mes esprits. Et un peu de hargne, peut-être, aussi. Pour l’instant, je suis calmé.

J’observe le reste de la pièce. Des vêtements traînent un peu partout, des jeans, des sweats, des t-shirts. L’éclairage s’améliore peu à peu : en réalité, c’est ma conscience qui émerge. De même, les quelques bourdonnements de ma tête s’atténuent pour laisser place au son réel. La situation n’est pas tout à fait celle que je prévoyais. Au lieu d’arriver en conquérant pour surprendre ma femme, un gros arabe m’avait collé une rouste, je me trouvais attaché à poil dans une remise avec deux dents en moins et l’air vainqueur d’un français en 1962.

Le pire n’était peut-être pas seulement là. Non, face à moi, alors que mes sens s’éveillaient peu à peu, je voyais ma femme. Son petit corps souple et doux posé sur un tas de linge ses deux seins charnus reposant sous son buste, son cou généreux remontant vers l’arrière, sa bouche ouverte laissait s’échapper quelques râles et ses yeux d’améthyste fermés révélaient son plaisir. Ses cheveux châtain clair, sa crinière sauvage de reflets mêlés était retenue par la main de son cavalier.

Sa main rude était continuée par un bras épais et poilu, qui remontait jusqu’à son torse large, qui bien que gras révélait aussi une musculature que je n’avais pas soupçonnée auparavant. Sa pilosité extrême me rendit jaloux. De sa main droite, il cravachait les fesses surélevées et rougies de ma femme, qui de ses cris ponctuait ses coups. En rythme, je voyais ses hanches propulser son sexe que je ne pouvais que deviner ; un claquement régulier et sonore résonnait dans la pièce. Les lèvres entrouvertes de cet homme étaient plutôt silencieuses, et les yeux mi-clos ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’il ressentait à être dans cette position.

Alignés devant moi, la créature unique qu’ils formaient ensemble, le centaure qu’ils étaient devenus me faisait très précisément face. Alors que le corps de ma femme était proche du bout de mes pieds, je ne pouvais que regarder le spectacle de cet homme au solide corps de bronze enfilant mon épouse devenue une extension de sa bite. Celle-ci, dorée par la sueur abondante sous la lumière jaune, donnait de plus en plus de la voix. Elle était certainement incapable en ce moment de faire autre chose, de penser à autre chose qu’à sa jouissance.

— Oh ! Aziz, Aziz ! AZIZ !

Ne savait-elle donc dire que cela ? Elle partit soudain dans un grand cri, prise de tremblements, emportée par l’orgasme. Ledit Aziz soupira fortement.

— Ah !.. Chienne.

Après quelques tressautements, et ce simple mot, il s’écroula sur elle comme sur un matelas. Il se redressa au bout d’une minute et recula. Je le vis glisser sa main entre les cuisses de ma femme haletante, s’y activer un peu, ce qui arracha quelques gémissements fatigués à celle-ci. Il retira alors sa main, la leva devant lui pour l’exposer à la lumière blafarde. Elle était luisante de mouille et de sperme mêlés.

— Voilà. C’est ta femme.

Il n’ajouta rien immédiatement. Cette phrase suffisait. La garce gardait la tête baissée.

— L’histoire, elle est venue il y a quelques semaines. Elle voulait acheter un sweat pour son mari. Elle en a profité pour essayer des habits pour elle, et m’a demandé mon avis. Je craque un peu sur les femmes un peu rondes, avec des gros seins, et qui aiment bien crier. Bon, ça, je ne le savais pas au début, mais je l’ai vite découvert… Bref, je lui ai fait essayer quelques trucs, j’ai plaisanté, je lui ai offert un café, et une heure après je rigolais bien avec elle, comme là ce que tu viens de voir. C’est ça que tu voulais savoir, non ?

Elle avait cédé en une heure à peine. Il ne l’avait pas séduite, il l’avait presque directement baisée. Là, dans son arrière-boutique. J’étais en colère de ce qu’elle avait fait, mais en quinze ans de mariage, elle ne m’a jamais laissé croire qu’elle était une pute. Moi-même, j’ai dû faire pas mal d’efforts pour la conquérir. Qu’est-ce qu’il avait bien pu lui raconter ? Elle était en manque, ou était-il vraiment si fort ? Je lui faisais régulièrement l’amour, pourtant…

— Comme tu n’es qu’un connard, et que tu es venu foutre le dawa dans ma boutique, j’ai voulu t’expliquer un peu comment tourne ton monde. T’as vu, bien en face, je l’ai mise bien profond dans ta femme. C’est comme ça toutes les semaines, depuis un mois. Je lui ai demandé si elle voulait, elle a dit OK pour se prendre ma grosse queue devant toi. Hé, salope, explique à ton mari pourquoi t’as bien voulu que je te fourre devant lui.

— J’ai pas pu refuser…

— Explique mieux que ça.

— Il me fait trop jouir… Il m’a dit que si je ne le faisais pas, il se vengerait !

— Menteuse ! Dis la vérité !

Il enserra sa taille de ses mains puissantes. Elle poussa un petit cri, et replongea sa tête. Ses paroles s’entrecoupaient de sanglots.

— C’est trop bon ! Je ne peux pas refuser, c’est tellement bon ! J’ai des orgasmes ! Dès que je pense à lui, mes cuisses s’ouvrent et je deviens humide. Je l’aime…

— T’as entendu ta femme ? Elle m’aime. Ou plutôt, elle aime ma bite. Chouffe.

Il venait de se lever. Je vis alors un morceau formidable, un sexe qui, bien que mou, offrait une impressionnante sensation de puissance. Sans avoir de compas dans l’œil, sa colonne était aussi longue que mon sexe en érection. Ce dernier d'habitudei offrait un fier 19 cm, mais là, dans ces circonstancesje le sentais rapetisser un peu. De plus, à l’instar de son corps, le membre était épais, large, gras, et luisant. Je voyais des reflets faire scintiller un fil qui le reliait encore à ma femme, qui restait toujours la tête dans les pantalons, le cul relevé par un tas d’habits.

Il me laissa le temps d’admirer cet impressionnant organe, parfaitement visible car débarrassé de tout poil. Cela faisait un contraste saisissant avec son ventre et sa poitrine noirs de virilité. La mienne, en comparaison, en prenait un coup. Moins bien doté de ce côté-là, moins bien équipé aussi, je m’étais également montré moins fort, et je commençais à craindre d’être aussi un amant moins performant. Tout à l’heure, j’ai pu voir l’un des plus beaux orgasmes que ma femme ait eu. Je bouillonnais de rage.

Lui fit le tour du tas de linge. Il s’assit par terre, jambes étendues perpendiculairement aux miennes, et posa la tête de ma femme sur ses cuisses. Elle amena sa main à saisir sa hampe, et fit d’elle-même les quelques centimètres qui lui manquaient pour prendre son sexe en bouche. Il ne lui fallut pas longtemps pour gémir un peu : elle aimait cette position soumise. J’explosais ! Je ne l’insultais pas elle, je l’invectivais lui.

— Enculé ! Connard ! Espèce d’enfoiré je vais te défoncer la gueule ! Je vais te baiser, toi et toute famille ! Ta mère c’est une...

Je n’eus pas le temps de finir. Une grande claque me fit fermer la bouche. Une seconde. Une troisième. Bien fortes. J’avais mal.

— Ferme ta bouche. Tu vas pas me casser la gueule, parce que c’est moi qui t’ai fracassé tout à l’heure. Même quand t’as tapé j’ai pas eu mal, pédé. Moi, je suis gentil avec ta femme, et c’est comme ça que tu me remercies ? Comment je dois le prendre, hein ? Tu viens, tu casses tout, et tu m’insultes ? Tu joues l’homme ? T’as vu, je t’ai mis trois claques maintenant tu te tais. Alors c’est qui, l’homme ?

Il s’était détendu. Il me donnait des petites claques. Je ne pouvais rien faire.

— Baisse les yeux.

Je baissai les yeux. Je sentais des larmes chaudes courir sur mes joues. J’entendis un claquement de doigts, puis vis ma femme venir à moi. Elle attrapa l’élastique de mon caleçon et entreprit de me le retirer.

— T’as vu, t’as rien entre les jambes.

Il posait son pied nu sur mes parties génitales recroquevillées, comme si elles voulaient se cacher. Je sentais ses orteils à l’intérieur de mes cuisses. Je regardais son pied comme s’il était le centre du monde. Mon sexe avait disparu dessous. J’entendis des bruits de succion à quelques centimètres de mes oreilles. Mes larmes redoublèrent. Je poussai un sanglot.

— Lève les yeux.

Je les levai, et mon regard s’arrêta à hauteur de sa bite. Elle était dressée, fièrement. Elle était effectivement plus longue, plus épaisse que la mienne, sans commune mesure. Les lèvres de ma femme couraient sur le gros membre d’Aziz. C’est avec délectation qu’elle prenait son gland en bouche entre deux coups de langue. Elle levait les yeux vers le maghrébin. Sa voix descendit doucement jusqu’à moi :

 

MON HUMILIATION ET MON RETOURNEMENT

 

— T’as vu comme elle m’aime… C’est foutu mec, ta femme ne t’aimera plus jamais comme avant… Il paraît que la vie, c’est une compétition… Il y a des gagnants, il y a des perdants… C’est la défaite que je vois sur ton visage… Tu comprends ? Il faut que t’acceptes, maintenant…

Je sentais sa main caresser mes cheveux. Il ramassa quelques bouillons de larmes sur son index qu’il plaça devant moi. Je baissai les yeux en l’acceptant en bouche. Mon corps était entièrement relâché. J’avais abandonné, devant l’évidence. J’avais beau être prisonnier, je me sentais lâche, faible. Je me sentais peu de choses. Je pleurais de nouveau, en regardant le pied d’Aziz qui lentement me caressait la queue tantôt avec sa plante de pied, tantôt avec son talon. Je commençais à bander. Il prit mon sexe entre son gros orteil et le suivant pour le soulever, et faire quelques va-et-vient. Il m’écrasait légèrement les testicules, la douleur irradiait peu à peu mon cerveau, mais une moite chaleur montait également de mon bas-ventre.

— Tu sais, on ne peut pas être à deux sur la même femme. Je pense qu’il vaut mieux qu’elle ait un seul homme, c’est plus sain. Je crois qu’elle n’est pas assez maîtresse d’elle-même pour choisir, alors on va décider toi et moi rationnellement.

Il parlait calmement, doucement. Je l’écoutais et relevais un regard humide vers lui. Il se mit à genoux, après avoir écarté mon épouse et mes jambes. Il approcha son sexe du mien. Il était beaucoup plus épais, et avait une ou plutôt deux belles longueurs d’avance. Ma gorge se nouait, mes sanglots reprirent et je devenais un peu mou.

— Regarde. Tu vois la différence. En plus, apparemment, tu n’arrives pas à rester très dur. Je suis aussi plus viril, plus fort. Je peux la protéger. Je peux la faire jouir. Et j’ai de l’argent.

Il avait raison.

— Viens ici, chérie.

Elle se plaça à ma gauche, à genoux. Il la repoussa gentiment, pour qu’elle bascule en arrière, les jambes écartées. Pendant qu’elle regardait nos deux sexes, je vis le con de la mère de mes enfants, rougi par une chevauchée terrifiante, menée par un étalon viril, s’ouvrir pour laisser s’échapper sur le carrelage un flot de sperme épais que j’eus été bien en peine de fournir.

— Voilà. Je suis plus un homme que toi. Tu comprends ?

Je pleurais. Il mit sa main dans la chatte de ma femme, et y remua lentement les doigts. Elle fermait les yeux. Puis il les retira, luisants de son épaisse crème. Il les plaça devant nos yeux à tous deux, et admira son œuvre.

— Regarde…

Il avait littéralement rempli ma femme, lui avait fait oublier ma queue. Il lui faisait faire ce qu’il voulait, une chienne obéissante. Son mari n’était pas capable de la protéger. Son mari était attaché à un tuyau, son amant entre les cuisses, en train d’admirer le sperme d’un autre homme qui lui apprenait ce qu’était la virilité. La leçon n’était pas finie.

— Tiens. On partage.

Il dirigea lentement ses doigts vers ma bouche entrouverte, et les lava sur ma langue. Je goûtais pour la première fois du sperme, et non seulement, ce n’était pas le mien, mais c’était celui de l’homme qui avait conquis ma femme, et en plus je ne faisais rien. J’étais humilié, car j’étais devenu incapable d’agir. J’avais abandonné. Inexplicablement mon sexe reprenait du volume.

Ses phalanges allaient et venaient sur ma langue, dessus, sur les côtés, dessous. Il replongea ensuite sa main dans ma femme, en retira encore une belle coulée, et revint à ma bouche. Cette fois-ci, il badigeonna mes dents. Il défit en même temps les liens qui m’enserraient les bras. Ceux-ci tombèrent, ballants.

— Tiens, c’est du dentifrice, c’est pour l’haleine… Attends, il te faut une brosse à dents aussi.

Le gros maghrébin se releva. J’avais son sexe, dur, en face de moi. Je pris peur, mais il m’attrapa la tête entre ses deux mains puissantes et enfonça d’un coup sa puissance virile au fond de ma gorge. Mes dents s’écartaient seules sur son passage, ma mâchoire se distendit. J’eus un haut-le-cœur. Il avait d’un coup pris possession de ma bouche vierge ! Un homme m’utilisait pour glorifier sa bite ! Je ne voulais pas me laisser violer, et essayais de repousser ses hanches de mes mains, mais je me trouvais impuissant, une fois encore, devant sa force. J’avais beau être musclé, cet homme était beaucoup plus fort que moi. Il commença de longs et puissants va-et-vient. Je subissais sa loi en geignant avec de petits cris aigus et en m’étouffant à moitié.

— Allez, suce salope, suce… Quoi, t’es pas content ?

Il s’arrêta rapidement et se retira.

— Tu te plains ? Tu te plains de quoi ? J’t’ai niqué, j’ai niqué ta femme, alors suce !

Il appuya son ordre d’une grange claque cuisante et sonore. Il prit mon menton entre ses doigts, et releva mon visage vers le sien. J’essayai de reculer la tête.

— Non…

Une deuxième gifle me projeta immédiatement à terre. Il me releva par les cheveux. Lui se tenait les mains sur les hanches, la verge en avant, droite et fière. Moi, je tenais mes joues entre les mains, les jambes relevées, je pleurais bruyamment, comme un enfant. De la nasse s’écoulait de mes narines, et mes yeux étaient des rivières.

— Alors, tu suces ?

Un petit « oui » de défaite lui répondit.

Il patienta une seconde.

— Alors, j’attends.

D’un rapide mouvement du bassin, il secoua sa puissante colonne sous mon nez. Alors moi, un solide rugbyman de quarante ans, musclé, poilu, qui était tout à l’heure encore prêt à abattre l’amant de ma femme, me mettais à genoux devant lui, baissais les yeux, soumis, pris doucement son sceptre dans mes deux mains et posai mes lèvres sur son gland, qui il y a peu inondait la matrice d’où provenaient mes enfants.

— C’est bien kahba, suce salope, tu vas voir ce que c’est qu’un homme…

Il m’avait battu. Humilié. Il m’avait pris ma femme. Réduit ma force à néant. Démontré mon infériorité. Fait chialer comme un gosse. Et maintenant, je le suçais avec application devant ma femme souillée de son sperme. J’avais englouti le gland et progressé sur la hampe. Je n’arrivais pas à aller très loin. Il me mit la main droite sur la tête, et me dit de me dit de faire attention avec mes dents. J’ouvrais au maximum les mâchoires. Je lui obéissais.

Il me faisait faire de petits allers retours, reculait ses hanches et avançait sa pine alternativement. Je sentais son ventre écraser mon front. J’étouffais un peu sous son gras, et cela me faisait bien sentir ma soumission face à cet homme. Bientôt, il me prit la tête entre ses deux mains pour accélérer le mouvement. Je n’avais pas dû me débrouiller très très bien. Son vît allait de plus en plus profondément, jusqu’à pénétrer ma gorge. Je ne tenais plus en équilibre, et mes mains se raccrochaient à présent à ses cuisses velues et puissantes. Je ne maitrisais plus ma bouche, qu’il utilisait selon son bon vouloir, comme un roi, et des flots de salive débordaient mes lèvres pour couvrir mon menton et tomber sur ma poitrine. Lui-même, sa virilité s’ornait de mon humidité buccale. Je ne pourrais plus jamais me regarder dans une glace sans me rappeler cette scène.

— Ah… Connasse, lèche mes couilles ! Mets-toi à quatre pattes !

J’obéissais. Je plaçais ma tête entre ses deux imposantes cuisses, et la tournais pour placer ma langue sous ses bourses. Je rendais hommage à sa capacité reproductrice également bien dotée, et goûtais au goût un peu rance de ses testicules. Elles étaient déjà humides de ma première fellation. Je sentis mon dos ployer sous le poids de son ventre. Mon visage s’écrasait entre ses cuisses, ses couilles et son chibre, je m’affaissais sous son poids, et mes fesses s’écartaient mécaniquement, lui offrant une entrée royale vers mon petit trou qu’il commença à caresser.

Je me débattais. D’abord, parce que je ne voulais pas qu’on me fasse ça, ensuite, parce que j’étouffais. J’étouffais réellement. Ne parvenant plus à respirer, j’abandonnais la lutte tandis que des étoiles apparaissaient devant mes yeux. Soudain, ma tête trouva de l’air. Elle venait de passer entre ses cuisses. Je pris de profondes inspirations, le corps abandonné à Aziz. Celui-ci me pris par le ventre, me fit coulisser et me reposa sur le dos.

— Tu vas voir, je suis gentil. Je ne vais pas te faire de mal. Je veux te faire du bien. Je sais faire beaucoup de bien, tu sais. Mais je sais que ce n’est pas facile, alors je vais te trouver quelque chose à faire pour faire passer la pilule.

Il prit la tête de mon épouse, et la fit s’assEoir sur mon torse, à quelques centimètres de ma bouche. Pendant qu’il relevait mes jambes sans force, il lui ordonna d’approcher sa chatte gluante de ma bouche. Je pouvais toucher mon épouse parce qu’il lui avait ordonné de se donner à moi.

Je goûtais sa liqueur à elle, et les restes de sa saillie à lui. C’était amer et fort. Il avait pris son droit sur elle. J’entendis un crachat, qui atteignit ma rondelle. Il allait prendre le sien sur moi. En attendant, ma langue qui connaissait le sexe qui avait perforé cette chatte fouillait celle-ci comme pour retrouver un peu de masculinité, ou peut-être en creux l’empreinte de son maître. Je n’avais plus de souveraineté sur ce con. J’entrepris de laper le clitoris qui se présentait à moi, après avoir intégralement nettoyé sa matrice. Elle gémissait.

Les doigts d’Aziz couraient autour de mon petit trou. Il le chauffa quelques minutes, puis il commença à picoter. Je tentais d’agripper les jambes de ma femme, mais ne trouvais que celle de l’homme assis sur mon torse.

— Tu commences à aimer, hein…

Un grognement négatif essaya de se faire comprendre, mais en réalité je devenais moite et mon corps commençait à remuer. Son index grattait ma corolle. Il éclata de rire lorsqu’il vit entre mes jambes complètement écartées mon anus sauter vers son doigt. J’avais envie de le recevoir.

— Attends, lève-toi chérie s’il-te-plaît… Alors, t’as compris mec ?

Un silence, je ne le voyais pas mais le devinais souriant, satisfait. Cela s’entendait à son petit air sardonique.

— Alors, c’est qui le maître ? C’est qui l’Homme ? Celui qui peut mettre sa bite partout ?

Il continuait à tourner. Je répondais d’une voix rauque :

— C’est toi, c’est toi Aziz… Aziz…

J’avais chaud, mes jambes et mon bassin se tournaient tout seuls. J’avais les yeux mi-clos.

— Alors, qu’est-ce que tu veux ?

Mes idées n’étaient pas claires, mais l’instinct me faisait lui répondre.

— S’il-te-plaît… S’il-te-plaît… Je t’en prie… Mets-moi un doigt ! J’ai envie ! ALLEZ ! S’IL-TE-PLAÎT AZIZ !!!

Ces deux dernières phrases criées exprimaient bien à quel point cet homme avait su me subjuguer. Ma femme rit.

— D’accord, d’accord, je vais m’occuper de toi. Mais toi aussi il faut que tu t’occupes de moi. D’accord ? Alors, pendant que je m’occupe de ton cul, tu vas t’occuper du mien.

Il plaça ses fesses au-dessus de mon visage. Je projetai ma langue à la rencontre de son anus, sans dégoût mais avec envie, et rapprochai son très large postérieur de mes mains. Il y avait un goût un peu âcre, qui m’excitait encore plus. Moi sitôt mis à ma besogne, lui, entreprit mon trou. Il y fit pénétrer une phalange, qu’il fit lentement tourner. Il prenait tout son temps. Mon sexe était bouillant, mais je ne pouvais m’en occuper. A la place, je poussais des gémissements plaintifs, en écartant mes jambes comme si je voulais me déchirer moi-même en deux.

Bientôt, il fit entrer un doigt entier dans mon fondement. Il tourna pour élargir mes possibilités, et lorsque je fus un peu assoupli il y joignit un second. De ces deux doigts, il entreprit de me masser la prostate. Je progressais dans la jouissance. De son autre main, il caressait sa première femme, s’occupait de ses tétons, faisait courir sa paume sur sa nuque qu’il abaissa goûter sa verge. S’abaisser pour lui, le terme est bien choisi. Elle s’était abaissée pour vénérer sa virilité, je m’étais abaissé à nettoyer ce qu’il a de plus sale. On s’abaisse pour lui. Cet homme me rendait folle, il avait un talent immense pour s’occuper des femmes.

Une seconde… Je ne suis pas une femme ? Sweet bubble gum pink rosebud hole

Une caresse prodiguée par les doigts d’Aziz, courant dans mon rectum, fit s’évanouir cette réflexion. Je gémissais pour de bon, en continu. Un troisième vint rejoindre peu après ses deux frères. Pendant ce temps, ma langue s’enfonçait de plus en plus loin, visitait plus profondément son intimité. J’avais envie, en léchant ce cul, de lui sucer la bite. Comme je ne pouvais pas le faire, c’était son anus qui contentait ma faim. Car c’était cela : j’avais faim de lui. Soudain, ses doigts arrêtèrent leur mouvement. Il les retira. J’eus brutalement froid, et ressentis un vide profond. De la déception, aussi. Il se leva.

Je le regardais l’œil implorant. Comme une vulgaire salope, je me touchais les tétons, effleurais ma bite qui à présent ne m’intéressait plus. J’avais envie de lui. Je voyais son sexe viril et imposant, doté de tous les droits, son ventre proéminent qui me dominait, ses cuisses puissantes et velues. Lui me regardait de toute sa hauteur. Il mit son pied sur ma bouche. Avec délectation, dans une totale soumission, je passais ma langue entre ses orteils en gémissant. Je passais lascivement mes mains entre mes cuisses relevées, et approchais mes doigts de mon trou. Je le trouvais souple, humide et brûlant.

D’un petit coup, il me fit tourner la tête et abandonner ma tâche. Il se dirigea sans dire un mot vers le tas où se trouvait ma femme tout à l’heure. Il me regardait, impérial, méprisant. J’obéissais. Arrivé à sa hauteur, tête baissée, il m’attrapa par la bouche, me cracha soudainement au visage.

— Chienne.

Puis il me projeta sur le tas de linge : il avait compris qui j’étais, au fond. Je poussai un petit cri de surprise. Sur le ventre, les bras me retenant faiblement au tas de linge autour de moi, j’avais les fesses relevées, et le visage au niveau du sol.

Tournant légèrement la tête, je le vis se mettre à genoux, ses jambes enserrant les miennes, et son gland dépasser de ma raie. Il m’asséna une claque sonore sur la fesse.

— Ecarte tes fesses, grosse pute.

Encore une fois, je m’exécutai. Je baissais les yeux, rouge de honte. Aziz allait m’enfiler, comme une femelle. Et moi, je n’attendais que ça. Il avait raison. Je mouillais. J’étais une salope pour lui. Aziz rigolait. Il me faisait lécher les doigts avec lesquels il m’avait doigté et se moquait de moi :

— Alors c’est ça, le mec qui voulait me défoncer tout à l’heure ? C’est bien un gawri ça, trois claques et ça ferme sa grande gueule, ça baisse les yeux. Et t’as trouvé ma bite, quand t’as baissé les yeux, hein ? T’as vu, la mienne c’est une vraie. Ah, mais en fait, c’est ça ? T’es pas jaloux parce que ta femme te trompe ? T’es jaloux parce que tu voulais la goûter toi aussi ? Ah c’est bon une bite d’arabe hein ? Tu la veux dans ton cul, hein, maintenant ? Alors, c’est qui l’homme ?

 

MON  RAVISSEMENT

Je n’en pouvais plus. J’étais humilié comme jamais, il m’avait battu, pris ma femme, mon honneur, et maintenant il voulait faire de moi sa femme. Mon anus s’ouvrait et se fermait tour à tour. Il était devenu vivant. Il avait faim. Son immense sexe coulissait dans ma raie humide. Sa main gauche pinçait mes fesses. Il prenait son droit.

— Alors, c’est qui l’homme ici ? Réponds !

— C’est toi, oh oui c’est toi, oui…

Ma voix mourante exprimait autant ma défaite, ma soumission que mon désir.

— Vas-y, je veux t’entendre me supplier, putain…

Je ne tenais plus. Alors que ma femme s’installait à la place que j’occupais tout à l’heure, je l’implorais sans honte, le cul ouvert.

— Oh prends-moi, prends-moi, vas-y, j’ai envie de ta grosse bite, je veux que tu me plantes, tu m’as fait jouir avec tes doigts, prends-moi, je ferai tout ce que tu veux, je te lècherai les pieds, je te téterai la bite mais pitié, BAISE-MOI !

J’essayai de happer sa bite avec mon cul. Mais ce n’était apparemment pas suffisant. En face de mon corps haletant, ma femme se doigtait avec délectation, son regard plongé dans le mien.

— Explique pourquoi c’est moi qui te baise, pourquoi c’est moi qui baise ta femme, et pas l’inverse, grosse tantouze.

Je dégoulinais littéralement. Je lui aurais dit n’importe quoi.

— Parce que t’es trop fort, parce que t’as une grosse bite, parce que tu baises trop bien ! T’es un homme ! Un homme ! Je fais pas le poids, t’es trop fort et trop viril ! Allez ! ENFONCE-MOI TA BITE ! Je t’en supplie, enfonce-moi ta bite…

Je commençais à pleurer. Lui donnait le rythme de mes phrases en me claquant les fesses. Il faisait durer le plaisir, je ne pouvais rien faire qu’attendre son bon vouloir, j'étais là, concubine jetée sur un tas de linge.

— Et toi, t’es quoi ? Hein ? Allez, dis-le.

— Je suis une gonzesse !

— Non, t’es une PUTE !

LE MOMENT

Une douleur fulgurante me traversa le cerveau. J’avais les yeux écarquillés, et le souffle coupé. Ma femme se pencha sur moi :

— Il en a enfoncé la moitié d’un coup. Tu dois avoir mal. Mais ne t’inquiète pas, tu aimeras. Toutes les femmes aiment.

Il me caressait le dos, lentement, en me parlant doucement.

— Calme, calme, détends-toi, ça va aller, je vais bien m’occuper de toi, va. Tiens, mange ça.

Il me présenta ses doigts à sucer. Ma femme reprit son poste d’observation.

Après quelques instants, je commençais à me détendre. Il le sentit, et commença à reculer doucement sa bite, avant de me la ré-enfoncer avec force mais sans violence. Je me sentais… envahi. J’avais quelque chose de chaud, vibrant et puissant qui prenait possession de mon fondement. Des mains rassurantes me retenaient par les hanches. Un homme s’occupait de moi. Il prenait quelques instants pour me flatter la nuque, ou caresser mes flancs. Il jouait quelques secondes avec mes seins. Mon souffle revenait. Il devenait chaud, et profond… Je soupirais bientôt. Lorsqu’il était entré, je me sentais rempli. J’étais bien… Lorsqu’il se retirait, je me sentais vide, et je voulais qu’il reprenne sa place. Mais c’était la lente caresse de sa virilité dans mon humidité qui me procurait le plus de plaisir.

Je commençais à sentir quelque chose au niveau des couilles. Une sorte d’électricité passagère. Soudain, dans un râle, il plongea entièrement en moi en m’attirant à lui.

— Voilà, c’est à moi.

Ses lourds testicules recouvraient les miens, plus modestes. Son bassin collé au mien témoignait de sa domination sur moi. Son ventre poilu qui écrasait à présent mes reins, ses jambes qui contrôlaient les miennes, ses larges mains qui lui permettaient de m’enfiler m’assuraient de la présence d’un homme qui faisait ce que tout homme doit faire : utiliser sa supériorité.

Il ressortit la longueur de son sexe, et la replongea avec vigueur et détermination dans mon trou béant. Etait-ce lui qui m’empalait, ou moi qui servais de gant à sa bite ? Je lui servais de sac dans lequel plonger sa virilité. Il accéléra peu à peu le mouvement, et moi je commençais à ahaner mon plaisir. « Ah, putain, t’aimes ça hein ? Regarde chérie, ton mari, comment il aime se prendre ma queue… » Ma femme prenait son vagin humide d’une main, et s’agrippait au tuyau de l’autre. Moi, je prenais un tuyau dans mon cul trempé et attrapais le linge pour m’y retenir. Mais cela ne servait à rien. Aziz imprimait sa vitesse, de plus en plus grande, et c’est lui qui retenait réellement mon corps de ses mains et ses bras puissants.

— Ah la pute !

Un bruit de succion se faisait à présent entendre, entre deux percussions par ses couilles. Mes fesses aussi claquaient. Je glissais tellement que sa verge sortit plus d’une fois de son fourreau. Elle en retrouvait tout aussi naturellement le chemin. Ses mains se dérobant également, il me prit par la tignasse. Moi, j’étais enculé en profondeur et je criais, le visage levé, les yeux fermés. Le plaisir avait fini de m’envahir ; ma femme avait raison, j’aimais ça. J’aimais la manière dont il me chevauchait. J’aimais le sentir entrer, ressortir, prendre possession de moi. J’aimais être soumis à son sexe, plus imposant que le mien. Et j’aimais me faire prendre devant ma femme, voir ma virilité complètement anéantie devant celle à qui je faisais si souvent l’amour.

Il m’insultait en me baisant, entre deux souffles.

— Ah grosse chienne ! Tu voulais me niquer hein ! Qui c’est qui nique qui, hein, maintenant ? Grosse pute ! Tu l’aimes ma bite, hein connasse ? T’en veux hein ? T’en as plus rien à foutre de ta femme maintenant, tout ce que tu veux c’est le foutre du gros Aziz, hein salope ! A me lécher les pieds comme une pute, t’aimes ça hein ? Hein ! HEIN ?!?

L'ORGASME DECISIF QUI ME "RETOURNE" 

Je sentais quelque chose monter profondément de mon ventre, toucher mon sexe vibrant avant d’atteindre à mon cerveau et d’exploser partout en même temps. Pour la première fois de ma vie, j’avais un orgasme homo. Je hurlais mon bonheur, mon pénis débandé répandait son sperme sous la loi d’Aziz à qui mon anus gémissant révélait l’étendue de son talent.

— Ah ah gros pédé ! T’aimes ça la bite d’Aziz dans ton cul sale garce ! Kahba ! Elle te fait jouir hein ! » Je vis ma femme essoufflée prendre son pied à l’écouter, et à me voir soumis à son pieu. Il accéléra sa cadence, affermit son emprise sur mes cheveux et d’un coup se bloqua dans mon cul. « AAAHHHHHH !

Son long cri de jouissance retentit dans la pièce, et je sentis ses longs jets de foutre crémeux repeindre mon cul à ses couleurs. Il s’était enfoncé avec force, mais finit par se détendre. Il laissa s’échapper cet unique mot : « chienne », avant de s’effondrer sur mon dos. J’avais encore son sexe épais planté dans le cul, et j’étais en nage. J’attendais le bon vouloir de mon maître. Il ne se relevait pas. Ma femme avait fini de jouir. Elle me dit de rester là en attendant qu’il se réveille : il dormait donc. J’attendais sagement le temps que mon homme se relève, pendant que mon épouse rassemblait nos affaires et préparait un café bien serré.

J’entendis dans mon oreille un souffle fatigué, au bout d’un petit quart d’heure.

— Salope, va.


Aziz se releva en s’appuyant sur ma tête, la plongeant dans les jeans. Il garda les doigts agrippés dans mes cheveux afin de me redresser.

— Maintenant, nettoie avec ta langue. Fais attention à tes dents, ou je te cogne.

Tombant à genoux, je m’appliquais immédiatement à reprendre son membre en bouche, mû autant par la peur que par la gratitude. Je léchais partout, avec goût cette fois. Oui, j’aimais la bite d’Aziz. Son sperme avait un goût plus fort que ce que j’avais cru en m’occupant de la chatte de ma femme. Il y avait aussi une forte odeur de cul, et un goût que je supposais provenir de ma merde. Je nettoyais.

— Dégage du linge, t’as le cul qui dégouline.

Il me repoussa du pied vers le carrelage. En plaçant une main sous mon cul, je sentis celui-ci encore ouvert qui se vidait lentement. Je commençai à me branler avec la main qui avait recueilli le sperme.

— Suce mieux.

Aussi étonnant que cela puisse paraître, il reprenait encore de la vigueur. Je m’exerçais à être meilleur encore, et faisais tourner ma langue autour de son gland, comme me le faisait parfois ma femme. Je le lui tétais en levant les yeux par-dessus son ventre, lui lançant un regard excité.

— T’essaies de me provoquer, salope ? Tu la veux encore, hein ? Tu la veux dans ton gros cul tout blanc ?

Il reprit son sexe, et me donna des petits coups de queue sur les joues quelques instants. Je poussai un petit cri surpris et légèrement indigné. Il bloqua alors ma tête entre ses mains, et s’enfonça d’un coup dans ma gorge. Comme précédemment, je dus me tenir à ses cuisses pour ne pas tomber. De nouveau, de la bave s’échappait de ma bouche. Son sexe devait être bien propre à présent.

Ma femme ??? dit :  

— Il est insatiable. Le lundi, c’est trois ou quatre fois dans l’après-midi. Sans compter le reste de la semaine, quand je viens ici à midi, quand il passe au bureau ou même à la piscine il y a deux semaines, quand tu t’occupais des enfants.

Ma femme venait de rentrer avec le café.

LOPé, C'EST CA

— Ecoute petite pute, le boss c’est moi. Maintenant, ta femme, tu l’oublies. Tu la touches plus, sinon je te défonce, pédé. C’est moi qui la nique. C’est moi qui te nique aussi. Mais tu vas pas te plaindre, t’aimes ça salope.

Constatant qu’il avait raison, je grognais mon accord.

— Mais faut gagner le droit de me sucer la queue, petite soumise. Alors maintenant, après ton taf, tu viens direct ici faire mon ménage.

Je ferai reluire ton sol et ta bite, Aziz. Il accélérait la cadence, sans pitié.

— Tu feras ce que je te dirai, quand je te le dirai ! Je te retourne je te baise où je veux grosse putain ! Tu t’habilleras comme je dis, fini de jouer à l’homme ! OUVRE GRAND TA GUEULE CONNASSE ! Devant moi tu baisses les yeux pédale ! Maintenant, AVALE !

Comme pour confirmer cet accord, il se déversa à jets encore épais dans ma bouche. Obligé par sa force, convaincu de sa supériorité, j’avalais comme une catin et me répandais à ses pieds. J’étais sa femme.


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5 / 5

 

  ohthentic: touch  

  Voilà, Claude, il faut absoument qu'Isa parle à Ahmed. Je n'en peux plus. 

 


commentaire (si vous avez encore du souffle ! -lol-) "Daniel, Ahmed te baise ? je me souviens plus."

Par DANIELOU - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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