Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 21:27

Je tombe mon pantalon et présente ma queue. Elle me paraît petite maintenant. Je pénètre avec une facilité déconcertante. Je la sens à peine autour de ma bite. C’est chaud, c’est bouillant, mais je ne sens pas la pression habituelle. Celle que je connais si bien. Je ne bute pas non plus dans le fond, toute ma longueur y est, mais mon gland reste libre et sans contrainte. Je suis cocu, je le ressens physiquement.

http://revebebe.free.fr/histoires/rvb140/reve14043.html 

Un homme fantasme pour être cocu. Sa femme, plus audacieuse , devine ses fantasmes et les réalise. Il en voit sent les preuves sa bite nage maintenant dans le vagin de sa femme.

À pas de loup, elle était entrée jusque dans le petit bureau de l’appartement que nous occupions depuis huit mois. Celui-là même où se trouve l’ordinateur. C’était un samedi de shopping. Sauf qu’elle était devant moi, penaud, la queue à la main devant un porno et un récit de femme infidèle. Pas de scandale, pas d’esclandre, pas son genre. Elle tire l’autre chaise, s’y pose. Sa main attrape ma virilité devenue molle. Elle se met à lire silencieusement le texte. Silence perturbé par les gémissements du film. Mon sexe est serré, griffé, agité, il reprend vie. À la fin de la lecture, elle clique sur le site, observe les textes signalés comme lus. En lit quelques extraits. En me jetant parfois un regard que je ne saurais décrypter.

— Pourquoi tu ne m’as jamais dit que tu voulais être cocu ?

— Je… je sais pas trop ! C’est gênant !

— Oui ! C’est gênant, tu as raison. Mais je crois que nous allons rapidement remédier à cette gêne.

— C’est-à-dire ! On va faire quoi ?

— Toi rien ! Moi, je vais aller me faire baiser. Tu sais que j’adore ça et j’ai envie de faire plaisir à mon petit mari. Tu sais aussi que je t’aime comme une folle. De toute façon, je me doutais bien que tu étais comme ça. Je connais bien les hommes, tu le sais aussi, ça ! Depuis qu’on est ensemble, les fois où tu es le plus excité, c’est quand je te raconte mes parties de cul avec d’autres mecs ou quand on croise un de mes ex. J’en ai connu des mecs et des bites, donc un peu plus, un peu moins, si toi et moi on prend du plaisir, je suis OK. J’y pense depuis un certain temps, alors voilà comment je vois les choses. Je viens de me faire mettre deux nouveaux piercings, ils sont sur chacune de mes lèvres. Voici un petit cadenas, quand tu auras envie que je baise avec un autre mec, tu l’enlèveras. Si tu ne veux pas, tu me le remets. Je choisis qui et où. Et ce n’est pas parce que tu me l’enlèves que je le ferai forcément, il faut que j’en aie envie et qu’un mec me plaise. Si tu es d’accord, tu prends le cadenas, sinon, laisse-le sur le bureau et passons à autre chose.

 

Pendant son long monologue, elle m’avait exposé les deux anneaux dorés posés sur les grandes lèvres glabres de sa chatte. Elles étaient gonflées par le traitement qu’elles venaient de subir. Il lui faudrait une à deux semaines pour s’en remettre. Elle accrocha et décrocha le petit cadenas, pour montrer la manœuvre. Je m’y essayai, faisant très attention de ne pas faire mal à ses lèvres endolories. Ce qui fut difficile. Elle me dit qu’elle était excitée. Que la douleur lui donnait envie de baiser, mais que le mec qui lui avait fait lui avait déconseillé de le faire pendant quelques jours. J’avais le cadenas en main :

 

— Alors, tu me le mets, tu le gardes ou tu le reposes ?

— Je le garde !

 

Ses yeux brillaient d’excitation. Elle plongea sur ma bite et me suça comme une furie. Elle me fit jouir sur mon ventre.

 

— Je retourne voir le perceur. Tu sais, c’est celui qui est à l’angle de la rue. Il a bandé pendant toute l’opération. Il a dû m’essuyer plusieurs fois le minou tellement je mouillais. Il a fait du bon travail, il mérite bien une petite gâterie, tu crois pas ? Tu seras bientôt cocu, mon chéri, plus que quelques minutes. Ne te branle pas, je reviens tout de suite

 

Elle retira son soutien-gorge et quitta l’appartement sans me laisser répondre. Moi, je bandais de nouveau.

 

Effectivement, elle ne fut pas longue. Elle revint un quart d’heure plus tard. Elle me roula une grosse pelle qui sentait la bite. Elle-même sentait le sperme. Elle ouvrit sa veste et je la découvris souillée de semence. Son décolleté en était recouvert. Elle le retira ainsi que mon t-shirt et se colla et se tortilla contre moi, comme pour me faire partager ce jus d’homme. Je bandais toujours. Elle m’installa dans le fauteuil du bureau et entreprit de me faire ce qu’elle avait fait à l’autre. Une bonne fellation, elle me mit entre ses seins pour me finir en branlette espagnole, comme lui, sauf que moi, je baignais dans sa semence. J’ai joui entre les seins de ma femme, mélangeant nos gènes. Elle recueillit du liquide poisseux dans sa main et m’en badigeonna les couilles et l’anus. Ma bite tressautait encore de ce traitement.

 

Elle me tira dans le salon, retira sa jupe et s’allongea impudiquement, jambes écartées. Elle était merveilleuse, j’étais cocu. Je me précipitai pour dévorer le bel abricot bien mûr. Stoppé dans mon élan, Sophie me rappela l’impossibilité de toucher son minou, mais qu’elle avait besoin de plaisir, qu’il fallait que je m’occupe de sa jolie poitrine. Je le fis avec beaucoup de tendresse. Je caressai ses seins, j’en enduisis le moindre recoin de crème masculine. Jouant avec les tétons, les serrant l’un contre l’autre, les pressant comme elle me l’avait montré lorsqu’elle m’avait guidé sur les chemins du plaisir.

 

— Tu sais que j’aime quand tu me les lèches, que tu me les suces !

— Mais, je…

 

Je la regardai, interrogatif. Ses seins étaient pleins de sperme. Je n’allais quand même pas… Elle ne me laissa pas le temps de finir ma pensée qu’elle m’attira par la nuque et écrasa mon visage contre son sein droit. Mon visage se barbouilla de cette substance. La bouche sur le téton dardé, je l’ouvris et en appréciai le goût. Le mauvais goût, mais qui m’excitait. J’entrepris de le lui lécher. Je faisais ce qu’elle ne faisait pas. J’avalais. Elle aimait et se tordait en gémissant de désir sous mon corps.

 

Elle se tira de côté, je sentis sa main descendre sous mon ventre, caresser un peu mon chibre prêt à exploser, continuer sur mes bourses encore recouvertes de jus, les flatter, les soupeser, puis poser un doigt sur ma rondelle, elle aussi toujours crémeuse. Sophie aimait me taquiner la petite étoile, parfois avec la langue, parfois avec le doigt. Elle y aventurait ce dernier, mais jamais plus d’un. J’aimais. Elle me disait alors qu’elle aimerait me baiser, qu’elle aimait mon cul, qu’elle aimerait avoir une bite pour m’enfiler. Moi je ne répondais pas, je rêvais à ce jour. Cette fois, elle dut sentir mon relâchement dû à l’excitation, le lubrifiant était déjà posé entre mes fesses. Après quelques va-et-vient de son doigt, un deuxième se fraya un chemin. Je fus étonné et je crois que Sophie aussi, de la facilité avec laquelle il était entré. Elle se redressa et me demanda de me mettre à genoux sur le canapé. Les bras sur le dossier, ses doigts toujours fichés en moi.

 

Ma femme m’enculait en me pétrissant les boules et la queue. J’adorais ça, elle aussi. Elle me disait que le temps que sa chatte puisse recevoir de la bite, elle pourrait au moins jouer avec mon petit trou. Alors qu’elle tentait d’en insérer un autre, je me répandis en ajoutant de nouvelles taches, déjà nombreuses sur le convertible.

 

Son sexe ne put rien supporter pendant dix jours. Je profitais de sa bouche, elle de mes fesses. Au bout de deux jours, elle était revenue avec un gode ceinture, heureusement pas bien gros. Elle m’a baisé avec. C’était divin. Je me faisais sodomiser, pas elle. J’étais l’enculé de la maison, elle aimait me dire ça pendant qu’elle me prenait. Moi aussi, j’aimais. Je ne lui ai pas remis le cadenas durant cette période, histoire qu’elle guérisse plus vite. Elle ne profita pas de sa liberté, trop occupée à torturer ma petite rondelle. Je pensais qu’elle sucerait bien un mec,, mais non. Elle préférait attendre pour les recevoir en elle, comme elle me disait. « Les recevoir », me répétais-je sans cesse, en bandant.

 

Le soir du dixième jour, après la deuxième abstinence la plus longue de sa vie sexuelle, la précédente avait duré trois semaines – elle s’était concentrée à l’époque pour avoir son bac – elle me fit une surprise. Non au fait de sa nouvelle disponibilité sexuelle, elle me le signifia en m’accueillant après le travail par un gémissement que lui procurait un grand type tatoué de partout. À quatre pattes derrière elle, il semblait lui pilonner très vigoureusement la chatte. J’estimais enfin être cocu pour de bon. Sucer n’est pas tromper, selon un grand philosophe contemporain. Je bandais. Je m’approchai.

 

— Ton cocu est là, ma chérie !

 

Elle se redressa et me sourit :

 

— Regarde chéri, il a un nouveau tatouage sur la queue ! Il est gentil, il a voulu que j’en profite la première.

 

Il sortit une belle grosse queue bien lourde de ma femme et me présenta son œuvre. Effectivement, la bite et même les couilles étaient couvertes de dessins. Il replongea la chose dans des profondeurs marécageuses. Je n’avais pas touché, ni baisé le sexe de ma femme depuis dix jours, et c’est un autre qui profitait de cet antre. J’en savais la douceur, la chaleur. J’imaginais l’excitation et l’étroitesse, la jeunesse vaginale retrouvée, anéanties par un colosse à la bite multicolore. J’étais cocu. Je bandais.

 

Il était puissant ce gaillard. La sueur luisant sur les tatouages dépourvus de toutes pilosités faisait ressortir une musculature imposante. Je voyais clairement les muscles du dos, des fesses, des cuisses onduler sous la peau au rythme des coups de boutoir. Boutoir multicolore, boutoir épilé, mais boutoir quand même. Et pas des moindres. Détail anatomique qu’elle n’avait pas mentionné lors de nos premiers ébats le concernant. Elle voulait m’en faire la surprise.

 

Peu importe, je suis cocu, je bande, je l’aime ma salope. Je regardai la chose imposante coulisser en elle. Elle en avait connues de bien plus grosses par le passé, elle l’encaissait bien, en jouissait même bruyamment. Colonne colorée, luisante des saintes sécrétions, encadrée par des lèvres gonflées d’excitation, ornées de dorure. Fasciné par le spectacle, j’attendais de dénouement. Le bâton disparut complètement, je voyais juste les hanches du tatoueur collées aux fesses de Sophie. Il éjaculait profondément en elle. Elle criait sa jouissance, bien plus fort qu’avec moi me semblait-il, bien trop fort pensais-je. J’étais cocu.

 

Elle paraissait évanouie. Lui se rhabilla. Un petit signe de la main et il nous quitta sur un :

 

— À la prochaine, les amoureux, c’est quand vous voulez.

  N° 1241 Finalement, le cocu sert quand même à quelque chose… 

Il est sympa l’amant de ma femme, il la fait jouir et nous appelle les amoureux. Je l’aime bien, il pourra revenir quand il voudra, ou plutôt quand elle voudra. Si je devais donner un double des clés du cadenas, ce serait à lui. Elle émerge doucement. Toujours sur les genoux, la tête dans les coussins, elle laisse s’échapper les preuves de son infidélité par la béance que me propose cette vue. Les filets de sécrétions et de sperme viennent rejoindre d’autres souvenirs sur le canapé.

 

— Prends-moi, chérie ! Vite !

 

Je tombe mon pantalon et présente ma queue. Elle me paraît petite maintenant. Je pénètre avec une facilité déconcertante. Je la sens à peine autour de ma bite. C’est chaud, c’est bouillant, mais je ne sens pas la pression habituelle. Celle que je connais si bien. Je ne bute pas non plus dans le fond, toute ma longueur y est, mais mon gland reste libre et sans contrainte. Je suis cocu, je le ressens physiquement.

 

Elle se met à gémir. Ses organes sont sensibles, rougis, irrités d’avoir été pilonnés par le colosse multicolore après dix jours de vide. Je regarde mon sexe aller et venir dans ce con si large. J’ai du sperme jusqu’aux burnes. Elle a un orgasme, je la sens de nouveau, elle se serre autour de moi. Le jus de notre ami s’en trouve expulsé, ça me coule le long des jambes. Je ne tiens plus et me laisse aller en elle. Alors que je m’effondre de sommeil :

 

— Tu ne vas pas me laisser dans cet état, mon chéri ?

— Comment ça ?

— Tu vas pas me laisser pleine de la semence d’un autre ? C’est pas bien ! Ça pourrait me rendre amoureuse de lui. Et puis tu ne m’as pas léchée depuis des siècles. C’est pas très gentil ça !

 

Comme d’habitude, ne prenant pas de décision, elle m’attrapa par la nuque et me plaqua le visage contre sa chatte spermeuse. Elle me garda bloqué ainsi. Elle attendait que ma langue se mette en action. J’obtempérai. Je bandais.

 

Je partis explorer cette chatte que je redécouvrais. Dilatée, rougie, ornée, spermée. Je la nettoyai consciencieusement, sa chatte, sa petite rosette, ses cuisses. Même ses seins, ils avaient joué assez longtemps ensemble, attendant mon retour. Selon Sophie, je suis arrivé pour la troisième et dernière salve. Ses seins et deux fois son minou ont été honorés par le colosse multicolore. Deux heures et demie de baise intensive. Je comprends les irritations vaginales. Je suis cocu, je bande.

 

Je décidai de lui remettre le cadenas pour plusieurs jours afin que son vagin reprenne forme. Mais excité par cette première expérience, je rendis sa liberté à cette jolie petite chatte. Elle-même très excitée, elle courut en cette soirée vers les bars du quartier, sans culotte, sans soutien-gorge et jupe ras-la-touffe. Je me suis caché dans le bureau et j’ai attendu.

 

Une heure plus tard, elle revenait avec un gars d’une quarantaine d’années. Un costaud qui riait fort. Il ne fit pas dans la dentelle, il l’a poussée sur l’accoudoir du canapé, le cul tendu. Il releva la jupe et la fourra directement. Il la bourra dans une cadence infernale pendant très longtemps, ma petite femme avait orgasme sur orgasme. Décidément, elle savait les choisir. Au moment de jouir, il l’attrapa par les cheveux et lui fourra sa belle queue dans la bouche. Il lui maintint la tête et se répandit dans sa gorge. Bon sang, il avait osé, il l’avait fait. Elle n’a même pas bronché. Elle a juste avalé en le regardant, un beau regard de salope gourmande. Moi, je bandais à me faire mal.


    N° 1268 Tu l’as voulu cocu, tu l’as eu !
    N° 1266 C’est tellement bon d’être cocu…

 


Par DIVAGATION - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 14:48

j'ai un portable de 17pouces, l'image active,ouverture totale, quand je suis sur erog se réduit à 36x18 cm=648cm2, une publicité recouvre cette seule partie lisible et les textes photos ou vidéos  par un rectangle de 19x9cm = 171 cm2

  le recouvrement empiète sur le texte, les images, les vidéos et il est placé pour qu'on ne puisse pas voir ce qui a fait l'objet de tant d'efforts de la part du "propriétaire* du blog" et tant d'intérêt pour nos visiteurs et par contre oblige le visiteur à ne voir que la pub. 

  c'est un partage de surface ABUSIF  DE LA PART DE EROG  les visiteurs ont tapé cavaillongay-lesitelocal  et non la publicité x ou Y qui ne doit venir qu'en aspect subsidiaire

ce recouvrement de surfaces visibles DOIT être revu 

modélisation :

  19 cm x 9 cm  image publicitaire

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  36 cm x18 cm  image disponible au total 

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* "propriétaire du blog" ah, laissez-nous rire ! (pas méchamment!) 

 

Par claudio wbmaster - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 29 octobre 6 29 /10 /Oct 08:50

  18+3=21 ces trois ans d'inexpérience ils ont été rattrapés en deux jours. Cette femme est exceptionnelle et m'a fait accomplir des miracles ... formation accélérée...plus tard, hélas, on banalise tout      

  Rollerbi sur Revebebe traduit génialement ce qu'un homme sent dans la possession d'une femme (ou, croyons nous, d'un autre homme) 

Tout l’été, nous nous sommes retrouvés au même endroit pour nous aimer « secrètement ». Nos corps se mêlaient quelques heures avec passion  et mon sexe visitait ses trois orifices.

Christine m’avait vraiment donné le goût des balades à vélo. Les fins d’après-midi d’été, nous partions faire de grands virons sur les petites routes communales de notre verte contrée. Nous pédalions sous les futaies fraîches, avec le plaisir sans cesse renouvelé de pouvoir admirer son adorable petit cul partir en danseuse à l’assaut des côtes de notre belle région. Cette belle brune aux cheveux bouclés m’excitait au plus haut point, le spectre de sa petite chatte noire dansait devant mes yeux lors de mes nombreuses branlettes. 21 printemps, un sourire étincelant, des dents magnifiquement rangées… Avec mes 18 ans, je n’osais l’entreprendre. Pourtant, à cet âge, le sexe est un des plus gros postes dans le cerveau d’un jeune homme. De ce fait, la vision de son charmant postérieur faisait de ma main et de ma bite des alliés. Mes masturbations inopinées ponctuaient mes loisirs et une grosse partie de mon temps libre.

 

Pour en revenir à du concret, je la voyais très souvent, puisque nous faisions les quatre cents coups avec ses deux frères. Tous résidaient dans une grande ferme chez leurs parents. Avec les frangins, c’était moto, voiture, mécanique, CB, booms, guitare et autres divertissements. Avec Christine, c’était sorties ciné, promenades à pied ou à vélo, discussions à bâtons rompus ; nous appréciions d’être ensemble, c’était… malheureusement tout.

 

Un jour, nous faisions une pause au bord d’un étang perdu au milieu des bois lors d’une longue promenade, je buvais ses paroles en admirant ses lèvres charnues, sa bouche aux dents si blanches fendant son si beau minois. Je rêvais de l’embrasser, ou encore de la sentir se refermer autour de mon sexe, et cette simple image me déclencha une érection des plus solides. Lorsque son regard se porta sur mon entrejambe déformé, mes joues devinrent rouges tant ma gêne était grande.

 

— Oh ! fit-elle en souriant. On ne pense pas aux mêmes choses !

— Ben… fut le seul son ridicule qui sortit de ma bouche.

 

Elle posa alors son index sur mes lèvres pour me faire taire en me disant qu’il n’y avait rien de grave ni de honteux.

 

— La Nature doit s’exprimer ! entonne-t-elle avant de reposer son regard sur ma proéminence. Et elle semble s’exprimer plutôt pas mal… surenchérit-elle en me faisant un beau clin d’œil avec son si beau sourire, me mettant encore plus dans l’embarras.

 

Cramoisi d’entendre ses paroles, voire paniqué lorsque son index pointe ma verge raide comme un piquet de clôture pour vérifier la nature de l’objet, des semaines de fantasmes prennent une tout autre tournure.

 

— Non, excuse-moi. Je pensais à autre chose et… dis-je, écarlate.

— Eh ! Je comprends mieux pourquoi tu restes derrière moi à vélo. Tu mates mes fesses, hein ? Avoue !

— Chris !

— Allez ! Les yeux servent à regarder, non ?

— Oui, mais des fois, ne pas être vu…

— C’est moi qui te fais cet effet ?

— Tu… es belle ! m’exclamai-je, déjà plus à l’aise.

 

Je suis rouge écarlate, mon sexe hurle dans mon short, je voudrais pouvoir me branler comme un malade pour vite relâcher toutes les tensions qui m’habitent.

 

— Tu es mignon, fit-elle en posant sa main sur ma colonne hurlante.

 

Compulsivement, ma main vient écraser la sienne pour mieux la sentir. Pour la première fois, ma main saisit la sienne. Son regard sonde le mien, une chose est sûre. Nous sommes allés trop loin pour en rester là. Sa main se resserre autour de mon intimité.

Je ne sais pas où je trouve le courage, mais j’envoie alors mon bras libre contre sa joue pour l’attirer tendrement à moi. Sans aucune hésitation, elle se penche sur moi et nos lèvres s’unissent dans un merveilleux baiser. Mon cœur cogne fort, un flux d’hormones se déverse dans mes artères. Nos langues se livrent un duel sans merci, nos souffles se mélangent alors que mes doigts caressent sa nuque, parcourent son dos, pendant que la sienne prend la complète mesure de mon sexe. Suis-je réveillé ou endormi ? Ma queue, elle, semble bien réveillée.

Lentement, elle déboutonne mon short, avant d’ouvrir complètement la fermeture Éclair. Je me retrouve en quelques secondes exposé, sa main se refermant autour de mon sexe, et se redresse pour le découvrir.

 

Elle est magnifique, Max ! dit-elle en le manipulant tendrement. Mes doigts n’en font pas le tour ! Au secours ! rit-elle joyeusement. Mais tu ne dois plus avoir de sang qui monte à la tête avec un truc pareil !

— Là, tout de suite, j’ai du mal à réfléchir, tentai-je pour montrer un peu d’assurance.

— Oh, t’inquiète pas trop de ça. Nous ne sommes pas forcément obligés de réfléchir !

 

Puis elle se penche de nouveau sur moi et nos langues se rencontrent pendant qu’elle me caresse tout doucement. Mes mains tremblantes partent assez maladroitement à la rencontre de son corps, de ses seins dont les pointes sont étonnamment raides, et semblent d’une grande sensibilité. Mon cœur bat la chamade, tout se bouscule également dans ma tête, avec toutes les questions idiotes d’un jeune garçon face à une femme plus âgée : « Vais-je assurer ? Vais-je jouir en quelques secondes ? Va-t-on le faire ? » D’après les dires de ses frères, Chris n’est pas une allumeuse, et n’a pas froid aux yeux[.ah, ça non!].…

  pas sa première ! "Elle a dû faire toutes les guerres, Pour être si forte aujourd'hui,Elle a dû faire toutes les guerres,De la vie, et l'amour aussi",

En attendant, je vis pleinement ce rêve, et m’autorise à enfin poser ma main sur cette croupe parfaite, si obsédante, toujours dans son petit short en jean. Elle quitte mes lèvres pour observer de nouveau mon sexe qui pour l’instant la fascine.

Moi, je n’ai pas d’expérience, pas de comparaison, et c’est la première fois que l’on me parle de ma queue en des termes si élogieux. Jusque-là, elle a plus suscité la crainte que l’excitation. Malgré ma gêne évidente, j’esquisse un sourire en caressant son cul de déesse.

 

— J’ai trop envie de la sucer, dit-elle avec beaucoup de douceur dans la voix.

 

Elle ponctue le trajet descendant sur mon ventre de tendres baisers avant que ses lèvres s’entrouvrent sur mon gland, me provoquant un spasme de surprise lorsqu’elles entrent en contact avec ma chair. Chaude et humide, sa bouche enveloppe mon bout gorgé de désir. Sa main attrape mes couilles alors que ma hampe pénètre sa cavité buccale.

 

Je n’en reviens encore pas. Je rêvais de lécher son entrejambe, de lui caresser les fesses, et là, c’est elle qui m’embouche avec gourmandise. Si je ne m’étais pas déjà branlé trois fois depuis mon réveil, j’aurais joui instantanément. Ma main parcourt maladroitement son postérieur, la tête en feu, la bite en ébullition, les sens en émoi, lorsque sa main libre saisit la mienne pour l’envoyer sous son short qu’elle vient de libérer. Je caresse ses fesses, et plus ma main descend, plus son short glisse. Sa nuque frisée bouge au rythme de sa succion, et mes yeux admirent ce cul enfin révélé.

 

Son immense bouche avale assez facilement une grosse partie de ma bite, et les sensations que me procure son délicieux jeu de langue combiné à sa tendre succion m’arrachent des râles invraisemblables. Sa main coulisse sur la base de ma hampe comme pour tout remonter vers ses lèvres et ainsi mieux m’avaler. En quelques minutes de ce traitement, je souffle comme un bœuf. Elle ponctue sa fellation par de longs coups de langue, dépose des baisers sur mes couilles en gloussant de désir, puis me suce de nouveau avec une envie manifeste de me faire du bien.

 

Sa bouche se démène à un rythme soutenu le long de mon membre, tant et si bien qu’en quelques minutes à peine, une brûlure parcourt le bas de mes reins. Ma verge palpite pour expulser mon foutre, disposant de toute la fougue et l’impétuosité d’un adolescent shooté à la testostérone. Les couilles dans ses mains, je me déverse abondamment, pour la première fois ailleurs que dans les airs, des flashs et des étoiles plein la tête. Malgré la violence de cet orgasme, je sens sa douce bouche toujours autour de mon sexe, et comprends qu’elle recueille ma semence, ce qui renforce encore mon admiration pour elle. Mes attentes les plus torrides sont amplement dépassées. J’étais déjà secrètement amoureux ; là…

 

Des soubresauts me secouent le ventre de longues minutes encore sans pour autant qu’elle n’arrête de me cajoler entre ses lèvres. Ma queue n’a d’ailleurs pratiquement pas débandé, magie de l’âge encore une fois. Après un temps à câliner ma verge, Christine revient s’allonger contre moi tout en conservant mon sexe dans sa main. Son regard est joueur, et je vois ses lèvres si belles qui viennent de me faire vivre une si intense expérience, les colle aux miennes pour l’embrasser à pleine bouche. Alors que nos langues s’escriment, le goût sucré-salé de mon sperme me parvient clairement, mais ne me rebute pas. Il m’arrive de l’avaler lorsque je suis très excité et que je dois me branler au plus vite sans en mettre partout.

 

— Tu aimes ton goût ? demande-t-elle. Moi, je l’adore déjà.

— J’ai tellement rêvé de toi !

— J’ai l’impression que l’on va en faire beaucoup plus souvent, des balades. Ou dire que l’on va aller beaucoup plus loin !

 

Nous nous embrassons langoureusement, le temps est arrêté, plus rien à part elle ne compte. La découvrir, lui donner du plaisir, en prendre aussi ! Ma queue entre ses doigts est grandement opérationnelle. Elle se lève pour retirer son tee-shirt pendant que son short glisse sur ses jambes fuselées. Chris me dévoile enfin son corps tant imaginé avant de s’agenouiller à côté de moi. Sa toison brune est soignée, assez fournie, je n’en reviens toujours pas de la chance qui s’offre à moi. À genoux devant moi, je découvre son corps svelte, ses hanches magnifiques, et ses seins à peine plus gros que ceux d’une préadolescente, je la trouve splendide.

 

En se penchant pour m’embrasser, elle entraîne ma main entre ses cuisses toutes chaudes. J’y découvre la moiteur de son sexe, la douceur de ses lèvres alors que mon majeur découvre l’entrée de son vagin. Elle me guide en m’encourageant, la pointe de ses seins contre ma poitrine. Son clitoris très proéminent frotte contre la paume de ma main à chacune de ses ondulations.

 

— Ohhhhh oui, tu me donnes envie de toi. Rends-moi folle. Enfile ta langue en moi, à la place de ton doigt, le plus loin possible. Tu veux bien ? Tu en as envie ?

 

Je n’en attendais pas moins. Sa voix est sensuelle, rassurante, et en aucun cas ses mots ne me paraissent vulgaires. Devant mon absence de réponse, elle chevauche mon visage pour délicatement poser son sexe sur ma bouche. Outre cette chaleur, c’est le goût âcre qui me surprend le plus. Cette flagrance emplit instantanément ma bouche avant même que je ne lui prodigue le moindre coup de langue. Totale découverte de ce fruit tant convoité, je tente maladroitement de laper cette chatte qui d’un coup devient abondamment juteuse. Ses ondulations promènent son sexe contre mes lèvres alors qu’elle pose ses mains sur ma poitrine. Je ressens les soubresauts de ma queue raide et douloureuse, c’est sûrement aussi bien qu’elle me délaisse pour l’instant, j’ai déjà beaucoup de nouveautés à gérer.

 

Elle positionne son clito juste entre mes lèvres et m’implore de l’aspirer, de le mordiller, tandis que mon nez, lui, est presque dans son vagin maintenant ruisselant. La belle me susurre que c’est bon, que je lui fais beaucoup de bien. Mes mains contournent maintenant ses hanches pour venir pétrir son cul de rêve, et là je prends conscience de mes facultés visuelles : j’ouvre enfin les yeux. Le temps d’une rapide mise au point, je découvre une peau au grain incroyablement lisse de chaque côté d’une raie profonde. Et il est là ! Le petit anus tout fripé, étoilé, brunâtre. Il palpite comme un cœur qui bat, je ne pensais pas que cela puisse être aussi émouvant. Je suis en transe, ma langue plonge dans sa petite chatte et mon nez vient caresser sa rosette à l’odeur envoûtante.

 

Elle glousse, j’ouvre grand ma bouche pour aspirer toute sa chatte, ce qui provoque un véritable raz-de-marée dans son bassin. Je passe de nombreuses minutes à naviguer entre ses lèvres, m’efforçant de bien la lécher, espérant être à la hauteur de ses attentes. Soudain, ses fesses se contractent, son vagin enserre ma langue, ses sécrétions s’intensifient et ses doigts se plantent dans mes pectoraux alors qu’elle pousse un long feulement en écrasant sa vulve contre ma bouche ; je crains de lui avoir fait mal, mais en fait je viens de donner pour la première fois un orgasme à une femme.

 

Lentement, toutes ses tensions se relâchent, son sexe se pose un peu plus lourdement contre ma bouche. Moment d’éternité, je savoure autant ma chance que son sexe, elle reste sur moi un long moment, puis avance doucement son bassin pour venir offrir son petit anus à la caresse de ma langue. D’instinct, j’écarte ses fesses et lape son œillet de ma langue bien humide ; l’effet est immédiat, il s’ouvre comme une fleur. Chris émet un petit râle d’appréciation qui m’encourage à darder plus avant cette zone nourrissant tant de fantasmes, tant à recevoir qu’à déguster.

 

— Oui, j’adore, lèche-moi bien. Tu es doux, n’arrête pas.

 

Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute ; je m’enhardis, enfonce la pointe de la langue, lui lape la raie de sa vulve jusqu’au-dessus de l’anus pour mieux y revenir, de plus en plus à l’aise avec son intimité. Sa chatte coule sur mon menton, ma queue bande à déchirer le ciel, et plus ma langue la dévore, plus j’ai hâte de la pénétrer.

Elle aussi, d’ailleurs, puisqu’elle se retourne et me retire mes vêtements par le bas pendant que j’ôte mon tee-shirt. Une fois nue, elle me chevauche pour venir plaquer sa vulve sur mon sexe en m’embrassant à pleine bouche, follement excitée, me remerciant du plaisir que je viens de lui donner. La chaleur torride de nos sexes collés en dit long sur l’intensité de nos sens. Sa croupe ondule pour que ses grandes lèvres puissent parcourir ma hampe, ses pointes de seins contre mon buste, je place mes mains sur ses hanches. Le moment est enfin arrivé. Elle se redresse, nos regards se rivent, nous nous sourions.

 

— J’en ai trop envie… me souffle-t-elle.

— Je rêve de t’avoir contre moi depuis si longtemps !

— Et tu n’as jamais osé me le dire ? Tu avais peur que je te mange ?

— J’avais trop peur que tu éclates de rire ou que tu en parles à tes frangins.

— Rattrapons le temps perdu, faisons l’amour et gardons-le secret, dit-elle en déposant un baiser sur mes lèvres.

 

Elle glisse sa vulve sur ma verge jusqu’à ce qu’elle arrive à placer mon gland à son entrée, et toujours par petites ondulations, ses lèvres commencent à s’ouvrir pour accueillir mon membre en elle.

 

— Laisse-moi faire, chuchote-t-elle.

— Tu ne risques pas… d’être enceinte ?

— Ne te fais pas de souci, je prends la pilule. Laisse-toi aller, viens !

 

Fier de la situation, je tente de résister à cette pulsion innée qui consiste à vouloir s’engager. Je sens la douceur et la chaleur de Christine serrée autour de mon membre, mes mains se crispent sur ses hanches, entièrement sous le charme de ma brune. J’embrasse ses seins, me régale de ses tétons. Et si sa poitrine est menue, ses tétons sont très proéminents, durs, hypersensibles. Elle m’encourage à les lui mordiller, à les aspirer, les sucer, et n’hésite pas à me rassurer en me disant que c’est très bien.

Ce faisant, elle effectue de petits va-et-vient qui lentement l’empalent sur ma queue. Tous mes récepteurs captent la multitude de sensations nouvelles, comme sa toison frottant de temps à autre contre mon ventre, ou la vue de nos sexes s’emboîtant, de sa vulve écartelée d’où son clitoris émerge. Je vis mon rêve, je suis divinement bien.

 

Elle sourit, ferme les yeux, se mord les lèvres, des gouttes de sueur perlent sur son front, je suis le plus heureux et le plus chanceux des hommes. Mes doigts agrippent ses fesses en se plaçant presque dans sa raie, et mes reins ondulent timidement pour venir à sa rencontre. Je sens tout son vagin me comprimer la verge avec une douceur jusque-là inconnue, insoupçonnée.

 

— Oh oui, que c’est bon, je te sens immense en moi. Oh, tu es grand, j’adore !

 

Je sens clairement le fond de son écrin frotter le bout de mon nœud, et comprends que nous n’irons pas beaucoup plus profond, je crains de lui faire mal. Mais Chris se déhanche, à la recherche de notre plaisir, et ne semble pas vraiment souffrir !

 

— Hummmm que c’est bon… tu es bien ? Parle-moi, bouge en moi. Oui, comme ça. Encore, oh ouiiii.

 

Son souffle est court, le mien s’accélère aussi, des frissons parcourent nos corps alors que je commence à m’animer en elle. Parler ? Je ne suis pas à même de dire quoi que ce soit, j’ai beaucoup d’autres priorités. Mais mon manque d’expérience ne l’empêche cependant pas de partir vers un superbe orgasme, m’implorant de jouir en elle, qu’elle veut me sentir. De toute façon, les dés étaient déjà jetés : je jouis en de longues giclées au fond de son corps, ses doigts lacérant mes pectoraux, les miens plantés dans son superbe fessier.  

       Je me sens grandi, émancipé, immensément puissant, *, comme si mon sexe représentait les deux tiers de tout mon être, redessinant spontanément l’homoncule de Penfield ! J’admire son visage, ses lèvres qu’elle mord en exprimant son plaisir, ses cheveux dansant autour d’elle au rythme de notre jouissance.

 

Rayonnante, éclatante, elle s’allonge sur moi et nous unissons nos bouches, nos langues, notre sueur, pleinement satisfaits de notre performance. Naturellement, je l’enlace tendrement, des bulles plein la tête. Mon cortex commence à tout analyser, décortiquer, mémoriser. Avant ? Avant, j’étais puceau. Mais ça, c’était avant.

 

— Tu m’impressionnes beaucoup, tu sais ! me glisse-t-elle dans un souffle. Tu m’as vraiment donné un plaisir dingue. Tu as un zizi de compétition*, je ne vais plus pouvoir m’en passer !

— C’est encore plus agréable que je ne l’imaginais ! Mais je n’ai pas pu me retenir, je suis désolé.

— Oh non ! C’était juste parfait ! Ne change rien, j’ai joui dès que tu étais en moi.

 

Elle contracte son vagin autour de mon sexe, je lui réponds en faisant de même. L’endorphine se diffuse dans tout mon être, renforçant cette sensation de légèreté, de bien-être. Son corps posé sur moi me fait un bien fou, je voudrais que l’on reste ainsi à tout jamais, elle en moi, moi en elle, et faire l’amour encore et encore.

 

Après m’avoir embrassé, elle me rassure, me confiant plutôt envisager une procédure d’adoption. Nous avons toujours eu beaucoup d’humour, nous sommes désormais… très proches, à tel point qu’elle rechigne à laisser mon sexe quitter son vagin tout chaud. Alors qu’elle glisse de côté contre moi, sa main vient saisir la base de ma queue mollissante et gluante de nos sécrétions, répétant sa fascination. Mes doigts caressent naturellement la peau si douce de ses fesses, et alors qu’elle fait joujou avec mon membre, mes doigts s’aventurent jusqu’à l’entrée de son vagin. L’endroit m’attire, brûlant, béant, gluant de mon sperme commençant à s’écouler. Mes deux doigts réunis y plongent, l’accès tant convoité étant dorénavant déverrouillé.

 

— Hummmm, tu es joueur ! fait-elle en cambrant ses reins, s’offrant davantage à ma caresse.

 

Je lui avoue ne pas pouvoir y résister, que sa croupe est trop belle. Chris me comprend, puisqu’elle redescend me sucer tendrement sous le même prétexte, veillant à bien laisser sa croupe accessible. Son clitoris ne reste pas isolé ; lorsque mes doigts l’effleurent, mon initiatrice envoie sa main sur la mienne pour me guider dans cet art de masturber une femme, me dispensant ses premiers conseils entre quelques va-et-vient sur mon sexe, m’encourageant à continuer, à alterner ma caresse entre pénétrations et masturbation. À un moment, sa main saisit mon poignet pour guider ma main plus en arrière. Je crains qu’elle veuille mettre un terme à mes pérégrinations, quand mes doigts pleins de mouille et de sperme se retrouvent placés sur son petit œillet. D’instinct, mon majeur tâte la texture de cette zone follement excitante qui semble chercher à s’ouvrir à mon contact.

 

— Oui, tu peux là aussi, me confie-t-elle en gloussant. Vas-y !

 

Lentement, les chairs cèdent sous la pression et mon doigt visqueux la pénètre aisément, plongeant vers l’inconnu avec curiosité. J’effectue de lents mouvements, au rythme des lèvres de ma divine suceuse. Appréciant, elle écarte d’elle-même ses fesses de sa main libre pour me faciliter l’accès à ses reins avant de m’inviter à lui glisser un deuxième doigt. Sans effort, ils naviguent dans son divin petit cul. Je deviens plus entreprenant, écartant au maximum ses fesses pour mieux profiter de la vue si excitante, me voyant distendre cette petite porte avec beaucoup de plaisir.

 

— Tu pourras me la mettre entre les fesses, me dit la coquine entre deux coups de bouche sur la hampe. Mais pas aujourd’hui. Tout se mérite !

— Et que dois-je faire pour le mériter ? dis-je du tac au tac.

— Rien, absolument rien. En amour, rien n’est obligatoire, et les choses se font à deux. Apprenons à nous désirer ; regarde comme je m’y applique !

— Je te désire déjà ! tenté-je de nouveau. Je suis dingue de toi, raide dingue.

 

Ses lèvres coulissent sur ma chair, ses joues se creusent le temps de créer une dépression, puis elle me ravale de plus belle en effectuant un léger branle ou en me massant les testicules. En quelques minutes, elle augmente la cadence, me faisant jouir de nouveau à en perdre haleine. Rien n’est perdu, et ses douces caresses accompagnent ma douce convalescence. Lorsque ma queue est enfin redevenue flasque, elle l’abandonne sur mon pubis et vient m’embrasser tendrement.

 

— Oh, toi ! s’exclame-t-elle.

— Non. Toi ! fais-je en souriant.

— Sache, bel étalon, qu’il y a trois choses que j’affectionne tout particulièrement : le goût de ton sperme et la sodomie.

— Ça n’en fait que deux. Quelle est la troisième ?

— Ta quéquette de compète* ! répond-elle en la secouant dans les airs.

— Attention, tu vas la réveiller, et après…

— J’en assume les responsabilités.

 

L’après-midi s’est prolongé à nous découvrir et à nous aimer. Nous sommes rentrés assez tard, bras dessus, bras dessous, nous embrassant tous les quelques pas, jusqu’au moment douloureux de nous séparer. J’avais le cœur léger, le sexe aussi, puisqu’une seule pensée le faisait décoller. Et des pensées… nous étions convenus de nous retrouver dès le lendemain en début d’après-midi au bord de la rivière. Il y avait un endroit paisible près d’un grand trou d’eau claire où je venais très souvent pêcher seul, ou encore me retrouver un peu au calme. Nous étions en vacances, et avions vraiment du temps. À la rentrée, je partirais pour l’université, et je voulais mettre mes congés à profit.

 

Lorsqu’elle arrive, seulement vêtue d’une robe d’été assez courte et d’un chapeau de paille, mon cœur s’emballe, je la serre fort contre moi, violant sa bouche avec passion. Mes mains passent sous sa robe et retrouvent la douceur de sa peau, ses hanches et ses fesses libres de tout sous-vêtement. Je tombe à ses pieds sur la couverture que j’avais déjà installée, et plonge mon visage dans ses poils pubiens pour retrouver son odeur, sous l’escorte de ses mains posées sur ma tête. Ma langue part à l’assaut de son sexe frais ne demandant qu’à s’ouvrir sous la caresse. Je suce son bouton d’amour en pétrissant ses fesses, lape ses lèvres déjà gorgées et redécouvre le goût exquis de son temple, buvant frénétiquement sa sève. Les yeux fermés, le temps s’arrête pour nous offrir ce long cunnilingus. Christine tremble sur ses jambes, me traite de jeune fou*, mais ne cherche surtout pas à y mettre un terme.

 

Elle s’allonge sur le dos, elle relève ses jambes pour mieux s’offrir. Attentionné, je m’occupe de son entrejambe des fesses jusqu’au nombril, l’enculant à grands coups de langue avant de lui aspirer la vulve bruyamment, lui suçant le clitoris en enfilant deux doigts dans son vagin. Sa tête roule, elle se mord les lèvres, puis d’un coup jouit en criant fort, son vagin libérant sans prendre le temps de réfléchir. Tout doucement, je ralentis la cadence un impressionnant flux de cyprine que naturellement j’aspire immédiatement et l’intensité de mes « sévices » pour lui permettre de revenir à la réalité. Un grand sourire illumine son doux visage, et elle me demande de venir sur elle pour pouvoir m’enlacer.

 

— Et dire qu’un amant fougueux habitait à quelques centaines de mètres de moi… susurre-t-elle à mon oreille. Tu apprends vite !* Encore !

 

Il ne nous faut que quelques secondes pour nous retrouver nus. Nos bouches se livrent à un tourbillon de baisers, ne laissant aucune parcelle en souffrance. Lorsque mes testicules disparaissent l’un après l’autre entre ses lèvres, ma queue bande déjà dur entre ses doigts. Je me retrouve vite entre ses cuisses dans un délicieux 69 horizontal. Comment ai-je pu ne pas connaître un tel plaisir plus tôt ! Ça devrait être enseigné à l’école*, tant cela est subtil et épanouissant.

Avec une infinie tendresse, sa langue joue avec mon nœud, m’irradiant de puissantes sensations. Mais Chris a d’autres projets qu’une simple gâterie, me demandant de venir sur elle. Ses cuisses se referment sur mes reins, nos bouches se lient, sa douce main me guide en elle avec beaucoup de douceur.

 

— Hier, nous étions pressés de jouir, mais aujourd’hui, il faut que l’on prenne notre temps. N’écoute pas ton sexe lorsqu’il t’ordonne de venir, retiens-toi. Ainsi nous pourrons faire l’amour plus longtemps, ce sera plus fort. Viens en moi.

 

Je prends note de ses conseils*, me sentant d’un coup responsable de son plaisir, en position dominante pour la première fois de ma vie sexuelle. D’instinct, je commence à onduler très légèrement pour pouvoir la pénétrer doucement. Ses mains sur mes hanches me rassurent. Nos regards s’affrontent tendrement entre deux baisers, alors que mon membre se fraye un passage dans sa petite chatte.

 

— Je ne te fais pas mal ?

— Oh, non ! Continue comme ça, tout doucement, ne t’arrête pas, me rassure-t-elle. C’est délicieux.

 

J’effectue de lents va-et-vient, savourant chaque millimètre gagné à l’intérieur de son vagin brûlant, en ressentant les moindres contractures. Elle m’accompagne, propulsant doucement son bassin pour répondre à chacun de mes élans, ses mains sur mes hanches. Je saisis un de ses seins et le malaxe, pinçant son téton sensible, m’obligeant ainsi à ne pas me focaliser que sur la pénétration, mais sur le plaisir de ma partenaire. On se rejoint rapidement, mon gland butant contre son col. Elle m’embrasse, griffe tendrement mon dos, me dit des mots doux en commentant le plaisir qu’elle prend.

 

— Oh Max. Encore !

 

J’essaie de réagir à ses appels, mes coups de reins se font plus rapprochés, plus intenses. Sa croupe décolle pour venir à ma rencontre, ses gémissements deviennent râles profonds, m’implorant de continuer à la pénétrer en de longs et profonds assauts. Puis soudain, ses traits se figent, les dents serrées, son vagin tente d’écraser mon sexe planté en elle. Tandis qu’un jet de mouille trempe mes bourses, Christine crie sa jouissance jambes nouées dans mon dos, son bassin se projetant dans une série de contractions spasmodiques l’empalant bien plus que ce que je n’aurais jamais osé lui infliger.

 

Un immense bonheur m’envahit d’avoir pu lui donner ce plaisir sans que je jouisse moi-même. Des ailes me poussent dans le dos, je l’embrasse dans le cou, lui chuchote des mots doux, lui répète que je désire l’entendre jouir de la sorte encore des milliers de fois, que je banderai éternellement pour elle*. Alors que son bassin se décontracte de nouveau, elle m’embrasse et me dit que c’est vraiment bon de me sentir en elle. Je reprends lentement mes ondulations en veillant bien à ne pas être trop invasif, ne coulissant que sur les deux tiers de son écrin d’amour. Christine, ravie de ma performance, me demande alors de la prendre en chien de fusil, et sans que je me retire passe une jambe sous moi. Je me retrouve derrière elle en quelques secondes, ma verge ressentant d’autres sensations, mon nœud frottant maintenant la face postérieure de son vagin. Ma main sur sa hanche, un bras passé sous son buste pour lui étreindre un sein, je navigue en elle, nageant en plein bonheur.

 

— Oui Max, j’aime te sentir en moi, tu vas encore me faire jouir !

 

Je suis déjà moins timide, et m’élance dans son ventre chaud avec une âme d’aventurier, de pionnier. Christine m’invite à accélérer, criant qu’elle va déjà repartir. Je passe alors ma cuisse par-dessus sa hanche et ma main plonge pour trouver son clito et le pincer en même temps que je lui assène une grande tirade, plongeant une série de coups la faisant vibrer de toute part. L’effet est immédiat : ma belle jouit de nouveau en écrasant ma queue qui me paraît immense* en elle.

 

Fier, je l’écoute jouir, crier mon prénom, haleter en donnant de violents coups de bassin pour mieux me ressentir. Je ne peux plus me retenir ; mes couilles remontent et semblent peser des tonnes *tandis que mon esprit s’embrouille. Sa chatte m’aspire complètement et un orgasme d’une violence que je n’aurais jamais soupçonnée me submerge. Je n’éjacule pas, je fonds en elle ; en plus de l’envahir physiquement, notre union devient osmotique*.

 

Sa tête repose maintenant sur mon bras dans un silence quasi absolu ; seuls quelques soubresauts nous animent encore. Lentement le bruit de notre théâtre de verdure nous parvient de nouveau. Je dépose de tendres baisers dans son cou, sur ses épaules, effleurant sa peau de la pulpe de mes doigts, me régalant de la sentir frissonner, de la voir si apaisée. Je découvre l’instant d’après, cette plénitude lorsque deux amants s’étreignent une fois l’orage amoureux passé, et apprécie de la sentir tout contre moi. L’odeur de sa peau échauffée, nos effluves de sexe, son cœur battant fort vibrant contre ma paume tenant encore son sein, toute cette atmosphère est magique.

 

— Tu es ravissante, Chris. Ton corps, ton odeur, ton goût…

— Tu es un amant merveilleux. On dirait que tu as des années de pratique derrière toi. Ce que tu m’as fait jouir !

 

Revenant à la surface progressivement, au bout d’une dizaine de minutes à nous câliner, Chris envoie sa main entre nos corps pour cajoler mon sexe encore assez rigide, et le dégage de son emprise. Pour la forme, je proteste car je voudrais rester en elle, mais réalise rapidement que ce n’est pas pour autant fini. Elle se met à genoux pour prendre ma queue gluante de foutre entre ses lèvres et me suce en la maintenant bien par la base, me faisant rebander en une poignée de secondes. Sans coupure, elle me chevauche dans la foulée, et à l’aide de mon nœud brûlant, frotte ses lèvres pour bien étaler nos fluides amoureux entre ses fesses en quelques allers-retours avant de me placer devant son œillet. Elle veut donc que je la sodomise, et je réalise ma chance lorsqu’elle me dit tendrement :

 

— J’ai envie d’être ta petite enculée.

 

Sa phrase terminée, elle s’assied un peu, écarte ses fesses de ses mains.

 

— Entre en moi, souffle-t-elle. J’aime avoir un peu mal.

 

D’une légère pression, les chairs semblent s’ouvrir autour de mon gland, sa mouille et mon foutre lubrifiant parfaitement sa petite porte. En très peu de temps, son sphincter se referme derrière mon gland, lui arrachant un long soupir de satisfaction. Après une courte pause, Chris descend de nouveau, et je sens très nettement l’ourlet anal s’élargir pour céder à l’assaut de ma hampe ravie. Elle gère sa progression, s’empalant graduellement. Mon sperme s’écoule de sa chatte béante, et je vois ma queue disparaître entre ses fesses à chaque mouvement de son bassin.

 

— Hummm, je ne veux plus jamais en sortir !

— Tu es immense ! Oh mon Dieu, qu’elle est grosse*, que c’est bon ! J’adore.

 

Moi aussi, je l’adore. Je n’en reviens encore pas de la chance que j’ai. Ma verge l’investit de plus en plus, toujours par petits coups. Alors que je suis bien implanté, Chris entame une douce danse, jouant au bilboquet sur mon nœud avec une facilité assez étonnante. Elle se redresse pour se caresser les seins, s’enculant toujours plus loin sur ma queue, gloussant et râlant. Mes couilles allégées me permettent de me sentir maître de mes pulsions en saisissant ses hanches pour l’attirer sur mon vit. Si nous avons été doux juste avant, il semble que pour le coup nous sommes plutôt vifs, ce qui ne la dérange pas, de toute évidence.

Rapidement, Chris se dégage et m’implore de « la lui remettre » en se plaçant à quatre pattes. Son fessier de rêve entre mes mains, son œillet ressemblant plus à un tournesol palpitant devant moi, elle m’attrape les couilles par dessous et m’attire à elle.

 

— Encule-moi ! J’aime comme tu me prends, viens vite !

 

Sans plus attendre, son rectum m’aspire et nous voilà partis pour ce qu’elle appellera « la chevauchée fantastique ». Sans lâcher mes attributs, je chevauche sa belle croupe ainsi un très long moment, heureux de la voir jouir très bruyamment plusieurs fois d’affilée, avant de partir à mon tour entre ses reins et de nous effondrer sur notre couverture, totalement en nage.

L’un dans l’autre, nous savourons le contact de nos corps autant que le silence qui nous entoure, et il nous faudra beaucoup de temps avant que l’envie de parler nous reprenne.

 

— Je vis un rêve, Chris. Tu me fais tellement de bien !

— Je vais te dire la même chose, Max. Je n’ai jamais autant pris de plaisir. Jamais. C’est tout simplement merveilleux.

— Je n’ai pas fait trop mal entre tes fesses ? risqué-je pudiquement.

— Oh non ! J’adore les sensations que ça me procure quand on me prend par derrière. J’ai toujours rêvé « d’une grosse »… et je t’ai trouvé, dit-elle en posant ses lèvres sur les miennes. C’est encore meilleur que ce que je pensais.*

— Et tu n’as pas du tout mal ?

— Non ! C’est trop agréable. Reste encore un peu en moi.

 

Nous discutons un moment avant de parvenir à nous désunir. Nous plongeons dans la rivière et nous nous enlaçons pour profiter de la fraîcheur de l’eau autant que de nos corps l’un contre l’autre.

 

Une bonne partie de l’été qui suivit, nous nous sommes retrouvés au même endroit pour nous aimer « secrètement ». Nos corps se mélangeaient avec passion pendant quelques heures durant lesquelles mon sexe visitait ses trois orifices.

L’été [ne regardez pas la date ] restera à tout jamais le merveilleux souvenir d’une douce initiation.

  NOTES vous n'aurez aucune peine à entrer dans l'intimité de Francis Cabrel en le réécoutant...il est vraiment tout nu, là... 

https://www.youtube.com/watch?v=hrahPhIu3Oc

  http://revebebe.free.fr/histoires/rvb166/reve16609.html

Par ROLLERBI REVEBEBE - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 28 octobre 5 28 /10 /Oct 19:16

 

défais-toi mon petit je vais t'en faire voir des papillons !

 

 

Par PAPI - LION - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 28 octobre 5 28 /10 /Oct 15:20

  Jean-Marie "candaulisé" par la force des choses  

    On ne peut pas construire le présent sans référence au passé– Pourquoi penser que ma vie n’en vaut pas la peine ? Qu’est-ce qui nous empêche d’être indépendants ?...Ca implique-t-il qu'on se quitte forcément ?
 Certes je me sens inférieur, que suis-je maintenant sans ma bite ? Avant l'ablation je pensais que je ne valais pas moins que les autres, que n'importe quel autre. Comment prendre un nouveau départ ?

 

Avec Sonia, nous formions un couple normal jusqu’au jour où j’ai eu ce stupide accident. Je roulais trop vite sur une petite route de campagne et j’ai fait cinq ou six tonneaux pour me retrouver au beau milieu d’un champ. On m’a conduit à l’hôpital, on m’a sauvé la vie mais, pour le reste…

  pareja enamorados mirando cuadro  les apparences...sont sauves encore pour certains aitres, mais pas pour nous. 

Ça aurait pu être pire car j’ai été sur le point de rester paralysé ! Après pas mal de rééducation, j’arrive tant bien que mal à remarcher, en boitant un peu et sur de courtes distances, car je me fatigue très vite. Mais, le plus dramatique pour moi, depuis ce jour maudit, c’est que même mon moignon ne bande plus, il est impensable d'avoir la moindre petite érection. C’est un drame pour moi, un calvaire et, vis-à-vis des autres, une véritable honte ! Je n’ai pas spécialement envie de continuer à vivre, n’étant même plus un homme. Je suis un castrat, un castré.

 

Les médecins sont circonspects. Ils se veulent encourageants, ils préfèrent dire que rien n’est définitif, dans le sens que les prothèses vont tous les jours des progrès que ça pourrait s'améliorer un jour. Mais,  plusieurs mois il n’y a pas la moindre petite évolution de ce côté-là. Ils disaient aussi, à une certaine époque, que je finirais un jour par courir comme un lapin ! En fait de courir, je me contente de claudiquer. Ils disent un peu tout et n’importe quoi. Je pense qu’ils ont surtout fait tout leur possible pour essayer de calmer mes angoisses, car, on est dans la deuxième année qui a suivi l’accident, je fais dépression sur dépression. J’ai été très souvent au bord du suicide et j'ai fait vivre un enfer à ma femme.

 

Sonia c’est une femme de tête, une sportive, une volontaire qui sait toujours ce qu’elle veut et qui fait en sorte d’atteindre ses objectifs. Elle n’est pas spécialement féminine, c’est même un vrai garçon manqué.

 

Nous nous sommes rencontrés à un bal du 14 juillet.

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C’est elle qui m’a dragué, elle m’a proposé de danser avec elle. Cela ne se fait pas de flirter avec un inconnu ! Nous nous sommes frottés dans le noir sur un slow très appuyé, avant de nous éclipser comme des voleurs entre les baraquements de la fête foraine pour faire l’amour dans l’urgence.

 

Cette rencontre a été pour moi explosive, une vraie révélation, un véritable feu d’artifice : je venais, en quelques heures, de trouver enfin chaussure à mon pied. Six mois plus tard, nous étions mariés.

 

Sonia aime les hommes virils et les rapports un peu brusques. Il y a seulement deux ans ans,j’étais vraiment viril, résistant et plutôt bien monté. Et, comme ma belle m’inspirait, je bandais en général au quart de tour. J’adorais par exemple la prendre à la hussarde, encore dans sa tenue du travail quand elle rentrait le soir du boulot. Nous baisions souvent dans l’urgence, parfois à même la table de la cuisine ; nous cassions beaucoup de vaisselle -lol-. Nous faisions beaucoup l’amour, presque tous les jours, et même après de dix ans de mariage cela n’avait pas beaucoup changé. Malgré un physique assez ingrat, Sonia a toujours été ce qu’on appelle un bon coup. Question beauté, j’aurais sans doute pu trouver cent fois mieux, car elle n’a vraiment rien d’extraordinaire ; qui sait, peut-être à cause de cela, question bagatelle, c’était vraiment le top du top !

 

Je lui ai toujours été fidèle et je pense qu’elle aussi, de son côté, ne m’a jamais vraiment trompé. Elle m’apprit, beaucoup plus tard, qu’il fut une époque où un de ses collègues la poursuivait de ses assiduités. Elle avait fini par y succomber et ils s’étaient bécotés plusieurs fois dans les vestiaires, mais ça s’était arrêté là et le     dragueur avait été muté ailleurs. Je lui avais pardonné cette incartade. Après tout, il m’était bien arrivé à moi aussi de pincer les fesses d’une fille facile dans un bistrot !

 

Le plus grand désespoir de mon épouse, c’est probablement celui de n’avoir jamais eu d’enfant. Une malformation congénitale l’empêchait d’en avoir. Certes, nous aurions pu en adopter, nous avions même entamé des démarches en ce sens. Pourquoi est-ce que ça ne s’est pas fait ? Nous n’étions peut-être pas assez tenaces, mais d’un autre côté nous étions déjà très heureux tous les deux.

 

Au moment de l’accident, nous faisions encore l’amour quatre ou cinq fois par semaine, une fréquence très largement au-dessus de la moyenne.

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Pour ma belle, c’était un besoin vital de se faire du bien et, pour moi, un réel plaisir de satisfaire une femme aussi insatiable. Nous avions évidemment tout essayé, tout ce qu’il est possible de faire à deux, au sein d’un couple. Sonia ne détestait pas la sodomie, bien au contraire : c’est souvent elle qui la proposait, et ces séances d’enculage nous procuraient un bonheur intense, elles sublimaient nos rapports amoureux. Quant au plaisir de se faire attacher, ligoter, menotter ou défoncer par une matraque, il était totalement réciproque. Son métier était souvent source d’inspiration pour nos étreintes amoureuses, le mien presque tout autant (j’étais chauffeur routier). Inutile de préciser que nos ébats n’étaient pas cantonnés à la chambre : ils parcouraient la campagne et s’insinuaient dans les lieux publics.

 

*

* *

 

J’ai vraiment honte de moi quand je repense à tout ce que je lui ai fait subir pendant ces deux longues années. Suite à mon accident, nous ne faisions plus du tout l’amour, mais, de plus, je ne prenais même plus la peine de m’occuper d’elle, je la laissais totalement à l’abandon. J’avais arrêté de travailler et je passais mes journées à la maison à broyer du noir. Lorsqu’elle rentrait du travail, je lui faisais la vie en m’apitoyant sans arrêt sur mon triste sort. J’étais un bon à rien, un pauvre type, un inutile… En témoignaient les bouteilles vides que je laissais traîner un peu partout et que j’avais de plus l’indécence de lui laisser ramasser.  

 

Nos disputes étaient de plus en plus fréquentes et aussi de plus en plus violentes. Tous les prétextes étaient bons pour cette violence conjugale. Lorsqu’elle partait le matin, je la traitais de tous les noms, de vicieuse, de salope, de putain. Par qui allait-elle encore se faire baiser ? Elle avait le cul en feu et ses collègues devaient bien rigoler en pensant à ce con de mari impuissant !

 

— Tu es ridicule, me disait-elle, complètement ridicule. Tout ce que tu mériterais, c’est que je te trompe pour de vrai.

— Eh bien, vas-y, fais-le, jette-toi sur d’autres bites, puisque c’est ça qui te manque ! Tu étais pourtant bien contente de la trouver, la mienne, quand je pouvais encore bander !

 

Elle partait généralement en claquant la porte.

 

Je n’avais plus de goût à rien, je ne voulais plus jamais rien faire. Ses jours de congé étaient encore plus moroses que le restant de la semaine. Nous restions assis dans cet espace restreint, comme deux étrangers, devant la télé, sans nous parler, en attendant la prochaine dispute.

 

Plusieurs fois, je l’ai trouvée en train de sangloter, toute seule dans la chambre. Je n’ai rien dit, j’étais l’unique cause de son malheur. De toute façon, qu’est-ce qu’elle pourrait bien faire d’un mari sans couille, d’un mari qui ne bandait plus, qui ne pourrait plus jamais bander ? Souvent, j’allais dormir dans le salon. Je préférais faire lit à part.

 

Au bout de deux ans, elle était sur le point de demander le divorce. Les week-ends où elle n’était pas de permanence, elle préférait les passer chez ses parents. De plus en plus souvent, elle s’absentait de la bicoque.

 

C’est sa mère qui m’a alerté. Elle m’a téléphoné un beau matin pour me dire que Sonia n’en pouvait plus, que c’était trop pour elle, qu’elle n’arrêtait pas de pleurer et que, s’il me restait ne serait-ce qu’un peu de sentiment envers elle, il était plus que temps de le manifester. Le soir même, je suis allé rejoindre ma femme dans la chambre. Dans la vie, il ne me restait plus que Sonia, et si je la perdais il ne me restait plus rien. Quelques jours auparavant, j’aurais dit : « Qu’importe ! Qu’elle aille donc se faire foutre ! » et je me serais saoulé, mais là… c’était ma dernière chance… Pour que sa mère appelle, il fallait quand même que ce soit très grave !

 

— Ecoute, Sonia, on pourrait essayer d’en parler…

 

Elle avait déjà les larmes aux yeux.

 

— Est-ce que tu crois que c’est encore possible entre nous ? lui demandai-je.

— Je ne sais pas, je ne sais plus… Je ne crois pas.

— Sonia, je t’aime, je te jure que je ne voulais pas te faire tout ce mal.

— Mais le mal est fait.

 

Elle finit par consentir à se blottir contre moi, le corps secoué par des sanglots sans fin. Elle me dit tout bas :

 

— Je n’en peux vraiment plus, tu sais ?

— Je sais.

 

Je l’ai serrée longuement en lui caressant la joue. Cela faisait des mois que cela ne nous était pas arrivé, des mois sans le moindre instant de tendresse. Il n’y avait plus de câlins, plus d’attention, il n’y avait plus que moi et mon dégoût pour moi-même. Je m’apercevais soudain à quel point j’avais été un monstre, un être froid et égoïste.

 

Les larmes roulaient sur ses joues, ses sanglots n’en finissaient plus. Je me suis glissé dans les draps, tout contre elle, et je l’ai serrée très fort dans mes bras. Je l’ai tenue comme ça toute la nuit et elle a fini par s’endormir… Moi, je pleurais comme un gamin en la regardant dormir, conscient de tout le mal que j’avais pu lui faire, conscient que je l’aimais plus que tout et que j’avais bien failli la perdre.

 

Au petit matin, elle s’est réveillée dans mes bras et je l’ai embrassée sur les joues, sur la bouche, avec empressement, un peu comme au premier jour.

Curieusement, malgré l’heure tardive, ce jour-là elle n’a pas insisté pour se lever, elle qui était pourtant d’ordinaire toujours très ponctuelle à son travail. Je l’embrassais partout, sur la bouche, sur les seins, sur tout le corps, en descendant lentement vers son puits d’amour. Un concert de baisers mélangés de caresses : voilà ce à quoi elle avait droit ce matin-là. Ne pouvant mieux faire, je lui ai dévoré l’abricot comme jamais je ne l’avais fait jusqu’alors, en y mettant toute mon attention, en essayant d’être vigilant à la moindre de ses sensations.

   

Une première vague de jouissance l’a emportée, mais je continuais encore à lui manger la chatte tandis qu’elle se tordait en tous sens sur le lit. Je la dévorais désormais à pleine bouche, m’acharnant comme un fou sur son fruit bien juteux. Une seconde vague la terrassa, suivie immédiatement d’une troisième qui la laissa complètement molle :

 

— Arrête, arrête, je t’en supplie, je n’en peux plus.

 

Elle ne m’avait encore jamais dit ça !

 

Elle reprit lentement ses esprits jusqu’à ce qu’elle soit enfin capable d’attraper le combiné pour téléphoner à son bureau:

 

  • — Allô, c’est Sonia. Je ne peux pas venir travailler ce matin, je suis clouée au lit avec une forte fièvre.

 

En douze ans de mariage, je ne l’avais jamais vue s’absenter une seule fois. Sonia n’était pas du genre à se faire porter pâle sous des prétextes futiles. Même grippée, la goutte au nez, elle allait au turbin, quitte à filer sa crève à l’ensemble du bureau. Il fallait donc que l’événement soit de taille ! Et il l’était effectivement, car il scellait notre réconciliation.

 

Les semaines qui suivirent notre nouvelle union, je lui fis l’amour tous les jours et parfois plusieurs fois par jour. Mon sexe désespérément mort, je le remplaçais par mes doigts, par ma bouche et par des tonnes d’objets sexuels qui sommeillaient jusque-là dans l’armoire. Sonia reprenait à vue d’œil du poil de la bête. Elle redevenait rapidement la femme heureuse et épanouie qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être. Je rivalisais d’ingéniosité pour lui concocter des scénarios inventifs et innovants avec toujours comme objectif celui de la faire jouir comme une folle.

 

Néanmoins, quelque chose manquait à mon bonheur. Sonia a toujours été beaucoup plus vaginale que clitoridienne, elle a toujours apprécié les chevauchées sauvages et, malgré toute ma dextérité dans l’utilisation des godemichés et autres vibromasseurs, il me semblait qu’elle aurait pu jouir beaucoup plus encore. La force d’un coup de reins, une profonde saillie dans son vagin, c’était ça qui lui manquait, une profusion de grands coups de bite. Elle disait pourtant que ça allait comme ça, qu’elle était très heureuse et qu’il ne lui manquait vraiment rien. Mais je savais, pour l’avoir vécu, à quel point elle se trompait, elle qui avait été si friande de mes puissants coups de reins, du temps où j’en étais encore capable.

 

* autrefois....

* * couple 

 

       

L’idée d’offrir ma femme à un autre homme mit du temps à germer dans ma tête. Il faut dire que j’ai toujours été incroyablement jaloux. Le simple fait de voir mon épouse danser avec un autre me mettait souvent dans tous mes états… Alors, l’idée que quelqu’un puisse profiter de ses sens et partager du plaisir avec elle m’était tout simplement insupportable.

 

Tout d’abord, il était exclu que ce soit quelqu’un que nous connaissions, et il était hors de question qu’ils se revoient par la suite. Peut-être alors un inconnu rencontré sur le net ? Rapports protégés obligatoires, cela s’entend ! Et puis, je tenais à assister aux ébats,pour bien contrôler la situation ; mais participer? non quand même. Je m’imaginais même en train de les filmer afin que l’on puisse en rediscuter tous les deux par la suite. Toutes ces considérations orientèrent bien évidemment mes recherches. Je mis une petite annonce sur Internet, du genre : « Couple quadra, recherche homme très viril pour relation d’un soir avec madame. Madame est très exigeante sur les performances sexuelles de son partenaire, monsieur se contente de regarder et souhaite pouvoir filmer. Rapports protégés exigés. Hommes velus, barbus ou moustachus appréciés, une petite préférence pour les hommes d’âge mûr et d’expérience. Nous ne pouvons pas recevoir mais nous pouvons par contre nous déplacer. »

 

J’eus rapidement plusieurs réponses, avant même de commencer à en parler à Sonia. Certains correspondants me réclamaient déjà des photos, parce que je n’en avais pas publié avec l’annonce.

 

Un soir que je venais de lui faire l’amour tendrement, je dis à ma compagne :

 

— Chérie, je trouve ça injuste que, sous prétexte que ton mari est impuissant, tu sois privée d’une belle grosse queue.

— Mais j’ai vraiment tout ce qu’il faut, je t’assure, tu me fais jouir comme une malade.

— J’aimerais que tu rencontres d’autres hommes, des mecs, des vrais, des hommes virils, pour qu’ils te baisent bien profondément, pour que tu jouisses encore mieux qu’avec ces jouets, comme au début de notre mariage.

— Des hommes ? Tu n’y penses pas ! Je ne veux pas te tromper.

— Oh si, j’y pense, au contraire, j’y pense beaucoup ces derniers temps. Ce serait en ma présence, évidemment, et je pourrais filmer tes jeux d’amour avec ces hommes.

— Te connaissant, tu ne supporterais pas, tu en crèverais de jalousie…

 

Je lui tends quelques feuillets imprimés récemment.

 

— J’ai déjà eu quelques réponses…

 

Et de lui expliquer ce que je fais sur internet depuis quelque temps et l’idée qui me trotte dans la tête. Elle est stupéfaite. Elle parcourt les messages, sans trop y croire.

 

 

— Tu es fou. Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Tromper mon mari avec des inconnus ! Je ne suis pas une pute.

— Ne dis pas que ça ne te plairait pas. Et puis, on peut aussi le voir différemment : ton mari qui t’aime t’offre un nouveau jouet et te propose de prendre du plaisir avec…

— Je ne veux pas te faire souffrir.

— J’ai beaucoup réfléchi, j’en prends le risque.

— Et si l’un d’eux me reconnaissait ?

— Tous ceux que j’ai sélectionnés habitent à plus de cent kilomètres.

— Et s’ils ne me plaisent pas ?

— Alors : « Bonjour, bonsoir », on s’en va. Et puis, avant d’y aller, nous leur demanderons leur photo et on passera un petit coup de fil, histoire de prendre un peu la température. Si tu as le moindre doute, alors on élimine… Regarde par exemple le troisième, il m’a l’air pas mal du tout. C’est un homme marié qui a à peu près nos âges, il nous propose de le retrouver un de ces week-ends dans sa maison de campagne. Un grand, costaud, plutôt musclé, cela devrait te plaire. Que dirais-tu de l’appeler ?

— Laisse-moi d’abord y réfléchir, c’est si nouveau pour moi !

 

Vingt-quatre heures plus tard, de retour du boulot, je la vois revenir vers moi :

 

— Si c’est le seul moyen pour que tu acceptes d’arrêter de te lamenter sur ton impuissance, je suis d’accord pour l’appeler, ce type.

 

Et nous voici tous les deux sur la banquette du salon, à nous exciter autour du téléphone. Je compose le numéro du portable. Une fois, deux fois, trois fois, un homme à la voix très grave nous répond :

 

— Allô, André L. à l’appareil…

— Enchanté, Jean-Marie T. Vous savez, la petite annonce sur Internet… Vous m’avez répondu en début de semaine.

— Ah oui, je vous remets.

— Je suis avec ma femme, Sonia. Elle est d’accord pour tenter l’expérience mais elle aimerait d’abord que nous échangions nos photos.

— Ecoutez, je vous envoie la mienne de suite.

 

Le temps de me connecter sur ma boîte mail et son message arrive déjà. C’est un grand brun, assez costaud, un peu chauve mais très beau dans l'ensemble. J’en choisis une de mon épouse qui la met, je trouve, plutôt à son avantage, ainsi qu’une de moi, et les lui retourne de suite.

 

— Alors ? dis-je, un peu inquiet, comme il met un peu de temps à répondre.

— C’est d’accord pour essayer, répond-t-il sans vraiment d’enthousiasme.

 

Ma femme est un peu déconfite, car parfaitement consciente de sa déception. Il s’attendait à mieux, il a été déçu par la photo. Elle m’arrache le combiné des mains :

 

— Écoutez, monsieur, si je ne vous plais pas, je pense qu’est inutile que nous perdions du temps ensemble et je préfère que l’on en reste là.

 

Devant son agressivité, son correspondant ne trouve rien à répondre. Du coup elle raccroche, furax :

 

— Il croit quoi, ce mec, que toutes les femmes ressemblent à Demi Moore ? Allez, on oublie, on passe à un autre. Moi, le premier, il me plaisait bien.

 

Je reprends sa fiche.

 

— Le problème c’est qu’il est divorcé, je ne voudrais pas qu’il s’attache trop à toi.

— C’est à nous de mettre des barrières. Allez, file-moi son numéro, je prends les choses en main.

 

La voici qui rentre dans le jeu. Je reconnais bien là son caractère de fonceuse.

 

  • — Allô ? Clément ? Oui, bonjour, c’est Sonia T. à l’appareil, la dame de la petite annonce… Effectivement, je suis avec mon mari Jean-Marie qui s’apprête à vous envoyer des photos de moi… Ah, d’accord ! Oh oui, j’aimerais bien… Et pour vous, c’est possible que ce soit une photo un peu... osée ?… Non, c’est promis, je ne me moquerai pas… Pas du tout, il ne vous a pas menti, c’est vrai que j’aime les hommes plutôt virils… Oh, ne vous inquiétez pas, viril ne signifie pas monté comme un ours, ce n’est pas la taille du sexe qui compte, c’est surtout l’endurance…

— Non chéri, pas celle-ci. Clément préfère les photos un peu plus coquines. Envoie-lui donc ces trois-là.

 

Elle les désigne sur l’écran. Sur l’une d’entre elles, ma belle a les yeux complètement révulsés et un gros godemiché profondément fiché dans sa chatte. Sur une autre, elle tend ses fesses à la caméra. Le temps que les courriels arrivent… Le Clément en question est un bonhomme plutôt rondouillard, bedonnant, avec un torse incroyablement velu. Sur la photo, il bande. Son sexe est d’une taille honorable, sans être pour autant extraordinaire. Tandis que ma femme détaille notre nouvel ami, je l’entends à l’autre bout du fil qui complimente mon épouse. Elle n’en peut plus de ses louanges, elle se trémousse sur la banquette comme une jeunette.

 

  • — Oh, vous n’êtes pas mal non plus, Clément, et je suis vraiment impatiente de pouvoir profiter de cette très jolie queue… Non, il ne vous a pas menti, je suis effectivement très cochonne… Je pense que oui, normalement nous sommes libres dimanche prochain… Oh, en voiture, et plutôt en début d’après-midi… La petite rue qui longe la mairie ? Rue de Clairier, au numéro 15. Écoutez, je le note… Oui promis, nous vous retéléphonerons samedi soir pour confirmer… Bonne soirée, Clément, et au plaisir de vous revoir!

 

Et Sonia de raccrocher. Je sens qu’elle est toute fébrile et tout excitée. Son excitation fait vraiment plaisir à voir, même si elle m’inquiète un peu. Ce qui me rassure, par contre, c’est que je ne la vois pas finir sa vie avec un type comme Clément. Il a l’air un peu primate et lourdingue. Sur la photo, il ressemble à un gros singe avec ses grands bras qui pendouillent tristement le long de son corps.

 

La fin de semaine approchant, ma femme devient vraiment nerveuse. Je ne peux bientôt plus la tenir. La perspective de cette rencontre la fait quand même un peu flipper. Elle me demande si c’est bien raisonnable d’aller comme ça chez cet inconnu. J’essaie de la rassurer en lui rappelant que c’est quand même elle qui m’a dit que, au son de sa voix, il paraissait vraiment très gentil.

 

— Et puis, si quelque chose ne nous plaît pas, je serai avec toi, on pourra toujours s’en aller.

 

C’est moi qui téléphone à Clément samedi, en fin de soirée, pour confirmer :

 

— Nous serons là au plus tard vers quinze heures. Ma femme est un peu nerveuse, à vous de la mettre à l’aise.

 

Ensuite, je vais rejoindre mon épouse dans le lit conjugal.

 

— Tu ne seras pas jaloux ? demande-t-elle, un peu inquiète.

— Je te le promets.

— Je n’aimerais pas que ces disputes recommencent.

 

Pour lui prouver tout mon amour, je descends entre ses cuisses et entreprends de la lécher. Sous la caresse, elle se cambre, écarte les jambes et m’offre sa corolle. Je broute son délicieux minou, elle adore ça. La jouissance qui en résulte diminue la pression et lui permet de s’endormir rapidement dans mes bras.

 

Le lendemain, durant tout le voyage, elle est particulièrement volubile. Clément par-ci, Clément par-là, comment cela va-t-il se passer ? Est-ce qu’il sera à la hauteur ? Est-ce qu’il va la trouver à son goût ? Est-ce que j’ai bien pensé à prendre la petite caméra numérique ? Et la boîte de capotes, où est-elle ?

 

À l’approche du village de notre hôte, elle me demande de m’arrêter dans un petit sous-bois. Elle fait pipi puis, trouvant sa culotte un peu sale, elle décide carrément de l’enlever. Elle se parfume partout, sur la chatte, sous les bras, derrière les oreilles et dans le cou, puis elle réajuste son body et arrange ses cheveux dans le rétroviseur. Nous repartons et les derniers kilomètres se passent dans un silence très religieux. Parvenus chez Clément, nous nous garons près de la maison d’en face et, avant de descendre de voiture, nous partageons un long baiser très complice. Cette fois-ci, ça y est, nous y sommes, nous descendons de voiture et sonnons à la porte du petit pavillon.

 

Notre hôte est jovial et plein de bonhomie. Il nous accueille avec un large sourire. Il s’efface pour nous laisser passer, après avoir complimenté ma femme sur sa tenue. Je lui tends une bouteille de pétillant qu’il saisit sans autre commentaire.

 

— Asseyez-vous, faites comme chez vous. Je peux vous offrir quelque chose à boire ?

 

Nous sommes tous les trois un peu gênés, devant nos verres de vin. Je crois qu’aucun d’entre nous n’a vraiment l’habitude de ce genre de situation. Ma femme vide son verre et il lui en ressert immédiatement un autre. Il ne lui en faut pas beaucoup pour être un peu pompette, mais je crois qu’il lui faut quand même tout ça pour lui donner un peu de courage.

 

C’est alors qu’elle se lève et va carrément s’asseoir sur les genoux de Clément qui n’en croit pas ses yeux. Moi non plus d’ailleurs, je suis soufflé !

 

— Vous étiez plus bavard l’autre jour au téléphone, lui reproche-t-elle en le prenant par le cou. Est-ce moi qui vous intimide ? Je vais vous confier un petit secret : je ne porte pas de culotte.

 

Du coup, notre hôte s’enhardit et je vois sa grosse paluche glisser le long de la cuisse de mon épouse et s’insinuer sous sa jupe.

 

— Vous voyez bien que je dis vrai ! ajoute ma coquine de femme en rigolant.

 

Tout en le laissant tripoter sa chatoune, elle entreprend de dégrafer les boutons de la chemise épaisse du gros bonhomme. Je vois sa main qui glisse entre les poils longs et bouclés. Je sais qu’elle adore cette sensation que lui procurent les poitrines très velues, la mienne l’est d’ailleurs tout autant. De son côté, Clément a carrément troussé la jupe et je vois ses gros doigts qui farfouillent la chatte de mon épouse et essaient de la percer. Elle se penche alors vers lui et l’embrasse tout d’un coup à pleine bouche en glissant sa main fiévreusement le long de son ventre.

    Ma femme est soumise uniquement avec les autres hommes que moi

Je suis fasciné par la facilité qu’a ma femme à détendre l’atmosphère. Bientôt, elle se relève, s’agenouille devant notre hôte et entreprend de dégrafer son pantalon. C’est avec dextérité qu’elle sort un beau sexe déjà dur et dressé. Elle se tourne vers moi : je n’en perds pas une miette. D’un petit signe de la tête, je l’invite à continuer.

 

— Hum, quelle belle queue, dit-elle à Clément en embrassant timidement le gland tout congestionné.

 

Elle lui demande de se relever, descend son pantalon et son slip à ses pieds, puis entreprend de lécher les grosses bourses bien gonflées. Tandis que sa langue pointue parcourt les grosses couilles de son amant, elle tourne les yeux vers moi, comme si elle attendait que je lui donne le feu vert pour emboucher la bite de notre ami. Son regard vitreux est plein de concupiscence.

 

— Vas-y, chérie. Prends-la dans ta bouche cette grosse queue, puisqu’elle te fait envie.

 

Sans arrêter une seconde de me regarder, la voici qui embouche effectivement cette trique, elle l’avale bien à fond et la prend tout entière dans sa bouche, au risque de s’en étouffer.

 

Elle pompe désormais notre homme, comme si c’était de moi qu’il s’agissait, avec un appétit féroce et un regard plein de sous-entendus. Clément, de son côté, est aux anges. Il la regarde fièrement en train de lui pomper le dard et lui retient un peu la tête comme s’il lui forçait les lèvres. Elle est tellement excitée qu’elle mouille de la bouche, je vois sa bave qui coule le long du sexe de son amant. Quelle suceuse, cette Sonia ! Je suis tellement subjugué que j’en ai oublié la caméra. Je la sors de mon sac et commence à filmer ma belle pompeuse d’épouse. Mais celle-ci a d’autres idées en tête. Elle se relève et demande à Clément de s’écarter. Puis, un pied par terre et l’autre sur le fauteuil, penchée en avant vers le dossier, elle lui présente sa croupe. Il est temps, selon elle, de passer aux choses sérieuses.

 

— J’ai très envie de me faire baiser, avoue-t-elle sans fioritures.

 

Clément, qui vient d’enfiler maladroitement un préservatif, se tourne vers moi comme s’il réclamait mon assentiment pour pénétrer ma belle.

 

— Allez-y, puisqu’elle vous le réclame. Vous voyez bien qu’elle a besoin d’un bon coup de bite.

 

Il trousse la jupe avec ses grosses paluches et porte sa queue à l’entrée du sexe de mon épouse. Sentant le dard à l’entrée de sa grotte, celle-ci pousse ses fesses en arrière et s’embroche avidement sur le vit. Nous nous regardons les yeux dans les yeux, elle et moi. Elle semble me dire : « Regarde comme c’est bon, regarde comme j’aime ça, me faire trouer, j’en avais vraiment besoin de cette grosse trique en moi. » Puis elle se tourne vers son amant :

 

— Allez-y, Clément, baisez-moi bien fort, j’aime vos grands coups de bite.

 

Il n’en faut pas plus à notre homme pour qu’il se déchaîne entre les cuisses de ma femme. Il la défonce en ahanant et en lui tenant la croupe. Il a tout d’un grand singe primaire. Mais Sonia aime ça, elle aime se faire saillir avec force et elle y prend manifestement beaucoup de plaisir.

 

N’étant pas très à l’aise, ils décident de poursuivre sur le tapis, Sonia à genoux, penchée sur la table basse. Notre homme entre à nouveau en elle. J’essaie de filmer sa queue qui va-et-vient entre les cuisses de ma moitié, mais ce n’est pas toujours évident et je suis mal à l’aise. Sonia me réclame, je vais vers elle, elle m’embrasse à pleine bouche :

 

— Il me pistonne vraiment bien, m’assure-t-elle. J’aime ses grands coups de queue qui rebondissent sur ma matrice.

 

À ses yeux révulsés, je comprends que la jouissance n’est pour elle plus très loin. Elle gémit :

 

— Oh oui, c’est bon, oh oui, j’aime ça, j’aime cette bite en moi. Elle me remplit bien. Vas-y, Clément, baise-moi encore, encore plus fort !( je constate qu'elle est passée au tutoiement)

 

  • Clément accélère la cadence. Elle n’en peut plus, elle jouit. Notre homme la bourre sans relâche, toujours avec plus de force, il se déchaîne contre ses fesses, et elle re-jouit, elle re-re-jouit, elle n’est plus que jouissance, elle bave sur la table jusqu’à ce qu’il s’effondre sur elle. Elle essaie de se dégager mais ce gros plein de soupe est vraiment trop lourd.

 

— Oh putain, quel pied ! avoue-t-elle en se remettant de ses émotions. Merci, Clément, c’était vraiment génial.

 

Nos deux amants se relèvent. Ma femme vient s’asseoir sur mes genoux et m’embrasse à pleine bouche comme pour me remercier du bon moment que je viens de lui faire vivre. Je la sens très chatte et amoureuse.

 

— Serait-il possible de prendre une douche? demande-t-elle à notre hôte.

 

Celui-ci est en train d’enlever maladroitement le préservatif tout gluant. Son sexe brille, luisant de sperme.

 

— Oui, je vais vous montrer.

 

Quand notre homme revient, il s’est réajusté. Il me confie :

 

— C’est un beau brin de femme que vous avez là. Elle sait ce qu’elle veut, la bougresse. Vindieu ! Dommage qu’elles ne soient pas toutes comme ça !

 

Nous buvons nos verres, affalés sur le canapé, comme deux vieux potes.

 

Sonia revient de sous la douche. Elle est entièrement nue sous une petite serviette qui lui couvre à peine la poitrine. Je n’en crois pas mes yeux, elle qui est d’ordinaire si pudique devant les étrangers. Elle tourne autour de nous et dénoue sa serviette. Elle est complètement nue dans le petit salon.

 

— Clément, comment me trouvez-vous ?

— Très excitante, répond ce rustre.

— Vous trouvez que j’ai de jolis seins ?

— Ils sont parfaits.

— Vous aimez mes gros bouts ?

 

Elle les prend dans ses doigts et les titille devant lui qui n’en perd pas une miette. Mon épouse est très fière de sa petite poitrine en forme de dôme. C’est la partie la plus belle de son anatomie, elle le sait et elle en joue. Elle s’assoit sur le canapé entre nous. Je lui saisis un téton et l’étire longuement. Elle se mord les lèvres, je sais qu’elle adore ça. J’invite Clément à faire de même de l’autre côté. Puis nous nous penchons pour les lui téter. Elle ne déteste pas qu’on les lui mordille et même qu’on lui fasse un peu mal. Elle a vraiment l’air très excitée. Au comble de l’excitation, elle cherche la bouche de Clément et lui roule à nouveau une pelle baveuse. Je ne suis pas jaloux, mais quand même ! D’autant plus que ce sagouin en profite pour glisser encore ses doigts entre ses cuisses. Mais elle revient vers moi, me prend par le cou et se fait chatte :

 

— Oh chéri, s’il te plaît, j’aimerais encore profiter de cette belle queue avant de partir.

 

Stupéfait par tant d’empressement, je ne peux que répondre :

 

— Ma chérie, c’est à Clément qu’il faut demander.

 

Celui-ci fouille toujours vicieusement l’entrecuisse poilu de mon épouse. Il me regarde, interrogatif, comme s’il s’attendait à un refus de ma part.

 

— Ma femme est vraiment insatiable, crois-je utile d’ajouter à son encontre.

— Ce n’est pas désagréable, répond-t-il avec humour.

— Mais, cette fois, mon amour, j’aimerais qu’il me baise sur son lit et en missionnaire, intervient Sonia, la perverse. J’aimerais voir son visage quand il s’enfonce en moi. Alors, Clément, qu’en pensez-vous ?

— Pour sûr que j’accepte… Et plutôt deux fois qu’une, ajoute celui-ci grassement en faisant rouler dans ses doigts le gros téton dardé… À force de vous toucher, j’en suis encore tout raide.

 

Ma femme éclate de rire.

 

— Alors, voyons ça de plus près…

 

Je la vois se pencher vers la braguette de notre homme et emboucher sans rechigner le membre encore visqueux de sa dernière jouissance.

 

— C’est vrai qu’elle est très raide, avoue-t-elle entre deux léchouilles.

 

Sonia est à nouveau entre les cuisses de sa victime et je la vois distinctement avaler son gros vit. Bon dieu, ce qu’elle aime ça, ça fait plaisir à voir. Le savoir-faire de mon épouse fait que notre homme est tendu à l’extrême. Elle lui enfile prestement un préservatif puis, le saisissant doucement par la queue, elle l’entraîne vers la chambre à coucher. Elle s’allonge sur le lit et lui demande de se déshabiller entièrement avant de la saillir.

 

 

— Entièrement nus, comme si nous étions mariés, ajoute-t-elle à mon encontre.

 

Je le vois s’approcher, avec sa grosse bedaine, entre les cuisses ouvertes de mon épouse. Il saisit son membre bien raide et le guide avec dextérité vers la grotte secrète de ma moitié. Puis il l’embroche d’un puissant coup de reins et entreprend de la labourer sans plus attendre. Sonia se martyrise les seins en regardant cet impressionnant amant en train de la saillir. Elle le regarde droit dans les yeux et l’encourage à aller plus fort. De mon côté, caméra à la main, je ne perds pas une miette de ce spectacle époustouflant… Cela dure un long moment. Il l’embroche comme une bête en ahanant comme un vieux bouc. Elle, de son côté, gémit à chaque coup de boutoir. Elle en veut vraiment, la bougresse ! Il accélère encore la cadence. Les yeux vitreux de ma femme m’annoncent qu’elle va bientôt partir, ce qu’elle ne tarde d’ailleurs pas à faire. Elle jouit à répétition tandis que lui continue à la défoncer par de puissants coups de bite. Je suis subjugué par tant de ferveur et regrette presque quand il termine sa besogne et qu’il s’effondre sur elle en beuglant comme un cerf.

 

Lorsqu’elle sent qu’il commence à débander, elle le repousse et arrache le préservatif qu’elle vide grassement sur sa poitrine avant d’étaler le sperme sur ses tétons. Elle se masse les seins avec : spectacle hallucinant, je n’en crois pas mes yeux. Je savais ma femme cochonne mais pas à ce point-là. Sont-ce les longs mois de privation qui l’ont rendue ainsi ?

 

Il est temps de partir. Nous nous en allons à contre-coeur. Sur le chemin du retour, nous nous arrêtons à nouveau dans le même petit sous-bois. Elle vient alors à califourchon sur moi pour m’embrasser avec passion.

 

— Si tu savais combien je t’aime, m’avoue-t-elle avec enthousiasme.

 

Après ce premier round, nous avons maintes et maintes fois recommencé. Il y eut de bonnes expériences, de moins réussies aussi, mais jamais de véritables galères. Ma femme est heureuse ainsi et je suis heureux de la rendre heureuse.

 

Quant au père Clément, c’est l’un des rares que nous revoyons de temps en temps.

 

Quand nos entrevues se passent bien et qu’il me semble que notre hôte ne représente pas de danger particulier pour notre couple, il m’arrive d’encourager mon épouse à demander un autre rendez-vous, de façon à approfondir la relation.

 

Le père Clément, c’est devenu un habitué. Ce vieux veinard a même eu droit un jour à sa voie royale : une sodomie en bonne et due forme. Ce n’est pas le mauvais bougre, il n’a peut-être pas inventé la poudre, mais il baise bien Sonia et c’est un de ceux avec lequel elle prend le plus son pied ! Dans tout ça je suis plus heureux, ou tout au moins moins malheureux, de savoir ma femme comblée sexuellement. C'est que moi aussi mon excitation est à son comble : mon moignon coule d'un bout à l'autre de chaque rencontre et sonia veut porter remède à ma situation , mais comment ???  


    N° 1264 Ah… L’harmonie conjugale… Quel bonheur…

 

 

Par JEAN MARIE - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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