Partager l'article ! cet été -là, nous nous sommes retrouvés au même endroit pour nous aimer « secrètement ». Nos corps se mélangeaient avec passion quelques heur ...
18+3=21 ces trois ans d'inexpérience ils ont été rattrapés en deux jours. Cette femme est exceptionnelle et m'a fait accomplir des miracles ... formation accélérée...plus tard, hélas, on banalise tout
Rollerbi sur Revebebe traduit génialement ce qu'un homme sent dans la possession d'une femme (ou, croyons nous, d'un autre homme)
Tout l’été, nous nous sommes retrouvés au même endroit pour nous aimer « secrètement ». Nos corps se mêlaient quelques heures avec passion et mon sexe visitait ses trois orifices.
Christine m’avait vraiment donné le goût des balades à vélo. Les fins d’après-midi d’été, nous partions faire de grands virons sur les petites routes communales de notre verte contrée. Nous pédalions sous les futaies fraîches, avec le plaisir sans cesse renouvelé de pouvoir admirer son adorable petit cul partir en danseuse à l’assaut des côtes de notre belle région. Cette belle brune aux cheveux bouclés m’excitait au plus haut point, le spectre de sa petite chatte noire dansait devant mes yeux lors de mes nombreuses branlettes. 21 printemps, un sourire étincelant, des dents magnifiquement rangées… Avec mes 18 ans, je n’osais l’entreprendre. Pourtant, à cet âge, le sexe est un des plus gros postes dans le cerveau d’un jeune homme. De ce fait, la vision de son charmant postérieur faisait de ma main et de ma bite des alliés. Mes masturbations inopinées ponctuaient mes loisirs et une grosse partie de mon temps libre.
Pour en revenir à du concret, je la voyais très souvent, puisque nous faisions les quatre cents coups avec ses deux frères. Tous résidaient dans une grande ferme chez leurs parents. Avec les frangins, c’était moto, voiture, mécanique, CB, booms, guitare et autres divertissements. Avec Christine, c’était sorties ciné, promenades à pied ou à vélo, discussions à bâtons rompus ; nous appréciions d’être ensemble, c’était… malheureusement tout.
Un jour, nous faisions une pause au bord d’un étang perdu au milieu des bois lors d’une longue promenade, je buvais ses paroles en admirant ses lèvres charnues, sa bouche aux dents si blanches fendant son si beau minois. Je rêvais de l’embrasser, ou encore de la sentir se refermer autour de mon sexe, et cette simple image me déclencha une érection des plus solides. Lorsque son regard se porta sur mon entrejambe déformé, mes joues devinrent rouges tant ma gêne était grande.
— Oh ! fit-elle en souriant. On ne pense pas aux mêmes choses !
— Ben… fut le seul son ridicule qui sortit de ma bouche.
Elle posa alors son index sur mes lèvres pour me faire taire en me disant qu’il n’y avait rien de grave ni de honteux.
— La Nature doit s’exprimer ! entonne-t-elle avant de reposer son regard sur ma proéminence. Et elle semble s’exprimer plutôt pas mal… surenchérit-elle en me faisant un beau clin d’œil avec son si beau sourire, me mettant encore plus dans l’embarras.
Cramoisi d’entendre ses paroles, voire paniqué lorsque son index pointe ma verge raide comme un piquet de clôture pour vérifier la nature de l’objet, des semaines de fantasmes prennent une tout autre tournure.
— Non, excuse-moi. Je pensais à autre chose et… dis-je, écarlate.
— Eh ! Je comprends mieux pourquoi tu restes derrière moi à vélo. Tu mates mes fesses, hein ? Avoue !
— Chris !
— Allez ! Les yeux servent à regarder, non ?
— Oui, mais des fois, ne pas être vu…
— C’est moi qui te fais cet effet ?
— Tu… es belle ! m’exclamai-je, déjà plus à l’aise.
Je suis rouge écarlate, mon sexe hurle dans mon short, je voudrais pouvoir me branler comme un malade pour vite relâcher toutes les tensions qui m’habitent.
— Tu es mignon, fit-elle en posant sa main sur ma colonne hurlante.
Compulsivement, ma main vient écraser la sienne pour mieux la sentir. Pour la première fois, ma main saisit la sienne. Son regard sonde le mien, une chose est sûre. Nous sommes allés trop loin pour en rester là. Sa main se resserre autour de mon intimité.
Je ne sais pas où je trouve le courage, mais j’envoie alors mon bras libre contre sa joue pour l’attirer tendrement à moi. Sans aucune hésitation, elle se penche sur moi et nos lèvres s’unissent dans un merveilleux baiser. Mon cœur cogne fort, un flux d’hormones se déverse dans mes artères. Nos langues se livrent un duel sans merci, nos souffles se mélangent alors que mes doigts caressent sa nuque, parcourent son dos, pendant que la sienne prend la complète mesure de mon sexe. Suis-je réveillé ou endormi ? Ma queue, elle, semble bien réveillée.
Lentement, elle déboutonne mon short, avant d’ouvrir complètement la fermeture Éclair. Je me retrouve en quelques secondes exposé, sa main se refermant autour de mon sexe, et se redresse pour le découvrir.
— Elle est magnifique, Max ! dit-elle en le manipulant tendrement. Mes doigts n’en font pas le tour ! Au secours ! rit-elle joyeusement. Mais tu ne dois plus avoir de sang qui monte à la tête avec un truc pareil !
— Là, tout de suite, j’ai du mal à réfléchir, tentai-je pour montrer un peu d’assurance.
— Oh, t’inquiète pas trop de ça. Nous ne sommes pas forcément obligés de réfléchir !
Puis elle se penche de nouveau sur moi et nos langues se rencontrent pendant qu’elle me caresse tout doucement. Mes mains tremblantes partent assez maladroitement à la rencontre de son corps, de ses seins dont les pointes sont étonnamment raides, et semblent d’une grande sensibilité. Mon cœur bat la chamade, tout se bouscule également dans ma tête, avec toutes les questions idiotes d’un jeune garçon face à une femme plus âgée : « Vais-je assurer ? Vais-je jouir en quelques secondes ? Va-t-on le faire ? » D’après les dires de ses frères, Chris n’est pas une allumeuse, et n’a pas froid aux yeux[.ah, ça non!].…
pas sa première ! "Elle a dû faire toutes les guerres, Pour être si forte aujourd'hui,Elle a dû faire toutes les guerres,De la vie, et l'amour aussi",
En attendant, je vis pleinement ce rêve, et m’autorise à enfin poser ma main sur cette croupe parfaite, si obsédante, toujours dans son petit short en jean. Elle quitte mes lèvres pour observer de nouveau mon sexe qui pour l’instant la fascine.
Moi, je n’ai pas d’expérience, pas de comparaison, et c’est la première fois que l’on me parle de ma queue en des termes si élogieux. Jusque-là, elle a plus suscité la crainte que l’excitation. Malgré ma gêne évidente, j’esquisse un sourire en caressant son cul de déesse.
— J’ai trop envie de la sucer, dit-elle avec beaucoup de douceur dans la voix.
Elle ponctue le trajet descendant sur mon ventre de tendres baisers avant que ses lèvres s’entrouvrent sur mon gland, me provoquant un spasme de surprise lorsqu’elles entrent en contact avec ma chair. Chaude et humide, sa bouche enveloppe mon bout gorgé de désir. Sa main attrape mes couilles alors que ma hampe pénètre sa cavité buccale.
Je n’en reviens encore pas. Je rêvais de lécher son entrejambe, de lui caresser les fesses, et là, c’est elle qui m’embouche avec gourmandise. Si je ne m’étais pas déjà branlé trois fois depuis mon réveil, j’aurais joui instantanément. Ma main parcourt maladroitement son postérieur, la tête en feu, la bite en ébullition, les sens en émoi, lorsque sa main libre saisit la mienne pour l’envoyer sous son short qu’elle vient de libérer. Je caresse ses fesses, et plus ma main descend, plus son short glisse. Sa nuque frisée bouge au rythme de sa succion, et mes yeux admirent ce cul enfin révélé.
Son immense bouche avale assez facilement une grosse partie de ma bite, et les sensations que me procure son délicieux jeu de langue combiné à sa tendre succion m’arrachent des râles invraisemblables. Sa main coulisse sur la base de ma hampe comme pour tout remonter vers ses lèvres et ainsi mieux m’avaler. En quelques minutes de ce traitement, je souffle comme un bœuf. Elle ponctue sa fellation par de longs coups de langue, dépose des baisers sur mes couilles en gloussant de désir, puis me suce de nouveau avec une envie manifeste de me faire du bien.
Sa bouche se démène à un rythme soutenu le long de mon membre, tant et si bien qu’en quelques minutes à peine, une brûlure parcourt le bas de mes reins. Ma verge palpite pour expulser mon foutre, disposant de toute la fougue et l’impétuosité d’un adolescent shooté à la testostérone. Les couilles dans ses mains, je me déverse abondamment, pour la première fois ailleurs que dans les airs, des flashs et des étoiles plein la tête. Malgré la violence de cet orgasme, je sens sa douce bouche toujours autour de mon sexe, et comprends qu’elle recueille ma semence, ce qui renforce encore mon admiration pour elle. Mes attentes les plus torrides sont amplement dépassées. J’étais déjà secrètement amoureux ; là…
Des soubresauts me secouent le ventre de longues minutes encore sans pour autant qu’elle n’arrête de me cajoler entre ses lèvres. Ma queue n’a d’ailleurs pratiquement pas débandé, magie de l’âge encore une fois. Après un temps à câliner ma verge, Christine revient s’allonger contre moi tout en conservant mon sexe dans sa main. Son regard est joueur, et je vois ses lèvres si belles qui viennent de me faire vivre une si intense expérience, les colle aux miennes pour l’embrasser à pleine bouche. Alors que nos langues s’escriment, le goût sucré-salé de mon sperme me parvient clairement, mais ne me rebute pas. Il m’arrive de l’avaler lorsque je suis très excité et que je dois me branler au plus vite sans en mettre partout.
— Tu aimes ton goût ? demande-t-elle. Moi, je l’adore déjà.
— J’ai tellement rêvé de toi !
— J’ai l’impression que l’on va en faire beaucoup plus souvent, des balades. Ou dire que l’on va aller beaucoup plus loin !
Nous nous embrassons langoureusement, le temps est arrêté, plus rien à part elle ne compte. La découvrir, lui donner du plaisir, en prendre aussi ! Ma queue entre ses doigts est grandement opérationnelle. Elle se lève pour retirer son tee-shirt pendant que son short glisse sur ses jambes fuselées. Chris me dévoile enfin son corps tant imaginé avant de s’agenouiller à côté de moi. Sa toison brune est soignée, assez fournie, je n’en reviens toujours pas de la chance qui s’offre à moi. À genoux devant moi, je découvre son corps svelte, ses hanches magnifiques, et ses seins à peine plus gros que ceux d’une préadolescente, je la trouve splendide.
En se penchant pour m’embrasser, elle entraîne ma main entre ses cuisses toutes chaudes. J’y découvre la moiteur de son sexe, la douceur de ses lèvres alors que mon majeur découvre l’entrée de son vagin. Elle me guide en m’encourageant, la pointe de ses seins contre ma poitrine. Son clitoris très proéminent frotte contre la paume de ma main à chacune de ses ondulations.
— Ohhhhh oui, tu me donnes envie de toi. Rends-moi folle. Enfile ta langue en moi, à la place de ton doigt, le plus loin possible. Tu veux bien ? Tu en as envie ?
Je n’en attendais pas moins. Sa voix est sensuelle, rassurante, et en aucun cas ses mots ne me paraissent vulgaires. Devant mon absence de réponse, elle chevauche mon visage pour délicatement poser son sexe sur ma bouche. Outre cette chaleur, c’est le goût âcre qui me surprend le plus. Cette flagrance emplit instantanément ma bouche avant même que je ne lui prodigue le moindre coup de langue. Totale découverte de ce fruit tant convoité, je tente maladroitement de laper cette chatte qui d’un coup devient abondamment juteuse. Ses ondulations promènent son sexe contre mes lèvres alors qu’elle pose ses mains sur ma poitrine. Je ressens les soubresauts de ma queue raide et douloureuse, c’est sûrement aussi bien qu’elle me délaisse pour l’instant, j’ai déjà beaucoup de nouveautés à gérer.
Elle positionne son clito juste entre mes lèvres et m’implore de l’aspirer, de le mordiller, tandis que mon nez, lui, est presque dans son vagin maintenant ruisselant. La belle me susurre que c’est bon, que je lui fais beaucoup de bien. Mes mains contournent maintenant ses hanches pour venir pétrir son cul de rêve, et là je prends conscience de mes facultés visuelles : j’ouvre enfin les yeux. Le temps d’une rapide mise au point, je découvre une peau au grain incroyablement lisse de chaque côté d’une raie profonde. Et il est là ! Le petit anus tout fripé, étoilé, brunâtre. Il palpite comme un cœur qui bat, je ne pensais pas que cela puisse être aussi émouvant. Je suis en transe, ma langue plonge dans sa petite chatte et mon nez vient caresser sa rosette à l’odeur envoûtante.
Elle glousse, j’ouvre grand ma bouche pour aspirer toute sa chatte, ce qui provoque un véritable raz-de-marée dans son bassin. Je passe de nombreuses minutes à naviguer entre ses lèvres, m’efforçant de bien la lécher, espérant être à la hauteur de ses attentes. Soudain, ses fesses se contractent, son vagin enserre ma langue, ses sécrétions s’intensifient et ses doigts se plantent dans mes pectoraux alors qu’elle pousse un long feulement en écrasant sa vulve contre ma bouche ; je crains de lui avoir fait mal, mais en fait je viens de donner pour la première fois un orgasme à une femme.
Lentement, toutes ses tensions se relâchent, son sexe se pose un peu plus lourdement contre ma bouche. Moment d’éternité, je savoure autant ma chance que son sexe, elle reste sur moi un long moment, puis avance doucement son bassin pour venir offrir son petit anus à la caresse de ma langue. D’instinct, j’écarte ses fesses et lape son œillet de ma langue bien humide ; l’effet est immédiat, il s’ouvre comme une fleur. Chris émet un petit râle d’appréciation qui m’encourage à darder plus avant cette zone nourrissant tant de fantasmes, tant à recevoir qu’à déguster.
— Oui, j’adore, lèche-moi bien. Tu es doux, n’arrête pas.
Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute ; je m’enhardis, enfonce la pointe de la langue, lui lape la raie de sa vulve jusqu’au-dessus de l’anus pour mieux y revenir, de plus en plus à l’aise avec son intimité. Sa chatte coule sur mon menton, ma queue bande à déchirer le ciel, et plus ma langue la dévore, plus j’ai hâte de la pénétrer.
Elle aussi, d’ailleurs, puisqu’elle se retourne et me retire mes vêtements par le bas pendant que j’ôte mon tee-shirt. Une fois nue, elle me chevauche pour venir plaquer sa vulve sur mon sexe en m’embrassant à pleine bouche, follement excitée, me remerciant du plaisir que je viens de lui donner. La chaleur torride de nos sexes collés en dit long sur l’intensité de nos sens. Sa croupe ondule pour que ses grandes lèvres puissent parcourir ma hampe, ses pointes de seins contre mon buste, je place mes mains sur ses hanches. Le moment est enfin arrivé. Elle se redresse, nos regards se rivent, nous nous sourions.
— J’en ai trop envie… me souffle-t-elle.
— Je rêve de t’avoir contre moi depuis si longtemps !
— Et tu n’as jamais osé me le dire ? Tu avais peur que je te mange ?
— J’avais trop peur que tu éclates de rire ou que tu en parles à tes frangins.
— Rattrapons le temps perdu, faisons l’amour et gardons-le secret, dit-elle en déposant un baiser sur mes lèvres.
Elle glisse sa vulve sur ma verge jusqu’à ce qu’elle arrive à placer mon gland à son entrée, et toujours par petites ondulations, ses lèvres commencent à s’ouvrir pour accueillir mon membre en elle.
— Laisse-moi faire, chuchote-t-elle.
— Tu ne risques pas… d’être enceinte ?
— Ne te fais pas de souci, je prends la pilule. Laisse-toi aller, viens !
Fier de la situation, je tente de résister à cette pulsion innée qui consiste à vouloir s’engager. Je sens la douceur et la chaleur de Christine serrée autour de mon membre, mes mains se crispent sur ses hanches, entièrement sous le charme de ma brune. J’embrasse ses seins, me régale de ses tétons. Et si sa poitrine est menue, ses tétons sont très proéminents, durs, hypersensibles. Elle m’encourage à les lui mordiller, à les aspirer, les sucer, et n’hésite pas à me rassurer en me disant que c’est très bien.
Ce faisant, elle effectue de petits va-et-vient qui lentement l’empalent sur ma queue. Tous mes récepteurs captent la multitude de sensations nouvelles, comme sa toison frottant de temps à autre contre mon ventre, ou la vue de nos sexes s’emboîtant, de sa vulve écartelée d’où son clitoris émerge. Je vis mon rêve, je suis divinement bien.
Elle sourit, ferme les yeux, se mord les lèvres, des gouttes de sueur perlent sur son front, je suis le plus heureux et le plus chanceux des hommes. Mes doigts agrippent ses fesses en se plaçant presque dans sa raie, et mes reins ondulent timidement pour venir à sa rencontre. Je sens tout son vagin me comprimer la verge avec une douceur jusque-là inconnue, insoupçonnée.
— Oh oui, que c’est bon, je te sens immense en moi. Oh, tu es grand, j’adore !
Je sens clairement le fond de son écrin frotter le bout de mon nœud, et comprends que nous n’irons pas beaucoup plus profond, je crains de lui faire mal. Mais Chris se déhanche, à la recherche de notre plaisir, et ne semble pas vraiment souffrir !
— Hummmm que c’est bon… tu es bien ? Parle-moi, bouge en moi. Oui, comme ça. Encore, oh ouiiii.
Son souffle est court, le mien s’accélère aussi, des frissons parcourent nos corps alors que je commence à m’animer en elle. Parler ? Je ne suis pas à même de dire quoi que ce soit, j’ai beaucoup d’autres priorités. Mais mon manque d’expérience ne l’empêche cependant pas de partir vers un superbe orgasme, m’implorant de jouir en elle, qu’elle veut me sentir. De toute façon, les dés étaient déjà jetés : je jouis en de longues giclées au fond de son corps, ses doigts lacérant mes pectoraux, les miens plantés dans son superbe fessier.
Je me sens grandi, émancipé, immensément puissant, *, comme si mon sexe représentait les deux tiers de tout mon être, redessinant spontanément l’homoncule de Penfield ! J’admire son visage, ses lèvres qu’elle mord en exprimant son plaisir, ses cheveux dansant autour d’elle au rythme de notre jouissance.
Rayonnante, éclatante, elle s’allonge sur moi et nous unissons nos bouches, nos langues, notre sueur, pleinement satisfaits de notre performance. Naturellement, je l’enlace tendrement, des bulles plein la tête. Mon cortex commence à tout analyser, décortiquer, mémoriser. Avant ? Avant, j’étais puceau. Mais ça, c’était avant.
— Tu m’impressionnes beaucoup, tu sais ! me glisse-t-elle dans un souffle. Tu m’as vraiment donné un plaisir dingue. Tu as un zizi de compétition*, je ne vais plus pouvoir m’en passer !
— C’est encore plus agréable que je ne l’imaginais ! Mais je n’ai pas pu me retenir, je suis désolé.
— Oh non ! C’était juste parfait ! Ne change rien, j’ai joui dès que tu étais en moi.
Elle contracte son vagin autour de mon sexe, je lui réponds en faisant de même. L’endorphine se diffuse dans tout mon être, renforçant cette sensation de légèreté, de bien-être. Son corps posé sur moi me fait un bien fou, je voudrais que l’on reste ainsi à tout jamais, elle en moi, moi en elle, et faire l’amour encore et encore.
Après m’avoir embrassé, elle me rassure, me confiant plutôt envisager une procédure d’adoption. Nous avons toujours eu beaucoup d’humour, nous sommes désormais… très proches, à tel point qu’elle rechigne à laisser mon sexe quitter son vagin tout chaud. Alors qu’elle glisse de côté contre moi, sa main vient saisir la base de ma queue mollissante et gluante de nos sécrétions, répétant sa fascination. Mes doigts caressent naturellement la peau si douce de ses fesses, et alors qu’elle fait joujou avec mon membre, mes doigts s’aventurent jusqu’à l’entrée de son vagin. L’endroit m’attire, brûlant, béant, gluant de mon sperme commençant à s’écouler. Mes deux doigts réunis y plongent, l’accès tant convoité étant dorénavant déverrouillé.
— Hummmm, tu es joueur ! fait-elle en cambrant ses reins, s’offrant davantage à ma caresse.
Je lui avoue ne pas pouvoir y résister, que sa croupe est trop belle. Chris me comprend, puisqu’elle redescend me sucer tendrement sous le même prétexte, veillant à bien laisser sa croupe accessible. Son clitoris ne reste pas isolé ; lorsque mes doigts l’effleurent, mon initiatrice envoie sa main sur la mienne pour me guider dans cet art de masturber une femme, me dispensant ses premiers conseils entre quelques va-et-vient sur mon sexe, m’encourageant à continuer, à alterner ma caresse entre pénétrations et masturbation. À un moment, sa main saisit mon poignet pour guider ma main plus en arrière. Je crains qu’elle veuille mettre un terme à mes pérégrinations, quand mes doigts pleins de mouille et de sperme se retrouvent placés sur son petit œillet. D’instinct, mon majeur tâte la texture de cette zone follement excitante qui semble chercher à s’ouvrir à mon contact.
— Oui, tu peux là aussi, me confie-t-elle en gloussant. Vas-y !
Lentement, les chairs cèdent sous la pression et mon doigt visqueux la pénètre aisément, plongeant vers l’inconnu avec curiosité. J’effectue de lents mouvements, au rythme des lèvres de ma divine suceuse. Appréciant, elle écarte d’elle-même ses fesses de sa main libre pour me faciliter l’accès à ses reins avant de m’inviter à lui glisser un deuxième doigt. Sans effort, ils naviguent dans son divin petit cul. Je deviens plus entreprenant, écartant au maximum ses fesses pour mieux profiter de la vue si excitante, me voyant distendre cette petite porte avec beaucoup de plaisir.
— Tu pourras me la mettre entre les fesses, me dit la coquine entre deux coups de bouche sur la hampe. Mais pas aujourd’hui. Tout se mérite !
— Et que dois-je faire pour le mériter ? dis-je du tac au tac.
— Rien, absolument rien. En amour, rien n’est obligatoire, et les choses se font à deux. Apprenons à nous désirer ; regarde comme je m’y applique !
— Je te désire déjà ! tenté-je de nouveau. Je suis dingue de toi, raide dingue.
Ses lèvres coulissent sur ma chair, ses joues se creusent le temps de créer une dépression, puis elle me ravale de plus belle en effectuant un léger branle ou en me massant les testicules. En quelques minutes, elle augmente la cadence, me faisant jouir de nouveau à en perdre haleine. Rien n’est perdu, et ses douces caresses accompagnent ma douce convalescence. Lorsque ma queue est enfin redevenue flasque, elle l’abandonne sur mon pubis et vient m’embrasser tendrement.
— Oh, toi ! s’exclame-t-elle.
— Non. Toi ! fais-je en souriant.
— Sache, bel étalon, qu’il y a trois choses que j’affectionne tout particulièrement : le goût de ton sperme et la sodomie.
— Ça n’en fait que deux. Quelle est la troisième ?
— Ta quéquette de compète* ! répond-elle en la secouant dans les airs.
— Attention, tu vas la réveiller, et après…
— J’en assume les responsabilités.
L’après-midi s’est prolongé à nous découvrir et à nous aimer. Nous sommes rentrés assez tard, bras dessus, bras dessous, nous embrassant tous les quelques pas, jusqu’au moment douloureux de nous séparer. J’avais le cœur léger, le sexe aussi, puisqu’une seule pensée le faisait décoller. Et des pensées… nous étions convenus de nous retrouver dès le lendemain en début d’après-midi au bord de la rivière. Il y avait un endroit paisible près d’un grand trou d’eau claire où je venais très souvent pêcher seul, ou encore me retrouver un peu au calme. Nous étions en vacances, et avions vraiment du temps. À la rentrée, je partirais pour l’université, et je voulais mettre mes congés à profit.
Lorsqu’elle arrive, seulement vêtue d’une robe d’été assez courte et d’un chapeau de paille, mon cœur s’emballe, je la serre fort contre moi, violant sa bouche avec passion. Mes mains passent sous sa robe et retrouvent la douceur de sa peau, ses hanches et ses fesses libres de tout sous-vêtement. Je tombe à ses pieds sur la couverture que j’avais déjà installée, et plonge mon visage dans ses poils pubiens pour retrouver son odeur, sous l’escorte de ses mains posées sur ma tête. Ma langue part à l’assaut de son sexe frais ne demandant qu’à s’ouvrir sous la caresse. Je suce son bouton d’amour en pétrissant ses fesses, lape ses lèvres déjà gorgées et redécouvre le goût exquis de son temple, buvant frénétiquement sa sève. Les yeux fermés, le temps s’arrête pour nous offrir ce long cunnilingus. Christine tremble sur ses jambes, me traite de jeune fou*, mais ne cherche surtout pas à y mettre un terme.
Elle s’allonge sur le dos, elle relève ses jambes pour mieux s’offrir. Attentionné, je m’occupe de son entrejambe des fesses jusqu’au nombril, l’enculant à grands coups de langue avant de lui aspirer la vulve bruyamment, lui suçant le clitoris en enfilant deux doigts dans son vagin. Sa tête roule, elle se mord les lèvres, puis d’un coup jouit en criant fort, son vagin libérant sans prendre le temps de réfléchir. Tout doucement, je ralentis la cadence un impressionnant flux de cyprine que naturellement j’aspire immédiatement et l’intensité de mes « sévices » pour lui permettre de revenir à la réalité. Un grand sourire illumine son doux visage, et elle me demande de venir sur elle pour pouvoir m’enlacer.
— Et dire qu’un amant fougueux habitait à quelques centaines de mètres de moi… susurre-t-elle à mon oreille. Tu apprends vite !* Encore !
Il ne nous faut que quelques secondes pour nous retrouver nus. Nos bouches se livrent à un tourbillon de baisers, ne laissant aucune parcelle en souffrance. Lorsque mes testicules disparaissent l’un après l’autre entre ses lèvres, ma queue bande déjà dur entre ses doigts. Je me retrouve vite entre ses cuisses dans un délicieux 69 horizontal. Comment ai-je pu ne pas connaître un tel plaisir plus tôt ! Ça devrait être enseigné à l’école*, tant cela est subtil et épanouissant.
Avec une infinie tendresse, sa langue joue avec mon nœud, m’irradiant de puissantes sensations. Mais Chris a d’autres projets qu’une simple gâterie, me demandant de venir sur elle. Ses cuisses se referment sur mes reins, nos bouches se lient, sa douce main me guide en elle avec beaucoup de douceur.
— Hier, nous étions pressés de jouir, mais aujourd’hui, il faut que l’on prenne notre temps. N’écoute pas ton sexe lorsqu’il t’ordonne de venir, retiens-toi. Ainsi nous pourrons faire l’amour plus longtemps, ce sera plus fort. Viens en moi.
Je prends note de ses conseils*, me sentant d’un coup responsable de son plaisir, en position dominante pour la première fois de ma vie sexuelle. D’instinct, je commence à onduler très légèrement pour pouvoir la pénétrer doucement. Ses mains sur mes hanches me rassurent. Nos regards s’affrontent tendrement entre deux baisers, alors que mon membre se fraye un passage dans sa petite chatte.
— Je ne te fais pas mal ?
— Oh, non ! Continue comme ça, tout doucement, ne t’arrête pas, me rassure-t-elle. C’est délicieux.
J’effectue de lents va-et-vient, savourant chaque millimètre gagné à l’intérieur de son vagin brûlant, en ressentant les moindres contractures. Elle m’accompagne, propulsant doucement son bassin pour répondre à chacun de mes élans, ses mains sur mes hanches. Je saisis un de ses seins et le malaxe, pinçant son téton sensible, m’obligeant ainsi à ne pas me focaliser que sur la pénétration, mais sur le plaisir de ma partenaire. On se rejoint rapidement, mon gland butant contre son col. Elle m’embrasse, griffe tendrement mon dos, me dit des mots doux en commentant le plaisir qu’elle prend.
— Oh Max. Encore !
J’essaie de réagir à ses appels, mes coups de reins se font plus rapprochés, plus intenses. Sa croupe décolle pour venir à ma rencontre, ses gémissements deviennent râles profonds, m’implorant de continuer à la pénétrer en de longs et profonds assauts. Puis soudain, ses traits se figent, les dents serrées, son vagin tente d’écraser mon sexe planté en elle. Tandis qu’un jet de mouille trempe mes bourses, Christine crie sa jouissance jambes nouées dans mon dos, son bassin se projetant dans une série de contractions spasmodiques l’empalant bien plus que ce que je n’aurais jamais osé lui infliger.
Un immense bonheur m’envahit d’avoir pu lui donner ce plaisir sans que je jouisse moi-même. Des ailes me poussent dans le dos, je l’embrasse dans le cou, lui chuchote des mots doux, lui répète que je désire l’entendre jouir de la sorte encore des milliers de fois, que je banderai éternellement pour elle*. Alors que son bassin se décontracte de nouveau, elle m’embrasse et me dit que c’est vraiment bon de me sentir en elle. Je reprends lentement mes ondulations en veillant bien à ne pas être trop invasif, ne coulissant que sur les deux tiers de son écrin d’amour. Christine, ravie de ma performance, me demande alors de la prendre en chien de fusil, et sans que je me retire passe une jambe sous moi. Je me retrouve derrière elle en quelques secondes, ma verge ressentant d’autres sensations, mon nœud frottant maintenant la face postérieure de son vagin. Ma main sur sa hanche, un bras passé sous son buste pour lui étreindre un sein, je navigue en elle, nageant en plein bonheur.
— Oui Max, j’aime te sentir en moi, tu vas encore me faire jouir !
Je suis déjà moins timide, et m’élance dans son ventre chaud avec une âme d’aventurier, de pionnier. Christine m’invite à accélérer, criant qu’elle va déjà repartir. Je passe alors ma cuisse par-dessus sa hanche et ma main plonge pour trouver son clito et le pincer en même temps que je lui assène une grande tirade, plongeant une série de coups la faisant vibrer de toute part. L’effet est immédiat : ma belle jouit de nouveau en écrasant ma queue qui me paraît immense* en elle.
Fier, je l’écoute jouir, crier mon prénom, haleter en donnant de violents coups de bassin pour mieux me ressentir. Je ne peux plus me retenir ; mes couilles remontent et semblent peser des tonnes *tandis que mon esprit s’embrouille. Sa chatte m’aspire complètement et un orgasme d’une violence que je n’aurais jamais soupçonnée me submerge. Je n’éjacule pas, je fonds en elle ; en plus de l’envahir physiquement, notre union devient osmotique*.
Sa tête repose maintenant sur mon bras dans un silence quasi absolu ; seuls quelques soubresauts nous animent encore. Lentement le bruit de notre théâtre de verdure nous parvient de nouveau. Je dépose de tendres baisers dans son cou, sur ses épaules, effleurant sa peau de la pulpe de mes doigts, me régalant de la sentir frissonner, de la voir si apaisée. Je découvre l’instant d’après, cette plénitude lorsque deux amants s’étreignent une fois l’orage amoureux passé, et apprécie de la sentir tout contre moi. L’odeur de sa peau échauffée, nos effluves de sexe, son cœur battant fort vibrant contre ma paume tenant encore son sein, toute cette atmosphère est magique.
— Tu es ravissante, Chris. Ton corps, ton odeur, ton goût…
— Tu es un amant merveilleux. On dirait que tu as des années de pratique derrière toi. Ce que tu m’as fait jouir !
Revenant à la surface progressivement, au bout d’une dizaine de minutes à nous câliner, Chris envoie sa main entre nos corps pour cajoler mon sexe encore assez rigide, et le dégage de son emprise. Pour la forme, je proteste car je voudrais rester en elle, mais réalise rapidement que ce n’est pas pour autant fini. Elle se met à genoux pour prendre ma queue gluante de foutre entre ses lèvres et me suce en la maintenant bien par la base, me faisant rebander en une poignée de secondes. Sans coupure, elle me chevauche dans la foulée, et à l’aide de mon nœud brûlant, frotte ses lèvres pour bien étaler nos fluides amoureux entre ses fesses en quelques allers-retours avant de me placer devant son œillet. Elle veut donc que je la sodomise, et je réalise ma chance lorsqu’elle me dit tendrement :
— J’ai envie d’être ta petite enculée.
Sa phrase terminée, elle s’assied un peu, écarte ses fesses de ses mains.
— Entre en moi, souffle-t-elle. J’aime avoir un peu mal.
D’une légère pression, les chairs semblent s’ouvrir autour de mon gland, sa mouille et mon foutre lubrifiant parfaitement sa petite porte. En très peu de temps, son sphincter se referme derrière mon gland, lui arrachant un long soupir de satisfaction. Après une courte pause, Chris descend de nouveau, et je sens très nettement l’ourlet anal s’élargir pour céder à l’assaut de ma hampe ravie. Elle gère sa progression, s’empalant graduellement. Mon sperme s’écoule de sa chatte béante, et je vois ma queue disparaître entre ses fesses à chaque mouvement de son bassin.
— Hummm, je ne veux plus jamais en sortir !
— Tu es immense ! Oh mon Dieu, qu’elle est grosse*, que c’est bon ! J’adore.
Moi aussi, je l’adore. Je n’en reviens encore pas de la chance que j’ai. Ma verge l’investit de plus en plus, toujours par petits coups. Alors que je suis bien implanté, Chris entame une douce danse, jouant au bilboquet sur mon nœud avec une facilité assez étonnante. Elle se redresse pour se caresser les seins, s’enculant toujours plus loin sur ma queue, gloussant et râlant. Mes couilles allégées me permettent de me sentir maître de mes pulsions en saisissant ses hanches pour l’attirer sur mon vit. Si nous avons été doux juste avant, il semble que pour le coup nous sommes plutôt vifs, ce qui ne la dérange pas, de toute évidence.
Rapidement, Chris se dégage et m’implore de « la lui remettre » en se plaçant à quatre pattes. Son fessier de rêve entre mes mains, son œillet ressemblant plus à un tournesol palpitant devant moi, elle m’attrape les couilles par dessous et m’attire à elle.
— Encule-moi ! J’aime comme tu me prends, viens vite !
Sans plus attendre, son rectum m’aspire et nous voilà partis pour ce qu’elle appellera « la chevauchée fantastique ». Sans lâcher mes attributs, je chevauche sa belle croupe ainsi un très long moment, heureux de la voir jouir très bruyamment plusieurs fois d’affilée, avant de partir à mon tour entre ses reins et de nous effondrer sur notre couverture, totalement en nage.
L’un dans l’autre, nous savourons le contact de nos corps autant que le silence qui nous entoure, et il nous faudra beaucoup de temps avant que l’envie de parler nous reprenne.
— Je vis un rêve, Chris. Tu me fais tellement de bien !
— Je vais te dire la même chose, Max. Je n’ai jamais autant pris de plaisir. Jamais. C’est tout simplement merveilleux.
— Je n’ai pas fait trop mal entre tes fesses ? risqué-je pudiquement.
— Oh non ! J’adore les sensations que ça me procure quand on me prend par derrière. J’ai toujours rêvé « d’une grosse »… et je t’ai trouvé, dit-elle en posant ses lèvres sur les miennes. C’est encore meilleur que ce que je pensais.*
— Et tu n’as pas du tout mal ?
— Non ! C’est trop agréable. Reste encore un peu en moi.
Nous discutons un moment avant de parvenir à nous désunir. Nous plongeons dans la rivière et nous nous enlaçons pour profiter de la fraîcheur de l’eau autant que de nos corps l’un contre l’autre.
Une bonne partie de l’été qui suivit, nous nous sommes retrouvés au même endroit pour nous aimer « secrètement ». Nos corps se mélangeaient avec passion pendant quelques heures durant lesquelles mon sexe visitait ses trois orifices.
L’été [ne regardez pas la date ] restera à tout jamais le merveilleux souvenir d’une douce initiation.
NOTES vous n'aurez aucune peine à entrer dans l'intimité de Francis Cabrel en le réécoutant...il est vraiment tout nu, là...
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